mercredi 8 septembre 2010

Réforme des retraites : le deuxième round commence

La température devrait baisser d'un cran à l'Assemblée nationale, après l'après-midi électrique d'hier. Pour «conserver du temps de parole» et défendre leurs amendements, les députés socialistes et apparentés ont annoncé mardi soir qu'ils ne participeraient pas à la deuxième étape du débat sur la réforme des retraites : la discussion générale sur le projet, qui s'ouvre à 15 heures.

Ce que disent les premiers amendements adoptés à l'Assemblée
Les syndicats attendent les avancées de pied ferme

L'examen de l'une des réformes-phare du quinquennat est en effet limité à 50 heures pour les groupes parlementaires (dont une vingtaine pour le PS), depuis que la procédure accélérée a été décidée. Le texte doit être voté par les députés le 15 septembre, dans une semaine, avant de partir en navette au Sénat.

Mardi, c'est dans une ambiance explosive que le ministre du Travail Eric Woerth, très affaibli par l'affaire Bettencourt mais auquel le gouvernement et la majorité ont réaffirmé leur soutien, a abordé les discussions. Hué à gauche de l'hémicycle, applaudi à droite, Eric Woerth a annoncé intégrer la pénibilité du travail au projet. Il a vite été interrompu par la salve pétitionnaire des députés communistes, déplaçant vers François Fillon des liasses de signatures -120 000 selon eux- de citoyens dénonçant la réforme.

mardi 7 septembre 2010

5.000 Creusois pour faire battre en retraite le gouvernement

Entre le 24 juin et hier, on est passé de 3.000 à 5.000 manifestants contre la réforme des retraites. Une mobilisation sur laquelle les syndicats veulent bâtir.
Il n'y a pas eu d'été en Creuse ! Enfin, pas sur le calendrier social. Le 24 juin, 3.000 Creusois défilaient pour les retraites et contre la réforme à Guéret.

Hier, signe que les vacances ont affûté les colères plutôt que de les émousser, ils étaient 5.000 (4.000 selon la police et 6.000 selon les syndicats) à manifester pour les mêmes motifs.
Un cortège serré de « ça ne peut plus durer » jetant dans la rue les mécontentements de familles - venues souvent avec les enfants - que la crise touche, que l'inquiétude taraude et que l'indignation empourpre sitôt que les noms de "Woerth", "Sarkozy" ou "Besson" sont prononcés?

La Montagne

La RCEA, une route nationale entre l'Allier et la Saône-et-Loire compte quatre fois plus de tués que sur les autres. Chaque année, une vingtaine de personnes meurent sur ce tronçon long de 120 kilomètres.

Je prend cette route très régulièrement et je suis très souvent stréssé. La RCEA, une route nationale entre l'Allier et la Saône-et-Loire compte quatre fois plus de tués que sur les autres. Chaque année, une vingtaine de personnes meurent sur ce tronçon long de 120 kilomètres.
Il faudra attendre 2018 pour voir cette voie meurtrière passer en quatre voies.

la vidéo du 13h de TF1 du 7 septembre 2010

Rousseau Immobilier à Evaux les bains

Les syndicats crient victoire au sujet des retraites

PARIS (Reuters) - Les syndicats français estiment mardi avoir gagné leur pari de mobiliser plus de deux millions de personnes contre la réforme des retraites pour obliger le gouvernement à modifier son projet en profondeur.

Les centrales syndicales ont crié victoire lors d'une journée de grève et de manifestations qu'il jugent plus réussie que celle du 24 juin dernier, lorsque deux millions de personnes avaient selon elles défilé dans les rues.

"On est largement plus nombreux qu'on ne l'était le 24 juin. C'était l'objectif et le gouvernement ne pourra pas faire comme s'il ne s'était rien passé aujourd'hui", a dit dans le cortège parisien le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault.

Pour François Chérèque, le dirigeant de la CFDT, il s'agit "de la plus grosse mobilisation de ces dernières années".

Parlons un peu RETRAITE, nos parlementaires : un régime de retraite décidément très spécial

Alors que les français défilent dans les rues de toute la France pour éspérer garder une retraite dans un âge "convenable", nos parlementaires : un régime de retraite décidément très spécial


Le député touche, après 5 ans d’activité, la même retraite que le salarié du privé qui a travaillé 40 ans

Le régime des parlementaires paraît assurément le plus spécial de tous les régimes spéciaux. Sa spécificité ? Un rendement sans équivalent qui va de un à 6, alors qu’il se situe entre 1 et 1,5 dans le régime général. En clair, par rapport au montant des cotisations qu’il aura versées pendant toute son activité, le parlementaire, à la retraite, touchera six fois sa mise.

Pas étonnant, avec un tel rendement, que les députés s’astreignent à cotiser double, au taux de 16.6%, (1 153 euros par mois) pendant les trois premiers mandats, puis une fois et demie pendant les 5 années suivantes. Cela leur permet de toucher une retraite à taux plein, après seulement 22,5 ans de cotisation. A 60 ans, quand l’heure de la retraite sonne, ils engrangeront, 1 548 euros par mois - le montant de la retraite moyenne perçue par un retraité du privé après une carrière complète (40 annuités)- pour un mandat (5 ans), 3 096 euros pour 2 mandats, 4 644 euros pour trois avec un maximum de 6 192 euros. Ainsi un député qui a exercé deux mandats et qui prend sa retraite à 60 ans, avec une espérance de 20 ans touchera, au total, 743 000 euros de pension alors qu’il n’aura versé que137 160 euros de cotisation. De quoi voir venir !

En ce qui concerne les sénateurs, cette possibilité de cotiser double est facultative mais, bien évidemment, ils ont tout intérêt à la mettre en oeuvre dans la mesure où cela leur permettra de toucher, à partir de l’âge de 60 ans, 1 857 euros mensuels après un seul mandat de 6 ans..

Et comment est financée cette juteuse retraite ?

Questionnés sur ce sujet, bon nombre de députés ont l’air plutôt embrumés sur le sujet. « C’est de la capitalisation pure » a t-on entendu, encore récemment sur les ondes. Leur ignorance est consternante…
Créée en 1904, la caisse de pension des députés est alimentée par une cotisation des élus et abondée par l’Etat, via une subvention inscrite au budget de l’Etat. Point de réserves, elle fonctionne en répartition pure. Les cotisations ne couvrent que 43 % des dépenses ; c’est le contribuable qui paie la différence et a dû débourser ainsi quelque 38 millions d’euros en 2006.

A ne pas confondre avec la caisse de retraite des sénateurs, qui, depuis sa création, pratique un système mixte entre répartition et capitalisation et utilise les revenus des capitaux pour payer une partie de ses pensions. Elle est aujourd’hui dotée d’abondantes réserves.

Côté pension de réversion (fraction de pension que touche la veuve au décès de son époux), ce n’est pas mal non plus. Celle-ci se monte à 66%, sans conditions de ressources.

Enfin, cerise sur le gâteau, le parlementaire a la possibilité de cumuler plusieurs retraites liées à sa profession ou aux autres mandats qu’il a exercés : retraite de maire, de conseiller régional ou régional, de fonctionnaire, etc… Il pourra ainsi « empiler » les pensions de plusieurs régimes spéciaux. Plus de 80% des parlementaires sont des cumulards...

« Rien d’étonnant à ce que notre régime soit favorable » rappelait Yvette Roudy, député du Calvados, interviewée par Marianne ,«c’est nous qui le faisons » Difficile, dès lors, de ne pas vouloir tout faire pour que rien ne change !

Bingo pour les conjoints

Les époux de parlementaires sont eux aussi avantagés. Le veuf ou la veuve reçoit 66% de la pension du défunt, sans condition de ressources. Alors que pour le régime général, ce montant est limité à 54% de la pension, et de plus il est plafonné.

Disposition revues :

1.550 euros de retraite au bout de cinq années de cotisation : le régime de retraite des députés est particulièrement favorable. Selon les chiffres communiqués par l'association Sauvegarde retraites, un parlementaire peut ainsi toucher, après 5 ans, autant qu'un salarié du privé après 40 années de cotisations.


La pension des députés est calculée au prorata de la durée des annuités acquises, dans la limite d'un plafond élevé progressivement à quarante et une annuités en 2012.

Les députés, comme les sénateurs, ont la possibilité de cotiser double pendant quinze ans. Les députés peuvent cotiser 1,5 fois les cinq années suivantes, tandis que les sénateurs peuvent acquérir "par demi-cotisations deux annuités et demie au cours des cinq années suivantes", selon le site du Sénat.

Globalement, la pension moyenne pour un député est de 2.700 euros nets par mois, celle d'un sénateur de 4.442 euros nets.

MINUTE PAR MINUTE. Interruption de séance à l'Assemblée

Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée réclame «au minimum un rappel à l'ordre» à l'encontre du groupe communiste.

15h15. Une interruption de séance a été demandée par le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, après que le groupe communiste a remis au gouvernement les texte des pétitions récoltées par les députés PC contre la réforme des retraites.

Trafic perturbé à la SNCF, meilleur que prévu à la RATP
Paris : 145 écoles primaires fermées aujourd’hui

En temps réel, la circulation en Ile-de-France
Retraites : vos photos des manifestations
15h13. Lionel Paul (PC, Seine-Maritime) interpelle le gouvernement : «Allez-vous entendre la colère du peuple?». A la fin de son intervention, le groupe communiste descend des travées pour remettre le texte d'une pétition. François Fillon et Eric Woerth restent stoïques devant les piles de papier qui s'entassent sur leur pupitre.

15h10. «Il n'est jamais facile de réformer les retraites, admet Eric Woerth à l'Assemblée nationale. Le système par répartition fait partie de notre patrimoine social. Le gouvernement veut le préserver. Si nous ne changeons pas le système, il n'y aura plus d'argent pour le le financer.»

La suite en direct

Le train ne sifflera plus trois fois à Evaux les bains

Vidéo pour souvenir du temps passé ....

Grève : trafic perturbé à la SNCF, meilleur que prévu à la RATP

La journée d'action syndicale sur les retraites, ce mardi 7 septembre, entraîne de fortes perturbations dans divers secteurs de l'économie. La grève a débuté lundi 19 heures à la SNCF. Aujourd'hui, les transports de la compagnie ferroviaire sont fortement altérés, ainsi qu'à la RATP où le préavis de grève court depuis lundi à 22h30 jusqu'à mercredi 7 heures.

Didier Le Reste : «Pourquoi pas une grève reconductible ?»
60% des Français ne veulent pas de Woerth .

Le leader le la CGT-Cheminots, Didier Le Reste s'attend à une très forte mobilisation. Dans les régions, des appels à la grève ont été recensés dans les réseaux de transport d'une centaine de villes. A Orly et Roissy, 25 % des vols ne devraient pas être assurés, en raison d'appels à la grève parmi les contrôleurs aériens.

lundi 6 septembre 2010

Dom à Bruxelles

La fête du Pain à Evaux les bains

La fête du pain, du vin et du fromage à Evaux les bains

Evènement incontournable de la rentrée, la fête du pain, du vin et des fromages, qui aura lieu le dimanche 12 septembre 2010 à Evaux-les-Bains, est toujours l’occasion de remplir son panier de produits du terroir.

De nombreux exposants, venus des quatre coins de la France proposeront aux gourmets leur production.
De 09h à 18h, de nombreuses animations viendront ponctuer ce grand marché du terroir. Cette nouvelle édition est placée sous le signe de l’art. L’art se déclinera sous ces formes les plus variées. La musique sera représentée par les « Joyeux baladins creusois », l’association « Mélodie en choeur » et les « Jarauds de Villabre » ; le théâtre par la Compagnie Acidu et ses « Grosses Légumes » ; la sculpture par Arnaud Burnichon qui exécutera des créations
artistiques sur légumes…Mais l’art se dévoilera surtout au travers de l’artisanat
et des produits du  terroir proposés toute la journée et respectant savoir-faire, qualité et tradition.
Savoir-faire et art de vivre s’allient le temps d’une journée à la bonne humeur et à la convivialité ; assurément la fête du pain, du vin et des fromages est un rendez-vous à ne pas manquer.

Infos pratiques :
Renseignements : Office de Tourisme
Tel : 05.55.65.50.90
Fax : 05.55.65.50.44
Mail : ot@ot-evauxlesbains.fr

Un grave accident a eu lieu au carrefour du "Petit Prince" entrainant un jeune du CAT à l'hôpital avec de sérieuses lésions.


Peut importe qui à tort ou raison !

Depuis trois ans, j'ai lancé l'idée d'installation d'une glace de reflexion afin de supprimer l'angle mort de cette route très fréquentée et notamment par de nombreux poids lourds et tracteurs. mais toujours sans réponse...

Hier dimanche, on a encore frôlé la catastrophe, une voiture conduite par deux jeunes individus à dérapé sur 200 m devant l'école publique en venant du cinéma, deux enfants sont arrivés quelques secondes plus tard, heureusement, car au regard de la longueur des traces de freinage, je n'ose penser à ce qui aurait pu arriver.

La rue de Rentère (cinéma, école), est en zone 30/km, alors respectons la vie de tous et de nos enfants. Jeunes homme, mademoiselle " jeunes permis", vous ne vous rendez pas plus intelligent en roulant à des vitesses folles, bien au contraire. J'en connaîs déjà qui à peine avoir eu leur permis se retrouve en chaise roulante et même pire ...


D'autres solutions seraient peut être envisageable, alors allons nous attendre encore d'autres accidents avant de refléchir à l'amménagement de cette intersection ?

Rappelons qu'a cet endroit (route Petit Prince, église), vous étes en ville et limité à 50 Km/h et dans ce virage sans visibilité la prudence est plus que de rigueur.

Orages : huit départements en état d'alerte orange

Huit départements, du centre au sud-est en passant par le centre-est, ont été placés lundi en fin d'après-midi en vigilance orange par Météo-France, en raison d'un fort risque d'orages violents.

«Le front pluvio-orageux va traverser le pays. Ces pluies orageuses seront particulièrement intenses sur le sud du pays, de l'ouest de Rhône-Alpes au sud de l'Auvergne et au Languedoc», explique Météo-France dans son dernier bulletin de suivi.


La dégradation orageuse, qui doit débuter dans la nuit de lundi à mardi vers minuit pour se terminer au plus tôt mercredi à 7 heures, devraient toucher l'Ardèche, la Drôme, le Gard, l'Hérault, la Loire, la Haute-Loire, la Lozère, et le Rhône.

«Les cumuls de pluies attendus en 24 heures entre mardi 0heure et mercredi 0heure seront de l'ordre de 200 à 250 mm sur les Cévennes ardéchoises et de l'ordre de 80 à 100 mm sur les plaines de l'Hérault, du Gard et sur les régions de Saint Étienne et de Lyon», précise Météo-France.

Ces précipitations pluvio-orageuses devraient lentement s'atténuer par l'ouest dans la nuit de mardi à mercredi, selon la même source.

La ville de Nantes condamnée après l'expulsion de Roms

Le tribunal de grande instance de Nantes a condamné lundi la ville de Nantes à indemniser 29 Roms qui avaient été expulsés en avril dernier de l'un de ses terrains en raison d'une irrégularité dans la procédure d'expulsion.

Il n'y avait aucune date fixée dans «le commandement d'avoir à quitter les locaux» signifié aux Roms par un huissier, juste la demande d'une exécution «immédiate», selon le vice-président du TGI de Nantes, Daniel Castagné, qui a rendu ce jugement.

Les Roms étaient donc «privés de toute option de quitter les lieux volontairement par leurs propres moyens sans y être contraints par les forces de l'ordre», a précisé M. Castagné.

La ville de Nantes a été condamnée à verser 300 euros à chacun des 29 Roms concernés par cette expulsion, a précisé leur avocate, Me Sylvie Bourjon.

Une jeune Bretonne élue sur fond de guerre des Miss

 Justine Petault a 19 ans, un joli minois et une plastique irréprochable. Cette jeune fille originaire de Loire-Atlantique est depuis samedi soir la nouvelle miss Bretagne, version Geneviève de Fontenay. Cette dernière a en effet décidé de rattacher la Loire-Atlantique à la Bretagne pour ses élections. La Bretagne vivra donc une situation inédite, comme l'écrit Ouest-France cette année puisqu'elle aura deux Miss.

, la Société Miss France organisant elle aussi son élection en octobre prochain. Les candidates au célèbre concours devront donc choisir leur camp. Il faut dire que depuis la rupture de la Dame au chapeau avec la sociéte de production Endemol, dont la société Miss France est une filiale, la guerre des miss a pris de l'ampleur, passant même par les tribunaux.

En juin dernier, le tribunal de commerce de Paris foulait au pied les désirs de Geneviève de Fontenay de mener son opération Miss en parallèle. Plus question de dénigrer la société Miss France ou Endemol ou de leur faire concurrence en organisant ses propres élections. Tout le monde était alors prêt à lâcher Geneviève. Dans une atmosphère fin de règne, son bras droit, Bernard Pichard, s'apprêtait à monter une association avec les comités régionaux pour redémarrer une nouvelle aventure.

Et puis, la Dame au chapeau, qui ne baisse jamais les bras, a retrouvé le sourire en juillet. La cour d’appel de Paris a infirmé le jugement du tribunal de commerce en considérant que la clause de non-concurrence était illicite. Résultat : Bernard Pichard est revenu au bercail et Geneviève est repartie sur les chemins tambour battant.

Au public de choisir

«Les Miss sans Geneviève, ce serait comme la Bretagne sans beurre salé», a lancé samedi Justine Petault, la toute nouvelle Miss Bretagne, version de Fontenay, qui dit avoir choisi la Dame au chapeau «pour ses valeurs». Et c'est bien cela que défend cette dernière en concluant à la cérémonie de samedi : «Il y aura deux Miss Bretagne, Miss Alsace... Celle d'Endemol et celle de Geneviève». Au public de choisir.

Cette automne, elle mène donc ses élections régionales et pourra organiser son élection nationale concurrente en parallèle des Miss France. En décembre. Date à laquelle, comme tous les ans TF1 proposera son grand show sur les Miss, présenté par Jean-Pierre Foucault.

Reste à savoir si la Dame au chapeau réussira à négocier une retransmission télévisée de son propre concours. Ce qui ne paraît pas acquis pour l'instant.

dimanche 5 septembre 2010

Licenciement de Domenech : la «faute grave» aurait été retenue

Conformément à la procédure légale, la Fédération française de football (FFF) a envoyé une lettre d'entretien préalable à un licenciement à Raymond Domenech, toujours salarié de la Direction technique (DTN), a confirmé une source proche du dossier. L'ancien sélectionneur des Bleus aurait reçu ce courrier vendredi, a annoncé samedi soir France 3.

«La procédure suit son cours, avait détaillé mercredi le président de la FFF au Parisien. On va aller vite, Raymond Domenech le souhaite aussi. J’ai pris ma décision. Il faut maintenant que j’envoie un courrier», précisait Fernand Duchaussoy. La semaine précédente, il s'était entretenu avec Raymond Domenech pour lui formuler des reproches (refus de serrer la main du sélectionneur sud-africain, lecture du communiqué des mutins, etc.) et écouter sa défense.

Selon France Info, ce dimanche, la «faute grave» a été retenue. Le 23 juillet, Fernand Duchaussoy avait exprimé des «reproches», en citant des «faits inacceptables, contraires à l'éthique» durant le Mondial 2010 en Afrique du Sud. Par mi ces reproches, figuraient : «Ne pas serrer la main à l'entraîneur adverse». Domenech avait refusé de serrer la main de Carlos Alberto Parreira, sélectionneur de l'Afrique du Sud, lors du dernier match des Bleus au Mondial. Autre reproche : «Ne pas avoir averti le président (de la FFF, Jean-Pierre Escalettes, démissionnaire depuis, ndlr), présent sur place, des événements qui se sont passés à la mi-temps de France-Mexique». Escalettes avait découvert dans la presse les insultes proférées par le joueur Nicolas Anelka à son sélectionneur.

Si la «faute grave» est retenue, un licenciement ne donne pas droit à des indemnités, mais un salarié peut contester cette décision devant les prud'hommes.

Un maximum de 340 000 €

Mercredi, Fernand Duchaussoy indiquait : «Il y aura probablement une négociation, cela fait partie de la procédure logique, il n’y a rien de scandaleux.» Selon les informations du «Parisien», les chiffres d'indemnités en cas de licenciement à l'amiable portent sur le maximum que toucherait Domenech si un accord n’était pas trouvé et qu’il choisissait la voie prud’homale, à savoir deux ans de salaire. Soit un maximum de 340 000 €.

Melun : le policier retrouvé mort dans la Seine, le conducteur toujours porté disparu

Depuis ce dimanche matin, d'importants moyens ont été déployés au bord de la Seine à Melun (Seine-et-Marne) pour tenter de retrouver deux hommes qui ont sauté dans le fleuve vers 6 heures. Parmi les deux personnes portées disparues, un fonctionnaire de police de la Brigade anticriminalité de Melun a été retrouvé mort noyé vers 13h30.

Par ailleurs sapeur-pompier volontaire, il serait âgé d'environ 25 ans. La seconde victime, un automobiliste, était toujours porté disparu.

Selon les premiers témoignages, tout aurait commencé par un banal accrochage en bordure de Seine. Pour une raison indéterminée, un conducteur aurait percuté deux voitures en stationnement. Voyant la scène, le propriétaire de l'un des véhicules aurait tenté de rattraper l'automobiliste. Une centaine de mètres plus loin, le premier tente un demi-tour et fait une embardée. Il décide alors de sauter à l'eau.

Des policiers qui se trouvaient là en surveillance dans le cadre d'une autre mission appellent des renforts, qui se positionnent sur l'autre rive, côté Vaux-le-Pénil. Voyant le conducteur qui a pratiquement traversé la rivière en difficulté, l'un des policiers se jette à son tour dans la Seine pour lui venir en aide.

Malheureusement, aucun des deux n'a refait surface. Vingt-six plongeurs et quarante-sept pompiers à la recherche des deux hommes, épaulés par deux hélicoptères, dont un équipé d'une système de recherche par caméra thermique, tandis que le préfet et la directrice départementale de la sécurité publique étaient présents sur place. Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux se rendra ce dimanche après-midi au commissariat de Melun.

Environ deux heures auparavant, à Athis-Mons, un policier a, lui aussi, sauté à l'eau pour secourir deux automobilistes d'une voiture en fuite tombée dans la Seine. Le fonctionnaire est parvenu à sauver les deux personnes, en état d'ébriété.

Melun : le policier retrouvé mort dans la Seine, le conducteur toujours porté disparu

Depuis ce dimanche matin, d'importants moyens ont été déployés au bord de la Seine à Melun (Seine-et-Marne) pour tenter de retrouver deux hommes qui ont sauté dans le fleuve vers 6 heures. Parmi les deux personnes portées disparues, un fonctionnaire de police de la Brigade anticriminalité de Melun a été retrouvé mort noyé vers 13h30.

Par ailleurs sapeur-pompier volontaire, il serait âgé d'environ 25 ans. La seconde victime, un automobiliste, était toujours porté disparu.

Selon les premiers témoignages, tout aurait commencé par un banal accrochage en bordure de Seine. Pour une raison indéterminée, un conducteur aurait percuté deux voitures en stationnement. Voyant la scène, le propriétaire de l'un des véhicules aurait tenté de rattraper l'automobiliste. Une centaine de mètres plus loin, le premier tente un demi-tour et fait une embardée. Il décide alors de sauter à l'eau.

Des policiers qui se trouvaient là en surveillance dans le cadre d'une autre mission appellent des renforts, qui se positionnent sur l'autre rive, côté Vaux-le-Pénil. Voyant le conducteur qui a pratiquement traversé la rivière en difficulté, l'un des policiers se jette à son tour dans la Seine pour lui venir en aide.

Malheureusement, aucun des deux n'a refait surface. Vingt-six plongeurs et quarante-sept pompiers à la recherche des deux hommes, épaulés par deux hélicoptères, dont un équipé d'une système de recherche par caméra thermique, tandis que le préfet et la directrice départementale de la sécurité publique étaient présents sur place. Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux se rendra ce dimanche après-midi au commissariat de Melun.

Environ deux heures auparavant, à Athis-Mons, un policier a, lui aussi, sauté à l'eau pour secourir deux automobilistes d'une voiture en fuite tombée dans la Seine. Le fonctionnaire est parvenu à sauver les deux personnes, en état d'ébriété.

La fête de la patate à Jarnages

Une sixième édition de " la Fête de la Patate" à Jarnages placée encore sous un grand soleil pour le grand bonheur des promeneurs. Plus d'une soixantaine de variétés de pommes de terre sont cultivées sur la commune. Une exposition présente les caractéristiques de chaque espèce. Un marché de producteurs creusois, d’artisans d'art, des dégustations de spécialités à base de pommes de terre et un vide-grenier sont également organisés.

Des animations toute la journée pour tous. A regretter le manque d'abris pour écouter les concerts sous un soleil de plomb.

collecte de sang à Evaux les bains

L'école de foot à Evaux les bains