- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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jeudi 27 mai 2010
Montluçon : Saint-Maclou détruit par un incendie
Les 1.500 m2 du magasin Saint-Maclou de Montluçon ont été entièrement détruits, mercredi soir, par un incendie dont l'origine demeure indéterminée.
Un épais panache de fumée noire s'élevait, mercredi soir, du magasin Saint-Maclou de Montluçon, qui a été entièrement détruit par un incendie dont l'origine demeure indéterminée.
A leur arrivée, un peu après 19 heures, le magasin étant fermé depuis quelques minutes, les sapeurs-pompiers ont constaté que le bâtiment d'une superfice de 1.500 m2, situé dans le quartier de Bien-Assis, était complètement embrasé.
Dans un premier temps, ils se sont attachés à protéger le magasin de chaussures Besson, situé à côté, tout en attaquant les flammes en plusieurs endroits. Notamment du haut de deux grandes échelles déployées à cet effet.
Au total, une soixantaine d'hommes ont été engagés, sous les ordres du capitaine Jean Catry. Des centres de secours de Montluçon, d'abord, de Commentry et Néris-les-Bains ensuite, puis de Moulins et de Vichy.
Entre-temps, les services d'ERDF et de GrDF étaient également intervenus, tandis que les services de police procédaient aux premières constatations. Après avoir barré le haut de l'avenue Jules-Guesde et le bas de l'avenue Léon-Blum à la circulation. Tout en mettant des déviations en place.
Puis, en raison de la fumée, éventuellement toxique, qui s'échappait de la carcasse rapidement effondrée du bâtiment, ils ont également fait évacuer, vers 20h30, de l'autre côté des deux avenues, les nombreux badauds, installés derrière les mains courantes.
Le magasin contenait une cinquantaine de rouleaux de moquette et de plastiques, une quinzaine de palettes de parquet de 200 kg et quelque 200 kg de colles. Un riverain a entendu plusieurs explosions.
Andrée Larue, la responsable des lieux, et la majeure partie des employés (quatre, plus un intérimaire) ne pouvaient que constater les dégâts. Ils étaient revenus sur place, avoir fermé normalement les portes, vers 19 heures.
Le feu étant maîtrisé vers 20h30, les sapeurs-pompiers se préparaient à passer une longue nuit, sur les lieux et peut-être une ârtie de la matinée, afin d'éteindre complètement le sinistre (reportage photos Bernard Lorette)
La montagne.fr
Retraites : public et privé mobilisés contre la réforme
En cette journée d’action, les syndicats espèrent une forte mobilisation. Car si les régimes spéciaux sont épargnés, les fonctionnaires sont sûrs d’être touchés par la réforme.
Combien seront-ils aujourd’hui à battre le pavé, à Paris et dans les grandes villes du pays, pour défendre la retraite à 60 ans ? Bernard Thibault, le leader de la CGT, en espère 800 000, dépassant ainsi le haut score de la journée de mobilisation du 23 mars. Les syndicats comptent sur les salariés du privé, mais aussi sur les fonctionnaires, certains d’être eux aussi touchés par la réforme.
Une journée test
Comme le démontre notre sondage exclusif CSA, une forte majorité des Français (62 %) sont « prêts à manifester » pour maintenir le seuil symbolique des 60 ans. A l’évidence, ce jeudi d’action est un test tant pour le gouvernement, qui entend désormais avancer de façon décisive sur sa réforme des retraites, que pour les syndicats. Pour ces derniers, c’est l’occasion ou jamais de mesurer leur audience, donc leur capacité sinon à s’opposer à la volonté de Nicolas Sarkozy, tout au moins à peser encore sur les mesures à venir : allongement de la durée de cotisation, modalités d’alignement du régime des fonctionnaires sur ceux du privé…
En effet, même si le président et ses ministres ont déjà tranché (la retraite à 60 ans, c’est fini), ils répètent qu’il y a encore du grain à moudre. Et donc matière à négociation avec les partenaires sociaux. Pas question pour le pouvoir, au moment où les Français sont déjà fragilisés par la crise et que la rigueur pointe, de prendre le risque d’une explosion sociale. C’est pour cela que, n’hésitant pas à revenir sur les engagements électoraux du candidat Sarkozy, l’Elysée et Matignon ont assuré qu’ils ne toucheraient pas aux régimes spéciaux SNCF, RATP, EDF, GDF… Du moins pas dans l’immédiat.
Pour le reste, du mode de financement à la refonte du régime de la fonction publique, le jeu est ouvert. Toute la difficulté pour Sarkozy sera de donner des gages aux syndicats pour éviter de les braquer (sur la pénibilité notamment), tout en prenant de vitesse une gauche ultraremontée qui appelle elle-aussi à se mobiliser aujourd’hui.
Combien seront-ils aujourd’hui à battre le pavé, à Paris et dans les grandes villes du pays, pour défendre la retraite à 60 ans ? Bernard Thibault, le leader de la CGT, en espère 800 000, dépassant ainsi le haut score de la journée de mobilisation du 23 mars. Les syndicats comptent sur les salariés du privé, mais aussi sur les fonctionnaires, certains d’être eux aussi touchés par la réforme.
Une journée test
Comme le démontre notre sondage exclusif CSA, une forte majorité des Français (62 %) sont « prêts à manifester » pour maintenir le seuil symbolique des 60 ans. A l’évidence, ce jeudi d’action est un test tant pour le gouvernement, qui entend désormais avancer de façon décisive sur sa réforme des retraites, que pour les syndicats. Pour ces derniers, c’est l’occasion ou jamais de mesurer leur audience, donc leur capacité sinon à s’opposer à la volonté de Nicolas Sarkozy, tout au moins à peser encore sur les mesures à venir : allongement de la durée de cotisation, modalités d’alignement du régime des fonctionnaires sur ceux du privé…
En effet, même si le président et ses ministres ont déjà tranché (la retraite à 60 ans, c’est fini), ils répètent qu’il y a encore du grain à moudre. Et donc matière à négociation avec les partenaires sociaux. Pas question pour le pouvoir, au moment où les Français sont déjà fragilisés par la crise et que la rigueur pointe, de prendre le risque d’une explosion sociale. C’est pour cela que, n’hésitant pas à revenir sur les engagements électoraux du candidat Sarkozy, l’Elysée et Matignon ont assuré qu’ils ne toucheraient pas aux régimes spéciaux SNCF, RATP, EDF, GDF… Du moins pas dans l’immédiat.
Pour le reste, du mode de financement à la refonte du régime de la fonction publique, le jeu est ouvert. Toute la difficulté pour Sarkozy sera de donner des gages aux syndicats pour éviter de les braquer (sur la pénibilité notamment), tout en prenant de vitesse une gauche ultraremontée qui appelle elle-aussi à se mobiliser aujourd’hui.
Réunion publique à Evaux les bains demain vendredi à 20h00 à la maison des jeunes
Réunion publique vendredi 28 mai 2010
Comme promis lors de la campagne municipale, l’équipe de monsieur Bernard Campos, maire de la ville d'Evaux les bains communique et vous convie à une réunion débat ce vendredi 28 mai 2010 à 20h00 à la maison des jeunes. Toute la population est invitée à participer à cette réunion publique. Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile à tous
A 20 heures MAISON DES JEUNES THEME DE LA REUNION :Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?
la météo à Evaux les bains
Après les journées d'été de la semaine dernière, les orages et la pluie se sont installé sur notre ville.
Ce matin temps d'automne qui devrait s'arranger en cours de journée.
La pluie s'est invitée ce dimanche 30 mai qui esperons le ne viendra pas gâcher la journée tuning qui se tiendra toute la journée dans la ville (champ Avel).
Les Bleus sur la bonne voie
A quinze jours de la Coupe du Monde, l'équipe de France a dominé le Costa Rica mercredi soir à Lens (2-1). S'ils ont montré un visage souvent séduisant, les Bleus ont aussi fait preuve de quelques signes de fébrilité en défense lors des 45 premières minutes.
C'était un premier match. Un match de préparation. Un premier test au cours duquel l'équipe de France est progressivement montée en puissance. En alignant un 4-3-3 rôdé cette semaine à Tignes, Raymond Domenech avait décidé de changer ses habitudes et de délaisser son 4-2-3-1 habituel. Le sélectionneur de l'équipe de France avait concédé mardi que ce nouveau système, avec un seul véritable milieu récupérateur, donnait « plus de garanties offensives, mais plus de fragilité défensive ».
Le début de match face au Costa Rica lui a donné raison. Car mercredi soir, dans un stade Bollaert toujours aussi accueillant (sauf pour Raymond Domenech dont le nom a de nouveau été conspué), les Bleus ont d'entrée montré plus d'allant et de rythme que lors de leurs dernières sorties. Emmenés par un Ribéry en jambes, les Français se procurent les premières situations chaudes par l'intermédiaire de Govou (10e, 11e). Ça, c'est pour « les garanties offensives ».
Pour ce qui est de la « fragilité défensive », le public lensois ne tarde pas à comprendre. Sur la première véritable incursion des « Ticos », Hernandez, trop seul à l'entrée de la surface de réparation, trompe Steve Mandanda, titularisé en lieu et place de Lloris (12e). Les Bleus réagissent, mais Gourcuff se voit logiquement refuser le but de l'égalisation pour hors-jeu (16e). Ce n'est que partie remise puisque quelques minutes plus tard, Sequeira dévie dans son propre but le centre de Franck Ribéry (22e).
Une deuxième période plus aboutie
La suite est dans la même lignée. Mandanda s'interpose avec brio sur une tentative de Ruiz (24e) avant d'être sauvé par sa transversale sur une tête de ce même Ruiz, oublié par Gallas sur corner (34e). Entre-temps, Gourcuff avait vainement tenté sa chance (28e). Sans plus de réussite que Ribéry juste avant la pause (45e).
A la mi-temps, Domenech décide de remplacer Gallas, logiquement en manque de rythme, par Squillaci, Anelka par Henry, et Toulalan par Alou Diarra. Tout en gardant le même système de jeu. Gourcuff, bien meilleur qu'en fin de saison, s'emploie sur trois grosses frappes (47e, 49e, 60e), alors que Thierry Henry manque de peu le cadre (58e). Les Bleus semblent alors avoir trouvé le bon équilibre et Raymond Domenech décide de tester Valbuena, à la place de Govou, au poste de milieu offensif droit (65e).
L'équipe de France poursuit sa domination, mais Navas s'interpose encore devant Squillaci (73e). Puis les coéquipiers d'Evra, capitaine à Bollaert, s'offrent leur seule frayeur sur une frappe non cadrée de Parks (75e). Domenech continue sa revue d'effectif et lance Diaby à la place de Malouda (77e). Valbuena-Diaby, c'est le duo décisif de la 83e minute. Le joueur d'Arsenal réalise un joli numéro et sert le Marseillais qui, pour sa première titularisation, marque son premier but en bleu et offre la victoire à son équipe.
Contre le Costa Rica, 42e au classement Fifa et non qualifié pour le Mondial, il y a donc eu de bonnes choses. De moins bonnes aussi. Bref, à deux semaines de la Coupe du Monde, les Bleus ont encore un peu de temps pour peaufiner leur copie.
le parisien.fr
C'était un premier match. Un match de préparation. Un premier test au cours duquel l'équipe de France est progressivement montée en puissance. En alignant un 4-3-3 rôdé cette semaine à Tignes, Raymond Domenech avait décidé de changer ses habitudes et de délaisser son 4-2-3-1 habituel. Le sélectionneur de l'équipe de France avait concédé mardi que ce nouveau système, avec un seul véritable milieu récupérateur, donnait « plus de garanties offensives, mais plus de fragilité défensive ».
Le début de match face au Costa Rica lui a donné raison. Car mercredi soir, dans un stade Bollaert toujours aussi accueillant (sauf pour Raymond Domenech dont le nom a de nouveau été conspué), les Bleus ont d'entrée montré plus d'allant et de rythme que lors de leurs dernières sorties. Emmenés par un Ribéry en jambes, les Français se procurent les premières situations chaudes par l'intermédiaire de Govou (10e, 11e). Ça, c'est pour « les garanties offensives ».
Pour ce qui est de la « fragilité défensive », le public lensois ne tarde pas à comprendre. Sur la première véritable incursion des « Ticos », Hernandez, trop seul à l'entrée de la surface de réparation, trompe Steve Mandanda, titularisé en lieu et place de Lloris (12e). Les Bleus réagissent, mais Gourcuff se voit logiquement refuser le but de l'égalisation pour hors-jeu (16e). Ce n'est que partie remise puisque quelques minutes plus tard, Sequeira dévie dans son propre but le centre de Franck Ribéry (22e).
Une deuxième période plus aboutie
La suite est dans la même lignée. Mandanda s'interpose avec brio sur une tentative de Ruiz (24e) avant d'être sauvé par sa transversale sur une tête de ce même Ruiz, oublié par Gallas sur corner (34e). Entre-temps, Gourcuff avait vainement tenté sa chance (28e). Sans plus de réussite que Ribéry juste avant la pause (45e).
A la mi-temps, Domenech décide de remplacer Gallas, logiquement en manque de rythme, par Squillaci, Anelka par Henry, et Toulalan par Alou Diarra. Tout en gardant le même système de jeu. Gourcuff, bien meilleur qu'en fin de saison, s'emploie sur trois grosses frappes (47e, 49e, 60e), alors que Thierry Henry manque de peu le cadre (58e). Les Bleus semblent alors avoir trouvé le bon équilibre et Raymond Domenech décide de tester Valbuena, à la place de Govou, au poste de milieu offensif droit (65e).
L'équipe de France poursuit sa domination, mais Navas s'interpose encore devant Squillaci (73e). Puis les coéquipiers d'Evra, capitaine à Bollaert, s'offrent leur seule frayeur sur une frappe non cadrée de Parks (75e). Domenech continue sa revue d'effectif et lance Diaby à la place de Malouda (77e). Valbuena-Diaby, c'est le duo décisif de la 83e minute. Le joueur d'Arsenal réalise un joli numéro et sert le Marseillais qui, pour sa première titularisation, marque son premier but en bleu et offre la victoire à son équipe.
Contre le Costa Rica, 42e au classement Fifa et non qualifié pour le Mondial, il y a donc eu de bonnes choses. De moins bonnes aussi. Bref, à deux semaines de la Coupe du Monde, les Bleus ont encore un peu de temps pour peaufiner leur copie.
le parisien.fr
mercredi 26 mai 2010
Grand meeting aérien, ce week-end, sur l'aérodrome de Lépaud
Double rendez-vous incontournable, le Fly In LFBK et le meeting aérien de Lépaud se dérouleront, sur et au-dessus de l'aérodrome, du 28 au 30 mai inclus. Plus de 230 avions sont attendus dans le ciel creusois par plusieurs milliers de spectateurs.
L'an dernier, lors de sa 7e édition, le Fly In LFBK -un rassemblement d'avions avec les professionnels du groupe Airfrance KLM- mais aussi et surtout le meeting aérien -animé par des pilotes aguerris- avait attiré quelque 4.000 spectateurs.
Cette année, le record pourrait être battu -dans la mesure où bien entendu il fera beau et chaud- car, pour cette huitième édition, le grand meeting populaire aura lieu le dimanche après-midi et pas le samedi comme l'an dernier.
De fait l'organisatrice, Béatrice de Reynal-Paris, elle-même ancienne pilote et présidente du club de vol à voile Montluçon-Guéret, espère que cette double manifestation sera une belle réussite : « Nous avons bien l'intention de nous envoyer en l'air? » Humour mis à part, elle reconnaît également que « ce qui est certain c'est que pour arriver, administrativement, à monter une telle manifestation c'est très lourd? » Et quasiment maintenant un mauvais souvenir car le programme est désormais bien calé. « L'an dernier, nous avons accueilli 230 avions.
Ce sera la même chose cette année. Du coup, cette manifestation est le plus gros rassemblement non commercial de France ». Et de préciser que « la première manifestation est entièrement gratuite. Quant au meeting, pour essayer de rembourser l'assurance que nous avons dû prendre pour le public, nous avons fixé l'entrée à 6 euros pour les adultes, gratuite pour les enfants ».
Ce qui n'est pas onéreux pour avoir la chance d'approcher de près des avions, petits, très gros, connus ou moins connus, récents ou anciens, voire de collections. Sans parler de la possibilité de rencontrer et d'échanger avec des pilotes, civils et militaires, prêts à parler de leurs expériences mais aussi, pour les jeunes notamment, prêts à donner des conseils pour devenir pilotes, mécanos, hôtesses de l'air ou contrôleurs aériens.
Parmi les pilotes présents, il y aura d'ailleurs du très beau monde avec, notamment, Bruno Ecalle, champion du monde de voltige; Régis Alajouanine, un pilote creusois ancien champion d'Europe et de France de voltige.
Enfin, concernant le meeting, le public pourra découvrir des nouveautés. Comme par exemple le Hawker Hunter, un avion de chasse qui peut voler en piqué à la vitesse du son; un Skyraider, le dernier bombardier au monde monomoteur ou encore un Cricri, le plus petit avion au monde.
Entre passages simples, passages en formation et exercices de voltige, il y en aura pour tous les goûts ce week-end à Lépaud.
L'an dernier, lors de sa 7e édition, le Fly In LFBK -un rassemblement d'avions avec les professionnels du groupe Airfrance KLM- mais aussi et surtout le meeting aérien -animé par des pilotes aguerris- avait attiré quelque 4.000 spectateurs.
Cette année, le record pourrait être battu -dans la mesure où bien entendu il fera beau et chaud- car, pour cette huitième édition, le grand meeting populaire aura lieu le dimanche après-midi et pas le samedi comme l'an dernier.
De fait l'organisatrice, Béatrice de Reynal-Paris, elle-même ancienne pilote et présidente du club de vol à voile Montluçon-Guéret, espère que cette double manifestation sera une belle réussite : « Nous avons bien l'intention de nous envoyer en l'air? » Humour mis à part, elle reconnaît également que « ce qui est certain c'est que pour arriver, administrativement, à monter une telle manifestation c'est très lourd? » Et quasiment maintenant un mauvais souvenir car le programme est désormais bien calé. « L'an dernier, nous avons accueilli 230 avions.
Ce sera la même chose cette année. Du coup, cette manifestation est le plus gros rassemblement non commercial de France ». Et de préciser que « la première manifestation est entièrement gratuite. Quant au meeting, pour essayer de rembourser l'assurance que nous avons dû prendre pour le public, nous avons fixé l'entrée à 6 euros pour les adultes, gratuite pour les enfants ».
Ce qui n'est pas onéreux pour avoir la chance d'approcher de près des avions, petits, très gros, connus ou moins connus, récents ou anciens, voire de collections. Sans parler de la possibilité de rencontrer et d'échanger avec des pilotes, civils et militaires, prêts à parler de leurs expériences mais aussi, pour les jeunes notamment, prêts à donner des conseils pour devenir pilotes, mécanos, hôtesses de l'air ou contrôleurs aériens.
Parmi les pilotes présents, il y aura d'ailleurs du très beau monde avec, notamment, Bruno Ecalle, champion du monde de voltige; Régis Alajouanine, un pilote creusois ancien champion d'Europe et de France de voltige.
Enfin, concernant le meeting, le public pourra découvrir des nouveautés. Comme par exemple le Hawker Hunter, un avion de chasse qui peut voler en piqué à la vitesse du son; un Skyraider, le dernier bombardier au monde monomoteur ou encore un Cricri, le plus petit avion au monde.
Entre passages simples, passages en formation et exercices de voltige, il y en aura pour tous les goûts ce week-end à Lépaud.
Fusillade de l'A4 : l'hommage de Sarkozy à la policière tuée
«Les mots sont faibles, les mots semblent dérisoires, mais seuls les mots peuvent dire l'immensité de notre chagrin, et dire notre admiration.»
Mercredi, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Aurélie Fouquet, la policière municipale tuée jeudi dernier dans une fusillade sur l'A4, lors de ses obsèques à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).
Devant Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, et plusieurs centaines de représentants des forces de l'ordre, le président de la République a qualifié d'«exemplaire» le parcours de la jeune fonctionnaire, avant de lui remettre, à titre posthume, les insignes de chevalier de la légion d'honneur. Maman d'un petit garçon de 14 mois, la jeune femme de 26 ans «a donné sa vie pour la République», a-t-il insisté, soulignant son «courage» et son «sens du devoir».
«Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice»
Dans son éloge funèbre, le chef de l'Etat a également promis que les «lâches assassins» d'Aurélie Fouquet seraient «punis avec la sévérité qu'exige l'ignominie de leur crime». «Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice, à une justice ferme, à une justice implacable», a-t-il ajouté.
Dans l'enquête, un premier suspect a été mis en examen pour assassinat et écroué lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au travail de la police scientifique.
Alors que des milliers de policiers de toute la France s'étaient déplacés ce mercredi à Villiers-sur-Marne, pour assister aux obsèques, Nicolas Sarkozy a enfin déclaré qu'il était «temps d'ouvrir une réflexion appronfondie sur la place et le rôle des 18 000 policiers municipaux». Son discours a été suivi d'une marche silencieuse jusqu'aux lieux de la fusillade, à la sortie de l'autoroute A4.
Plus tôt ce mercredi, Aurélie Fouquet avait été citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Et à 15h30, une minute de silence avait été observée dans tous les commissariats et les gendarmeries du pays.
Mercredi, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Aurélie Fouquet, la policière municipale tuée jeudi dernier dans une fusillade sur l'A4, lors de ses obsèques à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).
Devant Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, et plusieurs centaines de représentants des forces de l'ordre, le président de la République a qualifié d'«exemplaire» le parcours de la jeune fonctionnaire, avant de lui remettre, à titre posthume, les insignes de chevalier de la légion d'honneur. Maman d'un petit garçon de 14 mois, la jeune femme de 26 ans «a donné sa vie pour la République», a-t-il insisté, soulignant son «courage» et son «sens du devoir».
«Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice»
Dans son éloge funèbre, le chef de l'Etat a également promis que les «lâches assassins» d'Aurélie Fouquet seraient «punis avec la sévérité qu'exige l'ignominie de leur crime». «Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice, à une justice ferme, à une justice implacable», a-t-il ajouté.
Dans l'enquête, un premier suspect a été mis en examen pour assassinat et écroué lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au travail de la police scientifique.
Alors que des milliers de policiers de toute la France s'étaient déplacés ce mercredi à Villiers-sur-Marne, pour assister aux obsèques, Nicolas Sarkozy a enfin déclaré qu'il était «temps d'ouvrir une réflexion appronfondie sur la place et le rôle des 18 000 policiers municipaux». Son discours a été suivi d'une marche silencieuse jusqu'aux lieux de la fusillade, à la sortie de l'autoroute A4.
Plus tôt ce mercredi, Aurélie Fouquet avait été citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Et à 15h30, une minute de silence avait été observée dans tous les commissariats et les gendarmeries du pays.
France – Costa Rica : Thierry Henry sur le banc
Comme prévu, l'équipe de France évoluera bien en 4-3-3 ce soir à Lens contre le Costa Rica, lors de son premier match de préparation à la Coupe du monde. Mais selon nos informations, Thierry Henry, capitaine habituel de la sélection, débutera la rencontre sur le banc de touche. En pointe, Raymond Domenech lui préférera Nicolas Anelka au coup d'envoi.
Pour les Bleus, tout commence ce soir L’heure de vérité pour William Gallas
A Tignes, ils ont soigné la cohésion
A noter également que Steve Mandanda gardera les buts de l'équipe de France, derrière une défense où William Gallas sera titulaire. En l'absence de Thierry Henry, le défenseur central d'Arsenal sera capitaine.
Composition de l'équipe de France :
Mandanda- Sagna, Gallas, Abidal, Evra- Gourcuff, Toulalan, Malouda- Govou, Anelka, Ribéry.
Pour les Bleus, tout commence ce soir L’heure de vérité pour William Gallas
A Tignes, ils ont soigné la cohésion
A noter également que Steve Mandanda gardera les buts de l'équipe de France, derrière une défense où William Gallas sera titulaire. En l'absence de Thierry Henry, le défenseur central d'Arsenal sera capitaine.
Composition de l'équipe de France :
Mandanda- Sagna, Gallas, Abidal, Evra- Gourcuff, Toulalan, Malouda- Govou, Anelka, Ribéry.
La troupe théatrale de Rougnat à Chambon le 29 mai 2010
Vous pouvez réserver vos places à l'office de tourisme de Chambon sur Voueize pour le 29 mai 2010.
au programme, du rire, du rire et encore du rire. Un bon moment à passer à Chambon sur Voueize.
au programme, du rire, du rire et encore du rire. Un bon moment à passer à Chambon sur Voueize.
L'école Ste Jeanne d'Arc à Evaux les bains
photo : D.bellet/2009
Un joli panorama de l'école Ste Jeanne d'Arc à Evaux les bains. L'accueil, la simplicité et la passion des enseignants, font de cette petite école un havre de paix ou règne un enseignement de qualité et une complicité sans égal avec les parents.
Dans cette école, vous n'ètes pas un numéro, mais un papa et une maman.
L'école Jeanne d'Arc vient d"ouvrir la porte sur l'extérieur et une autre communication avec les élèves. nos deux écoles à Evaux les bains sont dotées des nouvelles installations numériques et offrent aux élèves les outils de demain.
Avec ces nouveau outils numériques, les pratiques des enseignants sont également facilitées par les technologies de l'information et de la communication (TIC). Les professeurs ne travaillent plus de manière isolée, mais mutualisent leurs ressources et collaborent pour la préparation de leur cours. Ils sont plus enclins à favoriser l'apprentissage individualisé, actif et collaboratif. Plus généralement, les enseignants reconnaissent que c'est un outil organisationnel (en logistique et en communication) qui leur fait gagner temps et efficacité.
vous pouvez consulter le blog de l'école.
De nombreuses informations relatives à l'école et son fonctionnement vous sont proposées avec de nombreuses rubriques vous favorisera l'enseignement de vos enfants.
le blog
Le Ministre Eric BESSON exige des Maghrébins à la Coupe du Monde...
Le Ministre Eric BESSON exige des Maghrébins à la Coupe du Monde...
Sans dire s’il s’agit d’un jugement politique ou sportif, le Ministre de l’Immigration Eric Besson, ancien membre du Parti Socialiste et actuellement au Gouvernement (UMPS ?) regrette qu’il n’y ait pas de joueurs d'origine maghrébine chez les Bleus et déclare :
« La France est cosmopolite et doit tenir compte d’un Islam fort dans l’hexagone… La présence de Maghrébins chez les bleus aurait contribué à préserver la paie sociale dans nos banlieues… Je doute que nos jeunes se retrouvent dans cette équipe… Ce ne sera pas par hasard si on assiste encore à des échauffourées, cet été, dans les quartiers difficiles… »
Et malgré les regrets du ministre, les choix de Raymond ne se discutent pas... Quel aveu inquiétant !
A lire aujourd’hui dans 20 MINUTES.
Sans dire s’il s’agit d’un jugement politique ou sportif, le Ministre de l’Immigration Eric Besson, ancien membre du Parti Socialiste et actuellement au Gouvernement (UMPS ?) regrette qu’il n’y ait pas de joueurs d'origine maghrébine chez les Bleus et déclare :
« La France est cosmopolite et doit tenir compte d’un Islam fort dans l’hexagone… La présence de Maghrébins chez les bleus aurait contribué à préserver la paie sociale dans nos banlieues… Je doute que nos jeunes se retrouvent dans cette équipe… Ce ne sera pas par hasard si on assiste encore à des échauffourées, cet été, dans les quartiers difficiles… »
Et malgré les regrets du ministre, les choix de Raymond ne se discutent pas... Quel aveu inquiétant !
A lire aujourd’hui dans 20 MINUTES.
Révélations sur le coma de Johnny par le parisien.fr
La vie de Johnny Hallyday a-t-elle jamais été en péril en décembre dernier, alors que ses fans craignaient le pire ? Selon le dossier médical de la clinique Cedars-Sinai de Los Angeles (Etats-Unis), où le chanteur a été hospitalisé entre le 7 et le 23 décembre, document que l'hebdomadaire L'Express a pu consulter, le chanteur n'a jamais été en danger de mort.
S'il a été placé dans un «sommeil contrôlé, aussi appelé coma artificiel» - ce qui a été interprété en France comme l'aggravation de son état de santé et le risque d'une issue fatale - c'est «pour des problèmes respiratoires et une dépendance à l'alcool».
De retour en France depuis le 23 mai, Johnny doit se rendre mercredi à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre pour y subir une série d'expertises médicales dans le cadre de la procédure judiciaire sur ces ennuis de santé. S'estimant victime d'une erreur médicale de la part du chirurgien Stéphane Delajoux - qui l'a opéré en novembre 2009 d'une hernie discale, opération après laquelle il a contracté une infection - le chanteur veut savoir ce qu'il s'est passé. A l'époque des faits, Jean-Claude Camus, producteur de la star, avait qualifié de massacre l'opération du médecin. Les deux experts médicaux désignés par la justice doivent rendre leur rapport à la mi-juillet et le document que dévoile L'Express pourrait peser dans leurs conclusions.
S'il a été placé dans un «sommeil contrôlé, aussi appelé coma artificiel» - ce qui a été interprété en France comme l'aggravation de son état de santé et le risque d'une issue fatale - c'est «pour des problèmes respiratoires et une dépendance à l'alcool».
De retour en France depuis le 23 mai, Johnny doit se rendre mercredi à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre pour y subir une série d'expertises médicales dans le cadre de la procédure judiciaire sur ces ennuis de santé. S'estimant victime d'une erreur médicale de la part du chirurgien Stéphane Delajoux - qui l'a opéré en novembre 2009 d'une hernie discale, opération après laquelle il a contracté une infection - le chanteur veut savoir ce qu'il s'est passé. A l'époque des faits, Jean-Claude Camus, producteur de la star, avait qualifié de massacre l'opération du médecin. Les deux experts médicaux désignés par la justice doivent rendre leur rapport à la mi-juillet et le document que dévoile L'Express pourrait peser dans leurs conclusions.
Fusillade de l'A4 : obsèques de la policière cet après-midi
Aurélie Fouquet, la policière municipale de Villiers-sur-Marne tuée jeudi dans une fusillade, est citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Cette décision est parue au Journal Officiel mercredi, jour où se dérouleront ses obsèques, à Villiers-sur-Marne, en présence du Président de la République.
Au moment où doit débuter la cérémonie, à 15h30, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a demandé qu'une minute de silence soit observée «dans tous les commissariats et toutes les gendarmeries». «La police et la gendarmerie nationales marqueront ainsi leur solidarité envers la jeune policière municipale, assassinée lors de la fusillade de Villiers-sur-Marne, le 20 mai dernier, ainsi qu'à l'égard de tous ses collègues des polices municipales», conclut le communiqué de l'Intérieur.
Dans l'enquête, un premier supect a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au recours à la police scientifique. Des traces d'ADN pour un deuxième suspect et l'exploitation de films de vidéosurveillance du secteur de la fusillade ont permis aux enquêteurs de circonscrire les membres du commando meurtrier.
Au moment où doit débuter la cérémonie, à 15h30, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a demandé qu'une minute de silence soit observée «dans tous les commissariats et toutes les gendarmeries». «La police et la gendarmerie nationales marqueront ainsi leur solidarité envers la jeune policière municipale, assassinée lors de la fusillade de Villiers-sur-Marne, le 20 mai dernier, ainsi qu'à l'égard de tous ses collègues des polices municipales», conclut le communiqué de l'Intérieur.
Dans l'enquête, un premier supect a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au recours à la police scientifique. Des traces d'ADN pour un deuxième suspect et l'exploitation de films de vidéosurveillance du secteur de la fusillade ont permis aux enquêteurs de circonscrire les membres du commando meurtrier.
Eric Woerth enterre la retraite à 60 ans
Le ministre du Travail, Eric Woerth, a confirmé que la fin de la retraite à 60 ans était "une option logique pour le gouvernement". Depuis ce matin, l’UMP lance une offensive sur ce thème, avec une convention patronnée par Xavier Bertrand, chaud partisan de cette solution. Le parti présidentiel évoque même un recul de l’âge légal à 62 ou 63 ans.
Le ministre du Travail lui-même, Eric Woerth, a plus que confirmé que le gouvernement devait “agir sur l’âge légal de départ à la retraite”. Dans un entretien accordé à Paris-Match, il affirme que “c’est une option logique pour le gouvernement”. Pour lui, le levier de l’augmentation de la durée de cotisation a déjà été utilisé. Mais, sur la ligne de ses services, il souligne que le nouvel âge légal n’a pas encore été défini.
Travailler plus longtemps, c’est de toutes façons le levier privilégié par l’UMP. Le parti de Xavier Bertrand ne s’en cache pas, et lâche, quand il le peut, les âges de départ envisagés : pour Arnaud Robinet, le député en charge des retraites, 62 ans serait le minimum.
Le ministre du Travail lui-même, Eric Woerth, a plus que confirmé que le gouvernement devait “agir sur l’âge légal de départ à la retraite”. Dans un entretien accordé à Paris-Match, il affirme que “c’est une option logique pour le gouvernement”. Pour lui, le levier de l’augmentation de la durée de cotisation a déjà été utilisé. Mais, sur la ligne de ses services, il souligne que le nouvel âge légal n’a pas encore été défini.
Travailler plus longtemps, c’est de toutes façons le levier privilégié par l’UMP. Le parti de Xavier Bertrand ne s’en cache pas, et lâche, quand il le peut, les âges de départ envisagés : pour Arnaud Robinet, le député en charge des retraites, 62 ans serait le minimum.
La région Limousin épinglée pour ses subventions en matière de formation
Le tribunal administratif de Limoges a tranché. Il demande à la région Limousin d'annuler la délibération en date du 19 décembre 2008 par laquelle le conseil régional du Limousin a créé un dispositif permanent de formation intitulé "Portail formation Limousin" et a alloué diverses subventions pour un total de 2,25 millions d'euros à quatre opérateurs retenus.
Le tribunal avait été saisi par l'Aformac (Association pour la formation dans le Massif central), la FFP (Fédération de la formation professionnelle), le Synofdes (Syndicat national des organismes de formation de l'économie sociale) et la fédération des Urof (unions régionales des organismes de formation).
Leur motif : s'assurer que tous les opérateurs de formation soient traités de la même façon. "La délibération prise autour du concept de service public régional de la formation du Limousin aboutissait à ce que le régime de contractualisation soit différent selon les opérateurs concernés, c'est quelque chose d'inacceptable", explique Gérard Brédy, président du Synofdes.
Le conseil régional avait en effet octroyé des subventions à quatre opérateurs publics de formation : Afpa, Cnam, Greta et CFPPA… La région a eu beau faire valoir ses arguments en faveur de subventions directes à ces opérateurs, pour échapper au Code des marchés publics, le tribunal en a décidé autrement. "Il ne ressort pas des pièces du dossiers que, compte-tenu des modalités d'organisation des structures concernées et des conditions dans lesquelles elles exercent leurs missions, elles puissent être regardées comme n'étant pas des opérateurs économiques auxquels il pourrait être fait appel dans le cadre d'un marché public", indique ainsi le tribunal dans son jugement du 6 mai 2010.
Il demande donc à ce que les organismes de formation ayant profité de ces subventions remboursent les sommes perçues assorties des intérêts et rappelle ainsi à l'ordre la région sur l'application du Code des marchés publics dans le cadre des actions de formation professionnelle.
"C'est une triste victoire car notre objectif n'était pas de faire triompher le Code des marchés publics", explique Gérard Brédy qui considère que "la référence au Code des marchés publics comme seul outil n'est pas forcément quelque chose de pertinent" et qui propose plutôt de s'inspirer de ce que le droit européen permet en matière de Sieg (service d'intérêt économique général).
"Le problème aujourd'hui, c'est que sur le territoire français, il y a des régions qui ont mis en place un système de mandatement comme la région Poitou-Charentes, d'autres qui utilisent des appels d'offres pour tout domaine et tout opérateur, d'autres qui fonctionnent par subventions et d'autres encore qui ont cherché à mettre en place un système similaire à celui de Poitou-Charentes mais qui se sont fait retoquer par le préfet, comme la région Centre, affirme le président du Synofdes. "
Il y a un méli-mélo de modes de contractualisation sur lequel il serait important de définir des orientations plus précises", ajoute-t-il, se demandant s'il faudra saisir les instances européennes pour demander un arbitrage. L'affaire n'est toutefois pas close. La région a en effet décidé de faire appel de la décision du tribunal de Limoges.
Le tribunal avait été saisi par l'Aformac (Association pour la formation dans le Massif central), la FFP (Fédération de la formation professionnelle), le Synofdes (Syndicat national des organismes de formation de l'économie sociale) et la fédération des Urof (unions régionales des organismes de formation).
Leur motif : s'assurer que tous les opérateurs de formation soient traités de la même façon. "La délibération prise autour du concept de service public régional de la formation du Limousin aboutissait à ce que le régime de contractualisation soit différent selon les opérateurs concernés, c'est quelque chose d'inacceptable", explique Gérard Brédy, président du Synofdes.
Le conseil régional avait en effet octroyé des subventions à quatre opérateurs publics de formation : Afpa, Cnam, Greta et CFPPA… La région a eu beau faire valoir ses arguments en faveur de subventions directes à ces opérateurs, pour échapper au Code des marchés publics, le tribunal en a décidé autrement. "Il ne ressort pas des pièces du dossiers que, compte-tenu des modalités d'organisation des structures concernées et des conditions dans lesquelles elles exercent leurs missions, elles puissent être regardées comme n'étant pas des opérateurs économiques auxquels il pourrait être fait appel dans le cadre d'un marché public", indique ainsi le tribunal dans son jugement du 6 mai 2010.
Il demande donc à ce que les organismes de formation ayant profité de ces subventions remboursent les sommes perçues assorties des intérêts et rappelle ainsi à l'ordre la région sur l'application du Code des marchés publics dans le cadre des actions de formation professionnelle.
"C'est une triste victoire car notre objectif n'était pas de faire triompher le Code des marchés publics", explique Gérard Brédy qui considère que "la référence au Code des marchés publics comme seul outil n'est pas forcément quelque chose de pertinent" et qui propose plutôt de s'inspirer de ce que le droit européen permet en matière de Sieg (service d'intérêt économique général).
"Le problème aujourd'hui, c'est que sur le territoire français, il y a des régions qui ont mis en place un système de mandatement comme la région Poitou-Charentes, d'autres qui utilisent des appels d'offres pour tout domaine et tout opérateur, d'autres qui fonctionnent par subventions et d'autres encore qui ont cherché à mettre en place un système similaire à celui de Poitou-Charentes mais qui se sont fait retoquer par le préfet, comme la région Centre, affirme le président du Synofdes. "
Il y a un méli-mélo de modes de contractualisation sur lequel il serait important de définir des orientations plus précises", ajoute-t-il, se demandant s'il faudra saisir les instances européennes pour demander un arbitrage. L'affaire n'est toutefois pas close. La région a en effet décidé de faire appel de la décision du tribunal de Limoges.
Espagne : les maires et députés réduisent leur salaire
Après les Italiens, les Portugais et les Britanniques, les Espagnols passent à l'action en attendant que la France en fasse autant. La rigueur doit être pour tous.
Alors que la question est posée aux ministres français, les maires et députés espagnols ont décidé de participer à l'effort de rigueur budgétaire, en acceptant de réduire leur salaire. Une baisse qui représentera, pour les édiles, entre 0,25% et 15% de leurs revenus, et 10% pour tous les députés.
Cette baisse prendra effet en juin 2010 et sera valable jusqu'à fin 2011, a précisé M. Castro, le maire socialiste de la ville de Getafe (centre).
Avant eux, les ministres...
La semaine dernière, le gouvernement socialiste espagnol avait approuvé un ensemble de mesures d'austérité supplémentaires pour 2010 et 2011 d'un montant de 15 milliards d'euros. Ces mesures comprenaient non seulement une baisse de 5% sur les salaires des fonctionnaires, mais aussi de 15% sur le traitement de José Luis Rodriguez Zapatero et des membres de son gouvernement. Comme ailleurs en Europe, le gouvernement s'était résolu à ces mesures impopulaires afin de redresser plus vite les comptes publics. Son objectif : ramener le déficit à environ 6% du PIB en 2011 puis à 3% en 2013, contre 11,2% fin 2009.
Selon la ministre de l'Economie Elena Salgado, les baisses des salaires des fonctionnaires entraîneront une économie de 2,3 milliards d'euros en 2010 et de 2,2 milliards en 2011. En revanche, la Fédération espagnole des municipalités et provinces (FEMP) et le parlement n'ont pas précisé, mardi, les sommes économisées avec les baisses de salaires de leurs élus.
Alors que la question est posée aux ministres français, les maires et députés espagnols ont décidé de participer à l'effort de rigueur budgétaire, en acceptant de réduire leur salaire. Une baisse qui représentera, pour les édiles, entre 0,25% et 15% de leurs revenus, et 10% pour tous les députés.
Cette baisse prendra effet en juin 2010 et sera valable jusqu'à fin 2011, a précisé M. Castro, le maire socialiste de la ville de Getafe (centre).
Avant eux, les ministres...
La semaine dernière, le gouvernement socialiste espagnol avait approuvé un ensemble de mesures d'austérité supplémentaires pour 2010 et 2011 d'un montant de 15 milliards d'euros. Ces mesures comprenaient non seulement une baisse de 5% sur les salaires des fonctionnaires, mais aussi de 15% sur le traitement de José Luis Rodriguez Zapatero et des membres de son gouvernement. Comme ailleurs en Europe, le gouvernement s'était résolu à ces mesures impopulaires afin de redresser plus vite les comptes publics. Son objectif : ramener le déficit à environ 6% du PIB en 2011 puis à 3% en 2013, contre 11,2% fin 2009.
Selon la ministre de l'Economie Elena Salgado, les baisses des salaires des fonctionnaires entraîneront une économie de 2,3 milliards d'euros en 2010 et de 2,2 milliards en 2011. En revanche, la Fédération espagnole des municipalités et provinces (FEMP) et le parlement n'ont pas précisé, mardi, les sommes économisées avec les baisses de salaires de leurs élus.
Facebook danger ou pas ?
La vie privée des 15 millions de Français sur Facebook est-elle assez protégée ? Non, estime le gouvernement, qui prépare une charte.
Après la gloire, les déboires. Alors que les signes de méfiance des internautes se multiplient partout sur la Toile, c’est au tour du gouvernement de s’en prendre à Facebook. Interrogée par Canal + hier sur la protection des données des 15 millions de Français présents sur réseau social, Nathalie Kosciusko-Morizet n’a pas hésité à fustiger la politique de confidentialité du géant américain, qui permet notamment d’utiliser les données de ses membres à des fins publicitaires.
« Il faut avoir, par défaut, des profils d’utilisateurs qui soient extrêmement protecteurs du point de vue de la vie privée », a estimé la secrétaire d’Etat à l’Economie numérique.
Cet assaut intervient au lendemain de la publication d’une lettre du fondateur de Facebook dans le prestigieux « Washington Post ». Jusque-là très discret, le jeune prodige de 26 ans y fait son mea culpa, promettant de donner un moyen facile de « désactiver les services tiers », comme la transmission des données personnelles à des entreprises. « Parfois, nous allons trop vite », a reconnu Mark Zuckerberg en guise d’excuses. Insuffisant pour NKM : « Cela ne suffit pas de donner aux internautes de nouveaux outils pour protéger leurs propres données personnelles », a-t-elle insisté, adoptant une position similaire à celle de l’Union européenne, qui réclamait mi-mai « un profil protecteur des utilisateurs par défaut ».
Rien de neuf sous le soleil ? Si, car les membres du réseau social commencent eux aussi à perdre patience. Preuve de la grogne, deux Canadiens appellent les 400 millions de membres à claquer la porte du site le 31 mai, à l’occasion du Quit Facebook Day (la Journée pour quitter Facebook). Sur Google.fr, la requête « supprimer son compte Facebook » a augmenté de 30 % au cours des deux derniers mois. « On a l’impression que les utilisateurs se réveillent, et découvrent enfin les dangers du site, s’étonne Alex Türk, président de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Ils ont fini par comprendre qu’ils sont considérés non pas comme de simples membres, mais comme des clients qui doivent rapporter de l’argent, via la pub. »
La parade ne sera pas facile à mettre en oeuvre : installé aux Etats-Unis un pays peu regardant sur la question Facebook n’a pas besoin de se conformer aux lois françaises en matière de protection des données. Seule solution : une charte de bonne conduite. « Elle est en cours d’élaboration, explique-t-on dans l’entourage de la secrétaire d’Etat. Nous voulons que les réseaux sociaux et les éditeurs de blogs s’engagent sur la confidentialité des données de leurs membres, l’utilisation qui peut en être faite et le droit à l’oubli. » Les représentants de Facebook en France feront-ils partie des signataires ? « Nous sommes en pourparlers, même si on ne peut présager de rien. »
Après la gloire, les déboires. Alors que les signes de méfiance des internautes se multiplient partout sur la Toile, c’est au tour du gouvernement de s’en prendre à Facebook. Interrogée par Canal + hier sur la protection des données des 15 millions de Français présents sur réseau social, Nathalie Kosciusko-Morizet n’a pas hésité à fustiger la politique de confidentialité du géant américain, qui permet notamment d’utiliser les données de ses membres à des fins publicitaires.
« Il faut avoir, par défaut, des profils d’utilisateurs qui soient extrêmement protecteurs du point de vue de la vie privée », a estimé la secrétaire d’Etat à l’Economie numérique.
Cet assaut intervient au lendemain de la publication d’une lettre du fondateur de Facebook dans le prestigieux « Washington Post ». Jusque-là très discret, le jeune prodige de 26 ans y fait son mea culpa, promettant de donner un moyen facile de « désactiver les services tiers », comme la transmission des données personnelles à des entreprises. « Parfois, nous allons trop vite », a reconnu Mark Zuckerberg en guise d’excuses. Insuffisant pour NKM : « Cela ne suffit pas de donner aux internautes de nouveaux outils pour protéger leurs propres données personnelles », a-t-elle insisté, adoptant une position similaire à celle de l’Union européenne, qui réclamait mi-mai « un profil protecteur des utilisateurs par défaut ».
Rien de neuf sous le soleil ? Si, car les membres du réseau social commencent eux aussi à perdre patience. Preuve de la grogne, deux Canadiens appellent les 400 millions de membres à claquer la porte du site le 31 mai, à l’occasion du Quit Facebook Day (la Journée pour quitter Facebook). Sur Google.fr, la requête « supprimer son compte Facebook » a augmenté de 30 % au cours des deux derniers mois. « On a l’impression que les utilisateurs se réveillent, et découvrent enfin les dangers du site, s’étonne Alex Türk, président de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Ils ont fini par comprendre qu’ils sont considérés non pas comme de simples membres, mais comme des clients qui doivent rapporter de l’argent, via la pub. »
La parade ne sera pas facile à mettre en oeuvre : installé aux Etats-Unis un pays peu regardant sur la question Facebook n’a pas besoin de se conformer aux lois françaises en matière de protection des données. Seule solution : une charte de bonne conduite. « Elle est en cours d’élaboration, explique-t-on dans l’entourage de la secrétaire d’Etat. Nous voulons que les réseaux sociaux et les éditeurs de blogs s’engagent sur la confidentialité des données de leurs membres, l’utilisation qui peut en être faite et le droit à l’oubli. » Les représentants de Facebook en France feront-ils partie des signataires ? « Nous sommes en pourparlers, même si on ne peut présager de rien. »
mardi 25 mai 2010
Jackpot record au casino : un couple gagne 5,5 millions d'euros
Pour son treizième anniversaire de mariage, un couple a décroché dimanche un cadeau btrès substantiel : 5,5 millions d'euros ! C'est aussi le gain record sur une machine à sous.
Pour célébrer leurs noces de muguet, les époux s'étaient rendus au casino Tranchant de Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées.
A 16h37, précisément la machine à sous qui ne prenait que des pièces de 50 centimes s'est bloquée. Le couple a cru qu'elle était tombée en panne. Mais non, ils avaient gagné 5 51,448 euros exactement ! Les époux qui habitent Pierrefitte-Nestalas, une commune, proche de Lourdes, située également dans les Hautes-Pyrénées, ont déclaré qu'ils allaient s'offrir un voilier.
Mis en place il y a huit mois le 18 septembre 2009, le «Magic Casinos Jackpot» est une cagnotte progressive multisites reliant les machines entre elles qui alimentent ensemble une seule et même cagnotte en prélevant un pourcentage sur chaque mise. Le système a été lancé dans 100 casinos français : 35 casinos du groupe Barrière, 17 casinos de Joagroupe, 16 casinos du groupe Tranchant, 8 casinos du groupe Emeraude et 24 casinos indépendants.
Le gain record sur une machine à sous (3 303 900 euros) était détenu depuis le 30 mai 2009 par un joueur d'un casino du groupe Partouche à Annemasse, en Haute-Savoie.
Pour célébrer leurs noces de muguet, les époux s'étaient rendus au casino Tranchant de Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées.
A 16h37, précisément la machine à sous qui ne prenait que des pièces de 50 centimes s'est bloquée. Le couple a cru qu'elle était tombée en panne. Mais non, ils avaient gagné 5 51,448 euros exactement ! Les époux qui habitent Pierrefitte-Nestalas, une commune, proche de Lourdes, située également dans les Hautes-Pyrénées, ont déclaré qu'ils allaient s'offrir un voilier.
Mis en place il y a huit mois le 18 septembre 2009, le «Magic Casinos Jackpot» est une cagnotte progressive multisites reliant les machines entre elles qui alimentent ensemble une seule et même cagnotte en prélevant un pourcentage sur chaque mise. Le système a été lancé dans 100 casinos français : 35 casinos du groupe Barrière, 17 casinos de Joagroupe, 16 casinos du groupe Tranchant, 8 casinos du groupe Emeraude et 24 casinos indépendants.
Le gain record sur une machine à sous (3 303 900 euros) était détenu depuis le 30 mai 2009 par un joueur d'un casino du groupe Partouche à Annemasse, en Haute-Savoie.
Violences et absentéisme : Sarkozy dans un collège de Beauvais
Un léger incident s'est produit mardi matin lors du déplacement de Nicolas Sarkozy dans un collège de Beauvais (Oise). Une visite présidentielle dédiée à l'absentéisme et aux problèmes de violence en milieu scolaire. Peu avant 10H30, dans la cour du collège Charles Fauqueux, où les élèves se pressaient pour l'approcher, l'un d'eux a jeté une bouteille d'eau en plastique en direction du chef de l'Etat.
Un officier de sécurité s'est interposé et le projectile n'a pas atteint le président.
Un atelier sur le thème «exprime ta peur»
A son arrivée dans le collège, Nicolas Sarkozy s'était inquiété, auprès du principal, des élèves sortant du collège sans affectation (une vingtaine sur 120 à la fin de la 3e dans cet établissement). «On trouve des places à tous», lui a assuré le responsable. Le président s'était ensuite entretenu avec les enseignants, à huis clos, durant un peu plus d'une demi-heure.
Le chef de l'Etat a visité des ateliers de peinture, discuté avec des élèves de 4e dont l'atelier avait pour thème «exprime ta peur». Dans cet atelier, un garçon a reproduit un cimetière, et une fille a dessiné une cité vue de sa fenêtre «parce qu'elle a peur du vertige», a-t-elle expliqué au président.
A la préfecture, Nicolas Sarkozy a évoqué la délinquance, les violences scolaires et l'absentéisme avec Alain Martinez, directeur départemental de la sécurité publique, des professeurs et des responsables de collèges. «Il y a un absentéisme occasionnel, un structurel. C'est celui-là que nous sommes décidés à combattre, mais cela ne pourra se faire sans la responsabilisation des familles», a-t-il dit, en assurant que les enseignants n'étaient «pas en cause», mais étaient «démunis».
Il y a un mois, le chef de l'état avait annoncé que les allocations familiales seraient «systématiquement» suspendues en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répété.
Un officier de sécurité s'est interposé et le projectile n'a pas atteint le président.
Un atelier sur le thème «exprime ta peur»
A son arrivée dans le collège, Nicolas Sarkozy s'était inquiété, auprès du principal, des élèves sortant du collège sans affectation (une vingtaine sur 120 à la fin de la 3e dans cet établissement). «On trouve des places à tous», lui a assuré le responsable. Le président s'était ensuite entretenu avec les enseignants, à huis clos, durant un peu plus d'une demi-heure.
Le chef de l'Etat a visité des ateliers de peinture, discuté avec des élèves de 4e dont l'atelier avait pour thème «exprime ta peur». Dans cet atelier, un garçon a reproduit un cimetière, et une fille a dessiné une cité vue de sa fenêtre «parce qu'elle a peur du vertige», a-t-elle expliqué au président.
A la préfecture, Nicolas Sarkozy a évoqué la délinquance, les violences scolaires et l'absentéisme avec Alain Martinez, directeur départemental de la sécurité publique, des professeurs et des responsables de collèges. «Il y a un absentéisme occasionnel, un structurel. C'est celui-là que nous sommes décidés à combattre, mais cela ne pourra se faire sans la responsabilisation des familles», a-t-il dit, en assurant que les enseignants n'étaient «pas en cause», mais étaient «démunis».
Il y a un mois, le chef de l'état avait annoncé que les allocations familiales seraient «systématiquement» suspendues en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répété.
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