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- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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jeudi 3 février 2011
mercredi 2 février 2011
Marseille : le président (PS) de la communauté urbaine en garde à vue
Le président socialiste de la Communauté urbaine de Marseille, Eugène Caselli a été placé en garde à vue mercredi, dans le cadre d'une affaire de marchés publics présumés frauduleux. | Gerard Julien
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Le président socialiste de la communauté urbaine de Marseille, Eugène Caselli, a été placé en garde à vue mercredi matin par les gendarmes dans le cadre d'une affaire de marchés publics présumés frauduleux.
L’affaire Guérini fait des vagues au conseil généralMarchés publics des Bouches-du-Rhône: Eugène Caselli (PS) en garde à vueMarchés publics des Bouches-du-Rhône: Caselli (PS) entendu par les gendarmesSimplement, on est un peu surpris du cadre dans lequel cela se fait, on aurait pu sans doute opter pour la simple audition de témoin», a estimé son avocat, Me Fabrice Giletta.
Trois autres personnes ont également été placées en garde à vue par les gendarmes de la section de recherches de Marseille, dont Franck Dumontel, ancien directeur de cabinet de M. Caselli, démis de ses fonctions en décembre, et l'avocat Olivier Grimaldi, qui a représenté la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (MPM) dans le passé.
Le frère du président PS du département déjà écroué dans cette affaire
Le troisième gardé à vue est Eric Pascal, patron de la société de traitement de déchets Queyras Environnement, déjà mis en examen dans un autre volet de ce dossier aux vastes ramifications.
Enfin, un directeur général adjoint de MPM, Jean-Pierre Roncin, et le président de la commission d'appels d'offres de la collectivité, François-Noël Bernardi, étaient entendus comme témoins.
MPM avait déposé plainte contre X en décembre dans le cadre de cette affaire après la mise en examen de son directeur adjoint à la propreté, Michel Karabadjakian, pour trafic d'influence et corruption passive. Dans cette affaire, Alexandre Guérini, patron de décharges et frère du président PS du conseil général des Bouches-du-Rhône Jean-Noël Guérini, a été mis en examen et écroué, début décembre, pour blanchiment, abus de biens sociaux, détournement de fonds et de biens publics.
Eugène Caselli avait été élu président de MPM en avril 2008 aux dépens de l'UMP Renaud Muselier. Les enquêteurs s'intéressent notamment à deux marchés publics, concernant le tri et la collecte des déchets, lancés par MPM en 2009 et qui auraient fait l'objet d'interventions d'Alexandre Guérini. Les conditions du recrutement de M. Karabadjakian à MPM et le rôle de M. Dumontel, présenté comme un proche d'Alexandre Guérini, sont également passés au crible.
// la garde à vue ne prouve pas le culpabilité, de nos jours on vous met en garde à vue pour rien, statistiques oblige... (comme au moyen âge ou vous étiez gravement puni pour le vol d'un morceau de pain !
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Le président socialiste de la communauté urbaine de Marseille, Eugène Caselli, a été placé en garde à vue mercredi matin par les gendarmes dans le cadre d'une affaire de marchés publics présumés frauduleux.
L’affaire Guérini fait des vagues au conseil généralMarchés publics des Bouches-du-Rhône: Eugène Caselli (PS) en garde à vueMarchés publics des Bouches-du-Rhône: Caselli (PS) entendu par les gendarmesSimplement, on est un peu surpris du cadre dans lequel cela se fait, on aurait pu sans doute opter pour la simple audition de témoin», a estimé son avocat, Me Fabrice Giletta.
Trois autres personnes ont également été placées en garde à vue par les gendarmes de la section de recherches de Marseille, dont Franck Dumontel, ancien directeur de cabinet de M. Caselli, démis de ses fonctions en décembre, et l'avocat Olivier Grimaldi, qui a représenté la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (MPM) dans le passé.
Le frère du président PS du département déjà écroué dans cette affaire
Le troisième gardé à vue est Eric Pascal, patron de la société de traitement de déchets Queyras Environnement, déjà mis en examen dans un autre volet de ce dossier aux vastes ramifications.
Enfin, un directeur général adjoint de MPM, Jean-Pierre Roncin, et le président de la commission d'appels d'offres de la collectivité, François-Noël Bernardi, étaient entendus comme témoins.
MPM avait déposé plainte contre X en décembre dans le cadre de cette affaire après la mise en examen de son directeur adjoint à la propreté, Michel Karabadjakian, pour trafic d'influence et corruption passive. Dans cette affaire, Alexandre Guérini, patron de décharges et frère du président PS du conseil général des Bouches-du-Rhône Jean-Noël Guérini, a été mis en examen et écroué, début décembre, pour blanchiment, abus de biens sociaux, détournement de fonds et de biens publics.
Eugène Caselli avait été élu président de MPM en avril 2008 aux dépens de l'UMP Renaud Muselier. Les enquêteurs s'intéressent notamment à deux marchés publics, concernant le tri et la collecte des déchets, lancés par MPM en 2009 et qui auraient fait l'objet d'interventions d'Alexandre Guérini. Les conditions du recrutement de M. Karabadjakian à MPM et le rôle de M. Dumontel, présenté comme un proche d'Alexandre Guérini, sont également passés au crible.
// la garde à vue ne prouve pas le culpabilité, de nos jours on vous met en garde à vue pour rien, statistiques oblige... (comme au moyen âge ou vous étiez gravement puni pour le vol d'un morceau de pain !
Les cantonales dans la Creuse
Cantonales 2011 : Quatre sortants ne se représentent pas
Les grandes manoeuvres en vue des cantonales de l'année prochaine ont commencé. Sur les treize cantons renouvelables, on sait déjà que quatre vont changer de titulaires, les sortants ne se représentant pas.
L'assemblée départementale qui sortira des urnes à l'issue des cantonales de mars prochain comptera au moins quatre nouveaux élus : trois conseillers généraux de gauche, Michel Moreigne (PS) à Bellegarde-en-Marche, Daniel Delprato (DVG) à Saint-Sulpice-les-Champs et Guy Moutaud (PS) à Le Grand-Bourg, et un de droite, Joël Souchal (UMP) à Chambon-sur-Voueize, ont, en effet, décidé de ne pas se représenter.
Ces départs ne devraient pas avoir de grandes conséquences sur les rapports de force au sein de l'assemblée départementale (1), même si, sur le papier, la gauche joue plus gros que l'opposition de droite puisqu'elle détient neuf des treize sièges à renouveler.
En attendant, d'un côté comme de l'autre, les grandes manoeuvres pour les candidatures ont commencé. Voici, canton par canton, l'état des lieux actuel
Ahun. Le député-maire de Cressat Jean Auclair part à la reconquête de son siège dans son fief historique. Face à lui, le PS alignera Jean-Claude Trunde, le maire du Moutier-d'Ahun. Sur ce canton symbole, on peut s'attendre à une candidature du Front de gauche, en l'occurrence celle de Joël Lainé (NPA), conseiller municipal de Saint-Hilaire-la-Plaine.
Aubusson. Michel Moine, le maire du chef-lieu de canton et conseiller général sortant, n'a pas fait, pour l'instant, acte de candidature auprès de la fédération du PS de la Creuse. Simple mouvement d'humeur ou positionnement de rupture plus profonde, le principal intéressé, contacté par nos soins, refuse de dévoiler publiquement ses intentions « tant qu'un véritable débat sur les orientations stratégiques du PS en Creuse n'aura pas lieu ». À droite, Claude Teyton, un assureur bien connu dans la cité tapissière, manifeste clairement son intention de se porter candidat depuis plusieurs semaines.
Auzances. Valérie Simonet, maire de Bussière-Nouvelle et conseiller général sortant UMP, repart. Son adversaire socialiste pourrait être Alain Vigneresse, conseiller municipal d'Auzances.
Bellegarde-en-Marche. L'ancien sénateur et président du Conseil général Michel Moreigne ne se représente pas. Le PS lui a trouvé un successeur en la personne de Jean-Paul Joulot, le maire de Bosroger, qui partirait avec Jacqueline Jary, maire de Mainsat, comme remplaçante.
Bonnat. Le conseiller général divers gauche Jean Commergnat repart pour un tour. Pour l'instant, on ignore qui la droite va choisir pour l'affronter.
Bourganeuf. Le président de l'assemblée départementale Jean-Jacques Lozach repart bien évidemment. Il pourrait avoir face à lui sa plus fidèle adversaire la conseillère régionale UMP Michèle Suchaud.
Chambon-sur-Voueize. Joël Souchal, après avoir hésité, ne repart pas. L'UMP a choisi son secrétaire départemental, le jeune maire de Nouhant Nicolas Simonnet, pour lui succéder. À gauche, le PS a désigné Anne Bridoux, maire de Saint-Loup.
Châtelus-Malvaleix. Le conseiller général sortant UMP Gérard Gaudin est à nouveau candidat. Il retrouvera en face de lui, comme lors du précédent scrutin, le maire PS de Châtelus-Malvaleix Jean-François Bouchet.
Gentioux-Pigerolles. Sans surprise, le conseiller général sortant PS Jean-Luc Léger se représente. Pas de candidat connu pour l'instant à droite, mais il pourrait bien y avoir un candidat écologiste sur ce canton où Europe Écologie a fait un excellent score aux dernières élections régionales (près de 22 %). Ce candidat pourrait être une candidate en la personne de Catherine Moulin, maire de Faux-la-Montagne, qui figurait précisément sur la liste Europe Écologie aux dernières régionales.
Le Grand Bourg. Conseiller général sortant, Guy Moutaud ne se représente pas. Le PS a choisi Didier Bardet, le maire de Fleurat, pour lui succéder. À droite, on évoque le nom de Michel Monnet, le maire de Saint-Étienne-de-Fursac pour porter les couleurs de l'opposition départementale.
Guéret Sud-Est. Conseiller général sortant, Guy Avizou, le « Monsieur Culture » de la gauche guérétoise, repart sous les couleurs du PS. Pas de candidat déclaré à droite pour l'instant.
Royère-de-Vassivière. Bernard Laborde (PS) est candidat à sa propre succession dans un canton où la droite n'a pas encore fait connaître le nom de celui qu'elle a choisi.
Saint-Sulpice-les-Champs. Le retrait du divers gauche Daniel Delprato ouvre, semble-t-il, des appétits. Le PS a choisi Michel Conchon, le maire de Sous-Parsat, pour le représenter, mais on annonce, sans donner de nom, un autre candidat divers gauche. À droite, certains avancent le nom de Monique Depeige, l'ancien maire de Saint-Sulpice-les-Champs, pour porter leurs couleurs, mais rien ne serait pour l'instant décidé.
Mais c'est quoi ces élections ?
En France, l'élection cantonale permet d'élire les conseillers généraux.
La durée du mandat d'un conseiller général est de 6 ans. Les conseils généraux sont renouvelés par moitié tous les trois ans. Les dernières élections cantonales ont eu lieu les 9 et 16 mars 2008 et les prochaines auront lieu les 20 et 27 mars 2011 .
Ces élections ont lieu, depuis 1998, le même jour que des élections municipales ou régionales. Ce ne sera pas le cas en 2011. Le mandat des conseillers généraux élus en mars 2011 expirera exceptionnellement en mars 2014. Les conseillers généraux seront donc élus pour un mandat réduit à 3 ans[1].
Un projet de loi examiné en conseil des ministres le 21 octobre 2009 prévoit notamment la suppression des conseillers généraux et des conseillers régionaux et leur remplacement par des conseillers territoriaux élus au niveau des cantons qui siègeraient dans les deux assemblées[2].
Cette institution a plusieurs missions. Elle vote le budget pour le département et définit ses grandes orientations politiques, en se réunissant tous les deux mois environ. En voici quelques unes : l'action sociale (insertion des personnes en difficulté, RMI, aide aux personnes handicapées), la culture (archives départementales, musées, bibliothèques), l'éducation (gestion des collèges), la voirie (gestion des routes départementales et nationales d'intérêt local, transports scolaires et urbains), questions de logement...
Les grandes manoeuvres en vue des cantonales de l'année prochaine ont commencé. Sur les treize cantons renouvelables, on sait déjà que quatre vont changer de titulaires, les sortants ne se représentant pas.
L'assemblée départementale qui sortira des urnes à l'issue des cantonales de mars prochain comptera au moins quatre nouveaux élus : trois conseillers généraux de gauche, Michel Moreigne (PS) à Bellegarde-en-Marche, Daniel Delprato (DVG) à Saint-Sulpice-les-Champs et Guy Moutaud (PS) à Le Grand-Bourg, et un de droite, Joël Souchal (UMP) à Chambon-sur-Voueize, ont, en effet, décidé de ne pas se représenter.
Ces départs ne devraient pas avoir de grandes conséquences sur les rapports de force au sein de l'assemblée départementale (1), même si, sur le papier, la gauche joue plus gros que l'opposition de droite puisqu'elle détient neuf des treize sièges à renouveler.
En attendant, d'un côté comme de l'autre, les grandes manoeuvres pour les candidatures ont commencé. Voici, canton par canton, l'état des lieux actuel
Ahun. Le député-maire de Cressat Jean Auclair part à la reconquête de son siège dans son fief historique. Face à lui, le PS alignera Jean-Claude Trunde, le maire du Moutier-d'Ahun. Sur ce canton symbole, on peut s'attendre à une candidature du Front de gauche, en l'occurrence celle de Joël Lainé (NPA), conseiller municipal de Saint-Hilaire-la-Plaine.
Aubusson. Michel Moine, le maire du chef-lieu de canton et conseiller général sortant, n'a pas fait, pour l'instant, acte de candidature auprès de la fédération du PS de la Creuse. Simple mouvement d'humeur ou positionnement de rupture plus profonde, le principal intéressé, contacté par nos soins, refuse de dévoiler publiquement ses intentions « tant qu'un véritable débat sur les orientations stratégiques du PS en Creuse n'aura pas lieu ». À droite, Claude Teyton, un assureur bien connu dans la cité tapissière, manifeste clairement son intention de se porter candidat depuis plusieurs semaines.
Auzances. Valérie Simonet, maire de Bussière-Nouvelle et conseiller général sortant UMP, repart. Son adversaire socialiste pourrait être Alain Vigneresse, conseiller municipal d'Auzances.
Bellegarde-en-Marche. L'ancien sénateur et président du Conseil général Michel Moreigne ne se représente pas. Le PS lui a trouvé un successeur en la personne de Jean-Paul Joulot, le maire de Bosroger, qui partirait avec Jacqueline Jary, maire de Mainsat, comme remplaçante.
Bonnat. Le conseiller général divers gauche Jean Commergnat repart pour un tour. Pour l'instant, on ignore qui la droite va choisir pour l'affronter.
Bourganeuf. Le président de l'assemblée départementale Jean-Jacques Lozach repart bien évidemment. Il pourrait avoir face à lui sa plus fidèle adversaire la conseillère régionale UMP Michèle Suchaud.
Chambon-sur-Voueize. Joël Souchal, après avoir hésité, ne repart pas. L'UMP a choisi son secrétaire départemental, le jeune maire de Nouhant Nicolas Simonnet, pour lui succéder. À gauche, le PS a désigné Anne Bridoux, maire de Saint-Loup.
Châtelus-Malvaleix. Le conseiller général sortant UMP Gérard Gaudin est à nouveau candidat. Il retrouvera en face de lui, comme lors du précédent scrutin, le maire PS de Châtelus-Malvaleix Jean-François Bouchet.
Gentioux-Pigerolles. Sans surprise, le conseiller général sortant PS Jean-Luc Léger se représente. Pas de candidat connu pour l'instant à droite, mais il pourrait bien y avoir un candidat écologiste sur ce canton où Europe Écologie a fait un excellent score aux dernières élections régionales (près de 22 %). Ce candidat pourrait être une candidate en la personne de Catherine Moulin, maire de Faux-la-Montagne, qui figurait précisément sur la liste Europe Écologie aux dernières régionales.
Le Grand Bourg. Conseiller général sortant, Guy Moutaud ne se représente pas. Le PS a choisi Didier Bardet, le maire de Fleurat, pour lui succéder. À droite, on évoque le nom de Michel Monnet, le maire de Saint-Étienne-de-Fursac pour porter les couleurs de l'opposition départementale.
Guéret Sud-Est. Conseiller général sortant, Guy Avizou, le « Monsieur Culture » de la gauche guérétoise, repart sous les couleurs du PS. Pas de candidat déclaré à droite pour l'instant.
Royère-de-Vassivière. Bernard Laborde (PS) est candidat à sa propre succession dans un canton où la droite n'a pas encore fait connaître le nom de celui qu'elle a choisi.
Saint-Sulpice-les-Champs. Le retrait du divers gauche Daniel Delprato ouvre, semble-t-il, des appétits. Le PS a choisi Michel Conchon, le maire de Sous-Parsat, pour le représenter, mais on annonce, sans donner de nom, un autre candidat divers gauche. À droite, certains avancent le nom de Monique Depeige, l'ancien maire de Saint-Sulpice-les-Champs, pour porter leurs couleurs, mais rien ne serait pour l'instant décidé.
Mais c'est quoi ces élections ?
En France, l'élection cantonale permet d'élire les conseillers généraux.
La durée du mandat d'un conseiller général est de 6 ans. Les conseils généraux sont renouvelés par moitié tous les trois ans. Les dernières élections cantonales ont eu lieu les 9 et 16 mars 2008 et les prochaines auront lieu les 20 et 27 mars 2011 .
Ces élections ont lieu, depuis 1998, le même jour que des élections municipales ou régionales. Ce ne sera pas le cas en 2011. Le mandat des conseillers généraux élus en mars 2011 expirera exceptionnellement en mars 2014. Les conseillers généraux seront donc élus pour un mandat réduit à 3 ans[1].
Un projet de loi examiné en conseil des ministres le 21 octobre 2009 prévoit notamment la suppression des conseillers généraux et des conseillers régionaux et leur remplacement par des conseillers territoriaux élus au niveau des cantons qui siègeraient dans les deux assemblées[2].
Cette institution a plusieurs missions. Elle vote le budget pour le département et définit ses grandes orientations politiques, en se réunissant tous les deux mois environ. En voici quelques unes : l'action sociale (insertion des personnes en difficulté, RMI, aide aux personnes handicapées), la culture (archives départementales, musées, bibliothèques), l'éducation (gestion des collèges), la voirie (gestion des routes départementales et nationales d'intérêt local, transports scolaires et urbains), questions de logement...
Arrivée du nouveau préfet en Creuse
Claude Serra est le nouveau préfet de la creuse
Claude Serra, sous-prefet de Grasse, nommé préfet de la Creuse
Claude Serra est le successeur d'Hugues Moutouh, qui a rejoint, il y a quelques jours seulement, l'équipe de campagne de Nicolas Sarkozy.
Agé de 61 ans, Claude Serra est né en allemagne mais d'origine corse. Diplômé de Sciences Po et de l'Institut et des Hautes Etudes Européennes.
En Creuse, Claude Serra vient prendre son premier poste de préfet. Depuis 2003, il était sous-prefet de Grasse.
Claude Serra, sous-prefet de Grasse, nommé préfet de la Creuse
Claude Serra est le successeur d'Hugues Moutouh, qui a rejoint, il y a quelques jours seulement, l'équipe de campagne de Nicolas Sarkozy.
Agé de 61 ans, Claude Serra est né en allemagne mais d'origine corse. Diplômé de Sciences Po et de l'Institut et des Hautes Etudes Européennes.
En Creuse, Claude Serra vient prendre son premier poste de préfet. Depuis 2003, il était sous-prefet de Grasse.
mardi 1 février 2011
Hôtel-château Sallandrouze, c'est la loose
Le dernier acte sera la vente du château. L'avant dernier s'est déroulé hier en début d'après-midi. M° Turpin a vendu, aux enchères, le mobilier et le matériel de cuisine du seul hôtel-restaurant quatre étoiles de la Creuse. Fin de rêve sur les hauteurs d'Aubusson.
De trente à quarante personnes sont réunies dans la cour du château, attentives aux propos du commissaire-priseur, M° Alain Turpin. Les nuages cachent un timide soleil, mais en ce début d'après-midi, le thermomètre ne parvient pas à franchir la barre du zéro degré. Fort heureusement pour les curieux, la vente aux enchères de l'ensemble du mobilier et du matériel de cuisine de l'Hôtel-château Sallandrouze ne prendra que quelques minutes.
Plusieurs professionnels renommés et des retraités de la gastronomie creusoise, mais aussi des Aubussonnais composent l'assistance. Visiblement aucun d'acquéreur potentiel n'est physiquement au rendez-vous.
Les persiennes de la maison bourgeoise, édifiée par la famille Sallandrouze dans les années 1880, sont fermées. À côté de la porte d'entrée, un panneau indique Hôtel 4 étoiles. À l'intérieur, des meubles sont rassemblés au milieu du grand salon, les salles à manger semblent prêtes à régaler des convives qui ne viendront plus. Les chambres sont restées en l'état, comme si leurs occupants étaient partis la veille. Seuls des prospectus touristiques indiquent que le temps a passé. Ils rappellent l'éphémère splendeur d'un établissement qui ambitionnait d'incarner le prestige. Le rêve a duré un peu plus d'un an.
Il a nécessité un investissement de 2,7 M? et coûté 368.000 ? aux contribuables limousins, du fait de la subvention accordée par le Conseil régional.
Les dix chambres, toutes différentes, avec chacune une salle de bain personnalisée, flattent le regard. Leur mobilier, réalisé dans « le goût français », pour reprendre l'expression de l'une des anciennes gérantes, a de l'allure même s'il a été fabriqué avec du bois blanc, spécialement pour l'hôtel, dans des ateliers d'Égypte, selon les directives d'un architecte-décorateur Sud-africain. Les lits, les canapés, les fauteuils, les chaises confèrent une impression de luxe. Des canapés, comble du chic, portent dans leur tissu la signature Sallandrouze, un clin d'oeil à la famille qui a fait bâtir ce château et quelques autres sur les hauteurs d'Aubusson. Les murs sont parés de papier peint de style et agrémentés de larges miroirs, de grands lustres (pas en cristal, mais en matériaux actuels) apportent la lumière. Les tapisseries d'Aubusson ne sont plus accrochées aux murs mais une impression de chic demeure.
lundi 31 janvier 2011
Un 8éme prefet pour la creuse ... !!!!!!
C'est aujourd'hui qu'arrive Claude Serra. Le 8e préfet de la Creuse depuis l'an 2000... C'est dire la brièveté des passages de ceux qui l'ont précédé. Sauf celui d'Henry Feral qui, de 1996 à 2000, a été le plus "long" préfet du département depuis 1969.
Atypique, Henry Feral ? Certainement. D'abord parce qu'il est l'un des plus "longs" préfets qu'ait connu la Creuse depuis 40 ans : trois ans et demi entre 1996 et 2000 quand, depuis, ses successeurs ont peiné à rester plus deux ans.
Et que les derniers en date ont battu des records de brièveté (détenu par J. Fabre : 8 mois).
Atypique aussi par son entrée dans la préfectorale : ce militaire fut l'un des deux premiers gendarmes à rejoindre le corps des préfets grâce à une réforme de 1975.
Atypique, enfin, par la manière dont il en est sorti : depuis 2001, il est maire de la petite commune rurale qui l'a vu naître dans le Tarn, Puycelsi, un des plus beaux villages de France. La Montagne l'a interviewé alors qu'arrive en Creuse, aujourd'hui, le nouveau préfet : Claude Serra.
Est-ce qu'un préfet a besoin de la durée pour bien faire son office ?
En principe, notre formation, nos expériences acquises et l'outil préfectoral présent avant notre arrivée doivent nous permettre d'affronter toutes les situations indifféremment de la durée de notre présence.
Mais en vérité, c'est faux. Il faut un investissement géographique et donc du temps pour connaître non seulement le territoire mais aussi, voire surtout, les hommes et femmes qui le composent. Il faut établir des liens, et sentir le terroir.
Quand j'étais à Lens, il fallait comprendre ce qu'avait été la présence minière pendant plus de 150 ans qui a façonné le terrain et ses habitants. Et aussi les populations étrangères injectées. Cela ne se fait pas en 5 minutes.
Il faut prendre le temps pour arriver à bien faire. Ça prend, au moins, toute la première année. Et encore à condition que l'on s'engage pour découvrir le terroir et ses habitants.
Atypique, Henry Feral ? Certainement. D'abord parce qu'il est l'un des plus "longs" préfets qu'ait connu la Creuse depuis 40 ans : trois ans et demi entre 1996 et 2000 quand, depuis, ses successeurs ont peiné à rester plus deux ans.
Et que les derniers en date ont battu des records de brièveté (détenu par J. Fabre : 8 mois).
Atypique aussi par son entrée dans la préfectorale : ce militaire fut l'un des deux premiers gendarmes à rejoindre le corps des préfets grâce à une réforme de 1975.
Atypique, enfin, par la manière dont il en est sorti : depuis 2001, il est maire de la petite commune rurale qui l'a vu naître dans le Tarn, Puycelsi, un des plus beaux villages de France. La Montagne l'a interviewé alors qu'arrive en Creuse, aujourd'hui, le nouveau préfet : Claude Serra.
Est-ce qu'un préfet a besoin de la durée pour bien faire son office ?
En principe, notre formation, nos expériences acquises et l'outil préfectoral présent avant notre arrivée doivent nous permettre d'affronter toutes les situations indifféremment de la durée de notre présence.
Mais en vérité, c'est faux. Il faut un investissement géographique et donc du temps pour connaître non seulement le territoire mais aussi, voire surtout, les hommes et femmes qui le composent. Il faut établir des liens, et sentir le terroir.
Quand j'étais à Lens, il fallait comprendre ce qu'avait été la présence minière pendant plus de 150 ans qui a façonné le terrain et ses habitants. Et aussi les populations étrangères injectées. Cela ne se fait pas en 5 minutes.
Il faut prendre le temps pour arriver à bien faire. Ça prend, au moins, toute la première année. Et encore à condition que l'on s'engage pour découvrir le terroir et ses habitants.
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dimanche 30 janvier 2011
Avant Premère à Evaux les bains
Résumé du film Rien à déclarer
Francophobe de père en fils et douanier belge trop zélé, Ruben Vandevoorde (Benoît Poelvoorde) se voit contraint et forcé d’inaugurer la première brigade volante mixte franco-belge. Son partenaire français sera Mathias Ducatel (Dany Boon), voisin de douane et ennemi de toujours, qui surprend tout le monde en acceptant de devenir le co-équipier de Vandevoorde et sillonner avec lui les routes de campagnes frontalières à bord d’une 4L d’interception des douanes internationales.
samedi 29 janvier 2011
Le téléfilm Tout est bon dans le cochon avec Saïda Jawad en tournage en Creuse
Les équipes de France 3 Lyon et d'Alchimic Films ont investi tour à tour les communes de Peyrat-la-Nonière et Pionnat, pour le tournage de Tout est bon dans le cochon.
Débuté le 15 novembre à Peyrat-la-Nonière, le tournage du téléfilm Tout est bon dans le cochon fait halte à Pionnat jusqu'au 16 décembre.
Réalisé par David Delrieux et écrit par Saïda Jawad, le téléfilm a trouvé en Creuse, le cadre parfait à sa fiction, tant par les décors que par le thème abordé.
L'actrice-scénariste nous raconte la trame de l'histoire :
« Sophia Eltrani est une jeune femme de 30 ans d'origine marocaine, qui galère à Paris, elle ne trouve pas d'emploi stable, elle vit de petits boulots...
Et puis un jour, on lui propose de reprendre cette charcuterie municipale à Beauséjours et de refabriquer la fameuse Beauséjouroise, la saucisse de porc, spécialité de la commune... Elle n'y connaît rien, en plus est musulmane, mais pour elle c'est l'unique opportunité d'avoir un travail stable, une vie stable ».
Vont s'enchaîner gentils mensonges et quiproquos, rencontre amoureuse et péripéties, au coeur de Beauséjours, qui, peu à peu, va bouleverser sa vie, tout comme elle, va bouleverser la vie du village.
« C'est vrai qu'elle est différente de ces gens-là parce qu'elle vient de la ville, qu'elle est maghrébine, jeune, dynamique, elle est doublement étrangère dans ce village, où on la trouve trop jolie, trop jeune, trop beurette, pour être "charcutière", sourit Saïda Jawad, mais ce qui m'intéressait c'est de montrer que finalement, ce corps étranger, va redonner un peu de vie à ce village, va lui permettre de renaître ».
L'interview de la comédienne Saïda Jawad cliquer
Débuté le 15 novembre à Peyrat-la-Nonière, le tournage du téléfilm Tout est bon dans le cochon fait halte à Pionnat jusqu'au 16 décembre.
Réalisé par David Delrieux et écrit par Saïda Jawad, le téléfilm a trouvé en Creuse, le cadre parfait à sa fiction, tant par les décors que par le thème abordé.
L'actrice-scénariste nous raconte la trame de l'histoire :
« Sophia Eltrani est une jeune femme de 30 ans d'origine marocaine, qui galère à Paris, elle ne trouve pas d'emploi stable, elle vit de petits boulots...
Et puis un jour, on lui propose de reprendre cette charcuterie municipale à Beauséjours et de refabriquer la fameuse Beauséjouroise, la saucisse de porc, spécialité de la commune... Elle n'y connaît rien, en plus est musulmane, mais pour elle c'est l'unique opportunité d'avoir un travail stable, une vie stable ».
Vont s'enchaîner gentils mensonges et quiproquos, rencontre amoureuse et péripéties, au coeur de Beauséjours, qui, peu à peu, va bouleverser sa vie, tout comme elle, va bouleverser la vie du village.
« C'est vrai qu'elle est différente de ces gens-là parce qu'elle vient de la ville, qu'elle est maghrébine, jeune, dynamique, elle est doublement étrangère dans ce village, où on la trouve trop jolie, trop jeune, trop beurette, pour être "charcutière", sourit Saïda Jawad, mais ce qui m'intéressait c'est de montrer que finalement, ce corps étranger, va redonner un peu de vie à ce village, va lui permettre de renaître ».
L'interview de la comédienne Saïda Jawad cliquer
Candidats UMP aux cantonales : Prêcher le quotidien, pas le sarkozysme
Se présenter proches des Creusois loin des querelles politiciennes... Telle était l'ambition, hier, des neuf candidats aux cantonales 2011 réunis autour de Jean Auclair. Au point de s'afficher plus "Creusois" que "Sarkozystes".
Si le ton de la campagne, à droite, a été donné par la présentation de ses candidats aux cantonales 2011, hier à Saint-Sulpice-les-Champs, alors elle sera... gentille.
Si gentille que lesdits candidats ont expliqué avoir choisi cette commune et ce canton pour rencontrer la presse, juste car l'on était au centre du département, parmi une population pouvant symboliser les aspirations de tous les Creusois.Le fait que le PS ait subi un revers, ici, en perdant son candidat - Michel Conchon - qui lui a claqué dans les doigts, il y a quelques semaines, n'a donc rien à voir dans l'affaire. Gentil, donc.
Si gentil, que la liste a été présentée et, l'esprit de la campagne détaillée par Valérie Simonet, conseillère générale d'Auzances, la figure la plus avenante que l'UMP puisse proposer avec son pendant masculin, Jean-Baptiste Auroy, candidat à reprendre ce canton de Saint-Sulpice à la gauche.
Deux gentils, donc... mais où était donc Jean Auclair ? Au second rang, discret, maugréant à peine et laissant parler et se dérouler ce long fleuve tranquille qui doit embarquer les Creusois dans un contrat de proximité avec ce camp...
Quel est-il d'ailleurs ? UMP ? « Non, nous ne voulons pas faire de la politique politicienne, nous voulons nous mettre au service des Creusois, c'est tout, tonne Jean Auclair en reprenant de la voix. Nous ne sommes pas comme le PS qui veut des encartés dans tous les cantons ».
Il y aura donc des UMP, mais pas que... D'ailleurs, on pose la question à la cantonade : « Êtes-vous tous sarkozystes, au moins ? ».
Et plusieurs têtes répondent par la négative.La proximité, donc... La mieux à même de faire oublier que le pouvoir en place à l'Élysée est en panne de popularité : « Des cantonales, ce sont des élections locales, rien à voir avec le national », souligne Jean Auclair.
La proximité que veulent refléter les réflexions du tandem Simonet\Auroy, c'est celle du quotidien : « Celle de la famille qui a besoin de faire garder le petit, qui a besoin du transport scolaire, que veut se faire soigner... ».Prêcher le quotidien, pas le sarkozysme
Et de détailler en quoi, s'ils réussissent l'alternance, ils orienteront les décisions du Conseil général dans l'amélioration de ce quotidien. En réfléchissant au mode de gardes de proximité, en finançant l'installation de médecins par des bourses, en privilégiant l'amélioration du réseau de voirie départementale plutôt que les projets « surdimensionnés » de l'actuelle majorité...
« Avait-on besoin d'une aussi grosse médiathèque à Guéret ? D'un aussi gros conservatoire ? A-t-on besoin d'un aussi gros musée de la Tapisserie à Aubusson ? Interroge Gérard Gaudin (Châtelus-Malvaleix, sortant). Des projets à la dimension de la Creuse, oui ! Et cela fera quelques millions de plus à mettre sur nos routes départementales ».
Et les "Auclairistes" - puisqu'il faudra bien les qualifier un jour - de défendre deux points de vue : le Département ne pilote pas assez les grands projets devant répondre aux plus évidents besoins de la Creuse.
Que ce soit les maisons de santé - « pourquoi est-il absent du dossier des maisons de santé ? Pourquoi ne propose-t-il pas un maillage entre elles ? - ou la petite enfance.
Ensuite, ils proposent une nouvelle manière de distribuer les financements départements. Actuellement, les communes doivent obéir à des critères avant de pouvoir passer au guichet départemental.
Cela devant garantir une attribution équitable en fonction de données objectives. Valérie Simonet, elle, préfère parler « d'équité » : « Il y a des secteurs creusois qui ont besoin de plus de soutiens que d'autres, il faudrait savoir les privilégier en fonction de leurs difficultés réelles et de leurs handicaps ».
par La Montagne
Si le ton de la campagne, à droite, a été donné par la présentation de ses candidats aux cantonales 2011, hier à Saint-Sulpice-les-Champs, alors elle sera... gentille.
Si gentille que lesdits candidats ont expliqué avoir choisi cette commune et ce canton pour rencontrer la presse, juste car l'on était au centre du département, parmi une population pouvant symboliser les aspirations de tous les Creusois.Le fait que le PS ait subi un revers, ici, en perdant son candidat - Michel Conchon - qui lui a claqué dans les doigts, il y a quelques semaines, n'a donc rien à voir dans l'affaire. Gentil, donc.
Si gentil, que la liste a été présentée et, l'esprit de la campagne détaillée par Valérie Simonet, conseillère générale d'Auzances, la figure la plus avenante que l'UMP puisse proposer avec son pendant masculin, Jean-Baptiste Auroy, candidat à reprendre ce canton de Saint-Sulpice à la gauche.
Deux gentils, donc... mais où était donc Jean Auclair ? Au second rang, discret, maugréant à peine et laissant parler et se dérouler ce long fleuve tranquille qui doit embarquer les Creusois dans un contrat de proximité avec ce camp...
Quel est-il d'ailleurs ? UMP ? « Non, nous ne voulons pas faire de la politique politicienne, nous voulons nous mettre au service des Creusois, c'est tout, tonne Jean Auclair en reprenant de la voix. Nous ne sommes pas comme le PS qui veut des encartés dans tous les cantons ».
Il y aura donc des UMP, mais pas que... D'ailleurs, on pose la question à la cantonade : « Êtes-vous tous sarkozystes, au moins ? ».
Et plusieurs têtes répondent par la négative.La proximité, donc... La mieux à même de faire oublier que le pouvoir en place à l'Élysée est en panne de popularité : « Des cantonales, ce sont des élections locales, rien à voir avec le national », souligne Jean Auclair.
La proximité que veulent refléter les réflexions du tandem Simonet\Auroy, c'est celle du quotidien : « Celle de la famille qui a besoin de faire garder le petit, qui a besoin du transport scolaire, que veut se faire soigner... ».Prêcher le quotidien, pas le sarkozysme
Et de détailler en quoi, s'ils réussissent l'alternance, ils orienteront les décisions du Conseil général dans l'amélioration de ce quotidien. En réfléchissant au mode de gardes de proximité, en finançant l'installation de médecins par des bourses, en privilégiant l'amélioration du réseau de voirie départementale plutôt que les projets « surdimensionnés » de l'actuelle majorité...
« Avait-on besoin d'une aussi grosse médiathèque à Guéret ? D'un aussi gros conservatoire ? A-t-on besoin d'un aussi gros musée de la Tapisserie à Aubusson ? Interroge Gérard Gaudin (Châtelus-Malvaleix, sortant). Des projets à la dimension de la Creuse, oui ! Et cela fera quelques millions de plus à mettre sur nos routes départementales ».
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par La Montagne
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vendredi 28 janvier 2011
recherche magasin pour dépot point relais
Que reherche MD Services
Des points relais dans chaque ville et villages de France Métropolitaine où faire livrer les colis de son client « photos-fun «
Pour les villes de 0 à 2000 habitants : 1 point relais
Pour les villes de 1000 à 3000 habitants :2 points relais
Pour les villes de 3000 à 5000 habitants : 3 points relais
Pour les villes de 5000 à 10000 habitants : 4 points relais
Pour les villes de 10000 et plus habitants : 5 à 10 points relais
Pour le démarrage nous pourrions voir à la hausse ses chiffres dès que nécessaire
Ce que nous offrons
- Une commission , une fois par mois , de 15% du montant total des colis que nos points relais reçoivent et restitue aux clients .cette commission est versée par virement bancaire comme l’exige la loi Française et Européenne .
- Nous répertorions tous nos points relais sur le site www.photos-fun.com.
- Nous signons une convention de 12 mois renouvelable par tacite reconduction si l’une des deux parties ne résilie pas. En cas de cessation d’activité la convention s’annule sans délais sur simple demande.
- Pas d’investissement financier, ni de frais d’adhésion ni de caution
- Qui cherchons nous ?
- Tous commerçants, artisans avec pignon sur rue avec un numéro de siret français dans n’importe quelle ville de France Métropolitaine désireuse d’augmenter ses revenus facilement et sans risques
- Pourquoi signer avec MD Services ?
- Pour avoir une revenu supplémentaire n’est pas la seul bonne raison, il y a aussi le fait que certains clients qui ne venaient pas nécessairement dans votre magasin viendront rechercher leurs colis, mais aussi … pas de soucis de clients mécontent MD Services règle tous avec le sourire et la rapidité
- Qui contacter ?
- Muriel DEBRUYNE AU 06 66 13 44 02 ou infomdservices@gmail.com .
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jeudi 27 janvier 2011
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Les nouveaux directeurs du casino d'Evaux les bains
crédit photo : La Montagne |
Originaire du nord, la directrice à intégrée dans le groupe Partouche il y a 32 ans.
Après 27 années à Saint Amand les eaux, c'est en 2006 que Sylvie prend la direction du nouveau casino de "La Ronce les bains" (Tremblade) ou j'ai eu le plaisir de faire quelques animations.
Elle dirige maintenant le casino d'Evaux les bains en remplacement de monsieur Sauvanet qui nous a quitté pour Saint Nectaire en début d'année.
"Bienvenue au chti's" en creuse dans ce beau casino à Evaux les bains.
Ils ont frôlé la mort sur la RCEA, encore et encore cela va s'arrêtter quand ?
«Je n’ai qu’une seule vie ». La chanson de Gérald De Palmas résonne au quotidien dans la tête de Laurent Marsan. Comme un mantra pour canaliser un esprit incessamment tourmenté. Depuis ce 6 janvier 1997. Accident sur la RCEA, à Cressanges, dans l’Allier : « D’une extrême violence. Il y a la vie avant et la vie après ». Et quatorze ans après, « cet accident, c’est comme un chewing-gum que tu étires à l’infini. Tu as un gros bout dans la bouche et il s’affine au fur et à mesure que tu l’allonges ».
Dernier jour des vacances de Noël. Laurent, sa femme, Sophie, et leurs quatre enfants, rentrent à Saint-Jacques-des-Blats, dans le Cantal, à bord du J5 qu’il conduit. Laurent aperçoit soudain face à lui « un véhicule de neuf places couché, qui glisse avec sa remorque, en travers des deux voies. J’ai hurlé “non” en écrasant le frein ». Même à « 60-70 », le choc est inévitable : un mort ; treize blessés.
Des mois d’hospitalisation et de rééducation. Fracture et luxation de la hanche, nerf sciatique endommagé, Laurent est opéré et hospitalisé à Moulins, puis en centre de rééducation, jusqu’en avril. Avec Louison, 4 ans, jambes et fémurs brisés. Zoé, 2 ans, souffre de contusions. Léa, 4 mois, est indemne. Plus grièvement blessé (jambe et bras cassés ; fracture ostéo-méningée entre les yeux), Simon, 5 ans, est transféré à Clermont-Ferrand, où il sera plongé quinze jours dans le coma et hospitalisé cinq mois. Sa mère, Sophie, polytraumatisée, devra subir treize interventions chirurgicales (pieds, jambes, ?il, etc.) avant de retrouver figure humaine.
Dernier jour des vacances de Noël. Laurent, sa femme, Sophie, et leurs quatre enfants, rentrent à Saint-Jacques-des-Blats, dans le Cantal, à bord du J5 qu’il conduit. Laurent aperçoit soudain face à lui « un véhicule de neuf places couché, qui glisse avec sa remorque, en travers des deux voies. J’ai hurlé “non” en écrasant le frein ». Même à « 60-70 », le choc est inévitable : un mort ; treize blessés.
Des mois d’hospitalisation et de rééducation. Fracture et luxation de la hanche, nerf sciatique endommagé, Laurent est opéré et hospitalisé à Moulins, puis en centre de rééducation, jusqu’en avril. Avec Louison, 4 ans, jambes et fémurs brisés. Zoé, 2 ans, souffre de contusions. Léa, 4 mois, est indemne. Plus grièvement blessé (jambe et bras cassés ; fracture ostéo-méningée entre les yeux), Simon, 5 ans, est transféré à Clermont-Ferrand, où il sera plongé quinze jours dans le coma et hospitalisé cinq mois. Sa mère, Sophie, polytraumatisée, devra subir treize interventions chirurgicales (pieds, jambes, ?il, etc.) avant de retrouver figure humaine.
Un nouveau propriétaire pour le casino, monsieur sauvanet
« Il n'y a pas de hasard dans la vie, il n'y en a qu'au jeu. »
Thierry Sauvanet, nouveau propriétaire du casino de Saint-Nectaire n'imaginait pas, voilà un an, un tel challenge à 50 ans. Depuis quelques jours, il est le nouveau propriétaire de la SAS qui exploite le casino de Saint-Nectaire et prend ainsi, près de 40 ans après, la succession de son père qui avait exploité l'établissement de 1964 à 1970.
Au-delà du clin d'oeil familial, Thierry Sauvanet et Zed, sa compagne, veulent redorer le blason de ce casino en grande difficulté depuis plusieurs années.
« Le secret de la réussite est lié aux jeux et aux animations, explique le nouveau propriétaire. Après avoir été fermé pendant un an et demi, nous rouvrons le restaurant demain. Dès ce soir (jeudi, NDLR), nous organisons notre première soirée à thème en célébrant le nouvel an russe. Le 14 février nous fêterons la Saint-Valentin avec une animation cubaine. Dans le cahier des charges qui nous lie avec la commune, nous avons aussi inscrit des soirées cabaret, théâtre, des thés dansant. Au cours de l'été nous participerons aussi à l'animation de la commune avec des animations en extérieur. Bref, il faut redonner un esprit casino, un esprit fête à ce lieu ».
Successivement directeur des casinos de Royat, Châtel-Guyon, Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes) et jusqu'au 31 décembre dernier d'Évaux-les-Bains (Creuse), appartenant tous au groupe Partouche, Thierry Sauvanet est à la tête d'un établissement qui compte 28 salariés, 50 machines à sous, une table de jeux, une salle de spectacle, un bar lounge et un restaurant. (*).
Le groupe Partouche, qui se désengage des casinos à faible rentabilité, avait décroché la délégation de service public lancé par la commune, propriétaire du bâtiment, avant de céder ses actions à Thierry Sauvanet. Ce dernier attend désormais le renouvellement de son autorisation d'exploiter les jeux prévus en mars prochain. L'ouverture d'une table de poker a d'ailleurs été demandée. Quant au résultat, sans préjuger, Thierry Sauvanet explique que « nous avons fait en sorte de répondre aux attentes de la municipalité et de la police des jeux, nous ne pouvons donc qu'être optimistes ».
Thierry Sauvanet, nouveau propriétaire du casino de Saint-Nectaire n'imaginait pas, voilà un an, un tel challenge à 50 ans. Depuis quelques jours, il est le nouveau propriétaire de la SAS qui exploite le casino de Saint-Nectaire et prend ainsi, près de 40 ans après, la succession de son père qui avait exploité l'établissement de 1964 à 1970.
Au-delà du clin d'oeil familial, Thierry Sauvanet et Zed, sa compagne, veulent redorer le blason de ce casino en grande difficulté depuis plusieurs années.
« Le secret de la réussite est lié aux jeux et aux animations, explique le nouveau propriétaire. Après avoir été fermé pendant un an et demi, nous rouvrons le restaurant demain. Dès ce soir (jeudi, NDLR), nous organisons notre première soirée à thème en célébrant le nouvel an russe. Le 14 février nous fêterons la Saint-Valentin avec une animation cubaine. Dans le cahier des charges qui nous lie avec la commune, nous avons aussi inscrit des soirées cabaret, théâtre, des thés dansant. Au cours de l'été nous participerons aussi à l'animation de la commune avec des animations en extérieur. Bref, il faut redonner un esprit casino, un esprit fête à ce lieu ».
Successivement directeur des casinos de Royat, Châtel-Guyon, Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes) et jusqu'au 31 décembre dernier d'Évaux-les-Bains (Creuse), appartenant tous au groupe Partouche, Thierry Sauvanet est à la tête d'un établissement qui compte 28 salariés, 50 machines à sous, une table de jeux, une salle de spectacle, un bar lounge et un restaurant. (*).
Le groupe Partouche, qui se désengage des casinos à faible rentabilité, avait décroché la délégation de service public lancé par la commune, propriétaire du bâtiment, avant de céder ses actions à Thierry Sauvanet. Ce dernier attend désormais le renouvellement de son autorisation d'exploiter les jeux prévus en mars prochain. L'ouverture d'une table de poker a d'ailleurs été demandée. Quant au résultat, sans préjuger, Thierry Sauvanet explique que « nous avons fait en sorte de répondre aux attentes de la municipalité et de la police des jeux, nous ne pouvons donc qu'être optimistes ».
Les deux soeurs disparues retrouvées dans un hôpital
Les deux soeurs disparues retrouvées dans un hôpital
Agrandir la photo .Articles liés
Ouf! Les deux soeurs de 13 mois et 12 ans disparues à Cergy-Pontoise ont été retrouvées
Elles avaient disparu mardi midi de leur domicile familial, situé dans le quartier des Linandes vertes à Cergy, dans le Val-d'Oise. Les deux soeurs, Rose-Kerlie et Elisabeth, âgées de 12 ans et de 15 mois, ont finalement été retrouvées saines et sauves mercredi soir à l'hôpital de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), a indiqué la préfecture du Val-d'Oise, confirmant une information de la radio RTL .
Retrouvées par une dame mercredi midi dans la rue, l'adolescente et sa petite soeur ont d'abord été conduites à la caserne des pompiers de Levallois, puis à l'hôpital. Ce n'est que jeudi matin que les pompiers ont fait le rapprochement avec la disparition de Rose-Kerlie et d'Elizabeth, pour qui un appel à témoins avait été lancé mercredi après-midi par la police. Une centaine de policiers, quinze pompiers accompagnés de six chiens et un bateau équipé d'un sonar circulant sur l'Oise avaient également été mobilisés pour les recherches.
Enlèvement écarté dès mercredi
Mercredi, le procureur de la République du Val-d'Oise avait écarté la piste d'un «enlèvement» ou d'une «infraction pénale». «La maman des deux fillettes, qui les élève seule, s'est aperçue à son retour qu'elles n'étaient plus au domicile familial situé dans le quartier des linandes vertes à Cergy», avait précisé Le Parisien . «Elles se trouvaient dans l'appartement en présence de leur soeur aînée qui, elle, a repris le chemin du collège. Elles auraient ensuite été accueillies par un voisin. Depuis, les parents sont dans l'attente». Rose-Kerlie, 12 ans, est «handicapée», souffrant «d'un retard mental» et d'asthme, selon l'appel à témoin qui avait été lancé par la police.
Mercredi matin, l'un des chiens des pompiers avait marqué la trace des fillettes au niveau de la gare des Hauts de Cergy... lire la suite de l'article sur www.lefigaro.fr
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Retrouvées par une dame mercredi midi dans la rue, l'adolescente et sa petite soeur ont d'abord été conduites à la caserne des pompiers de Levallois, puis à l'hôpital. Ce n'est que jeudi matin que les pompiers ont fait le rapprochement avec la disparition de Rose-Kerlie et d'Elizabeth, pour qui un appel à témoins avait été lancé mercredi après-midi par la police. Une centaine de policiers, quinze pompiers accompagnés de six chiens et un bateau équipé d'un sonar circulant sur l'Oise avaient également été mobilisés pour les recherches.
Enlèvement écarté dès mercredi
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Mercredi matin, l'un des chiens des pompiers avait marqué la trace des fillettes au niveau de la gare des Hauts de Cergy... lire la suite de l'article sur www.lefigaro.fr
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POUR DES REMPLACEMENTS DE CONGES D'ETE 2011, VOUS AIDEZ LA PERSONNE A SON MAINTIEN A DOMICILE (AIDE AU LEVER,COUCHER, A S'HABILLER, A LA REALISATION DES REPAS, FAIRE LES COURSES, NETTOYAGE ET ENTRETIEN DE LA MAISON,ENTRETIEN DU LINGE, PROMENADE...), PHASE DE RECRUTEMENT FIN MAI 2011.
anpe Aubusson
anpe Aubusson
mercredi 26 janvier 2011
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