Grèves : 25O km de bouchons en Ile-de-France
C'est bien une journée de galère qui commence pour tous ceux qui doivent rejoindre la capitale. Dès très tôt ce jeudi matin, la circulation était très chargée sur l'ensemble du réseau routier francilien. Ainsi, à 7 h 30, près de 240 kilomètres de bouchon étaient recensés autour de Paris, en augmentation constante.
Les usagers ont visiblement pris leurs précautions face aux fortes perturbations annoncées dans les transports en commun. A l'occasion de la journée de mobilisation interprofession. nelle contre la réforme des retraites, le trafic des métros, trains, bus et avions sera notablement réduit en région parisienne comme en province.
Selon la RATP, le trafic est légèrement supérieur à ses prévisions de mardi. Ce mercredi, elle indique avoir constaté à 6H30 un trafic assuré à hauteur de 3 métros sur 4, 3 sur 4 également pour le RER A, 1 sur 5 aux heures de pointe pour le RER B, tandis que le service des bus et tramways est légèrement perturbé.
Selon un communiqué diffusé mardi, l'interconnexion avec la SNCF sera maintenue à Nanterre Préfecture pour le RER A, mais les RER B opérés par la RATP (entre Saint-Rémy-les-Chevreuse et Robinson au sud et gare du Nord) auront pour terminus Denfert-Rochereau. Aucun RER B ne circulera entre Denfert-Rochereau et gare du Nord.
- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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jeudi 24 juin 2010
mercredi 23 juin 2010
Mutinerie des Bleus : les «non-grévistes» menacés dans le bus ?
Que s'est-il passé dimanche, dans le bus de l'équipe de France, juste avant le boycott de l'entraînement ? Selon le site internet du Nouvel Observateur, la décision de faire la grève de l'entraînement, en signe de protestation à l'exclusion de Nicolas Anelka, était loin de faire l'unanimité.
Quand bien même le communiqué lu par Raymond Domenech commençait par ces mots: « Les joueurs de l'équipe de France, sans exception »...
Des menaces physiques ?
Selon le site du magazine, il y avait quand même quelques exceptions et le ton serait sérieusement monté à l'intérieur du bus, rideaux tirés, entre ceux qui souhaitaient participer à la séance et ceux qui ne voulaient pas. Hugo Lloris, Yoann Gourcuff et Bacary Sagna auraient ainsi voulu descendre du véhicule mais en auraient été empêchés par Franck Ribéry, Eric Abidal et Patrice Evra. Selon le Nouvel Obs, Ribéry, Evra et Abidal auraient « même menacé physiquement les premiers et le tout a failli tourner à la bagarre générale ».
Quand bien même le communiqué lu par Raymond Domenech commençait par ces mots: « Les joueurs de l'équipe de France, sans exception »...
Des menaces physiques ?
Selon le site du magazine, il y avait quand même quelques exceptions et le ton serait sérieusement monté à l'intérieur du bus, rideaux tirés, entre ceux qui souhaitaient participer à la séance et ceux qui ne voulaient pas. Hugo Lloris, Yoann Gourcuff et Bacary Sagna auraient ainsi voulu descendre du véhicule mais en auraient été empêchés par Franck Ribéry, Eric Abidal et Patrice Evra. Selon le Nouvel Obs, Ribéry, Evra et Abidal auraient « même menacé physiquement les premiers et le tout a failli tourner à la bagarre générale ».
Dépendance : le nouveau défi social
A peine dévoilée la réforme des retraites, un autre dossier s’ouvre : celui de la dépendance des personnes âgées. Et surtout de son financement. Et cette fois, ce sont les 15 millions de retraités actuels qui pourraient être mis à contribution, Emmanuel…
Ils ont été épargnés par la réforme des retraites. On comprend désormais pourquoi. Ils vont devoir participer au financement de ce nouveau risque. Une mission de l’Assemblée nationale va proposer aujourd’hui d’aligner le taux de CSG des retraités imposables sur celui des actifs. Les plus petites retraites seraient épargnées. Cette proposition a l’aval de l’Elysée. Elle est aussi soutenue par la CFDT.
Pourquoi faut-il une nouvelle ponction ?
A côté de la retraite, la dépendance est un autre défi démographique, social et économique. Les décisions ont été différées depuis trois ans. Elles sont devenues urgentes. La France compte aujourd’hui un millions de personnes dépendantes, c’est-à-dire qui n’ont pas suffisamment d’autonomie pour vivre seules, sans assistance. Ce nombre va augmenter très rapidement avec la progression de la population de plus de 85 ans. Et l’équation financière est impossible pour beaucoup : une place en maison de retraite coûte en moyenne 2 200 euros par mois, si l’on arrive à rester chez soi, il faut compter un budget d’aide à domicile de 1 800 euros. Des dépenses qui excèdent de loin les retraites moyennes, entre 1 000 et 1 300 euros. Or les aides publiques actuelles ne suffisent pas. Montant moyen : 450 euros. Les ressources dégagées avec le lundi de Pentecôte travaillé, ce qu’il en reste, ne couvrent pas les besoins. Et les départements, qui versent une allocation d’autonomie, sont étranglés.
Mais est-ce que cela va suffire ?
Non, et c’est là que va se situer le débat. D’où des propositions qui vont faire débat dans les semaines qui viennent : d’une part obliger tous les plus de 50 ans à souscrire une assurance privé sur le « risque dépendance ». Et surtout permettre aux départements ou à l’Etat de se rembourser sur l’héritage, au-delà d’un certain niveau de patrimoine, ce qu’on appelle la récupération sur succession. Nouveau risque mais des caisses vides. Moins de solidarité collective, plus d’effort individuel : c’est un modèle social français qui, lentement, se transforme.
Ils ont été épargnés par la réforme des retraites. On comprend désormais pourquoi. Ils vont devoir participer au financement de ce nouveau risque. Une mission de l’Assemblée nationale va proposer aujourd’hui d’aligner le taux de CSG des retraités imposables sur celui des actifs. Les plus petites retraites seraient épargnées. Cette proposition a l’aval de l’Elysée. Elle est aussi soutenue par la CFDT.
Pourquoi faut-il une nouvelle ponction ?
A côté de la retraite, la dépendance est un autre défi démographique, social et économique. Les décisions ont été différées depuis trois ans. Elles sont devenues urgentes. La France compte aujourd’hui un millions de personnes dépendantes, c’est-à-dire qui n’ont pas suffisamment d’autonomie pour vivre seules, sans assistance. Ce nombre va augmenter très rapidement avec la progression de la population de plus de 85 ans. Et l’équation financière est impossible pour beaucoup : une place en maison de retraite coûte en moyenne 2 200 euros par mois, si l’on arrive à rester chez soi, il faut compter un budget d’aide à domicile de 1 800 euros. Des dépenses qui excèdent de loin les retraites moyennes, entre 1 000 et 1 300 euros. Or les aides publiques actuelles ne suffisent pas. Montant moyen : 450 euros. Les ressources dégagées avec le lundi de Pentecôte travaillé, ce qu’il en reste, ne couvrent pas les besoins. Et les départements, qui versent une allocation d’autonomie, sont étranglés.
Mais est-ce que cela va suffire ?
Non, et c’est là que va se situer le débat. D’où des propositions qui vont faire débat dans les semaines qui viennent : d’une part obliger tous les plus de 50 ans à souscrire une assurance privé sur le « risque dépendance ». Et surtout permettre aux départements ou à l’Etat de se rembourser sur l’héritage, au-delà d’un certain niveau de patrimoine, ce qu’on appelle la récupération sur succession. Nouveau risque mais des caisses vides. Moins de solidarité collective, plus d’effort individuel : c’est un modèle social français qui, lentement, se transforme.
Retraites : la journée d’action s’annonce très suivie demain
L’intersyndicale qui appelle à la grève demain pour protester contre le projet de réforme des retraites mise sur un mouvement très suivi. C’est la quatrième journée de mobilisation sur ce thème depuis le début de l’année.
Ce sont près de 200 manifestations qui sont prévues demain dans toute la France. Les syndicats qui appellent à la grève (CGT, CFDT, CFTC, Solidaires, FSU, Unsa) attendent du monde dans les rues. L’intersyndicale espère faire mieux que lors de la précédente journée. Le 27 mai dernier, ce sont entre 395.000 (selon la police) et un million de personnes (selon les organisateurs) qui ont protesté contre la réforme des retraites.
Ce sont près de 200 manifestations qui sont prévues demain dans toute la France. Les syndicats qui appellent à la grève (CGT, CFDT, CFTC, Solidaires, FSU, Unsa) attendent du monde dans les rues. L’intersyndicale espère faire mieux que lors de la précédente journée. Le 27 mai dernier, ce sont entre 395.000 (selon la police) et un million de personnes (selon les organisateurs) qui ont protesté contre la réforme des retraites.
L'unique casino en Limousin
Un casino insolite au carrefour des régions Auvergne, Centre et Limousin.......
Le Casino de la Creuse dans le Limousin, aux portes de l'Allier, du Puy de Dome et de l'Auvergne, idéalement situé au Centre de la France à Evaux les Bains station thermale réputée, le Casino de tous vos plaisirs. Gastronomie, Spectacles, Danses, Poker, Jeux de Tables, Machines à Sous, Séminaires, Mariages tout a été pensé et conçu pour vous satisfaire.
Un site insolite et chaleureux, magnifiquement décoré dans le style Colonial.
Le Casino d'Evaux vous offre une multitude de possibilités pour organiser vos soirées. Dîners de galas, anniversaires, mariages, séminaires, réunions... Des salles pouvant accueillir de 20 à 250 personnes à votre disposition, une équipe de professionnels pour réussir votre événement. Restauration, spectacles ou animations selon vos envies.
Le casino est ouvert tous les jours de 10h à 2h du matin et 3h le vendredi, samedi et veille de jours fériés.Jeux de tables tous les jours à partir de 20h
Une table de qualité à Evaux les bains. des meus pour toutes les bourses. une salle de banquet avec ou sans spectacles.
Restaurant ouvert tous les jours.
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Restaurant ouvert tous les jours.
mardi 22 juin 2010
À la redécouverte des châteaux creusois
Jusqu’au 3 septembre2010, les Archives départementales présentent leur grande exposition été, consacrée aux châteaux creusois.
Cette exposition est née d’une envie de remettre en lumière le patrimoine castral de notre département. Une exposition consacrée aux châteaux avait déjà été réalisée par le service éducatif des Archives départementales de la Creuse en 2001. Mais, il s’agit ici d’étudier de façon plus précise les caractéristiques architecturales de certains châteaux, en insistant de manière pédagogique à la fois sur la chronologie de l’élévation de ces monuments et sur le vocabulaire.
L’exposition propose ainsi de découvrir le château-fort. Résidence du seigneur, le château implanté soit sur un site naturellement fort, soit sur une motte plus ou moins artificielle, est le cœur du territoire, (la châtellenie) sur lequel s’exerce au Moyen-Âge les pouvoirs seigneuriaux. L’expression château-fort est un pléonasme au Moyen-Âge car tout château était fort. Cette expression imprécise permet seulement de distinguer l’habitat nobiliaire fortifié du Moyen-Âge des plaisantes demeures d’Ancien Régime.
La période des XIIè-XIVè siècles peut apparaître comme l’âge d’or d’une autre organisation : le castrum. Mais ce que l’on appelle depuis le XIVè siècle un château ne correspond pas à ce que les textes médiévaux antérieurs à la guerre de Cent ans nommaient castrum. Ce terme avait un sens beaucoup plus large : il désignait une véritable agglomération composée de différents habitats : la résidence seigneuriale, les hôtels des chevaliers et seigneurs, les maisons des autres résidents du village castral.
Cette exposition est née d’une envie de remettre en lumière le patrimoine castral de notre département. Une exposition consacrée aux châteaux avait déjà été réalisée par le service éducatif des Archives départementales de la Creuse en 2001. Mais, il s’agit ici d’étudier de façon plus précise les caractéristiques architecturales de certains châteaux, en insistant de manière pédagogique à la fois sur la chronologie de l’élévation de ces monuments et sur le vocabulaire.
L’exposition propose ainsi de découvrir le château-fort. Résidence du seigneur, le château implanté soit sur un site naturellement fort, soit sur une motte plus ou moins artificielle, est le cœur du territoire, (la châtellenie) sur lequel s’exerce au Moyen-Âge les pouvoirs seigneuriaux. L’expression château-fort est un pléonasme au Moyen-Âge car tout château était fort. Cette expression imprécise permet seulement de distinguer l’habitat nobiliaire fortifié du Moyen-Âge des plaisantes demeures d’Ancien Régime.
La période des XIIè-XIVè siècles peut apparaître comme l’âge d’or d’une autre organisation : le castrum. Mais ce que l’on appelle depuis le XIVè siècle un château ne correspond pas à ce que les textes médiévaux antérieurs à la guerre de Cent ans nommaient castrum. Ce terme avait un sens beaucoup plus large : il désignait une véritable agglomération composée de différents habitats : la résidence seigneuriale, les hôtels des chevaliers et seigneurs, les maisons des autres résidents du village castral.
Coupe du monde : les Bleus, battus, rentrent à la maison
Pitoyable, ridicule, honteux..., difficile de trouver les mots pour qualifier le parcours de l'équipe de France dans cette Coupe du monde. Battus par les Bafana Bafana (2-1), les Bleus terminent derniers d'un groupe B où ils étaient opposés à des nations aussi effrayantes que l'Uruguay, le Mexique et l'Afrique du Sud.
Dans le Free Point Stadium de Bloefomtein, les Français finissent par une nouvelle prestation désarmante. Au coup d'envoi, seuls cinq rescapés du match contre le Mexique (0-2) figurent sur la pelouse. La mutinerie de dimanche a donc bien eu des conséquences sur la composition de l'équipe mais aucune sur l'attitude des joueurs sur le terrain. On a assisté à une opposition entre des Sud Africains survoltés malgré des qualités limitées et des Bleus sans envie, sans idée et sans réaction.
Lloris, le plus solide, craque
Histoire de boire le calice jusqu'à la lie, la chute est venue d'un des rares qui avait tenu son rang jusque là. Sur un corner de Tshabalala, Lloris manque totalement sa sortie aérienne. Au deuxième poteau, Khumalo saute au dessus de Diaby et place une tête parfaite pour ouvrir le score (1-0, 20e). Six minutes plus tard, Gourcuff est expulsé pour un coup de coude plus maladroit que méchant dans un duel avec Sibaya (26e). La déroute est en marche. Incapable de se révolter, cette équipe de France bis subit sans discontinuer. L'Afrique du Sud n'en demandait pas tant. Sur un centre de Masilela, Mphela est plus prompt que Clichy et double le score (2-0, 37e).
Exploit : la France marque un but dans le Mondial
Les entrées de Malouda et Henry donnent un peu plus de coffre à la formation tricolore qui finit par réaliser l'exploit d'inscrire un but dans ce Mondial. Sagna lance en profondeur Ribéry qui remet sur Malouda. Le milieu de Chelsea, meilleur atout offensif des Bleus qui n'aura débuté qu'un match sur trois, réduit le score sans difficulté (2-1, 70e). Ce sera tout pour les Bleus qui quittent le terrain la tête basse au milieu d'adversaires en liesse. Les Bleus font quand même mieux qu'à la Coupe du monde 2002 en Corée du sud et au Japon (zéro but, deux défaites et un nul).
Au moment de désigner les responsables de ce désastre, la liste est presque sans fin. Raymond Domenech figure pourtant au premier rang. Ce dernier est d'ailleurs l'auteur d'une sortie ratée au terme de ce Mondial, refusant de serre la main de l'entraîneur sud-africain, Alberto Parreira, champion du monde avec le Brésil en 1994.
Au terme d'un Euro déjà catastrophique, le sélectionneur s'était défendu en affirmant déjà préparer ce premier Mondial sur le sol africain. Mais entre des choix incohérents, l'incapacité à souder un groupe et une communication qui en fait un des hommes les plus impopulaires du pays, le sélectionneur quitte un fauteuil qu'il occupe depuis six ans avec comme seule bonne note une finale de Coupe du monde en 2006 où le parcours est plus à mettre au crédit de cadres comme Zidane, Vieira et Makelele que du sien.
Dans le Free Point Stadium de Bloefomtein, les Français finissent par une nouvelle prestation désarmante. Au coup d'envoi, seuls cinq rescapés du match contre le Mexique (0-2) figurent sur la pelouse. La mutinerie de dimanche a donc bien eu des conséquences sur la composition de l'équipe mais aucune sur l'attitude des joueurs sur le terrain. On a assisté à une opposition entre des Sud Africains survoltés malgré des qualités limitées et des Bleus sans envie, sans idée et sans réaction.
Lloris, le plus solide, craque
Histoire de boire le calice jusqu'à la lie, la chute est venue d'un des rares qui avait tenu son rang jusque là. Sur un corner de Tshabalala, Lloris manque totalement sa sortie aérienne. Au deuxième poteau, Khumalo saute au dessus de Diaby et place une tête parfaite pour ouvrir le score (1-0, 20e). Six minutes plus tard, Gourcuff est expulsé pour un coup de coude plus maladroit que méchant dans un duel avec Sibaya (26e). La déroute est en marche. Incapable de se révolter, cette équipe de France bis subit sans discontinuer. L'Afrique du Sud n'en demandait pas tant. Sur un centre de Masilela, Mphela est plus prompt que Clichy et double le score (2-0, 37e).
Exploit : la France marque un but dans le Mondial
Les entrées de Malouda et Henry donnent un peu plus de coffre à la formation tricolore qui finit par réaliser l'exploit d'inscrire un but dans ce Mondial. Sagna lance en profondeur Ribéry qui remet sur Malouda. Le milieu de Chelsea, meilleur atout offensif des Bleus qui n'aura débuté qu'un match sur trois, réduit le score sans difficulté (2-1, 70e). Ce sera tout pour les Bleus qui quittent le terrain la tête basse au milieu d'adversaires en liesse. Les Bleus font quand même mieux qu'à la Coupe du monde 2002 en Corée du sud et au Japon (zéro but, deux défaites et un nul).
Au moment de désigner les responsables de ce désastre, la liste est presque sans fin. Raymond Domenech figure pourtant au premier rang. Ce dernier est d'ailleurs l'auteur d'une sortie ratée au terme de ce Mondial, refusant de serre la main de l'entraîneur sud-africain, Alberto Parreira, champion du monde avec le Brésil en 1994.
Au terme d'un Euro déjà catastrophique, le sélectionneur s'était défendu en affirmant déjà préparer ce premier Mondial sur le sol africain. Mais entre des choix incohérents, l'incapacité à souder un groupe et une communication qui en fait un des hommes les plus impopulaires du pays, le sélectionneur quitte un fauteuil qu'il occupe depuis six ans avec comme seule bonne note une finale de Coupe du monde en 2006 où le parcours est plus à mettre au crédit de cadres comme Zidane, Vieira et Makelele que du sien.
La sortie sans panache de Raymond Domenech
Pouvait-on s'attendre à autre chose de sa part ? A un peu de modestie, ou de panache. Mais jusqu'au bout, et seul, Raymond Domenech a affiché son insolence. Même après l'un des plus importants fiasco de l'histoire du football français dans lequel il tient un des rôles principaux.
Après avoir refusé de saluer son alter ego Parreira, coach de l'Afrique du Sud, à l'issue du match, le sélectionneur des Bleus s'est présenté en conférence de presse avec son insolence habituelle.
Refusant même de répondre, par deux fois, à un journaliste britannique qui lui demandait pourquoi il avait snobé Parreira. Il semble que Domenech reproche à son homologue une déclaration au moment du tirage au sort du Mondial affirmant que la France avait «triché» pour se qualifier. Une allusion à la main de Thierry Henry face à l'Irlande. A un autre qui lui demandait quand l'équipe de France allait rentrer, il a lâché, cinglant et hautain: «Ah, ça, c'est une question sur le foot avec un impact exceptionnel ! Je vais vous laisser, on n'est pas dans le même monde.»
Visiblement, l'heure du bilan n'est pas non plus arrivée pour lui. «A chaud, ce n'est jamais bon d'expliquer six années, explique Raymond Domenech sous le vacarme des vuvuzelas. L'équipe de France est une belle aventure. J'ai vu plein de choses intéressantes mais le bilan je le ferai d'abord avec la fédération. Je suis dans la douleur, la détresse. On est passé à côté. On est les premiers surpris, on est dans la déception, pas dans l'explication. C'est une belle aventure qui se termine, avec des bons moments et des moments difficiles. Il faut être digne dans la victoire et la défaite. A nous d'assumer ce qu'il s'est passé. L'équipe de France va continuer.» Sans lui.
Le chantier qu'il laisse à son successeur Laurent Blanc s'annonce abyssal. «Je lui souhaite bonne chance et à l'équipe de France, assure Domenech. Je deviens le premier supporteur de l'équipe de France. Pour moi, ce furent six années exceptionnelles, dans les deux sens. Je souhaite qu'elle réussisse, ce serait un bonheur de la voir se remettre en place. Je serai le premier heureux. Je souhaite tout le bonheur possible à Laurent.»
Quant à son avenir propre, Domenech assure ne pas s'en préoccuper. «Ce qui est important c'est l'équipe de France. J'espère que la France retrouvera une équipe qui a failli là. Je lui souhaite longue vie.»
Après avoir refusé de saluer son alter ego Parreira, coach de l'Afrique du Sud, à l'issue du match, le sélectionneur des Bleus s'est présenté en conférence de presse avec son insolence habituelle.
Refusant même de répondre, par deux fois, à un journaliste britannique qui lui demandait pourquoi il avait snobé Parreira. Il semble que Domenech reproche à son homologue une déclaration au moment du tirage au sort du Mondial affirmant que la France avait «triché» pour se qualifier. Une allusion à la main de Thierry Henry face à l'Irlande. A un autre qui lui demandait quand l'équipe de France allait rentrer, il a lâché, cinglant et hautain: «Ah, ça, c'est une question sur le foot avec un impact exceptionnel ! Je vais vous laisser, on n'est pas dans le même monde.»
Visiblement, l'heure du bilan n'est pas non plus arrivée pour lui. «A chaud, ce n'est jamais bon d'expliquer six années, explique Raymond Domenech sous le vacarme des vuvuzelas. L'équipe de France est une belle aventure. J'ai vu plein de choses intéressantes mais le bilan je le ferai d'abord avec la fédération. Je suis dans la douleur, la détresse. On est passé à côté. On est les premiers surpris, on est dans la déception, pas dans l'explication. C'est une belle aventure qui se termine, avec des bons moments et des moments difficiles. Il faut être digne dans la victoire et la défaite. A nous d'assumer ce qu'il s'est passé. L'équipe de France va continuer.» Sans lui.
Le chantier qu'il laisse à son successeur Laurent Blanc s'annonce abyssal. «Je lui souhaite bonne chance et à l'équipe de France, assure Domenech. Je deviens le premier supporteur de l'équipe de France. Pour moi, ce furent six années exceptionnelles, dans les deux sens. Je souhaite qu'elle réussisse, ce serait un bonheur de la voir se remettre en place. Je serai le premier heureux. Je souhaite tout le bonheur possible à Laurent.»
Quant à son avenir propre, Domenech assure ne pas s'en préoccuper. «Ce qui est important c'est l'équipe de France. J'espère que la France retrouvera une équipe qui a failli là. Je lui souhaite longue vie.»
France - Afrique du Sud : 1 - 2
L'équipe de France va repartir en France par la petite porte. Après le week-end apocalyptique vécu par l'équipe de France, les Bleus retrouvait le terrain, cet après-midi contre l'Afrique du Sud, pour le dernier match de poule. Pour éviter que cette rencontre soit aussi leur dernier match tout court, les Français étaient condamnés à l'emporter largement tout en espérant que le Mexique - Uruguay qui se déroule au même moment ne s'achève pas sur un match nul.
Autant dire que les espoirs de voir l'équipe de France en 8es de finale étaient très minces.
Pour ce match, Raymond Domenech a décidé de remanier dans les grandes largeurs son onze de départ. Exit Patrice Evra, capitaine depuis le début de la campagne sud-africaine mais également Sidney Govou et Eric Abidal. Florent Malouda et Thierry sont également sur le banc. Jérémy Toulalan est lui suspendu.
C'est donc Alou Diarra qui évoluera devant la défense avec Abou Diaby. Le Bordelais récupère au passage le brassard de capitaine et Yoann Gourcuff réintègre l'équipe type.
Les comptes vont être rendu au retour en France.
Autant dire que les espoirs de voir l'équipe de France en 8es de finale étaient très minces.
Pour ce match, Raymond Domenech a décidé de remanier dans les grandes largeurs son onze de départ. Exit Patrice Evra, capitaine depuis le début de la campagne sud-africaine mais également Sidney Govou et Eric Abidal. Florent Malouda et Thierry sont également sur le banc. Jérémy Toulalan est lui suspendu.
C'est donc Alou Diarra qui évoluera devant la défense avec Abou Diaby. Le Bordelais récupère au passage le brassard de capitaine et Yoann Gourcuff réintègre l'équipe type.
Les comptes vont être rendu au retour en France.
Nouvelles mesures contre les arnaques au téléphone
Les «spams vocaux» ou «ping call» font des ravages. Vous recevez un appel qui raccroche au bout de deux sonneries. Vous rappelez alors ce numéro, sans savoir qu'il est surtaxé, et vous en êtes pour votre poche. Lundi, le secrétaire d'Etat à la Consommation, Hervé Novelli, a annoncé une série de mesure pour s'attaquer aux arnaques au téléphone.
Le consommateur victime de «spams vocaux» pourra ainsi notifier à la plateforme 33700 le numéro de l'émetteur de ce type d'appels.
Les opérateurs, qui sont associés au dispositif par le biais de la Fédération française des télécoms, vérifient ensuite s'il s'agit d'un spam vocal, puis transmettent «les cas les plus significatifs aux services de l'Etat chargés de la lutte contre ces pratiques frauduleuses».
Lutte contre les SMS frauduleux
Cette mesure complète le dispositif mis en place en novembre 2008 qui permet, par le biais du numéro 33700, de dénoncer les SMS frauduleux demandant au récepteur d'appeler un numéro en 08, surtaxé, ou proposant de participer à une loterie ou à des jeux.
Au 31 mai, cette plateforme avait reçu 787.000 signalements, dont 555.000 dénonçaient des numéros surtaxés. Par conséquent, 790 numéros frauduleux ont été fermés.
Un numéro de téléphone info escroqueries avait en outre été mis en place par l'ancienne ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie en janvier 2009. Il permet de dénoncer une annonce étrange, un courrier suspect ou toute autre forme d'escroquerie en composant le 0.811.02.02.17.
Non au démarchage commercial par téléphone
Autre mesure annoncée par Hervé Novelli : la possibilité pour le consommateur de s'inscrire à partir du premier trimestre 2011 par simple courrier sur une liste d'opposition aux appels de démarchage commercial non désirés, que 90% des entreprises françaises se sont engagées à respecter par le biais de leurs fédérations.
«Lorsqu'une entreprise envisagera de mener une campagne de prospection téléphonique, elle expurgera de ses fichiers (...) les coordonnées des personnes inscrites dans la liste, excepté celles qui lui auraient été volontairement transmises par les consommateurs eux-mêmes», selon le ministère.
Le consommateur victime de «spams vocaux» pourra ainsi notifier à la plateforme 33700 le numéro de l'émetteur de ce type d'appels.
Les opérateurs, qui sont associés au dispositif par le biais de la Fédération française des télécoms, vérifient ensuite s'il s'agit d'un spam vocal, puis transmettent «les cas les plus significatifs aux services de l'Etat chargés de la lutte contre ces pratiques frauduleuses».
Lutte contre les SMS frauduleux
Cette mesure complète le dispositif mis en place en novembre 2008 qui permet, par le biais du numéro 33700, de dénoncer les SMS frauduleux demandant au récepteur d'appeler un numéro en 08, surtaxé, ou proposant de participer à une loterie ou à des jeux.
Au 31 mai, cette plateforme avait reçu 787.000 signalements, dont 555.000 dénonçaient des numéros surtaxés. Par conséquent, 790 numéros frauduleux ont été fermés.
Un numéro de téléphone info escroqueries avait en outre été mis en place par l'ancienne ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie en janvier 2009. Il permet de dénoncer une annonce étrange, un courrier suspect ou toute autre forme d'escroquerie en composant le 0.811.02.02.17.
Non au démarchage commercial par téléphone
Autre mesure annoncée par Hervé Novelli : la possibilité pour le consommateur de s'inscrire à partir du premier trimestre 2011 par simple courrier sur une liste d'opposition aux appels de démarchage commercial non désirés, que 90% des entreprises françaises se sont engagées à respecter par le biais de leurs fédérations.
«Lorsqu'une entreprise envisagera de mener une campagne de prospection téléphonique, elle expurgera de ses fichiers (...) les coordonnées des personnes inscrites dans la liste, excepté celles qui lui auraient été volontairement transmises par les consommateurs eux-mêmes», selon le ministère.
Coups de feu à Paris : deux morts, trois blessés
Deux hommes ont trouvé la mort et trois autres ont été blessés, un peu avant minuit dans la nuit de lundi à mardi, à Paris. Le drame s'est déroulé à l'angle des rues Messager et Letort, dans le 18è arrondissement dans des circonstances encore mal déterminées.
Plusieurs personnes, le visage dissimulé par des cagoules circulant à bord d'une Renault Mégane ont ouvert le feu, semble-t-il avec un pistolet mitrailleur, vers un groupe de jeunes gens se trouvant sur le trottoir.
Le bilan de cette agression est très lourd: un homme qui a tenté de se réfugier dans un hôtel est mort sur place, quatre autres personnes auraient été blessées dont une, âgée de 26 ans, très grièvement, qui est décédée des suites de ses blessures à l'hôpital Lariboisière. Trois autres personnes, âgées de 29, 31 et 40 ans ont été blessées. Plusieurs armes auraient été utilisées et des dizaines de douilles retrouvées sur place.
Il n'y aurait eu aucune interpellation, mais la voiture des tireurs aurait été retrouvée, calcinée, au Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis, avec une arme et des munitions à l'intérieur. La brigade criminelle de la police judiciaire a ouvert une enquête qui s'orienterait vers l'hypothèse d'un règlement de comptes, écartant tout lien avec la fête de la musique.
Plusieurs personnes, le visage dissimulé par des cagoules circulant à bord d'une Renault Mégane ont ouvert le feu, semble-t-il avec un pistolet mitrailleur, vers un groupe de jeunes gens se trouvant sur le trottoir.
Le bilan de cette agression est très lourd: un homme qui a tenté de se réfugier dans un hôtel est mort sur place, quatre autres personnes auraient été blessées dont une, âgée de 26 ans, très grièvement, qui est décédée des suites de ses blessures à l'hôpital Lariboisière. Trois autres personnes, âgées de 29, 31 et 40 ans ont été blessées. Plusieurs armes auraient été utilisées et des dizaines de douilles retrouvées sur place.
Il n'y aurait eu aucune interpellation, mais la voiture des tireurs aurait été retrouvée, calcinée, au Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis, avec une arme et des munitions à l'intérieur. La brigade criminelle de la police judiciaire a ouvert une enquête qui s'orienterait vers l'hypothèse d'un règlement de comptes, écartant tout lien avec la fête de la musique.
Allez les Bleus, c'est maintenant ou jamais
16h - Rustenburg : MEXIQUE - URUGUAY
16h - Mangaung/Bloemfontein : FRANCE - AFRIQUE DU SUD
Après le feuilleton de cette semaine, le grand jour est arrivé et maintenant. Dès 16h00, c'est aux foot citoyens, le jour de gloire est arrivé. Une victoire qui sera ternie, mais une victoire quand même !
Que l'on pense ce que l'on veux, la porte de la qualif est encore ouverte et je crois encore à la première victoire des bleus dans cette coupe du monde.
16h - Mangaung/Bloemfontein : FRANCE - AFRIQUE DU SUD
Après le feuilleton de cette semaine, le grand jour est arrivé et maintenant. Dès 16h00, c'est aux foot citoyens, le jour de gloire est arrivé. Une victoire qui sera ternie, mais une victoire quand même !
Que l'on pense ce que l'on veux, la porte de la qualif est encore ouverte et je crois encore à la première victoire des bleus dans cette coupe du monde.
lundi 21 juin 2010
Deux communes annulent la retransmission sur écran géant
Deux communes annulent la retransmission sur écran géant
La ville de Vincennes (Val-de-Marne) a décidé d’annuler la retransmission sur grand écran du match France/ Afrique du Sud qui devait avoir lieu place de l’hôtel de ville, mardi à partir de 16 heures.
Laurent Lafon, le maire Nouveau centre - également conseiller régional - estime «que le comportement de plusieurs des joueurs de l’équipe de France constitue un manque flagrant de respect vis-à-vis des entraîneurs, des bénévoles, des éducateurs et des joueurs des clubs amateurs, qui s’efforcent au quotidien de prôner des valeurs de respect, de fair-play et de dépassement de soi.
» L’élu estime par ailleurs qu’un tel comportement des Bleus «n’est ni un modèle, ni un repère pour les Français, en particulier les jeunes qui aiment leur sport ou tout simplement leur pays ».
«De sales garnements qui insultent leur coach»
Pas de retransmission non plus à Anzin-Saint-Aubin, commune du Pas-de-Calais qui avait prévu d'organiser une fête pour les écoliers de la ville et leurs parents. «On a estimé avec le corps enseignant que c'était inadmissible, le comportement de «racailles» de certains membres de l'équipe de France qui se conduisent comme de sales garnements qui insultent leur coach avec une rare violence», a déclaré David Hecq, maire de cette commune de 2.900 habitants, proche d'Arras, confirmant une information de la Voix du Nord.
Les deux premiers matches des Bleus en Afrique du Sud avaient été retransmis sur écran géant à la salle des fêtes. «On y croyait vraiment», a expliqué un peu dépité David Hecq.
«Même les enfants sont déçus. Non pas qu'on ne retransmette pas le match, mais par leur équipe. Ils ont même parfois un petit peu honte de leurs aînés», explique le maire, après les insultes de l'attaquant Nicolas Anelka envers le sélectionneur Raymond Domenech et la grève de l'entraînement, dimanche
La ville de Vincennes (Val-de-Marne) a décidé d’annuler la retransmission sur grand écran du match France/ Afrique du Sud qui devait avoir lieu place de l’hôtel de ville, mardi à partir de 16 heures.
Laurent Lafon, le maire Nouveau centre - également conseiller régional - estime «que le comportement de plusieurs des joueurs de l’équipe de France constitue un manque flagrant de respect vis-à-vis des entraîneurs, des bénévoles, des éducateurs et des joueurs des clubs amateurs, qui s’efforcent au quotidien de prôner des valeurs de respect, de fair-play et de dépassement de soi.
» L’élu estime par ailleurs qu’un tel comportement des Bleus «n’est ni un modèle, ni un repère pour les Français, en particulier les jeunes qui aiment leur sport ou tout simplement leur pays ».
«De sales garnements qui insultent leur coach»
Pas de retransmission non plus à Anzin-Saint-Aubin, commune du Pas-de-Calais qui avait prévu d'organiser une fête pour les écoliers de la ville et leurs parents. «On a estimé avec le corps enseignant que c'était inadmissible, le comportement de «racailles» de certains membres de l'équipe de France qui se conduisent comme de sales garnements qui insultent leur coach avec une rare violence», a déclaré David Hecq, maire de cette commune de 2.900 habitants, proche d'Arras, confirmant une information de la Voix du Nord.
Les deux premiers matches des Bleus en Afrique du Sud avaient été retransmis sur écran géant à la salle des fêtes. «On y croyait vraiment», a expliqué un peu dépité David Hecq.
«Même les enfants sont déçus. Non pas qu'on ne retransmette pas le match, mais par leur équipe. Ils ont même parfois un petit peu honte de leurs aînés», explique le maire, après les insultes de l'attaquant Nicolas Anelka envers le sélectionneur Raymond Domenech et la grève de l'entraînement, dimanche
Bachelot aux Bleus : «C'est l'image de la France que vous avez ternie»
Manifestement, l'heure est grave. C'est une Roselyne Bachelot solennelle qui s'est présentée vers 21 heures devant la presse, au stade de Bloemfentein, là où les joueurs de l'équipe de France disputeront leur dernier match de poule contre l'Afrique du Sud, mardi à 16 heures.
La ministre des Sports avait rencontré les Bleus auparavant, et avait évidemment parlé avec eux de ce dimanche ahurissant vécu à Knysna. «J'ai donc indiqué (ndlr, aux joueurs) que le foot français affrontait un désastre non pas parce qu'il avait perdu un match mais parce que c'était un désastre moral».
La voix grave, Roselyne Bachelot a affirmé que ce n'était «pas qu'un mauvais moment à passer. Rien ne sera plus comme avant. Je l'ai dit aux joueurs dans un entretien extrêmement émouvant […] J'ai dit aux joueurs : "Ce sont vos gosses, nos enfants, pour qui vous ne serez peut-être plus des héros". Ce sont les rêves de vos compagnes, de vos amis, de vos supporteurs que vous avez peut-être brisés. C'est l'image de la France que vous avez ternie.»
La ministre des Sports avait rencontré les Bleus auparavant, et avait évidemment parlé avec eux de ce dimanche ahurissant vécu à Knysna. «J'ai donc indiqué (ndlr, aux joueurs) que le foot français affrontait un désastre non pas parce qu'il avait perdu un match mais parce que c'était un désastre moral».
La voix grave, Roselyne Bachelot a affirmé que ce n'était «pas qu'un mauvais moment à passer. Rien ne sera plus comme avant. Je l'ai dit aux joueurs dans un entretien extrêmement émouvant […] J'ai dit aux joueurs : "Ce sont vos gosses, nos enfants, pour qui vous ne serez peut-être plus des héros". Ce sont les rêves de vos compagnes, de vos amis, de vos supporteurs que vous avez peut-être brisés. C'est l'image de la France que vous avez ternie.»
Kermesse à l'école Jeanne d'Arc Evaux les bains
INVITATION
Vous êtes invités à venir assister à la kermesse de l’école Jeanne d’Arc
qui aura lieu le dimanche 27 juin 2010.
Une célébration préparée avec les élèves commencera cette journée à 10h30 en l’église d’Evaux.
A 12h, un apéritif vous sera offert. Vous pourrez également prendre un repas sur place.
Les enfants vous présenteront un spectacle à 15h30.
De nombreuses surprises vous attendent...
dont l'inauguration de la statue de Sainte Jeanne d'Arc.
L’équipe enseignante et l’APEL
Pour plus de renseignements : www.ecolejd.over-blog.com
Crise des Bleus : les sponsors prennent leurs distances
Le Crédit Agricole annonce l'arrêt de sa campagne télé. Adidas continue la sienne mais en s'avouant «consternée et attristée». D'autres annonceurs, comme Quick ou GDF-Suez, s'apprêtent à repenser leurs messages. .
«Le Crédit Agricole a annoncé lundi l'arrêt anticipé de sa campagne publicitaire télévisée mettant en scène l'équipe de France de football. Le groupe bancaire a pris cette décision par anticipation, la campagne devant prendre fin vendredi. C'est «au vu des derniers événements» survenus lors du Mondial-2010 que le financier a pris cette décision.
Dans le spot, Hugo Lloris, Lassana Diara, Thierry Henry, Yoann Gourcuff et plus récemment Franck Ribéry apparaissaient avec le maillot frappé du coq. Le spot télévisé, qui visait à faire la promotion des produits d'assurance du groupe, met en scène un client de la banque qui a rendez-vous avec son conseiller. En chemin il manque de se faire écraser, de tomber dans une bouche d'égoût puis d'être percuté par un avion télécommandé. A chaque fois, les joueurs de l'équipe de France sauvent in extrémis le client.
Le spot met en avant l'esprit d'équipe et d'entraide, des valeurs mises à mal ce week-end avec «la mutinerie» des joueurs français qui ont refusé de s'entraîner pour protester contre l'exclusion du Mondial de Nicolas Anelka.
«L'engagement du Crédit Agricole dépasse l'équipe de France. On reste aux côtés du football amateur», a ajouté une porte-parole. Elle a rappelé que le Crédit Agricole, seule banque à être partenaire de la Fédération française de football (FFF), avait ainsi renouvelé au printemps 2010 et pour une durée de 4 ans son contrat avec la FFF, qui comprend le parrainage de plusieurs compétitions.
Adidas en appelle au sens des reponsabilités de chacun
D'autres sponsors sont en pleine réflexion sur l'avenir de leur partenariat avec les Bleus. Ils ont passé tout le week-end ensemble au téléphone pour élaborer une stratégie commune. Et parmi les gros mécènes, GDF-Suez a dès hier fait savoir : «Nous ne pouvons pas laisser les choses en l'état [...] L'équipe de France donne une image trop dégradée du sport.»
De son côté, l'équipementier sportif Adidas, sponsor officiel de l'équipe de France, a annoncé lundi qu'il allait poursuivre sa campagne de publicité mettant en scène les Bleus et notamment Yoann Gourcuff, ambassadeur français de la marque. Néanmoins, la marque s'avoue «consternée et attristée de voir la tournure des événements (...)». Le communiqué du service de presse met la pression sur les acteurs du psychodrame de Knysna, appelant au «sens des responsabilités des dirigeants de la Fédération, du staff technique et des joueurs pour ramener de la sérénité dans les prochaines heures».
D'autres sponsors de l'équipe de France de football, comme l'enseigne de restauration rapide Quick, ont décidé de modifier ou de suspendre leurs campagnes de publicité après l'exclusion de l'attaquant Nicolas Anelka pour avoir insulté l'entraîneur Raymond Domenech.
Mardi, face à l'Afrique du Sud, pour son dernier match du groupe A, l'équipe de France jouera pourtant sa survie dans ce Mondial-2010 aux allures de cauchemar sans fin.
«Le Crédit Agricole a annoncé lundi l'arrêt anticipé de sa campagne publicitaire télévisée mettant en scène l'équipe de France de football. Le groupe bancaire a pris cette décision par anticipation, la campagne devant prendre fin vendredi. C'est «au vu des derniers événements» survenus lors du Mondial-2010 que le financier a pris cette décision.
Dans le spot, Hugo Lloris, Lassana Diara, Thierry Henry, Yoann Gourcuff et plus récemment Franck Ribéry apparaissaient avec le maillot frappé du coq. Le spot télévisé, qui visait à faire la promotion des produits d'assurance du groupe, met en scène un client de la banque qui a rendez-vous avec son conseiller. En chemin il manque de se faire écraser, de tomber dans une bouche d'égoût puis d'être percuté par un avion télécommandé. A chaque fois, les joueurs de l'équipe de France sauvent in extrémis le client.
Le spot met en avant l'esprit d'équipe et d'entraide, des valeurs mises à mal ce week-end avec «la mutinerie» des joueurs français qui ont refusé de s'entraîner pour protester contre l'exclusion du Mondial de Nicolas Anelka.
«L'engagement du Crédit Agricole dépasse l'équipe de France. On reste aux côtés du football amateur», a ajouté une porte-parole. Elle a rappelé que le Crédit Agricole, seule banque à être partenaire de la Fédération française de football (FFF), avait ainsi renouvelé au printemps 2010 et pour une durée de 4 ans son contrat avec la FFF, qui comprend le parrainage de plusieurs compétitions.
Adidas en appelle au sens des reponsabilités de chacun
D'autres sponsors sont en pleine réflexion sur l'avenir de leur partenariat avec les Bleus. Ils ont passé tout le week-end ensemble au téléphone pour élaborer une stratégie commune. Et parmi les gros mécènes, GDF-Suez a dès hier fait savoir : «Nous ne pouvons pas laisser les choses en l'état [...] L'équipe de France donne une image trop dégradée du sport.»
De son côté, l'équipementier sportif Adidas, sponsor officiel de l'équipe de France, a annoncé lundi qu'il allait poursuivre sa campagne de publicité mettant en scène les Bleus et notamment Yoann Gourcuff, ambassadeur français de la marque. Néanmoins, la marque s'avoue «consternée et attristée de voir la tournure des événements (...)». Le communiqué du service de presse met la pression sur les acteurs du psychodrame de Knysna, appelant au «sens des responsabilités des dirigeants de la Fédération, du staff technique et des joueurs pour ramener de la sérénité dans les prochaines heures».
D'autres sponsors de l'équipe de France de football, comme l'enseigne de restauration rapide Quick, ont décidé de modifier ou de suspendre leurs campagnes de publicité après l'exclusion de l'attaquant Nicolas Anelka pour avoir insulté l'entraîneur Raymond Domenech.
Mardi, face à l'Afrique du Sud, pour son dernier match du groupe A, l'équipe de France jouera pourtant sa survie dans ce Mondial-2010 aux allures de cauchemar sans fin.
Bon anniversaire Annie
Un bon anniversaire à Annie Boutoile directrice de l'école Jeanne d'Arc à Evaux les bains.
Ils vivent un enfer en entendant des chiens aboyer 800 fois par heure
17 chiens de race Boxer et Bulldogs étaient amassés dans une maison, et même dans la camionnette de leur propriétaire. Aboyant sans s'arrêter, ils ont fait vivre un véritable enfer à leur voisin.
Mark McGowan, le propriétaire, a été assigné en justice par ses voisins, à la suite de plusieurs avertissements. Il devait faire en sorte de faire taire ses chiens mais cette demande n'a pas été respectée.
Finalement, pour convaincre la justice, ses voisins ont enregistré les aboiements jusqu'à constater qu'ils en entendaient 800 toutes les heures. Le juge a condamné le propriétaire des chiens à régler une amende de 1900£ (soit 2270 euros).
Mark McGowan, le propriétaire, a été assigné en justice par ses voisins, à la suite de plusieurs avertissements. Il devait faire en sorte de faire taire ses chiens mais cette demande n'a pas été respectée.
Finalement, pour convaincre la justice, ses voisins ont enregistré les aboiements jusqu'à constater qu'ils en entendaient 800 toutes les heures. Le juge a condamné le propriétaire des chiens à régler une amende de 1900£ (soit 2270 euros).
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