samedi 19 mars 2011

Cantonales 2011 à Chambon

Creuse - Limousin (23)-Résultats des élections-
Canton Chambon-sur-Voueize




Spectaculaire vidéo: le tsunami vu de l'intérieur d'une voiture

Le film est tourné par un conducteur qui empruntait une route à Asahi, dans la province de Chiba. D'un coup, une énorme vague recouvre la route et emporte sa voiture comme un fétu de paille.

vendredi 18 mars 2011

Les cantonales en quelques chiffres révélateurs

Le PS, premier en nombre de candidats


Dans cette avalanche de chiffres, le PS est le mouvement qui présente le plus de candidats: 1.516. Suivent le Front national (1.440), le PCF (1.374), les Verts-Europe écologie (1.172), de l'UMP (1.138).


Plus de 10 000 candidats abordent le scrutin des cantonales. Age, sexe, étiquette: quelques données permettent de mieux cerner cette élection complexe.

Une abstention au sommet?
 Considérées comme mineures par rapport à d'autres scrutins locaux (régionales, municipales), les élections cantonales affichent souvent un niveau élevé d'abstention. Lors du renouvellement partiel de 2008, près de 45% des inscrits avaient déserté les urnes lors du second tour. Cette année, la défiance à l'égard de ce scrutin pourrait culminer. Selon une étude menée par l'Ifop pour Marianne et Europe 1, 59% des personnes interrogées considèrent que les cantonales ne seront importantes ni pour leur situation personnelle, ni pour celle du pays. En comparaison, 68% estiment que le scrutin présidentiel aura un impact réel sur leur vie quotidienne. Découplées cette fois des élections municipales, les cantonales devraient enregistrer un pic d'abstention. L'institut Ipsos table ainsi sur une fourchette oscillant entre 50 et 60% des inscrits soit "au minimum un Français sur deux".

Plus de 10.000 candidats

Les cantonales se distinguent aussi par un nombre pléthorique de candidats. De quoi brouiller les repères des électeurs. A trois ans de la réforme administrative qui doit introduire les conseils territoriaux, 10.361 postulants se présentent dans les 2026 cantons renouvelables. En 2004, ils étaient plus de 12.000 à briguer un siège départemental.

Une parité… encore lointaine

Si les candidats titulaires ont l'obligation depuis 2008 de choisir un suppléant de sexe opposé, la parité fait défaut sur la ligne de départ. Selon les chiffres de l'Assemblée des départements de France (ADF), les femmes ( 2.405 candidates) sont ainsi trois fois moins nombreuses que les hommes (7.956) à concourir pour un mandat local. Toutefois, ce différentiel tend à légèrement se résorber par rapport à 2004. Symbole de ce déséquilibre actuel, seules six femmes sont présidentes de conseil général, sur 101.

Plusieurs générations de candidats

Si le profil du candidat "quadra ou quinqua" domine, certains partis n'ont pas hésité à jouer avec la gamme des générations. Du côté des benjamins du scrutin, le Front national a ainsi misé sur une dizaine de "jeunes espoirs" âgés de 18 ans pour porter ses couleurs. Le parti d'extrême-droite se distingue également chez les "vétérans". Ils seront ainsi 34 à défendre le mouvement de Marine Le Pen sur la quarantaine de candidats âgés de plus de 80 ans.

Un trop plein de candidats?

Certains cantons s'illustrent par leurs armadas de postulants. Le canton qui a le plus de candidats est celui de Saint-Denis de La Réunion, avec 13 prétendants. Il est suivi de Versailles-sud, Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), Saint-Paul (La Réunion), Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), la Seyne-sur-Mer (Var) où se présentent dans chaque cas 11 personnes.

Dix candidats "sans adversaires"

A l'inverse, 10 cantons ne concentrent qu'un seul candidat. Privés d'adversaires, ces prétendants isolés se situent en Corse-du-Sud (cantons d'Olmeto et de Zicavo), dans l'Hérault (Le Caylar), en Isère (Valbonnais), en Lozère (Saint-Germain-de-Calberte), dans la Manche (Périers), en Guadeloupe (La Désirade), en Martinique (Le Robert-1) et en Guyane (Cayenne sud-ouest et Mana).Pour ces candidats atypiques, les règles du jeu ont logiquement été changées. Pour franchir le premier tour et… être élu, chaque candidat devra ainsi réunir au moins 25% des électeurs inscrits. Faute de remplir cette condition, ce clan des "10" affrontera un second tour symbolique. Ici, une seule voix suffira.

Tsunami au Japon : de nouvelles vidéos amateur



Cette vidéo a été filmée deux heures après le séisme de 11 mars. Un habitant filme l'eau qui commence à se répandre dans les rues. Ce ne sont d'abord que quelques flaques, qui ensuite se transforment en torrent. En quelques minutes, la ville est noyée. La population prise au piège tente de se protéger comme elle peut.

jeudi 17 mars 2011

Japon : la radioactivité a encore augmenté à Fukushima

Les prochaines heures seront cruciales pour rétablir le niveau d'eau dans la piscine de stockage du combustible usé du réacteur 4 alors que de la fumée ou de la vapeur s'échappe du réacteur 2.

Le compte à rebours continue. Après le séisme et le tsunami qui ont frappé le Japon vendredi dernier, les accidents se succèdent à la centrale nucléaire de Fukushima, à 250 km de Tokyo.

  « Nous commençons à remettre en cause les informations officielles » La France recense ses stocks de pastilles d’iodeLes indiscrets. Sarkozy au Japon ?Japon :
 «Quand j’ai su que c’était un incident nucléaire, j’ai paniqué» Course contre la montre mortelle à Fukushima

Après plusieurs explosions, la situation est dramatique, le combustible menaçant d'entrer en fusion dans les réacteurs 3 et 4.

 L'enceinte de confinement du réacteur 3 paraît endommagée alors que la piscine de stockage de combustibles du réacteur 4 s'assèche. L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) craint des rejets radioactifs «très importants».

Théatre au casino d'Evaux les bains

Repas de pâques à evaux les bains le 24 avril 2011

Les cantonales en vidéo


Vous souhaitez vous informer sur les directions que vont prendre vos élus et futurs élus, Newstelevision à filmé les débats pour vous . http://www.newstelevision.fr/

mercredi 16 mars 2011

Ca sert a quoi de voter dimanche pour les cantonales ?

Dernier grand rendez-vous au suffrage universel  avant la présidentielle de 2012, les élections cantonales des 20 et 27 mars 2011 sont aussi les dernières où les Français éliront des conseillers généraux.

Au regard des très nombreux commentaires sur les blogs et sites, cette élection aura certainement une réflexion nationale. Très nombreux ne savent pas à quoi servent les cantonales et pour eux se sera un vote plus politique que régional. Des surprises sont à prévoir, il suffit seulement de voir comment certaines étiquettes se sont évaporées pour comprendre les surprises à venir lors de cette élection... Une répétition de la présidentielle 2012 à prévoir.

Je navigue alors sur la toile et voilà ce que je trouve sur le site de l'insee (www.insee.fr) :

« Le canton est une subdivision territoriale de l'arrondissement. C'est la circonscription électorale dans le cadre de laquelle est élu un conseiller général. Les cantons ont été créés, comme les départements, par la loi du 22 décembre 1789. Dans la plupart des cas, les cantons englobent plusieurs communes. Mais les cantons ne respectent pas toujours les limites communales : les communes les plus peuplées appartiennent à plusieurs cantons. Un canton appartient à un et un seul arrondissement. Si le canton accueille encore, en principe, certains services de l'Etat (gendarmerie, perception), la loi du 6 février 1992 relative à l'administration territoriale de la République et le décret du 1er juillet 1992 portant charte de la déconcentration l'ignorent totalement. »

Typiquement le type de définition complexe qui ne m'apprend rien en fait. Le plus étonnant, c'est la fin. Les lois de décentralisation ignorent le canton.

Alors à quoi ça sert un canton à part à faire élire un conseiller général ? Ledit conseiller général va siéger au département. C'est peut-être là en fait que je trouverai des réponses. Le canton ne sert peut-être qu'à une seule chose, dessiner des territoires pour élire des conseillers. Pfff... comme si on n'avait pas assez de collectivités territoriales en France.

Les élections cantonales permettent d'élire les conseillers généraux de chaque département. Ceux-ci sont élus pour six ans et siègent au Conseil général, l'instance qui décide des orientations politiques données au département. Parmi les principales compétences du Conseil général figurent la gestion de plusieurs aides sociales comme le RSA ou le fond de solidarité pour le logement (FSL), la gestion des collèges, ou encore la gestion des routes. Pour éviter de renouveler entièrement les cantons tous les six ans, seulement la moitié d'entre eux le sont tous les trois ans.

Les médias sont focalisés sur les élections municipales. Mais le même jour se déroulent d'autres élections : les élections cantonales. Celles-ci intéressent peu les électeurs car elles ont pour but d'élire des conseillers généraux dont le travail est souvent ignoré par la population. Pourquoi ces élections cantonales n'intéressent-elles personne ? Tout simplement parce que chaque élection se déroule sur une circonscription aux contours inconnus, qui ne recouvre aucune réalité territoriale tangible. Un canton est un regroupement de villes, la plupart du temps ignoré par les électeurs. A chaque changement de carte électorale, le canton n'inclut pas les mêmes villes. Dès lors, ces élections sont considérées comme subalternes alors que le conseil général gère des secteurs essentiels de la vie quotidienne des citoyens. Quels sont les enjeux de ces élections cantonales ? A quoi servent-elles ?

Qu'est ce qu'une élection cantonale ?

Les élections cantonales permettent aux électeurs d'élire, par la voie des urnes, les conseillers généraux. Contrairement aux maires, les conseillers généraux agissent au niveau départemental. Un maire peut siéger au Conseil général et cumuler les deux fonctions. Les élections cantonales ont donc pour but de faire élire des conseillers généraux qui devront gérer la politique du département.
Un conseiller général est élu pour 6 ans, mais le conseil général est renouvelé par moitié tous les 3 ans. Comme les élections cantonales sont peu plébiscitées par l'opinion, elles se déroulent systématiquement en même temps que des élections municipales ou des élections régionales.
Depuis 1789, le Conseil général est composé de plusieurs cantons dont le nombre varie d'une région à l'autre. Comme pour les élections législatives ou l'élection présidentielle, les élections se font en deux tours. Deux candidats seulement participent au second tour. Le candidat qui a obtenu la majorité des suffrages remporte les élections et peut siéger au Conseil général. Les différents cantons d'un département sont représentés chacun par un conseiller général.


Les élections cantonales sont celles qui intéressent le moins les français


L'élection présidentielle est l'élection qui intéresse le plus les Français, suivi par l'élection du maire. Dans les deux cas, d'un bout à l'autre de l'appareil administratif français, les citoyens ont le sentiment que leur vote influe sur le destin national et sur la conduite de la ville. La région est déjà une circonscription administrative plus lointaine, même si elle est devenue la norme dans la plupart des pays d'Europe.

Reste donc les départements, gérés par des conseils généraux, dont les membres sont élus lors d'élections cantonales qui battent à chaque fois des records d'abstention au point d'être organisées le même jour que les élections municipales ou régionales. Pour simplifier le découpage administratif du territoire et faire des économies de gestion, le rapport Attali a d'ailleurs proposé de supprimer les départements et de transférer leurs compétences aux régions. Les citoyens ignorent tout du rôle du conseil général et la notion de canton échappe à la très grande majorité des habitants. Finalement, seuls les responsables politiques refusent la suppression des départements car cela supprimerait d'autant le nombre de fonctions électives. Or, le poste de « conseiller général » est souvent très prisé par les responsables politiques qui pratiquent le cumul des mandats.

Les conseils généraux sont pourtant plus riches que les régions


Les régions sont plus connues que les conseils généraux. Pourtant, ceux-ci disposent d'un budget beaucoup plus élevé que celui des régions. Ainsi, en 2007, le budget des départements, donc des conseils généraux, s'élevait à 63 milliards d'euros alors que les régions ne pèsent que 25 milliards d'euros. Cet écart s'explique par le rôle déterminant des conseils généraux sur toutes les questions sociales. Ce sont les conseils généraux qui s'occupent du paiement du RMI, des aides aux handicapés et aux personnes âgées. Et ces dépenses seront amenées à croître régulièrement. Voilà pourquoi les départements ont un poids financier beaucoup plus important que celui des régions. En outre, les conseils généraux assoient leur légitimité en étant le principal distributeur des subventions aux communes. L'aide financière apportée à un maire est souvent capitale, pour restaurer un bâtiment, financer des travaux de voirie ou aménager un rond-point. En guise de remerciements, le maire peut alors favoriser tel ou tel candidat lors des élections sénatoriales auxquelles seuls les élus ont le droit de voter. De fait, le parcours politique des conseillers généraux s'achève souvent par un mandat de sénateur.

Séisme de magnitude 3,5 à Argenton en 1990

 Le 2 juin 1990, un mini-séisme avait touché la Vallée de la Creuse. Rien de comparable, toutefois, avec celui qu'ont subi les Japonais.

En 1990, on avait craint pour la poterne du château de Gargilesse, en piteux état, qui devait être restaurée. - (Photo archives NR) Le dernier mini-séisme enregistré en France, de magnitude 3 sur l'échelle de Richter - qui compte 9 degrés -, s'est produit le 7 mars dernier à Laon (Aisne), selon le Réseau national de surveillance sismique (Rénass), à Strasbourg.
La terre bouge aussi sous les pieds des Berrichons. Rien de comparable avec le tremblement de terre survenu au Japon mais elle tremble quand même. Nous sommes en effet sur la plaque architectonique des Pyrénées avec une « coulée » qui part approximativement du Menoux et Chavin et qui remonte sur Le Pêchereau et Argenton-sur-Creuse, pour redescendre ensuite vers Vigoux.
La plus forte magnitude connue, 3,5 sur l'échelle de Richter, a été enregistrée le 2 juin 1990, dans la Vallée de la Creuse. Cette secousse avait été ressentie par les habitants de Gargilesse et de l'agglomération d'Argenton. Le château de Gargilesse avait légèrement tremblé et on s'était inquiété, à l'époque, pour son ancienne poterne qui devait être restaurée. Les personnels du barrage d'Éguzon avaient également entendu une détonation sans que l'édifice ne soit ébranlé.

Nouveau tremblement à Argenton en 2005

Depuis 1980, on a enregistré plus d'une dizaine de secousses comprises normalement entre 1,6 et 2,5. Après le tremblement de 1990, Argenton a connu une nouvelle secousse d'une magnitude de 3,4, le 17 juin 2005, en soirée. Beaucoup d'habitants avaient cru alors qu'il s'agissait d'une explosion et avaient appelé les pompiers. Un agent EDF-GDF était même intervenu pour rechercher une éventuelle fuite de gaz.
Tout est possible avec Dame Nature mais les habitants de l'Indre peuvent toutefois être tranquilles. En consultant le Rénass, on comprend vite que ce sont certains départements du sud et du nord de la France qui comptent le plus de secousses. Parfois imperceptibles.

Cantonales à Chambon-sur-Voueize : Qui pour succéder à Joël Souchal ?

Un nouveau nom s'inscrira sur la liste, à Chambon-sur-Voueize où un conseiller général en cache un autre.

Sur la place Aubergier du chef-lieu de canton, une plaque apposée sur une maison aux volets verts indique : « Ici a vécu le docteur Aubergier, homme de bien, médecin dévoué, conseiller général de la Creuse, maire de Chambon - 1820-1884 ».

De l'autre côté de la rue, dans sa pharmacie de l'avenue Georges-Clémenceau, un autre homme de santé, porte un regard d'actualité sur huit années d'un mandat qu'il a décidé de ne plus exercer. Une décision prise depuis juillet 2010. Âgé de 57 ans, pharmacien à Chambon-sur-Voueize depuis 25 ans, Joël Souchal - qui a abandonné également, « pour des raisons personnelles et professionnelles », ses mandats de maire et de président de la communauté de communes Évaux-Chambon - observe que la proximité de la RN 145 est un facteur important pour le désenclavement du canton et sa sécurité routière. Il rappelle que les routes d'Évaux-Budelière et Évaux-Chambon ont été refaites quand il était conseiller général. Il a aussi bouclé le dossier de la médiathèque. « La Com-com apporte beaucoup, ici : OPAH, étude sur l'assainissement collectif, piscine. C'est là que tout se décide, au niveau économique », poursuit Joël Souchal.

Le conseiller sortant qui ne se représente pas verrait bien Nicolas Simonet, le jeune maire de Nouhant, âgé de 33 ans (plus jeune maire de Creuse et du Limousin en 2008), lui succéder, au sein du groupe d'opposition de l'assemblée départementale. Dans un hôtel des Monneyroux où, estime t-il, « les réunions sont trop politisées ; il faut se préoccuper d'abord des Creusois ».

« Rien n'est acquis », prévient Nicolas Simonet, qui se présente sans étiquette. « Nous avons un problème médical ici, avec le prochain départ de deux généralistes », relève t-il, faisant de la santé l'axe principal de la campagne. Le secteur est le principal employeur du canton et cela se confirmera avec la prochaine maison médicale (adossée à l'EHPAD, projet porté par la Com-com)

Le canton est à droite depuis 22 ans, depuis que le RPR Jean Nicolaon, conseiller municipal de Budelière, avait succédé au PCF Raymond Aucouturier, maire de Budelière. Et Bruno Noble, premier secrétaire du PCF creusois, aimerait bien que quelque chose change ici. Audacieux ? Il le souhaite, car il souhaite sortir le canton de « l'immobilisme » dans lequel l'a laissé Joël Souchal, selon lui. Pour cela, il faudrait que Creuse Terre de Gauche - ce mouvement rassemblant notamment le Front de gauche (Parti de gauche et PCF) et le Nouveau parti anticapitaliste - prenne pied dans ce coin de l'est-creusois.

Pour Anne Bridoux aussi, unique femme titulaire du PS dans ces élections et maire de St-Loup, « c'est un gros challenge ». Bien que sa commune ne fasse pas partie de cette Com-com (mais de celle du Carrefour des 4 provinces), la prof de français de Chambon assure que « le rôle de la Com-com Évaux-Chambon est mal perçu des petits villages, délaissés ».

La Montagne

Comment Marine Le Pen séduit au-delà du FN

Par son style et son discours, la patronne du FN réussit à toucher un électorat plus large que celui de son père.

Elle semble loin l’époque où les sympathisants du Front national osaient à peine confier leur sensibilité politique. Aujourd’hui, afficher sa préférence pour le parti de Marine Le Pen n’est plus un tabou. Comme en témoignent les récents sondages — qui la créditent de 21 à 24% d’intention de vote pour la présidentielle —, mais aussi les nombreuses réactions recueillies par les autres partis sur le terrain.

Un programme très coûteux« Il faut donner une bonne leçon aux partis »L’UMP tente de résisterUn nouveau sondage place Marine Le Pen face à DSK au 2e tourToutes nos vidéos sur Marine Le PenCantonales : des enjeux différents pour les partis politiquesLe PS favori des cantonalesDe plus, selon une enquête TNS Sofres révélée hier pour « la Matinale » de Canal +, 28% des Français se disent d’accord avec les idées du Front national, contre 22% en janvier dernier.

« Le vague bleue marine »

A quatre jours du premier tour des élections cantonales, le FN va-t-il traduire dans les urnes cette percée dans l’opinion publique? Paradoxalement, rien n’est moins sûr. « Ces élections, ce sont les pires pour nous », lâche Marine Le Pen. Son parti ne compte aujourd’hui aucun conseiller général dans ses rangs. Et la récente modification du mode de scrutin, qui fixe désormais la barre à 12,5% des inscrits (contre 10% auparavant) pour être présent au second tour, ne va rien arranger. « En clair, si l’abstention est au-dessus de 50%, comme c’est à craindre, il nous faudra faire plus de 25% pour être qualifié dimanche soir. C’est énorme! » craint Michel Guiniot, délégué national.

Alors, au parti, on s’organise. Sur les 2023 cantons renouvelables, 1450 auront un candidat du Front. Tous ont reçu un kit de campagne, composé d’affiches sur le thème de « La vague bleue marine », d’un modèle de profession de foi et d’un document de 4 pages déclinant les principales propositions du parti. En campagne, les candidats frontistes, souvent peu connus de la population locale, jouent à fond la carte Marine Le Pen pour espérer gagner des voix. « Ils fondent tout sur la popularité de leur présidente, raille Karl Olive, candidat UMP dans le secteur de Poissy-Sud. D’ailleurs, dans mon canton, mon adversaire du FN est totalement absent. On ne sait même pas à quoi il ressemble… »

Financement de Sarkozy par Kadhafi en 2007 : l'Elysée dément

Financement de Sarkozy par Kadhafi en 2007 : l'Elysée dément

Allons nous connaitre enfin, les magouilles de Sarko.  Le fils de Muammar Kadhafi, Seif Al-Islam, affirme que le régime libyen aurait financé la candidature de Nicolas Sarkozy en 2007.

Lors de la campagne électorale pour la présidentielle 2007, le régime de Muammar Kadhafi aurait financé la candidature de Nicolas Sarkozy. C'est ce qu'assure le fils du dirigeant libyen, Seif Al-Islam, dans un entretien à Euronews. Interrogé sur la position de la Libye vis à vis de la France, premier pays à avoir reconnu l'opposition libyenne, le fils Kadhafi a répondu : «Tout d’abord, il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale». 

Lors de cet entretien, Seif Al-Islam poursuit : «C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. La première chose que l’on demande à ce clown, c’est de rendre l’argent au peuple libyen. Nous lui avons accordé une aide afin qu’il oeuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçus». Il menace ensuite : «Rendez-nous notre argent. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement».

Risque nucléaire : des pastilles d'iode distribuées à Saint-Pierre-et-Miquelon

Risque nucléaire : des pastilles d'iode distribuées à Saint-Pierre-et-Miquelon

Par mesure de précaution, des pastilles d'iode vont être distribuées aux 6 000 habitants de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Le préfet de la collectivité d’outre-mer Saint-Pierre-et-Miquelon, Jean-Régis Borius, a annoncé ce mercredi à 15h30 (12h30 sur place) sur les ondes de la radio locale que des pastilles d’iode allaient être distribuées, par mesure de prévention, à la population. L'objectif est que «chacun puisse disposer de ce médicament» en cas de retombées de particules radiocatives émanant des centrales nucléaires japonaises.

Les pastilles d’iode doivent être prises au cas où «le nuage radiocatif» viendrait à atteindre ce territoire français de 6 000 habitants, situé au large de l’île canadienne de Terre-Neuve. «On en est encore loin», a-t-il rassuré.

La radioactivité provoque des lésions au niveau de la thyroïde qui peuvent être évitées en absorbant des pastilles d’iode. Mardi, la ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, a expliqué que la France se prépare à «l’arrivée éventuelle» d’un nuage radioactif à Saint-Pierre-et-Miquelon, archipel situé à près de 5 000 km de Paris. «Les courants atmosphériques passent relativement peu facilement d’un hémisphère à l’autre et, si notre territoire était exposé, ce serait plus probablement Saint-Pierre-et-Miquelon que nos territoires du Pacifique», a-t-elle souligné à l’Assemblée nationale.

Pour info

mardi 15 mars 2011

Nouvelle vidéo au Japon



Quatre jours après le séisme et le tsunami destructeur qui a suivi, le Japon est confronté à un accident nucléaire majeur. Une explosion sur le réacteur numéro 2 de la centrale de Fukushima, qui a endommagé le bâtiment de construction, et un incendie sur le réacteur numéro 4, jusque-là épargné, laissent redouter le pire. SUR LE MÊME SUJET

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Face à l'incertitude, une donnée qui effraie les marchés financiers, l'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo a chuté lourdement à la clôture de 10,55%.

Les Parisiens sont plus verbalisés que les Provinciaux

« Question contredanses, les Français ne sont pas égaux [...]

Un conducteur de la Creuse est cinquante fois moins exposé aux papillons qu'un Parisien !» , peut-on lire dans Auto Plus. Le magazine dresse dans son édition d’aujourd’hui le palmarès des procès verbaux dressés dans le pays en interrogeant 1000 conducteurs de 15 ans (circulant en cyclomoteur) à 85 ans dans les 100 départements français (Outre-Mer compris). Les plus malchanceux sont… les Parisiens ! Ils arrivent en tête avec 3320 PV dressés en 2010 pour 1000 conducteurs. Le magazine précise que ce chiffre a baissé de 2% depuis l’année précédente.
Le deuxième département est le 92, les Hauts-de Seine, en banlieue parisienne, dont le nombre de PV est en hausse de 6% avec 1294 PV pour 1000 habitants. Ensuite, ce sont les Alpes-Maritimes avec un chiffre stable de 1148 PV puis le Rhône avec une hausse de 3%, annonçant 775 PV pour 1000.
Les Français les moins verbalisés habitent dans la Creuse avec 68 PV pour 1000 habitants, dans la Haute-Saône, 98 pour 1000, ou dans la Manche, 127 pour 1000. A noter que le nombre de PV dans ces départements est en baisse de 1 à 7% depuis l’année précédente.
Les départements ayant connu la plus forte augmentation du nombre de contraventions sont l’Yonne (+42%), la Haute-Marne (+31%) et la Loire-Atlantique (+30%). En revanche, le nombre de PV a fortement chuté en Guadeloupe (-31%) et en Martinique (-16%).
Source Autoplus

LE 19/03/2011 EXPOSITION SUR LA GUERRE D'ALGÉRIE À BUDELIÈRE

LE 19/03/2011 EXPOSITION SUR LA GUERRE D'ALGÉRIE À BUDELIÈRE

Présentation sur panneaux de cartes postales,photos, documents, lettres, témoignages, revues, journaux d'époque, et quelques objets.

info Japon

Nouveau tremblement de terre de magnitude 6 frappe actuellement à 120 km au sud de Tokyo.

Le centre thermal à Evaux les bains, Ouverture du 28 Mars au 29 Octobre 2011

 En 2010, l'Etablissement Thermal a reçu
 le 1er Prix en Catégorie Immeubles Collectifs
 pour la Campagne Départemental de Fleurissement
Ouverture du 28 Mars au 29 Octobre 2011

Vous pouvez obtenir des renseignements complémentaires si vous le désirez en contactant le 05 55 65 50 01. Une équipe est à votre écoute.

C'est avec plaisir que nous vous accueillerons du lundi au samedi de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30 (sauf le vendredi où les bureaux adminsitratifs ferment à 16h30).

Visite des thermes en dehors des heures de soins
Les soins se déroulent du lundi au samedi de 7h à 12h45.
A compter du mois de Mai-Juin, les soins seront en continu jusqu'à 15 heures voir au-delà selon les réservations....

NOUVEAUTE 2011 : LA FIBROMYALGIE


A partir de cette saison, l'Etablissement Thermal va mettre en place des programmes de traitements afin de soulager ces maux :
•Equipements d'hydroxeurs dernière génération avec option 'Fibromyalgie'
•Douche sous-marine
•Atelier thérapeutique
•Aquagym
•Diététique
•Somato-relaxologie (Méthode de revitalisation favorisant le lâcher-prise physique et mental et le rééquilibrage énergétique)
•Acupressure (Technique dérivée de l'acuponcture sans les aiguilles)


Pour recevoir gratuitement, la brochure d'information des thermes d'Evaux-les-Bains, merci de nous contacter simplement par :
Mail : evaux.thermes.hotel@wanadoo.fr

Téléphone : 05.55.65.50.01
Fax : 05.55.65.59.16