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lundi 11 avril 2011

C'était en 2008, les difficultés de s'installer en creuse ....

PROMIS depuis 1963 à une disparition totale, le petit village de Chambonchard, dans la Creuse, est désormais en phase de renaissance…

Ou plus exactement de résurgence. Car la commune, qui abritait alors une cinquantaine d'habitants, devait être noyée sous plusieurs mètres d'eau, retenue par un barrage construit par l'Etablissement public de la Loire (Epala), acheteur des terrains et des constructions.

En 1997, Dominique Voynet, ministre de l'Environnement, annule le projet. Entre-temps, l'endroit avait déjà été déserté, laissant sur place des maisons en ruines dans une agglomération fantôme. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle » Les anciens habitants ne sont pas revenus, mais récemment, de nouveaux résidants sont arrivés, tels des « pionniers » décidés à rebâtir et faire revivre la commune. Un centre-bourg remis à neuf a été inauguré le 20 juin, avec parking, éclairage public, terrain de boules et espaces verts.

Le maire, Gérard Rouffet, attend la construction d'un hôtel de ville tandis que l'auberge, elle aussi rouverte 'après des mois de paprasse et difficultées administratives..., commence à faire le plein de touristes.

 Désormais, une vingtaine de Chambonchardais occupent leur village, et une dizaine de résidences secondaires ont été édifiées dans les murs rénovés de ce qui ressemblait il y a encore cinq ans à une friche immobilière. « C'est une renaissance, reconnaît l'élu, avec des gens qui arrivent pour recommencer leur vie, prendre un second départ. Nous espérons revenir à nos anciens effectifs, et pourquoi pas grandir encore car il y a de la place, des maisons vides, des opportunités. » Les propriétaires du lieu, le conseil général de la Creuse et l'Epala, viennent de dépenser 800 000 € dans la rénovation du centre, peaufinant plusieurs projets sur le développement durable.

Un parc éolien est dans les cartons, tandis que se poursuivent des recherches géothermiques et géologiques. Même l'église a été consolidée afin d'accueillir de futures ouailles ! « Nous avons repris, en 2007, l'auberge fermée depuis 1994, après avoir revendu notre commerce de traiteur dans le Var, racontent Ghislaine et Rachid Chakir. Nous avons eu le coup de foudre pour Chambonchard, découvert par hasard, et nous avons investi toutes nos économies, mais nous ne le regrettons pas. »

Avec 150 000 € le couple rachète donc à l'Epala les bâtiments, puis relance le restaurant qui sert aujourd'hui près de quarante couverts quotidiens, à 12 € l'assiette bien remplie d'une roborative cuisine rurale. Les bonnes raisons de cette aventure ne manquent pas dans le récit enthousiaste des deux émigrés, venus tenter leur chance en terre creusoise. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle, loin de tout mais en fait loin de rien, avec la ville d'Evaux-les-Bains à 7 km, et ses écoles pour nos deux filles.

L'histoire du barrage attire les touristes, génère des projets d'installation. Nous voyons revenir à l'auberge les anciens, qui n'habitent plus ici, mais passent casser la croûte ou boire un verre. » Sur la route des vacances, le bourg vaut le détour, avec ses maisonnettes pimpantes, nichées au coeur d'une vallée verdoyante qui a failli devenir un vaste lac… avant d'être finalement sauvée des eaux.

article de l'exploitant en 2008


Aux dires de Rachid, s'installer et rester en creuse devient un parcours de combatant. Je les laisse avec leurs batailles politiques, je vais ailleurs, ils mélangent tout et ne donne pas envie aux nouveaux commerces de s'installer.
la bonne volonté ne suffit pas dans la creuse, vous devez possèder d'autres cartes et celles la ne m'interresse pas du tout. je suis restaurateur et c'est tout.
L'auberge est désormais fermée et le village à repris son inertie pour combien de temps.... attendons le vent qui apportera peut être un espour de vie!
A ce jour, le désert revient, l'auberge est fermée et pourtant cela donnait des airs de vie a ce petit village....

lundi 28 mars 2011

Le bulletin municipal de printemps est paru

Une jolie palette de couleurs orne la première page du bulletin municipal de ce mois d'avril 2011.

De nombreuses informations pour les résidents qui seront débattues "si vous le souhaitez" le 14 avril  lors de la prochaine réunion publique.

Vous pourrez retrouver très prochainement ce bulletin sur le futur site de la ville. J'en ai eu une première vision, il est très bien conçu et apportera à tous des infos très positives pour la ville. Enfin une image extérieure pour la cité thermale.

En parcourant ce bulletin, vous remarquerez, qu'un début de reflexion devrait se propager au conseil municipal relatif à la liaison entre la station thermale et le bourg. Il était temps de s'en préocuper, c'est certainement cette liaison qui sauvera les commerces du bourg....

Pour répondre à des interrogations, NON, la gendarmerie ne fermera pas ses portes, un nouveau bail à été proposé.

Les camping cars devraient trouver refuge à Evaux, des propositions sont en cours.

** SIARU ? pour le résident c'est quoi...

Dans le bulletin d'avril 2010, un formulaire (questionnaire) vous demandait de donner votre avis, vos remarques (positives et négatives) et vos interrogations sur la ville et cela dans un seul but, essayer de proposer et de vous écoutez. Seul 60 sur 780 ex ont étés retournés en mairie. C'est fort dommage, pour une fois que l'on nous propose de donner et écouter notre avis .... la suite dans votre bulletin

Le Front national aura peu d'élus mais il a pesé sur le scrutin

Source : La Tribune.fr

A l'issue d'un scrutin qui ne lui est traditionnellement pas favorable, le Front national aura peu de conseillers généraux. Mais la campagne a largement tourné autour du parti créé par Jean-Marie Le Pen. Le Front national a obtenu ce dimanche soir son premier élu au second tour des cantonales dans le Vaucluse, à Carpentras. "Notre candidat à Carpentras, Patrick Bassot, a obtenu près de 54% des voix", a précisé Emile Cavasino, secrétaire départemental du FN. Une victoire qualifiée de "symbolique" par Jean-Marie Le Pen, qui faisait référence à l'affaire de la profanation du cimetière de cette ville, qui avait défrayée la chronique dans les années 90.

Un peu plus tard dans la soirée, on apprenait que Jean-Paul Dispard avait été élu dans le canton de Brignoles (Var) face au conseiller général communiste sortant Claude Gilardo, avec 50,03% des suffrages contre 49,97%, soit un écart de 5 voix, selon la préfecture du Var.

En revanche, Steeve Briois, secrétaire général du FN, a indiqué à Reuters qu'il n'était pas parvenu à battre son adversaire socialiste dans son canton du Pas-de-Calais, à Montigny-en-Gohelle. Selon la préfecture du Pas-de-Calais, Steeve Briois a obtenu 44,7% des voix face au conseiller général socialiste sortant Jean-Marie Picque (55,3%). Et Louis Aliot, numéro deux du FN et compagnon de Marine Le Pen, a été battu à Perpignan par une socialiste.

Le FN avait réalisé une forte poussée au premier tour avec un score historique pour ce type de scrutin d'un peu plus de 15%. Il s'était qualifié pour le second tour dans un peu plus de 400 cantons, dont un peu plus de la moitié pour des duels avec des candidats socialistes ou communistes.

En revanche, une ancienne du Front national, Marie-Claude Bompard, maire de Bollène (Vaucluse), a été réélue sous l'étiquette de la Ligue du Sud.

Les dirigeants du FN misaient officieusement à la veille du second tour sur une dizaine d'élus.

François Fillon, Premier ministre, a estimé dimanche soir que le "score (du FN) démontre que le vote protestataire ne doit pas être sous-estimé et banalisé. Ce parti doit être combattu et les causes de son audience doivent être lucidement évaluées et traitées (...) Le très faible nombre de ses élus démontre cependant qu'une grande majorité de citoyens, notamment de la majorité, refuse les solutions extrémistes".

vendredi 25 mars 2011

Earth Hour : la France plongée dans le noir durant 60 minutes samedi à 20h30

A l'instar de centaines de pays à travers le monde, la France sera plongée dans le noir samedi 26 mars, de 20h30 à 21h30, à l'occasion de la cinquième édition d'Earth Hour. Cette action symbolique, organisée par l'association environnementale WWF, tente de sensibiliser le public au dérèglement climatique en montrant que chacun, à son niveau, peut agir pour enrayer le réchauffement de la planète.

A Paris, la tour Eiffel sera éteinte pendant 60 minutes. Le WWF France mobilise aussi ses bénévoles. 1.600 pandas en papier mâché, mascotte de l'ONG, et représentant la population de ces mammifères encore présents sur Terre, seront également disposés place du Trocadéro sous la forme d'un gigantesque "60".

Dans la capitale, de nombreux autres monuments éteindront leur éclairage, à l'image de l'Arc de Triomphe, de la Cathédrale Notre-Dame, de la Fontaine Saint-Michel, de l'Eglise du Sacré Coeur et tous les ponts emblématiques de la ville.

Partout en France, plus de 250 villes, comme Cannes, Bourges, Marseille, Bordeaux mais aussi des institutions telles que le Conseil général des Alpes Maritimes, et des groupes à l'instar de Center Parcs, Ikea, participeront à la manifestation.

Earth Hour permet une économie de 1% de la consommation d'électricité métropolitaine, soit 800 mégawatts, ce qui équivaut à la consommation journalière d'une ville comme Lyon, qui compte plus d'un million d'habitants.

Chaque année, depuis maintenant cinq ans, les pays de la planète se mobilisent ensemble une même journée. Le Christ Rédempteur de Rio de Janeiro au Brésil, les Pyramides de Gizeh en Egypte, l'Acropole d'Athènes en Grèce, l'Alhambra de Grenade en Espagne seront ainsi plongés dans le noir une heure.

Au total cette année, le WWF international s'attend à mobiliser 126 pays, 4.000 villes qui éteindront quelque 1.200 monuments et lieux emblématiques. Environ 1,3 milliard de personnes seront ainsi potentiellement sensibilisées au réchauffement climatique.

Site : www.earthhour.fr