mercredi 1 septembre 2010

La piscine "d'Evaux les bains".......


A la veille de la rentrée, des interrogations relatives au services rendus par la ville d'Evaux les bains et notamment " La Piscine"....

Commentaire repris sur le blog :

On parle beaucoup des insuffisances de la municipalité... de façon pas toujours justifiée. Mais quand va-t-on parler avec un peu de vigueur du quasi abandon de la piscine Adolf Dumery gérée par la communauté de communes: des casiers lamentables, des moisissures un peu partout: plafond etc...Avez-vous vu la pataugeoire extérieure et le dallage: la nature reprend ses droits quel gâchis et quelle image pour Evaux! 

Commentaire repris sur le blog :
Je reviens sur le problème de la piscine et les impasses budgétaires des com com en général. Alors que cet entretien défaillant est imputable à la communauté de communes ( c'est un bâtiment public ), il faudrait sans doute que les élus des petites communes arrêtent de créer et de soutenir artificiellement des commerces de proximité qui ouvrent puis ferment puis ouvrent à nouveau au gré des aides au démarrage. En effet, la fonction première d'une comcom ce n'est pas de jouer dans la cour des économies planifiées des démocraties populaires disparues. C'est quand même un peu fort de voir ces élus  adopter une attitude brejnevienne en matière de gestion. Mettez le fric dans la piscine qui attire tant les JEUNES et arrêtez de perfuser ce qui ne marche pas à des fins électoralistes!


Et si à Evaux, les élus évahoniens de la 1ère commune en nombre d'habitants de la com com reprenaient l"nos" billes pour gérer correctement la piscine? Finalement la SEM qui marche bien pourrait bien gérer cet équipement...

Vous pouvez réagir à ce billet en laissant un commentaire sous cet article ou dans l'onglet "sondage"

Demain jeudi, la rentrée des classes

Chatel :«on ne lâchera pas » les profs stagiaires

Le ministre de l'Education nationale Luc Chatel a démenti mercredi l'idée qu'on allait «lâcher» les professeurs stagiaires sans aucune formation à la rentrée, soulignant qu'ils avaient bénéficié de journées d'accueil et qu'ils seraient encadrés tout au long de l'année par un tuteur.

Le ministre était interrogé par France Inter sur la réforme de la formation des enseignants qui se met en place.

73% des parents satisfaits de l'implication des profs

Elle a pour effet de placer pour la première fois, quelque 16.000 jeunes tout juste recrutés, devant une classe sans avoir suivi l'année de formation en alternance en IUFM.

Stress de rentrée

Du coup, les nouveaux profs stressent pour cette rentrée 2010. Mais le ministre se veut rassurant. «On ne lâche pas les professeurs comme ça sans aucune formation», a affirmé M. Chatel, faisant valoir que les stagiaires avaient pu bénéficier de journées d'accueil (entre 1 à 5 selon les académies) ces derniers jours, qu'ils allaient être «encadrés» par un tuteur «tout au long de l'année» et auraient des stages individualisés.

Il a souligné qu'il s'agissait d'une «année transitoire un peu compliquée à gérer». L'an prochain, les jeunes seront recrutés après un master (bac+5), au cours duquel ils auront pu faire des stages en première et deuxième année.

73% des parents sont satisfaits de l'implication des profs

Enfin, Luc Chatel a rendu «hommage» aux personnels de l'Education qui rentrent ce mercredi. D’après l’enquête exclusive Harris Interactive, les Français sont plutôt satisfaits de l’enseignement prodigué à leurs enfants.

73% des parents sont satisfaits de l'implication des profs. De quoi donner le sourire à ceux qui reprennent ce matin.

mardi 31 août 2010

Venez découvrir la préparartion des produits à base d'eau thermale d'Evaux les bains

Une visite très ludique à Evaux les bains.

Evaux Laboratoires. Vous propose trois visites de découverte entre préparation des produits dermo-cosmétiques à base d'eau thermale d'Évaux-les-Bains et essais, les : mercredis 7 juillet, 4 août et 1er septembre.

Pour en savoir plus, cliquer sur INFO REGION

 Réservations : 05.55.65.50.90.

Un forum pour vous lecteurs

 

Un forum est à votre disposition sur le blog. Entièrement dédié à la ville d'Evaux les bains, il vous offre la possibilité de donner vos avis, de proposer des discutions et de débattre sur tous vos attentes et vos demandes.

Pour accéder au forum, cliquer sur l'onglet à droite du blog .

Calendrier des vacances scolaires pour l'année 2010 - 2011

La zone A comprend les académies de Caen, Clermont-Ferrand, Grenoble, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Nantes, Rennes, Toulouse.


La zone B comprend les académies d'Aix-Marseille, Amiens, Besançon, Dijon, Lille, Limoges, Nice, Orléans-Tours, Poitiers, Reims, Rouen, Strasbourg.

La zone C comprend les académies de Bordeaux, Créteil, Paris, Versailles.

Les plaisirs de la pêche à Evaux les bains

En cette fin d'été, pourquoi ne pas profiter des joies et du plaisir de la pêche.

Ouvert à tous, le plan de la Gane vous apportera le charme de la campagne, le calme et la séreinité.

les cartes journalières, semaine sont à retirer à l'office de tourisme et dans les commerces de la ville.

Un moment de détente avec ces journées ensoleillées de ce début de septembre.

Merci de respecter le règlement en vigueur (affiché autour de l'étang)

Laurent Fignon est décédé

Laurent Fignon, la voix combattante du Tour 2010

Le monde du cyclisme est en deuil. L'ancien coureur français Laurent Fignon, double vainqueur du Tour de France (1983, 1984), est décédé mardi des suites d'un cancer, a annoncé le groupe France Télévision, dont l'ancien coureur était l'un des consultants.

France Télévisions avait annoncé au cours des derniers mois que Laurent Fignon, atteint d’un cancer depuis plus d’un an, serait une fois encore aux commentaires du Tour de France 2010. Une bonne nouvelle pour les téléspectateurs.


Il est environ 17h50 quand Thierry Adam prend l’antenne sur France 2. Un nouveau Tour de France démarre. A ses côtés, Laurent Fignon. Un belle image pour tous les téléspectateurs qui doutaient de le revoir aux commentaires du Tour. Au fur et à mesure des ses interventions, on se rend compte de quelque chose. Sa voix a l’air enrouée. On peut penser à un petit soucis passager. Il n’en est rien. L’évidence est là, son cancer devient audible. Retour sur une année de maladie.

Laurent Fignon est un ancien cycliste professionnel. Pendant sa carrière, de 1982 à 1993, il remporta deux Tour de France ( 1983 et 1984 ) et un Giro d’Italie ( 1989 ). La patrouille antidopage le rattrapera par deux fois, en 1987 et 1989.

Quick ouvre 14 nouveaux restaurants exclusivement halal

 L'enseigne de restauration rapide Quick prévoit d'étendre son offre exclusivement halal à 14 nouveaux restaurants en France à compter de mercredi, portant à 22 le nombre de ses établissements vendant seulement de la nourriture conforme aux rites musulmans, a-t-il annoncé mardi.

Un opposant au quick halal convoqué par la justice
Les réserves du maire de Nogent

«Au vu des résultats de l'expérimentation de février, nous avons décidé de maintenir l'offre halal dans les huit restaurants en test et de l'étendre à 14 nouveaux restaurants à partir du 1er septembre, qui ne serviront plus que de la nourriture halal», a déclaré le PDG Jacques-Edouart Charret lors d'une conférence de presse.

Des magasins principalement en Seine-Saint-Denis

Dix de ces 14 nouveaux restaurants seront situés en Ile-de-France, notamment en Seine-Saint-Denis (à Montreuil, La Courneuve et Saint-Ouen).

L'offre halal représente désormais 6% du réseau de Quick en France métropolitaine.

Soucieux de ne pas se voir accuser de discrimination, Quick a toutefois décidé de proposer à la vente dans ces restaurants exclusivement halal, un hamburger traditionnel qui ne sera toutefois pas préparé sur place, mais seulement réchauffé, a encore annoncé l'enseigne fondée en 1970.

Après avoir déclenché une polémique à Roubaix en début d'année, la chaîne de fast-food prend le risque de se heurter une nouvelle fois à la polémique. Certains élus locaux ont en effet jugé la démarche de Quick discriminatoire et favorisant le communautarisme.

lundi 30 août 2010

Train de vie des ministres: premier bilan

L'Elysée a fait le point aujourd'hui sur la diète imposée aux ministres et autres responsables publics, notamment la réduction du nombre de collaborateurs des membres du gouvernement et des frais liés à leur vie privée, ou encore la suppression de 7.000 logements de fonction. Le président Nicolas Sarkozy, le chef du gouvernement François Fillon et le ministre du Budget François Baroin, réunis à l'Elysée, ont examiné la mise en oeuvre des décisions annoncées le 28 juin par le chef de l'Etat dans un courrier à son Premier ministre, selon un communiqué de la présidence.

Cette lettre détaillait les mesures d'économies sur le train de vie des responsables publics, destinées à le réduire "vigoureusement", sous peine de "sanctions" pour les récalcitrants. "S'agissant du nombre de leurs collaborateurs de cabinet, tous les membres du gouvernement dépassant les effectifs autorisés (20 collaborateurs pour un ministre, 4 pour un secrétaire d'Etat) ont adressé avant le 31 juillet un échéancier leur permettant de respecter ces plafonds", indique l'Elysée.

"Les sureffectifs des cabinets ont déjà été réduits d'un tiers et, à la fin octobre, tous les cabinets seront retournés à l'effectif prescrit. En outre, les budgets de rémunération et de déplacements des cabinets ont été réduits de 10%", ajoute-t-on.
L'Elysée indique également que "la prise en charge des frais liés à la vie privée des membres du gouvernement sur leurs deniers personnels est désormais très strictement appliquée". Ceci implique "la suppression des locations en parc privé" et des déplacements "strictement encadrés" (priorité aux transports ferroviaires, hébergement dans les locaux des services de l'Etat, limitation de la taille des délégations).

Quelque 7.000 logements de fonction vont également être supprimés, indique-t-on aussi. Les textes réglementaires sur cette question sont en préparation et seront publiés avant fin 2010.

4 enfants meurent dans un congélateur

Les corps de quatre frères et soeurs, âgés de six à 11 ans, ont été retrouvés aujourd'hui dans un congélateur d'une maison de la petite ville de Tavsançali, dans le centre de la Turquie, et les autorités privilégient l'hypothèse d'un accident, selon les autorités locales.

"Les enfants seraient sortis jouer après le petit-déjeuner et se sont introduits dans un congélateur d'une maison abandonnée qui ensuite s'est refermé et verrouillé", prenant au piège les enfants, a expliqué Hüseyin Baysal, le maire de Tavsançali.

Le congélateur n'était pas en marche et les enfants, dont le père est un berger local, sont morts par asphyxie, selon le même responsable, interrogé par la chaîne de télévision d'information NTV. Les autorités devaient procéder à une autopsie.

Casting cinéma dans le Limousin

Festival FORET FOLLIES en Creuse

Le cinéaste Alain Corneau est mort

Le réalisateur français Alain Corneau, 67 ans, est mort d'un cancer dans la nuit de dimanche à lundi. Son agent Artmedia a annoncé le décès lundi à la mi journée. L'ultime long-métrage d'Alain Corneau, «Crime d'amour» avec les splendides Kristin Scott Thomas et Ludivine Sagnier est sorti sur les écrans le 18 août dernier.

Musicien de formation, Alain Corneau s'est très vite tourné vers le cinéma. Il a notamment débuté aux côtés de Costa-Gavras, dont il est devenu le premier assistant en 1970 sur «L'Aveu». L'occasion pour lui de travailler avec Yves Montand qu'il dirigera par la suite à trois reprises.

Spécialiste du film policier

Alain Corneau a trouvé sa voie dans le registre policier. En 1976, il s'inspire du personnage de «L'Inspecteur Harry» pour sa deuxième réalisation, «Police Python 357» interprété par Yves Montand.

Les deux hommes collaboreront à nouveau sur «La Menace» (1977) et «Le Choix des armes» (1981), deux autres classiques du film noir à la française.

Fort Saganne, son succès télévisé

A partir des années 80, le réalisateur met en scène la prestigieuse fresque coloniale Fort Saganne (1984), filmant la société indienne dans «Nocturne indien» (1989). En 1992, il remporte le César du Meilleur film pour le long métrage d'époque «Tous les matins du monde», avant de mettre en scène «Le Cousin» (1998). Dans ce policier, il dirige à contre-emploi les comiques Alain Chabat et Patrick Timsit.

En 2004, Alain Corneau concrétise un rêve de trente ans avec «Le Deuxième souffle », emmené par un luxueux casting composé notamment de Daniel Auteuil, Monica Bellucci, Jacques Dutronc et Michel Blanc.

En 2009, il passe devant la caméra pour un rôle dans «La Guerre des miss» de Patrice Leconte.

Cà va "balser" à Evaux

"Unique en son genre, avec ce duo de steel-drums, c’est l’ambiance assurée dans les rues et sur les places...

Un spectacle chaloupé !

A l’issue d’une formation classique en piano et violon, les deux sœurs se passionnent pour les percussions traditionnelles du monde et découvrent le steel-drum, instrument rythmique et mélodique. Une révélation qui les amènent à créer « Les Balseuses », duo musical aux couleurs d’un folklore revisité : valses, boléros , mazurkas et autres compositions, clins d’œil au répertoire classique de leur enfance...
Le Steel-drum : Originaire de l’île de Trinidad (Caraïbes) le steel-drum, « tambour d’acier » appelé aussi « pan », est souvent considéré comme le seul instrument acoustique créé au XXe siècle. Son originalité tient à sa fabrication à partir d’un baril de pétrole usagé. Incurvé, martelé puis accordé, le steel drum, dont on garde l’intégralité ou une partie du corps du baril comme caisse de résonance, peut produire 3 à 29 notes, des plus graves (pour les basses) aux plus aiguës (pour les ténors). Le steel drum se joue à l’aide de mailloches appelées « sticks ».

A découvir place de la Mairie d’Evaux-les-Bains, vendredi 3 septembre à 18h (gratuit)"

La garden Party de Cressat

le député Auclair a réuni à nouveau près d'un millier de fidèles, samedi, à Cressat .

Année après année, le succès des Jeannot Folies de Cressat - où l'association Vivre la Creuse rassemble les fidèles du député\maire\conseiller général Jean Auclair - ne se dément pas. Samedi, ils étaient plus de 900 à converger en pèlerinage vers le plan d'eau de ce fief UMP pour goûter le menu du jour : pâté aux pommes de terre, barbecue, accordéon? et politique.

Eruption à Sumatra : l'alerte rouge déclenchée pour une semaine

Quelque 18 000 personnes ont été évacuées dans le nord de l'île indonésienne de Sumatra. Le volcan Sinabung, qui ne s'était pas réveillé depuis 400 ans, est entré en éruption, projetant de la fumée et des cendres à 1 500 mètres de hauteur. Depuis vendredi, il montrait des signes d'activité.

Un épais nuage de fumée noire et âcre s'est répandu sur la zone.

Aucune victime n'a été signalée, selon les secouristes, mais l'agence Antara, citant la police, a rapporté que deux personnes étaient mortes de crises cardiaques. «Nous sommes devant une situation manifestement dangereuse et nous avons donc relevé le niveau d'alerte au maximum, c'est-à-dire alerte rouge», a déclaré dimanche le chef du Centre d'alerte aux catastrophes volcaniques.

Dans quatre villages situés au pied du volcan, de nombreux habitants ont fui dès le début de l'éruption, avant même d'être évacués, rapporte le porte-parole de l'Agence pour la gestion des catastrophes, Priyadi Kardono. «Ils ont dit que le volcan était en train de projeter une épaisse fumée noire, des pierres et du soufre. Ils ont eu tellement peur qu'ils ont décidé de quitter leurs foyers», ajoute-t-il.

Haute-Savoie : un gendarme se tue en poursuivant un chauffard

Un gendarme de la brigade motorisée d'Annecy est mort dimanche après-midi en Haute-Savoie dans un accident de la route alors qu'il poursuivait un motocycliste en excès de vitesse, a annoncé la gendarmerie.

Alors qu'il effectuait «un service de police de la route au sein d'une patrouille motocycliste» sur la commune d'Evires, au nord d'Annecy, le gendarme «n'a pu éviter un véhicule, venant en sens contraire, qui lui a coupé la route en tournant sur sa gauche», précise le Service d'information et de relations publiques des Armées (Sirpa)-Gendarmerie dans un communiqué.


Le gendarme a été tué sur le coup. Il n'y a pas eu d'autre victime.

Marié et père de deux enfants, il est «le dixième militaire de l'Arme décédé en service depuis le début de l'année», rappelle la gendarmerie.

Le PSG sombre à Sochaux (1-3)

La semaine du PSG s'achève en cauchemar.

Après les défaite devant Bordeaux dimanche (1-2) et à Tel-Aviv (3-4) en match retour de barrage de la Ligue Europa, Paris s'est de nouveau incliné à Sochaux (1-3) lors de la 4e journée de L1.

Le PSG, qui a étalé ses lacunes collectives face à des Sochaliens qui n'en attendaient pas tant, pointe désormais à la 13e place de L1, avec 4 points. « C'est un match absolument lamentable, une prestation indigne, s'agace le président Robin Leproux à l'issue de la rencontre. Je ne sais pas pour qui on se prenait, on a été suffisant, on a pris l'eau de partout. J'attends une remise en cause de tout le monde. » Le président qui a laissé Antoine Kombouaré parler dans le vestiaire a d'ores et déjà prévu de venir rappeler aux joueurs leurs devoirs cette semaine à l'entraînement. Les deux semaines de la trève internationale s'annonce bien chaudes du côté du Camp des Loges

dimanche 29 août 2010

Les effectifs de police continuent à baisser

Les statistiques duministère de l’Intérieur et les chiffres prévisionnels démontrent

que le nombre de policiers en France a baissé et que cette tendance va continuer aumoins jusqu’à 2012.

Le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, a répété sa volonté tout au long de l’été : « Ne pas céder un centimètre de terrain aux crapules. » Si le discours se veut clair et ferme, qu’en est-il dans la réalité, alors que, selon des chiffres que nous nous sommes procurés auprès de plusieurs sources syndicales, les effectifs de la police nationale n’ont cessé de baisser depuis six ans? Ces données, parues notamment dans le protocole d’accord sur la réforme des corps et carrières, rédigé par la Direction de l’administration de la police nationale (DAPN) en 2004, laissent apparaître une importante déflation du nombre de gardiens de la paix, officiers et commissaires.

En savoir plus
10 104 policiers en moins en huit ans
La réponse du ministère de l’Intérieur
«Les collègues n’en peuvent plus»


Des commissariats fermés la nuit et les week-ends

Si l’on tient compte des chiffres prévisionnels fixés jusqu’en 2012, la tendance pour ces trois corps de fonctionnaires ne semble pas devoir s’inverser. Et les gendarmes sont également concernés — dans une moindre mesure — par ces baisses d’effectifs. Selon le ministère de l’Intérieur, 145100 policiers assurent aujourd’hui la sécurité des biens et des personnes en France. « Mais près de 10104 postes auront ainsi été supprimés entre 2004 et 2012 au sein de la police, constate un syndicaliste. Nous en subissons déjà les effets sur le terrain, au quotidien. » Et le même fonctionnaire d’énoncer l’absence de patrouilles, à certaines heures, faute d’effectifs suffisants, ou la réaffectation arbitraire de certains d’entre eux dans des brigades nouvellement créées, au détriment de leur ancien service. « Le principal risque qui nous guette est l’abandon de plusieurs de nos missions au profit des polices municipales, voire de sociétés de sécurité privées, déplore un brigadier. Nous sommes à un tournant de notre histoire. » Alors que les maires s’alarment, depuis plusieurs années, de voir leur commissariat dépeuplé ou leur poste de police supprimé — dans le Val-d’Oise par exemple, le commissariat d’Eaubonne est maintenant fermé la nuit et les week-ends, et celui de Cergy le samedi —, des fonctionnaires pointent par ailleurs l’incidence de cette baisse des effectifs sur la sécurité au quotidien.

samedi 28 août 2010

Expulsions de Roms : Kouchner indigné par les critiques de l'ONU

«Jamais le président de la République n'a stigmatisé une minorité en fonction de son origine» : le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, s'est insurgé vendredi après-midi, contre le rapport rendu un peu plus tôt par le comité pour l'élimination de la discrimination raciale (CERD) de l'ONU. Les Nations unies ont appelé la France à «éviter» les renvois collectifs de Roms, s'inquiétant de «discours politiques discriminatoires» et s'inquiètent d'«une augmentation récente des actes et manifestations à caractère raciste et xénophobe».

Le ministre des Affaires étrangères, qui ne s'était pas encore prononcé sur le renforcement de la politique sécuritaire de Nicolas Sarkozy et sur les expulsions de Roms s'est indigné : «Jamais nous n'accepterons qu'une minorité soit sanctionnée pour ce qu'elle est». «Je vous mentirais et renierais mon engagement de toute une vie, si je vous disais que ces éclats autour des Roms m'ont fait plaisir», a ajouté l'ancien «French Doctor» de Médecins sans frontières et Médecins du Monde. Paris ne peut pas, selon lui, accepter les «caricatures» et les «amalgames» de ce rapport de l'ONU. Pierre Lellouche, son secrétaire d'Etat aux Affaires européennes a par ailleurs noté «de nombreuses erreurs factuelles».

«La France respecte scrupuleusement la législation européenne»

Auparavant, le Quai d'Orsay, via son porte-parole Bernard Valero, a affirmé que «la France respecte scrupuleusement la législation européenne ainsi que ses engagements internationaux en matière de droits de l'homme». Reconnaissant que les Roms roumains ou bulgares jouissent, en tant que citoyens de l'Union européenne, «de la liberté de circulation et du droit au séjour sur le territoire des États membres», il rappelle que cela ne leur offre pas «un droit inconditionnel au séjour». Par ailleurs, selon le traité d'adhésion à l'UE de la Roumanie et de la Bulgarie, membres seulement depuis 2007, il est possible de maintenir certaines restrictions de circulation durant 7 ans à l'encontre de leur ressortissants. C'est notamment sur ce point que se concentrent notamment les recommandations des experts.

vendredi 27 août 2010

Six cas de maladie du sommeil chez des personnes vaccinées contre la grippe A

 «Six personnes (trois adultes et trois enfants) qui ont été vaccinées contre la grippe A/H1N1 ont développé une maladie du sommeil appelée narcolepsie/cataplexie depuis le 23 août», vient d'annoncer l'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé. Les autorités sanitaires soupçonnent un lien avec le vaccin, même si, formellement, la preuve n'est pas apportée.


La France n'est pas la seule à avoir des doutes sur ce traitement. Le 18 août dernier, la Suède a informé l'Agence européenne du médicament de la survenue de six cas de narcolepsie-cataplexie chez des enfants de 12 à 16 ans, un à deux mois après leur vaccination par le vaccin Pandemrix (laboratoire GSK). D'autres cas ont été signalés en Finlande.

Une évaluation en cours de l'ensemble des cas européens

En France, l'un des cas est survenu après l'injection du vaccin Panenza (laboratoire Sanofi-Pasteur). En tout, 22 cas ont été signalés en Europe. «Dès lors que l'attention est attirée par un "signal" lancé par Suède il y a dix jours, les cas de narcolepsie, qui se trouvent aux mains des neurologues spécialistes de cette maladie, remontent vers l'Afssaps», a précisé Carmen Kreft-Jais de l'Afssaps, pour expliquer que ces cas aient été signalés à l'Afssaps seulement lundi.

L'agence ajoute que ces données et celles concernant l'ensemble des cas européens «font actuellement l'objet d'une évaluation par l'agence européenne du médicament (EMEA) en collaboration avec les autorités de santé européennes, dont l'Afssaps».

En Europe, la prévalence de la narcolepsie (avec cataplexie) est de 20 à30 cas pour 100 000 personnes. Il y a annuellement «de l'ordre de 7 à 8 nouveaux cas par million» d'habitants, «soit en France l'apparition d'environ 500 nouveaux cas par an», note l'Afssaps.

La narcolepsie avec cataplexie est une maladie rare caractérisée par une somnolence excessive le jour, associée à des pertes du tonus musculaire déclenchée par une forte émotion. Plus de 30 millions de personnes ont été vaccinées en Europe contre la grippe A/H1N1, dont près de 6 millions en France.

Déchéance de nationalité : Sarkozy tranchera la semaine prochaine

A peine rentré de vacances, Nicolas Sarkozy n'a pas tardé à reprendre en main le dossier épineux de la déchéance de la nationalité pour certains Français naturalisés. Dès la semaine prochaine, le chef de l'Etat présidera une réunion d'arbitrage sur les amendements possibles à adopter.

Selon le quotidien Libération, deux textes ont d'ores et déjà été remis mercredi par Brice Hortefeux. Le premier texte concernerait toutes les personnes qui ont commis des «délits de polygamie de fait, d'escroquerie et d'abus de faiblesse».

Atteintes à la vie des policiers et gendarmes, des pompiers et gardiens d'immeubles

Le second amendement évoquerait toutes les «personnes d'origine étrangère qui ont volontairement porté atteinte à la vie d'un policier, d'un gendarme ou de tout autre dépositaire de l'autorité publique». D'après Libération qui s'est procuré les textes, la liste comprendrait également les sapeurs-pompiers, les gardiens assermentés d'immeubles, les jurés, les avocats. Et même «le conjoint, les ascendants et les descendants en ligne directe» ou «toute autre personne vivant habituellement à leur domicile». Seuls les étrangers naturalisés depuis moins de dix ans et condamnés à «une peine d'au moins cinq années d'emprisonnement» pour «acte qualifié de crime ou délit» pourraient être visés.

Souscrire un pacte républicain

«Libé a les propositions qu'aurait faites le ministère de l'Intérieur. Je le dis au conditionnel, donc je ne peux pas vous en parler. Je vais travailler avec mon équipe et le président de la République et le Premier ministre arbitreront la semaine prochaine», a déclaré Eric Besson. Et de compléter : «dans le projet de loi que je vais porter à l'Assemblée nationale à partir du 27 septembre prochain, tout étranger qui va accéder à la nationalité française va souscrire à un pacte républicain. Il va signer, il va dire, je m'engage à respecter les lois de République française», a ajouté le ministre de l'Immigration.

Fréjus : l'hommage aux deux soldats français tués en Afghanistan

Des milliers de personnes se sont rassemblées sur la place d'armes du camp Lecocq à Fréjus pour assister vendredi à la cérémonie d'hommage aux deux soldats tués en Afghanistan. Le capitaine Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, qui appartenaient au 21ème Régiment d'infanterie de marine de Fréjus (Var), ont été tués lundi lors d'une opération au sud de Tagab (nord-est de Kaboul).

Sur la place d'armes, devant le drapeau en berne, deux compagnies du 21e RIMa, dont l'une en instance de départ pour Djibouti, avaient pris position, de même qu'une quarantaine de porte-drapeaux d'anciens combattants.

Nicolas Sarkozy : «La France ne peut laisser le champ libre aux fanatiques»

La cérémonie était présidée par le président de la République Nicolas Sarkozy en présence du ministre de la Défense Hervé Morin, du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants Hubert Falco, de nombreuses personnalités civiles et militaires mais aussi nombre de Fréjusiens venus entourer les familles.

La France ne peut «laisser le champ libre aux fanatiques, aux barbares et aux terroristes qui menacent nos sociétés», a déclaré Nicolas Sarkozy, en ajoutant une nouvelle fois, que la France «restera en Afghanistan aussi longtemps que nécessaire».

«Notre sécurité, ici, en France, repose aussi sur notre engagement là-bas. La barbarie ne doit pas l'emporter contre la démocratie».

«Je sais combien cette mission est difficile, j'en mesure les risques, mais la France ne doit pas se dérober aux impératifs de sa sécurité, ni à ses responsabilités dans la lutte contre le terrorisme mondial. La France ne doit pas se désengager dans la lutte contre le terrorisme mondial».

Lorenzo Mezzasalma et Jean-Nicolas Panezyck n'étaient en Afghanistan que depuis 2 mois.

Information

Bonjour à tous les lecteurs, lectrices.

De retour sur Evaux, après deux mois d'absence, je vous remercie de me faire parvenir vos infos " si vous le souhaitez"
Je remercie les personnes qui m'ont fait parvenir quelques infos.

Je rappelle que ce blog génère 5 à 6000 visites par mois, donc un bon moyen de communication de plus pour Evaux les bains.

au : dom@evaux.fr  -  06.09.04.21.79  - 05.55.65.55.06

Deux collisions sur la même route (Allier): cinq morts en deux jours

A quand la quatre voies entre Montluçon et Macon ?

Sur cette route, c'est la "bataille" entre les milliers de routiers et pour certains des inconscients et les petits automobilistes engendrés dans la dure loi du plus "plus gros et du moins bridés".

Encore Trois personnes ont été tuées jeudi soir dans l'Allier, dans une collision entre une voiture et un camion.

L'accident s'est produit vers 21h30 à Besson, sur la Route Centre Europe Atlantique près de Moulins, lorsque le poids lourd, conduit par un français, a percuté une voiture, tuant sur le coup son conducteur, un automobiliste portugais de 37 ans, et ses deux enfants de 9 et 13 ans.

La mère de famille, elle, grièvement blessée, a été transportée à l'hôpital de Lyon. «Le choc a été extrêmement violent», d'après un témoin sur place, qui a pu voir des pièces métalliques éparpillées sur plusieurs centaines de mètres. Le chauffeur du camion s'en est sorti avec de légères blessures.

Cette nouvelle collision est survenue trente-six heures seulement après un autre accident, dans lequel un homme de 36 ans et son fils de deux ans ont perdu la vie, eux aussi percutés par un poids lourd, sur la même route.

Jeudi soir, la circulation sur la RCEA était ralentie, mais pas totalement interrompue.

Toulouse : un bébé défenestré du 8e étage

Une petite fille de deux semaines est morte jeudi soir, jetée par la fenêtre de sa chambre, depuis le 8e étage d'un immeuble du centre de Toulouse. «Il y a toutes les raisons de penser que cet enfant a été jeté par la fenêtre par sa mère. Le bébé est mort sur le coup», a déclaré le procureur de Toulouse, Michel Valet, après s'être rendu dans l'appartement.
Au moment du drame,la mère, âgée de 34 ans, sans profession, se trouvait seule à l'intérieur de l'appartement avec sa fille. Son compagnon et père de l'enfant, un médecin, se trouvait sur son lieu de travail.

Peu avant 21 heures, jeudi, deux femmes sont sorties de l'immeuble, des serviettes blanches sur la tête pour dissimuler leur visage, encadrées par des policiers et se sont engouffrées dans une voiture. Il s'agissait vraisemblablement de la mère et de sa soeur, qui ont été entendues par les enquêteurs à l'hôtel de police, ainsi que le père de la fillette. L'audition de la mère s'est poursuivie dans la nuit.

Selon une source policière, la soeur de la meurtrière présumée a entendu le bébé pleurer alors qu'elle se trouvait sur le palier devant la porte de l'appartement. Lorsque'elle a pu entrer dans l'appartement, le bébé ne pleurait plus et une fenêtre était ouverte. Elle a vu sa nièce gisant au sol, dans l'arrière-cour bétonnée. Elle a aussitôt alerté les pompiers.

«C'est un couple très gentil»

Les pompiers ont indiqué avoir reçu un appel téléphonique de la part d'un membre de la famille, vers 19 heures 30, leur annonçant qu'un nourrisson avait été «défenestré». Su place, ils ont constaté que la petite fille n'avait pas survécu à sa chute d'une vingtaine de mètres. Les policiers ont aussitôt établi un périmètre de sécurité devant l'immeuble de 10 étages, situé allée Jean-Jaurès, une grande avenue du centre de Toulouse, à proximité d'un bar-restaurant très fréquenté. Dans la rue, personne n'a rien remarqué avant l'arrivée des pompiers et des policiers car le drame s'est déroulé côté cour.

«On essaie de vérifier ce qui s'est passé», a précisé le procureur de la République. Une information judiciaire va être ouverte et un juge va être saisi, «il va s'attacher à comprendre le déroulement des faits», a-t-il ajouté. Jeudi en fin de soirée, un policier était posté devant l'entrée de cet immeuble soigné des années 1970 et filtrait les entrées.

Une dame habitant au 3e étage de l'immeuble, qui avait procuration pour recevoir les colis et recommandés du couple, était choquée d'apprendre la nouvelle. «C'est un couple très gentil. J'ai du mal à croire qu'elle ait pu faire une chose comme ça, c'est une femme très bien, elle était si contente d'avoir un enfant, c'était son premier. Elle a dû faire une dépression», a-t-elle déclaré.

les Estivals des granges au casino d'Evaux les bains

Pour la deuxième année consécutive, le casino d'Évaux-les-Bains a organisé les Estivales des granges, étalées sur cinq soirées, avec un concours de chant, fondé sur le principe des radio crochets.

La finale s'est déroulée vendredi dernier.

Pour l'occasion, un jury de neuf personnes, professionnels de la musique ou de la radio pour la plupart, s'est réuni pour délibérer. Onze finalistes étaient en lice, répartis en deux catégories : auteurs-compositeurs et interprètes.

Les premiers étaient jugés sur leur univers musical, la qualité et l'originalité de leurs compositions, avec une seule note.


Pour les interprètes, trois notes étaient données par chaque juré, en tenant compte d'aspects plus techniques : placement, justesse de la voix.

Le premier verdict a été celui du vainqueur dans la catégorie auteur-compositeur. C'est Aurélien de Carolis, accompagné de Maryline Deguine aux choeurs, qui a été primé, avec sa chanson Je n'aurai pas eu le temps.


Entre folk et rock français, le jeune guitariste a un timbre de voix singulier, qui n'est pas sans rappeler des artistes tels que Damien Saez ou Raphaël.

Côté interprètes, Wilfried Richard a bluffé le jury en reprenant Rossignol de mes amours, de Luis Mariano, affublé d'un grand sombrero.

A Rennes, trois adolescents torturent un quinquagénaire

Ligoté et torturé pour un code de carte bancaire. Les faits ses sont déroulés lundi soir à Rennes. Selon Europe 1, la victime, un homme d'une cinquantaine d'années, qualifié de «vulnérable», a été agressé chez lui par trois mineurs âgés de 15 à 17 ans qu'il connaissait.
Les adolescents, qui vivent dans un foyer d'accueil, avaient fugué dans la journée de lundi avant de se rendre au domicile du quinquagénaire. Ils se seraient alors livrés à des actes de tortures, couteau en main, pour obtenir le code de carte bleue de leur victime. Les agresseurs présumés se sont ensuite enfuis, laissant l'homme seul, ligoté, qui a donné l'alerte le lendemain matin, après s'être défait de ses liens.

Sous l'emprise de l'alcool et du cannabis

Après avoir reçu leur signalement, la police a pu rapidement interpeller les trois jeunes, qui ont reconnu les faits au cours de leur garde à vue. D'après les enquêteurs, ils ont expliqué qu'ils étaient sous l'emprise de l'alcool et du cannabis. Soupçonnés d’extorsion en réunion sur une personne vulnérable, avec actes de torture et de barbarie, les adolescents devraient être mis en examen. Deux d'entre eux devraient être mis en détention provisoire, à la demande du Parquet, et le troisième placé dans un centre éducatif fermé. La victime, elle, s’est vue prescrire dix jours d’interruption temporaire de travail.

jeudi 26 août 2010

Le Havre : elle tue son mari et son petit-fils, puis se suicide

Une femme de 67 ans aurait tué mercredi soir son mari âgé de 65 ans et son petit-fils de 10 ans, avant de se jeter d'une falaise près du Havre (Seine-Maritime).

Selon les premiers éléments de l'enquête, la sexagénaire a laissé un mot avant de se suicider. Vers 23h30 dans la maison du couple, située dans le quartier de Caucriauville, la femme aurait d'abord tué son mari à coups de marteau, puis étranglé son petit-fils.
Une thèse qui devra être confirmée par les autopsies des corps pratiquées dans les prochaines heures.

La voiture du couple a été retrouvée dans la nuit de mercredi à jeudi, stationnée au sommet d'une falaise du Cap de la Hève. Les policiers de la Sûreté urbaine du Havre, chargés de l'enquête ont retrouvé le corps présumé de la grand-mère au pied de cette falaise. Le mobile de ce double meurtre restait encore inconnu jeudi matin.

Martine Aubry : «Un été de honte pour la France»

Martine Aubry, numéro un du Parti socialiste, a fait une entrée remarquée jeudi à la Rochelle, à la veille de l'ouverture de l'université d'été du PS. Elle a d'emblée dénoncé un «été de honte pour la France», qualifiant les mesures sécuritaires de l'exécutif de «vaste opération de manipulation».
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DSK, l'absent dont tout le monde parle
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Absente de la scène médiatique pendant l'été, la Première secrétaire du PS a visiblement décidé de changer de ton et de frapper fort pour sa rentrée : «Il n'y pas que le discours de Grenoble (ndlr : le discours de Nicolas Sarkozy sur la sécurité), il y a tout ce qui s'est passé et ce qui se passe sur les Roms».

«C'est indigne de la République»

«Les Français ne s'y sont pas laissés prendre», a lancé Martine Aubry. Ils «ont compris que cette vaste opération de manipulation qui bafoue les valeurs de la République, qui abîme notre République, qui salit notre pays à l'étranger, avait sans doute pour objet de masquer les affaires et d'abord son échec sur la sécurité», a lancé la maire de Lille en ciblant le chef de l'Etat.

«Quand on utilise de manière aussi honteuse cette violence dans les mots, ces procédés oratoires parce qu'on est pas capable de régler le problème, c'est indigne de la République», a poursuivi la première secrétaire très en verve.

Candidate aux primaires en décembre ou janvier ? «Les Français s'en foutent»

«Vous me demandez si je vais prendre ma décision de candidature (aux primaires, ndlr) en décembre ou en janvier ?», a-t-elle lancé devant un parterre fourni de journalistes. «Les Français s'en foutent», a-t-elle martelé à plusieurs reprises. «La France va mal, elle n'est pas sortie de la crise, la rentrée scolaire va être très difficile, la sécurité est une catastrophe. »

Roms : pour 53% des Français, l'Eglise n'est pas dans son rôle

Les critiques implicites de Benoît XVI dimanche dernier, et plus explicites de certains évêques de France sur la politique du gouvernement à l'égard des Roms trouvent un écho partagé dans l'opinion.

L'Eglise n'était pas dans son rôle en critiquant la politique du gouvernement estiment ainsi 53% des Français, selon un sondage CSA qui sera publié vendredi dans «La Croix».


Moins d'un Français sur deux approuve les expulsions

«Des limites à ne pas franchir» pour le cardinal Vingt-TroisCe chiffre passe à 54% chez les personnes interrogées se déclarant catholiques. Seuls, les catholiques pratiquants jugent, à 56%, que les responsables religieux ont raison d'intervenir sur le sujet même si paradoxalement 55% d'entre eux sont favorables aux reconduites des Roms dans leurs pays d'origine.

Jeudi, le Cardinal André Vingt-Trois s'était saisi de l'affaire des Roms, déclarant notamment qu'il y avait des limites à «ne pas franchir».

Un fort clivage gauche-droite

Les avis varient aussi selon la sensibilité politique: parmi les sympathisants de gauche, 55% jugent que l'Eglise est dans son rôle et parmi les sympathisants de droite, ils ne sont que 32%.

Ce clivage gauche-droite se retrouvent dans le sondage publié dans Le Parisien et Aujourd'hui-en-France ce jeudi. Alors que 48% des Français sont favorables aux expulsions des Roms, la proportion passe à 70% chez les sympathisants de droite et même 83% chez ceux d'extrême-droite (83%). A gauche, le rejet est aussi massif : 61% en moyenne, mais 65% pour les amis du PS et 83% pour ceux du PC.

Les bandas flors 2010 à Evaux les Bains



film de Gérard Charbonnel

mardi 24 août 2010

Une bénéficiaire des Restos du cœur gagne à l'Euromillions

Elle n'aura plus besoin des colis alimentaires, elle est désormais millionnaire. Une habitante du Finistère, bénéficiaire des Restos du cœur, s'est vu remettre ce mardi par la Française des Jeux (FDJ) un chèque de 5 millions d'euros. Elle a préféré garder l'anonymat. C'est l’un des 3 gagnants du rang 1 du tirage de l’Euromillions du vendredi 13 août, seul vendredi 13 de l’année 2010.

La gagnante, qui a validé la combinaison gagnante le 12 août au point de vente le bar le Narval à Kerlouan, jouait les mêmes chiffres depuis trente-quatre ans.

«Elle rêvait depuis des mois qu’elle toucherait le gros lot. Aujourd’hui, elle fait des projets tels qu’acheter une maison, et surtout n’oublie pas ceux qui l’ont écoutée et aidée, puisqu’elle compte faire un don à cette association caritative», explique-t-on à la FDJ.

Au café de la chance en Bretagne, on tombait des nues mardi en fin d'après-midi :«Je viens de l'apprendre à la Française des Jeux», confie l'un des employés. Pas question pour lui de donner de quelconques indices sur l'heureuse veinarde : «Je ne sais pas qui c'est. Ça ne me regarde même pas», coupe-t-il.

«Il y aura plus de deux millions de manifestants le 7 septembre»

La rentrée sociale se fera dans la rue ou ne se fera pas ! C'est du moins l'avis du secrétaire général de Force ouvrière Jean-Claude Mailly. Dans une interview à paraître ce mercredi dans Le Parisien / Aujourd'hui-en-France, le leader syndical place très haut la barre de la mobilisation attendue : «Pour moi, il y aura plus de deux millions de manifestants» lors de cette journée, qui marque le début de l'examen du projet de réforme des retraites par les députés.

Retraites : les syndicats prêts à se battre

FO a appelé avec les autres syndicats à la mobilisation mais n'a pas signé le texte commun diffusé lundi, regrettant que le texte n'appelle pas au retrait de la réforme.

«Il est certain que cette manifestation ne suffira pas», ajoute le leader syndical, mais «s'il y a beaucoup de monde, et s'il y a d'autres actions par la suite, il (Nicolas Sarkozy, ndlr) sera obligé d'en tenir compte».

Interrogé sur son refus de signer le texte syndical de lundi, Jean-Claude Mailly répond : «ce n'est pas une posture».

«La réforme des retraites, c'est comme la cuisine, si le plat est raté, indigeste, ce n'est pas parce qu'on va remettre une pincée de sel ou une cuillère de l'huile d'olive qu'il va être mangeable. On le balance et on prend une autre recette», ajoute-t-il.

Quant à l'invitation du ministre du Travail Eric Woerth adressée aux syndicats pour parler des retraites, M. Mailly se montre sceptique. «On va à nouveau le rééclairer s'il a besoin de lumière, mais il ne va rien apprendre. Je resterai ferme sur mes positions.»

Les prix des fruits et légumes repartent à la hausse

Seules les fraises échappent à cette hausse : sur un an, les prix des fruits ont augmenté de 11,1% et celui des légumes de 5,5%, selon le quatrième observatoire des prix des fruits et légumes de l'association «Familles rurales», publié mardi par «La Croix».

Au palmarès des augmentations : les pêches (+ 42,8%) ou les tomates (+ 25,7%), tandis que le prix des fraises a baissé de 13%. Parmi les produits les plus chers : la nectarine (3,47 euros le kilo) et les haricots verts (3,49 euros).

Pour réaliser cette enquête, l'association a parcouru 38 départements en juin-juillet pour relever les prix moyens de huit fruits (pomme, melon, abricot, cerise, fraise, pêche, nectarine, poire) et huit légumes (aubergine, carotte, courgette, haricot vert, poivron, pomme de terre, tomate, salade), et de leurs versions bio.

La grande distribution bien placée

«Même avec ces augmentations, qui ne sont jamais une bonne nouvelle pour les consommateurs, les prix ne sont cependant pas revenus au niveau de ceux de 2008», constate le président de Familles Rurales, Thierry Damien, cité par le quotidien.

L'association a également comparé les prix suivant les commerces, et la grande distribution s'en sort bien : acheter sur un marché un kilo de chaque fruit et légume du panel revient plus cher (49,92 €) que directement chez les producteurs (47,95 €), dans les grandes et moyennes surfaces (47,27 €) et le hard discount (40,14 €).

Le bio près de 70% plus cher

Autre enseignement de l’observatoire 2010 : le bio reste nettement plus cher. Le prix moyen du panel de fruits bio est, selon l'enquête, 68% plus cher : 5,54 euros le kilo, contre 3,29 euros le kilo pour les fruits conventionnels.

Pour les légumes, l'ordre de grandeur reste le même. Avec 3,23 euros, prix moyen au kilo, le bio est 69% plus cher que le conventionnel (1,91 euro).

Saint-Malo : une mère de famille tue sa fille handicapée

Une mère de famille âgée de 44 ans a tué lundi sa fillette de 8 ans handicapée moteur cérébrale à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) avant de tenter de mettre fin à ses jours. L'enfant a été étranglée après avoir été droguée par médicaments, indique le parquet de la ville, confirmant une information du site internet de Ouest-France.


La mère, qui a tenté de se suicider en absorbant des médicaments, a été acheminée au centre hospitalier de Saint-Malo avant de pouvoir être entendue par les enquêteurs. Ses jours ne seraient pas en danger.

Elle a reconnu «succintement le caractère volontaire de l'homicide», a précisé le parquet de Rennes, qui est désormais en charge du dossier.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la mère de famille, qui vivait avec sa mère retraitée, résidait depuis environ deux mois à Saint-Malo en provenance de Paris. Elle assumait seule, sans le père de l'enfant, la charge de sa fillette très lourdement handicapée, sans autonomie, et dont l'état nécessitait la présence permanente d'une tierce personne.

L'enquête a été confiée aux policiers du commissariat de Saint-Malo.

lundi 23 août 2010

Les Mutuelles annoncent, à leur tour, des déremboursements !

Après la Sécurité sociale, c'est au tour des mutuelles d'annoncer des déremboursements de certains médicaments !


En effet, suite à la baisse du taux de remboursement de médicaments jugés "peu efficaces" par la Sécurité sociale, les mutuelles se voient obligées de concentrer de plus en plus leur dépenses sur le remboursement de ces médicaments (les mutuelles prennent en charge la différence entre la somme dépensée par le patient et le remboursement de la Sécu).

Pour sortir de cette logique de hausse des dépenses pour les médicaments les moins efficaces, la Mutualité française a décidé de mener une étude sur l'éventuel déremboursement des médicaments pris en charge à 15% par la Sécurité sociale*

Si l'étude est concluante, les Mutuelles s'engagent à faire bénéficier leurs adhérents des économies réalisées : soit en gelant, voire en baissant, leurs cotisations, soit en remboursant mieux d'autres médicaments.

Mais cela compenserait-il le coût des médicaments jugés moins efficaces laissé à la charge des patients ?
Et surtout les mutuelles tiendront-elles leurs promesses ?

Pour être sûr de faire des économies, comparez en détail les tarifs et garanties des mutuelles pour votre profil, et choisissez celle qui vous rembourse le mieux.

Malika Ménard sera-t-elle la plus belle de l’univers cette nuit ?

Cette nuit, notre Malika Ménard nationale va tenter de conquérir la couronne de miss Univers 2010. Face à elle, des candidates sérieuses, notamment la Vénézuélienne.

Miss Univers, c’est militaire. Même Endemol s’efface devant l’organisation américaine du concours, ce soir en direct de Las Vegas et sur Paris Première à partir de 3 heures du ma- tin. Il faut montrer patte blanche pour une interview téléphonique express avec Malika Ménard. 7 h 35 heure locale, pas une minute de plus, et même plutôt une de moins.

Mais il en faut davantage pour bousculer notre miss France 2010, zen comme un bonze tibétain. On attend d’elle une performance au moins égale à celle de Chloé Mortaud l’année dernière : cinquième dauphine, sur quatre-vingts participantes.

La ligne affûtée et tonique de miss France 2009 avait plu au jury. Le- quel couronne le plus souvent « des filles plutôt menues », de l’aveu même de notre actuelle représentante, qui a tout de même une fabuleuse taille de guêpe à faire valoir. Particulièrement mise en valeur par le bikini officiel du concours, la silhouette de Malika n’est d’ailleurs pas passée inaperçue sur la Toile où les internautes la font émarger à la 15e place, entre miss Haïti et miss Albanie. En tête des paris, évidemment, le Venezuela, qui ose rêver tout haut d’un troisième sacre d’affilée, et de détrôner les Etats-Unis au palmarès des nations les plus titrées.

Retransmission cette nuit à partir de 3 heures sur Paris Première.

Deux soldats français tués en Afghanistan

Deux soldats français, dont un officier, ont été tués et trois autres blessés lundi lors de combats en Afghanistan. L'Elysée a annoncé la triste nouvelle en début d'après-midi lundi. Ces deux décès portent à 47 le nombre de militaires français tués dans ce pays depuis décembre 2001. Le lieutenant Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, étaient tous deux arrivés en Afghanistan début juin.


L'officier et le soldat, qui appartenaient au 21ème Régiment d'infanterie de marine de Fréjus (Var), ont été grièvement blessés par balles lors d'une opération au sud de Tagab (nord-est de Kaboul) et sont décédés des suites de leurs blessures, a précisé l'Elysée dans un communiqué. Les trois autres soldats «ont été blessés au cours de la nuit, au début de l'opération».

La France déterminée à «continuer d'oeuvrer au sein de la Force Internationale»

«Ces militaires ont payé de leur vie l'engagement de la France au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan», rend hommage le chef de l'Etat, réaffirmant «son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes» et condamné «avec la plus grande fermeté les attaques meurtrières des insurgés contre nos soldats».

Nicolas Sarkozy a également exprimé «la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au sein de la Force Internationale d'Assistance à la Sécurité» déployée en Afghanistan.

Lundi matin, l'Otan avait annoncé que quatre soldats des forces internationales en Afghanistan, dont un Américain, avaient été tués dans des combats et par des mines artisanales, l'arme de prédilection des insurgés. On ignore si les Français font partie de ces victimes.

43 soldats des forces internationales ont péri dans le pays depuis le début du mois. Depuis le début d'année, le bilan est de 455 morts, dont 295 Américains. Le député (ex-UMP) et président de Debout la République, Nicolas Dupont-Aignan, a demandé lundi que les ministres de la Défense et des Affaires étrangères soient entendus à l'Assemblée nationale sur la situation en Afghanistan, après la mort des deux soldats français.

Un homme brûle une voiture dans le commissariat de Nanterre

Malgré le plan Vigipirate, un inconnu a réussi à pénétrer dans l’enceinte policière pour y incendier un véhicule. Il est reparti sans être inquiété.

Après la sécurité de l’Elysée déjouée par un déséquilibré, c’est au tour du commissariat de Nanterre (Hauts-de-Seine) de voir sa protection remise en question…
Hier, au petit matin, un homme, le visage dissimulé sous une cagoule, est parvenu à s’introduire dans l’enceinte policière de Nanterre.

L’inconnu s’est aussitôt dirigé vers une voiture récemment saisie par la police au cours d’une opération menée contre des trafiquants de drogue. Il a mis le feu au véhicule ciblé avant de quitter les lieux sans être inquiété. L’incendie déclenché s’est propagé à deux véhicules de la police — un fourgon et une voiture sérigraphiée — avant d’être maîtrisé par les sapeurs-pompiers.
Les trois véhicules ont été entièrement calcinés. Une affaire qualifiée de « plus que fâcheuse » par un magistrat. « Cette voiture était considérée comme une pièce à conviction dans un dossier de trafic de stupéfiants, poursuit la même source. Il est inconcevable qu’une chose pareille puisse se produire dans l’enceinte d’un commissariat de police. L’auteur des faits n’a pas été identifié, mais il n’est pas très compliqué d’imaginer qu’il puisse avoir un lien avec les trafiquants. Cette voiture a très probablement servi à transporter de la résine de cannabis. »
Une enquête de l’administration a été déclenchée pour déterminer dans quelles circonstances l’auteur des faits a pu s’introduire dans les bâtiments du commissariat sans être repéré. « De nombreuses questions se posent et il va falloir y répondre, peste un enquêteur. On a déjà assez de mal à recueillir des preuves, si c’est pour qu’elles finissent comme ça… Et si ce type était venu mettre le feu au commissariat, que se serait-il passé? »
« Il semble que l’incendiaire a simplement escaladé la grille d’entrée du parking du commissariat, précise un proche de l’affaire. Nous sommes quand même en plan Vigipirate renforcé. Après l’affaire de l’Elysée, cette nouvelle histoire fait vraiment désordre. » Dans la nuit du 15 au 16 août, un homme au volant d’une Renault Clio équipée d’un simple gyrophare s’était fait ouvrir les portes du palais présidentiel. Rapidement interpellé, le conducteur, souffrant de troubles psychologiques, avait prétexté « avoir rendez-vous avec Nicolas Sarkozy » avant d’être interné d’office.

«La politique de Sarkozy produit de la violence»

Ségolène Royal : «La politique de Sarkozy produit de la violence»

Ségolène Royal remet en avant son «ordre juste». Dans une interview à paraître lundi dans notre journal, l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle prend position dans le débat sur la sécurité. «J'avais fait des propositions très claires lors de la campagne présidentielle sur la sécurité durable et l'ordre juste, explique-t-elle, je souhaite que le PS reprenne mes idées».

Selon elle, «la politique de Nicolas Sarkozy n'est en rien sécuritaire. Au contraire, elle produit de la violence». La présidente de la région Poitou-Charentes, qui ouvrira vendredi l'université d'été des socialistes à la Rochelle, reparle notamment de l'encadrement militaire des jeunes délinquants, qui avait fait polémique dans son propre camp.

Battu sur le fil par Bordeaux (1-2), le PSG peut avoir des regrets

Le PSG a perdu face à Bordeaux (1-2) un match qu'il n'aurait jamais dû laisser filer. Dominateurs durant l'ensemble de la rencontre dans un Parc qui avait retrouvé de la voix, les Parisiens paient très cher leur inefficacité offensive et leur manque de vigilance sur coups de pieds arrêtés.

Surpris par une tête de Diarra sur un corner de Plasil où Coupet a franchement raté sa sortie (0-1, 67e), les hommes de Makelele ont eu le mérite de ne pas se décourager pour revenir au score.

L1 : Toulouse seul leader
Parti légèrement hors-jeu, Giuly sert Hoarau de près, qui trompe Carrasso du plat du pied (1-1, 76e). Mais un ultime corner de Gourcuff sorti de son banc à la 72e minute permet à Ciani d'offrir à Bordeaux son premier succès de la saison dans les arrêts de jeu (90e+4).

Désormais 7e avec une victoire, un nul et une défaite, Paris est inconsolable mais peut cependant se raccrocher à sa prestation encourageante pour croire à des lendemains plus heureux. Car malgré la défaite, le PSG porte toujours un costume d'outsider qui ne lui va finalement pas si mal. Si elle continue dans cette veine, l'équipe d'Antoine Kombouaré peut espérer jouer un rôle plus intéressant dans le championnat.

Au théatre ce soir au casino d'Evaux les bains les 26 et 27 août 2010

LA CARAVANE PASSE à EVAUX-les-BAINS

Innocente lorsqu’elle voit le jour et découvre les plaisirs de la vie. Instable quand surviennent l’adolescence et les premières blessures de l’âme. Anaïs Kaël est une jeune femme presque comme les autres, à la sensibilité un peu plus exacerbée que la moyenne, et avec une voix d’ange. Elle découvre le théâtre, puis le piano, qui devient son mode d’expression privilégié. Pourtant, sous la pression de son entourage, elle entame de longues études de commerce qui la minent. C’est l’amour qu’elle nourrit en secret pour le chanteur de Blur, Damon Albarn, qui la poussera à se consacrer enfin à ce qui la fait vivre : écrire, jouer et chanter. Dès lors, elle travaille sans relâche et écume les scènes ouvertes. Sa persévérance se voit récompensée en 2005 : elle enregistre son premier album, ’Chanson coquelicot trash’, sort lauréate du grand Zebrock, décroche le prix Sacem et obtient une médaille d’or de la chanson en Suisse. Elle se produit enfin sur des scènes prestigieuses telles que le Zénith ou le Divan du monde. L’année suivante, elle est présélectionnée pour les découvertes du Printemps de Bourges 2006. Sa singularité, Anaïs Kaël la tient de ses contradictions. De sa voix puissante, elle chante l’amour, les emmerdes, avec une ferveur attendrissante entachée par ses mots explicites, parfois franchement violents. Mais si ses chansons emportent celui qui les écoute à la frontière du malaise, elles n’en suscitent pas moins le sentiment poignant d’une vraie rencontre avec la vie.
A découvrir le Vendredi 27 août à 18h, place de la Mairie d’Evaux-les-Bains (Gratuit)

dimanche 22 août 2010

Trois jeunes se tuent en voiture en Vendée

Ils étaient cinq à bord de la voiture, de retour d'un anniversaire : trois sont morts et deux gravement blessés dans un accident de la route survenu dans la nuit de samedi à dimanche, à Mortagne-sur-Sèvre, en Vendée, a révélé France-Info. Le véhicule à bord duquel avaient pris place cinq jeunes âgés de 17 à 19 ans s'est retrouvé sur le toit et a pris feu vers 5 heures du matin, a confirmé la préfecture, jointe par leparisien.fr.

Le conducteur aurait perdu le contrôle de sa voiture dans un virage après avoir heurté une chicane. Il a été grièvement blessé, tout comme son passager avant. Ils ont été transportés dans un hôpital de La Roche-sur-Yon. Les trois morts, les passagers arrière, étaient tous âgés de 17 ans. A l'arrivée des secours, ils avaient été carbonisés dans la voiture.

Les victimes, toutes originaires de Vendée, venaient de fêter l'anniversaire d'un de leurs copains. On ignore encore si l'alcool est à l'origine du drame. Interrogée la gendarmerie de la Roche sur Yon a indiqué être en attente des résulats des analyses. Par ailleurs, le procureur la République devrait tenir à ce sujet une conférence de presse vers midi.

Un directeur de colonie blesse huit enfants en s'amusant avec le minibus

La scène se passe vendredi dans le Lot, près de Cahors. Pour distraire les enfants qu'il transporte, le responsable d'une colonie de vacances du Val-de-Marne, âgé d'une trentaine d'années, s'amuse à faire déraper son minibus. Il va trop loin et perd le contrôle du véhicule, qui fait deux tonneaux. Bilan : huit enfants, âgés de 6 à 8 ans, sont légèrement blessés.

L'un d'entre eux souffre d'une fracture au bras, un deuxième a eu la clavicule cassée. Les autres ont eu des coupures superficielles.

Selon La Dépêche du Midi, les accompagnateurs ont conduit eux-mêmes les enfants aux urgences de l'hôpital de Cahors, dans un second minibus. «Les sapeurs-pompiers comme le SAMU n'ont jamais été alertés», précise le quotidien. Un témoin aux urgences raconte sa stupéfaction : «On a vu arriver un groupe d'enfants encore en maillot de bain».

L'accident est survenu dans le cadre du centre de vacances de Pontcirq, géré depuis une vingtaine d'années par la municipalité de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Le procureur de la République de Cahors, Eric Séguin, qui a ordonné une enquête, a relevé plusieurs manquements à la sécurité, dont la surcharge du véhicule qui transportait 11 enfants, au lieu des neuf autorisés.

Le directeur de la colonie de vacances a été entendu par les gendarmes et devrait être convoqué devant le tribunal correctionnel de Cahors.

Les enfants, dont le séjour prenait fin samedi, ont regagné la région parisienne.

samedi 21 août 2010

Ils ont appris la mort de leur fils en découvrant... sa tombe


«Mon fils a été enterré comme un chien», a réagi Josiane Vermeersch, en découvrant que son fils de 42 ans était mort et enterré dans le carré des indigents d'un cimetière du Nord.


«C'est un rouleau compresseur qui vous passe dessus», déclare-t-elle aujourd'hui. Mercredi dernier Josiane Vermeersch se rend au cimetière d'Hellemmes (Nord) pour l'enterrement de son frère, décédé à l'âge de 54 ans. C'est là qu'elle découvre, par le plus grand des hasards, la sépulture de son fils, Olivier, dont elle ignorait le décès, révèle ce vendredi La Voix du Nord.
 
La mairie met en cause la police

Agé de 42 ans, ce dernier était mort depuis le 5 juillet sans que sa famille ait apparemment été prévenue. Il avait été inhumé au carré des indigents le 18. En début de semaine, sa mère lui avait encore laissé un message pour le convier à l'enterrement de son oncle. Selon RTL, la famille aurait l'intention de déposer plainte.

Les circonstances même de cette macabre découverte font frémir. Vers 16 h 30, à la fin de l'enterrement Josiane Vermeersch et Élie Langlet, son ex-époux, accompagnés d'autres proches, longent le carré des indigents à une cinquantaine de mètres du caveau familial, relate encore La Voix du Nord. En chemin, Mégane, une cousine de 19 ans, s'arrête et s'approche d'une tombe pour lire à haute voix la plaque en bois, récente semble-t-il : «Olivier Langlet, 1968 - 2010». Le nom du fils de Josiane Vermeersch et Élie Langlet, précisement.

«Mon fils a été enterré comme un chien»

Le famille est pétrifiée et incrédule : Olivier habitait, seul, une chambre rue Salengro, à un kilomètre de là. Deux jours auparavant, sa mère avait même laissé une carte à la porte de son immeuble pour le prévenir. Mais elle n'avait jamais eu de nouvelle et comptait d'ailleurs se rendre chez lui après l'enterrement.

Après vérification auprès de la société de pompes funèbres, le doute n'existe plus. La mairie d'Hellemmes confirmera l'identité peu après. Josiane Vermeersch s'écroule de douleur. «Mon fils a été enterré comme un chien», a-t-elle témoigné ce vendredi sur Europe1.

Olivier Langlet, père d'une fille de 20 ans, est mort le 5 juillet dans son lit. Un PV de police signé le 9, indique une «mort naturelle», rapporte La Voix du Nord. Aujourd'hui, la famille cherche à comprendre pourquoi elle n'a pas été prévenue. Selon les premiers éléments, les services de l'Etat ont bien signalé que les parents du défunt était en vie, mais selon Europe 1, l'adresse n'était plus valable.

Organiser des obsèques «dignes de ce nom»

La famille cherche maintenant vers qui se tourner. «On veut savoir ce qui n'a pas marché», déclare Madame Vermeersch, qui va écrire au parquet, ainsi qu'à la ministre de la Justice pour «que ça ne se reproduise pas». «On veut que ça serve, qu'il y ait des sanctions contre les services de police qui n'ont pas fait leur travail», renchérir Elie Langlet, père d'Olivier.

Selon son frère Christophe, Olivier Langlet était un «solitaire», qui pouvait passer plusieurs semaines sans se manifester. «C'était son tempérament, on ne s'est pas inquiétés de ne pas avoir de ses nouvelles», a-t-il dit. Le parquet de Lille va examiner les vérifications qui ont été faites. S'il s'avère que les recherches ont été manifestement «trop succintes», le parquet saisira la hiérarchie policière, selon une source judiciaire.

La famille doit maintenant organiser des obsèques «dignes de ce nom» et demander une autopsie pour connaître les causes du décès. Selon Frédéric Marchand, premier adjoint à la mairie d'Hellemmes, le corps va être exhumé puis incinéré avant que les cendres soient répandues dans le jardin du souvenir. Les frais seront pris en charge par la mairie.

Brégançon : Sarkozy supprime 10 milliards d'euros de niches fiscales

Réunis ce vendredi au Fort de Brégançon (Var) par le président de la République, actuellement en vacances au Cap Nègre, avant le conseil des ministres du 25 août, François Fillon et les ministres de l'Economie Christine Lagarde et du Budget François Baroin, se sont rapidement mis au travail.

La Fort de Brégançon, «l'Elysée de l'été»

Et comme le prônait récemment Philippe Marini, sénateur de l'Oise et rapporteur du Budget au Sénat, le gouvernement a opté pour un rabotage général des niches fiscales et un relèvement de la TVA dans la restauration.

A l'issue de cette réunion, l'Elysée a confirmé la suppression à l'automne de niches fiscales et sociales pour un montant de dix milliards d'euros. François Baroin avait déjà fait état, début juillet, d'une réduction de 8,5 à 10 milliards d'euros de ces niches pour la période 2011-2012. Le ministre du Budget avait même donné quelques détails sur les secteurs qui seraient touchés par ces mesures. Il avait notamment annoncé que la politique du logement serait amputée de plus d’un milliard d’euros, que les emplois à domicile seraient moins avantageux pour les particuliers employeurs, que les aides aux handicapés seraient augmentées moins vite que prévu et que les restaurateurs seraient mis à contribution.

Long tête-à-tête entre Sarkozy et Fillon

«D'éventuels surcroîts de recettes seront intégralement affectés à la réduction du déficit», ajoute le texte de la présidence.

Egalement à l'ordre du jour de cette réunion restreinte, les prévisions de croissance pour 2011 ont été révisées à la baisse, à 2% contre 2,5% précédemment. L'Elysée précise que, pour 2010, la prévision de croissance à 1,4% sera «atteinte ou dépassée».

Après le départ de Christine Lagarde et de François Baroin, vers 14 heures, Nicolas Sarkozy et François Fillon ont eu un long tête-à-tête au Fort de Brégançon. Leur entrevue se tient sur fond de rumeurs d'un éventuel départ du Premier ministre à l'occasion du grand remaniement prévu par l'Elysée à la rentrée, et de son possible remplacement par l'actuelle garde des Sceaux Michèle Alliot-Marie.

La rentrée des classes

Dans quelques jours, se sera la rentrée scolaire et vous pouvez venir Découvrir l'école Jeanne d'Arc à Evaux-Les-Bains : www.ecolejd.over-blog.com

POUR INSCRIRE VOTRE ENFANT :
Vous pouvez prendre rendez-vous avec la directrice, Annie Boutoille en appelant le 05.55.65.52.02 à partir de lundi 23 août, le matin (merci d'appeler de préférence à 8h50 - 10h15 ou 12h).

Vous pouvez également envoyer un mail à ecolej.darc@wanadoo.fr, réponse assurée.
Bonne fin de vacances à tous et au jeudi 2 septembre.

HORAIRES de classe
Matin : de 9h00 à 12h00 en maternelle
de 9h00 à 12h15 du CP au CM2
Après-midi : de 13h30 à 16h30

Etude à partir du CP
TARIFS moyens de l'école
Pour un enfant de maternelle : 27 euros par mois
Pour un enfant du CP au CM2 avec étude : 31 euros par mois
Pour un enfant du CP au CM2 sans étude : 26 euros par mois
(tarifs dégressifs pour le deuxième enfant d'une même famille ; scolarité gratuite pour le 3e enfant)
Ces tarifs comprennent la scolarité, la location des livres,
l'achat des petites fournitures (photocopies...),
l'entretien des locaux, les dépenses d'énergie

GARDERIE GRATUITE
Garderie du matin de 7h45 à 9h00
Garderie du soir de 16h30 à 18h00

SOUTIEN SCOLAIRE
Heures d'aide personnalisée pendant la semaine scolaire, proposées par les enseignantes
Stage de remise à niveau CM1-CM2 dernière semaine d'août


CANTINE
repas réalisés sur place avec des produits de qualité.
3,35 euros par repas - vente au ticket (pas de forfait)

Marseille : des enfants saccagent une école maternelle

Huit jeunes de 6 à 14 ans ont été identifiés comme les auteurs de multiples dégradations dans un établissement marseillais.

Les élèves d’une école maternelle du XIVe arrondissement de Marseille (Bouches-du-Rhône) risquent de ne pas reconnaître leur établissement à la rentrée… Le personnel du groupe scolaire de la Maison-Blanche n’a pu que constater les dégâts à son arrivée, mercredi matin : fils du téléphone et de l’alarme arrachés, peinture répandue sur les murs, bureaux renversés, savon liquide étalé sur le sol…
Au total, trente salles de ce groupe scolaire ont été largement vandalisées.

Rapidement identifiés, les huit auteurs de ces dégradations, âgés de 6 ans à 14 ans, ont été entendus par les policiers de la sécurité publique de la cité phocéenne. Rendus à leurs parents, trois d’entre eux, âgés de 10 ans, 12 ans et 14 ans, devront se présenter, à la rentrée, devant un juge des enfants. Les plus jeunes font l’objet d’un suivi socio-éducatif.
Tout commence mardi, vers 19 heures. Un groupe de jeunes brise une fenêtre de l’école de la Maison-Blanche avant de pénétrer dans l’établissement. Les vandales se dispersent ensuite rapidement dans les locaux. « Ils se sont emparés de tout ce qui leur tombait sous la main, confie une source proche de l’enquête. Tout y est passé. Ils sont quand même restés près de trois heures dans l’école, à tout saccager. »
Très déterminé, le groupe détériore tout sur son passage. Salle après salle, les malappris saisissent les fournitures scolaires avant de les répandre sur le sol. « Ils ont déversé des pots de peinture en poudre partout, vidé du savon sur les sols, renversé des bureaux dans toutes les salles et volé quelques fournitures scolaires, ajoute la même source. En arrivant le lendemain matin, la directrice de l’école s’est blessée légèrement en glissant sur le sol savonné. »
Cette dernière porte plainte aussitôt. Saisis de l’enquête, les policiers de la sécurité publique retrouvent rapidement la piste des auteurs de ces dégradations, grâce… à leurs traces de pas. « Ils ont marché dans la peinture à de multiples reprises avant de prendre la fuite, indique un proche de l’affaire. Il n’y avait plus qu’à les suivre aux empreintes… » Très vite, les enquêteurs remontent jusqu’à une cité HLM, située à proximité de l’école vandalisée.
Un jeune garçon de 8 ans est identifié avant de passer aux aveux. « Il a reconnu avoir participé à cette razzia dans l’école en compagnie de sept autres complices, poursuit la même source. Ces derniers ont été convoqués avec leurs parents. »
Entendus, les jeunes et les adolescents ont tous reconnu leur participation. « Ils ont expliqué avoir succombé à un phénomène de groupe, relate un enquêteur. Ils n’ont pas exprimé d’animosité particulière à l’égard de cette école. Tout cela est un peu irrationnel dans leur tête. Leurs parents étaient assez gênés. Le préjudice n’a pas été chiffré avec précision, mais il s’annonce assez important au vu des dégâts. »

jeudi 19 août 2010

Expo à Auzances

Leur colonie de vacances en Hongrie tourne au chaos

Les vacances de vingt-cinq adolescents du Nord de la France ont tourné au chaos. Mercredi, ces adolescents qui participaient à une colonie de vacances en Hongrie sont rentrés en France 24 heures en avance... Certains mettent en cause une poignée de fortes têtes qui auraient commis des dégradations dans les centres de vacances où ils étaient hébergés.

D'autres dénoncent l'incompétence de l'encadrement du centre, organisé sous l'égide de la Fédération unie des Auberges de Jeunesse du Nord.

Difficile de dire aujourd'hui avec précision ce qui s'est réellement passé dans ces centre de vacances hongrois et qui sont les responsables de ces désordres. Les problèmes ont commencé la semaine dernière. Mal encadrés selon les parents, quelques jeunes se sont mis à saccager le centre de vacances où ils séjournaient (carreaux cassés, portes défoncées). Bilan des courses le groupe entier fut prié de décamper.

Loin de s'arrêter, les perturbateurs auraient réitéré leurs exploits le soir-même, à Budapest... et de nouveau mis à la porte d'une autre structure par le directeur général des auberges de jeunesse hongroises. A la rue, sans argent, ils ont été contraints de dormir à la belle étoile. «On a dormi dehors comme des clochards», explique une adolescente, cité par La Voix du Nord. «Ils ont vécu un enfer», commente une autre maman.

A leur retour, les parents sont à la fois soulagés de récupérer leur progéniture mais aussi remontés contre l'organisateur. Cité ce jeudi par la radio RTL, le président de la fédération des auberges de jeunesse du Nord Pierre Debosque dénonce quant à lui le manque d'autorité du directeur du centre, âgé de 46 ans qui aurait d'ores et déjà été démis de ses fonctions. «J'ai recruté un directeur incapable de gérer un groupe». Celui ci serait resté en Hongrie pour être entendu par la police. Même le bus hongrois, qui a ramené le groupe en France aurait été dégradé. Mercredi soir, les parents envisageaient de porter plainte.

Taxe d'habitation: les maires obtiennent un délai pour éviter la hausse

Les millions de ménages concernés n'auront pas forcément à mettre la main à la poche. La taxe d'habitation pourrait ne pas augmenter comme prévu. Grâce à l'intervention de l'Association des maires de France (AMF), un délai d'un mois a été accordé par le ministère de l'Économie.

Les communes bénéficient donc d'un mois supplémentaire, jusqu'au 1er novembre, pour recalculer les abattements de taxe d'habitation. Cette situation est intimement liée à la réforme de la taxe professionnelle (TP). La taxe d'habitation était jusqu'à présent partagée entre les départements et les communes. Or, à partir de 2011 les départements perdront cet impôt. La part qu'ils percevaient sera transférée intégralement aux communes et aux intercommunalités. Et c'est là que le bât blesse car les départements avaient l'habitude d'accorder à certains des abattements sur la taxe d'habitation qui pouvaient être plus élevés que ceux pratiqués par les communes. Or le mécanisme de transfert de la taxe ne prévoit pas un transfert automatique de ces «ristournes» départementales. En bref, un ménage qui passerait sous le régime des abattements pratiqué par sa commune pourrait perdre quelques avantage car celui-ci risque d'être moins généreux que celui dont il bénéficiait auprès de son département.

Selon le site Localtis, la réforme de la taxe professionnelle pourrait se traduire par une hausse de la taxe d'habitation pour plusieurs millions de contribuables, si des délibérations sur d'éventuels abattements ne sont pas prises rapidement localement.

Alors que les communes avaient jusqu'au 1er octobre pour voter de telles délibérations, l'Association des maires de France (AMF) a demandé un délai supplémentaire et, selon Le Figaro, cette demande a été entendue mercredi par le ministère de l'Economie. «Le prochain projet de loi de finances comportera un article repoussant la date limite du vote au 1er novembre», affirme le quotidien dans son supplément économie.

93 Roms reconduits aujourd'hui en Roumanie

La déportation recommence, cela me fait repenser qu'a 15h00 sur la chaine 5, il y a "la guerre en couleur", mais là c'était en train.Un aller sans retour

Ce sont les premiers vols affrétés par la France depuis l'annonce des mesures à l'encontre des Roms annoncées par Nicolas Sarkozy fin juillet. Quatre vols devraient décoller de France en dix jours pour reconduire des Roms en situation irrégulière.

Ce jeudi, 93 personnes doivent être expulsés par le biais de deux vols. Un premier groupe de «14 personnes en provenance de Paris est attendu à Bucarest aux alentours de 11h30 GMT (ndlr : 13h30 heure française)», a indiqué le ministère roumain de l'Intérieur. Un deuxième groupe plus important de 79 personnes arrivera aux alentours de 16 heure (heure française) en provenance de Lyon (centre-est), dans un autre aéroport de la capitale roumaine.

«Procédures classiques»

Vendredi, un autre vol d'une centaine de personnes est prévu. Enfin, un quatrième vol partira le 26 août de l'aéroport Charles de Gaulle à Roissy.

Mercredi, Eric Besson a souligné que le vol de ce jeudi était le 25e vol de ce type organisé par son ministère et l'Offi (Office français de l'Immigration de de l'Intégration) depuis le début de l'année en direction de la Roumanie et de la Bulgarie. «Nous sommes dans le cadre de procédures classiques de reconduite de ressortissants étrangers en situation irrégulière dans leur pays d'origine», a-t-il ajouté.

«Chacune des personnes éloignées a fait l'objet d'un examen individuel quant aux conditions de son séjour en France», assure le ministère de l'Intérieur. Paris a évoqué le chiffre de 700 Roms roumains et bulgares à renvoyer d'ici fin août.

Une centaine de Roms évacués d'un campement en Isère


Cette expulsion survient alors même qu'un nouveau campement illégal a été évacué ce jeudi matin en Isère. Vers 7 heures, un campement occupé par une centaine de Roms sur un terrain vague à Saint Martin d'Hères (Isère) a été évacué par quelque 150 CRS et gendarmes mobiles. Depuis quinze jours, une cinquantaine de campements ont été démantelés en France.

En Roumanie et en Bulgarie, les critiques se multiplient contre la politique française à l'égard des Roms. Le ministre roumain des Affaires étrangères Teodor Baconschi s'inquiète des «risques de dérapage populiste» et de «réactions xénophobes».

La Commission européenne hausse également le ton et rappelle que la France «doit respecter les règles» sur la liberté de circulation et d'établissement des citoyens européens. Les mesures décidées contre les Roms en situation irrégulière sont «pleinement conformes aux règles européennes», a rétorqué un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.

Conditions de vie difficiles

Paris comme Bucarest prône la coopération entre les deux pays sur la question des gens du voyage. Le ministre roumain des Affaires étrangères appelle à résoudre les problèmes de pauvreté, d'accès aux soins et d'éducation auxquels font face les Roms dans toute l'Europe.

Une partie des Roms de Roumanie (ils seraient entre 530 000 et 2,5 millions dans le pays), en majorité issus des communautés traditionnelles rurales et plus pauvres, vient en France pour échapper à des conditions de vie très difficiles. Ils seraient 15 000 dans l'hexagone.

Le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes Pierre Lellouche a évoqué un possible report dans l'intégration de la Roumanie et la Bulgarie dans l'espace Schengen, prévue en 2011, pour éviter un afflux migratoire.

mercredi 18 août 2010

La brocante à Evaux les bains



vidéo de Monsieur Charbonnel - Budelière -

Prix du lait : accord sur une hausse de 10%

Agriculteurs et industriels sont parvenus mercredi à un accord sur les prix du lait, prévoyant une hausse de 10% en 2010, au terme de plusieurs heures de négociations. Cette hausse correspond aux demandes des éleveurs, dont les revenus ont chuté de plus de 50% depuis un an.

Pour Dominique Chargé, président de la Fédération nationale des coopératives laitière, l'accord va permettre d'aboutir à une revalorisation du prix du lait de 31 euros au second semestre.

Il atteindra ainsi 330 euros pour 1.000 litres sur le troisième trimestre et 301 euros sur l'ensemble de l'année.

L'Elysée s'est réjoui mercredi de cet accord, soulignant qu'il «permet d'accroître, de façon juste, le prix du lait payé aux producteurs au cours de l'année 2010». Le président de la République «souhaite que cet accord permette à cette filière stratégique d'engager une démarche nouvelle et durable pour une nouvelle relation contractuelle équilibrée, entre les producteurs et les transformateurs, dès 2011». «Le gouvernement accompagnera cet effort de la filière laitière par la mise en oeuvre d'un plan de développement pour renforcer sa compétitivité en Europe», a-t-il ajouté.

Mise en place d'un indicateur de compétitivité

La filière s'est accordée pour mettre en place un indicateur de compétitivité - réclamé par les industriels - afin de faire face à la concurrence européenne, notamment allemande. Cet indicateur permettra «d'accrocher le prix du lait français au prix du lait allemand», a précisé Olivier Picot, président de l'Association de la transformation laitière (Atla), qui représente industriels et coopératives.

En clair, le prix du lait français ne pourra pas décrocher de plus de 8 euros du prix allemand. Ce «nouveau chantier» débutera à partir du début 2011, indique-t-on du côté de la Fédération nationale des producteurs laitiers. En 2009, le lait français était de 35 euros plus cher que le lait allemand, et de 9 euros fin juin.

Eleveurs et fabricants de produits laitiers tentaient ont mené la négociation dans une ambiance de grand secret puisque l'endroit de la rencontre n'a pas été rendu public. Avant la réunion, les producteurs avaient mis la pression en disant vouloir décrocher un accord rapidemen t: «Nous venons pour discuter et aboutir à un accord aujourd'hui», avait déclaré Henri Brichart, président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL). Poussant également à une conclusion rapide, le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire avait dit avoir «bon espoir» que les différentes parties trouvent un compromis pour 2010.

Ces dernières semaines, les éleveurs avaient mené des campagnes d'étiquetage dans les grandes surfaces, appelant les consommateurs à ne pas acheter certains produits de Bel (Vache qui rit), Bongrain (Caprice des Dieux) et Lactalis (Camembert Président) notamment. Reste encore à savoir si les industriels accepteront de réduire leurs marges ou répercuteront la hausse des prix payés aux agriculteurs sur le consommateur.

Expo à Evaux les bains

Banda'flors. Trois jours de fête à Evaux les bains

Plus de 200 musiciens venus de toute la France, et de Belgique, se réunissent pour les Banda'Flors, les 21, 22, et 23, dans la cité thermale.

Le Comité des Fêtes d'Évaux-les-Bains organise pour la septième année le festival Banda'Flors, dans les rues de la ville.
L'événement, devenu incontournable pour les amateurs de musique festive, accueillera plus de 200 musiciens, regroupés en six bandas.

Rendez-vous est donc donné le samedi.

Première reconduite de Roms en Roumanie depuis les mesures gouvernementales

Brice Hortefeux l’a annoncé hier : un vol reconduisant des Roms en situation irrégulière dans leurs pays d’origine partira demain. C’est la première expulsion depuis que le ministre de l’Intérieur a annoncé fin juillet une série de mesures contre les Roms. Le gouvernement roumain se dit inquiet des "risques de dérapage populiste" en France.
A Roubaix, dans le Nord, des familles Roms expulsées d'un camp illicite se sont installées dans ce terrain vague.

Pas question de parler de "vols spéciaux" ou de "charters". Ces Roms vont être reconduits à Bucarest dans un avion "affrété" , "sur la base du volontariat". 79 personnes qui ont accepté de rentrer dans leur pays d’origine - contre une aide au retour de 300 euros et de 100 euros par enfant mineur - quitteront demain la France pour Bucarest.

C’est la première reconduite à la frontière depuis l’annonce des mesures très controversées de Brice Hortefeux à l’encontre des Roms et des gens du voyage. Le ministre de l’Intérieur s’est d’ailleurs réservé la primeur de l’annonce, lors d’un déplacement à Toulon... suivi quelques minutes plus tard par Eric Besson, lui aussi en visite à Toulon.

dimanche 15 août 2010

Electricité : ce qui va vraiment augmenter ce dimanche

Ce dimanche, l’électricité coûtera plus cher pour presque tous les abonnés. Une hausse qui cache d’importantes disparités.

Le prix du kilowatt va augmenter comme prévu à partir de ce dimanche 15 août. Objectif officiel du gouvernement : rééquilibrer les forfaits en appliquant une grille tarifaire plus « équitable » et plus « vertueuse ». Equitable, selon les pouvoirs publics, car la réforme de la structure des tarifs entamée l’année dernière vise à niveler les inégalités.

Certains clients ne payaient, semble-t-il, plus assez pour couvrir les frais de production, d’acheminement et de commercialisation. D’autres au contraire payaient trop. Vertueuse, écolo, car l’évolution des tarifs est censée privilégier l’effacement, c’est-à-dire une consommation moindre pendant les pics. Ces justifications apparaissent en décalage avec la réalité.

Une hausse pas écolo du tout
« Sur le fait de favoriser la consommation en heure creuse, c’est tout le contraire, s’insurge Caroline Keller, de l’association de défense des consommateurs UFC-Que choisir. Cette hausse, contre toute logique environnementale, pénalise davantage les tarifs spéciaux adaptés à l’effacement. » Un exemple : les contrats EJP (pour effacement jour de pointe). Les 137000 abonnés au contrat EJP bleus (artisans et petites entreprises) voient leurs tarifs augmenter de 2,5%. Mais surtout les 6700 EJP jaunes (PME-PMI) et les 5500 EJP verts (grandes entreprises) voient eux leurs tarifs augmenter de 9%!

EDF veut financer ses investissements
La spécialiste de l’énergie soutient également qu’EDF n’a pas respecté ces deux dernières années son engagement — signé avec l’Etat en 2005 — de ne pas effectuer de hausses supérieures à l’inflation jusqu’en 2010. Le groupe se défend en avançant que ce contrat quinquennal de service public stipulait que les tarifs ne devaient pas dépasser l’inflation sur l’ensemble de la période, et non année par année. « Nous sommes toujours environ 30% moins chers que nos voisins européens, ajoute Marc Benayoun, responsable économie, tarifs et prix à EDF. Or nous avons doublé nos investissements, passant de 4 à 8 milliards par an en 2010. EDF est ainsi le premier investisseur français. Sur le nucléaire, les investissements sont passés de 500 millions d’euros par an il y a cinq ans à plus de 2 milliards par an. » Problème : les dépenses du groupe sur le territoire excèdent ses recettes. Ménages et entreprises peuvent donc s’attendre à de nouvelles hausses dans les mois à venir.

L’essence plus chère sur la route des vacances

De 6 à 11 centimes de plus par rapport à août 2009. Les automobilistes ont payé, cet été, leur plein de super ou de gazole plus cher. D’une pompe à l’autre, les disparités de prix sont étonnantes.

Le gaz, l’électricité, l’assurance auto, les péages et maintenant... l’essence. Sur la route des vacances, les conducteurs en font l’amer constat à la pompe : le super sans plomb et le gazole ont augmenté de 5 % et 10,6 % par rapport au mois d’août 2009. Le super sans plomb 98, qui s’achetait en moyenne 1,27 € le litre l’été dernier, vaut aujourd’hui 1,33 €, et le gazole est passé de 1,04 € à 1,15 €.

« Le prix de l’essence suit fidèlement l’évolution du pétrole, explique Jean-Louis Schilansky, président de l’Union française des industries pétrolières (Ufip). Or, ces derniers mois, le baril a doucement mais sûrement augmenté, pour atteindre 80 dollars. »

Le rebond du dollar

Représentant 60 % du prix du carburant, les taxes amortissent, certes, les fluctuations. Mais le rebond du dollar face à l’euro a fait grimper les prix. Normal : plus le billet vert est fort et plus le pétrole coûte cher à importer. « La hausse s’explique aussi par des raisons franco-françaises, souligne Franck Ibled, créateur de Carbeo.com, un site de comparaison des prix dans les différentes stations-service. Depuis janvier, la part régionale de la TIPP taxe intérieure sur les produits pétroliers a augmenté de 2,2 %, TVA incluse. »

« D’autre part, poursuit Franck Ibled, le coût de rénovation des stations, pour se conformer aux nouvelles normes, a été répercuté sur les prix. » Une chose est sûre : d’une station à l’autre, les différences de prix sont très importantes.
Si l’on en croit, les tarifs relevés par les automobilistes et envoyés au site Carbeo.com, l’écart peut aller jusqu’à 50 centimes pour le super sans plomb 98. Soit 25 € de différence pour un plein de 50 litres. Les conducteurs ne sont donc pas logés à la même enseigne.

Les automobilistes risquent-ils de connaître à la rentrée une nouvelle flambée des prix des carburants, comme en 2008 ? « Il y a peu de chances, répond Jean-Louis Schilansky. Nous sommes arrivés à un consensus, autour de 80 dollars le baril, entre les pays producteurs de pétrole et les pays consommateurs. Sauf événement climatique, politique ou économique, cet équilibre permet d’envisager une relative stabilité, avec une augmentation en pente douce. » Le rythme de la hausse pourrait toutefois être plus rapide si la reprise économique est plus forte. Conséquence de la marée noire dans le golfe du Mexique, la fermeture de certains gisements offshore pourrait aussi tirer les prix à la hausse. Enfin, la fermeture en France de centaines de stations-service devrait jouer dans le même sens en réduisant la concurrence.

Ligue 1 : dernier au classement, l'OM est en plein doute

Après un piètre début de saison, l’OM avait un besoin impératif de l’emporter ce samedi soir dans le Nord. C'est raté. Les Marseillais se sont inclinés 2 - 3 à l'extérieur face à des Valenciennois sans génie mais volontaires.

Le départ de Niang confirmé par le club
Avec un 0 pointé, l'OM partage la dernière place du classement avec le modeste promu Arles-Avignon. Un résultat peu glorieux pour un champion en titre.

Malgré un retour désespéré en fin de match à Valenciennes, l'OM ne peut plus se cacher derrière la thèse de l'accident initial contre Caen et voit se profiler un début de saison sous haute tension. La crise semble proche pour une équipe où seul Lucho, notamment en première période, a affiché de la volonté et fait passer quelques frissons. Il va falloir que Didier Deschamps serre les boulons avant de recevoir Lorient.

La défaite face à Caen au Vélodrome (2-1), mais surtout la gestion des transferts de Niang et Ben Arfa semblent donc bien avoir laissé des traces et fragilisé le champion de France.

Comme prévu, l'international français n'était pas à Valenciennes après ses gestes d'humeur de la semaine et comme prévu aussi, le Sénégalais, en partance pour Fenerbahçe, a sans doute fait ses adieux à la D1 après 57 minutes de jeu bien ternes. Pour tout ce qu'il a fait pendant cinq ans avec l'OM, Mamadou Niang ne devra pas être la tête de Turc de la soirée phocéenne. Cependant, pour sa probable dernière sortie en L1, le capitaine olympien, dont le départ est imminent, n'avait peut-être pas totalement la tête à Valenciennes.

Sinon, comment expliquer ses occasions manquées, notamment un incroyable loupé: décalé légèrement à droite, le meilleur buteur de la L1 la saison dernière (18 buts) a hésité et glissé bêtement alors qu'il se trouvait, but ouvert, seul face à Penneteau (43).

Malheureusement pour un Deschamps nerveux, Danic et Pujol par deux fois sont passés par là en deuxième période, sanctionnant cruellement les approximations d'Azpilicueta, N'Diaye et Heinze. Les réductions du score de Taiwo sur penalty et d'Ayew dans la confusion ne doivent pas masquer l'ampleur de la tâche qui attend désormais Deschamps.