samedi 20 novembre 2010

Loto de l'école Jeanne d'Arc à Evaux les bains dimanche 21 novembre

Comme chaque année, l'école Jeanne d'Arc organise son  loto. Organisée par l'APEL (association des parents d'élèves), il est doté de très beaux lots. vous étes tous invité à participer pour un  après midi bien sympathique.

9 parties dont deux parties "enfant" gratuites. Tirage informatisé retransmis par vidéoprojecteur. Stand pâtisseries, barbes à papa et buvette. Diffusion d'un diaporama pendant l'entracte.

Attention : Les tirages démarrent à 14h pile, prévoyez d'arriver au moins 15 minutes avant...

vendredi 19 novembre 2010

Lundi sur IDF1 TV - 2 candidats de la ville d'Evaux les bains

DOMpour une première présentation

Wilfried en compétition depuis 11 jours sera t'il présent lundi, nous le saurons après les votes du public 15h00
Lundi 22 novembre deux candidats (résident à Evaux les bains) à l'émission " Vous avez du Talent" sur IDF1 devrait être présent sur le plateau en direct dès 19h00, si le candidat dèja en liste (wilfrid) depuis 11 jours regagne les votes du public.Cela nous le sauront lundi vers 15h00.

Vous allez me dire, "mais comment je fais pour regarder cette chaîne ?

Voici la procédure

Aller sur ce lien http://www.tv-direct.fr/live_idf1.php et installer les plugins et laisser vous guider.


L'émission à lieu à Paris (face au stade de France) et sur votre ordinateur en direct à 19h00 ou sur la tnt à Paris région sur le canal 22

Evaux fait place nette


Un nouveau carrefour vous sera proposé très prochainement dans le centre ville d'Evaux les bains.
Du soleil, de la clarté et un grand pas vers la sécurité routière. A quand la démolition de la verrue pour une belle entrée de notre ville.

Pour ceux qui souhaiterais voir la démolition

jeudi 18 novembre 2010

Pétition des chercheurs français pour sauver le Téléthon

A une semaine du coup d’envoi du Téléthon, les 3 et 4 décembre prochains, vingt-quatre chercheurs français de premier plan viennent de mettre en ligne une longue pétition très offensive sur Internet (www. genopole.fr/Temoignage).
Ils entendent par ce «coup de gueule», aux termes choisis et offensifs, défendre d’une seule voix le grand marathon caritatif au profit de la recherche sur les maladies rares et les myopathies.

Parmi ces chercheurs, figurent Marc Peschanski (patron du laboratoire I-Stem, qui a créé de la peau humaine à partir de cellules souches), Alain Fischer et Marina Cavazzana-Calvo (les premiers à avoir sauvé des bébés bulles il y a onze ans à Necker), Pierre Tambourin (fondateur du Génopole) et Axel Kahn.

«Il faut arrêter avec ces polémiques préjudiciables à la recherche qui surgissent chaque année», nous a confié ce matin Marc Peschanski, évoquant les très violentes attaques de Pierre Bergé il y a un an et une possible disparition du Téléthon évoquée dans la presse il y a quelques jours. «L’arrêt du Téléthon reviendrait à abandonner les patients, à leur dire : Finalement, ça ne va pas être possible de vous soigner, alors que nous sommes sur le point de commencer de vastes essais cliniques sur l’homme pour tenter de guérir plusieurs maladies très graves», ajoute Frédéric Révah, directeur général de Généthon.

Vous pourrez acheter davantage de cigarettes chez nos voisins européens

Sous la pression de Bruxelles, la France va supprimer les limitations légales à l'achat de tabac à l'étranger. C'est ce que prévoit le projet de loi de finances rectificative présenté mercredi en Conseil des ministres.

Actuellement, la législation française prévoit des limites quantitatives concernant la circulation (1 kg, soit 5 cartouches) et la détention (2 kg, soit 10 cartouches) sur le territoire français de cigarettes, pour les particuliers ayant acheté ces produits dans d'autres pays de l'UE.

«Principes de libre-circulation»

Or la Commission a considéré que «cette situation n'est pas conforme aux principes de libre-circulation». En novembre 2009, elle a exigé de la France qu'elle assouplisse ces règles avant de décider, en juin, de la traduire devant la Cour européenne de justice.

Pour se mettre en conformité, le gouvernement «propose de supprimer dans le code général des impôts toute notion de quantité», selon le projet de loi de finances rectificative.

Après des augmentations de prix d'environ 40% en France, le député Yves Bur avait voulu limiter les achats transfrontaliers qui se sont multipliés depuis 2004. En 2006, il avait donc adopté un amendement pour contrôler les quantités.

mercredi 17 novembre 2010

Angleterre-France : pas si amical que cela

Ce soir à Wembley, l'équipe de Laurent Blanc va pouvoir se frotter à un adversaire de taille et voir où elle en est véritablement.

La dernière fois que l'équipe de France est venue affronter l'Angleterre à Wembley, Zidane et sa bande avaient conquis le monde un an plus tôt et s'apprêtaient à en faire de même avec l'Europe un an plus tard. On était le 10 février 1999 et l'ancien Wembley vivait ses dernières heures. Nicolas Anelka avait presque 20 ans. Il évoluait alors à Arsenal et avait marqué les deux buts français, dans un match amical survolé par les Bleus.

Primes : les Mondialistes vont reverser 3 millions d’euros
Depuis, l'enceinte mythique de Londres a fait peau neuve, l'équipe de France est retombée bien loin des sommets qu'elle fréquentait à l'époque, et Nicolas Anelka a quitté la sélection dans le contexte que l'on connait.

Mais plus que de nostalgie, il sera surtout question de reconstruction, ce soir sur les coups de 21 heures. Car ce match en Angleterre est le premier gros test que va passer l'équipe de Laurent Blanc. Et ce, même si le voyage bien négocié en Bosnie (0-2) lors des éliminatoires à l'Euro 2012, après un départ raté, a eu son importance. «Ce sera une opposition de qualité, certainement l'équipe la plus relevée qu'on ait à affronter depuis le mois d'août », concède sans peine Laurent Blanc. « Vous êtes beaucoup à espérer voir ce que peut donner l'équipe de France face à l'Angleterre, je suis un peu dans le même cas que vous. J'aimerais recevoir un signe fort de l'équipe, voir comment elle peut se tenir dans de telles circonstances. »

Car si l'équipe de Capello se présente sans Terry, Lampard, Ashley Cole, Rooney ou Wilshere, elle n'en reste pas moins dangereuse, emmenée par Ferdinand, Gerrard, Henderson, Walcott ou Carroll. Pour épicer un peu plus un match dit amical, mais qui ne l'est jamais vraiment, Wembley sera plein, mercredi soir, et accueillera près de 90 000 fans. Côté français, Eric Abidal devrait prendre place à gauche de la défense, comme l'a laissé entendre Laurent Blanc lors de son point-presse. De retour en Bleu pour la première fois depuis la Coupe du Monde en Afrique du Sud, le Barcelonais reléguerait ainsi Gaël Clichy sur le banc. « A travers le collectif, les performances individuelles seront analysées, et j'espère que des gens confirmeront tout le bien qu'on pense d'eux, et d'autres qu'ils pourront se révéler pour montrer à l'entraîneur qu'ils ont le niveau international.» Le moment serait en effet bien choisi.

Sarkosy, une multitude de réactions, dont celles des ténors de la gauche, particulièrement négatives.

L'entretien télévisé de Nicolas Sarkozy diffusé sur TF1, France 2 et Canal +, et suivi au total par 12,3 millions de téléspectateurs, a suscité une multitude de réactions, dont celles des ténors de la gauche, particulièrement négatives.

Ségolène Royal, incisive. «Les Français, ce soir, vont avoir de nouvelles raisons d'être en colère et même dégoûtés», a déclaré l'ex-candidate socialiste à la présidentielle Ségolène Royal. «J'ai trouvé un président affaibli par ses échecs, et enfin, j'ai trouvé un président qui était discrédité par ses mensonges», a-t-elle affirmé. Elle a estimé que le président s'était montré «inconscient de la gravité de la situation économique, sociale et morale en France».

Martine Aubry, géographe. La première secrétaire du PS Martine Aubry a jugé mardi Nicolas Sarkozy «hésitant et déboussolé», donnant «l'impression de ne pas savoir où il va». «J'ai entendu un président qui a l'air de ne pas comprendre le pays, et surtout paraît extrêmement éloigné des difficultés des Français», a-t-elle poursuivi.

François Fillon, empressé. Dans un communiqué envoyé à 22 h 11, mardi, le Premier ministre affirme que le président «a mis en lumière, avec une conviction intacte, la continuité et la cohérence de l'action réformiste engagée depuis 2007».

Dominique de Villepin, cogneur. «Il y a toujours un certain nombre de mesures, et Nicolas Sarkozy a effeuillé la marguerite politique», a jugé l'ancien Premier ministre. «Mais est-cela dont la France a besoin ?». Dans son absence de vision que Villepin avait dénoncée lundi, «Nicolas Sarkozy persiste et signe», a-t-il tranché.

François Bayrou, professoral. Attentif aux détails, le président du MoDem a relevé que le chef de l'Etat avait commis des erreurs : «Il a dit que l'euro avait été introduit à un euro pour un dollar, ce n'est pas vrai il a été introduit à 1,17 (pour un dollar)». Pour Bayrou, Sarkozy «a beaucoup parlé du passé, a beaucoup regardé ce qu'il avait fait depuis des années» mais «il a très peu parlé des Français» et «des difficultés qu'ils rencontrent».

Jean-Claude Gaudin, convaincu. Le sénateur-maire UMP de Marseille a jugé réussie la prestation du chef de l'Etat. «Au cours d'un long entretien où il a été questionné sans complaisance, le président de la République française a dit avec clarté l'essentiel. Sur les questions fiscales, économiques et sociales, il a montré sa volonté de poursuivre les réformes dont la France a besoin pour affronter l'avenir», a-t-il estimé dans un communiqué.

Jean-Luc Mélenchon, latiniste. «Nicolas Sarkozy a cherché à cacher ses griffes, ce qui a donné un long bavardage souvent confus», a estimé le président du Parti de gauche. Qui a ajouté que «la politique d'austérité et d'appauvrissement de l'Etat est confirmée : pas d'augmentation des recettes fiscales mais diminution des dépenses publiques. Du FMI expressis verbis, comme dirait le président».

Dominique Paillé, enthousiaste. «Le président de la République a sonné le coup d'envoi de l'acte II de son quinquennat qui lui permettra jusqu'au terme de son mandat de réformer la France loin de toute préoccupation politicienne et dans le seul souci de l'intérêt général», s'est réjoui le porte-parole de l'UMP.


Marine Le Pen, expéditive. La vice-présidente du FN a jugé que «ce soir le sarkozysme est mort et c'est la grande victoire du chiraquisme (...) Aucune grande vision, aucune solution, comme si Nicolas Sarkozy était vaincu».

Jean-François Copé, leader. «Nicolas Sarkozy a su trouver le ton et les mots justes pour remettre en perspective et expliquer l'action que nous conduisons depuis 2007 et tracer un cap clair et ambitieux pour la suite du quinquennat», a estimé dans un communiqué le futur patron de l'UMP.

Cécile Duflot, pratique. «On n'est pas au cinéma de la politique», tance la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts. «Le vrai sujet c'est aujourd'hui il y a quasiment 15% des habitants de ce pays et essentiellement des personnes âgées qui cet hiver n'auront pas les moyens de se chauffer. L'écologie c'est pas une mode, la crise climatique l'augmentation du coût de l'énergie c'est une réalité».


François Chérèque, précis. Le secrétaire général de la CFDT reproche au président d'avoir proposé «deux mesures riquiqui» sur l'emploi: une formule enrichie de contrat de transition professionnel (CTP) «qui concerne un chômeur sur dix» et une mesure sur l'apprentissage, «certes utile» mais inexpliquée.

Audiences : 12,2 millions de spectateurs sur trois chaînes pour Sarkozy

L'interview du président de la République par Claire Chazal, David Pujadas et Michel Denisot a été suivie par 12,239 millions de téléspectateurs, répartis de la façon suivante sur les trois chaînes concernées: 6,383 millions pour TF1 (23,7% de part de marché), 4,468 millions pour France 2 (16,6%) et 1,388 million pour Canal+ (5,1%).

Ce programme pour le moins exceptionnel et atypique a bouleversé la donne traditionnelle des audiences. Difficile d'évaluer les performances des chaînes non concernées par l'événement, et qui ont débuté leurs émissions à l'heure habituelle - alors même que Nicolas Sarkozy s'exprimait encore. Cela n'a porté chance ni à France 3 ni à M 6 : «Les imitateurs font leur show», sur la Trois, ont été suivis par 2,1 millions de personnes (8,1%) et le premier numéro de «L'espoir de l'année», sur la Six, par 2 millions de téléspectateurs (8,3%).

A l'inverse, Arte a eu toutes les raisons de se féliciter de ce chamboulement. Avec le film «La jeune fille à la perle», qui met en scène Scarlett Johansson, la chaîne a réalisé son deuxième meilleur score de 2010 : 1,6 millions de cinéphiles étaient devant leur poste, soit 6% de part de marché.

En deuxième partie de soirée, TF1 a retenu 5,3 millions de personnes avec un épisode des «Experts» (22,1%), tandis que le débat politique emmené par Arlette Chabot sur France 2 a su garder l'attention de 3,1 millions de téléspectateurs (18,1%).

mardi 16 novembre 2010

Le conseil Municipal des enfant à Evaux les bains



Le fonctionnement du Conseil Municipal d'Enfants

Qu’est-ce que le Conseil Municipal d’Enfants ?

 
Le Conseil Municipal d’Enfant (CME) est une assemblée qui réunit des enfants âgés de 9 et 10 ans. Il est composé d’environ 9 jeunes conseillers élus par leurs camarades des classes de CM1et CM2. Les élections ont lieu tous les ans dans les écoles élémentaires de Créteil, sur la base d’un élu par classe de CM1

Pourquoi un CME ?

Le Conseil Municipal d’Enfants existe à Evaux depuis 2008 et répond à la volonté de la Municipalité de permettre l’expression pleine et active de la démocratie locale et de la citoyenneté.
Dans cette optique, le CME a pour vocation de permettre aux enfants un apprentissage de la citoyenneté qui passe notamment par la familiarisation avec les processus démocratiques (le vote, le débat contradictoire, les élections) mais aussi par la gestion autonome de projets, par les enfants eux-mêmes.

Quel est le rôle du CME ?

Le Conseil Municipal d’Enfants remplit un triple rôle :

Etre à l’écoute des idées et propositions des jeunes Evahonniens et les représenter.
Proposer et réaliser des projets utiles à tous tant à l’échelle des écoles, des quartiers que de la Ville.
Transmettre directement les souhaits et observations des jeunes Evahonniens aux institutions scolaires (idées écoles), aux représentants des comités de quartier (idées quartier) ainsi qu’aux membres du Conseil Municipal d'Evaux(idées ville).





Le tabac de Chambon dévalisé

Alors que le tabac à Evaux les bains brille de tous ces feux par son absence, celui de Chambon à été le théatre "de grand banditisme". Dans la nuit de samedi à dimanche, deux individus ont séquestré et frappé le patron du tabac afin de lui faire ouvrir le coffre fort.
Interpellé à la sortie par les forces de l'ordre, ils ont étés condamnés en comparution immédiate à des peines de prison.(4 ans de prison, dont 2 ans avec sursis)
 pour 2 Chambonnais.

Agés de 21 et 27 ans, ils ont un casier judiciaire bien rempli, l' un d' eux a déjà été condamné pour vol avec séquestration.

lundi 15 novembre 2010

INFO Evaux les bains

La rue du centre ville est barrée du 15 au 26 novembre 2010 pour travaux.

Le nouveau gouvernement Fillon: sans Borloo, avec Juppé

Sur le perron de l'Elysée, Claude Guéant, le secrétaire général de l'Elysée, a mis fin dimanche à 20h15 au long feuilleton du remaniement, en annonçant la composition du gouvernement Fillon III. Comme prévu, la nouvelle équipe ne compte plus les centristes Jean-Louis Borloo et Hervé Morin, mais fait la part belle aux ex-RPR, avec le retour d'Alain Juppé qui devient ministre de la Défense, avec le titre de ministre d'Etat, numéro deux du gouvernement.

Au total, la nouvelle équipe est réduite à 30 membres (11 femmes, 19 hommes, hors Fillon) contre 37 auparavant.

Voici la liste par ordre protocolaire :

François Fillon, premier ministre



MINISTRES

Alain Juppé, ministre d'Etat, ministre de la défense et des anciens combattants

Michèle Alliot-Marie, ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes

Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement

Michel Mercier, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés

Brice Hortefeux, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration

Christine Lagarde, ministre de l'économie, des finances et de l'industrie

Xavier Bertrand, ministre du travail, de l'emploi et de la santé

Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative

François Baroin, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'Etat, porte-parole du gouvernement

Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche

Bruno Le Maire, ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire

Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication

Roselyne Bachelot-Narquin, ministre des solidarités et de la cohésion sociale

Maurice Leroy, ministre de la ville

Chantal Jouanno, ministre des sports

Patrick Ollier, ministre auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement

Eric Besson, ministre auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique

Henri de Raincourt, ministre auprès de la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé de la coopération

Philippe Richert, ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargé des collectivités territoriales

Laurent Wauquiez, ministre auprès de la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes

Nadine Morano, ministre auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de l'apprentissage et de la formation professionnelle

Marie-Luce Penchard, ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargée de l'outre-mer


SECRETAIRES D'ETAT

Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce extérieur

Nora Berra, secrétaire d'Etat auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé

Benoist Apparu, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement

Georges Tron, secrétaire d'Etat auprès du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'Etat, chargé de la fonction publique

Marie-Anne Montchamp, secrétaire d'Etat auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale

Thierry Mariani, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports

Frédéric Lefèbvre, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation

Jeannette Bougrab, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, chargée de la jeunesse et de la vie associative.

Ecartée du gouvernement, Rama Yade «ne regrette absolument rien»

Après un vrai-faux suspense qui n'aura duré que quelques heures, Nicolas Sarkozy a reconduit dimanche matin François Fillon au poste de Premier ministre, mettant fin à cinq mois d'incertitude. La nouvelle équipe gouvernementale a été annoncée dimanche soir.

samedi 13 novembre 2010

Démission du gouvernement ce soir

Alors qu'on attendait le remaniement lundi, Nicolas Sarkozy a donné son coup d'envoi samedi soir en acceptant la démission du gouvernement Fillon. Selon toute vraisemblance, François Fillon sera chargé de former un nouveau gouvernement.

Le bal des consultations a commencé ce week-end à l'Elysée en vue du prochain remaniement qui devrait être annoncé lundi. Le Premier ministre François Fillon a, le premier, été reçu au palais présidentiel en fin de matinée.

Arrivé à 11h30, en empruntant l'accès au palais présidentiel donnant sur l'avenue Marigny, François Fillon a quitté l'Elysée peu avant 13 heures, par le même chemin.

De retour dans la nuit de vendredi à samedi de Séoul où il participait au sommet du G20, le chef de l'Etat a prévu de consacrer tout son week-end à l'élaboration de sa nouvelle équipe gouvernementale.

Annoncé il y a cinq mois, ce remaniement devait être rendu public lundi, selon des sources gouvernementales et à l'UMP.L'hypothèse d'une reconduction de François Fillon à son poste est considérée par ces mêmes sources comme étant quasi certaine.

Raffarin réclame une «rupture à caractère social»

Toutefois, à l'UMP, certains, proches de Jean-Louis Borloo, prévenaient samedi que «personne n'était dans la tête du président» et voulaient croire aux chances du numéro deux du gouvernement pour succéder à François Fillon.

jeudi 11 novembre 2010

Combien coûte vraiment l"Air Sarko One"

On nous rabache de faire des économies à tout bout champ, que nous dépensons de trop pour nous soigner, de se serrer la ceinture et nos énarques eux s'empifrent et se parent de beaux jouets. Je ne suis pas réact, mais là, ça dépasse les bornes.

Sur Le Post, le député PS de l'Eure explique pourquoi il a envoyé une question écrite au gouvernement pour connaître le "détail des dépenses" du nouvel avion présidentiel, qui sera inauguré demain.

C'est donc demain le grand jour : jeudi, Nicolas Sarkozy va inaugurer officiellement son nouvel avion présidentiel, surnommé "Air Sarko One".Cela à l'occasion de la visite du chef de l'Etat, en Corée du Sud, pour le G20 prévu les 11 et 12 novembre. Le Président n'aura pas besoin de faire une escale entre Paris et la Corée puisque cet avion a une autonomie de 12.500 km.

176 millions d'euros l'aménagement du "Air Sarko One" mais pour le reste ?


Cet Airbus A330-200 sera réservé aux déplacements de Nicolas Sarkozy et des principaux membres du gouvernement. Il dispose de moyens de communication et de sécurité modernes.

L'heure de vol reviendrait à 20.000 euros, contre 8.000 pour les deux A-319 qu'utilisaient jusque-là la présidence.

"Sarkozy considère qu'on n'a pas à se mêler de ses affaires"


Aujourd'hui, l'opposition revient à la charge. Le député PS de l'Eure, François Loncle, a fait savoir mardi qu'il avait demandé par écrit au secrétaire d'Etat aux Transports de lui communiquer le "détail des dépenses" liées à ce nouvel avion.

"On parle de chiffres mais on n'a pas les détails ! Comme c'est un avion acheté à une compagnie privée, en tant que parlementaire, j'ai posé une question à Dominique Bussereau pour savoir le coût de son acquisition, les frais exacts occasionnés par les aménagements, celui de son entretien... J'ai aussi demandé qu'on me donne le coût des installations techniques réalisées sur la base aérienne d'Evreux, dans mon département. C'est là où stationne l'avion. Enfin, j'aimerais avoir une comparaison financière chiffrée entre ce nouvel avion et l'ancien Airbus A319", explique François Loncle.

"Je n'ai pas posé ces questions par démagogie. Je demande seulement de la transparence. La France est le seul pays où le gouvernement ne répond pas aux questions qui fâchent.
Nicolas Sarkozy considère qu'on n'a pas à se mêler de ses affaires... Le pouvoir présidentiel adopte là une démarche monarchique !", enrage l'élu PS.

"Y a-t-il un salon, une baignoire dorée dans cette avion ? Qu'on nous dise exactement ce qu'il en est !", demande l'élu PS. Avant d'estimer que c'est ce manque de transparence qui "éveille tous les fantasmes".

Les rumeurs les plus folles ont en effet circulé autour de cet avion : certains ont dit qu'il comportait une baignoire, un endroit pour fumer des cigares ou un four à pizza...

"Le gouvernement a deux mois pour me répondre, j'attends toujours... D'ailleurs, Bussereau a déjà fait savoir que ce n'est pas lui qui s'occupe de l'avion présidentiel. Si chacun se refile la patate chaude au gouvernement, je sens qu'on va jouer à un jeu de cache-cache...", ironise le député PS.

Le Bouchon à Chambon

mercredi 10 novembre 2010

Violences : cinq jeunes du 93 exclus de l'internat de réinsertion de la Mayenne

L’expérience aura tourné court pour cinq jeunes de Seine-Saint-Denis. Intégrés, avec neuf autres élèves du département dans un établissement de réinsertion scolaire (ERS) ouvert lundi dans un collège en Mayenne, ils viennent d’être exclus, après s’être battus hier matin avec des collégiens de l’établissement, révèle ce mercredi «le Parisien».

Les professeurs réclament la fermeture de l'ERS

C’est en urgence que l’inspection académique du 93 a décidé de renvoyer dans leurs familles les cinq jeunes de 13 ans à 15 ans après des violences survenues dans la cour du collège Volney, à Craon. A la suite d’une erreur d’organisation, ils ont croisé d’autres collégiens qui se rendaient à la cantine. C’est alors qu’ils ont « distribué des coups et des claques sans raison apparente, raconte Zélia Malhaire, une enseignante. Les collégiens ont dû se réfugier dans les bureaux de l’administration ».

Les professeurs ont aussitôt décidé d’exercer leur droit de retrait et affirment ne pas vouloir reprendre le travail tant que l’ERS ne sera pas fermé. Les gendarmes ont interpellé les fauteurs de troubles. L’affaire a vite pris des proportions importantes puisque quelques heures après, des parents d’élèves de Craon sont venus retirer leurs enfants de l’établissement. Eux aussi réclament la fin de l’expérimentation.

Les parents seront reçus par l’inspecteur d’académie

Les enseignants s’étaient mis en grève en octobre dernier car ils estimaient que les moyens n’étaient pas suffisants pour encadrer les élèves « décrocheurs » et ils réclamaient notamment l’embauche d’un principal adjoint. « Nous avions prévenu que les conditions n’étaient pas remplies pour accueillir sereinement ces enfants », martèle Zélia Malhaire.

De son côté, Daniel Auverlot, inspecteur d’académie en Seine-Saint-Denis, estime avoir pris les mesures suffisantes après les incidents. « Ces jeunes ont eu un comportement inacceptable, ils ont été immédiatement exclus, souligne-t-il. Nous avons actuellement huit adultes pour encadrer ceux qui restent et nous allons envoyer trois volontaires au service civique en plus. Au total, il y aura donc onze adultes pour neuf jeunes. » Il n’y a donc pour lui aucune raison de fermer l’ERS. Les familles des exclus seront reçues la semaine prochaine à l’inspection académique, à Bobigny.

Depuis lundi, outre l’internat dans le collège de Mayenne, un autre ERS a ouvert à Portbail, dans la Manche, qui accueille dix jeunes du 93 pour huit encadrants. La création des ERS avait été annoncée en avril par le ministère de l’Education nationale. Ils sont destinés à accueillir « des collégiens en difficulté scolaire et sociale, dont le comportement nécessite un éloignement ».

Pour intégrer ce type de structure durant un an, les élèves doivent être âgés de 13 ans à 15 ans, volontaires et exclus du système scolaire. En revanche, ils ne doivent pas avoir eu affaire à la justice. Le but est de les remettre à niveau et de leur apprendre le respect des règles de vie en société.

Sarkozy se félicite d'avoir «sauvé» le régime des retraites

Nicolas Sarkozy n'a pas attendu vingt-quatre heures. Le chef de l'Etat a promulgué la loi sur la réforme des retraites dans la nuit de mardi à mercredi. Dans la foulée, le texte, fortement contesté, a été publié au Journal officiel après avoir été validé mardi par le Conseil constitutionnel.

Ce matin, devant le Conseil des ministres, le président a réaffirmé qu'il avait «sauvé» le régime de retraite par répartition. «Les Français sont désormais assurés qu'ils pourront compter sur leur retraite et que le niveau des pensions sera maintenu», a-t-il dit dans une déclaration rendue publique par l'Elysée. «Avec cette loi, notre régime de retraite par répartition est sauvé.» «J'ai entendu les inquiétudes qui se sont exprimées pendant les débats. Et j'ai pleinement conscience qu'il s'agit d'une réforme difficile. Mais j'ai toujours considéré que mon devoir, et le devoir du gouvernement, était de la mener à bien», a-t-il ajouté.

Le PS fustige sa «brutalité»

«C'est la poursuite de la brutalité : J'ai raison, j'y vais de plus en plus fort et je ne laisse pas passer un instant avant de promulguer», a réagi la numéro un du PS, Martine Aubry.

Les syndicats, qui ont décidé d'une journée d'«actions multiformes» le 23 novembre, avaient pris acte de la décision mardi, sans toutefois baisser les bras. «Le recul des bornes d'âge à 62 et 67 ans pénalise les salariés qui ont commencé à travailler tôt et les travailleurs aux carrières précaires», a réaffirmé la CFDT. «Ça va être compliqué, difficile, mais les salariés nous en voudraient si on considérait que les carottes étaient cuites», a fait valoir la CGT.

Compte à rebours pour le remaniement

La promulgation de la loi sur les retraites ouvre la voie au remaniement du gouvernement, que le chef de l'Etat a programmé depuis cinq mois. Il pourrait intervenir lundi, mardi prochain au plus tard, selon plusieurs sources gouvernementales et de l'UMP. Et dans l'esprit de tous, il y a peu de doutes sur le fait que François Fillon reste à Matignon.

Cette conviction est partagée par Jean-Louis Borloo, numéro deux du gouvernement, qui faisait, il y a peu, figure de favori. Mardi, lors de la réunion hebdomadaire des parlementaires radicaux à l'Assemblée nationale, le ministre de l'Ecologie et président du Parti radical est apparu «déçu, découragé, abattu», selon des participants. «J'ai eu Nicolas Sarkozy deux heures au téléphone depuis dimanche. Il m'a fait comprendre que ce ne serait pas moi (pour Matignon) mais jusqu'au bout, je veux y croire. Jusqu'au bout, je veux faire monter l'union des centres», a-t-il déclaré selon ces sources.

La redevance audiovisuelle étendue aux ordinateurs ?

Allons maintenant prendre encore sur les ménages et les écoles. Il faut encore plus d'argent pour palier au train de vie de l'état, aux salaires de nos énarques, le roi va vous ponctionner encore un peu plus....

«Ordinateurs et autres tablettes qui reçoivent la télévision doivent aussi être taxés». Dans une interview au «Figaro», le rapporteur général de la commission des finances du Sénat Philippe Marini estime qu'il faut «tenir compte de l'évolution des modes de consommation des médias» et appliquer la redevance audiovisuelle non seulement aux postes de télévision traditionnels, mais aussi aux ordinateurs, qui permettent de voir de nombreux programmes par internet.
Le sénateur de l'Oise est bien décidé à défendre un amendement en ce sens dans le cadre de la loi de finances 2011.

La redevance pour les résidences secondaires ?

Par ailleurs, sur le principe d'«une taxe d'habitation, une contribution», il envisage d'étendre la redevance aux résidences secondaires, qui en sont jusqu'ici exemptes. Selon lui, la disposition permettrait de «gagner 200 millions d'euros». «Il n'y aurait néanmoins qu'une seule contribution par résidence, quel que soit le nombre de supports récepteurs», précise-t-il toutefois.