Le ton monte entre le président du PSG, Robin Leproux, et son homologue marseillais, Jean-Claude Dassier Le président de l'OM, Jean-Claude Dassier, a lui-même salué une décision «courageuse et intelligente».
«Les supporteurs marseillais n'ont pas accepté, à raison, qu'on les mette dans le même sac que ceux du Paris SG. Je pense que cette décision, qui n'est pas une surprise, fera date et mettra les dirigeants du Paris SG, dont la tâche n'est pas facile, devant leur responsabilité», a poursuivi Dassier, qui a confirmé qu'il n'assisterait pas à la rencontre.
«Il y a un boycott général de tous les groupes, a indiqué un porte-parole des Winners, l'un des principaux groupes de supporteurs du club. Nous avons pris notre décision depuis un moment. Personne ne montera, c'est un pied de nez à ceux qui ont pris ces mesures que nous refusons.» Les Ultras Marseille qui comptent 5 500 membres, dont 4 500 à Marseille, ont également annoncé en début de soirée qu'ils n'iront pas au match : «Nous refusons d'être traités comme des criminels.»
Leproux dénonce les «propos outranciers» de Dassier
Le président du PSG Robin Leproux a aussitôt dénoncé, sur France Info, les «propos outranciers» de son homologue marseillais Jean-Claude Dassier. «Ces propos sur les supporteurs parisiens me laissent sans voix, a déclaré Robin Leproux. C'est tout ce qu'on voulait éviter. On voulait montrer l'exemple, être responsable et éviter toute polémique. Les propos sont outranciers. Je suis catastrophé. On a essayé construire une relation apaisée et en mettant de l'huile sur le feu comme ça, on va avoir du mal à construire quelque chose de paisible. C'est un échec pour nos deux clubs et pour le football.»
Il a également affirmé : «Il ne faut pas être amnésique, quand on est descendu à Marseille (le 25 octobre lors du match reporté, ndlr) ce sont les supporteurs parisiens qui se sont fait agresser. On ne voulait pas avoir à rappeler tout ça. Je me souviens aussi de matches où des supporteurs marseillais n'ont pas laissé un excellent souvenir, comme à Madrid.»
Exprimant sa crainte de «confrontations ultérieures lors des matches la saison prochaine et en coupe», Leproux est revenu sur le dispositif de sécurité jugé trop contraignant . par les supporteurs marseillais. «Ce dispositif, c'est quelque chose que l'on avait imaginé et mis en place au ministère de l'Intérieur le 10 février. Pourquoi boycotter ce qu'on a accepté 15 jours avant?» a-t-il demandé.
Les supporteurs devaient être escortés depuis Marseille
Selon le dispositif arrêté par le ministère, les bus marseillais doivent être escortés dès le départ de Marseille et non depuis un point de rendez-vous en région parisienne. Des fouilles strictes sont également prévues au départ, et les billets ne seront remis, par les stadiers de l'OM, que sur le lieu de rendez-vous. Des listes nominatives des partants devaient également être fournies.
Quelque 1 500 supporteurs marseillais étaient attendus dimanche au Parc des Princes. Le départ de Marseille devait avoir lieu en bus dans la nuit de samedi à dimanche.
En mars 2006, les supporteurs marseillais avaient déjà boycotté le match Paris SG-OM, suivant en cela les consignes de la direction de l'époque du club, qui avait estimé que leur sécurité n'était pas assuré. Le club avait envoyé une équipe de jeunes de CFA2, qui avait obtenu un match nul 0-0 et avait été fêtée au retour à Marseille.
le Parisien.fr
- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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samedi 27 février 2010
Me Bergès, l'avocat des émissions de Julien Courbet est mort
Je l'avais rencontré lors de ma participation à un Sans aucun doute «Il aimait rire, il aimait taquiner, il aimait contester, c'était ça Bergès, c'était l'avocat le plus connu de France… »
Dès qu'il a appris le décès, vendredi, de l'avocat Me Bergès qui officiait notamment dans toutes ses émissions, Julien Courbet a tenu à lui rendre hommage. Didier Bergès est décédé vendredi d'un arrêt cardiaque, à l'âge de 66 ans.
«On a démarré il y a 17 ans le premier Sans Aucun Doute il était assis à côté de moi, et il y a10 ans quand Ca peut vous arriver à démarré sur RTL il était à côté de moi. Donc c'est une amitié qui aurait eu 20 ans dans peu de temps, mardi il devait être à côté de moi. Tout ce que j'ai pu faire en terme de consommation et d'aide aux auditeurs et aux télespectateurs, il a toujours été là, toujours... Il était jovial, vous savez, moi je l'appelais mon emmerdeur préféré, c'est à dire que c'était vraiment un contestataire», se souvient Julien Courbet.
Me Bergès était également l'auteur de plusieurs ouvrages, «Au nom de la loi, les faits divers de la justice» ou encore «Qui a raison, qui a tort ? »
Dès qu'il a appris le décès, vendredi, de l'avocat Me Bergès qui officiait notamment dans toutes ses émissions, Julien Courbet a tenu à lui rendre hommage. Didier Bergès est décédé vendredi d'un arrêt cardiaque, à l'âge de 66 ans.
«On a démarré il y a 17 ans le premier Sans Aucun Doute il était assis à côté de moi, et il y a10 ans quand Ca peut vous arriver à démarré sur RTL il était à côté de moi. Donc c'est une amitié qui aurait eu 20 ans dans peu de temps, mardi il devait être à côté de moi. Tout ce que j'ai pu faire en terme de consommation et d'aide aux auditeurs et aux télespectateurs, il a toujours été là, toujours... Il était jovial, vous savez, moi je l'appelais mon emmerdeur préféré, c'est à dire que c'était vraiment un contestataire», se souvient Julien Courbet.
Me Bergès était également l'auteur de plusieurs ouvrages, «Au nom de la loi, les faits divers de la justice» ou encore «Qui a raison, qui a tort ? »
Alerte Météo en creuse
Ca va souffler. Météo France a d'ores-et-déjà placé 66 départements en vigilance orange. La tempête qui doit traverser la France à partir de cette nuit et demain dimanche, s'annonce très forte. Météo France l'annonce comme «une tempête d'une force et d'une ampleur peu fréquentes».
Nos prévisions météo Elle arrivera en France après avoir touché le Portugal et la région de la Galice samedi soir. Les rafales de vent pourront dépasser les 120 km/h à l'intérieur des terres.
Les régions les plus exposées devraient être les Pays de la Loire, le Poitou-Charentes, le Centre, le Bassin parisien et le nord-est du pays. «Si cette tempête se confirme, il est recommandé de limiter les déplacements et de les planifier pour éviter les zones menacées», conclut Météo France.
Dès ce samedi le début de suivi a commence dans les départements suivantsCharente (16), Charente-Maritime (17), Deux-Sèvres (79), Vienne (86), Dordogne (24), Gironde (33), Corrèze (19), Creuse (23), Haute-Vienne (87).
Si la tempête prend l'ampleur annoncée, il est déconseiller de sortir de chez soi, de monter sur les toits et les promeneurs sont appelés dimanche à ne pas se rendre en forêt.
Nos prévisions météo Elle arrivera en France après avoir touché le Portugal et la région de la Galice samedi soir. Les rafales de vent pourront dépasser les 120 km/h à l'intérieur des terres.
Les régions les plus exposées devraient être les Pays de la Loire, le Poitou-Charentes, le Centre, le Bassin parisien et le nord-est du pays. «Si cette tempête se confirme, il est recommandé de limiter les déplacements et de les planifier pour éviter les zones menacées», conclut Météo France.
Dès ce samedi le début de suivi a commence dans les départements suivantsCharente (16), Charente-Maritime (17), Deux-Sèvres (79), Vienne (86), Dordogne (24), Gironde (33), Corrèze (19), Creuse (23), Haute-Vienne (87).
Si la tempête prend l'ampleur annoncée, il est déconseiller de sortir de chez soi, de monter sur les toits et les promeneurs sont appelés dimanche à ne pas se rendre en forêt.
les médias locaux parlent de 47 morts, victimes du séisme. Bilan confirmé par les autorités peu après.
Un puissant séisme de magnitude 8,8 a été enregistré samedi dans l'océan Pacifique, près des côtes chiliennes, ont annoncé les autorités américaines. Ces dernières ont aussitôt lancé une alerte au tsunami au Chili et au Pérou, étendue par la suite à l'ensemble des pays du Pacifique, y compris l'Amérique centrale et la Polynésie française.
L'épicentre de la secousse, enregistrée à 3h34 locale (7h34 heure française), a été localisé à 99 km à l'ouest sud-ouest de la ville chilienne de Talca et à 117 km au nord de Concepcion, également au Chili, a annoncé l'observatoire américain US Geological Survey.
Au moins 47 personnes ont été tuées dans le séisme, selon les autorités et le bilan reste provisoire. L'électricité et les moyens de communication ont été touchés, mais les secours ne semblent pas avoir de difficultés à intervenir. Il faut dire que cette région est habituée aux violents séisme.
«Fortes répliques»
L'observatoire américain, qui avait initialement fait état d'une magnitude de 8,5 puis de 8,3, l'a relevée à 8,8, et a légèrement modifié la localisation de l'épicentre du séisme. Il a également fait savoir que trois violentes répliques avaient suivi le tremblement de terre.
Il est trop tôt pour dire si cette secousse a effectivement engendré un tsunami, a précisé l'observatoire américain, en soulignant «qu'une secousse d'une telle magnitude avait le potentiel d'entraîner dans les heures qui suivent un tsunami dévastateur pour les côtes».
La magnitude de ce séisme a été mesurée sur l'échelle de Moment, que les sismologues américains utilisent désormais et qui mesure l'énergie dégagée par un tremblement de terre.
L'épicentre de la secousse, enregistrée à 3h34 locale (7h34 heure française), a été localisé à 99 km à l'ouest sud-ouest de la ville chilienne de Talca et à 117 km au nord de Concepcion, également au Chili, a annoncé l'observatoire américain US Geological Survey.
Au moins 47 personnes ont été tuées dans le séisme, selon les autorités et le bilan reste provisoire. L'électricité et les moyens de communication ont été touchés, mais les secours ne semblent pas avoir de difficultés à intervenir. Il faut dire que cette région est habituée aux violents séisme.
«Fortes répliques»
L'observatoire américain, qui avait initialement fait état d'une magnitude de 8,5 puis de 8,3, l'a relevée à 8,8, et a légèrement modifié la localisation de l'épicentre du séisme. Il a également fait savoir que trois violentes répliques avaient suivi le tremblement de terre.
Il est trop tôt pour dire si cette secousse a effectivement engendré un tsunami, a précisé l'observatoire américain, en soulignant «qu'une secousse d'une telle magnitude avait le potentiel d'entraîner dans les heures qui suivent un tsunami dévastateur pour les côtes».
La magnitude de ce séisme a été mesurée sur l'échelle de Moment, que les sismologues américains utilisent désormais et qui mesure l'énergie dégagée par un tremblement de terre.
jeudi 25 février 2010
Gare à la varicelle !
Si la gastro continue de faire les belles heures des consultations médicales, avec plus de 2,2 millions de cas en deux mois, il semble que la varicelle arrive en force.
Les médecins lbéraux du réseau Sentiweb, qui travaillent en relais avec l'Inserm, ont relevé 42 cas pour 100 000 habitants, avec des disparités régionales.
Onze foyers d'activité régionale ont été notés, forte en Limousin (228 cas pour 100 000 habitants), dans le Languedoc-Roussillon (183), en Poitou-Charentes (79), en Ile-de-France (73), en Bourgogne (52), dans la région Centre (47), en Aquitaine (45) et dans les Pays-de-la-Loire (41). Elle est présente aussi, mais moins fortement, en Basse-Normandie, en Bretagne et dans le Nord-Pas-de-Calais.
Dans les crèches, les puéricultrices sont bien conscientes du risque qui plane. Car la varicelle est très contagieuse. Rue des Cloys (Paris XVIIIe), une affichette rose constellée de points rouges a été scotchée sur la porte d'entrée.
Maladie infantile par excellence, mais pas toujours bénigne, la varicelle se distingue par une floraison de boutons et des démangeaisons. Mais les premiers symptômes ne sont pas toujours caractéristiques et ressemblent à s'y méprendre à un bon rhume. Courbatures, fièvre modérée et nez qui coulent peuvent indiquer aussi une varicelle. Le diagnostic devient sûr lorsque la peau se couvre de petites taches roses de 2 à 3 mm de diamètre, qui se transforment rapidement en fines cloques remplies d'un liquide transparent, parfois entourées d'un léger cercle rouge.
Les médecins lbéraux du réseau Sentiweb, qui travaillent en relais avec l'Inserm, ont relevé 42 cas pour 100 000 habitants, avec des disparités régionales.
Onze foyers d'activité régionale ont été notés, forte en Limousin (228 cas pour 100 000 habitants), dans le Languedoc-Roussillon (183), en Poitou-Charentes (79), en Ile-de-France (73), en Bourgogne (52), dans la région Centre (47), en Aquitaine (45) et dans les Pays-de-la-Loire (41). Elle est présente aussi, mais moins fortement, en Basse-Normandie, en Bretagne et dans le Nord-Pas-de-Calais.
Dans les crèches, les puéricultrices sont bien conscientes du risque qui plane. Car la varicelle est très contagieuse. Rue des Cloys (Paris XVIIIe), une affichette rose constellée de points rouges a été scotchée sur la porte d'entrée.
Maladie infantile par excellence, mais pas toujours bénigne, la varicelle se distingue par une floraison de boutons et des démangeaisons. Mais les premiers symptômes ne sont pas toujours caractéristiques et ressemblent à s'y méprendre à un bon rhume. Courbatures, fièvre modérée et nez qui coulent peuvent indiquer aussi une varicelle. Le diagnostic devient sûr lorsque la peau se couvre de petites taches roses de 2 à 3 mm de diamètre, qui se transforment rapidement en fines cloques remplies d'un liquide transparent, parfois entourées d'un léger cercle rouge.
Recul du chômage en décembre : les chiffres étaient faux
«Dans les semaines et les mois qui viennent, vous verrez reculer le chômage dans notre pays». C'est ce qu'avait promis le président Nicolas Sarkozy lors de son intervention sur TF1, le 25 janvier dernier. Quelques jours plus tard, ses propos s'avéraient exacts puisque le ministère de l'Emploi annonçait le 27 janvier, une baisse du nombre de chômeurs de la catégorie A de 18 500 chômeurs. Sinon que ces chiffres étaient erronnés.
Le ministère a communiqué mardi soir une révision des chiffres du chômage pour la catégorie A pour le mois de décembre, qui fait apparaître une hausse pour le mois de décembre. Ce communiqué indique que : « Fin décembre, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A s’élève ainsi à 2 645 100 contre 2 611 700 dans la précédente publication .../... Au final, le taux de variation annuel s’élève à 18,7 % (contre 18,5 % dans la publication précédente) ».
« Corrélativement, le nombre de demandeurs d’emploi tenus d’accomplir des actes positifs de recherche d’emploi (catégories A, B et C) en France métropolitaine augmente nettement plus en décembre 2009 : +0,6 % au lieu de +0,2 % (graphique 2). Il s’élève à 3 849 200 contre 3 823 600 dans la précédente publication, soit une révision de +24 600. »
Le parisien
Le ministère a communiqué mardi soir une révision des chiffres du chômage pour la catégorie A pour le mois de décembre, qui fait apparaître une hausse pour le mois de décembre. Ce communiqué indique que : « Fin décembre, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A s’élève ainsi à 2 645 100 contre 2 611 700 dans la précédente publication .../... Au final, le taux de variation annuel s’élève à 18,7 % (contre 18,5 % dans la publication précédente) ».
« Corrélativement, le nombre de demandeurs d’emploi tenus d’accomplir des actes positifs de recherche d’emploi (catégories A, B et C) en France métropolitaine augmente nettement plus en décembre 2009 : +0,6 % au lieu de +0,2 % (graphique 2). Il s’élève à 3 849 200 contre 3 823 600 dans la précédente publication, soit une révision de +24 600. »
Le parisien
Rendez vous
La liste LIMOUSIN TERRE DE GAUCHE tiendra une réunion publique sur le canton de CHAMBON SUR VOUEIZE ce vendredi 26 février à partir de 18 h 30 à la salle du Châtelet, hameau de la commune de BUDELIERE.
mardi 23 février 2010
pour info La Ferme célébrité ......
L'émission phare de téléréalité «La Ferme Célébrités en Afrique» diffusée par TF1 paye ses mauvaises audiences. Elle est déprogrammée du prime-time pour être reléguée en deuxième partie de soirée. Ainsi, à partir du 19 mars, elle sera diffusée après la série "Les experts".
Autre punition pour La Ferme, le best-of du dimanche est aussi remplacé par un épisode des «Experts».
La «Ferme Célébrités» a été lancée le 29 janvier dernier. La première émission avait rassemblé 7 millions de télespectateurs soit 31 % de parts de marché. La quatrième émission diffusée le 19 février a attiré 4,4 millions de télespectateurs pour 19 % de parts de marché.
Autre punition pour La Ferme, le best-of du dimanche est aussi remplacé par un épisode des «Experts».
La «Ferme Célébrités» a été lancée le 29 janvier dernier. La première émission avait rassemblé 7 millions de télespectateurs soit 31 % de parts de marché. La quatrième émission diffusée le 19 février a attiré 4,4 millions de télespectateurs pour 19 % de parts de marché.
lundi 22 février 2010
Réunion APEL école Jeanne d'Arc à Evaux les bains
L’association des parents d’élèves de l’école Jeanne d’Arc se réunit MARDI 23 FEVRIER à 19h
En voici l’ordre du jour :
Bilan du loto, La classe de découverte pour le cycle 3 qui aura lieu en octobre 2010, Préparation de la fête de l’amitié « Voyage dans le temps »
Venez passer un moment convivial en notre compagnie, donnez un peu de vos idées et de votre temps pour votre école, pour vos enfants…
En voici l’ordre du jour :
Bilan du loto, La classe de découverte pour le cycle 3 qui aura lieu en octobre 2010, Préparation de la fête de l’amitié « Voyage dans le temps »
Venez passer un moment convivial en notre compagnie, donnez un peu de vos idées et de votre temps pour votre école, pour vos enfants…
La saison de la pêche à Evaux les bains
Le 14 mars sera donné le coup d'envoi 2010 de la saison de pêche gérée par l'association du plan de la Gane.
Comme tous les ans, la pêche sera autorisée les quatre dimanches précédent l'ouverture officielle du lundi de pâques (5 avril 2010) pour les cotisants à la carte à l'année.
Ce début de saison sera marqué par un lâcher de truites plus important pour le plaisir des nombreux pécheurs détenteurs d'une carte annuelle.
Le tarif de cette carte annuelle sera dévoilée lors de l'assemblée générale qui aura lieu ce dimanche 28 février à la maison des association à 9h30.
Une invitation à tous les passionnés de ce sport halieutique.
Comme tous les ans, la pêche sera autorisée les quatre dimanches précédent l'ouverture officielle du lundi de pâques (5 avril 2010) pour les cotisants à la carte à l'année.
Ce début de saison sera marqué par un lâcher de truites plus important pour le plaisir des nombreux pécheurs détenteurs d'une carte annuelle.
Le tarif de cette carte annuelle sera dévoilée lors de l'assemblée générale qui aura lieu ce dimanche 28 février à la maison des association à 9h30.
Une invitation à tous les passionnés de ce sport halieutique.
vendredi 19 février 2010
jeudi 18 février 2010
Le redécoupage électoral validé pour 2012 - 1 seul député pour la Creuse -
France Info -
Le texte du gouvernement avait été adopté par le Parlement le mois dernier. Il vient d’être validé par les Sages du Conseil Constitutionnel, qui a rejeté le recours présenté par le PS.
Le nouveau découpage des circonscriptions entrera donc en vigueur dès les prochaines élections législatives, en 2012.
Le groupe socialiste de l’Assemblée avait saisi le Conseil sur ce projet de loi qui modifie les circonscriptions actuelles et en supprime 33, le nombre de sièges de députés restant fixé à 577.
Pour la gauche, la majorité présidentielle a bâti des circonscriptions pour maximiser ses chances de victoire : argument écarté par les Sages du Palais-Royal : "le Conseil a écarté l’ensemble des griefs formulés à l’encontre de la loi et de l’ordonnance. Le Conseil a déclaré la loi déférée non contraire à la Constitution", annoncent-ils dans un communiqué.
Le Conseil constitutionnel explique, à propos de la répartition des sièges et la délimitation des circonscriptions, qu’il a "fait application de ses jurisprudences antérieures en la matière", ce qui "l’a conduit à écarter les griefs des requérants dirigés au fond contre l’ordonnance", et rappelle qu’il "ne lui appartient pas de rechercher si les circonscriptions ont fait l’objet de la délimitation la plus juste possible".
Un hard discount à Evaux les bains
77% des votants sur le site sont demandeurs d'un magasin HARD DISCOUNT à Evaux les bains.
De nombreux résidents d'Evaux se retrouvent déjà dans ce type de magasin à Montluçon et déserte le commerce local. Alors pourquoi ne pas garder la clientèle dans la ville et je suis certain qu'un apport de clientèle sera élargit à Evaux et qu'un élan de concurence s'ouvrira.
Vous allez me dire, et le commerce local !
Il y aura toujours un type de client pour chaque enseigne et chaque commerce. On ira pas chez "LiddL" pour acheter sa viande " il n'en propose presque pas, on ira pas acheter un souvenir local, on ira chez Steiner, ni pour la bijouterie....
Et il serai préférable de voir nos résidents rester à Evaux que d'aller à Chambon, Auzances et Montluçon.
Le hard discount alimentaire est un concept construit sur des prix bas 20 à 30 % inférieurs aux GMS, des accords solides et de longue durée avec les fournisseurs pour réduire les coûts d’achat. et enfin des marges réduites pour augmenter les volumes de vente.
En entrant cette année dans leur magasin Carrefour, les clients ont pu voir une mise en scène particulièrement parlante : trois chariots compor tant des produits du même type, mis côte à côte. Le premier chariot ne comportait que des produits de la marque « 1 », le nom des premiers prix chez Carrefour; le second chariot ne comportait que des produits à la marque de distributeur Carrefour, le troisième ne présentait que des produits de grandes marques. S’il n’achetait que des produits dits « premiers prix » le client ne payerait que 44,76 euros, alors qu’il payerait 78,06 euros s’il s’agit de produits à la marque Carrefour et 119,78 euros soit 2,67 fois plus cher, s’il achetait les grandes marques.
Histoire
Une forme de hard-discount (non alimentaire) est apparu en 1917 aux Etats-Unis. Le hard-discount alimentaire est réellement inventé en Allemagne dans la période post-seconde guerre mondiale (1947) par les frères Albrecht fondateurs d’ Aldi.L’arrivée de ce phénomène en France se fait durant l’année 1988, après un échec dans les années 70.
Depuis le hard-discount s’est fait une « place au soleil » en France, avec 13.3% du marché de l’alimentaire en 2005 (source: management.journaldunet.com) et 69% des ménages qui fréquentent ces magasins à prix réduits (source: secodip.fr).
De nombreux magasin moins de 1000 M2 sont déjà installé en Creuse. Une volonté, une politique.
Longtemps considéré comme le « supermarché du pauvre », le hard discount encore appelé maxi-discompte, séduit une clientèle de plus en plus large. Selon une récente étude de l’Institut Iri Sécodip, 62% des Français ont fait, au moins, une fois leurs courses dans un magasin de ce type en 2002. La progression de ce circuit de distribution est impressionnante puisque la première implantation d’un hard discount en France remonte à 1988.
Tantôt magasin de proximité, tantôt magasin de grosses courses alimentaires, ce circuit rivalise de plus en plus avec la grande distribution alimentaire « classique » que sont les hypers et les supermarchés. En outre, le passage à l’euro a contribué en partie au développement de cette forme de distribution. En ne touchant pas au prix, les enseignes de hard discount ont rassuré le consommateur à un moment où ceux-ci avaient le sentiment que d’autres profitaient de la situation.
jeudi 11 février 2010
Faite un don pour Haïti
Au journal télévisé, c'est fini, on en parle presque plus du tremblement de terre à Haïti.
La détresse à remplacé la misère. Il vont avoir besoin de tant d'argent pour tout reconstruire et dans l'immédiat survivre.
Vous allez me dire, c'est loin et nous aussi on a du mal à vivre, mais un petit geste de chacun sera une goutte d'eau, mais des millions de gouttes ce sera une fontaine.
Je serais dans la galerie marchande de Carrefour à Gueret ce vendredi 12 et samedi 13 février avec le secours populaire.
Je vais réaliser de nombreux tableaux qui seront proposés à la vente pour des sommes modiques. Ces fonds seront récoltés par les bénévoles du secours populaire qui seront envoyés à Haïti.
Merci à France Bleue Creuse, GIFI, Carrefour, La Montagne pour leur aide
samedi 30 janvier 2010
Carte scolaire en Creuse: Hausse des effectifs et perte de classes
Alors que le nombre d'élèves, accueillis dans les collèges est en hausse, selon les syndicats, la Creuse devrait encore avoir son lot de suppression de postes. Symboliquement, les syndicats ont donc boycotté le CTDP.
«Autrefois, le comité technique paritaire départemental permettait une véritable concertation entre l'Inspection académique et les syndicats (1). Aujourd'hui, tout se passe au Rectorat. Nous sommes maintenant mis devant le fait accompli? »
Regroupés, hier matin, devant l'Inspection académique les représentants des syndicats, FSU et UNSA, qui devaient participer à la réunion du CTPD, à l'instar de Trémeur Duval (FSU), ont décidé purement et simplement de boycotter cette réunion (2).
« Par cette action nous voulons dénoncer le fait qu'à la prochaine rentrée scolaire, alors qu'il y aura une augmentation des effectifs dans les collèges, nous risquons de perdre entre 10 et 15 postes. C'est inadmissible ! »
«Autrefois, le comité technique paritaire départemental permettait une véritable concertation entre l'Inspection académique et les syndicats (1). Aujourd'hui, tout se passe au Rectorat. Nous sommes maintenant mis devant le fait accompli? »
Regroupés, hier matin, devant l'Inspection académique les représentants des syndicats, FSU et UNSA, qui devaient participer à la réunion du CTPD, à l'instar de Trémeur Duval (FSU), ont décidé purement et simplement de boycotter cette réunion (2).
« Par cette action nous voulons dénoncer le fait qu'à la prochaine rentrée scolaire, alors qu'il y aura une augmentation des effectifs dans les collèges, nous risquons de perdre entre 10 et 15 postes. C'est inadmissible ! »
vendredi 29 janvier 2010
Vive le RSA
La banque lui prélève son RSA, il entame une grève de la faim: "La seule chose que je peux donner, c'est ma vie"
Cet ancien mineur de 50 ans, demeurant dans le Tarn, à Carmaux, vit avec son RSA (revenu de solidarité active).
En juillet dernier, Thierry P. se rend compte qu'il allait connaître des problèmes d'argent.
Il s'est rendu à sa banque pour clôturer ses comptes.
« M'informant que les prélèvements automatiques bloquaient la procédure, le banquier m'a dit qu'il fallait d'abord que je les clôture » précise Thierry, dans La Dépêche.
Qui ajoute:
« Je suis donc reparti de la banque avec 250€ en poche que j'ai utilisés pour les besoins de première nécessité. Les démarches pour clôturer les comptes liés aux prélèvements étant longues, les pénalités se sont accumulées au fil des semaines. Je suis allé m'inscrire au chômage et au RSA mais là aussi les versements mettent du temps à arriver, ce qui a entraîné une nouvelle accumulation des dettes ».
Et pendant ce temps que s'est il passé?
La banque a prélevé, révèle La Dépêche, pratiquement deux mois de RSA, soit l'équivalent de 720€ sur deux mois. Thierry s'est renseigné: sa banque n'avait pas le droit de saisir son RSA. Et comme l'ancien mineur n'avait plus que 150 euros pour « survivre », il a entamé une grève de la faim. Pour, dit-il, exprimer sa révolte envers cette injustice:
« Je suis tout seul et la seule chose que je peux donner, c'est ma vie ».
Thierry précise qu'aujourd'hui, « le chômage a un peu renfloué » son compte. « Mais ça ne change pas l'injustice ». Thierry souhaite maintenant obtenir une entrevue avec le maire de Carmaux pour lui faire part de sa situation.
Thierry n'a qu'une idée en tête, et on le comprend: « obtenir de la banque le remboursement des sommes qu'ils m'ont prises ».
Pour la petite histoire, Thierry était client de cette banque depuis trente ans...
le post.fr
Cet ancien mineur de 50 ans, demeurant dans le Tarn, à Carmaux, vit avec son RSA (revenu de solidarité active).
En juillet dernier, Thierry P. se rend compte qu'il allait connaître des problèmes d'argent.
Il s'est rendu à sa banque pour clôturer ses comptes.
« M'informant que les prélèvements automatiques bloquaient la procédure, le banquier m'a dit qu'il fallait d'abord que je les clôture » précise Thierry, dans La Dépêche.
Qui ajoute:
« Je suis donc reparti de la banque avec 250€ en poche que j'ai utilisés pour les besoins de première nécessité. Les démarches pour clôturer les comptes liés aux prélèvements étant longues, les pénalités se sont accumulées au fil des semaines. Je suis allé m'inscrire au chômage et au RSA mais là aussi les versements mettent du temps à arriver, ce qui a entraîné une nouvelle accumulation des dettes ».
Et pendant ce temps que s'est il passé?
La banque a prélevé, révèle La Dépêche, pratiquement deux mois de RSA, soit l'équivalent de 720€ sur deux mois. Thierry s'est renseigné: sa banque n'avait pas le droit de saisir son RSA. Et comme l'ancien mineur n'avait plus que 150 euros pour « survivre », il a entamé une grève de la faim. Pour, dit-il, exprimer sa révolte envers cette injustice:
« Je suis tout seul et la seule chose que je peux donner, c'est ma vie ».
Thierry précise qu'aujourd'hui, « le chômage a un peu renfloué » son compte. « Mais ça ne change pas l'injustice ». Thierry souhaite maintenant obtenir une entrevue avec le maire de Carmaux pour lui faire part de sa situation.
Thierry n'a qu'une idée en tête, et on le comprend: « obtenir de la banque le remboursement des sommes qu'ils m'ont prises ».
Pour la petite histoire, Thierry était client de cette banque depuis trente ans...
le post.fr
jeudi 28 janvier 2010
Nouveaux radars-tronçon, freiner avant ne suffira plus !
Avec la reconnaisance des quotas sur la répréssion routière, l'état à trouvé encore comment mieux vous pièger.
Il faudra redoubler avec encore plus de vigilance sur la route. Les nouveaux radars mesuront la vitesse moyenne sur un parcours. Encore en projet, ils pourraient arriver en fin d'année.
Il est réel que certains automobilistes prennent les routes pour des circuits de course (à en juger la vitesse sur la route de la République à Evaux) ou bien sur rien n'est fait, on préfère vous cartonner sur l'autoroute ou les camions étrangers roulent sans bridage ou nous sommes dans l'obligation parfois de dépasser la vitesse autorisée pour les doubler.
Il est certain que ces radars ont changés le comportement des conducteurs, mais trop c'est trop. la répréssion prime sur la prévention. Maintenant avant l'approche d'un panneau de radard, un grand coup de frein et hop risque de carambolage, mais cela n'est pas trop grave pour l'état....
Le débat sur les radars en France n'a pas fini de faire des vagues. Alors que l'État a prévu d'installer 530 nouveaux radars fixes en 2010 et que de nouvelles cabines, plus sophistiquées, sont en préparation, un nouveau dispositif pourrait prochainement faire son apparition :
les radars-tronçon. Plutôt que de mesurer la vitesse en un seul point, il s'agit cette fois de calculer la vitesse moyenne de chaque véhicule entre deux points d'un trajet. De tels dispositifs existent déjà à l'étranger (lire ci-dessous) et une expérimentation, à visée pédagogique et non répressive, est en cours sur 12 km de l'A10 entre Paris et Orléans et sur l'A7 au sud de Montélimar.
Le gouvernement n'exclut pas de généraliser ce système comme l'a confirmé le 19 janvier le ministère des Transport en répondant à une question du député UMP du Val d'Oise George Morthon. « Ce système semble plus pertinent et surtout moins dangereux que celui mis en place actuellement, car il n'incite pas les automobilistes roulant à des vitesses excessives à ralentir de manière brusque à l'approche des radars automatiques », écrivait le député en octobre dernier en demandant au gouvernement si une généralisation était prévue.
Mardi dernier, la réponse est tombée. Expliquant qu'« un dispositif a été mis au point avec le Centre d'études techniques de l'équipement (CETE) Méditerranée », le ministère des Transport a annoncé qu'« un marché devrait être lancé au deuxième semestre 2010 pour le déploiement de ce type d'équipement. » « La mise en place de ce dispositif doit permettre de lutter contre l'insécurité et l'incivilité, et, en même temps, d'inciter à une nouvelle prise de conscience sur l'importance de la vitesse, afin de passer en 2012 sous la barre des 3 000 morts sur les routes par an », poursuit le ministère. Le gouvernement ne donne en revanche pas date précise de déploiement, ni si les radars-tronçon seront informatifs ou répressifs.
En tout cas, ces radars semblent être particulièrement efficaces si l'on en juge par les statistiques de nos voisins européens. « L'installation de ces points de contrôles a permis d'obtenir de très bons résultats, le taux de mortalité ayant baissé de 50 % sur les infrastructures où le système a été installé », précise le ministère des Transports.
Un petit rappel : oublier son clignotant : 3 points
Oubli de mettre 4 fois sa ceinture, plus de permis et vous serez considéré comme un chauffard (honteux)
Pour rappel (cela m'est arrivé). en cas d'accident, si pas de blessé, tout doit se règler par un constat.
Vous avez le droit de bruler un stop ou un feu rouge, les gendarmes m'ont rétorqués, pas de bléssés, ce n'est pas de notre ressort, faite un constat. Et voila. Vous dépassez de 5 km/h en ville, vous ne portez pas votre ceinture.... c'est sanction
Donc il faut tricher et se faire placer pour bléssé.....
Photo (2008) : Une personne sous emprise de médicaments à brulé un stop et m'a percuté. Aucunes sanctions car pas de bléssés (je ne comprend plus rien)
Il faudra redoubler avec encore plus de vigilance sur la route. Les nouveaux radars mesuront la vitesse moyenne sur un parcours. Encore en projet, ils pourraient arriver en fin d'année.
Il est réel que certains automobilistes prennent les routes pour des circuits de course (à en juger la vitesse sur la route de la République à Evaux) ou bien sur rien n'est fait, on préfère vous cartonner sur l'autoroute ou les camions étrangers roulent sans bridage ou nous sommes dans l'obligation parfois de dépasser la vitesse autorisée pour les doubler.
Il est certain que ces radars ont changés le comportement des conducteurs, mais trop c'est trop. la répréssion prime sur la prévention. Maintenant avant l'approche d'un panneau de radard, un grand coup de frein et hop risque de carambolage, mais cela n'est pas trop grave pour l'état....
Le débat sur les radars en France n'a pas fini de faire des vagues. Alors que l'État a prévu d'installer 530 nouveaux radars fixes en 2010 et que de nouvelles cabines, plus sophistiquées, sont en préparation, un nouveau dispositif pourrait prochainement faire son apparition :
les radars-tronçon. Plutôt que de mesurer la vitesse en un seul point, il s'agit cette fois de calculer la vitesse moyenne de chaque véhicule entre deux points d'un trajet. De tels dispositifs existent déjà à l'étranger (lire ci-dessous) et une expérimentation, à visée pédagogique et non répressive, est en cours sur 12 km de l'A10 entre Paris et Orléans et sur l'A7 au sud de Montélimar.
Le gouvernement n'exclut pas de généraliser ce système comme l'a confirmé le 19 janvier le ministère des Transport en répondant à une question du député UMP du Val d'Oise George Morthon. « Ce système semble plus pertinent et surtout moins dangereux que celui mis en place actuellement, car il n'incite pas les automobilistes roulant à des vitesses excessives à ralentir de manière brusque à l'approche des radars automatiques », écrivait le député en octobre dernier en demandant au gouvernement si une généralisation était prévue.
Mardi dernier, la réponse est tombée. Expliquant qu'« un dispositif a été mis au point avec le Centre d'études techniques de l'équipement (CETE) Méditerranée », le ministère des Transport a annoncé qu'« un marché devrait être lancé au deuxième semestre 2010 pour le déploiement de ce type d'équipement. » « La mise en place de ce dispositif doit permettre de lutter contre l'insécurité et l'incivilité, et, en même temps, d'inciter à une nouvelle prise de conscience sur l'importance de la vitesse, afin de passer en 2012 sous la barre des 3 000 morts sur les routes par an », poursuit le ministère. Le gouvernement ne donne en revanche pas date précise de déploiement, ni si les radars-tronçon seront informatifs ou répressifs.
En tout cas, ces radars semblent être particulièrement efficaces si l'on en juge par les statistiques de nos voisins européens. « L'installation de ces points de contrôles a permis d'obtenir de très bons résultats, le taux de mortalité ayant baissé de 50 % sur les infrastructures où le système a été installé », précise le ministère des Transports.
Un petit rappel : oublier son clignotant : 3 points
Oubli de mettre 4 fois sa ceinture, plus de permis et vous serez considéré comme un chauffard (honteux)
Pour rappel (cela m'est arrivé). en cas d'accident, si pas de blessé, tout doit se règler par un constat.
Vous avez le droit de bruler un stop ou un feu rouge, les gendarmes m'ont rétorqués, pas de bléssés, ce n'est pas de notre ressort, faite un constat. Et voila. Vous dépassez de 5 km/h en ville, vous ne portez pas votre ceinture.... c'est sanction
Donc il faut tricher et se faire placer pour bléssé.....
Photo (2008) : Une personne sous emprise de médicaments à brulé un stop et m'a percuté. Aucunes sanctions car pas de bléssés (je ne comprend plus rien)
L'enquête de recensement de la population pour Evaux les bains est programmé pour 2010.
Le recensement de la population permet de connaître la population de la France et de ses communes.
Il fournit des statistiques sur le nombre d'habitants et sur leurs caractéristiques : âges, professions exercées, transports utilisés, déplacements quotidiens, conditions de logements, etc.
Les résultats du recensement éclairent les décisions des pouvoirs publics en matière d'équipements collectifs (écoles, hôpitaux, etc.). Ils aident également les professionnels à mieux évaluer le parc de logements, les entreprises à mieux connaître les disponibilités de main-d'oeuvre, les associations à mieux répondre aux besoins de la population.
L'objectif : mesurer la population vivant en France, pour mieux s'adapter à ses besoins.
Mode d'emploi
1.Un agent recenseur vient chez vous et dépose les questionnaires de recensement.
2.Vous lisez et remplissez les documents qui vous ont été remis.
3.L'agent recenseur revient les récupérer. Il vous aide à les remplir si vous le souhaitez.
L'agent recenseur remettra aux personnes enquêtées deux questionnaires différents :
le premier, intitulé feuille de logement, comporte 15 questions relatives aux caractéristiques et au confort du logement. Il existe pour les Dom une feuille de logement spécifique. L'agent recenseur dépose une « feuille de logement » par logement ;
le second, le bulletin individuel, comprend 25 questions s'articulant autour de l'âge, du lieu de naissance, de la nationalité, du niveau d'études, du lieu de résidence 5 ans plus tôt et de l'activité professionnelle. L'agent dépose un bulletin individuel par personne vivant dans le logement.
Ces deux questionnaires sont accompagnés d'une notice d'information sur le recensement. Il existe une notice d'information spécifique pour La Réunion ainsi que des notices en langues étrangères.
La dte de remise des documents est le samedi 6 mars dans les communes de moins de 10 000 habitants.
réponses sont strictement confidentielles.
IPAD la révolution Apple
Steve Jobs, le père de l'iPod et de l'iPhone, poursuit sur la voie de la convergence avec le lancement d'un terminal connecté à mi-chemin entre l'ordinateur portable et le « smartphone ». Vendu entre 499 et 699 dollars, l' iPad sera commercialisé dès la fin mars aux Etats-Unis et sans doute en Europe. Raz de marée annoncé.
Les rois du buzz marketing ont encore frappé. Hier soir, le PDG d'Apple, Steve Jobs, a mis fin à une impressionnante attente, en dévoilant sa fameuse tablette, qui s'appelera finalement « iPad ». Le mystère avait été savamment entretenu sur la teneur du show que Steve Jobs, a débuté à 19 heures (heure française) à San Francisco. L'avant-veille, le numéro deux de la société, Tim Cook, faisait encore des cachotteries avec les analystes financiers à l'occasion de la présentation des résultats trimestriels de l'entreprise : « Je ne voudrais pas vous enlever la joie de la surprise », les a-t-il fait bisquer.
Mais hier, à l'heure dite, le patron star a levé les derniers doutes en brandissant l'iPad sur scène : un terminal à écran tactile de 9,7 pouces (moins d'une feuille A4), offrant la couleur haute résolution, avec dix heures d'autonomie ressemblant à s'y méprendre à un iPhone « XXL ». La grosse surprise est venue du prix : 499 dollars pour le modèle 16 gigaoctets, 599 dollars pour le 32 gigaoctets, 699 dollars pour la version la plus performante .
La rumeur voyait la tablette d'Apple à 1000 dollars ! Même agressivité commerciale sur les forfaits : 29,99 dollars pour l'internet illimité chez ATT. Autant dire que l'iPad qui sera commercialisée dès la fin mars aux Etats-Unis et en Europe devrait avoir du succés.
A mi-chemin entre le mini-PC et le « smartphone », l'iPad doit se glisser aisément dans un sac à main ou se poser sur les genoux pour écrire un texte. Empruntant le système d'exploitation de l'iPhone, il servira à consulter la presse, à lire un livre ou à regarder une vidéo debout dans le métro. Pour François Prudent, qui a créé la chaîne de boutiques ICLG, revendeur agréé d'Apple, l'arrivée de cet ovni va provoquer un choc frontal avec l'industrie informatique : « Les gens vont garder leur "smartphone" », mais la tablette va remplacer l'ordinateur portable, parce qu'elle rend la lecture beaucoup plus aisée. » Il va également faire des dégâts chez les fabricants d'électronique, comme Sony, ou chez le libraire en ligne Amazon, qui commercialisent des terminaux de lecture, si l'on en croit ce fan d'Apple : « La tablette sera multiusages, avec toutes les applications disponibles sur l'iPhone. Et ne me dites pas qu'elle sera réservée aux loisirs, on racontait les mêmes balivernes à propos de l'iPhone… »
Les rois du buzz marketing ont encore frappé. Hier soir, le PDG d'Apple, Steve Jobs, a mis fin à une impressionnante attente, en dévoilant sa fameuse tablette, qui s'appelera finalement « iPad ». Le mystère avait été savamment entretenu sur la teneur du show que Steve Jobs, a débuté à 19 heures (heure française) à San Francisco. L'avant-veille, le numéro deux de la société, Tim Cook, faisait encore des cachotteries avec les analystes financiers à l'occasion de la présentation des résultats trimestriels de l'entreprise : « Je ne voudrais pas vous enlever la joie de la surprise », les a-t-il fait bisquer.
Mais hier, à l'heure dite, le patron star a levé les derniers doutes en brandissant l'iPad sur scène : un terminal à écran tactile de 9,7 pouces (moins d'une feuille A4), offrant la couleur haute résolution, avec dix heures d'autonomie ressemblant à s'y méprendre à un iPhone « XXL ». La grosse surprise est venue du prix : 499 dollars pour le modèle 16 gigaoctets, 599 dollars pour le 32 gigaoctets, 699 dollars pour la version la plus performante .
La rumeur voyait la tablette d'Apple à 1000 dollars ! Même agressivité commerciale sur les forfaits : 29,99 dollars pour l'internet illimité chez ATT. Autant dire que l'iPad qui sera commercialisée dès la fin mars aux Etats-Unis et en Europe devrait avoir du succés.
A mi-chemin entre le mini-PC et le « smartphone », l'iPad doit se glisser aisément dans un sac à main ou se poser sur les genoux pour écrire un texte. Empruntant le système d'exploitation de l'iPhone, il servira à consulter la presse, à lire un livre ou à regarder une vidéo debout dans le métro. Pour François Prudent, qui a créé la chaîne de boutiques ICLG, revendeur agréé d'Apple, l'arrivée de cet ovni va provoquer un choc frontal avec l'industrie informatique : « Les gens vont garder leur "smartphone" », mais la tablette va remplacer l'ordinateur portable, parce qu'elle rend la lecture beaucoup plus aisée. » Il va également faire des dégâts chez les fabricants d'électronique, comme Sony, ou chez le libraire en ligne Amazon, qui commercialisent des terminaux de lecture, si l'on en croit ce fan d'Apple : « La tablette sera multiusages, avec toutes les applications disponibles sur l'iPhone. Et ne me dites pas qu'elle sera réservée aux loisirs, on racontait les mêmes balivernes à propos de l'iPhone… »
Clearstream : Villepin relaxé, Lahoud et Gergorin condamnés
Un cadeaux d'anniversaire sans bougies pour le président de la République.
Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé jeudi l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin dans le procès d'une manipulation menée en 2004 avec de fausses listes de comptes bancaires de la société Clearstream.
Contre l'avis du parquet, qui demandait 18 mois de prison avec sursis et 45.000 euros d'amende contre lui, les magistrats jugent que l'accusation de "complicité de dénonciation calomnieuse" n'est pas établie.
Les juges ont estimé qu'il n'existait pas de preuve qu'il ait donné une instruction frauduleuse, et qu'il n'est pas davantage complice du délit par son abstention.
Dominique de Villepin était accusé d'avoir pris part à un complot visant à éliminer Nicolas Sarkozy, son rival à droite, de la course à la présidentielle de 2007.
Le tribunal déclare en revanche coupables Jean-Louis Gergorin, ancien vice-président d'EADS et Imad Lahoud, auteur présumé des fausses listes, ainsi que le consultant Florian Bourges. Le journaliste Denis Robert est relaxé.
Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé jeudi l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin dans le procès d'une manipulation menée en 2004 avec de fausses listes de comptes bancaires de la société Clearstream.
Contre l'avis du parquet, qui demandait 18 mois de prison avec sursis et 45.000 euros d'amende contre lui, les magistrats jugent que l'accusation de "complicité de dénonciation calomnieuse" n'est pas établie.
Les juges ont estimé qu'il n'existait pas de preuve qu'il ait donné une instruction frauduleuse, et qu'il n'est pas davantage complice du délit par son abstention.
Dominique de Villepin était accusé d'avoir pris part à un complot visant à éliminer Nicolas Sarkozy, son rival à droite, de la course à la présidentielle de 2007.
Le tribunal déclare en revanche coupables Jean-Louis Gergorin, ancien vice-président d'EADS et Imad Lahoud, auteur présumé des fausses listes, ainsi que le consultant Florian Bourges. Le journaliste Denis Robert est relaxé.
Retour du froid, c'est l'hiver, normal !
Le froid fait son retour dans notre région. Des températures de -8 ont étées relevées cette nuit du 27 janvier 2010.
La neige qui tombe actuellement sur des sols gelés tient au sol qui rend les chaussées très glissantes.
Dans quelques semaines le printemps redonnera du soleil dans les coeurs.
La neige qui tombe actuellement sur des sols gelés tient au sol qui rend les chaussées très glissantes.
Dans quelques semaines le printemps redonnera du soleil dans les coeurs.
Haïti : Ne pas oublier
Comme me le dit ce matin mon fils, "on en parle presque plus d'Haïti, la misère, la douleur, le manque de tout est la et restera encore de nombreux mois, voir des années.
L'atmosphère était au miracle mercredi soir à l'hôpital de campagne dressé par la sécurité civile française au lycée français de Port-au-Prince où une adolescente a été transportée, dans un état de déshydratation extrême, sauvée des décombres 15 jours après le séisme. "Elle vivra. Elle a 16 ans et elle a toute la vie devant elle", dit, ému, le médecin colonel Michel Orcel. "Elle est conditionnée, son état est stabilisé. On va mettre tous les moyens sur cette patiente de façon à ce qu'elle ait de manière permanente une équipe de réanimation à son chevet", ajoute le secouriste français. La jeune fille, prénommée Darlene Etienne selon la Croix rouge, a été transportée par hélicoptère sur le Siroco, un bâtiment de la marine française qui dispose d'une unité médicale
On ne connaît pas encore précisément le nombre de victimes du séisme qui a dévasté Haïti, mais il sera probablement l'un des plus meurtriers qu'on ait connus. Les dégâts matériels sont aussi considérables. On parle d'un taux de destruction supérieur à 15 %. Le coût de ce désastre sera gigantesque et il touche l'un des pays les plus pauvres du monde. A ces coûts directs, il convient d'ajouter les effets indirects qui risquent d'aggraver encore le processus de sous-développement dans lequel Haïti semble enfermé.
En détruisant une partie du capital productif, la catastrophe pourrait enfoncer le pays encore plus profondément dans la spirale dont il est prisonnier. Reconstruire est une nécessité, mais il faut dès maintenant envisager d'aller au-delà. Suffisamment ambitieuse, la reconstruction peut fournir l'occasion d'inverser la spirale.
L'histoire économique et politique d'Haïti au cours des trois dernières décennies est affligeante. Même si la baisse s'est récemment ralentie, le PIB par habitant a diminué de moitié depuis 1980. Au tournant du millénaire, plus de la moitié de la population était en dessous du seuil international de pauvreté extrême. L'économie survit aujourd'hui grâce à l'aide internationale (10 % du PIB) et, surtout, aux remises de salaires de la diaspora haïtienne (20 % du PIB). Cette apathie économique s'explique largement par l'instabilité politique du pays.
La situation s'est un peu améliorée, mais la dernière expulsion d'un président en exercice ne remonte qu'à 2004 et la gouvernance reste aujourd'hui extraordinairement fragile. Haïti est classé parmi les pays les plus corrompus au monde par Transparency International. La violence politique y est presque institutionnelle. Avec un service policier inadéquat et corrompu, elle a engendré une criminalité d'une rare ampleur. Comment encourager l'entreprise et attirer les investisseurs dans ces conditions ?
L'instabilité politique et une gouvernance déficiente nourrissent la stagnation économique et la misère autant qu'elles se nourrissent d'elles. Le manque de perspectives économiques et la pauvreté croissante attisent la lutte pour la survie, la violence, le crime et la corruption à tous les niveaux de la société. Seules des circonstances exceptionnelles peuvent permettre de sortir d'une telle spirale. Le séisme de janvier 2010 peut en fournir l'occasion si la reconstruction est convenablement gérée. Mais il risque aussi d'enfoncer plus profondément Haïti dans le sous-développement.
Le scénario pessimiste de l'après-séisme serait en effet un processus lent de reconstruction, largement amputé par la corruption et n'empêchant pas un nouvel appauvrissement, une compétition accrue pour le peu de ressources disponibles et donc encore plus de violence et de corruption.
Le scénario optimiste serait d'aller plus loin que la reconstruction à l'identique et de viser dès maintenant une amélioration définitive des conditions de vie de la population grâce à un programme ambitieux d'assistance soigneusement contrôlé par les bailleurs de fonds. Outre l'emploi et les revenus supplémentaires générés par ce programme, de meilleurs logements, de meilleurs écoles et dispensaires et une meilleure infrastructure sont susceptibles de renverser la dégradation dans laquelle s'abîme depuis trop longtemps la société haïtienne, augurant ainsi un possible changement de régime économique et politique. Encore faut-il que la corruption ambiante et la gouvernance en place ne permettent pas, une fois encore, aux accapareurs de capturer le surcroît de ressources. Il est donc capital que les bailleurs de fonds innovent non seulement par les sommes mises à disposition, mais aussi par le type de contrôle exercé sur leur utilisation.
Des pièces de 10€ à l'image de chaque région? C'est pour septembre...
En septembre, vous pourrez tenir entre vos mains des pièces de 10€ en argent à l'effigie des régions de France, annonce Le Figaro.fr
Il y en aura en tout 26 différentes lancées par la Monnaie de Paris.
Concrètement, la face commune montrera l'Hexagone, tandis que l'autre sera spécifique à chaque région, avec "des signes héraldiques des 22 régions métropolitaines et des 4 régions d'Outre-mer."
Elles ressembleront au' "quarter" américain, et seront utilisables partout pour payer.
Où se les procurer?
Dans 4.000 bureaux de poste, qui pourront juste vendre la pièce de leur région...
Il y en aura en tout 26 différentes lancées par la Monnaie de Paris.
Concrètement, la face commune montrera l'Hexagone, tandis que l'autre sera spécifique à chaque région, avec "des signes héraldiques des 22 régions métropolitaines et des 4 régions d'Outre-mer."
Elles ressembleront au' "quarter" américain, et seront utilisables partout pour payer.
Où se les procurer?
Dans 4.000 bureaux de poste, qui pourront juste vendre la pièce de leur région...
mercredi 27 janvier 2010
Politique : Une gauche unie pour les régionales 2010
« La constitution de cette liste élargie du Front de gauche représente déjà une première victoire ».
Conseiller régional sortant, Claude Guerrier a cédé la tête de liste creusoise à Laurence Pache, représentante du Parti de Gauche. « On n'est pas là pour avoir des plaçous mais pour faire avancer les choses, explique le maire de Saint-Sulpice-le-Guérétois. On est dans une stratégie nationale qu'il faut faire vivre et pour cela, le PC donne beaucoup à ses partenaires.Mais ces têtes de liste partagées avec le PG et le NPA montrent la force de notre engagement pour réussir ce rassemblement ». Et le conseiller général Daniel Dexet d'ajouter : « Les communistes creusois ont accepté de ne pas avoir de tête de liste alors qu'ils étaient les seuls à avoir un élu, ce qui est assez inhabituel. On démontre ainsi qu'on ne cherche pas à rester au chaud avec des élus quasiment assurés ».
Pour le secrétaire du PCF Alain Teissedre, la question est réglée : « Tous les communistes creusois se sont engagés, vendredi, pour mener la bataille de ces élections autour de la liste du Front de gauche ».
Adjointe à Bourganeuf, Marie-Hélène Chauvat-Pouget souligne « l'enthousiasme » suscité par ces négociations : « Le programme qu'on porte est fait pour donner de l'optimisme aux citoyens ».
Si le parti communiste insiste pour « ancrer à gauche la politique régionale en Limousin », selon les termes du militant associatif Bruno Noble, la persective du 2e tour s'envisage « sans ambiguité », pour Alain Teissedre : « On est là pour battre la droite ».
La première réunion de campagne se déroulera jeudi 4 février, à 20 heures, à la salle polyvalente de Saint-Sulpice-le-Guérétois.
La Montagne
Conseiller régional sortant, Claude Guerrier a cédé la tête de liste creusoise à Laurence Pache, représentante du Parti de Gauche. « On n'est pas là pour avoir des plaçous mais pour faire avancer les choses, explique le maire de Saint-Sulpice-le-Guérétois. On est dans une stratégie nationale qu'il faut faire vivre et pour cela, le PC donne beaucoup à ses partenaires.Mais ces têtes de liste partagées avec le PG et le NPA montrent la force de notre engagement pour réussir ce rassemblement ». Et le conseiller général Daniel Dexet d'ajouter : « Les communistes creusois ont accepté de ne pas avoir de tête de liste alors qu'ils étaient les seuls à avoir un élu, ce qui est assez inhabituel. On démontre ainsi qu'on ne cherche pas à rester au chaud avec des élus quasiment assurés ».
Pour le secrétaire du PCF Alain Teissedre, la question est réglée : « Tous les communistes creusois se sont engagés, vendredi, pour mener la bataille de ces élections autour de la liste du Front de gauche ».
Adjointe à Bourganeuf, Marie-Hélène Chauvat-Pouget souligne « l'enthousiasme » suscité par ces négociations : « Le programme qu'on porte est fait pour donner de l'optimisme aux citoyens ».
Si le parti communiste insiste pour « ancrer à gauche la politique régionale en Limousin », selon les termes du militant associatif Bruno Noble, la persective du 2e tour s'envisage « sans ambiguité », pour Alain Teissedre : « On est là pour battre la droite ».
La première réunion de campagne se déroulera jeudi 4 février, à 20 heures, à la salle polyvalente de Saint-Sulpice-le-Guérétois.
La Montagne
Soirée à Chambon organisée par le Moulin Chancelier le 13 février 2010
Une soirée dansante le 13 fevrier sur le thème des années 80 repas dansant. tarif 16 euros salle des fetes de chambon a partir de 20h.
Au commande de la cuisine, Duron fabienne, la talentueuse chef de cuisine du restaurant "Le Moulin Chancelier".
réservation au : 05.55.82.13.61 - 06.88.76.06.54
Au commande de la cuisine, Duron fabienne, la talentueuse chef de cuisine du restaurant "Le Moulin Chancelier".
réservation au : 05.55.82.13.61 - 06.88.76.06.54
Le MOULIN CHANCELIER ouverture tous les jours
Halte gastronomique au Moulin Chancelier
Une page d'histoire d'Evaux les bains, Le Moulin Chancelier. le rendez vous des paysans qui venaient à l'aide de leur chevaux faire moudre leurs blés.
En attendant, le plaisir de boire un "canon" et casser la croûte. C'était il y a longtemps dans les années vingt, un relais et un endroit convivial ou tout se disait et tout se savait.
Une page d'histoire d'Evaux les bains, Le Moulin Chancelier. le rendez vous des paysans qui venaient à l'aide de leur chevaux faire moudre leurs blés.
En attendant, le plaisir de boire un "canon" et casser la croûte. C'était il y a longtemps dans les années vingt, un relais et un endroit convivial ou tout se disait et tout se savait.
Ce moulin à vécu jusqu'en 1948 ou 1958, j'ai des soucis avec les dates confit monsieur Maret, mais ce que je suis certain, ce sont mes parents qui l'avait achété en 1923.
De nos jours, ce moulin à été détruit et démonté et un restaurant à été créé. Le chef de cuisine Fabienne Duron vous accueille tous les jours pour vous proposer une cuisine gastronomique et raffinée de grand talent et remplie d'originalité.
Cadre chaleureux et service soigné et convivial, pour une cuisine gastronomique très raffinée.
Un menu à partir de 23€ vous séduira.
Le restaurant est ouvert tous les jours et toute l'année avec un menu ouvrier (10€).
rens : 05.55.82.13.61 - 06.88.76.06.54
lundi 25 janvier 2010
Recherche informations
Je suis à la recherche d'informations sur monsieur Duméry, bienfaiteur donateur pour la ville d'Evaux les bains. je souhaiterais écrire un article sur sa résidence à Evaux.
merci au 05.55.65.55.06 ou dom@evaux.fr.
merci par avance
merci au 05.55.65.55.06 ou dom@evaux.fr.
merci par avance
Une bonne nouvelle (peut être un jour aurais je mes fenêtres tant espérées, je dépenserais moins de fuel !)
Plutôt que de payer les factures de chauffage, le gouvernement a décidé de financer les travaux d'isolation. Réunis au ministère de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, Valérie Létard et Benoist Apparu vont présenter ce matin un plan de lutte contre la précarité énergétique que 20 Minutes s'est procuré.
Les trois ministres prévoient ainsi de consacrer 1,25 milliard d'euros à la rénovation de 300.000 logements d'ici à 2017. Quelque 500 millions sont directement issus du grand emprunt. Le reste est financé par l'Agence nationale d'amélioration de l'habitat (Anah) et l'Ademe.
Tables rondes et porte-à-porte
Fenêtres mal isolées, chaudière en panne: les préfets sont chargés d'organiser, dès le mois de mai, des «tables rondes» afin d'identifier les ménages les plus touchés par le phénomène. Selon l'Anah, 300.000 personnes sollicitent chaque année le fonds de solidarité logement pour payer leurs factures d'électricité. «C'est un cataplasme sur une jambe de bois, détaille Philippe Pelletier, qui a présidé un groupe de travail ministériel sur le sujet. Cette fois-ci, on a décidé de réparer la jambe.»
Et les consultations se feront à domicile. Le gouvernement a en effet prévu d'envoyer avant l’été les professionnels effectuer du porte-à-porte dans les foyers. «A la première visite, on leur expliquera les gestes pour réduire leur facture, poursuit Philippe Pelletier. Et après, on fera tout pour les convaincre d'effectuer des travaux.»
Gagnant dès la première année
Principal argument: le coup de pouce financier. S'il accepte la proposition, le foyer touchera 1 500 euros d'aide de l'Etat. L'Anah paiera, elle, 25% du montant des travaux. Auxquels s'ajouteront des crédits d'impôts et des prêts à taux bonifiés. «Nous sollicitons aussi les collectivités locales pour qu'elles participent à hauteur de l'Etat», ajoute une source au ministère de l'Ecologie.
Au final, le foyer «n'aurait» qu'à rembourser 665 euros par an pendant cinq ans pour des travaux estimés à 10 000 euros. «Mais l'économie d'énergie lui rapporterait 750 euros par an», poursuit notre source. Il serait donc gagnant dès la première année!
Plutôt que de payer les factures de chauffage, le gouvernement a décidé de financer les travaux d'isolation. Réunis au ministère de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, Valérie Létard et Benoist Apparu vont présenter ce matin un plan de lutte contre la précarité énergétique que 20 Minutes s'est procuré.
Les trois ministres prévoient ainsi de consacrer 1,25 milliard d'euros à la rénovation de 300.000 logements d'ici à 2017. Quelque 500 millions sont directement issus du grand emprunt. Le reste est financé par l'Agence nationale d'amélioration de l'habitat (Anah) et l'Ademe.
Tables rondes et porte-à-porte
Fenêtres mal isolées, chaudière en panne: les préfets sont chargés d'organiser, dès le mois de mai, des «tables rondes» afin d'identifier les ménages les plus touchés par le phénomène. Selon l'Anah, 300.000 personnes sollicitent chaque année le fonds de solidarité logement pour payer leurs factures d'électricité. «C'est un cataplasme sur une jambe de bois, détaille Philippe Pelletier, qui a présidé un groupe de travail ministériel sur le sujet. Cette fois-ci, on a décidé de réparer la jambe.»
Et les consultations se feront à domicile. Le gouvernement a en effet prévu d'envoyer avant l’été les professionnels effectuer du porte-à-porte dans les foyers. «A la première visite, on leur expliquera les gestes pour réduire leur facture, poursuit Philippe Pelletier. Et après, on fera tout pour les convaincre d'effectuer des travaux.»
Gagnant dès la première année
Principal argument: le coup de pouce financier. S'il accepte la proposition, le foyer touchera 1 500 euros d'aide de l'Etat. L'Anah paiera, elle, 25% du montant des travaux. Auxquels s'ajouteront des crédits d'impôts et des prêts à taux bonifiés. «Nous sollicitons aussi les collectivités locales pour qu'elles participent à hauteur de l'Etat», ajoute une source au ministère de l'Ecologie.
Au final, le foyer «n'aurait» qu'à rembourser 665 euros par an pendant cinq ans pour des travaux estimés à 10 000 euros. «Mais l'économie d'énergie lui rapporterait 750 euros par an», poursuit notre source. Il serait donc gagnant dès la première année!
Sarkozy au fil des minutes sur TF1 le 25 décembre 2010
Sur TF1 hier soir, le Président a défendu sa politique économique et sociale...
L’exercice se répète avec un syndicaliste de l’industrie automobile, un patron de PME ou encore une agricultrice. A chaque fois, Nicolas Sarkozy s’emploie à rassurer, sans toujours apporter de réponse, affirmant qu’il défendra les retraites par répartition, le pouvoir d'achat, ou le CV anonyme. A Bernadette, dont l’employeur n’accepte pas les heures sup', Nicolas Sarkozy promet «d’aller le voir». Enfin une annonce concrète.
sources : 20 minutes.fr
Si vous avez loupé, oublié ou pas souhaité écouter le Président, voici par 20 minutes.fr , le compte rendu minutes par minutes de son débat .
** 1ère partie en bas de billet (avec laurence férary durant le journal)
** 2ème partie avec JP Pernault et 11 invités triès bien sur sur le volet avec les questions que l'Elysés leurs à bien sur insuflé.
Expliquer et mettre en perspective. C'était le programme de Nicolas Sarkozy ce lundi soir pour sa soirée spéciale sur TF1. Pas d'annonce donc mais plutôt un bilan de l’année écoulé: le scénario est le même que celui que s'est imposé le chef de l'Etat depuis le début de l'année à travers ses vœux.
En effet, si Nicolas Sarkozy a clairement énoncé ses objectifs pour 2010 - «faire reculer le chômage et l'exclusion», «réduire nos dépenses courantes», «consolider notre système de retraites» -, les annonces se sont faites beaucoup plus rares cette année. Une stratégie revendiquée par l’Elysée après la flopée de vœux de 2009, largement critiqués pour leurs annonces fracassantes laissées sans suite.
Alors, entre bilan et bonnes paroles, voici déjà les quelques projets concrets énoncés pour les mois à venir: présentation d'un projet de loi visant à protéger artisans et commerçants contre la saisie de leurs biens privés en cas de faillite, mise en oeuvre d'ici à l'été 2010 d'une «carte musique» jeune afin de favoriser le téléchargement légal sur Internet, 30% de boursiers dans l'enseignement supérieur, et mise en place d'un «service civique volontaire, universel et républicain» pour les jeunes.
22h30: On l'avait trouvé très sympa (Sarkozy aussi, d'ailleurs). Et bien, visiblement, elle aime le gouvernement: le PS a déniché une photo de la blonde trentenaire en compagnie de François Fillon
22h26: On remercie tout le monde et c'est le générique. Déjà? Tout le monde sur le plateau semble rester sur sa faim, sauf Pernault, pas mécontent de conclure ce débat qui lui a complétement échappé...
22h25: Sarkozy pense aux Français, pas à son futur mandat. Même pas en se rasant?
22h25: Pas mal d'incompréhensions avec les Français, conclut Pernault. «Les Français jugeront le résultat. Vous n'avez pas des situations faciles, mon travail n'est pas facile», tacle Sarkozy.
22h21: Régler le problème des retraites avant la fin de l'été et la question de la dépendance: quelques promesses qui datent avant que le rideau ne se baisse sur le plateau...
22h20: A Pernault: «Vous ne m'avez pas réservé les cas les plus faciles», rigole Sarkozy. TF1 va se faire taper sur les doigts?
22h16: Sarkozy est bien ennuyé. Mais assure que la situation du retraité est très particulière... et en profite pour parler de la loi sur la protection des artisans : on ne pourra plus saisir leur patrimoine en cas des faillite
22h14: Un peu plus de 400 euros par mois, plus 1.000 par trimestre, pour ce menuisier à la retraite. Il a dû reprendre son activité en empruntant, on a lui a saisi son matériel et sa maison, il a réussi à retrouver un emploi. Ambiance glacée sur le plateau et premières larmes du retraité...
22h11: Emploi: les jeunes et les seniors se sentent inutiles, s'accordent les intervenants sur le plateau. Les grandes gueules de l'émission, l'agricultrice et le syndicaliste en tête, s'immiscent dans le débat. Enfin, ça frémit, mais ça ne bouge pas...
22h08: Chômage des seniors: «un vrai scandale», s'indigne Sarkozy. Le taux d'emploi des seniors est à plus de 39%, contre 38% avant, se félicite le Président. Mais la mesure mise en place par son gouvernement à ce sujet ne sert pas à grand-chose....
22h05: «Vous allez réussir, vous qui êtes tellement sympathique», assure Sarkozy à l'auto-entrepreneuse. Brosse à reluire et auto-satisfaction pour un statut qui a séduit «tellement» de gens.
22h01: Une auto-entrepreneuse prend la parole. Elle est contente mais elle souligne le manque de formation et de soutien. Une question pas trop agressive pour finir l'émission...
22h00: Il ne reste que quelques minutes... Pernault se précipite pour caser un dernier reportage et une dernière interlocutrice
21h59: Le Président promet d'aller voir l'employeur de Bernadette, qui n'accepte pas les heures sup'. Ca, c'est une annonce concrète...
21h57: «Pas de chance» dans sa démonstration: Bernadette ne se trouve dans aucune des catégories aidées qu'invoque Sarkozy. TF1 a déniché la perle rare ou Sarkozy maîtrise mal le sujet des classes moyennes?
21h55: Sarkozy répond à Bernadette, qui se dit «oubliée» des réformes: «Il y a eu un déclassement des classes moyennes»
21h54: l'émission commentée en direct par le Parti socialiste, c'est ici
21h50: Il faut parler dans une famille, dit Sarkozy au sujet de l'Identité nationale, pour ne pas créer un fossé. «Il ne faut pas craindre le débat» sur l'Identité nationale. Bref, Sarkozy défend le débat controversé sans faire d'annonces. Par contre, il évoque la sortie de Jean-Marie Le Pen sur le nom de son petit-fils Solal
21h47: Sarkozy défend le CV anonyme, face à Rex, sceptique. «Je déteste les injustices», assure le président.
21h46: Péle-mêle, Sarkozy invoque les caméras de surveillance et les quotas de boursiers dans les grandes écoles pour aider les quartiers
21h42: Rex salue les efforts de Sarkozy en banlieue. Mais pour le reste c'est pas brillant, assure ce père de 5 enfants, le seul invité issu de la diversité et qui vit... en banlieue
21h38: Première question d'un internaute: ne faudrait-il pas faire moins de réformes? Elle arrive près d'une heure et demie après le début de l'émission, c'est pas très web ça...
21h35: Pierre le syndicaliste, pin's du Che Guevara au revers de sa veste de cuir, reprend la parole pour râler sur les impôts. Nicolas, cravate bleu, lui répond que la France est le pays qui paye le plus d'impôts. Une comparaison qui ne tombe pas à l'eau, pas comme celle avec le bouclier fiscal rapportée par Rue89
21h32: Pernault arrive finalement à s'imposer sur les dépenses de Santé, qui augmentent pour les Français. Mais Sarkozy reprend tout de suite la parole et justifie la réduction des dépenses publiques. Bien tenté, Jean-Pierre...
21h31: Changement de statut des infirmiers qui seront «mieux payés, mais qui partiront à la retraite à 60 ans plutôt que 55 ans». Et la pénibilité, demande son interlocutrice, Martine, infirmière?
21h27:«Je suis prêt à envisager la titularisation progressive des contractuels», promet Sarkozy. Il ne précise pas si ce sera le cas dans l'ensemble de la fonction publique
21h26: Sarkozy justifie le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux: «Il faut moins de fonctionnaires, mais mieux payés»
21h25: Sarkozy fustige les concours. Normal pour celui qui se targue de ne pas être issu du sérail
21h23: Pernault regarde sa montre, un peu énervé. L'émission touche bientôt à sa fin et quatre invités n'ont toujours pas parlé...
21h21: Samir pose une question sur les enseignants non titulaires. Un problème qui regarde toute la fonction publique, selon lui. Ca va faire du monde...
21h16: On se perd entre la plus-value, le volume, le prix du lait... Et on a aussi perdu Jean-Pierre Pernault dans l'étable: le présentateur n'arrive pas à en placer une
21h15: Sarkozy promet de ne pas abandonner l'agriculture. Ca ne rassure pas son interlocutrice. Même quand «Nicolas» l'appelle «Sophie» pour l'apaiser.
21h11: Pour l'instant, aucune annonce de la part du Président. Crise, bilan de son gouvernement, présentation de mesures déjà connues et compassion avec les intervenants: la pédagogie selon Sarkozy
21h10: Une agricultrice prend la parole. Productrice de lait, elle crie sa colère: elle a dû emprunter pour nourrir sa famille. Pour s'y retrouver sur les revendications des producteurs de lait, c'est ici
21h08: Sarkozy détaille les enjeux de la taxe carbone. En gros, c'est pour consommer propre et pour encourager les industriels «à nettoyer les fumées»
21h07: «Nous sommes la dernière génération qui peut faire quelque chose pour éviter un drame écologique. Et la France doit donner l'exemple». Rien que ça.
21h05: l'écotaxe, mise en place en 2012, permettra de financer les infrastructures
21h03: Il faut revenir aux bases du métier de banquier: prêter aux chefs d'entreprise, aux jeunes couples qui veulent investir mais ne PAS jouer sur les marchés, tance Sarkozy
21h02: Sarkozy se félicite de la mise en place d'un médiateur du crédit
20h58: «Ce qui me choque, ce sont les bonus des traders, que j'ai voulu taxer à 50 %, ce qui me choque c'est le salaire d'un patron de banque» après l'affaire Kerviel, explique le Président
20h56: Je préfère avoir un bon patron bien payé qu'un mauvais patron mal payé, assure Sarkozy face au syndicaliste qui se dit choqué par les hauts salaires
20h55: «On ne pas me reprocher de ne pas suivre les dossiers», assure-t-il à propos des délocalisations Renault
20h51: «Il y a délocalisation et délocalisation. Les voitures vendues en France doivent être fabriquées en France», appuie Sarkozy
20h49: Le plan de sauvetage mis en oeuvre par le gouvernement a sauvé la filière automobile en France, assure Sarkozy. Pierre le syndicaliste n'est pas vraiment d'accord. Etonnant...
20h46: Les écrans du plateau diffusent images prétexte et graphiques. On ne sait plus où donner de la tête...
20h45: Ouvrier de la filière automobile, Pierre, le syndicaliste au blouson de cuir, attaque sur le chômage et les délocalisations
20h42: L'alternance est la bonne solution pour trouver un travail, à l'image de l'Allemagne, assure Sarkozy. Manque de bol, Nathalie, son interlocutrice a fini ses études...
20h40: «C'est la crise, Nathalie», explique le Président. Sarkozy évite de répondre aux questions très direct de la jeune diplômée sans emploi, et ramène tout à la crise. Et à la croissance, qu'il va ramener bien sûr
20h39: première question de «Paroles de Français» sur le chômage des jeunes diplômés
20h35: Un syndicaliste, une diplômée sans emploi, une infirmière, un banlieusard,... C'est le panel de TF1 détaillé par Rue89
20h34: Proche des Français? «Il y a la presse» pour rester en contact, mais aussi en parlant avec les Français qu'il rencontre sur le terrain
20h33: Un plateau encombré de petites tables, du bois sombre, des écrans bleus, bref c'est visuellement pas terrible «Paroles de Français»
20h30: Il ne veut pas parler du futur, il se préoccupe seulement des Français...
20h28: Sarkozy ne fera pas campagne , mais tiendra compte du «message» des électeurs. Pas de changement de Premier ministre «discuté à la télévision, même sur TF1»
20h28: les journalistes enlevés en Afghanistan sont en bonne santé, il sera temps de parler responsabilité quand ils rentreront, explique le Président
20h27: La France ne quittera pas l'Afghanistan, pas de nouveaux soldats combattants envoyés sur place
20h25: Sarkozy ira en Haïti, à l'occasion d'un voyage dans les Antilles françaises
20h24: Fin des droits pour 1 million de chômeurs: «La France n'a pas besoin d'assistanat», «On ne laissera tomber personne», assure Sarkozy
20h22: Réforme des retraites: pas question de baisser le montant des pensions et discussion avec tous les partenaires prévue
20h21: le débat sur l'Identité nationale «intéresse les Français»
20h20: le débat sur l'Identité nationale nécessaire pour que les Français ne finissent pas comme un «vieux couple»
20h18: Ceux qui ne sont pas en mesure de demander le statut de réfugié seront renvoyés dans leur pays, cela sera un message fort pour les passeurs, explique Sarkozy. 19 ont été libérés par la justice à Toulouse
20h17: Bref, Proglio «ne prendra pas un centime de Veolia», assure le Président. Selon Le Monde, c'est lui qui a demandé au patron d'EDF de renoncer à sa double rémunération
20h15: Sarkozy exhibe un communiqué syndical pour appuyer son propos. Et attaque Ferrari sur la question du salaire de Proglio, en faisant remarquer à la présentatrice le montant de son propre salaire. Pas classe
20h14: Personne n'avait rien à dire sur le conflit d'intérêt avant la polémique, selon le Président
20h13: Proglio ne «pouvait pas laisser tomber ses hommes», selon Sarkozy
20h11: «un des meilleurs chefs d'entreprise français», dit Nicolas Sarkozy d'Henri Proglio
L’exercice de style était difficile. D’abord invité du «20 heures» de TF1 puis de «Paroles de Français», où il a répondu aux questions de onze citoyens choisis par la chaîne, le président de la République a défendu sa politique économique et sociale. Mais il s’est bien gardé de faire des annonces.
Devant Laurence Ferrari qui l’interrogeait sur «l’affaire Proglio’», Nicolas Sarkozy a affiché son soutien à «l’un des meilleurs chefs d’entreprise français». Alors que de nombreuses voix ont dénoncé le double salaire du patron d’EDF, auquel il a renoncé, mais aussi sa double fonction à EDF et à Veolia (comme président non exécutif), le chef de l’Etat a brandi un tract «de toutes les organisations syndicales de Veolia», réclamant que leur dirigeant assure la transition.
Lorsque la transition sera faite, il se consacrera à 100% à ses fonctions chez EDF», a assuré Nicolas Sarkozy. Quelques minutes plus tard, changement de décor et cette fois c’est un panel de Français qui pose les questions. «C’est la crise, Nathalie», répond-t-il, laconique, à une jeune diplômée qui ne trouve pas de travail. Le Président lui promet tout de même que le chômage baissera «dans les semaines et les mois à venir». Sans avoir l’air de convaincre.
sources : 20 minutes.fr
Si vous avez loupé, oublié ou pas souhaité écouter le Président, voici par 20 minutes.fr , le compte rendu minutes par minutes de son débat .
** 1ère partie en bas de billet (avec laurence férary durant le journal)
** 2ème partie avec JP Pernault et 11 invités triès bien sur sur le volet avec les questions que l'Elysés leurs à bien sur insuflé.
Expliquer et mettre en perspective. C'était le programme de Nicolas Sarkozy ce lundi soir pour sa soirée spéciale sur TF1. Pas d'annonce donc mais plutôt un bilan de l’année écoulé: le scénario est le même que celui que s'est imposé le chef de l'Etat depuis le début de l'année à travers ses vœux.
En effet, si Nicolas Sarkozy a clairement énoncé ses objectifs pour 2010 - «faire reculer le chômage et l'exclusion», «réduire nos dépenses courantes», «consolider notre système de retraites» -, les annonces se sont faites beaucoup plus rares cette année. Une stratégie revendiquée par l’Elysée après la flopée de vœux de 2009, largement critiqués pour leurs annonces fracassantes laissées sans suite.
Alors, entre bilan et bonnes paroles, voici déjà les quelques projets concrets énoncés pour les mois à venir: présentation d'un projet de loi visant à protéger artisans et commerçants contre la saisie de leurs biens privés en cas de faillite, mise en oeuvre d'ici à l'été 2010 d'une «carte musique» jeune afin de favoriser le téléchargement légal sur Internet, 30% de boursiers dans l'enseignement supérieur, et mise en place d'un «service civique volontaire, universel et républicain» pour les jeunes.
22h30: On l'avait trouvé très sympa (Sarkozy aussi, d'ailleurs). Et bien, visiblement, elle aime le gouvernement: le PS a déniché une photo de la blonde trentenaire en compagnie de François Fillon
22h26: On remercie tout le monde et c'est le générique. Déjà? Tout le monde sur le plateau semble rester sur sa faim, sauf Pernault, pas mécontent de conclure ce débat qui lui a complétement échappé...
22h25: Sarkozy pense aux Français, pas à son futur mandat. Même pas en se rasant?
22h25: Pas mal d'incompréhensions avec les Français, conclut Pernault. «Les Français jugeront le résultat. Vous n'avez pas des situations faciles, mon travail n'est pas facile», tacle Sarkozy.
22h21: Régler le problème des retraites avant la fin de l'été et la question de la dépendance: quelques promesses qui datent avant que le rideau ne se baisse sur le plateau...
22h20: A Pernault: «Vous ne m'avez pas réservé les cas les plus faciles», rigole Sarkozy. TF1 va se faire taper sur les doigts?
22h16: Sarkozy est bien ennuyé. Mais assure que la situation du retraité est très particulière... et en profite pour parler de la loi sur la protection des artisans : on ne pourra plus saisir leur patrimoine en cas des faillite
22h14: Un peu plus de 400 euros par mois, plus 1.000 par trimestre, pour ce menuisier à la retraite. Il a dû reprendre son activité en empruntant, on a lui a saisi son matériel et sa maison, il a réussi à retrouver un emploi. Ambiance glacée sur le plateau et premières larmes du retraité...
22h11: Emploi: les jeunes et les seniors se sentent inutiles, s'accordent les intervenants sur le plateau. Les grandes gueules de l'émission, l'agricultrice et le syndicaliste en tête, s'immiscent dans le débat. Enfin, ça frémit, mais ça ne bouge pas...
22h08: Chômage des seniors: «un vrai scandale», s'indigne Sarkozy. Le taux d'emploi des seniors est à plus de 39%, contre 38% avant, se félicite le Président. Mais la mesure mise en place par son gouvernement à ce sujet ne sert pas à grand-chose....
22h05: «Vous allez réussir, vous qui êtes tellement sympathique», assure Sarkozy à l'auto-entrepreneuse. Brosse à reluire et auto-satisfaction pour un statut qui a séduit «tellement» de gens.
22h01: Une auto-entrepreneuse prend la parole. Elle est contente mais elle souligne le manque de formation et de soutien. Une question pas trop agressive pour finir l'émission...
22h00: Il ne reste que quelques minutes... Pernault se précipite pour caser un dernier reportage et une dernière interlocutrice
21h59: Le Président promet d'aller voir l'employeur de Bernadette, qui n'accepte pas les heures sup'. Ca, c'est une annonce concrète...
21h57: «Pas de chance» dans sa démonstration: Bernadette ne se trouve dans aucune des catégories aidées qu'invoque Sarkozy. TF1 a déniché la perle rare ou Sarkozy maîtrise mal le sujet des classes moyennes?
21h55: Sarkozy répond à Bernadette, qui se dit «oubliée» des réformes: «Il y a eu un déclassement des classes moyennes»
21h54: l'émission commentée en direct par le Parti socialiste, c'est ici
21h50: Il faut parler dans une famille, dit Sarkozy au sujet de l'Identité nationale, pour ne pas créer un fossé. «Il ne faut pas craindre le débat» sur l'Identité nationale. Bref, Sarkozy défend le débat controversé sans faire d'annonces. Par contre, il évoque la sortie de Jean-Marie Le Pen sur le nom de son petit-fils Solal
21h47: Sarkozy défend le CV anonyme, face à Rex, sceptique. «Je déteste les injustices», assure le président.
21h46: Péle-mêle, Sarkozy invoque les caméras de surveillance et les quotas de boursiers dans les grandes écoles pour aider les quartiers
21h42: Rex salue les efforts de Sarkozy en banlieue. Mais pour le reste c'est pas brillant, assure ce père de 5 enfants, le seul invité issu de la diversité et qui vit... en banlieue
21h38: Première question d'un internaute: ne faudrait-il pas faire moins de réformes? Elle arrive près d'une heure et demie après le début de l'émission, c'est pas très web ça...
21h35: Pierre le syndicaliste, pin's du Che Guevara au revers de sa veste de cuir, reprend la parole pour râler sur les impôts. Nicolas, cravate bleu, lui répond que la France est le pays qui paye le plus d'impôts. Une comparaison qui ne tombe pas à l'eau, pas comme celle avec le bouclier fiscal rapportée par Rue89
21h32: Pernault arrive finalement à s'imposer sur les dépenses de Santé, qui augmentent pour les Français. Mais Sarkozy reprend tout de suite la parole et justifie la réduction des dépenses publiques. Bien tenté, Jean-Pierre...
21h31: Changement de statut des infirmiers qui seront «mieux payés, mais qui partiront à la retraite à 60 ans plutôt que 55 ans». Et la pénibilité, demande son interlocutrice, Martine, infirmière?
21h27:«Je suis prêt à envisager la titularisation progressive des contractuels», promet Sarkozy. Il ne précise pas si ce sera le cas dans l'ensemble de la fonction publique
21h26: Sarkozy justifie le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux: «Il faut moins de fonctionnaires, mais mieux payés»
21h25: Sarkozy fustige les concours. Normal pour celui qui se targue de ne pas être issu du sérail
21h23: Pernault regarde sa montre, un peu énervé. L'émission touche bientôt à sa fin et quatre invités n'ont toujours pas parlé...
21h21: Samir pose une question sur les enseignants non titulaires. Un problème qui regarde toute la fonction publique, selon lui. Ca va faire du monde...
21h16: On se perd entre la plus-value, le volume, le prix du lait... Et on a aussi perdu Jean-Pierre Pernault dans l'étable: le présentateur n'arrive pas à en placer une
21h15: Sarkozy promet de ne pas abandonner l'agriculture. Ca ne rassure pas son interlocutrice. Même quand «Nicolas» l'appelle «Sophie» pour l'apaiser.
21h11: Pour l'instant, aucune annonce de la part du Président. Crise, bilan de son gouvernement, présentation de mesures déjà connues et compassion avec les intervenants: la pédagogie selon Sarkozy
21h10: Une agricultrice prend la parole. Productrice de lait, elle crie sa colère: elle a dû emprunter pour nourrir sa famille. Pour s'y retrouver sur les revendications des producteurs de lait, c'est ici
21h08: Sarkozy détaille les enjeux de la taxe carbone. En gros, c'est pour consommer propre et pour encourager les industriels «à nettoyer les fumées»
21h07: «Nous sommes la dernière génération qui peut faire quelque chose pour éviter un drame écologique. Et la France doit donner l'exemple». Rien que ça.
21h05: l'écotaxe, mise en place en 2012, permettra de financer les infrastructures
21h03: Il faut revenir aux bases du métier de banquier: prêter aux chefs d'entreprise, aux jeunes couples qui veulent investir mais ne PAS jouer sur les marchés, tance Sarkozy
21h02: Sarkozy se félicite de la mise en place d'un médiateur du crédit
20h58: «Ce qui me choque, ce sont les bonus des traders, que j'ai voulu taxer à 50 %, ce qui me choque c'est le salaire d'un patron de banque» après l'affaire Kerviel, explique le Président
20h56: Je préfère avoir un bon patron bien payé qu'un mauvais patron mal payé, assure Sarkozy face au syndicaliste qui se dit choqué par les hauts salaires
20h55: «On ne pas me reprocher de ne pas suivre les dossiers», assure-t-il à propos des délocalisations Renault
20h51: «Il y a délocalisation et délocalisation. Les voitures vendues en France doivent être fabriquées en France», appuie Sarkozy
20h49: Le plan de sauvetage mis en oeuvre par le gouvernement a sauvé la filière automobile en France, assure Sarkozy. Pierre le syndicaliste n'est pas vraiment d'accord. Etonnant...
20h46: Les écrans du plateau diffusent images prétexte et graphiques. On ne sait plus où donner de la tête...
20h45: Ouvrier de la filière automobile, Pierre, le syndicaliste au blouson de cuir, attaque sur le chômage et les délocalisations
20h42: L'alternance est la bonne solution pour trouver un travail, à l'image de l'Allemagne, assure Sarkozy. Manque de bol, Nathalie, son interlocutrice a fini ses études...
20h40: «C'est la crise, Nathalie», explique le Président. Sarkozy évite de répondre aux questions très direct de la jeune diplômée sans emploi, et ramène tout à la crise. Et à la croissance, qu'il va ramener bien sûr
20h39: première question de «Paroles de Français» sur le chômage des jeunes diplômés
20h35: Un syndicaliste, une diplômée sans emploi, une infirmière, un banlieusard,... C'est le panel de TF1 détaillé par Rue89
20h34: Proche des Français? «Il y a la presse» pour rester en contact, mais aussi en parlant avec les Français qu'il rencontre sur le terrain
20h33: Un plateau encombré de petites tables, du bois sombre, des écrans bleus, bref c'est visuellement pas terrible «Paroles de Français»
20h30: Il ne veut pas parler du futur, il se préoccupe seulement des Français...
20h28: Sarkozy ne fera pas campagne , mais tiendra compte du «message» des électeurs. Pas de changement de Premier ministre «discuté à la télévision, même sur TF1»
20h28: les journalistes enlevés en Afghanistan sont en bonne santé, il sera temps de parler responsabilité quand ils rentreront, explique le Président
20h27: La France ne quittera pas l'Afghanistan, pas de nouveaux soldats combattants envoyés sur place
20h25: Sarkozy ira en Haïti, à l'occasion d'un voyage dans les Antilles françaises
20h24: Fin des droits pour 1 million de chômeurs: «La France n'a pas besoin d'assistanat», «On ne laissera tomber personne», assure Sarkozy
20h22: Réforme des retraites: pas question de baisser le montant des pensions et discussion avec tous les partenaires prévue
20h21: le débat sur l'Identité nationale «intéresse les Français»
20h20: le débat sur l'Identité nationale nécessaire pour que les Français ne finissent pas comme un «vieux couple»
20h18: Ceux qui ne sont pas en mesure de demander le statut de réfugié seront renvoyés dans leur pays, cela sera un message fort pour les passeurs, explique Sarkozy. 19 ont été libérés par la justice à Toulouse
20h17: Bref, Proglio «ne prendra pas un centime de Veolia», assure le Président. Selon Le Monde, c'est lui qui a demandé au patron d'EDF de renoncer à sa double rémunération
20h15: Sarkozy exhibe un communiqué syndical pour appuyer son propos. Et attaque Ferrari sur la question du salaire de Proglio, en faisant remarquer à la présentatrice le montant de son propre salaire. Pas classe
20h14: Personne n'avait rien à dire sur le conflit d'intérêt avant la polémique, selon le Président
20h13: Proglio ne «pouvait pas laisser tomber ses hommes», selon Sarkozy
20h11: «un des meilleurs chefs d'entreprise français», dit Nicolas Sarkozy d'Henri Proglio
L'acteur Maxime Leroux est mort
A l'affiche d'une quarantaine de films et de séries, l'acteur Maxime Leroux est mort des suites d'une longue maladie, à l'âge de 58 ans.
Enseignant en Normandie dans les années 80, il s'était lancé à Rouen dans le métier d'acteur.
A son actif, on dénombre près de quarante films, une quinzaine de pièces de théâtre mais également plusieurs séries.
source; france infos
Enseignant en Normandie dans les années 80, il s'était lancé à Rouen dans le métier d'acteur.
A son actif, on dénombre près de quarante films, une quinzaine de pièces de théâtre mais également plusieurs séries.
source; france infos
Une mairie nouvelle pour Chambonchard
Sur la route de la renaissance, l'inauguration de la nouvelle mairie de Chambonchard marquait sans doute un symbole? que les politiques ne tardèrent pas à réutiliser.
Marie-Pauline Valadeau gueret@centrefrance.com L'épopée rocambolesque aura duré plus de 40 ans. Le projet de barrage sur le Cher qui annonçait l'engloutissement du village sous les eaux est aujourd'hui bien enterré (*). Il était temps pour les habitants de Chambonchard d'écrire l'épilogue de cet épisode peu glorieux.
Avec l'inauguration de la nouvelle mairie, au coeur du bourg, (l'ancienne se trouvant au hameau du Theix), c'est tout le village qui s'apprête à « retrouver son âme », assurait samedi, le préfet Hugues Moutouh. Si tous les ingrédients d'un nouveau départ semblent réunis, ils n'en cachent pas moins les traces encore manifestes d'une profonde amertume. Souvenir d'un antagonisme entre pro et anti barrage, crispation sur la « lenteur » des travaux, il n'en fallait pas plus pour pimenter cette inauguration....
la suite La Montagne du lundi 25 janvier 2010
Marie-Pauline Valadeau gueret@centrefrance.com L'épopée rocambolesque aura duré plus de 40 ans. Le projet de barrage sur le Cher qui annonçait l'engloutissement du village sous les eaux est aujourd'hui bien enterré (*). Il était temps pour les habitants de Chambonchard d'écrire l'épilogue de cet épisode peu glorieux.
Avec l'inauguration de la nouvelle mairie, au coeur du bourg, (l'ancienne se trouvant au hameau du Theix), c'est tout le village qui s'apprête à « retrouver son âme », assurait samedi, le préfet Hugues Moutouh. Si tous les ingrédients d'un nouveau départ semblent réunis, ils n'en cachent pas moins les traces encore manifestes d'une profonde amertume. Souvenir d'un antagonisme entre pro et anti barrage, crispation sur la « lenteur » des travaux, il n'en fallait pas plus pour pimenter cette inauguration....
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Oui, la Creuse, c'est la France profonde, et tout le monde ne peut en dire autant. Au moins, les Creusois, eux, n'ont pas de problème avec leur identité, ils savent qui ils sont, d'où ils viennent et où ils vont ».
Pour ses premiers voeux aux Creusois, le préfet Hugues Moutouh a fait montre d'une farouche détermination à convertir les supposés handicaps de la Creuse en atouts.
Troisième grand thème de l'intervention d'Hugues Moutouh, le traitement dont doit bénéficier de l'État un département comme la Creuse.
« La faible densité de population, la faible industrialisation, la permanence de situations de grande précarité appellent une politique de discrimination positive. La Creuse mérite un traitement qui lui soit propre, un surcroît d'égalité pour se hisser au niveau des autres ». Et, reprenant l'expression consacrée par Nicolas Sarkozy lui-même : « On ne peut pas renvoyer dos à dos la Creuse et les Hauts-de-Seine », il a conclu sur ce point que « si les territoires ruraux continuaient à se voir appliquer des réglementations qui instituent des seuils et autres critères abstraits, alors la Creuse, le Cantal ou la Lozère n'auront plus qu'à sortir de l'Histoire et à se transformer en immenses réserves d'Indiens ».
Quatrième idée : l'État n'abandonnera pas la Creuse. Hugues Moutouh a ainsi énuméré les aides déversées en Creuse à un titre ou à un autre sans oublier, bien sûr, le plan de relance.
Mais le point fort, cinquième et dernier dans la liste, de son intervention a été son évocation de l'avenir de la Creuse : « Le département peut participer à l'invention du monde de demain. Il n'a pas été en mesure de profiter pleinement de la révolution industrielle. Mais il a aujourd'hui toutes les armes pour devenir l'eldorado français de l'or vert. Faisons ensemble de la Creuse un véritable laboratoire national de l'économie verte, en favorisant l'innovation et l'expérimentation dans un secteur qui va structurer le monde de demain ».
Et de citer les nombreux projets éclos dans le département : « Le bois-chauffage avec le projet de l'Immobilier humaniste, la méthanisation avec la société Abiodis, et celui de M. Giraud à Chénérailles, la production de carburant vert avec le projet de trituration de colza dans la région de Bonnat, l'éolien avec les nombreux projets de ZDE et le photovoltaïque avec plusieurs projets de centrales. Quand on voit tous ces projets éclore sans plan concerté, allant tous dans la même direction, on se dit qu'il y a là quelque chose à faire, un créneau à prendre. C'est pourquoi je souhaite que, tous ensemble, nous fassions tout notre possible pour que fleurissent en Creuse des pépinières de technologies vertes ».
La Montagne
Face à plusieurs centaines de personnes représentant tous les secteurs, toutes les tendances politiques, toutes les institutions d'une Creuse pas au mieux de sa forme, il fallait un certain culot pour, à peine débarqué à Guéret, se montrer convaincu qu'on peut transformer le département en « eldorado ». Le nouveau préfet Hugues Moutouh l'a fait en prononçant, à l'occasion de ses voeux aux Creusois, une longue intervention (40 minutes !) sans temps mort et marquée par la volonté farouche d'enrayer le mauvais destin que certains destinent aux départements de la France profonde.
Que retenir de ce très dense plaidoyer en faveur de la Creuse ? Première idée, que les Creusois peuvent être fiers de leur histoire. Et de rappeler que le département fut, très tôt, un bastion républicain et laïc et qu'elle paya un lourd tribut dans la lutte contre l'occupant durant la dernière guerre.
Deuxième idée : la ruralité qui caractérise la Creuse ne doit plus être considérée comme un handicap mais comme un caractère à revendiquer : « Oui, la Creuse, c'est la France profonde, et tout le monde ne peut en dire autant. Au moins, les Creusois, eux, n'ont pas de problème avec leur identité, ils savent qui ils sont, d'où ils viennent et où ils vont ».
Troisième grand thème de l'intervention d'Hugues Moutouh, le traitement dont doit bénéficier de l'État un département comme la Creuse.
« La faible densité de population, la faible industrialisation, la permanence de situations de grande précarité appellent une politique de discrimination positive. La Creuse mérite un traitement qui lui soit propre, un surcroît d'égalité pour se hisser au niveau des autres ». Et, reprenant l'expression consacrée par Nicolas Sarkozy lui-même : « On ne peut pas renvoyer dos à dos la Creuse et les Hauts-de-Seine », il a conclu sur ce point que « si les territoires ruraux continuaient à se voir appliquer des réglementations qui instituent des seuils et autres critères abstraits, alors la Creuse, le Cantal ou la Lozère n'auront plus qu'à sortir de l'Histoire et à se transformer en immenses réserves d'Indiens ».
Quatrième idée : l'État n'abandonnera pas la Creuse. Hugues Moutouh a ainsi énuméré les aides déversées en Creuse à un titre ou à un autre sans oublier, bien sûr, le plan de relance.
Mais le point fort, cinquième et dernier dans la liste, de son intervention a été son évocation de l'avenir de la Creuse : « Le département peut participer à l'invention du monde de demain. Il n'a pas été en mesure de profiter pleinement de la révolution industrielle. Mais il a aujourd'hui toutes les armes pour devenir l'eldorado français de l'or vert. Faisons ensemble de la Creuse un véritable laboratoire national de l'économie verte, en favorisant l'innovation et l'expérimentation dans un secteur qui va structurer le monde de demain ».
Et de citer les nombreux projets éclos dans le département : « Le bois-chauffage avec le projet de l'Immobilier humaniste, la méthanisation avec la société Abiodis, et celui de M. Giraud à Chénérailles, la production de carburant vert avec le projet de trituration de colza dans la région de Bonnat, l'éolien avec les nombreux projets de ZDE et le photovoltaïque avec plusieurs projets de centrales. Quand on voit tous ces projets éclore sans plan concerté, allant tous dans la même direction, on se dit qu'il y a là quelque chose à faire, un créneau à prendre. C'est pourquoi je souhaite que, tous ensemble, nous fassions tout notre possible pour que fleurissent en Creuse des pépinières de technologies vertes ».
La Montagne
dimanche 24 janvier 2010
Vidéo du tremblement de terre a Haïti
envoyez vos dons à la Croix Rouge, Actioncontrela faim... ou à des associations que vous connaissez, mais envoyer ...
Concert au casino d'Evaux les bains
Un concert de jazz avait lieu ce vendredi 22 janvier au casino d'Evaux les bains. Des reprises américaines pour le plaisir d'une rencontre artisitique avec un quartet en devenir.
TF1 : l'équipe de "Tous Ensemble" abandonne une famille en plein chantier !
Un remake d'Evaux les bains, vous ne le savez peut être pas, mais une émission de ce type devait être tournée dans notre ville et à été abandonnée trois jours avant le tournage. Tout le matériel était stocké à Evaux mais l'émission à été tout simplement annulée.
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Cette semaine, ce couple de l'Orne (61) a appris que l'émission "Tous Ensemble" allait miraculeusement changer sa vie : le débonnaire Marc Emmanuel devait débarquer chez eux accompagné d'une armée de bénévoles pour retaper leur maison insalubre.
"Tous Ensemble", c'est cette émission de TF1 diffusée le samedi après-midi : chaque semaine, ce remake français des Maçons du Coeur se rend chez des familles en grande difficulté financière pour refaire leur maison à neuf avec l'aide de bénévoles locaux.
Le programme, produit par Julien Courbet, avait déjà fait l'objet d'une polémique d'ampleur : l'équipe de production promettait aux bénévoles des citations de leur magasin à l'antenne, ce qui n'a jamais eu lieu puisque c'est interdit par le CSA.
Cette fois, c'est une histoire assez sordide que révèle le quotidien Ouest France : loin de ses cris de motivation et de ses victoires lacrymales, Marc Emmanuel a complétement laissé tombé la famille Roche.
Angélique Roche confie volontiers sa déception.
Cette mère de deux enfants, enceinte de plusieurs mois, habite une caravane de 15 m2 depuis que le chantier entrepris par son mari est voué à l'échec : le terrain sur lequel il a voulu construire leur maison en bois est insalubre, rongé par l'humidité, bref : inhabitable.
Si le couple admet des erreurs au moment de l'achat de la parcelle, il n'a pas été aidé par le destin : le mari d'Angélique avait déjà été escroqué de 48 000 euros en 2007, plongeant la famille dans une précarité extrême.
Avec un profil aussi miséreux, la famille Roche a évidemment attiré l'attention des équipes de Julien Courbet qui se sont rendu sur place une première fois pour un répérage, puis une seconde pour organiser le chantier prévu sur une durée de cinq jours. En milieu de semaine, tout était prêt pour commencer : le tournage débute mercredi.
Là, le mari d'Angélique va devoir confier en détails sa vie de pauvre : l'endettement, le RSA, les Restos du Coeur pour nourrir ses enfants, etc.
Dans le même temps, les équipes de la Concepteria partent à la recherche de bénévoles locaux. Et se font expliquer par un électricien que les 9mm constituant le plancher de la maison des Roche ne conviennent absolument pas à des aller-venues massives au risque de s'effondrer.
La production tranche dans la nuit : le chantier, qui ne peut pas être assuré en l'état, est abandonné.
Tout le monde rentre à Paris, et la famille Roche se démerdera.
Une journaliste de l'émission explique que "c'est triste mais c'est le seul choix" tandis que Marc-Emmanuel, visiblement penaud, demande au maire de la commune de trouver un HLM à la famille. La famille Roche ne cache pas sa déception, expliquant qu'elle n'a jamais demandé à être relogée.
Fureur, également, des nombreuses personnes mobilisées par la prod pour le tournage : un traiteur qui avait préparé des centaines de plats, mais aussi des artisans et bénévoles par dizaines...
Même le maire de la ville condamne l'empressement avec lequel a agi la production de l'émission qui, à l'heure qu'il est, n'a pas souhaité réagir officiellement.
Un "Moelleux aux noisettes" qui marche bien en Creuse
Une année très bénéfique confit le directeur, avec 20% de chiffre d'affaire pour la patisserie industrielle "Les comtes de la Marche" à la Celle sous Gouzon.
Maître pâtissier, Jacques Brunet crée La Pâtisserie les Comtes de la Marche en 1999. Son objectif : produire industriellement mais avec une qualité artisanale, un gâteau, « le moelleux aux noisettes », basé sur une ancienne recette du terroir creusois.
Le moelleux est aujourd’hui décliné en moelleux aux noix, moelleux aux amandes et moelleux à la noix de coco. Les gâteaux, sans conservateur, sont commercialisés en grandes surfaces et auprès des grossistes. En 2006, l’entreprise a réalisé 10% de son chiffre d’affaires à l’export (Allemagne…) et commence à commercialiser en Italie. La transmission de la société, en 2006, a conduit à un rapprochement avec sept entreprises, toutes spécialisées dans la fabrication de produits alimentaires de terroir.
L’entreprise a obtenu le prix de la 1ère entreprise du Limousin en matière économique et financière au salon planète PME de Paris, en janvier 2005.
Maître pâtissier, Jacques Brunet crée La Pâtisserie les Comtes de la Marche en 1999. Son objectif : produire industriellement mais avec une qualité artisanale, un gâteau, « le moelleux aux noisettes », basé sur une ancienne recette du terroir creusois.
Le moelleux est aujourd’hui décliné en moelleux aux noix, moelleux aux amandes et moelleux à la noix de coco. Les gâteaux, sans conservateur, sont commercialisés en grandes surfaces et auprès des grossistes. En 2006, l’entreprise a réalisé 10% de son chiffre d’affaires à l’export (Allemagne…) et commence à commercialiser en Italie. La transmission de la société, en 2006, a conduit à un rapprochement avec sept entreprises, toutes spécialisées dans la fabrication de produits alimentaires de terroir.
L’entreprise a obtenu le prix de la 1ère entreprise du Limousin en matière économique et financière au salon planète PME de Paris, en janvier 2005.
samedi 23 janvier 2010
Si la Creuse veut garder ses deux circonscritpions, la solution ne peut venir que du Congrès
Les deux députés creusois, l'UMP Jean Auclair et le socialiste Michel Vergnier, ont voté, pour une fois ensemble, contre le projet de redécoupage électoral qui ne laisserait à la Creuse qu'une seule circonscription contre deux aujourd'hui.
Mardi dernier, à l'Assemblée nationale, les deux députés creusois ont voté contre le projet du gouvernement de redécoupage électoral, projet qui, on le sait, supprime de facto une des deux circonscriptions de la Creuse et de la Lozère.
Sans surprise, le texte a été adopté mais les deux parlementaires creusois ont déposé, chacun de leur côté, la même proposition de loi visant à inscrire dans la constitution le fait que « le nombre de députés ne peut être inférieur à deux pour chaque département ».
Dans les motifs qui les ont poussés à déposer une proposition de loi, tant Michel Vergnier que Jean Auclair soulignent
A lire dans la Montagne ce dimanche 24 janvier 2010
Mardi dernier, à l'Assemblée nationale, les deux députés creusois ont voté contre le projet du gouvernement de redécoupage électoral, projet qui, on le sait, supprime de facto une des deux circonscriptions de la Creuse et de la Lozère.
Sans surprise, le texte a été adopté mais les deux parlementaires creusois ont déposé, chacun de leur côté, la même proposition de loi visant à inscrire dans la constitution le fait que « le nombre de députés ne peut être inférieur à deux pour chaque département ».
Dans les motifs qui les ont poussés à déposer une proposition de loi, tant Michel Vergnier que Jean Auclair soulignent
A lire dans la Montagne ce dimanche 24 janvier 2010
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