La réaction collective et l'état d'esprit affiché cette saison quand elle a traversé des moments difficiles ont, semble-t-il, apporté à l'ASM une cohésion supplémentaire. Unanimes, les joueurs affirment avancer vers cette finale dans de meilleures dispositions mentales.
Plus sereins ? Sans aucun doute. Une nouvelle force de caractère ? On veut le croire. Mais l'essentiel est que les joueurs en soient persuadés, au moment, pour la majorité d'entre-eux, de remettre l'ouvrage sur le métier. Pour la quatrième fois consécutive. La deuxième en suivant face au même adversaire. Une équipe de Perpignan qui avait su, l'an dernier, renverser la tendance en affichant un mental de feu, alors que les Catalans couraient après le score.
Alors, qu'est-ce qui a changé cette année à Clermont, alors que l'encadrement a coupé le lien avec son préparateur mental ? « Il y a un petit truc en plus, glisse, énigmatique, le capitaine Rougerie. Je ne veux pas m'étaler sur ce sujet, je vous en dirais plus samedi soir, après le match. On s'est dit des choses, mais ça restera entre nous jusque-là. »
Une finale, terme d'une saison aussi longue qu'éprouvante, se joue, ou bascule rarement sur un fait technique, ni même une différence physique. L'envie est par contre un moteur qui peut galvaniser une équipe plus que l'autre. En vieux grognard, Alexandre Audebert se contente, en explications, d'une formule qui définit sans doute la teneur du message de cette semaine. « On apprend toujours de nos erreurs et de nos échecs? »
- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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vendredi 28 mai 2010
Poursuivi pour un découvert de 178500 €, il est relaxé
Francis, 35 ans, bénéficiaire du revenu de solidarité active, a dépensé cette somme en deux mois. Sa banque n’avait pas réagi.
Quand il a raconté son histoire à son avocat, Me Gérard Welzer, Francis, 35 ans, était sûr que ses actes le conduiraient tout droit en prison. Ce père de famille, dont les seules ressources étaient le revenu de solidarité active (RSA), avait dépensé en deux mois 178500 € sans que sa banque réagisse. Il a pourtant été relaxé hier par le tribunal correctionnel de Saint-Dié (Vosges) qui le jugeait pour escroquerie.
« La morale est une chose, le droit pénal, une autre. L’utilisation d’une carte bancaire sans provision n’est pas une manœuvre frauduleuse, même si l’on se sait à découvert. Il n’y a donc pas d’escroquerie », argumente Me Welzer, selon lequel ce procès a stigmatisé « le dysfonctionnement inquiétant des banques ».
Fin 2008, cet ex-vendeur d’habits sur les marchés quitte les Vosges avec sa femme et leurs trois enfants pour tenter sa chance en Vendée. « Se rapprocher de la mer et trouver un travail », résume Francis, qui installe les siens dans un mobile home. Le couple veut transférer son compte du Crédit agricole dans une agence de La Roche-sur-Yon. « Ma femme étant interdit bancaire, le banquier a proposé de m’ouvrir un compte avec un découvert autorisé de 500 €, relate Francis. J’ai dit que ça ne m’intéressait pas. Il a fixé le découvert à 50 € et m’a fait une demande de chéquier même si je n’en voyais pas l’utilité. » Francis ne trouve pas de job, sa famille a le mal du pays. Ils retournent dans les Vosges et, là, Francis dérape.
« On n’avait plus rien. J’ai commencé par faire des chèques sans provision », avoue Francis sans en être fier. Un jour, sa femme et lui partent acheter une pizza. « Vu que je faisais des chèques sans argent sur mon compte, j’ai glissé ma carte dans un distributeur en disant à mon épouse : On va leur rendre, la machine va l’avaler. » A sa grande stupéfaction, l’automate lui restitue sa carte et lui donne les 300 € demandés. « Ça m’a surpris, mais je me suis dit que ce devait être une sorte de crédit, explique Francis. J’ai tiré 100 €, puis 200, je suis allé dans les magasins. Après, j’ai été pris dans l’engrenage, je ne comptais plus. » Courses alimentaires, vêtements pour les enfants, ordinateur : le bénéficiaire du RSA est pris d’une frénésie d’achats. En deux mois, il effectue 1351 opérations avec sa carte dont la majorité dans des boutiques. De son côté, la banque ne bronche pas.
« A aucun moment le Crédit agricole ne s’est inquiété. Il n’a réagi qu’en février 2009 en demandant à mon client de rendre sa carte puis en déposant plainte pour escroquerie », note Me Welzer. L’ardoise finale est colossale : 138500 € de dépenses par carte et 40000 € de chèques en bois. Hier, le parquet a requis quatre ans de prison avec sursis. Le tribunal a prononcé une relaxe, comme l’avait plaidé avec efficacité Me Welzer. « Je ne me considère pas du tout comme un escroc », confie encore Francis. Mais il va devoir rembourser progressivement la banque. Le droit pénal est une chose, la morale, une autre. La direction du Crédit agricole n’était pas en mesure hier d’apporter des précisions.
Quand il a raconté son histoire à son avocat, Me Gérard Welzer, Francis, 35 ans, était sûr que ses actes le conduiraient tout droit en prison. Ce père de famille, dont les seules ressources étaient le revenu de solidarité active (RSA), avait dépensé en deux mois 178500 € sans que sa banque réagisse. Il a pourtant été relaxé hier par le tribunal correctionnel de Saint-Dié (Vosges) qui le jugeait pour escroquerie.
« La morale est une chose, le droit pénal, une autre. L’utilisation d’une carte bancaire sans provision n’est pas une manœuvre frauduleuse, même si l’on se sait à découvert. Il n’y a donc pas d’escroquerie », argumente Me Welzer, selon lequel ce procès a stigmatisé « le dysfonctionnement inquiétant des banques ».
Fin 2008, cet ex-vendeur d’habits sur les marchés quitte les Vosges avec sa femme et leurs trois enfants pour tenter sa chance en Vendée. « Se rapprocher de la mer et trouver un travail », résume Francis, qui installe les siens dans un mobile home. Le couple veut transférer son compte du Crédit agricole dans une agence de La Roche-sur-Yon. « Ma femme étant interdit bancaire, le banquier a proposé de m’ouvrir un compte avec un découvert autorisé de 500 €, relate Francis. J’ai dit que ça ne m’intéressait pas. Il a fixé le découvert à 50 € et m’a fait une demande de chéquier même si je n’en voyais pas l’utilité. » Francis ne trouve pas de job, sa famille a le mal du pays. Ils retournent dans les Vosges et, là, Francis dérape.
« On n’avait plus rien. J’ai commencé par faire des chèques sans provision », avoue Francis sans en être fier. Un jour, sa femme et lui partent acheter une pizza. « Vu que je faisais des chèques sans argent sur mon compte, j’ai glissé ma carte dans un distributeur en disant à mon épouse : On va leur rendre, la machine va l’avaler. » A sa grande stupéfaction, l’automate lui restitue sa carte et lui donne les 300 € demandés. « Ça m’a surpris, mais je me suis dit que ce devait être une sorte de crédit, explique Francis. J’ai tiré 100 €, puis 200, je suis allé dans les magasins. Après, j’ai été pris dans l’engrenage, je ne comptais plus. » Courses alimentaires, vêtements pour les enfants, ordinateur : le bénéficiaire du RSA est pris d’une frénésie d’achats. En deux mois, il effectue 1351 opérations avec sa carte dont la majorité dans des boutiques. De son côté, la banque ne bronche pas.
« A aucun moment le Crédit agricole ne s’est inquiété. Il n’a réagi qu’en février 2009 en demandant à mon client de rendre sa carte puis en déposant plainte pour escroquerie », note Me Welzer. L’ardoise finale est colossale : 138500 € de dépenses par carte et 40000 € de chèques en bois. Hier, le parquet a requis quatre ans de prison avec sursis. Le tribunal a prononcé une relaxe, comme l’avait plaidé avec efficacité Me Welzer. « Je ne me considère pas du tout comme un escroc », confie encore Francis. Mais il va devoir rembourser progressivement la banque. Le droit pénal est une chose, la morale, une autre. La direction du Crédit agricole n’était pas en mesure hier d’apporter des précisions.
La France organisera l'Euro 2016
France, Turquie ou Italie ? C'est à 13 heures à Nyon, en Suisse, que l'UEFA désignera le pays hôte du championnat d'Europe de football en 2016. Les Tricolores ont présenté leur dossier avec Nathan, 10 ans, la star du jour.
Ils sont treize membres du jury de l'UEFA (Union européenne du football association) et la France doit en convaincre au moins sept pour espérer organiser l'Euro-2016 de football dans l'Hexagone, le 15e championnat d'Europe de l'histoire. Face à la candidature française, la Turquie et l'Italie tenteront de défendre leur dossier.
Ils sont treize membres du jury de l'UEFA (Union européenne du football association) et la France doit en convaincre au moins sept pour espérer organiser l'Euro-2016 de football dans l'Hexagone, le 15e championnat d'Europe de l'histoire. Face à la candidature française, la Turquie et l'Italie tenteront de défendre leur dossier.
C'est la fête des mères ce dimanche
Menu
le Dimanche 30 mai Midi et soir, Restaurant le Trianon du Grand Hôtel Thermal
La Terrine de Foie Gras, compotée de Figues et Pain d'Epice Maison
************************
Les Côtes d'Agneau Grillées aux Herbes et Gratin Dauphinois
ou
Le Filet de Sandre Rôti, sauce Safranée, et son Riz Sauvage
*********
L'Assiette de Fromages du Terroir
*******
Le Croustillant aux Pêches, Sauce Caramel au Poivre de Séchuan
Ce soir la fête des voisins
La Fête des voisins investit de nouveau les cours d’immeubles, les jardins, les trottoirs et les places de villages ce soir. Deux nouveautés pour le cru 2010 : trinquer en respectant l’environnement et, pour la première fois, investir les cinq continents…
A ma connaissance pas de fête des voisins dans notre ville d'Evaux les bains et c'est bien dommage. cette fête aurait été un bon moyen de mieux se connaître.
Lancée en l’an 2000 en France, la Fête des voisins devrait réunir cette année plus de 6 millions de participants, et environ 10 millions en Europe. Au fil du temps, la manifestation a essaimé dans le monde entier et, pour la première fois, elle concerne les cinq continents : du Japon au Canada, du Togo à l’Australie.
La Fête des voisins est également l’occasion de faire avancer, dans la joie, la bonne humeur et l’échange, certaines causes. Après la sensibilisation au tri sélectif l’an dernier, l’édition 2010 est placée sous le signe de la préservation de la biodiversité, et du respect de l’environnement d’une manière générale. Près d’un million de tracts du ministère de l’Ecologie, présentant quelques conseils et gestes utiles, seront distribués ce soir.
A ma connaissance pas de fête des voisins dans notre ville d'Evaux les bains et c'est bien dommage. cette fête aurait été un bon moyen de mieux se connaître.
Lancée en l’an 2000 en France, la Fête des voisins devrait réunir cette année plus de 6 millions de participants, et environ 10 millions en Europe. Au fil du temps, la manifestation a essaimé dans le monde entier et, pour la première fois, elle concerne les cinq continents : du Japon au Canada, du Togo à l’Australie.
La Fête des voisins est également l’occasion de faire avancer, dans la joie, la bonne humeur et l’échange, certaines causes. Après la sensibilisation au tri sélectif l’an dernier, l’édition 2010 est placée sous le signe de la préservation de la biodiversité, et du respect de l’environnement d’une manière générale. Près d’un million de tracts du ministère de l’Ecologie, présentant quelques conseils et gestes utiles, seront distribués ce soir.
Ce soir à la maison des jeunes, réunion publique avec la municipalité, venez débattre et vous informez
Réunion publique vendredi 28 mai 2010
L'information, c'est la démocratie, à condition d'être bien informé. Pour cela, La municipalité vous invite à participer ce soir à la deuxième réunion publique qui se déroulera à la maison des jeunes à 20h00.
Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile pour vous et à tous
Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile pour vous et à tous
A 20 heures MAISON DES JEUNES
ordre du jour
Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?
ordre du jour
Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?
Gaz : vers une hausse de 4,5% des tarifs en juillet et encore !
«Nous n'infirmons, ni ne confirmons car ce n'est pas le gouvernement qui fixe les tarifs du gaz.» Jeudi soir, dans l'entourage de Jean-Louis Borloo, ministre en charge de l'Energie, pas question de réagir à l'information du Figaro.fr selon laquelle les consommateurs pourraient voir leur facture de gaz augmenter de 4,5% au 1er juillet.
Même silence radio du côté de GDF Suez qui n'a pas encore saisi la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dont l'avis est obligatoire.
Indexés sur les coûts du pétrole, les tarifs du gaz sont révisés tous les trois mois selon une formule qui, d'après le Figaro.fr, «permet de tabler sur une hausse de quelque 4,5 %».
Une hausse qui interviendrait après celle de 9,7 % intervenue le 1er avril dernier. Les associations de consommateurs, les syndicats et l'opposition avaient alors vivement dénoncé cette augmentation jugée «scandaleuse» et «injustifiée» en période de crise. Quelque 44% des foyers français se chauffent au gaz et près de 90% des foyers raccordés au gaz naturel sont soumis aux tarifs réglementés.
Même silence radio du côté de GDF Suez qui n'a pas encore saisi la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dont l'avis est obligatoire.
Indexés sur les coûts du pétrole, les tarifs du gaz sont révisés tous les trois mois selon une formule qui, d'après le Figaro.fr, «permet de tabler sur une hausse de quelque 4,5 %».
Une hausse qui interviendrait après celle de 9,7 % intervenue le 1er avril dernier. Les associations de consommateurs, les syndicats et l'opposition avaient alors vivement dénoncé cette augmentation jugée «scandaleuse» et «injustifiée» en période de crise. Quelque 44% des foyers français se chauffent au gaz et près de 90% des foyers raccordés au gaz naturel sont soumis aux tarifs réglementés.
jeudi 27 mai 2010
Retraites : pour Chatel, la «faible mobilisation» valide la réforme
La bataille des chiffres était bien partie jeudi en fin de journée. Un million de personnes ont manifesté dans toute la France à l'appel des syndicats pour défendre la retraite à 60 ans, selon la CGT. Ils ne serait qu'environ 400 000, selon les déclarations de Luc Chatel. Pour le porte-parole du gouvernement, la «faible mobilisation» enregistrée vient «valider la méthode du gouvernement» sur les retraites.
Au regard des chiffres avancés par la CGT, c'est, en revanche, un succès. En dessous des 300 000 participants dans les différents cortèges, cette journée d'action syndicale aurait été clairement un échec pour les organisateurs. Au-dessus des 800 000, un succès éclatant.
La même polémique se fait jour pour le cortège parisien. sous une pluie battante, 90 000 personnes, selon la CGT, 22 000 selon la préfecture de police, ont défilé ce jeudi après-midi entre la place Denfert-Rochereau et Bastille. «Ensemble agissons pour l'emploi, les salaires, les conditions de travail et les retraites» : derrière cette banderole, les leaders de six syndicats CGT, CFDT, CFTC, FSU, Unsa et Solidaires étaient réunis pour la dernière journée d'action avant l'annonce de la réforme des retraites, prévue autour du 20 juin, avant un passage au Conseil des ministres le 13 juillet.
Si pour le syndicat de Bernard Thibault, la manifestation de ce jeudi a rassemblé dans la capitale 30 000 personnes de plus que le 23 mars, la préfecture de police conteste l'augmentation du nombre de manifestants par rapport à cette date. Elle a dénombré 22 000 participants contre 31 000 il y a un peu plus de deux mois.
Au regard des chiffres avancés par la CGT, c'est, en revanche, un succès. En dessous des 300 000 participants dans les différents cortèges, cette journée d'action syndicale aurait été clairement un échec pour les organisateurs. Au-dessus des 800 000, un succès éclatant.
La même polémique se fait jour pour le cortège parisien. sous une pluie battante, 90 000 personnes, selon la CGT, 22 000 selon la préfecture de police, ont défilé ce jeudi après-midi entre la place Denfert-Rochereau et Bastille. «Ensemble agissons pour l'emploi, les salaires, les conditions de travail et les retraites» : derrière cette banderole, les leaders de six syndicats CGT, CFDT, CFTC, FSU, Unsa et Solidaires étaient réunis pour la dernière journée d'action avant l'annonce de la réforme des retraites, prévue autour du 20 juin, avant un passage au Conseil des ministres le 13 juillet.
Si pour le syndicat de Bernard Thibault, la manifestation de ce jeudi a rassemblé dans la capitale 30 000 personnes de plus que le 23 mars, la préfecture de police conteste l'augmentation du nombre de manifestants par rapport à cette date. Elle a dénombré 22 000 participants contre 31 000 il y a un peu plus de deux mois.
Montluçon : Saint-Maclou détruit par un incendie
Les 1.500 m2 du magasin Saint-Maclou de Montluçon ont été entièrement détruits, mercredi soir, par un incendie dont l'origine demeure indéterminée.
Un épais panache de fumée noire s'élevait, mercredi soir, du magasin Saint-Maclou de Montluçon, qui a été entièrement détruit par un incendie dont l'origine demeure indéterminée.
A leur arrivée, un peu après 19 heures, le magasin étant fermé depuis quelques minutes, les sapeurs-pompiers ont constaté que le bâtiment d'une superfice de 1.500 m2, situé dans le quartier de Bien-Assis, était complètement embrasé.
Dans un premier temps, ils se sont attachés à protéger le magasin de chaussures Besson, situé à côté, tout en attaquant les flammes en plusieurs endroits. Notamment du haut de deux grandes échelles déployées à cet effet.
Au total, une soixantaine d'hommes ont été engagés, sous les ordres du capitaine Jean Catry. Des centres de secours de Montluçon, d'abord, de Commentry et Néris-les-Bains ensuite, puis de Moulins et de Vichy.
Entre-temps, les services d'ERDF et de GrDF étaient également intervenus, tandis que les services de police procédaient aux premières constatations. Après avoir barré le haut de l'avenue Jules-Guesde et le bas de l'avenue Léon-Blum à la circulation. Tout en mettant des déviations en place.
Puis, en raison de la fumée, éventuellement toxique, qui s'échappait de la carcasse rapidement effondrée du bâtiment, ils ont également fait évacuer, vers 20h30, de l'autre côté des deux avenues, les nombreux badauds, installés derrière les mains courantes.
Le magasin contenait une cinquantaine de rouleaux de moquette et de plastiques, une quinzaine de palettes de parquet de 200 kg et quelque 200 kg de colles. Un riverain a entendu plusieurs explosions.
Andrée Larue, la responsable des lieux, et la majeure partie des employés (quatre, plus un intérimaire) ne pouvaient que constater les dégâts. Ils étaient revenus sur place, avoir fermé normalement les portes, vers 19 heures.
Le feu étant maîtrisé vers 20h30, les sapeurs-pompiers se préparaient à passer une longue nuit, sur les lieux et peut-être une ârtie de la matinée, afin d'éteindre complètement le sinistre (reportage photos Bernard Lorette)
La montagne.fr
Retraites : public et privé mobilisés contre la réforme
En cette journée d’action, les syndicats espèrent une forte mobilisation. Car si les régimes spéciaux sont épargnés, les fonctionnaires sont sûrs d’être touchés par la réforme.
Combien seront-ils aujourd’hui à battre le pavé, à Paris et dans les grandes villes du pays, pour défendre la retraite à 60 ans ? Bernard Thibault, le leader de la CGT, en espère 800 000, dépassant ainsi le haut score de la journée de mobilisation du 23 mars. Les syndicats comptent sur les salariés du privé, mais aussi sur les fonctionnaires, certains d’être eux aussi touchés par la réforme.
Une journée test
Comme le démontre notre sondage exclusif CSA, une forte majorité des Français (62 %) sont « prêts à manifester » pour maintenir le seuil symbolique des 60 ans. A l’évidence, ce jeudi d’action est un test tant pour le gouvernement, qui entend désormais avancer de façon décisive sur sa réforme des retraites, que pour les syndicats. Pour ces derniers, c’est l’occasion ou jamais de mesurer leur audience, donc leur capacité sinon à s’opposer à la volonté de Nicolas Sarkozy, tout au moins à peser encore sur les mesures à venir : allongement de la durée de cotisation, modalités d’alignement du régime des fonctionnaires sur ceux du privé…
En effet, même si le président et ses ministres ont déjà tranché (la retraite à 60 ans, c’est fini), ils répètent qu’il y a encore du grain à moudre. Et donc matière à négociation avec les partenaires sociaux. Pas question pour le pouvoir, au moment où les Français sont déjà fragilisés par la crise et que la rigueur pointe, de prendre le risque d’une explosion sociale. C’est pour cela que, n’hésitant pas à revenir sur les engagements électoraux du candidat Sarkozy, l’Elysée et Matignon ont assuré qu’ils ne toucheraient pas aux régimes spéciaux SNCF, RATP, EDF, GDF… Du moins pas dans l’immédiat.
Pour le reste, du mode de financement à la refonte du régime de la fonction publique, le jeu est ouvert. Toute la difficulté pour Sarkozy sera de donner des gages aux syndicats pour éviter de les braquer (sur la pénibilité notamment), tout en prenant de vitesse une gauche ultraremontée qui appelle elle-aussi à se mobiliser aujourd’hui.
Combien seront-ils aujourd’hui à battre le pavé, à Paris et dans les grandes villes du pays, pour défendre la retraite à 60 ans ? Bernard Thibault, le leader de la CGT, en espère 800 000, dépassant ainsi le haut score de la journée de mobilisation du 23 mars. Les syndicats comptent sur les salariés du privé, mais aussi sur les fonctionnaires, certains d’être eux aussi touchés par la réforme.
Une journée test
Comme le démontre notre sondage exclusif CSA, une forte majorité des Français (62 %) sont « prêts à manifester » pour maintenir le seuil symbolique des 60 ans. A l’évidence, ce jeudi d’action est un test tant pour le gouvernement, qui entend désormais avancer de façon décisive sur sa réforme des retraites, que pour les syndicats. Pour ces derniers, c’est l’occasion ou jamais de mesurer leur audience, donc leur capacité sinon à s’opposer à la volonté de Nicolas Sarkozy, tout au moins à peser encore sur les mesures à venir : allongement de la durée de cotisation, modalités d’alignement du régime des fonctionnaires sur ceux du privé…
En effet, même si le président et ses ministres ont déjà tranché (la retraite à 60 ans, c’est fini), ils répètent qu’il y a encore du grain à moudre. Et donc matière à négociation avec les partenaires sociaux. Pas question pour le pouvoir, au moment où les Français sont déjà fragilisés par la crise et que la rigueur pointe, de prendre le risque d’une explosion sociale. C’est pour cela que, n’hésitant pas à revenir sur les engagements électoraux du candidat Sarkozy, l’Elysée et Matignon ont assuré qu’ils ne toucheraient pas aux régimes spéciaux SNCF, RATP, EDF, GDF… Du moins pas dans l’immédiat.
Pour le reste, du mode de financement à la refonte du régime de la fonction publique, le jeu est ouvert. Toute la difficulté pour Sarkozy sera de donner des gages aux syndicats pour éviter de les braquer (sur la pénibilité notamment), tout en prenant de vitesse une gauche ultraremontée qui appelle elle-aussi à se mobiliser aujourd’hui.
Réunion publique à Evaux les bains demain vendredi à 20h00 à la maison des jeunes
Réunion publique vendredi 28 mai 2010
Comme promis lors de la campagne municipale, l’équipe de monsieur Bernard Campos, maire de la ville d'Evaux les bains communique et vous convie à une réunion débat ce vendredi 28 mai 2010 à 20h00 à la maison des jeunes. Toute la population est invitée à participer à cette réunion publique. Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile à tous
A 20 heures MAISON DES JEUNES THEME DE LA REUNION :Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?
la météo à Evaux les bains
Après les journées d'été de la semaine dernière, les orages et la pluie se sont installé sur notre ville.
Ce matin temps d'automne qui devrait s'arranger en cours de journée.
La pluie s'est invitée ce dimanche 30 mai qui esperons le ne viendra pas gâcher la journée tuning qui se tiendra toute la journée dans la ville (champ Avel).
Les Bleus sur la bonne voie
A quinze jours de la Coupe du Monde, l'équipe de France a dominé le Costa Rica mercredi soir à Lens (2-1). S'ils ont montré un visage souvent séduisant, les Bleus ont aussi fait preuve de quelques signes de fébrilité en défense lors des 45 premières minutes.
C'était un premier match. Un match de préparation. Un premier test au cours duquel l'équipe de France est progressivement montée en puissance. En alignant un 4-3-3 rôdé cette semaine à Tignes, Raymond Domenech avait décidé de changer ses habitudes et de délaisser son 4-2-3-1 habituel. Le sélectionneur de l'équipe de France avait concédé mardi que ce nouveau système, avec un seul véritable milieu récupérateur, donnait « plus de garanties offensives, mais plus de fragilité défensive ».
Le début de match face au Costa Rica lui a donné raison. Car mercredi soir, dans un stade Bollaert toujours aussi accueillant (sauf pour Raymond Domenech dont le nom a de nouveau été conspué), les Bleus ont d'entrée montré plus d'allant et de rythme que lors de leurs dernières sorties. Emmenés par un Ribéry en jambes, les Français se procurent les premières situations chaudes par l'intermédiaire de Govou (10e, 11e). Ça, c'est pour « les garanties offensives ».
Pour ce qui est de la « fragilité défensive », le public lensois ne tarde pas à comprendre. Sur la première véritable incursion des « Ticos », Hernandez, trop seul à l'entrée de la surface de réparation, trompe Steve Mandanda, titularisé en lieu et place de Lloris (12e). Les Bleus réagissent, mais Gourcuff se voit logiquement refuser le but de l'égalisation pour hors-jeu (16e). Ce n'est que partie remise puisque quelques minutes plus tard, Sequeira dévie dans son propre but le centre de Franck Ribéry (22e).
Une deuxième période plus aboutie
La suite est dans la même lignée. Mandanda s'interpose avec brio sur une tentative de Ruiz (24e) avant d'être sauvé par sa transversale sur une tête de ce même Ruiz, oublié par Gallas sur corner (34e). Entre-temps, Gourcuff avait vainement tenté sa chance (28e). Sans plus de réussite que Ribéry juste avant la pause (45e).
A la mi-temps, Domenech décide de remplacer Gallas, logiquement en manque de rythme, par Squillaci, Anelka par Henry, et Toulalan par Alou Diarra. Tout en gardant le même système de jeu. Gourcuff, bien meilleur qu'en fin de saison, s'emploie sur trois grosses frappes (47e, 49e, 60e), alors que Thierry Henry manque de peu le cadre (58e). Les Bleus semblent alors avoir trouvé le bon équilibre et Raymond Domenech décide de tester Valbuena, à la place de Govou, au poste de milieu offensif droit (65e).
L'équipe de France poursuit sa domination, mais Navas s'interpose encore devant Squillaci (73e). Puis les coéquipiers d'Evra, capitaine à Bollaert, s'offrent leur seule frayeur sur une frappe non cadrée de Parks (75e). Domenech continue sa revue d'effectif et lance Diaby à la place de Malouda (77e). Valbuena-Diaby, c'est le duo décisif de la 83e minute. Le joueur d'Arsenal réalise un joli numéro et sert le Marseillais qui, pour sa première titularisation, marque son premier but en bleu et offre la victoire à son équipe.
Contre le Costa Rica, 42e au classement Fifa et non qualifié pour le Mondial, il y a donc eu de bonnes choses. De moins bonnes aussi. Bref, à deux semaines de la Coupe du Monde, les Bleus ont encore un peu de temps pour peaufiner leur copie.
le parisien.fr
C'était un premier match. Un match de préparation. Un premier test au cours duquel l'équipe de France est progressivement montée en puissance. En alignant un 4-3-3 rôdé cette semaine à Tignes, Raymond Domenech avait décidé de changer ses habitudes et de délaisser son 4-2-3-1 habituel. Le sélectionneur de l'équipe de France avait concédé mardi que ce nouveau système, avec un seul véritable milieu récupérateur, donnait « plus de garanties offensives, mais plus de fragilité défensive ».
Le début de match face au Costa Rica lui a donné raison. Car mercredi soir, dans un stade Bollaert toujours aussi accueillant (sauf pour Raymond Domenech dont le nom a de nouveau été conspué), les Bleus ont d'entrée montré plus d'allant et de rythme que lors de leurs dernières sorties. Emmenés par un Ribéry en jambes, les Français se procurent les premières situations chaudes par l'intermédiaire de Govou (10e, 11e). Ça, c'est pour « les garanties offensives ».
Pour ce qui est de la « fragilité défensive », le public lensois ne tarde pas à comprendre. Sur la première véritable incursion des « Ticos », Hernandez, trop seul à l'entrée de la surface de réparation, trompe Steve Mandanda, titularisé en lieu et place de Lloris (12e). Les Bleus réagissent, mais Gourcuff se voit logiquement refuser le but de l'égalisation pour hors-jeu (16e). Ce n'est que partie remise puisque quelques minutes plus tard, Sequeira dévie dans son propre but le centre de Franck Ribéry (22e).
Une deuxième période plus aboutie
La suite est dans la même lignée. Mandanda s'interpose avec brio sur une tentative de Ruiz (24e) avant d'être sauvé par sa transversale sur une tête de ce même Ruiz, oublié par Gallas sur corner (34e). Entre-temps, Gourcuff avait vainement tenté sa chance (28e). Sans plus de réussite que Ribéry juste avant la pause (45e).
A la mi-temps, Domenech décide de remplacer Gallas, logiquement en manque de rythme, par Squillaci, Anelka par Henry, et Toulalan par Alou Diarra. Tout en gardant le même système de jeu. Gourcuff, bien meilleur qu'en fin de saison, s'emploie sur trois grosses frappes (47e, 49e, 60e), alors que Thierry Henry manque de peu le cadre (58e). Les Bleus semblent alors avoir trouvé le bon équilibre et Raymond Domenech décide de tester Valbuena, à la place de Govou, au poste de milieu offensif droit (65e).
L'équipe de France poursuit sa domination, mais Navas s'interpose encore devant Squillaci (73e). Puis les coéquipiers d'Evra, capitaine à Bollaert, s'offrent leur seule frayeur sur une frappe non cadrée de Parks (75e). Domenech continue sa revue d'effectif et lance Diaby à la place de Malouda (77e). Valbuena-Diaby, c'est le duo décisif de la 83e minute. Le joueur d'Arsenal réalise un joli numéro et sert le Marseillais qui, pour sa première titularisation, marque son premier but en bleu et offre la victoire à son équipe.
Contre le Costa Rica, 42e au classement Fifa et non qualifié pour le Mondial, il y a donc eu de bonnes choses. De moins bonnes aussi. Bref, à deux semaines de la Coupe du Monde, les Bleus ont encore un peu de temps pour peaufiner leur copie.
le parisien.fr
mercredi 26 mai 2010
Grand meeting aérien, ce week-end, sur l'aérodrome de Lépaud
Double rendez-vous incontournable, le Fly In LFBK et le meeting aérien de Lépaud se dérouleront, sur et au-dessus de l'aérodrome, du 28 au 30 mai inclus. Plus de 230 avions sont attendus dans le ciel creusois par plusieurs milliers de spectateurs.
L'an dernier, lors de sa 7e édition, le Fly In LFBK -un rassemblement d'avions avec les professionnels du groupe Airfrance KLM- mais aussi et surtout le meeting aérien -animé par des pilotes aguerris- avait attiré quelque 4.000 spectateurs.
Cette année, le record pourrait être battu -dans la mesure où bien entendu il fera beau et chaud- car, pour cette huitième édition, le grand meeting populaire aura lieu le dimanche après-midi et pas le samedi comme l'an dernier.
De fait l'organisatrice, Béatrice de Reynal-Paris, elle-même ancienne pilote et présidente du club de vol à voile Montluçon-Guéret, espère que cette double manifestation sera une belle réussite : « Nous avons bien l'intention de nous envoyer en l'air? » Humour mis à part, elle reconnaît également que « ce qui est certain c'est que pour arriver, administrativement, à monter une telle manifestation c'est très lourd? » Et quasiment maintenant un mauvais souvenir car le programme est désormais bien calé. « L'an dernier, nous avons accueilli 230 avions.
Ce sera la même chose cette année. Du coup, cette manifestation est le plus gros rassemblement non commercial de France ». Et de préciser que « la première manifestation est entièrement gratuite. Quant au meeting, pour essayer de rembourser l'assurance que nous avons dû prendre pour le public, nous avons fixé l'entrée à 6 euros pour les adultes, gratuite pour les enfants ».
Ce qui n'est pas onéreux pour avoir la chance d'approcher de près des avions, petits, très gros, connus ou moins connus, récents ou anciens, voire de collections. Sans parler de la possibilité de rencontrer et d'échanger avec des pilotes, civils et militaires, prêts à parler de leurs expériences mais aussi, pour les jeunes notamment, prêts à donner des conseils pour devenir pilotes, mécanos, hôtesses de l'air ou contrôleurs aériens.
Parmi les pilotes présents, il y aura d'ailleurs du très beau monde avec, notamment, Bruno Ecalle, champion du monde de voltige; Régis Alajouanine, un pilote creusois ancien champion d'Europe et de France de voltige.
Enfin, concernant le meeting, le public pourra découvrir des nouveautés. Comme par exemple le Hawker Hunter, un avion de chasse qui peut voler en piqué à la vitesse du son; un Skyraider, le dernier bombardier au monde monomoteur ou encore un Cricri, le plus petit avion au monde.
Entre passages simples, passages en formation et exercices de voltige, il y en aura pour tous les goûts ce week-end à Lépaud.
L'an dernier, lors de sa 7e édition, le Fly In LFBK -un rassemblement d'avions avec les professionnels du groupe Airfrance KLM- mais aussi et surtout le meeting aérien -animé par des pilotes aguerris- avait attiré quelque 4.000 spectateurs.
Cette année, le record pourrait être battu -dans la mesure où bien entendu il fera beau et chaud- car, pour cette huitième édition, le grand meeting populaire aura lieu le dimanche après-midi et pas le samedi comme l'an dernier.
De fait l'organisatrice, Béatrice de Reynal-Paris, elle-même ancienne pilote et présidente du club de vol à voile Montluçon-Guéret, espère que cette double manifestation sera une belle réussite : « Nous avons bien l'intention de nous envoyer en l'air? » Humour mis à part, elle reconnaît également que « ce qui est certain c'est que pour arriver, administrativement, à monter une telle manifestation c'est très lourd? » Et quasiment maintenant un mauvais souvenir car le programme est désormais bien calé. « L'an dernier, nous avons accueilli 230 avions.
Ce sera la même chose cette année. Du coup, cette manifestation est le plus gros rassemblement non commercial de France ». Et de préciser que « la première manifestation est entièrement gratuite. Quant au meeting, pour essayer de rembourser l'assurance que nous avons dû prendre pour le public, nous avons fixé l'entrée à 6 euros pour les adultes, gratuite pour les enfants ».
Ce qui n'est pas onéreux pour avoir la chance d'approcher de près des avions, petits, très gros, connus ou moins connus, récents ou anciens, voire de collections. Sans parler de la possibilité de rencontrer et d'échanger avec des pilotes, civils et militaires, prêts à parler de leurs expériences mais aussi, pour les jeunes notamment, prêts à donner des conseils pour devenir pilotes, mécanos, hôtesses de l'air ou contrôleurs aériens.
Parmi les pilotes présents, il y aura d'ailleurs du très beau monde avec, notamment, Bruno Ecalle, champion du monde de voltige; Régis Alajouanine, un pilote creusois ancien champion d'Europe et de France de voltige.
Enfin, concernant le meeting, le public pourra découvrir des nouveautés. Comme par exemple le Hawker Hunter, un avion de chasse qui peut voler en piqué à la vitesse du son; un Skyraider, le dernier bombardier au monde monomoteur ou encore un Cricri, le plus petit avion au monde.
Entre passages simples, passages en formation et exercices de voltige, il y en aura pour tous les goûts ce week-end à Lépaud.
Fusillade de l'A4 : l'hommage de Sarkozy à la policière tuée
«Les mots sont faibles, les mots semblent dérisoires, mais seuls les mots peuvent dire l'immensité de notre chagrin, et dire notre admiration.»
Mercredi, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Aurélie Fouquet, la policière municipale tuée jeudi dernier dans une fusillade sur l'A4, lors de ses obsèques à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).
Devant Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, et plusieurs centaines de représentants des forces de l'ordre, le président de la République a qualifié d'«exemplaire» le parcours de la jeune fonctionnaire, avant de lui remettre, à titre posthume, les insignes de chevalier de la légion d'honneur. Maman d'un petit garçon de 14 mois, la jeune femme de 26 ans «a donné sa vie pour la République», a-t-il insisté, soulignant son «courage» et son «sens du devoir».
«Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice»
Dans son éloge funèbre, le chef de l'Etat a également promis que les «lâches assassins» d'Aurélie Fouquet seraient «punis avec la sévérité qu'exige l'ignominie de leur crime». «Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice, à une justice ferme, à une justice implacable», a-t-il ajouté.
Dans l'enquête, un premier suspect a été mis en examen pour assassinat et écroué lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au travail de la police scientifique.
Alors que des milliers de policiers de toute la France s'étaient déplacés ce mercredi à Villiers-sur-Marne, pour assister aux obsèques, Nicolas Sarkozy a enfin déclaré qu'il était «temps d'ouvrir une réflexion appronfondie sur la place et le rôle des 18 000 policiers municipaux». Son discours a été suivi d'une marche silencieuse jusqu'aux lieux de la fusillade, à la sortie de l'autoroute A4.
Plus tôt ce mercredi, Aurélie Fouquet avait été citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Et à 15h30, une minute de silence avait été observée dans tous les commissariats et les gendarmeries du pays.
Mercredi, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Aurélie Fouquet, la policière municipale tuée jeudi dernier dans une fusillade sur l'A4, lors de ses obsèques à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).
Devant Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, et plusieurs centaines de représentants des forces de l'ordre, le président de la République a qualifié d'«exemplaire» le parcours de la jeune fonctionnaire, avant de lui remettre, à titre posthume, les insignes de chevalier de la légion d'honneur. Maman d'un petit garçon de 14 mois, la jeune femme de 26 ans «a donné sa vie pour la République», a-t-il insisté, soulignant son «courage» et son «sens du devoir».
«Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice»
Dans son éloge funèbre, le chef de l'Etat a également promis que les «lâches assassins» d'Aurélie Fouquet seraient «punis avec la sévérité qu'exige l'ignominie de leur crime». «Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice, à une justice ferme, à une justice implacable», a-t-il ajouté.
Dans l'enquête, un premier suspect a été mis en examen pour assassinat et écroué lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au travail de la police scientifique.
Alors que des milliers de policiers de toute la France s'étaient déplacés ce mercredi à Villiers-sur-Marne, pour assister aux obsèques, Nicolas Sarkozy a enfin déclaré qu'il était «temps d'ouvrir une réflexion appronfondie sur la place et le rôle des 18 000 policiers municipaux». Son discours a été suivi d'une marche silencieuse jusqu'aux lieux de la fusillade, à la sortie de l'autoroute A4.
Plus tôt ce mercredi, Aurélie Fouquet avait été citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Et à 15h30, une minute de silence avait été observée dans tous les commissariats et les gendarmeries du pays.
France – Costa Rica : Thierry Henry sur le banc
Comme prévu, l'équipe de France évoluera bien en 4-3-3 ce soir à Lens contre le Costa Rica, lors de son premier match de préparation à la Coupe du monde. Mais selon nos informations, Thierry Henry, capitaine habituel de la sélection, débutera la rencontre sur le banc de touche. En pointe, Raymond Domenech lui préférera Nicolas Anelka au coup d'envoi.
Pour les Bleus, tout commence ce soir L’heure de vérité pour William Gallas
A Tignes, ils ont soigné la cohésion
A noter également que Steve Mandanda gardera les buts de l'équipe de France, derrière une défense où William Gallas sera titulaire. En l'absence de Thierry Henry, le défenseur central d'Arsenal sera capitaine.
Composition de l'équipe de France :
Mandanda- Sagna, Gallas, Abidal, Evra- Gourcuff, Toulalan, Malouda- Govou, Anelka, Ribéry.
Pour les Bleus, tout commence ce soir L’heure de vérité pour William Gallas
A Tignes, ils ont soigné la cohésion
A noter également que Steve Mandanda gardera les buts de l'équipe de France, derrière une défense où William Gallas sera titulaire. En l'absence de Thierry Henry, le défenseur central d'Arsenal sera capitaine.
Composition de l'équipe de France :
Mandanda- Sagna, Gallas, Abidal, Evra- Gourcuff, Toulalan, Malouda- Govou, Anelka, Ribéry.
La troupe théatrale de Rougnat à Chambon le 29 mai 2010
Vous pouvez réserver vos places à l'office de tourisme de Chambon sur Voueize pour le 29 mai 2010.
au programme, du rire, du rire et encore du rire. Un bon moment à passer à Chambon sur Voueize.
au programme, du rire, du rire et encore du rire. Un bon moment à passer à Chambon sur Voueize.
L'école Ste Jeanne d'Arc à Evaux les bains
photo : D.bellet/2009
Un joli panorama de l'école Ste Jeanne d'Arc à Evaux les bains. L'accueil, la simplicité et la passion des enseignants, font de cette petite école un havre de paix ou règne un enseignement de qualité et une complicité sans égal avec les parents.
Dans cette école, vous n'ètes pas un numéro, mais un papa et une maman.
L'école Jeanne d'Arc vient d"ouvrir la porte sur l'extérieur et une autre communication avec les élèves. nos deux écoles à Evaux les bains sont dotées des nouvelles installations numériques et offrent aux élèves les outils de demain.
Avec ces nouveau outils numériques, les pratiques des enseignants sont également facilitées par les technologies de l'information et de la communication (TIC). Les professeurs ne travaillent plus de manière isolée, mais mutualisent leurs ressources et collaborent pour la préparation de leur cours. Ils sont plus enclins à favoriser l'apprentissage individualisé, actif et collaboratif. Plus généralement, les enseignants reconnaissent que c'est un outil organisationnel (en logistique et en communication) qui leur fait gagner temps et efficacité.
vous pouvez consulter le blog de l'école.
De nombreuses informations relatives à l'école et son fonctionnement vous sont proposées avec de nombreuses rubriques vous favorisera l'enseignement de vos enfants.
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