mardi 12 avril 2011

Le projet de loi sur les jurés populaires en conseil des ministres mercredi

Le projet de loi sur les jurés populaires en conseil des ministres mercredi 11 avril 2011

Jurés populaires en correctionnelle, réforme de la justice des mineurs et des assises: le projet de loi qui sera présenté mercredi en conseil des ministres par le garde des Sceaux Michel Mercier recouvre des aspects très divers et suscite des critiques des magistrats.

L’idée de «rapprocher le peuple» de la justice, en faisant entrer des jurés dans les tribunaux correctionnels et en associant des citoyens aux décisions de libérations conditionnelles, avait été lancée en septembre 2010 par Nicolas Sarkozy et le ministre de l’Intérieur d’alors, Brice Hortefeux.

Actuellement, les jurés populaires ne siègent que dans les cours d’assises, qui jugent les crimes, alors que les délits sont jugés en correctionnelle par des magistrats professionnels. Le texte, préparé en vue d’une «mise en oeuvre progressive» dès 2012, selon Michel Mercier, prévoit que pour les atteintes aux personnes les plus graves (violences aggravées, agressions sexuelles, vols avec violence), des citoyens tirés au sort sur les listes électorales siègeront au côté des magistrats.

Cela concernerait environ 40.000 délits par an (première instance et appel). Actuellement, 2.600 décisions sont rendues annuellement par des cours d’assises avec jurés. Ces jurés populaires participeraient à l’équivalent d’une semaine d’audience par an. Le tribunal devrait être composé de trois magistrats et deux jurés.
Des citoyens tirés au sort participeront aussi aux décisions de libérations conditionnelles, pour les peines de prison égales ou supérieures à cinq ans. Pour cette réforme, le garde des Sceaux a annoncé la création de 155 postes de magistrats et 100 de greffiers. Les syndicats de magistrats sont très critiques envers ce projet jugé «illisible», «pas financé» et qui va «instaurer des différences de traitement entre justiciables».
«Comme le gouvernement a abandonné la réforme de l’instruction, il fallait vendre quelque chose à l’opinion publique avant la présidentielle de 2012», dénonce Christophe Régnard, président de l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire).
Pour Matthieu Bonduelle, secrétaire général du Syndicat de la Magistrature (SM, gauche), c’est «une usine à gaz» qui «va alourdir considérablement le fonctionnement de la justice pénale, déjà asphyxiée».
Le projet de loi «sur la participation des citoyens au fonctionnement de la justice pénale et sur le jugement des mineurs» prévoit par ailleurs la création d’une «cour d’assises simplifiée», visant à réduire la «correctionnalisation».
Cette pratique, largement utilisée aujourd’hui, consiste à requalifier un crime en délit (par exemple un viol en agression sexuelle) pour le faire juger plus rapidement. Pour alléger le dispositif, une «cour d’assises simplifiée», avec moins de jurés (sans doute deux au lieu de neuf) jugerait certains crimes.
A la grande satisfaction des avocats, le texte devrait par ailleurs proposer une motivation des verdicts d’assises, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information du journal La Croix.
Le texte comprend aussi des mesures visant à réformer la justice des mineurs, avec notamment la création d’un tribunal correctionnel qui jugera les récidivistes de 16 à 18 ans. Ce tribunal comprendrait trois magistrats dont un juge des enfants, auxquels s’ajouteraient deux jurés dans les cas d’atteintes aux personnes les plus graves. Il «appliquera une procédure adaptée aux mineurs», a précisé M. Mercier.
Six organisations syndicales et professionnelles ont néanmoins demandé l’"abandon» de ce projet, accusant le gouvernement de «déconstruire, pan par pan, la spécificité de la justice des mineurs».

Réunion publique municipale le 14 avril à 20h00

Durant la campagne municipale, Monsieur Campos, maire de la ville et son équipe s’était engagé à tenir informé régulièrement les citoyens des projets en cours et à venir.
Après trois années de mandat, le conseil municipal vous invite à participer à la réunion publique qui se déroulera à la maison des jeunes le 14 avril à 20h00.

lundi 11 avril 2011

C'était en 2008, les difficultés de s'installer en creuse ....

PROMIS depuis 1963 à une disparition totale, le petit village de Chambonchard, dans la Creuse, est désormais en phase de renaissance…

Ou plus exactement de résurgence. Car la commune, qui abritait alors une cinquantaine d'habitants, devait être noyée sous plusieurs mètres d'eau, retenue par un barrage construit par l'Etablissement public de la Loire (Epala), acheteur des terrains et des constructions.

En 1997, Dominique Voynet, ministre de l'Environnement, annule le projet. Entre-temps, l'endroit avait déjà été déserté, laissant sur place des maisons en ruines dans une agglomération fantôme. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle » Les anciens habitants ne sont pas revenus, mais récemment, de nouveaux résidants sont arrivés, tels des « pionniers » décidés à rebâtir et faire revivre la commune. Un centre-bourg remis à neuf a été inauguré le 20 juin, avec parking, éclairage public, terrain de boules et espaces verts.

Le maire, Gérard Rouffet, attend la construction d'un hôtel de ville tandis que l'auberge, elle aussi rouverte 'après des mois de paprasse et difficultées administratives..., commence à faire le plein de touristes.

 Désormais, une vingtaine de Chambonchardais occupent leur village, et une dizaine de résidences secondaires ont été édifiées dans les murs rénovés de ce qui ressemblait il y a encore cinq ans à une friche immobilière. « C'est une renaissance, reconnaît l'élu, avec des gens qui arrivent pour recommencer leur vie, prendre un second départ. Nous espérons revenir à nos anciens effectifs, et pourquoi pas grandir encore car il y a de la place, des maisons vides, des opportunités. » Les propriétaires du lieu, le conseil général de la Creuse et l'Epala, viennent de dépenser 800 000 € dans la rénovation du centre, peaufinant plusieurs projets sur le développement durable.

Un parc éolien est dans les cartons, tandis que se poursuivent des recherches géothermiques et géologiques. Même l'église a été consolidée afin d'accueillir de futures ouailles ! « Nous avons repris, en 2007, l'auberge fermée depuis 1994, après avoir revendu notre commerce de traiteur dans le Var, racontent Ghislaine et Rachid Chakir. Nous avons eu le coup de foudre pour Chambonchard, découvert par hasard, et nous avons investi toutes nos économies, mais nous ne le regrettons pas. »

Avec 150 000 € le couple rachète donc à l'Epala les bâtiments, puis relance le restaurant qui sert aujourd'hui près de quarante couverts quotidiens, à 12 € l'assiette bien remplie d'une roborative cuisine rurale. Les bonnes raisons de cette aventure ne manquent pas dans le récit enthousiaste des deux émigrés, venus tenter leur chance en terre creusoise. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle, loin de tout mais en fait loin de rien, avec la ville d'Evaux-les-Bains à 7 km, et ses écoles pour nos deux filles.

L'histoire du barrage attire les touristes, génère des projets d'installation. Nous voyons revenir à l'auberge les anciens, qui n'habitent plus ici, mais passent casser la croûte ou boire un verre. » Sur la route des vacances, le bourg vaut le détour, avec ses maisonnettes pimpantes, nichées au coeur d'une vallée verdoyante qui a failli devenir un vaste lac… avant d'être finalement sauvée des eaux.

article de l'exploitant en 2008


Aux dires de Rachid, s'installer et rester en creuse devient un parcours de combatant. Je les laisse avec leurs batailles politiques, je vais ailleurs, ils mélangent tout et ne donne pas envie aux nouveaux commerces de s'installer.
la bonne volonté ne suffit pas dans la creuse, vous devez possèder d'autres cartes et celles la ne m'interresse pas du tout. je suis restaurateur et c'est tout.
L'auberge est désormais fermée et le village à repris son inertie pour combien de temps.... attendons le vent qui apportera peut être un espour de vie!
A ce jour, le désert revient, l'auberge est fermée et pourtant cela donnait des airs de vie a ce petit village....

Le voile intégral banni de la rue

La loi interdisant le port du niqab dans l’espace public en France entre en vigueur aujourd’hui. Cinq questions pour comprendre comment et à qui elle va s’appliquer.

C’est aujourd’hui, alors que le débat sur la laïcité marque un peu le pas, qu’entre en vigueur la loi anti-burqa adoptée en octobre dernier. La France fait exception dans le monde. Aux Etats-Unis, la question est jugée anecdotique. Plus près de chez nous, notamment aux Pays-Bas et en Belgique, le voile intégral fait polémique, mais aucun pays européen n’est allé jusqu’à légiférer.

La nouvelle provocation de Rachid NekkazVoile intégral : comment les forces de l’ordre vont verbaliserLa circulaire sur le voile intégral aujourd’hui au « JO »

 Qu’est-ce qui est interdit?
La loi, adoptée le 11 octobre, porte officiellement sur l’interdiction de dissimuler son visage dans l’espace public. Le texte vise clairement le voile intégral que portent certaines femmes musulmanes : la burqa, telle qu’elle se voit surtout en Afghanistan, et surtout le niqab, qui ne laisse apparaître qu’une fente pour les yeux. Foulards, écharpes, lunettes et chapeaux sont acceptés, tant qu’ils n’empêchent pas d’identifier le visage. Ainsi que le casque intégral pour les usagers de deux-roues ou… le masque pour les escrimeurs!

 Combien de femmes sont concernées ?
Le rapport de la mission parlementaire qui a précédé le vote de la loi n’avait recensé aucune burqa et évaluait à 1900 le nombre de femmes portant le niqab en France. Un phénomène circonscrit aux zones très urbanisées : la moitié des femmes voilées de pied en cap, selon une coutume empruntée au Moyen-Orient et non pas au Maghreb, vivent en Ile-de-France. Selon le ministère de l’Intérieur, il s’agit aux deux tiers de femmes de nationalité française, à 90% âgées de moins de 40 ans. Et, pour un quart d’entre elles, de converties.

 Où le niqab est-il banni?
Le voile intégral est interdit sur la voie publique et dans tous les lieux ouverts au public ou affectés à un service public, comme l’école (où le port de signes religieux ostentatoires est banni depuis 2004), les mairies, préfectures, tribunaux, hôpitaux, musées, bibliothèques, stades et transports collectifs. La loi inclut aussi les parcs, plages, commerces, restaurants, cinémas et théâtres. Rien n’interdit en revanche de porter le voile dans des lieux de culte, à leurs abords et évidemment à la maison. En voiture, il est permis sauf si l’on conduit.

Que risquent les contrevenantes?
La loi prévoit une amende de 150 € et/ou un stage de citoyenneté. Porter le niqab relève de la contravention. Forcer quelqu’un à le faire est en revanche un délit, passible d’un an d’emprisonnement et de 30000 € d’amende. Si la personne voilée sous la contrainte ou la menace est mineure, ceux qui l’y forcent — même si c’est seulement à la maison — risquent jusqu’à deux ans de prison et 60000 € d’amende.

Quelles consignes ont été données à la police?
Une note de service a été adressée jeudi aux directeurs départementaux de la sécurité publique et aux préfets. Le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henri Bradet, en résume l’esprit : « Il faut faire preuve de discernement, de pédagogie et privilégier l’écoute et le dialogue. » Le débat très tendu sur la laïcité explique en partie la volonté du gouvernement de calmer le jeu sur cette loi « délicate à mettre en œuvre ». « Cette circulaire est faussement appelée circulaire niqab. En réalité, ce texte s’applique à bien d’autres situations comme les casseurs dans les manifestations ou les hooligans qui masquent leur visage dans les stades », insiste-t-il. Aucune consigne n’a donc été donnée pour « traquer » les femmes voilées. « Il faut s’interdire toute forme de provocation, éviter les attroupements éventuels, détaille un commissaire de banlieue. En cas de contrôle, il faut le cas échéant isoler dans un coin discret la personne pour vérifier son identité ou la conduire au commissariat. Mais il est hors de question d’arracher un voile ou de pratiquer un déshabillage forcé. C’est de toute façon interdit par la loi. »

dimanche 10 avril 2011

Deux membres de l'ETA arrêtés ?

Le couple recherché, après une fusillade hier après midi, a été arrêté dimanche midi près de Felletin en Creuse.
L'interpellation de ces deux personnes, soupçonnées d'appartenir à l'organisation séparatiste basque (ETA) a eut lieu peu avant midi au Moulin de Jasseix, à Croze, commune à quelques kilomètres de Felletin en Creuse, après une nuit de recherche en Creuse et en Corrèze.

Cet homme et cette femme était activement recherchés, après avoir tenté d'échapper à un contrôle routier à Vallière en Creuse. Il était 17 heures, samedi, lorsque la conductrice du véhicule refuse de s'arrêter et prend la fuite, aussitôt suivie par les gendarmes. L'un des occupants du véhicule ouvre alors délibérément le feu à quatre reprises. Un gendarme est blessé lors de ces coups de feu. Transporté au CHU de Limoges, ses jours ne sont pas menacés.Une course poursuite s'est alors engagée. Un plan Epervier est déclenché pour retrouver les deux individus qui ont quitté la Creuse pour rejoindre la Corrèze. Leur véhicule est ensuite retrouvé abandonné à Meymac, après une deuxième fusillade. Si aucune piste n'est écartée pour l'heure, celle de l'organisation séparatiste basque, l'ETA, reste sérieusement envisagée.

Interrogés à Aubusson ce matin, cet homme et cette femme, âgés de 28 et 29 ans, auraient ensuite été transférés à Limoges.

Interpellation dans la Creuse du couple d'etarras présumés

Le couple recherché après avoir blessé samedi un gendarme dans la Creuse a été interpellé dimanche matin à Croze (Creuse), a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Les deux suspects sont soupçonnés d'appartenir à l'organisation séparatiste basque ETA.

Selon la gendarmerie, ils ont été repérés dimanche vers 10h45 sur la commune de Croze. Ils ont ouvert le feu une nouvelle fois sur les gendarmes, qui ont riposté. L'échange de coups de feu n'a pas fait de victimes. Les militaires ont interpellé les deux suspects -un homme et une femme s'exprimant en espagnol- munis de deux armes de poing. Ils ont été placés en garde à vue.

Les deux etarras présumés étaient activement recherchés depuis la veille par la gendarmerie, qui avait déclenché un plan Epervier avec 300 hommes, deux hélicoptères et des équipes de recherches cynophiles. Le couple avait été pris en chasse samedi vers 17h à Vallière (Creuse) après que la conductrice d'un véhicule eut refusé de s'arrêter à un contrôle routier.

Le passager avait alors tiré à plusieurs reprises sur les militaires lancés à leurs trousses. Touché à l'épaule, un gendarme de la brigade de Royère-de-Vassivière a été opéré au CHU de Limoges. Ses jours ne sont pas en danger. Le couple a ensuité été repéré une heure après à Meymac (Corrèze) où il a forcé un nouveau barrage et tiré sur les gendarmes, qui n'ont pas été touchés. Les fuyards ont ensuite abandonné leur voiture avant de s'enfuir à pied.

La section antiterroriste du parquet de Paris a co-saisi la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire ainsi que la région de gendarmerie du Limousin.

Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a adressé dimanche "ses plus vives félicitations" aux gendarmes de la région "qui, par leur engagement et leur réactivité, ont permis cette interpellation dans les meilleurs délais". Il a aussi formulé des voeux de prompt rétablissement au militaire blessé.

samedi 9 avril 2011

Les hypermarchés Carrefour en grève

L’appel à la grève, lancé par FO, la CGT et la CFDT devrait être très suivi, perturbant l’activité dans de nombreux hypers de l’enseigne.

Journée mouvementée en perspective dans les hypermarchés Carrefour. Selon les syndicats, l’appel à la grève national lancé par FO, la CGT et la CFDT  devrait être très suivi aujourd’hui. « Cent cinquante magasins sur plus de 200 devraient être touchés », anticipe Dejan Terglav de FO, le syndicat majoritaire au sein du groupe, « Dans 130 d’entre eux, le mouvement s’annonce dur avec 40 % à 80% de grévistes.

"Tout le monde en a assez"Grève en vue chez Carrefour » Et dans certains hypers, les clients pourraient trouver portes closes. « Dix ou 15 pourraient fermer une partie de la journée. Ailleurs, des piquets de grève ou des blocages de ronds-points seront organisés », explique Dejan Terglav. Du jamais-vu au sein de l’enseigne, où le dernier conflit remonte à février 2008.

Le mouvement s’annonce particulièrement fort dans le Sud, le Nord, la Bretagne et dans des villes comme Orléans ou Le Mans, où le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, se rendra en début de matinée. La région parisienne, où les syndicats sont moins implantés, sera moins affectée, même si des perturbations sont attendues à Aulnay, Sevran, ou Villiers-en-Bière.

Jeudi soir pourtant, la direction de Carrefour a annoncé qu’elle allait « rouvrir les négociations salariales » dès mercredi. « Cela ressemble à une tentative de déstabilisation, s’emporte Serge Corfa, de la CFDT. Mais cela n’a pas eu d’impact sur les salariés. Le malaise est énorme. » La question des salaires a mis le feu aux poudres : l’augmentation de 1% en mars et 1% en octobre proposée par la direction est jugée « indécente » au regard de « la rémunération des actionnaires ». Mais, les syndicats s’inquiètent aussi de la nette dégradation des conditions de travail , des 4500 suppressions de postes… et de la stratégie de leurs actionnaires, le fonds Colony Capital et le Groupe Arnault qui met en vente Dia ainsi que les murs de Carrefour.

vendredi 8 avril 2011

Record de chaleur en ce mois d'avril 2011

Terrasses prises d'assaut, farniente au soleil, parcs bondés... Un peu partout en France, ces derniers jours ont donné l'impression d'été avant l'heure. Avec 30,7°C à Perpignan (Pyrénées Orientales) vendredi, c'est un nouveau record de chaleur pour les dix premiers jours d'avril qui a été battu. C'est peu dire que la France connaît une douceur assez exceptionnelle.

En Creuse (28°), a Montpellier (Hérault), on flirtait avec les 30°C à l'heure de l'apéritif tandis qu'à Nîmes (Gard), on enregistrait 28,9°C, du jamais vu, là aussi, pour un début avril. A Bordeaux (Gironde), le record d'un début avril datant de 1921 a été battu jeudi. Les terrasses étaient prises d'assaut, et les sandalettes et les petites robes d'été ressorties des garde-robes. « C'est le bonheur ici, lâche Benjamin, un trentenaire attablé devant un diabolo bien frais avec son fils. On a l'impression que les grandes vacances ont pris trois mois d'avance ».

Signe du retour de la chaleur, le « miroir d'eau », étendue aquatique située sur les bords de la Garonne, retrouvait ses airs de Bordeaux-plage, alors que les vacances débutent ce week-end en Aquitaine comme en région parisienne.

Le Magic Casinos Jackpot tombe à nouveau !

Avec ce nouveau gain de 3.438.702 € remporté le 3 avril, ce sont plus de 12 millions d'euros que le Magic Casinos Jackpot a distribué en 6 jours.

Le Dimanche 3 avril 2011 à 18h, le troisième gain du Magic Casinos Jackpot, d’un montant de 3 438 701,60 € a été remporté au Casino JOA de Luxeuil les Bains (70). Alors que le Magic Casinos Jackpot avait pulvérisé le record de France d’un jackpot de casino ce mardi 28 mars avec 9 420 902,02 € au Casino JOA de Port Crouesty, il retombe, à peine 6 jours plus tard. En 1 semaine, c’est près de 13 millions d’euros qui ont été distribués par le Magic Casinos Jackpot. Ce troisième gain a été gagné sur une machine à 0,50 € pour une mise initiale de 1,50 € seulement.

Le gagnant, originaire de Herimoncourt (25), est âgé de 24 ans et exerce la profession de cuisinier. Il venait au casino 2 à 3 fois par an. Ce dimanche, il était venu à Luxeuil les Bains pour disputer un match de foot contre le club local. Après une cuisante défaite 6-0, il décide de tenter sa chance au casino !! Très bon choix ! Bientôt papa, il a déclaré souhaiter s'acheter une belle maison pour accueillir sa petite fille, une seconde voiture et mettre sa famille à l'abri. Félicitations à cet heureux gagnant !

Départs en vacances : café gratuit dans 171 aires d’autoroutes

Il n'y a plus de raison de se laisser piéger par le sommeil au volant. A l'occasion des premiers départs en vacances de Pâques - ce samedi est classé orange par Bison Futé -, la société Vinci Autoroutes, qui gère les 4 400 km des réseaux ASF, Cofiroute et Escota, offre le café sur son réseau autoroutier le week-end.

A 1,30 euro la tasse sur les aires d'autoroutes, le «petit noir» est cher mais indispensable à tout conducteur au long cours qui se respecte? Comme nous le révélions il y a quelques semaines, (nos éditions du 10 février dernier), il devient gratuit sur 171 aires de repos des autoroutes ASF, Cofiroute et Escota. La campagne, ouverte jusqu'au 8 mai chaque week-end du vendredi soir au lundi matin de 22 heures à 6 heures, et baptisée «Faites le plein de vigilance», a pour objectif de faire baisser le risque d'accidents de la circulation provoqué par l'hypovigilance au volant.

Si 3 Français sur 4 - 73 % précisément selon les résultats d'une récente étude Ipsos pour Vinci Autoroutes - estiment qu'il ne faut jamais conduire en état de fatigue, les comportements au volant sont bien loin de traduire cette sage précaution. En effet, 34 % d'entre-eux ont déjà eu l'impression de s'être endormi pendant quelques secondes en conduisant, et 38 % reconnaissent avoir déjà continué leur trajet dans un état de fatigue dangereux. Selon les statistiques de la Sécurité Routière, un tiers des accidents sur autoroutes sont dus à l'hypovigilance au volant.

jeudi 7 avril 2011

Un séisme de magnitude 7,4 a été enregistré ce jeudi.

Un séisme de magnitude 7,4 a été enregistré ce jeudi. Une alerte au tsunami a été émise et les habitants de la côte ont reçu l'ordre d'évacuer.

Un fort séisme de magnitude 7,4 s'est produit jeudi à une quarantaine de kilomètres des côtes nord-est du Japon, a annoncé l'Agence météorologique japonaise.

Cette nouvelle secousse s'est produite à 23h23 (14H23 GMT) à une profondeur de 40 km, au large de la préfecture de Miyagi déjà la plus touchée par le séisme du 11 mars. L'agence a mis en garde contre un tsunami pouvant aller jusqu'à deux mètres de haut.

Les personnes habitant le long des côtes de la préfecture de Miyagi doivent évacuer vers des endroits plus élevés en prévision de vagues pouvant atteindre deux mètres.

mardi 5 avril 2011

Carte scolaire : 19 fermetures de classe en Creuse

Hier, lors du comité technique départemental paritaire, l'inspecteur d'académie, Dominique Berteloot, a présenté ses arbitrages, s'agissant de la carte scolaire 2011 du 1er degré.

Six fermetures en ville :

À Aubusson-maternelle (1 classe sur 6, 19 élèves par classe au lieu de 16) Guéret-Assolant (1 classe sur 6, 24 élèves par classe au lieu de 20) ; Guéret-Cerclier (1 classe sur 7, 23 élèves par classe au lieu de 19), Guéret-Prévert (1 classe sur 8, 23 élèves par classe au lieu de 20) ; La Souteraine-L'Hermite (1 classe sur 10, 24 élèves par classe au lieu de 21). Bourganeuf-Rifaterre (1 classe sur 6, 22 élèves par classe au lieu de 19).


Six fermetures en milieu rural :

À Saint-Sulpice-le-Guérétois (1 classe sur 5, 22 élèves par classe au lieu de 17), Saint-Sébastien (1 classe sur 4, 21 élèves par classe au lieu de 16) ; Saint-Yrieix-La Nouaille (1 classe sur 3, 16 élèves par classe au lieu de 10) ; Bénévent-Marsac (1 classe sur 7, 18 élèves par classe au lieu de 15), Lourdoueix-Méasnes (1 classe sur 4, 18 élèves par classe au lieu de 13) ; Viersat-Nouhant (1 classe sur 3, 16 élèves par classe au lieu de 10).


Les Rased :

Il y a 8 réseaux d'aide spécialisée aux élèves en difficulté (RASED), pour 27 postes en Creuse. 4 sont fermés (1 à Aubusson, 2 à Bonnat, 1 à Bourganeuf) Il s'agit de postes vacants. L'inspecteur d'académie parle de crise de vocations, le SNUipp rappelle : « que les enseignants volontaires n'ont pas pu partir en formation ».


Les autres postes spécialisés supprimés :

L'inspecteur d'académie a pioché dans les « réserves » des postes spécialisés : un poste de français langue étrangère (rattaché à Aubusson) est supprimé sur les trois de la Creuse. 40 enfants sont concernés. Dominique Berteloot note qu'« il n'y a plus d'installation de familles britanniques ou néerlandaises ». Deux postes spécialisés en technologie de l'information et de la communication adaptées à l'éducation (un conseiller pédagogique et un animateur) sont supprimés. Les 4 postes d'EMALA (équipe mobile d'animation) qui apportent un plus (sport et culture) dans les écoles rurales sont maintenus. Mais ces enseignants seront réquisitionnés en janvier et février pour effectuer des remplacements. Le SNUipp note que « 25 % des interventions des EMALA sont remises en cause ».


Six créations de postes :

2 classes ouvertes en maternelle à : La Souterraine-Fossé-des-Canards et à Gouzon. 2 classes élémentaires ouvertes : à Fursac et à La Brionne-Saint-Léger. Une classe d'insertion (CLIS) à Guéret-Guéry. Un poste de remplaçant titulaire sur le secteur de Felletin.


L'intégralité de cet article à lire dans l'édition de mardi 5 avril, ou à télécharger sur www.lamontagne.fr.

Le PS présente 30 propositions pour la présidentielle 2012

Le PS présente 30 propositions pour la présidentielle 2012

La première secrétaire du PS Martine Aubry a affirmé lundi sur France 2 que le projet du PS en vue de l'élection présidentielle de 2012, baptisé "le changement", visait à transformer en profondeur un "système qui arrive à bout de souffle".

La primaire socialiste n'a pas encore eu lieu pour désigner le candidat à la présidentielle 2012 mais le PS a déjà un programme ou en tout cas les grandes lignes directrices que «Le Parisien»-«Aujourd'hui en France» vous révèle en exclusivité.

Ce projet, baptisé «le changement» et fort de 30 propositions sera présenté officiellement mardi en bureau national (direction), vise à répondre «aux problèmes des Français», a dit le porte-parole du PS Benoît Hamon, citant «logement, emploi, pouvoir d'achat, santé». 
300 000 emplois jeunes

Parmi les propositions phares figurent notamment les 300 000 emplois d'avenir, nouvelle mouture des emplois jeunes créés sous le gouvernement Jospin en 1997, la création d'une banque publique d'investissement et la réforme de l'impôt sur les sociétés, l'encadrement des loyers, une réforme fiscale fusionnant l'impôt sur le revenu et la CSG pour créer un impôt citoyen prélevé à la source.

Le projet prévoit également la création de 10 000 postes de gendarmes et policiers en 5 ans, une allocation d'études pour les jeunes sous condition de ressources, la généralisation du CV anonyme ou encore le droit au mariage et à l'adoption pour les couples homoparentaux.

La lutte contre les licenciements boursiers, thème cher à la candidate aux primaires Ségolène Royal, est intégré au projet.

Le sujet sensible du nucléaire

La question du nucléaire, thème sensible dans les discussions avec les partenaires écologistes, fait aussi débat au sein du PS, où l'on s'est accordé sur le plus petit dénominateur commun, à savoir le «développement massif des économies d'énergie et des énergies renouvelables».

Pour financer toutes ces mesures, le PS table sur des recettes d'environ 50 milliards d'euros, dégagées par la suppression des «cadeaux fiscaux» (réforme de la taxe professionnelle, niches fiscales, TVA dans la restauration, paquet fiscal) mis en oeuvre par la droite depuis 2007.

Aubry : «Nous dirons ce qui est possible tout de suite»

«Nous sommes des gens sérieux. Nous dirons ce qui est possible tout de suite», a dit Mme Aubry sur France 2, en précisant que le PS avait travaillé dans une optique de réduction du déficit budgétaire à 3%, le plafond autorisé par les traités européens, en 2013.

Lundi, les ténors du PS rassemblés en conseil politique ont procédé aux ultimes arbitrages. Le texte a été élaboré dans un apparent consensus entre «hollandistes», «strauss-kahniens» et partisans d'Aubry.

dimanche 3 avril 2011

Dans les banques, les clients surendettés seront mieux protégés

Dans les banques, les clients surendettés seront mieux protégés
A partir du 1ermai, les banques ne pourront plus procéder à la fermeture sauvage des comptes de ces clients. Elles seront tenues aussi à une meilleure information.

Les personnes surendettées vont bénéficier, à partir du 1er mai, d’un meilleur traitement de la part de leurs banquiers. C’est en tout cas le but de l’arrêté publié hier au « Journal officiel », ultime étape de la loi Lagarde sur la réforme du crédit à la consommation. Ce texte contraint les banques à assurer la continuité des services bancaires des personnes surendettées et de proposer des services, notamment des moyens de paiement adaptés à la situation de ces personnes.

La fin des fermetures sauvages de comptes

A partir du mois de mai, les banques ne pourront plus décider de clore immédiatement les comptes de dépôt où sont domicilés les revenus de leurs clients et dont elles connaissent la situation de surendettement. Elles devront maintenir le compte pendant la phase d’instruction du dossier par les commissions de surendettement et pendant la durée de mise en œuvre du plan de surendettement ou des mesures de traitement du surendettement. « Aujourd’hui, un nombre important d’établissements n’attend pas la fin de la procédure devant les commissions de surendettement pour priver leurs clients de leurs comptes, souligne un conseiller à Bercy. Résultat, ces personnes déjà en situation difficile ne sont plus à même de percevoir leurs revenus ou leurs aides. »

L’obligation d’information renforcée

Les banques informeront leurs clients concernés sur les conséquences de la procédure de surendettement sur la gestion de leurs comptes bancaires et sur les moyens de paiement afférents, ainsi que sur leurs propositions d’adaptation.

Des marges de négociation plus importantes

Les banques proposeront à leurs clients surendettés un rendez-vous pour compléter cette information et discuter des adaptations proposées dans un délai de six semaines à compter de la date à laquelle elles ont connaissance de la décision de recevabilité du dossier de surendettement. Elles pourront adapter le montant de l’autorisation de découvert à la situation de surendettement du client, avec l’accord de ce dernier. « Sur le fond, c’est une excellente mesure, estime Maxime Chipy, de l’association de consommateurs UFC-Que choisir. Sur la forme, nous regrettons que le gouvernement n’ait pas fait voter une loi, ce qui aurait donné plus de force à cette mesure et nous aurait permis de mieux contrôler son application. Là, il s’agit d’une simple norme professionnelle et seule l’Autorité de contrôle prudentiel (ACP) pourra vérifier si les banques respectent son application. » Soulignons aussi que ces dispositions ne concernent pas les sociétés financières — comme Cofinoga ou Sofinco — car elles ne peuvent ouvrir de comptes bancaires pour leurs clients.

samedi 2 avril 2011

Arrêt de Carré Viiip: Combien vont toucher les candidats ?

Invité en direct dans Morandini!, hier soir sur Direct 8, Benoit affirmait "qu'il ne savait pas dans l'immédiat ce qu'il allait toucher comme argent".

Il expliquait: " Ce qui est certain c'est que nous serons payés jusqu'à aujourd'hui, mais pour le reste ce sont les avocats qui vont devoir se charger de négocier avec TF1."

De son côté, Thomas également présent sur le plateau de Morandini! ajoutait: "C'est très compliqué car pour entrer dans le jeu nous avosn du renoncer à plusieurs engagements et en particulier mettre entre parenthèse notre projet de spectacle avec Benoit. Il y a un vrai préjudice".

Peut être un début de réponse, ce matin dans le Parisien qui affirme que "la société Endemol se serait engagée à ce que les 16 jeunes, qui avaient signé un contrat à durée déterminée, perçoivent une rémunération comme s’ils avaient passé dix semaines dans la maison."

jeudi 31 mars 2011

Carré VIP, c'est fini ! une première dans la téléréalité

Deux semaines de diffusion et Carré Viiip fait pshitt ! Jeudi soir, peu avant 21 heures, TF1 a décidé de stopper nette l'émission présentée par sa jeune recrue, l'animatrice Elsa Fayer. Une première en dix ans de téléréalité en France, puisque jamais un programme du genre diffusé en direct n'aura été évincé de l'antenne aussi brutalement. 
TF1 arrête son émission de téléréalité «Carré Viiip»

Officiellement, la chaîne privée justifie son choix, faute d'audience.
Une lourde décision qui tombe, hasard ou pas, le jour-même de l'annonce d'une convocation prochaine de Nonce Paolini, patron de TF1 dans les bureaux du Conseil supérieur de l'audiovisuel pour discuter justement du cas «Carré Viiip».

Dimanche ouverture de la pêche à l'étang de la Gane à Evaux les bains


Le printemps à pointé à l'horizon à Evaux les bains, vous me direz avec cette météo exécrable on se croirait en novembre, mais dès demain les conditions devraient s'améliorer, la chaine météo nous l'a promis !
Dans tous les cas, ce sera ce dimanche 3 avril dès 7h00 du matin que vous pourrez lancer votre canne et venir pêcher les 120 kg de truites (100 kg de truites portion et 20 kg de très très grosses)qui vous attendent pour cette ouverture 2011 réservée aux titulaires d'une carte annuelle.
Pour les autres cartes (journées, semaines et mensuelles , il faudra attendre le lundi de Pâques.
Durant les quatre dimanches qui précèdent le lundi de pâques, vous pourrez venir vous détendre à l'étang de la Gane, d'autant plus qu'une autre mise à l'eau de truite sera éffectuée le 14 avril.

mercredi 30 mars 2011

Pour trouver un boulot pour cet été

Des journées organisées pour trouver un job d'été
Le Bureau information jeunesse départemental (BIJD) et le réseau Information jeunesse creusois organisent deux journées jobs d'été.

Rendez-vous :

Ce jeudi 31 mars, de 14 heures à 18 heures

Vendredi 1er avril, de 10 heures à 18 heures, non-stop, au BIJD terrasse de Fayolle, à Guéret.

Seront présents : un conseiller de la Mission locale sur toute l'opération ; jeudi, la mairie de Guéret et une agence d'intérim.

Vendredi dès 10 heures, le service vacances de la FOL (offres en animation).

Vendredi dès 13 h 30, la Chambre des Métiers pour parler des possibilités dans l'artisanat.

Les jeunes pourront travailler leur CV, la recherche sur les sites Internet spécialisés et les jobs à l'étranger. Ils parleront aussi bénévolat ou chantier de jeunes pour enrichir leur parcours.

Ces journées sont également déclinées dans les antennes locales du département :

PIJ Boussac : samedi 2 avril (matin), mardi 5, mercredi 6 avril (toute la journée), jeudi 7 et samedi 9 avril (matin).


PIJ La Souterraine : vendredi 1er et samedi 2 avril (en journée continue).


PIJ Aubusson : jeudi 31 mars et vendredi 1er avril.


PIJ Dun : samedi 2 avril.


PIJ Budelière-Auzances : samedi 2 avril (matin).


PIJ Chénérailles-Évaux : samedi 9 avril (matin).

Toute l'année, le réseau PIJ informe sur la recherche d'un emploi.

Le minimum vieillesse grimpe de 4,7%

Le minimum vieillesse sera augmenté le 1er avril afin d’atteindre les 25%de hausse en cinq ans, promis par Nicolas Sarkozy.

Le minimum vieillesse est une garantie de ressources pour les retraités n’ayant pas de pension ou ayant trop peu cotisé pour toucher une retraite suffisante.
Chose promise, chose due. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a annoncé hier la revalorisation du minimum vieillesse de 4,7% à partir du 1er avril. « Nous avons un engagement, de revaloriser le minimum vieillesse de 25% sur les cinq années » du mandat de Nicolas Sarkozy a-t-il rappelé.

Depuis le 1er avril 2010, le montant du minimum vieillesse était de 709 € par mois pour une personne seule et de 1157 € pour un couple. Le ministre a souligné la volonté du gouvernement que « l’inflation ne prenne pas le pas sur le pouvoir d’achat des retraités ».

Il a confirmé également que les pensions de retraite seront revalorisées de 2,1% au 1er avril, comme l’avait annoncé un peu plus tôt la ministre de l’Economie, Christine Lagarde. Comme l’inflation est prévue à 1,8%, « il y a donc 0,3% de rattrapage de façon à ce que jamais les pensions de retraites n’augmentent moins vite que l’inflation », a-t-il fait valoir.

Et de souligner que « dans certains pays européens, à cause de la crise, notamment en Allemagne, les pensions de retraites sont gelées, en Suède elles ont baissé en 2010 ».