jeudi 18 février 2010

Un hard discount à Evaux les bains

77% des votants sur le site sont demandeurs d'un magasin HARD DISCOUNT à Evaux les bains.

De nombreux résidents d'Evaux se retrouvent déjà dans ce type de magasin à Montluçon et déserte le commerce local. Alors pourquoi ne pas garder la clientèle dans la ville et je suis certain qu'un apport de clientèle sera élargit à Evaux et qu'un élan de concurence s'ouvrira.

Vous allez me dire, et le commerce local !

Il y aura toujours un type de client pour chaque enseigne et chaque commerce. On ira pas chez "LiddL" pour acheter sa viande " il n'en propose presque pas, on ira pas acheter un souvenir local, on ira chez Steiner, ni pour la bijouterie....
Et il serai préférable de voir nos résidents rester à Evaux que d'aller à Chambon, Auzances et Montluçon.

Le hard discount alimentaire est un concept construit sur des prix bas 20 à 30 % inférieurs aux GMS, des accords solides et de longue durée avec les fournisseurs pour réduire les coûts d’achat. et enfin des marges réduites pour augmenter les volumes de vente.

En entrant cette année dans leur magasin Carrefour, les clients ont pu voir une mise en scène particulièrement parlante : trois chariots compor tant des produits du même type, mis côte à côte. Le premier chariot ne comportait que des produits de la marque « 1 », le nom des premiers prix chez Carrefour; le second chariot ne comportait que des produits à la marque de distributeur Carrefour, le troisième ne présentait que des produits de grandes marques. S’il n’achetait que des produits dits « premiers prix » le client ne payerait que 44,76 euros, alors qu’il payerait 78,06 euros s’il s’agit de produits à la marque Carrefour et 119,78 euros soit 2,67 fois plus cher, s’il achetait les grandes marques.

Histoire
Une forme de hard-discount (non alimentaire) est apparu en 1917 aux Etats-Unis. Le hard-discount alimentaire est réellement inventé en Allemagne dans la période post-seconde guerre mondiale (1947) par les frères Albrecht fondateurs d’ Aldi.L’arrivée de ce phénomène en France se fait durant l’année 1988, après un échec dans les années 70.
Depuis le hard-discount s’est fait une « place au soleil » en France, avec 13.3% du marché de l’alimentaire en 2005 (source: management.journaldunet.com) et 69% des ménages qui fréquentent ces magasins à prix réduits (source: secodip.fr).

De nombreux magasin moins de 1000 M2 sont déjà installé en Creuse. Une volonté, une politique.
Longtemps considéré comme le « supermarché du pauvre », le hard discount encore appelé maxi-discompte, séduit une clientèle de plus en plus large. Selon une récente étude de l’Institut Iri Sécodip, 62% des Français ont fait, au moins, une fois leurs courses dans un magasin de ce type en 2002. La progression de ce circuit de distribution est impressionnante puisque la première implantation d’un hard discount en France remonte à 1988.
Tantôt magasin de proximité, tantôt magasin de grosses courses alimentaires, ce circuit rivalise de plus en plus avec la grande distribution alimentaire « classique » que sont les hypers et les supermarchés. En outre, le passage à l’euro a contribué en partie au développement de cette forme de distribution. En ne touchant pas au prix, les enseignes de hard discount ont rassuré le consommateur à un moment où ceux-ci avaient le sentiment que d’autres profitaient de la situation.



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