lundi 7 juin 2010

COUPE DU MONDE de football

Au lendemain des déclarations de la secrétaire d'Etat aux sports Rama Yade sur le choix de l'hôtel de l'équipe de France de football pour la Coupe du monde Afrique du sud, «trop luxueux» d'après elle, Noël Le Graët, vice-président de la fédération française de football, a tenté de désamorcer la polémique lundi matin, sur Europe 1.

Polémique. «Sa reflexion (NDLR de Rama Yade) me surprend. Cela fait six mois qu'on est au courant. La Fifa, qui prend en charge une somme importante de l'hébergement, dresse une liste d'hôtels, celui des Bleus est le plus adapté sportivement». Noël Le Graët souhaite éteindre le feu à propos de cette tension naissante et «souhaite la bienvenue» à la Secrétaire d'Etat au sport, en Afrique du Sud.

Primes. Le numéro 2 de la FFF trouve dommageable la polémique sur les primes et regrette que l'on pense que les «joueurs ne viennent que pour l'argent». Il trouve ces primes «normales» (*) et rappelle que les Bleus ne toucheront aucune prime lors des trois premiers matches. Noël Le Graët insiste également sur la reversion des bénéfices engendrés par l'équipe de France au monde amateur.

(*) 40 000 € pour un huitième de finale, 100 000 € pour un quart, 130 000 € pour une 4 e place, 150 000 € pour une 3 e place. 200 000 € la finale et 300 000 € la victoire finale.

L'Etat de forme des Bleus. Le vice-président se dit confiant quant au parcours des bleus en Afrique du Sud. Même après une triste et inquiétante défaire face à la Chine (0-1) vendredi sur l'île de La Réunion. «Ils sont très proche et solidaire, l'équipe est en forme.»

Laurent Blanc. Concernant la signature du futur sélectionneur de l'équipe de France et ancien entraîneur des Girondins de Bordeaux, Noël Le Graët estime qu'il n'y a aucune urgence. «Chaque chose en son temps.»

la météo cette semaine à Evaux les bains

dimanche 6 juin 2010

Cour d’assises : les jurés populaires bientôt supprimés ?

Selon Le Parisien, Michèle Alliot-Marie, la ministre de la Justice, envisage de supprimer les jurés populaires lors des procès en première instance dans les cours d’assises. Et seulement maintenant en deuxième instance, devant les cours d’assises d’appel...
En France, les jurés populaires interviennent uniquement dans les juridictions criminelles, comme la cour d’assises. Actuellement, en première instance, la cour se compose de trois magistrats professionnels et de neuf jurés tirés au sort.

Les bleus (football), se prennent pour des nababs

Rama Yade, la secrétaire d'Etat aux Sports, a critiqué aujourd'hui le choix d'un hôtel de luxe pour héberger les Bleus pendant la première phase de la Coupe du monde, alors qu'elle avait "appelé les instances du football à la décence."

"Je n'aurais pas choisi cet hôtel. L'Espagne, par exemple, a choisi un campus universitaire", a déclaré la secrétaire d'Etat sur Radio J. "Si la France va très loin, le choix d'un site proposant les meilleures conditions d'entraînement paraîtra judicieux. Par contre, si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos attentes, les instances devront s'expliquer. Il faudra logiquement en tirer les conséquences", a poursuivi Rama Yade.

«Elle aurait bien aimé être du voyage»


"J'attends que l'équipe de France nous éblouisse par ses résultats plutôt que par le clinquant des hôtels. Moi je les ai appelés à la décence en temps de crise", a-t-elle ajouté. L'équipe de France est logée au Pezula Resort à Knysna, au bord de l'océan Indien.

«Elle aurait bien aimé être du voyage», lui a répondu Alou Diarra, interrogé en conférence de presse. Le milieu de terrain de l'équipe de France a cependant précisé avec le sourire qu'il n'avait «pas à commenter les déclarations de Rama Yade».

Bébé mort oublié dans une voiture : la mère bouleversée remise en liberté

La mère de la fillette de 16 mois morte, oubliée, dans une voiture à Arcueil (Val de Marne) mise en garde à vue dans le cadre d'une enquête ouverte en flagrance pour homicide involontaire, a été relâchée. Elle est sortie de sa garde à vue samedi après-midi, totalement bouleversée.

Cette maman de quatre enfants, dont la victime était la dernière née, a expliqué aux policiers qu'elle a eu «un trou noir», et ne se rappelle plus ce qui s'est passé dans la matinée de vendredi.

L'autopsie a révélé que l'enfant était décédé par déshydratation.

D'après les premiers éléments de l'enquête, la mère, qui avait veillé avec son mari toute la nuit de jeudi à vendredi à l'hôpital au chevet d'un autre de leurs enfants, atteint d'une «maladie grave», serait partie de son domicile de Brétigny-sur-Orge (Essonne) au travail en retard au siège social d'Orange à Arcueil. Elle n'a pas déposé la fillette chez la nourrice comme elle le faisait habituellement. Cette dernière aurait tenté de lui téléphoner mais seulement quatre heures après l'heure ou le bébé aurait dû être déposé.

La fillette âgée de 16 mois a été découverte, sans vie, vendredi vers 14 heures, dans une voiture stationnée Cité du Chaperon Vert à Arcueil. Elle y est restée en plein soleil quatre heures avant qu'on ne la remarque. C'est une ado qui a alerté les gardiens de l'immeuble voisin. Pendant que l'un d'entre eux brisait la vitre du véhicule, son collègue a prévenu les sapeurs-pompiers. La maman est arrivée quelques minutes plus tard alors que les secours tentaient de ramener l'enfant à la vie. Des efforts qui sont restés vains.

A l'annonce de cet accident, la secrétaire d'Etat à la Famille, Nadine Morano, a fait savoir qu'elle allait réunir «dans les plus brefs délais» les constructeurs automobiles et fabricants d'alarme pour voir s'il est possible d'équiper les voitures avec une alarme empêchant de tels drames. L'objectif : «faire le point sur les dispositifs d'alerte qui existent déjà (...) et de déterminer les modalités techniques d'une possible généralisation du recours à ces systèmes».

Entre juin 2007 et août 2009, la Commission de la sécurité des consommateurs a recensé 26 accidents dont 22 en France métropolitaine, 2 en Outre-Mer et 2 en Belgique ayant été à l'origine de 7 décès, précise le communiqué de Mme Morano. «C'est dire l'urgence de disposer d'outils fiables permettant d'éviter le pire», estime le secrétariat d'Etat.

Un enfant de deux ans et demi était mort dans les mêmes conditions le 15 juillet 2008 dans l'Isère. Le père a été condamné à huit mois de prison avec sursis. Une semaine plus tard, une petite fille de deux ans et demi était décédée de déshydratation en Saône-et-Loire. Son père l’avait oubliée dans sa voiture après s’être rendu à son travail.

Melun : le stade municipal ravagé par un incendie

Le stade municipal de Melun (Seine-et-Marne) a été ravagé par un incendie «très important» dans la nuit de samedi à dimanche et la piste criminelle est privilégiée. Un homme en état d'ivresse et dont l'identité n'a pas été révélée a été interpellé peu après à proximité.

Le coût des dégâts n'est pas encore chiffré mais le bilan sera lourd.

Le feu a pris à l'extérieur du stade vers 4h30 et gagné une grande partie des installations. «Les deux tiers du stade ont été détruits par le feu, il n'est plus opérationnel», précise une source policière. «L'ensemble des salles sous la tribune sont complètement hors d'usage», a-t-on ajouté de source préfectorale. Les niveaux supérieur et intermédiaire du stade où se trouvent des salles de sport et de réunion ont été atteints. Quant au niveau inférieur de l'édifice, il a été envahi par la fumée.

L'incendie serait d'origine criminelle

«Il n'est pas exclu qu'il s'agisse d'un acte criminel dans la mesure où l'origine de l'incendie serait le feu d'un ou plusieurs conteneurs situés le long du bâtiment», a expliqué cette source. Du conteneur en feu, les flammes se seraient propagées vers la toiture en bois, puis, au reste du bâtiment.

vendredi 4 juin 2010

La France championne des inégalités scolaires

Comment faut-il vous le dire, monsieur le Président ? Votre idée d'assouplir la carte scolaire, de promettre aux parents qu'ils pourront inscrire leur enfant où ils veulent, est une mauvaise idée.

Une très mauvaise idée. Le ministère de l'Education s'est bien gardé d'en mesurer les effets délétères depuis deux ans qu'elle est appliquée, mais d'autres s'en sont chargés. Et pas des moindres : le syndicat des chefs d'établissement, utilisant son réseau, a fait une étude sur près de 3000 collèges et lycées. Et la très sérieuse et très impartiale Cour des Comptes, après trois ans d'enquête sur le terrain, vient de sortir un rapport au vitriol sur l'organisation de l'école en France, en épinglant notamment cet aspect. L'un et l'autre s'expriment donc preuves à la main.

Un rappel d'abord ! Parler du « choix » des parents est un leurre. Encore faut-il que l'établissement où ils postulent pour leur enfant ait de la place. On ne peut pas pousser les murs des collèges et lycées une fois qu'ils ont fait le plein.
Or les demandes convergent justement sur un petit nombre d'établissements, qui saturent vite. Mais surtout, cette nouvelle logique ponctionne les établissements fragiles des derniers bons élèves qui y étaient, et déstabilise même les établissements moyens. Bref, elle creuse les écarts. Rien de plus antidémocratique.
« L'intérêt général n'est pas préservé », dit Philippe Tournier, le secrétaire général du syndicat des chefs d'établissement. De son côté, la Cour des Comptes parle de difficultés qui ne font que « s'aggraver » et de la constitution de « ghettos scolaires ». Comme si la barque n'était pas assez pleine.
« La France est au 22 ème rang en ce qui concerne (...) l'accentuation des écarts de résultats entre les élèves de statuts favorisé et défavorisé », écrit la Cour des Comptes, concernant la période 2000-2006. La France était bonne dernière. Votre promesse, monsieur le président, la fera encore davantage plonger.

Résultat de la saison football Evaux/Budelière

Une saison en demi-teinte pour nos locaux. Il faut toujours un premier et un dernier !
Cette saison se sera dans le trio de fin de classement, mais la saison prochaine ce sera certainement mieux et peut être dans le trio de tête. 

 Bonne vacances à nos joueurs.

Les animations au Grand hôtel Thermal à Evaux les bains

La défaite inquiétante de la France contre la Chine

L'équipe de France termine sa série de match de préparation par une défaite. Après un succès contre le Costa Rica (2-1), un nul face à la Tunisie, les Bleus s'inclinent devant la Chine (0-1) vendredi à Saint-Pierre de la Réunion.

Avec au coup d'envoi l'équipe qui a débuté ces trois rencontres amicales, la France livré une prestation inquiétante à une semaine de son entrée en lice en Coupe du monde face à l'Uruguay.


Dans le 4-3-3 désormais habituel, les hommes Raymond Domenech qui bat le record de Michel Hidalgo avec un 76e match d'affilée sur le banc des Bleus, ont eu la volonté de passer par les côtés. Mais les mauvais choix de Govou côté droit ou les bonnes intentions de Ribéry à gauche ont toujours échoué. Anelka, seul en pointe a davantage fait l'effort d'appeler le ballon en profondeur mais n'a jamais été servi dans de bonnes conditions. Les Bleus s'en remettent alors aux frappes lointaines mais les tentatives de Ribéry (5e) et Gourcuff (32e) sont stoppées par le gardien chinois tout comme le coup franc de Ribéry (21e). Sur un corner de Gourcuff, Gallas prend le meilleur de la tête mais le ballon passe à côté (35e).

La Chine, 84e nation au classement FIFA

Les entrées en jeu à l'heure de jeu d'Henry, Gignac et Diaby n'offrent pas davantage de solution et c'est finalement la Chine qui s'illustre sur sa première frappe cadrée. Deng Zhuoxiang d'une coup franc de trente mètres trompent Lloris, mal placé et visiblement gêné par la trajectoire flottante du ballon (0-1, 68e).

La réaction des Bleus par des tentatives d'Henry anihilées deux fois par le gardien chinois (70e, 72e), un boulet de canon de Diaby sorti du bout des gants (82e) ou la frappe excentrée de Gignac de nouveau écartée par Zeng Cheng (88e) ne suffit pas à rassurer.

Incapable de battre la 84e nation mondiale, l'équipe de France ne gardera comme bon souvenir de la Réunion que l'incroyable accueil du stade Michel Volney. Malheureusement pour les Bleus, le chaleureux peuple réunionnais n'est pas attendu vendredi prochain au Cap lorsqu'ils débuteront face à l'Uruguay. Il faudra alors trouver un autre ressort pour éviter de voir les rêves mondialistes se dissiper trop rapidement.

Domenech : «Déçu pour les joueurs et le public»


Sur TF1, Raymond Domenech, s'est dit «déçu pour les joueurs et pour le public extraordinaire qui a encouragé jus qu'à la dernière minute». Le sélectionneur a toutefois essayé de désarmorcer la polémique qui ne va pas manqué de naître après cette défaite. «La Coupe du monde c'est pas aujourd'hui, c'est le 11 juin», a éludé l'entraîneur en rappelant que «toutes les préparations aux grandes compétitions se déroulent comme ça». Quant à l'éventualité de changements dans l'équipe type en vue du premier match du Mondial contre l'Uruguay : «Non ce n'est pas le moment de tout chambouler, on a encore une semaine pour mettre en place l'équipe et étudier les options. »

Un bébé retrouvé mort dans une voiture

Un bébé, dont l'âge n'a pas encore été communiqué, a été découvert, sans vie, vers 14 h 35, dans une voiture stationnée Cité du Chaperon Vert à Arcueil (Val-de-Marne). Ce sont des passants qui ont remarqué l'enfant, seul, dans la voiture. Ils ont alors donné l'alerte tout en cassant la vitre. La maman est arrivée quelques minutes plus tard alors que les secours tentaient de ramener l'enfant à la vie mais leurs efforts sont restés vains.

Evaflor à Evaux les bains

Vous pouvez rejoindre la nouvelle association Evaflor et aider à enjoliver votre ville. Une bonne façon d'unir les savoirs et partager votre passion des fleurs.
Rens en mairie.

Maltraitances aux personnes âgées: 150 établissements menacés de fermeture

J'avais fait un billet l'an dernier relatif à notre département et maintenant ont s'aperçois que plus de 150 établissements pour personnes âgées, des petites "unités de vie" ou des logements-foyers, qui accueillent des résidents dépendants sans autorisation, sont menacés de fermeture.

Le gouvernement a annoncé qui prépare un projet de loi pour lutter contre la maltraitance.

Plus de 150 établissements pour personnes âgées, des petites "unités de vie" ou des logements-foyers, qui accueillent des résidents dépendants sans autorisation, sont menacés de fermeture, a annoncé le gouvernement qui prépare un projet de loi pour lutter contre la maltraitance.
Suite à des cas de maltraitance soupçonnés dans un petit établissement de Bayonne fin 2009, la secrétaire d'Etat aux Aînés Nora Berra avait lancé le recensement de toutes les petites structures non médicalisées qui accueillaient des personnes dépendantes.

Pour accueillir un tel public, les établissements doivent en effet avoir un niveau minimal de médicalisation via notamment du personnel qualifié.

Sur 270 établissements recensés fin 2009 comme "irréguliers", le gouvernement a comptabilisé 91 établissements qui sont désormais "conformes" et 21 "en voie finale de régularisation".
Mais 155, "en cours de régularisation", sont "sous surveillance administrative" par les Agences régionales de santé (ARS), détaillent le ministère du Travail et son secrétariat d'Etat aux Aînés dans un communiqué.

La régularisation "devra s'effectuer à l'automne", sans quoi ils s'exposeront à une fermeture, excepté "les établissements qui rencontrent des problèmes structurels et/ou organisationnels" qui pourront bénéficier de l'aide des services de l'Etat.

Enfin, 3 établissements "ont fermé" ou sont en cours de fermeture, ajoute le gouvernement : "soit un administrateur provisoire est mis en place pour tenter de mettre l'établissement en conformité" soit "les résidents sont réorientés vers d'autres structures médicalisées".

Ils sont situés dans l'Yonne, à Bussy-en-Othe (7 lits) et dans le Var, à Six-Fours-les-Plages (8 lits). La localisation du troisième (35 lits), en cours de fermeture, n'a pas été donnée par le gouvernement.

Nora Berra a aussi annoncé la préparation d'un projet de loi qui permettra la publication des évaluations des maisons de retraite et rendra obligatoire une procédure commune à l'Etat et aux départements pour la gestion des plaintes et des signalements de maltraitance.

Meurtre d'une juge et de son greffier à Bruxelles : un suspect arrêté

Un homme a été interpellé en début de soirée jeudi à Bruxelles (Belgique), quelques heures après le meurtre en pleine salle d'audience du palais de justice d'une juge de paix et de son greffier. Selon la radio-télévision flamande VRT citée par Belga, il s'agirait d'un ressortissant iranien de 47 ans, identifié par des témoins de la fusillade mortelle.


Le suspect a été arrêté vers 19h20 près de la fontaine du parc royal de Bruxelles, en plein centre-ville. Lorsque les policiers ont voulu le contrôler, il a brandi une arme et tiré plusieurs fois en l'air avant d'être maîtrisé. Il a été blessé lors de cette intervention. L'homme aurait affirmé avoir agi par vengeance.

Il avait pris la fuite à pied


Jeudi vers 11h20, dans une salle d'audience du palais de justice, un homme a soudain sorti une arme à feu et tué la juge Isabelle Brandon, 61 ans, ainsi que son greffier André Bellemans. Il n'y avait alors dans cette salle, où sont traitées des affaires de voisinage ou de divorce, que les deux victimes, deux ou trois avocats et cet homme présent depuis le début des débats. L'auteur des coups de feu «a été brièvement poursuivi par un des avocats présents mais il a réussi à prendre la fuite à pied dans les rues du quartier», selon le représentant du parquet.

«C'est le drame. Un magistrat, pour la première fois de l'histoire de la Belgique, ainsi que son greffier, ont été tués en pleine salle d'audience, c'est inacceptable», a déclaré le ministre de la Justice, Stefaan De Clerck. Celui-ci s'est immédiatement rendu sur les lieux, soulignant «l'excellent curriculum» de la magistrate. Le chef du gouvernement, des ministres et des parlementaires belges, et des centaines de magistrats et d'avocats, ont rendu un hommage solennel jeudi après-midi, aux deux victimes

jeudi 3 juin 2010

FOOTBALL - La vice-présidente du Front national marche dans les pas de son père...

Le Mondial arrive et tout le monde a forcément une opinion sur l’équipe de France. Surtout Marine Le Pen. La vice-présidente du Front national jeudi matin sur BFM TV/RMC Info qu'elle ne se reconnaissait pas dans l'équipe de France de football.

«La plupart de ces gens considèrent un coup qu’ils sont représentants de la France quand ils sont à la Coupe du monde, un autre coup ils se considèrent comme appartenant à une autre nation ou ayant une autre nationalité de cœur, a déclaré Marine Le Pen. S'ils se comportaient correctement (...) si on entendait parfois parler de patriotisme dans la bouche de ces joueurs, si un certain nombre ne refusait pas de chanter la Marseillaise, si on ne les voyait pas enroulés dans le drapeau d'autres nations que la nôtre, peut-être les choses changeraient, mais en l'état j'avoue que je ne me reconnais pas particulièrement dans cette équipe.»

Comme on l'interrogeait pour savoir si l'équipe représentait la France, Marine Le Pen a déclaré que «le pognon dégouline de ces gens», un «argent facilement gagné». Pour mémoire, en 1996, lors de l’Euro, le chef du FN Jean-Marie Le Pen avait créé une polémique en jugeant «artificiel que l'on fasse venir des joueurs de l'étranger en les baptisant équipe de France».

Retraite à 60 ans : «Une grande illusion», selon Parisot

«Une grande illusion, pour ne pas dire une vue de l'esprit.» La présidente du Medef, Laurence Parisot, est revenue à la charge, ce jeudi matin sur France Info, contre la retraite à 60 ans. Mercredi soir, lors d'une rencontre à Cannes avec des chefs d'entreprise, elle avait déjà défendu le retour de l'âge légal de départ à la retraite à 65 ans.
Interrogée ce matin, elle s'est refusée à se prononcer sur un âge, tout en assurant : «Si nous n'avions pas abandonné le 65 ans en 1983, nous serions en train de discuter des excédents du régime d'assurance vieillesse et par conséquent le débat porterait soit sur l'augmentation des retraites, soit sur la baisse des cotisations».

Devant les chefs d'entreprise réunis à Cannes, elle avait indiqué : «Si rien n'est fait, le déficit du régime général sera de 40 milliards d'euros en 2030 et de 100 milliards en 2040. Aujourd'hui, pour une année de pension versée, savez-vous qu'un mois et demi est financé par l'endettement ? C'est pour cela qu'il faut remettre l'âge légal de départ à 65 ans», a-t-elle lancé, rapporte le quotidien «Nice-Matin».

mercredi 2 juin 2010

Fadela Amara «prête» son logement de fonction à ses proches

«Mixité sociale» oblige, comme insiste la secrétaire d'Etat à la Ville, pas question pour Fadela Amara de quitter son modeste logement HLM, un deux pièces de 50 m², dans le XIIIe arrondissement parisien. Que faire alors de l'appartement spacieux de 120 m², mis à sa disposition par la République comme logement de fonction dans le chic VIIe arrondissement ? Le Canard enchaîné a la réponse : le mettre à la disposition de sa famille.

Ainsi le journal satirique révèle aujourd'hui qu'elle le prête gracieusement actuellement à un de ses frères, qui devrait y rester jusqu'au début du mois de juillet. L'an dernier, ajoute le Canard, à peu près à la même époque, c'est un autre frère de la secrétaire d'Etat qui a bénéficié de ce 120 m², situé au dernier étage d'un immeuble contemporain, place Fontenoy et offre, paraît-il, une vue imprenable sur la Tour Eiffel.

Villiers-le-Bel : trois blessés dans une fusillade

Un homme encagoulé a tiré cet après-midi sur un groupe de jeunes rassemblés au bas de la barre d'immeuble de l'allée des Bleuets, dans le quartier de la Cerisaie, un secteur sensible de la ville de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise). Vers 15 h 45, le tireur a ouvert le feu à plusieurs reprises, apparemment sans descendre de sa voiture, avant de prendre la fuite.

Il a fait trois blessés. Deux ont été touchés à l'épaule, un troisième plus sérieusement dans le dos et dans le ventre. Les trois victimes seraient considérées comme hors de danger. Le tireur aurait eu un ou deux complices présent dans la voiture.

Réunion d'information publique à Evaux les bains

Durant la campagne municipale, Monsieur Campos, maire de la ville et son équipe s’était engagé à tenir informé régulièrement les citoyens des projets en cours et à venir.

Un effort dans la communication à son actif. Après deux années de mandat, le conseil municipal était rassemblé en « moitié » pour la deuxième réunion publique. Seul monsieur Gerard Steiner, conseiller de l’opposition était présent et qui par ailleurs à été largement applaudit par le public et son opposition pour ses remarques très constructives.
En ouverture un bilan de ces deux années de mandat. Le premier magistrat de la ville repris un à un tous les points de sa profession de foi de campagne. Nous avons tenus jusqu’alors nos engagements, signale le maire, sans omettre que certains points ont étés sous estimés, mais nous travaillons dans la bonne direction malgré l’endettement de la commune. Nous sommes dans l’obligation de revoir quelques ambitions à la baisse, poursuit’ il, la diminution très importante des taxes perçues (casino), nous oblige à refaire nos copies.

Dans le grand ensemble, nous avons tenus nos promesses. Nous avons maintenus toutes les subventions aux associations, et doublé les crédits au CCAS (aide sociale).
Comme vous le savez, dans le courant de l’année, le centre de remise en forme verra le jour dans notre ville et Je tiens à rappeler que toute cette opération financière ne sera pas supportée par les habitants, nous avons fait une « opération blanche », pour résumer, cela ne coûtera rien aux évahonniens conclut Monsieur Campos.

Monsieur Radigon, adjoint et conseiller général, rappelle l’excellent travail de la SEM, la société qui exploite tout le centre thermal. Malgré la grande peur du début de saison 2009, l’équilibre est assuré. Il est vrai que la restructuration du personnel et la bonne gestion de l’hôtel par Alex ont étés des facteurs majeurs. Une trésorerie, une gestion rigoureuse et des bons éléments à chaque postes sont les clés de la bonne porte et maintenant, celle la est ouverte, malgré le claquement de l’an dernier et cela c’est une réussite.
Je pense, arbore le président de la SEM, que le centre de remise en forme nous permettra de maintenir l’hôtel ouvert une partie de l’hiver, cela fera un peu de mouvement en cette période d’inertie et cela devrait engendrer le maintien de personnel.
Tous les présents à « la table d’honneur », ont présentés leurs actifs respectifs. Dans l’ensemble du très bon travail fait et à perdurer. L’association EVAFLOR (fleurissement), nouvellement crée à fait un excellent travail et avec le concours des employés municipaux, la ville devrait s’orner de magnifiques parterres floraux.
Le site internet de la mairie est en cours d’achèvement, rappelle Abder, adjoint, et signale que les services municipaux entretiennent chaque année, 7 km de haie, 8 ha d’espaces verts.
Des divergences ont lieu actuellement entre la municipalité et les Genêts d’or (centre hospitalier), aucuns efforts de communication, ni d’ouverture n'est consenti par la direction de l’hôpital, ce qui stoppe actuellement le projet d’agrandissement de cet établissement, souligne Madame Allard. Un préjudice important, puisqu’ à ce jour, seule un enquête d’architecte à été demandée. Madame Allard rappelle que ce centre n’a pas les agréments de la sécurité, ni de conformité et qu'il est très urgent de se conformer aux nouvelles normes.

Les questions diverses par le public ont conclut cette deuxième réunion publique et le Maire à donné rendez vous pour une continuité dans la communication dans les mois à venir tout en rappelant que les réunions du conseil municipal sont publiques et souhaiterais voir plus d'intérêts des concitoyens...

Les services bancaires de plus en plus chers, les banques en veulent encore plus

Selon l’association UFC-Que choisir, les forfaits ont augmenté de 12,2 % en cinq ans et ils sont 25,7 % plus chers que les services à l’unité .

Des services gratuits en 2004, devenus payants en 2009, des frais pour incidents de paiement qui bondissent de près de 30 % en cinq ans, des forfaits incluant des offres quasi inutilisées... L’étude de l’association de défense du consommateur UFC-Que choisir sur les frais bancaires dresse un « constat accablant » sur la politique tarifaire de douze banques.

« En cinq ans, la situation s’est aggravée », souligne l’association, alors que Georges Pauget (ancien directeur général du Crédit agricole) et Emmanuel Constans (président du Comité consultatif du secteur financier) doivent remettre ce mois-ci un rapport sur ce sujet à la ministre de l’Economie, Christine Lagarde.
L’hôte de Bercy s’était en effet déjà émue de certains excès tarifaires. Mais, à l’exception de quelques avancées législatives plafonnement du rejet de prélèvement, relevé annuel des frais rendu obligatoire les banques ont continué à avoir la main lourde. Font-elles payer à leurs clients leurs créances douteuses après la crise financière de 2008 ? En tout cas, la hausse du prix des « packages » ces forfaits payés pour plusieurs prestations , « après une augmentation identique à l’inflation entre 2004 et 2008, a été plus prononcée en 2009 », souligne l’UFC-Que choisir.
En cinq ans, elle a été de 12,2 % pour une inflation de 8 %. Pis ! si l’on ne prend en compte que le coût des opérations « réellement utiles compte à vue avec chéquier, carte bleue et assurance moyens de paiement, opérations par téléphone et Internet ces forfaits sont plus chers de 25,7 % par rapport à des prestations prises à l’unité... Autre facteur de hausse : les tarifs sur les incidents de paiement. Par exemple, le coût moyen de la lettre d’information avant le rejet d’un chèque a augmenté de... 77,8 % entre 2004 et 2009. « Cette hausse touche en priorité les clients les plus fragiles, commente Maurice Roullet, administrateur de l’UFC. Si un client est en difficulté, ce n’est pas une bouée de sauvetage qu’on lui lance, mais une barre en fonte qui l’enfonce encore plus. »
Face à ce constat, l’UFC-Que Choisir propose notamment la création d’un observatoire des tarifs « mettant régulièrement les feux de l’actualité » sur le sujet et suggère de limiter le nombre et le montant des « frais-sanctions ». Elle préconise aussi une plus grande clarté sur ces tarifs. Pour les 12 banques étudiées, le consommateur doit éplucher 290 pages et... 3 638 tarifs ! Hier, la Fédération bancaire française rappelait que « depuis plusieurs années les banques avaient engagé une démarche d’amélioration de l’information de leurs clients, notamment sur les prix des services bancaires. » CQFD.