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mardi 12 avril 2011

Le projet de loi sur les jurés populaires en conseil des ministres mercredi

Le projet de loi sur les jurés populaires en conseil des ministres mercredi 11 avril 2011

Jurés populaires en correctionnelle, réforme de la justice des mineurs et des assises: le projet de loi qui sera présenté mercredi en conseil des ministres par le garde des Sceaux Michel Mercier recouvre des aspects très divers et suscite des critiques des magistrats.

L’idée de «rapprocher le peuple» de la justice, en faisant entrer des jurés dans les tribunaux correctionnels et en associant des citoyens aux décisions de libérations conditionnelles, avait été lancée en septembre 2010 par Nicolas Sarkozy et le ministre de l’Intérieur d’alors, Brice Hortefeux.

Actuellement, les jurés populaires ne siègent que dans les cours d’assises, qui jugent les crimes, alors que les délits sont jugés en correctionnelle par des magistrats professionnels. Le texte, préparé en vue d’une «mise en oeuvre progressive» dès 2012, selon Michel Mercier, prévoit que pour les atteintes aux personnes les plus graves (violences aggravées, agressions sexuelles, vols avec violence), des citoyens tirés au sort sur les listes électorales siègeront au côté des magistrats.

Cela concernerait environ 40.000 délits par an (première instance et appel). Actuellement, 2.600 décisions sont rendues annuellement par des cours d’assises avec jurés. Ces jurés populaires participeraient à l’équivalent d’une semaine d’audience par an. Le tribunal devrait être composé de trois magistrats et deux jurés.
Des citoyens tirés au sort participeront aussi aux décisions de libérations conditionnelles, pour les peines de prison égales ou supérieures à cinq ans. Pour cette réforme, le garde des Sceaux a annoncé la création de 155 postes de magistrats et 100 de greffiers. Les syndicats de magistrats sont très critiques envers ce projet jugé «illisible», «pas financé» et qui va «instaurer des différences de traitement entre justiciables».
«Comme le gouvernement a abandonné la réforme de l’instruction, il fallait vendre quelque chose à l’opinion publique avant la présidentielle de 2012», dénonce Christophe Régnard, président de l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire).
Pour Matthieu Bonduelle, secrétaire général du Syndicat de la Magistrature (SM, gauche), c’est «une usine à gaz» qui «va alourdir considérablement le fonctionnement de la justice pénale, déjà asphyxiée».
Le projet de loi «sur la participation des citoyens au fonctionnement de la justice pénale et sur le jugement des mineurs» prévoit par ailleurs la création d’une «cour d’assises simplifiée», visant à réduire la «correctionnalisation».
Cette pratique, largement utilisée aujourd’hui, consiste à requalifier un crime en délit (par exemple un viol en agression sexuelle) pour le faire juger plus rapidement. Pour alléger le dispositif, une «cour d’assises simplifiée», avec moins de jurés (sans doute deux au lieu de neuf) jugerait certains crimes.
A la grande satisfaction des avocats, le texte devrait par ailleurs proposer une motivation des verdicts d’assises, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information du journal La Croix.
Le texte comprend aussi des mesures visant à réformer la justice des mineurs, avec notamment la création d’un tribunal correctionnel qui jugera les récidivistes de 16 à 18 ans. Ce tribunal comprendrait trois magistrats dont un juge des enfants, auxquels s’ajouteraient deux jurés dans les cas d’atteintes aux personnes les plus graves. Il «appliquera une procédure adaptée aux mineurs», a précisé M. Mercier.
Six organisations syndicales et professionnelles ont néanmoins demandé l’"abandon» de ce projet, accusant le gouvernement de «déconstruire, pan par pan, la spécificité de la justice des mineurs».

lundi 11 avril 2011

C'était en 2008, les difficultés de s'installer en creuse ....

PROMIS depuis 1963 à une disparition totale, le petit village de Chambonchard, dans la Creuse, est désormais en phase de renaissance…

Ou plus exactement de résurgence. Car la commune, qui abritait alors une cinquantaine d'habitants, devait être noyée sous plusieurs mètres d'eau, retenue par un barrage construit par l'Etablissement public de la Loire (Epala), acheteur des terrains et des constructions.

En 1997, Dominique Voynet, ministre de l'Environnement, annule le projet. Entre-temps, l'endroit avait déjà été déserté, laissant sur place des maisons en ruines dans une agglomération fantôme. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle » Les anciens habitants ne sont pas revenus, mais récemment, de nouveaux résidants sont arrivés, tels des « pionniers » décidés à rebâtir et faire revivre la commune. Un centre-bourg remis à neuf a été inauguré le 20 juin, avec parking, éclairage public, terrain de boules et espaces verts.

Le maire, Gérard Rouffet, attend la construction d'un hôtel de ville tandis que l'auberge, elle aussi rouverte 'après des mois de paprasse et difficultées administratives..., commence à faire le plein de touristes.

 Désormais, une vingtaine de Chambonchardais occupent leur village, et une dizaine de résidences secondaires ont été édifiées dans les murs rénovés de ce qui ressemblait il y a encore cinq ans à une friche immobilière. « C'est une renaissance, reconnaît l'élu, avec des gens qui arrivent pour recommencer leur vie, prendre un second départ. Nous espérons revenir à nos anciens effectifs, et pourquoi pas grandir encore car il y a de la place, des maisons vides, des opportunités. » Les propriétaires du lieu, le conseil général de la Creuse et l'Epala, viennent de dépenser 800 000 € dans la rénovation du centre, peaufinant plusieurs projets sur le développement durable.

Un parc éolien est dans les cartons, tandis que se poursuivent des recherches géothermiques et géologiques. Même l'église a été consolidée afin d'accueillir de futures ouailles ! « Nous avons repris, en 2007, l'auberge fermée depuis 1994, après avoir revendu notre commerce de traiteur dans le Var, racontent Ghislaine et Rachid Chakir. Nous avons eu le coup de foudre pour Chambonchard, découvert par hasard, et nous avons investi toutes nos économies, mais nous ne le regrettons pas. »

Avec 150 000 € le couple rachète donc à l'Epala les bâtiments, puis relance le restaurant qui sert aujourd'hui près de quarante couverts quotidiens, à 12 € l'assiette bien remplie d'une roborative cuisine rurale. Les bonnes raisons de cette aventure ne manquent pas dans le récit enthousiaste des deux émigrés, venus tenter leur chance en terre creusoise. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle, loin de tout mais en fait loin de rien, avec la ville d'Evaux-les-Bains à 7 km, et ses écoles pour nos deux filles.

L'histoire du barrage attire les touristes, génère des projets d'installation. Nous voyons revenir à l'auberge les anciens, qui n'habitent plus ici, mais passent casser la croûte ou boire un verre. » Sur la route des vacances, le bourg vaut le détour, avec ses maisonnettes pimpantes, nichées au coeur d'une vallée verdoyante qui a failli devenir un vaste lac… avant d'être finalement sauvée des eaux.

article de l'exploitant en 2008


Aux dires de Rachid, s'installer et rester en creuse devient un parcours de combatant. Je les laisse avec leurs batailles politiques, je vais ailleurs, ils mélangent tout et ne donne pas envie aux nouveaux commerces de s'installer.
la bonne volonté ne suffit pas dans la creuse, vous devez possèder d'autres cartes et celles la ne m'interresse pas du tout. je suis restaurateur et c'est tout.
L'auberge est désormais fermée et le village à repris son inertie pour combien de temps.... attendons le vent qui apportera peut être un espour de vie!
A ce jour, le désert revient, l'auberge est fermée et pourtant cela donnait des airs de vie a ce petit village....

dimanche 10 avril 2011

Deux membres de l'ETA arrêtés ?

Le couple recherché, après une fusillade hier après midi, a été arrêté dimanche midi près de Felletin en Creuse.
L'interpellation de ces deux personnes, soupçonnées d'appartenir à l'organisation séparatiste basque (ETA) a eut lieu peu avant midi au Moulin de Jasseix, à Croze, commune à quelques kilomètres de Felletin en Creuse, après une nuit de recherche en Creuse et en Corrèze.

Cet homme et cette femme était activement recherchés, après avoir tenté d'échapper à un contrôle routier à Vallière en Creuse. Il était 17 heures, samedi, lorsque la conductrice du véhicule refuse de s'arrêter et prend la fuite, aussitôt suivie par les gendarmes. L'un des occupants du véhicule ouvre alors délibérément le feu à quatre reprises. Un gendarme est blessé lors de ces coups de feu. Transporté au CHU de Limoges, ses jours ne sont pas menacés.Une course poursuite s'est alors engagée. Un plan Epervier est déclenché pour retrouver les deux individus qui ont quitté la Creuse pour rejoindre la Corrèze. Leur véhicule est ensuite retrouvé abandonné à Meymac, après une deuxième fusillade. Si aucune piste n'est écartée pour l'heure, celle de l'organisation séparatiste basque, l'ETA, reste sérieusement envisagée.

Interrogés à Aubusson ce matin, cet homme et cette femme, âgés de 28 et 29 ans, auraient ensuite été transférés à Limoges.

Interpellation dans la Creuse du couple d'etarras présumés

Le couple recherché après avoir blessé samedi un gendarme dans la Creuse a été interpellé dimanche matin à Croze (Creuse), a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Les deux suspects sont soupçonnés d'appartenir à l'organisation séparatiste basque ETA.

Selon la gendarmerie, ils ont été repérés dimanche vers 10h45 sur la commune de Croze. Ils ont ouvert le feu une nouvelle fois sur les gendarmes, qui ont riposté. L'échange de coups de feu n'a pas fait de victimes. Les militaires ont interpellé les deux suspects -un homme et une femme s'exprimant en espagnol- munis de deux armes de poing. Ils ont été placés en garde à vue.

Les deux etarras présumés étaient activement recherchés depuis la veille par la gendarmerie, qui avait déclenché un plan Epervier avec 300 hommes, deux hélicoptères et des équipes de recherches cynophiles. Le couple avait été pris en chasse samedi vers 17h à Vallière (Creuse) après que la conductrice d'un véhicule eut refusé de s'arrêter à un contrôle routier.

Le passager avait alors tiré à plusieurs reprises sur les militaires lancés à leurs trousses. Touché à l'épaule, un gendarme de la brigade de Royère-de-Vassivière a été opéré au CHU de Limoges. Ses jours ne sont pas en danger. Le couple a ensuité été repéré une heure après à Meymac (Corrèze) où il a forcé un nouveau barrage et tiré sur les gendarmes, qui n'ont pas été touchés. Les fuyards ont ensuite abandonné leur voiture avant de s'enfuir à pied.

La section antiterroriste du parquet de Paris a co-saisi la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire ainsi que la région de gendarmerie du Limousin.

Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a adressé dimanche "ses plus vives félicitations" aux gendarmes de la région "qui, par leur engagement et leur réactivité, ont permis cette interpellation dans les meilleurs délais". Il a aussi formulé des voeux de prompt rétablissement au militaire blessé.

samedi 9 avril 2011

Les hypermarchés Carrefour en grève

L’appel à la grève, lancé par FO, la CGT et la CFDT devrait être très suivi, perturbant l’activité dans de nombreux hypers de l’enseigne.

Journée mouvementée en perspective dans les hypermarchés Carrefour. Selon les syndicats, l’appel à la grève national lancé par FO, la CGT et la CFDT  devrait être très suivi aujourd’hui. « Cent cinquante magasins sur plus de 200 devraient être touchés », anticipe Dejan Terglav de FO, le syndicat majoritaire au sein du groupe, « Dans 130 d’entre eux, le mouvement s’annonce dur avec 40 % à 80% de grévistes.

"Tout le monde en a assez"Grève en vue chez Carrefour » Et dans certains hypers, les clients pourraient trouver portes closes. « Dix ou 15 pourraient fermer une partie de la journée. Ailleurs, des piquets de grève ou des blocages de ronds-points seront organisés », explique Dejan Terglav. Du jamais-vu au sein de l’enseigne, où le dernier conflit remonte à février 2008.

Le mouvement s’annonce particulièrement fort dans le Sud, le Nord, la Bretagne et dans des villes comme Orléans ou Le Mans, où le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, se rendra en début de matinée. La région parisienne, où les syndicats sont moins implantés, sera moins affectée, même si des perturbations sont attendues à Aulnay, Sevran, ou Villiers-en-Bière.

Jeudi soir pourtant, la direction de Carrefour a annoncé qu’elle allait « rouvrir les négociations salariales » dès mercredi. « Cela ressemble à une tentative de déstabilisation, s’emporte Serge Corfa, de la CFDT. Mais cela n’a pas eu d’impact sur les salariés. Le malaise est énorme. » La question des salaires a mis le feu aux poudres : l’augmentation de 1% en mars et 1% en octobre proposée par la direction est jugée « indécente » au regard de « la rémunération des actionnaires ». Mais, les syndicats s’inquiètent aussi de la nette dégradation des conditions de travail , des 4500 suppressions de postes… et de la stratégie de leurs actionnaires, le fonds Colony Capital et le Groupe Arnault qui met en vente Dia ainsi que les murs de Carrefour.

lundi 28 mars 2011

Dans la Creuse, la réduction d'effectifs publics fait craindre un "effet domino" sur l'emploi

L'événement ne risquait pas de passer inaperçu en Limousin. Toute la presse locale était conviée le 8 mars au ministère de la santé à Paris pour une annonce de première importance : la réouverture du service de radiothérapie de l'hôpital de Guéret (Creuse), fermé depuis le 30 juin 2010. Une "décision de bon sens", a commenté le ministre de la santé, Xavier Bertrand. Si pour le député Jean Auclair (Creuse, UMP), cette réouverture a été acquise grâce à ses relations au ministère, c'est bien la mobilisation populaire qui l'a motivée, assure la majorité départementale de gauche.

Un engagement significatif du contexte difficile qui pèse sur ce territoire. Le département subit un dépeuplement continu – 285 000 habitants à la fin du XIXe siècle, 124 000 début 2010 – et doit faire face à une population rurale à 76 %, composée de retraités à 39 %, avec 22 habitants au km2, soit cinq fois moins que la moyenne nationale.

L'Etat est le premier employeur de la Creuse (26,5 % d'emplois publics, contre 20,3 % au niveau national). L'objectif de la révision générale des politiques publiques (RGPP), programme lancé en juin 2007, est, selon la préfecture, "d'optimiser la gestion des moyens et des ressources humaines dans un objectif de plus grande efficacité et de performance". En clair : adapter l'action de l'Etat à la réalité démographique.

L'ÉDUCATION, SECTEUR LE PLUS TOUCHÉ

Ainsi, sur 111 bureaux de poste en 1998, 48 ont disparu, remplacés par des agences communales (49) et des "relais-poste commerçants" (10) qui, selon La Poste, "offrent l'essentiel des services" mais qui, d'après FO, limitent les opérations. L'effectif de l'administration fiscale tombera de 188 agents en 2000 à 123 en septembre 2011 ; l'équipement (139 salariés) a perdu neuf emplois en 2009. Selon la CGT, les cheminots ne sont plus que 90 contre 240 en 1986, pour trois gares "voyageurs" (14 en 1986) et deux gares "fret" (10 en 1986). Le centre Météo France a été transféré à Limoges ; l'Etablissement du matériel militaire (130 postes) va être fermé d'ici à 2013 ; la prison (30 emplois) en 2015.

L'éducation est le secteur le plus touché : depuis 2008, les 18 collèges ont perdu 31 postes d'enseignant. La suppression de 13 postes est annoncée à la rentrée 2011, et plusieurs filières vont disparaître. Alors que, selon le SNES, le principal syndicat du second degré, le nombre de collégiens va passer de 4 372 en 2008, à 4 461 en 2010.

Une "optimisation" des moyens de l'Etat récusée par Michel Vergnier, député et maire (PS) de Guéret : "Raisonner en termes de seuil et de rentabilité, ça n'a pas de sens dans les territoires ruraux. On est au minimum, descendre encore, c'est nous condamner." Beaucoup craignent un "effet domino", qui répercuterait la régression de l'emploi public sur l'emploi industriel et marchand. "Depuis 2004, continue M. Vergnier, l'emploi public a reculé d'un millier de postes dans le département. Dont, pour ma seule commune, 350 ces quatre dernières années."

"BOUCLIER RURAL"

"C'est la notion même d'aménagement du territoire qui disparaît", déplore Patrice Brunaud, gérant de deux PME qui emploient 27 personnes, et vice-président de la chambre de commerce et d'industrie (CCI). "Notre tissu économique est fait de PME, en général de belles entreprises familiales, mais dont un tiers sont vieillissantes. Il n'est pas évident d'attirer des repreneurs et des cadres dans un territoire qui a une image de déclin", explique-t-il. La CCI, les collectivités locales et le conseil régional ont la même vision des leviers possibles pour inverser l'évolution.

"Il est essentiel de fixer des critères d'accès aux services publics de base", conclut le maire de Guéret, qui a déposé une proposition de loi créant un "bouclier rural". Le 2 février, le député Pierre Morel A l'Huissier (UMP, Lozère) a proposé un "plan Marshall de la ruralité". Projet dénoncé par le PS comme un contre-feu à l'approche du second tour des élections cantonales, le 27 mars. Bouclier contre plan Marshall, un duel qui souligne l'urgence de la situation dans les départements ruraux.

le monde.fr

Le bulletin municipal de printemps est paru

Une jolie palette de couleurs orne la première page du bulletin municipal de ce mois d'avril 2011.

De nombreuses informations pour les résidents qui seront débattues "si vous le souhaitez" le 14 avril  lors de la prochaine réunion publique.

Vous pourrez retrouver très prochainement ce bulletin sur le futur site de la ville. J'en ai eu une première vision, il est très bien conçu et apportera à tous des infos très positives pour la ville. Enfin une image extérieure pour la cité thermale.

En parcourant ce bulletin, vous remarquerez, qu'un début de reflexion devrait se propager au conseil municipal relatif à la liaison entre la station thermale et le bourg. Il était temps de s'en préocuper, c'est certainement cette liaison qui sauvera les commerces du bourg....

Pour répondre à des interrogations, NON, la gendarmerie ne fermera pas ses portes, un nouveau bail à été proposé.

Les camping cars devraient trouver refuge à Evaux, des propositions sont en cours.

** SIARU ? pour le résident c'est quoi...

Dans le bulletin d'avril 2010, un formulaire (questionnaire) vous demandait de donner votre avis, vos remarques (positives et négatives) et vos interrogations sur la ville et cela dans un seul but, essayer de proposer et de vous écoutez. Seul 60 sur 780 ex ont étés retournés en mairie. C'est fort dommage, pour une fois que l'on nous propose de donner et écouter notre avis .... la suite dans votre bulletin

mardi 22 mars 2011

Jacques Capelovici (Maitre Capello) nous a quitté


Jacques Capelovici, également très connu sous le pseudonyme de Maître Capello , est un linguiste français, également animateur de jeux télévisés, né le 19 décembre 1922 à Paris.

Nous avions travaillé ensemble avec JPierre descombes et gardions des relations amicales....

Il est célèbre pour sa participation au jeu de FR3 à partir de 1976, Les Jeux de 20 heures. Il revient régulièrement dans des émissions de télévision pour des interventions ponctuées par « de bon aloi ».

Jacques Capelovici est agrégé d'anglais , certifié d'allemand, diplômé d'italien et de scandinave ancien.

Grand maître des calembours, l'un de ses classiques était : « C'était une femme qui avait épousé son temps... comme Simone Signoret ! »

Chaque année il allait faire passer les épreuves du baccalauréat aux détenus de la prison de Fresnes, se faisant un plaisir d'apparaître devant les caméras de la TV, hilare, descendant du « panier à salade » qui l'amenait sur les lieux.

dimanche 31 octobre 2010

Une bonne recette pour cet hiver


beignets réalisés par Dom
 La recette des beignets de pomme de terre (appelés bognettes, bougnettes ou en arpitan savoyard beunteu) est un mets spécifique de Haute-Savoie. Ces beignets sont également connus en Alsace et dans les Vosges sous le nom de râpés de pomme de terre, beignets rapés ou simplement râpés et dans le charollais sous le nom patois "tortiaux de treuffes rapées".

Les beignets de pomme de terre. Simple, rapide et très bon. Ils accompagneront toute sorte de plats.


Un boeuf aux carottes réalisé avec les produits du terroir de la creuse
 - 6 pommes de terre -  2 oeufs -  1 cuillère à soupe de farine - Sel, poivre  - Ciboulette  - Crème fraîche

1/ Râpez les pommes de terre crues et ajoutez les oeufs, le sel, le poivre et la farine.

2/ Mélangez le tout.
3/ Dans une poêle, mettez un peu d'huile.
4/ Avec une cuillère à soupe prenez la préparation et faites des galettes.
5/ Mettez les à cuire et faites les bien dorer de chaque coté environ 3 minutes.
6/ Disposez-les sur du papier absorbant pour les égoutter.
7/ Saupoudrez de ciboulette hachée et accompagnez de crème fraîche.



Suggestion : avec un boeuf braisés au carottes, un petit verre de vin de savoie.....

jeudi 9 septembre 2010

"Les voiturettes" quelles conditions

Un mel m'a été envoyé pour connaître les conditions afin de pouvoir conduire "une voiture sans permis"... ceux qui roulent pas vite ...

En bref, un BSR suffit

Donc en bref , une personne qui n'a plus de permis pour x raisons, peux conduire ce type de voiturette et parcourir nos routes (quand même grave pour l'alcoolisme) !
Voici ce que j'ai récupéré sur un site officiel :



Tout conducteur de quadricycle léger à moteur (véhicule à moteur à 4 roues) doit être âgé d'au moins 16 ans.
S'il est né après le 1er janvier 1988, il doit également être titulaire, soit du brevet de sécurité routière (BSR),  (ou d'un titre reconnu équivalent), soit du permis de conduire.

Il est possible de conduire sans permis mais avec le brevet de sécurité routière les mini-voitures classées "voiturettes" ou petits quads qui présentent les caractéristiques suivantes :

cylindrée inférieure à 50 cm3, vitesse limitée à 45 Km/h.

Il est également possible de conduire sans permis mais avec le brevet de sécurité routière les voitures électriques dont la puissance est inférieure à 1 kW. Les voiturettes doivent être immatriculées depuis le 1er mars 1992.

lundi 4 mai 2009

Pôle débat " l'acteur rural"

12 et 13 mai 2009 à Paris
Les conditions de réussite d’une stratégie locale de l’habitat
Les communautés de communes sont compétentes pour l’élaboration de programmes locaux de l’habitat (PLH) mais rares sont celles à s’y être engagées, pour des raisons techniques, financières ou d’échelle.
Les acteurs locaux, les professionnels de l'habitat et les Départements reconnaissent souvent que les pays disposent d’une échelle plus pertinente pour l’élaboration de stratégies locales de l’habitat mais n’identifient pas ces derniers comme des acteurs aptes à porter ces démarches.
Par ailleurs, la possibilité de réserver du foncier, préalable à toute action en matière d’habitat, demeure de la compétence des communes.
Enfin, les Départements et les bailleurs sociaux sont des partenaires essentiels des collectivités locales dans l’élaboration et la conduite de stratégies de l’habitat (appui technique, financier, méthodologique…) mais le partenariat entre ces acteurs reste à conforter.
A partir de ces constats, ETD organise deux journées dédiées aux conditions de réussite d'une stratégie locale de l'habitat : quelle(s) échelle(s) de réflexion et quels enjeux à prendre en compte par les territoires ? Quels outils et quels partenaires peuvent-ils mobiliser ?

La bonne bière du pays Creusois


Alessio Batazza ne manque pas de qualificatifs élogieux pour décrire la Creuse, sa région d’adoption. « J’ai été captivé par l’endroit », dit ce jeune brasseur de bière installé à Felletin depuis 2004. Avant, cet italien était informaticien en Écosse, où il a rencontré sa femme, Rebecca, fille de néoruraux creusois. Amateur de bières, Alessio brassait déjà son propre breuvage. « Nous sommes venus en vacances chez les parents de Rebecca et nous avons rencontré beaucoup de gens venus s’installer pour vivre autrement, créer une petite activité… J’ai vraiment été séduit par la qualité de vie ici et, moi aussi, je voulais créer mon projet, j’en avais marre de travailler dans un bureau, de la routine. » Ils quittent l’Écosse pour Aubusson, Rebecca est embauchée dans un bar et Alessio réalise quelques sites web. « Nous avons appris qu’à Felletin, l’eau était de l’eau de source non traitée : l’idéal pour la bière. » C’est le déclic. Alessio et Rebecca lancent leur projet de brasserie artisanale. Ils repèrent un bâtiment vacant, contactent la mairie, réalisent des stages et se forment à la création d’entreprise. Séduite par le projet, la commune de Felletin leur cède le local qu’ils refont à neuf grâce à un petit emprunt. Aujourd’hui, ils vendent leur bière, la Felis, sur les marchés de Felletin et Aubusson, à quelques cafés et groupements d’achats locaux. « L’accueil a été excellent et aujourd’hui, les Felletinois se sont vraiment approprié la Felis, c’est leur bière ! »
Contacts :
La Brasserie de la Creuse. Tél. : 05 55 67 58 14.
Pôle local d’accueil Sud-est creusois, Communautés
de communes Aubusson-Felletin & Haut-Pays Marchois.
Mobile : 06 80 41 09 56.

S’ouvrir à l’accueil


• Pays de l’Ouest Creusois (23)
Un territoire en mouvement
Le Pays Ouest Creuse a décidé de tordre le cou aux préjugés. Oui, on peut entreprendre en Ouest Creuse, oui, on peut s’y divertir et s’y cultiver. Et le PLA l’a prouvé aux jeunes lors des deux week-ends « Place aux jeunes » organisés à l’automne 2008. Ateliers sur la création et la vie professionnelle en milieu rural, découverte des activités de loisirs, rencontre avec des élus et des acteurs locaux, visites d’entreprises innovantes et rencontre avec des jeunes entrepreneurs en pépinière d’entreprise : la quinzaine de jeunes est repartie conquise. Et pour cause, les entreprises visitées avaient de quoi séduire : industrie fabricant des éléments pour panneaux photovoltaïques, restaurant-chambres d’hôtes, artisan qui fabrique des cabanes en châtaignier… « Ce séjour a complètement changé mon image du territoire », témoigne Guillaume Nedellec, originaire du coin puis parti pour cause d’école d’ingénieur. Ceux qui avaient des projets de création, comme Thomas Fleuret qui souhaite monter un restaurant dans les arbres ou Clément Mellin, dans le domaine de la domotique, sont repartis avec des conseils et de précieux contacts. À ce PLA dynamique s’ajoutent des projets innovants de nouveaux arrivants (ferme équestre, pain bio, produits paysans en vente directe…), une petite ville particulièrement agréable – La Souterraine – et une bonne desserte routière et ferroviaire : autant de raisons de s’installer sur ce territoire !

Pôle local d’accueil
Tél. : 05 55 63 56 18.



Pays de Combraille-en-Marche
Un stage pour créer son activité
Ici, c’est la campagne, la vraie : pas de ville, juste des petits bourgs et du bocage ! Aux confins du Berry et de l’Auvergne, ce territoire au nord-est de la Creuse a fait de l’accueil une priorité. Son action phare ? Le stage « découverte-création d’activité », organisé chaque année pour les porteurs de projets avancés. L’objectif : confronter son projet à la réalité du territoire pendant une semaine. Défini en partenariat avec les chambres consulaires et la boutique de gestion Airelle Limousin, ce stage alterne des ateliers sur des aspects de la création/reprise (plan de financement, outils locaux…), des visites d’affaires à reprendre et des entretiens individuels, sans oublier des temps de détente, de découverte touristique et des repas conviviaux. Chaque stagiaire bénéficie en outre d’un interlocuteur spécialisé dans son secteur et visite des entreprises en lien avec son projet. Et pendant que les parents travaillent, les enfants sont pris en charge par le centre de loisirs Agir en Haute Marche Combraille ! Pour les participants, il ne fait aucun doute que ce stage représente une aide précieuse. « Nous voulions changer de vie, ce stage nous a donné une grande force et beaucoup d’éclaircissements », témoignent les Quesnel, installés comme ferronniers depuis 2006. Pour les Brossard, qui ont repris une boulangerie en 2004, « l’offre d’accueil est ici extraordinaire ».

Le Limousin : la vie en vert


Du vert, du vert, du vert. Celui des forêts, des prairies, des collines. Celui d’une économie qui valorise les ressources locales et crée du lien. Celui de l’habitat aussi, qui, de plus en plus, respecte l’environnement… Le Limousin voit la vie en vert et offre à ceux qui s’y installent une richesse inestimable : la qualité de vie. Chaque année, cette région accueille de nouveaux arrivants, à tel point qu’elle est devenue la 6e région la plus attractive de France ! Reprendre une auberge, ouvrir une librairie-salon de thé, s’installer en élevage ou créer sa petite entreprise artisanale, autant de projets qui prennent racine dans les campagnes limousines. Pour écouter, conseiller et accompagner les porteurs de projets, la Région Limousin a mis en place un réseau d’accueil, composé d’un service au niveau régional et de Pôles locaux d’accueil (PLA) répartis sur les différents territoires. Ces PLA ont pour mission de sensibiliser le territoire à l’accueil, de construire et diffuser l’offre locale et d’accompagner les nouveaux arrivants. Au-delà des PLA, des territoires et des associations se mobilisent. Aperçu de leurs actions et témoignages de nouveaux arrivants.