samedi 29 janvier 2011

Le téléfilm Tout est bon dans le cochon avec Saïda Jawad en tournage en Creuse

Les équipes de France 3 Lyon et d'Alchimic Films ont investi tour à tour les communes de Peyrat-la-Nonière et Pionnat, pour le tournage de Tout est bon dans le cochon.


Débuté le 15 novembre à Peyrat-la-Nonière, le tournage du téléfilm Tout est bon dans le cochon fait halte à Pionnat jusqu'au 16 décembre.

Réalisé par David Delrieux et écrit par Saïda Jawad, le téléfilm a trouvé en Creuse, le cadre parfait à sa fiction, tant par les décors que par le thème abordé.

L'actrice-scénariste nous raconte la trame de l'histoire :

« Sophia Eltrani est une jeune femme de 30 ans d'origine marocaine, qui galère à Paris, elle ne trouve pas d'emploi stable, elle vit de petits boulots...

Et puis un jour, on lui propose de reprendre cette charcuterie municipale à Beauséjours et de refabriquer la fameuse Beauséjouroise, la saucisse de porc, spécialité de la commune... Elle n'y connaît rien, en plus est musulmane, mais pour elle c'est l'unique opportunité d'avoir un travail stable, une vie stable ».

Vont s'enchaîner gentils mensonges et quiproquos, rencontre amoureuse et péripéties, au coeur de Beauséjours, qui, peu à peu, va bouleverser sa vie, tout comme elle, va bouleverser la vie du village.

« C'est vrai qu'elle est différente de ces gens-là parce qu'elle vient de la ville, qu'elle est maghrébine, jeune, dynamique, elle est doublement étrangère dans ce village, où on la trouve trop jolie, trop jeune, trop beurette, pour être "charcutière", sourit Saïda Jawad, mais ce qui m'intéressait c'est de montrer que finalement, ce corps étranger, va redonner un peu de vie à ce village, va lui permettre de renaître ».

L'interview de la comédienne Saïda Jawad cliquer

les premières fleurs


jardin Evaux les bains

les crocus sont sortis, apporteraient'ils le printemps....

Candidats UMP aux cantonales : Prêcher le quotidien, pas le sarkozysme

Se présenter proches des Creusois loin des querelles politiciennes... Telle était l'ambition, hier, des neuf candidats aux cantonales 2011 réunis autour de Jean Auclair. Au point de s'afficher plus "Creusois" que "Sarkozystes".

Si le ton de la campagne, à droite, a été donné par la présentation de ses candidats aux cantonales 2011, hier à Saint-Sulpice-les-Champs, alors elle sera... gentille.

Si gentille que lesdits candidats ont expliqué avoir choisi cette commune et ce canton pour rencontrer la presse, juste car l'on était au centre du département, parmi une population pouvant symboliser les aspirations de tous les Creusois.Le fait que le PS ait subi un revers, ici, en perdant son candidat - Michel Conchon - qui lui a claqué dans les doigts, il y a quelques semaines, n'a donc rien à voir dans l'affaire. Gentil, donc.
Si gentil, que la liste a été présentée et, l'esprit de la campagne détaillée par Valérie Simonet, conseillère générale d'Auzances, la figure la plus avenante que l'UMP puisse proposer avec son pendant masculin, Jean-Baptiste Auroy, candidat à reprendre ce canton de Saint-Sulpice à la gauche.
Deux gentils, donc... mais où était donc Jean Auclair ? Au second rang, discret, maugréant à peine et laissant parler et se dérouler ce long fleuve tranquille qui doit embarquer les Creusois dans un contrat de proximité avec ce camp...
Quel est-il d'ailleurs ? UMP ? « Non, nous ne voulons pas faire de la politique politicienne, nous voulons nous mettre au service des Creusois, c'est tout, tonne Jean Auclair en reprenant de la voix. Nous ne sommes pas comme le PS qui veut des encartés dans tous les cantons ».

Il y aura donc des UMP, mais pas que... D'ailleurs, on pose la question à la cantonade : « Êtes-vous tous sarkozystes, au moins ? ».
Et plusieurs têtes répondent par la négative.La proximité, donc... La mieux à même de faire oublier que le pouvoir en place à l'Élysée est en panne de popularité : « Des cantonales, ce sont des élections locales, rien à voir avec le national », souligne Jean Auclair.

La proximité que veulent refléter les réflexions du tandem Simonet\Auroy, c'est celle du quotidien : « Celle de la famille qui a besoin de faire garder le petit, qui a besoin du transport scolaire, que veut se faire soigner... ».Prêcher le quotidien, pas le sarkozysme

Et de détailler en quoi, s'ils réussissent l'alternance, ils orienteront les décisions du Conseil général dans l'amélioration de ce quotidien. En réfléchissant au mode de gardes de proximité, en finançant l'installation de médecins par des bourses, en privilégiant l'amélioration du réseau de voirie départementale plutôt que les projets « surdimensionnés » de l'actuelle majorité...

« Avait-on besoin d'une aussi grosse médiathèque à Guéret ? D'un aussi gros conservatoire ? A-t-on besoin d'un aussi gros musée de la Tapisserie à Aubusson ? Interroge Gérard Gaudin (Châtelus-Malvaleix, sortant). Des projets à la dimension de la Creuse, oui ! Et cela fera quelques millions de plus à mettre sur nos routes départementales ».

Et les "Auclairistes" - puisqu'il faudra bien les qualifier un jour - de défendre deux points de vue : le Département ne pilote pas assez les grands projets devant répondre aux plus évidents besoins de la Creuse.

Que ce soit les maisons de santé - « pourquoi est-il absent du dossier des maisons de santé ? Pourquoi ne propose-t-il pas un maillage entre elles ? - ou la petite enfance.

Ensuite, ils proposent une nouvelle manière de distribuer les financements départements. Actuellement, les communes doivent obéir à des critères avant de pouvoir passer au guichet départemental.

Cela devant garantir une attribution équitable en fonction de données objectives. Valérie Simonet, elle, préfère parler « d'équité » : « Il y a des secteurs creusois qui ont besoin de plus de soutiens que d'autres, il faudrait savoir les privilégier en fonction de leurs difficultés réelles et de leurs handicaps ».

par La Montagne

Infos du jour

L'Egypte en colère attend son nouveau gouvernement Au lendemain du «vendredi de la colère» et après quatre jours de violentes manifestations anti-gouvernementales ayant fait au moins 27 morts, le...

Egypte: les départs de touristes français suspendus Nouveau coup dur pour les voyagistes français: après la suspension mi-janvier des départs vers la Tunisie, ce sont les départs vers l'Egypte prévus...

JAMEL DEBBOUZE : « On est tous du même clan, celui de la France » L’avantage avec Jamel, c’est que l’atmosphère se détend aussi vite que fusent ses vannes. « Vous, Sylvain, je vous aime bien, je vous invite à mon...

Mondial de handball : les Bleus affronteront le Danemark en finale A une marche d'un nouveau triomphe, la France ne cesse d'impressionner la planète handball. Vendredi soir à Malmö (Suède), les Bleus ont obtenu...

Agression homophobe: 16 à 20 ans de prison pour les tortionnaires Les jurés ont suivi vendredi les réquisitions de l'avocat général contre les quatre tortionnaires de Bruno Wiel, qui avait stigmatisé un «cas...

vendredi 28 janvier 2011

recherche magasin pour dépot point relais

Que reherche MD Services

Des points relais dans chaque ville et villages de France Métropolitaine où faire livrer les colis de son client « photos-fun «

Pour les villes de 0 à 2000 habitants : 1 point relais
Pour les villes de 1000 à 3000 habitants :2 points relais
Pour les villes de 3000 à 5000 habitants : 3 points relais
Pour les villes de 5000 à 10000 habitants : 4 points relais
Pour les villes de 10000 et plus habitants : 5 à 10 points relais

Pour le démarrage nous pourrions voir à la hausse ses chiffres dès que nécessaire

Ce que nous offrons
- Une commission , une fois par mois , de 15% du montant total des colis que nos points relais reçoivent et restitue aux clients .cette commission est versée par virement bancaire comme l’exige la loi Française et Européenne .

- Nous répertorions tous nos points relais sur le site www.photos-fun.com.
- Nous signons une convention de 12 mois renouvelable par tacite reconduction si l’une des deux parties ne résilie pas. En cas de cessation d’activité la convention s’annule sans délais sur simple demande.
- Pas d’investissement financier, ni de frais d’adhésion ni de caution

- Qui cherchons nous ?

- Tous commerçants, artisans avec pignon sur rue avec un numéro de siret français dans n’importe quelle ville de France Métropolitaine désireuse d’augmenter ses revenus facilement et sans risques
- Pourquoi signer avec MD Services ?
- Pour avoir une revenu supplémentaire n’est pas la seul bonne raison, il y a aussi le fait que certains clients qui ne venaient pas nécessairement dans votre magasin viendront rechercher leurs colis, mais aussi … pas de soucis de clients mécontent MD Services règle tous avec le sourire et la rapidité

- Qui contacter ?
- Muriel DEBRUYNE AU 06 66 13 44 02 ou infomdservices@gmail.com .

jeudi 27 janvier 2011

idée de promo, cadeaux....



Carte de crédit USB (1Mo) avec le logo de votre association, entreprise, nom de la ville.
15€ ht mini commande 50 pièces
conception maquette comprise

renseignement : 06.09.04.21.79

Les nouveaux directeurs du casino d'Evaux les bains

crédit photo : La Montagne
Monsieur et Madame Brabant ont quittés le bord de la mer pour la campagne d'Evaux les bains.
Originaire du nord, la directrice à intégrée dans le groupe Partouche il y a  32 ans.

Après 27 années à Saint Amand les eaux, c'est en 2006 que Sylvie prend la direction du nouveau casino de "La Ronce les bains" (Tremblade) ou j'ai eu le plaisir de faire quelques animations.

Elle dirige maintenant le casino d'Evaux les bains en remplacement de monsieur Sauvanet qui nous a quitté pour Saint Nectaire en début d'année.

"Bienvenue au chti's" en creuse dans ce beau casino à Evaux les bains.

Ils ont frôlé la mort sur la RCEA, encore et encore cela va s'arrêtter quand ?

«Je n’ai qu’une seule vie ». La chanson de Gérald De Palmas résonne au quotidien dans la tête de Laurent Marsan. Comme un mantra pour canaliser un esprit incessamment tourmenté. Depuis ce 6 janvier 1997. Accident sur la RCEA, à Cressanges, dans l’Allier : « D’une extrême violence. Il y a la vie avant et la vie après ». Et quatorze ans après, « cet accident, c’est comme un chewing-gum que tu étires à l’infini. Tu as un gros bout dans la bouche et il s’affine au fur et à mesure que tu l’allonges ».

Dernier jour des vacances de Noël. Laurent, sa femme, Sophie, et leurs quatre enfants, rentrent à Saint-Jacques-des-Blats, dans le Cantal, à bord du J5 qu’il conduit. Laurent aperçoit soudain face à lui « un véhicule de neuf places couché, qui glisse avec sa remorque, en travers des deux voies. J’ai hurlé “non” en écrasant le frein ». Même à « 60-70 », le choc est inévitable : un mort ; treize blessés.

Des mois d’hospitalisation et de rééducation. Fracture et luxation de la hanche, nerf sciatique endommagé, Laurent est opéré et hospitalisé à Moulins, puis en centre de rééducation, jusqu’en avril. Avec Louison, 4 ans, jambes et fémurs brisés. Zoé, 2 ans, souffre de contusions. Léa, 4 mois, est indemne. Plus grièvement blessé (jambe et bras cassés ; fracture ostéo-méningée entre les yeux), Simon, 5 ans, est transféré à Clermont-Ferrand, où il sera plongé quinze jours dans le coma et hospitalisé cinq mois. Sa mère, Sophie, polytraumatisée, devra subir treize interventions chirurgicales (pieds, jambes, ?il, etc.) avant de retrouver figure humaine.

Un nouveau propriétaire pour le casino, monsieur sauvanet

« Il n'y a pas de hasard dans la vie, il n'y en a qu'au jeu. »

Thierry Sauvanet, nouveau propriétaire du casino de Saint-Nectaire n'imaginait pas, voilà un an, un tel challenge à 50 ans. Depuis quelques jours, il est le nouveau propriétaire de la SAS qui exploite le casino de Saint-Nectaire et prend ainsi, près de 40 ans après, la succession de son père qui avait exploité l'établissement de 1964 à 1970.

Au-delà du clin d'oeil familial, Thierry Sauvanet et Zed, sa compagne, veulent redorer le blason de ce casino en grande difficulté depuis plusieurs années.

« Le secret de la réussite est lié aux jeux et aux animations, explique le nouveau propriétaire. Après avoir été fermé pendant un an et demi, nous rouvrons le restaurant demain. Dès ce soir (jeudi, NDLR), nous organisons notre première soirée à thème en célébrant le nouvel an russe. Le 14 février nous fêterons la Saint-Valentin avec une animation cubaine. Dans le cahier des charges qui nous lie avec la commune, nous avons aussi inscrit des soirées cabaret, théâtre, des thés dansant. Au cours de l'été nous participerons aussi à l'animation de la commune avec des animations en extérieur. Bref, il faut redonner un esprit casino, un esprit fête à ce lieu ».

Successivement directeur des casinos de Royat, Châtel-Guyon, Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes) et jusqu'au 31 décembre dernier d'Évaux-les-Bains (Creuse), appartenant tous au groupe Partouche, Thierry Sauvanet est à la tête d'un établissement qui compte 28 salariés, 50 machines à sous, une table de jeux, une salle de spectacle, un bar lounge et un restaurant. (*).

Le groupe Partouche, qui se désengage des casinos à faible rentabilité, avait décroché la délégation de service public lancé par la commune, propriétaire du bâtiment, avant de céder ses actions à Thierry Sauvanet. Ce dernier attend désormais le renouvellement de son autorisation d'exploiter les jeux prévus en mars prochain. L'ouverture d'une table de poker a d'ailleurs été demandée. Quant au résultat, sans préjuger, Thierry Sauvanet explique que « nous avons fait en sorte de répondre aux attentes de la municipalité et de la police des jeux, nous ne pouvons donc qu'être optimistes ».

Les deux soeurs disparues retrouvées dans un hôpital

Les deux soeurs disparues retrouvées dans un hôpital
Agrandir la photo .Articles liés
Ouf! Les deux soeurs de 13 mois et 12 ans disparues à Cergy-Pontoise ont été retrouvées
Elles avaient disparu mardi midi de leur domicile familial, situé dans le quartier des Linandes vertes à Cergy, dans le Val-d'Oise. Les deux soeurs, Rose-Kerlie et Elisabeth, âgées de 12 ans et de 15 mois, ont finalement été retrouvées saines et sauves mercredi soir à l'hôpital de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), a indiqué la préfecture du Val-d'Oise, confirmant une information de la radio RTL .

Retrouvées par une dame mercredi midi dans la rue, l'adolescente et sa petite soeur ont d'abord été conduites à la caserne des pompiers de Levallois, puis à l'hôpital. Ce n'est que jeudi matin que les pompiers ont fait le rapprochement avec la disparition de Rose-Kerlie et d'Elizabeth, pour qui un appel à témoins avait été lancé mercredi après-midi par la police. Une centaine de policiers, quinze pompiers accompagnés de six chiens et un bateau équipé d'un sonar circulant sur l'Oise avaient également été mobilisés pour les recherches.

Enlèvement écarté dès mercredi

Mercredi, le procureur de la République du Val-d'Oise avait écarté la piste d'un «enlèvement» ou d'une «infraction pénale». «La maman des deux fillettes, qui les élève seule, s'est aperçue à son retour qu'elles n'étaient plus au domicile familial situé dans le quartier des linandes vertes à Cergy», avait précisé Le Parisien . «Elles se trouvaient dans l'appartement en présence de leur soeur aînée qui, elle, a repris le chemin du collège. Elles auraient ensuite été accueillies par un voisin. Depuis, les parents sont dans l'attente». Rose-Kerlie, 12 ans, est «handicapée», souffrant «d'un retard mental» et d'asthme, selon l'appel à témoin qui avait été lancé par la police.

Mercredi matin, l'un des chiens des pompiers avait marqué la trace des fillettes au niveau de la gare des Hauts de Cergy... lire la suite de l'article sur www.lefigaro.fr

offre emploi Chambon

POUR DES REMPLACEMENTS DE CONGES D'ETE 2011, VOUS AIDEZ LA PERSONNE A SON MAINTIEN A DOMICILE (AIDE AU LEVER,COUCHER, A S'HABILLER, A LA REALISATION DES REPAS, FAIRE LES COURSES, NETTOYAGE ET ENTRETIEN DE LA MAISON,ENTRETIEN DU LINGE, PROMENADE...), PHASE DE RECRUTEMENT FIN MAI 2011.

anpe Aubusson

mercredi 26 janvier 2011

Avant première au cinéma à Evaux les bains

Les infos du jour

Espionnage : discrète perquisition chez Renault Une très discrète perquisition s’est déroulée ce mardi soir, sur le site de Renault Guyancourt (Yvelines). Menée par les enquêteurs de la Direction...

Egypte : l'opposition appelle à de nouvelles manifestations Le groupe de militants pro-démocratie, le «Mouvement du 6 avril», à l'initiative des manifestations de mardi qui ont fait trois morts, a appelé à...

Vie publique : les propositions pour éviter les conflits d'intérêts Les membres de la commission Sauvé ont auditionné près de 70 personnes depuis le mois d’octobre. Des juristes, des universitaires, les responsables...

La SNCF augmente ses tarifs de 2,85% On savait depuis plusieurs semaines que les tarifs de la SNCF allaient augmenter. On sait désormais que la hausse sera en moyenne de 2,85% et sera...


Johnny Hallyday prendrait des libertés avec le fisc Exilé fiscal en Suisse, déjà tourmenté par des arriérés d'impôts dans les années 1980 et 1990, Johnny Hallyday est de nouveau dans le viseur des...

lundi 24 janvier 2011

les infos du jour

Disparition de Laëtitia : une marche silencieuse cet après-midi Le corps de Laëtitia - jeune fille de 18 ans disparue mercredi près de Pornic (Loire-Atlantique) - était toujours introuvable dimanche soir....

G 20 : Nicolas Sarkozy dévoile la stratégie française Coup d'envoi à la présidence française du G8 et du G20. Le président de la République tient lundi matin à 11 heures une grande conférence de...

Un couple de retraités tué par balles dans le Val d'Oise Un couple de 67 ans habitant Saint-Witz (Val d’Oise) a été découvert tué par balles. C’est le fils de ce couple qui a fait la macabre découverte...

L'ambassadeur d'Algérie en France : «L'Algérie ne sera pas la Tunisie» Deux jours après une manifestation à Alger, dispersée de manière très musclée, en occasionnant 42 blessés du côté des manifestants et sept dans les...

Les pompistes fraudeurs détournaient du carburant Côté pile, José est un caissier de station-service sans grande envergure. Côté face, c’est un formidable Géo Trouvetout, « doué mais malhonnête »...

la suite : http://www.parisien.fr/

samedi 22 janvier 2011

Carte scolaire en Creuse (2011-2012) Treize suppressions de postes dans le primaires mais vingt classes menacées

Lundi, l'instance paritaire acacémique va préciser où les 13 postes supprimés dans le primaire en Creuse seront pris. Dès ce matin, parents et syndi-, cats manifestent tandis que l'Inspecteur d'acadé- mie appelle au dialogue.

Si, l'an dernier, le département était passé à travers les gouttes du dégraissage de l'État dans l'éducation (le seul du limousin à ne pas avoir perdu de postes dans ses écoles primaires), pour la rentrée 2011-2012, ce sont 13 enseignants qui sont retirés de l'effectif creusois.
Les réactions ne se sont pas fait attendre : le premier Comité technique paritaire académique (CTPA) a été boycotté par les représentants du personnel et le second, lundi à Limoges, devrait vibrer de la bronca de syndicats qui, dès ce matin, appelle à manifester à Guéret (voir ci-dessous)

De son côté, l'inspecteur d'académie (IA), Dominique Berteloot, ne peut que relayer la consigne nationale : « l'effort réclamé de non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux doit être collectif en 2011, c'est pourquoi aucun département n'y échappe », transmet-il.

Il précise qu'il « y a des coefficients correcteurs comme la ruralité qui ont été appliqués permettant que la Creuse ne rende que 13 postes malgré le fait qu'elle perde 46 élèves à la rentrée prochaine » (la Haute-Vienne en rend 14 alors qu'elle gagne 151 élèves et la Corrèze, 18, alors qu'elle perd 97 élèves).

Finie, l'exception creusoise

Si l'IA s'interdit d'indiquer précisément, avant le CTPA de lundi, où les postes seront pris, il dévoile la méthode qui a présidé à ses choix : « Il est clair qu'aucune commune qui n'a pas reçu d'alerte dans les deux ans passés ne sera concernée par une fermeture », annonce D. Berteloot.

Rappelons que ces alertes sont émises par l'Inspection quand l'effectif d'une école passe ou risque de passer sous les seuils minimum d'élèves justifiant le maintien des postes d'enseignants. Elles permettent donc aux communes de réagir et d'inciter, avec leurs moyens, à l'accroissement des inscriptions.


« Tu parles d'un critère, s'agace Fabrice Couegnas, secrétaire du FSU, près de 40 % des écoles creusoises ont reçu une telle alerte ».


Et le syndicaliste de dénoncer l'objectif et la méthode : « Diminuer de 13 postes est injustifiable en se basant sur des projections qui ne sont pas fiables. Je rappelle que l'an dernier, l'effectif prévu s'est concrétisé, en vérité, avec 32 élèves en plus à la rentrée creusoise. Ces 46 élèves qui manqueraient à notre future rentrée seront-ils vraiment absents ? Personne ne peut le dire. Et puis même, 46 gamins, ça représente 2 ou 3 classes... pas 13. Surtout qu'en vérité, ce sont une vingtaine de classes qui vont sauter. En effet, il y a encore des coins de Creuse où l'on ouvre des classes, heureusement. On peut parier sur 6 ou 7 ouvertures à la rentrée prochaine... dont les postes seront à prendre ailleurs dans le département, en plus des 13 fermetures ».


Dominique Berteloot mise, lui, cependant sur le dialogue et l'expertise du territoire pour trouver les cas les moins indolores : « une école à 30 élèves avec 3 enseignants ne fera que deux classes de 15 avec deux enseignants, on est loin de la surcharge ».


« Sauf que des cas comme cela, il doit il y en avoir deux sur le département, estime Fabrice Couegnas. En tout cas bien moins que des écoles à 3 enseignants avec 60 élèves. Si on enlève un poste, ça fera des classes de 30, à plusieurs niveaux, on imagine le confort d'apprentissage. En vérité, l'IA a deux choix : soit il conforte les écoles rurales comme il a dit vouloir le faire et il pioche les postes dans les classes de villes. Soit il fait l'inverse et on verra fermer des écoles rurales ».


Dominique Berteloot, lui, affirme « vouloir défendre les écoles en milieu rural », peut-être une indication des « cibles » à venir.


Quand aux enseignants de réseaux, qui interviennent pour soutenir les élèves en difficulté (RASED, SESSAD), l'IA affiche une volonté « de réorganiser les interventions des uns et des autres en fonction d'une gradation des difficultés recensées. Ainsi, un élève ne peut avoir besoin que de l'aide personnalisée que peut lui dispenser un enseignant déjà présent quand d'autres nécessitent l'intervention du RASED, du SESSAD... le tout est de renforcer la coopération pour plus d'efficacité ».


« Réorganiser, analyse Fabrice Couegnas, on sait ce que ça veut dire : on élargit le périmètre du RASED mais on ne donne pas les moyens matériels pour que les enseignants se déplacent sur toute la zone. C'est aussi une négation des besoins réels de l'enfant en difficulté. Ceux de mes collègues qui sont inscrits dans ces réseaux ont reçu une formation spécifique pour aider à surmonter les difficultés scolaires. Quelques heures d'aides personnalisées par un enseignant non formé ne régleront pas les problèmes les plus aigus ».

Éric Donzé (La Montagne)


Manifestation ce matin, samedi 23 janvier 2011, à Guéret.


À l'appel de la FCPE (Parents d'élèves) de la FSU et de l'UNSA, une manifestation est prévue ce matin, à partir de 10 h 30 devant l'Inspection d'académie, place Varillas, à Guéret pour "refuser le budget de pénurie de l'Éducation nationale".


Appel relayé par le PG, NPA et le PCF.

vendredi 21 janvier 2011

Les élections cantonales en Limousin

Les élections cantonales 2011 en Limousin

C'est en Corrèze que la situation politique est la plus serrée entre la droite et la gauche

Le premier tour est fixé au dimanche 20 mars et le second tour au dimanche 27 mars, c'est-à-dire hors des périodes de congés scolaires. 53 cantons sont renouvelables en Limousin.
21 conseillers généraux devront être élus ou réélus en Haute-Vienne, 19 en Corrèze, et 13 en Creuse. Actuellement les trois départements de la région ont une majorité et un président de gauche. L'écart le plus large entre gauche et droite se situe en Haute-Vienne et l'écart le plus serré revient à la Corrèze où le président socialiste François Hollande ne dispose que d'un siège d'avance.

jeudi 20 janvier 2011

La RCEA "la route de la mort"... va devenir rassurante

La RN 145 est désormais à quatre voies dans la traversée de la Creuse. C'est l'aboutissement de plus de 40 ans d'efforts et de travaux.

C'était en 1967, à Niort. La caricature campe Louis Escande, député-maire de Mâcon, André Chandernagor, député de la Creuse, le sénateur de la Creuse Eugène Romaine, des représentants de la CCI de Montluçon et quelques autres personnalités dont un député de Charentes, en pleine discussion avec le directeur national des routes. C'est ce jour-là que l'ARCEA, l'association pour la Route Centre-Europe Atlantique) est née. Plus de 40 années se sont écoulées. André Chandernagor, conserve, soigneusement encadrée, cette caricature qui a aujourd'hui valeur de document.

Montluçon, Mâcon sera dans quelques années (2018), en quatre voies et certainement des centaines de vies sauvées. Il est dommage que le pouvoir de l'argent passe avant la protection de la vie. Enfin les travaux vont bon train et déjà six km de quatre voies sont mis en route. Une autre parcelle verra le jour dans quelques mois.
Dès les vacances de février, vous ne traverserez plus Mâcon pour rejoindre la Haute Savoie, le tronçon de 22 km devrait être prochainement en service, les habitants vont enfin respirer et les camions iront faire leur loi ailleurs.

Creuse: les faillites agricoles touchent les exploitations qui ont grossi trop vite

Longtemps occultées, les difficultés financières des exploitations se banalisent. La chambre d'agriculture de la Creuse a mis en place une cellule d'écoute. L'association Solidarités Paysans va dans les fermes en difficulté et accompagne les exploitants dans leurs démarches amiables ou judiciaires.

Julien Rapegno julien.rapegno@centrefrance.com «Lors de ma première visite à un agriculteur qui nous demandait de l'accompagner, je me suis cru chez un revendeur de machines agricoles. Il était équipé comme un céréalier beauceron pour cultiver 10 hectares. L'agriculteur avait dix-neuf crédits en cours, il ne s'en sortait plus. Il a reconnu qu'il ne savait pas dire non aux commerciaux », relate Gilles Roy, conseiller bénévole de l'association Solidarité Paysans. Le cas décrit est extrême, mais il est aussi le reflet de la course à l'agrandissement et à la mécanisation. Dans laquelle les agriculteurs creusois ne font pas que de la figuration.

Quand la crise frappe et déstabilise, les compétiteurs les plus en pointe peuvent vaciller. Gilles Roy ne mâche pas ses mots « Il y a quelques années, les instances agricoles ne s'intéressaient pas aux faillites agricoles qui ne concernaient, bien entendu, que des petits exploitants, des bons à rien voués à disparaître [...] Aujourd'hui, parmi les exploitations fragiles, il y a celles qui ont grossi trop vite. »

En 2010, Solidarité Paysans-Creuse a traité quarante dossiers : 17 étaient des dossiers de 2009 en cours, 23 étaient des nouveaux. Les exploitations ont atteint un niveau de capitalisation très élevé alors que les droits à produire sont figés depuis la PAC de 1992 : « Les successions sont devenues un moment critique, surtout s'il y a des fratries. Celui qui reprend l'exploitation supporte d'emblée une charge financière très lourde », observe Gilles Roy. Loin de la flambée du revenu moyen des céréaliers, celui des éleveurs bovins du Limousin plafonne à un SMIC mensuel. Et il était encore 25 % en dessous en 2009. Ce qui peut expliquer la volonté de rattraper, de compenser les handicaps propres au terroir marchois. Quand la crise s'en mêle, la course peut devenir fuite en avant.

En 2010, une série de suicides sur un périmètre étroit, autour d'Auzances, a toutefois alerté. Jean-Philippe Viollet, président de la Chambre d'agriculture de la Creuse, a créé une cellule d'écoute . Le pessimisme et le malaisie sont accentués par l'isolement de l'exploitant. Les enjeux fonciers sont de plus en plus aigus, ce qui favorise l'individualisme. Quand un agriculteur trébuche : « Les voisins sont dans la cour dans la minute qui suit pour lui proposer d'acheter ses terres », image un agriculteur placé en redressement judiciaire. Le schéma qui associe performance, agrandissement et investissements lourds est encore prégnant, y compris chez les jeunes : « J'en connais un qui a des vaches sur un périmètre de 25 kilomètres. Il est toute la journée au volant de son tracteur. Il n'a pas le temps se suivre son cheptel. La qualité s'en ressent », juge un confrère qui a opté pour un système moins trépidant.

la suite : La montagne.fr

Les animations au casino d'Evaux les bains

mercredi 19 janvier 2011

Rock & Motos et Vélo

Une fête de la moto avec cette année un atout de taille. Le Tour de France : il traversera la Creuse de La Forêt-du-Temple à Dontreix le 9 juillet en passant par Evaux les bains.

Ce sont 97 km de routes creusoises qui attendent les coureurs, samedi 9 juillet, pour la huitième étape du 98e Tour de France.

La Creuse, privée de Tour de France en 2010, retrouvera sa petite reine samedi 9 juillet 2011. Ce jour-là, la huitième étape de la Grande Boucle, longue de 190 km entre Aigurande (Indre) et Super-Besse (Puy-de-Dôme), traversera le département du nord au sud.

Les coureurs, en selle pour un 98e Tour de France, arriveront en Creuse, à La Forêt-du-Temple, vers 12 h 30 (caravane à 10 h 45). Ils quitteront le département 97 km plus loin, peu après Dontreix (passage des coureurs vers 14 h 40), pour gagner le Puy-de-Dôme via Montel-de-Gelat.