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samedi 14 août 2010
Intempéries : alerte aux fortes pluies dans 10 départements
Pas de soleil pour ce week-end du 15 août. Mais de fortes pluies orageuses sont attendues dans le quart nord-est de la France à partir de samedi soir et durant la nuit de samedi à dimanche, annonce samedi matin Météo France. Les fortes précipitations débuteront sur le Jura en soirée et se poursuivront pendant la nuit de samedi à dimanche en s'étendant vers le nord et l'ouest.
Les prévisions à cinq jours
L'alerte orange a été décrétée dans dix départements et, selon Météo France, des inondations sont possibles. Les cumuls de pluie pourront atteindre, selon la même source, 30 à 50 mm et douze heures et 50 à 80 mm en vingt-quatre heures.
Les conditions de circulation routières peuvent être rendues difficiles, la visibilité peut être réduite, et quelques perturbations peuvent affecter les transports ferroviaires. Des coupures d'électricité sont également prévisibles, poursuit Météo France qui recommande aux automobilistes de se renseigner avant d'entreprendre des déplacements, de respecter les déviations mises en place et de ne pas s'engager à pied ou en voiture sur une voie immergée.
Routes très chargées en raison du retour des vacanciers
Bison futé a hissé le drapeau rouge samedi sur les routes de France en raison du reflux des vacanciers vers le nord qui a déjà commencé vendredi dans le Midi
Les prévisions à cinq jours
L'alerte orange a été décrétée dans dix départements et, selon Météo France, des inondations sont possibles. Les cumuls de pluie pourront atteindre, selon la même source, 30 à 50 mm et douze heures et 50 à 80 mm en vingt-quatre heures.
Les conditions de circulation routières peuvent être rendues difficiles, la visibilité peut être réduite, et quelques perturbations peuvent affecter les transports ferroviaires. Des coupures d'électricité sont également prévisibles, poursuit Météo France qui recommande aux automobilistes de se renseigner avant d'entreprendre des déplacements, de respecter les déviations mises en place et de ne pas s'engager à pied ou en voiture sur une voie immergée.
Routes très chargées en raison du retour des vacanciers
Bison futé a hissé le drapeau rouge samedi sur les routes de France en raison du reflux des vacanciers vers le nord qui a déjà commencé vendredi dans le Midi
Accident d'autocar dans le Nord : un mort et trois blessés graves
Un autocar néerlandais a fait une sortie de route sur l'autoroute A2 au niveau de Crespin (Nord) vendredi soir, faisant au moins un mort et trois blessés graves parmi les passagers, selon la préfecture du Nord.
Parmi les 37 passagers que transportait l'autocar de 52 places, quatorze ont également été légèrement blessés et dix-neuf étaient indemnes.
Le pronostic vital des trois blessés graves est engagé et parmi les quatorze blessés légers, trois ou quatre pourraient finalement être considérés comme graves, selon la préfecture.
L'autocar Eurolines immatriculé aux Pays-Bas, qui roulait dans le sens Bruxelles/Paris, était seul en cause dans l'accident. «A priori le chauffeur s'est assoupi», ont indiqué la gendarmerie et une source policière.
Parmi les passagers, se trouvaient des personnes d'une douzaine de nationalités différentes, dont des Français, des Anglais, des Néerlandais, des Chiliens et des Italiens, selon la préfecture.
Des pompiers du Nord, ainsi que des pompiers belges sont intervenus, l'accident ayant eu lieu à quelques kilomètres à peine de la frontière belge.
Parmi les 37 passagers que transportait l'autocar de 52 places, quatorze ont également été légèrement blessés et dix-neuf étaient indemnes.
Le pronostic vital des trois blessés graves est engagé et parmi les quatorze blessés légers, trois ou quatre pourraient finalement être considérés comme graves, selon la préfecture.
L'autocar Eurolines immatriculé aux Pays-Bas, qui roulait dans le sens Bruxelles/Paris, était seul en cause dans l'accident. «A priori le chauffeur s'est assoupi», ont indiqué la gendarmerie et une source policière.
Parmi les passagers, se trouvaient des personnes d'une douzaine de nationalités différentes, dont des Français, des Anglais, des Néerlandais, des Chiliens et des Italiens, selon la préfecture.
Des pompiers du Nord, ainsi que des pompiers belges sont intervenus, l'accident ayant eu lieu à quelques kilomètres à peine de la frontière belge.
jeudi 12 août 2010
Le ministre de l'Agriculture veut un accord rapide sur le prix du lait
La journée sera décisive pour les producteurs de lait. Les éleveurs en colère avaient donné jusqu'au jeudi 12 août aux transformateurs pour revenir à la table des négociations sur le prix du lait.
Sans quoi ils multiplieraient les actions. Sous pression, les coopératives Laïta et Sodiaal (qui fabrique notamment les yaourts Yoplait) et les industriels comme Lactalis (Camembert Président), Bel (Vache qui rit) et Bongrain (Caprice des Dieux) ont accepté de recevoir des délégations des producteurs de lait à 11 heures jeudi à leurs différents sièges sociaux à Paris, Brest et Laval. Dans la matinée, le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire a affiché sa volonté de mettre un terme à la crise.
Le ministre de l'Agriculture a réclamé un accord sur les prix du lait pour l'année 2010 «dans les heures qui viennent». «Les producteurs ne peuvent plus attendre», a martelé Bruno Le Maire sur RMC. Il s'est dit prêt à examiner la question de la compétitivité entre la France et l'Allemagne, où le lait est moins cher. Mais, selon lui, «nous ne pourrons régler sereinement ce problème de compétitivité que si la question du prix du lait jusqu'à la fin de l'année 2010 est réglée sereinement».
Accord de juin 2009
Les producteurs, représentés par la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), des Jeunes Agriculteurs (JA) et de la Fédération nationale des producteurs laitiers (FNPL) veulent que l'accord de juin 2009 sur le prix du lait soit respecté. Après une année 2009 «catastrophique», cet accord devait fixer le prix du lait à 330 euros les 1000 litres. Loin devant les 313,6 euros (1000 litres) proposés par Lactalis.
Pour justifier leur position, les laiteries font valoir leur difficulté face à la concurrence allemande. Les prix pratiqués Outre-Rhin sont effectivement plus bas mais les producteurs de lait avancent que les marchés mondiaux sont bien meilleurs que'en 2009 et qu'ils aimeraient profiter de la reprise.
Les producteurs reçus chez les transformateurs
Devant le siège social de Bel, à Paris, Thierry Roquefeuil, secrétaire général de la Fédération nationale des producteurs laitiers (FNPL), a déclaré attendre des «explications» sur la raison pour laquelle le groupe ne respecte pas l'accord de 2009. Bel a proposé des rendez-vous en septembre mais pour lui «septembre c'est beaucoup trop tard. On espère qu'ils ont évolué sur leur position», a-t-il dit avant de rencontrer la direction.
Chez Sodiaal, où une trentaine de producteurs de lait ont apposé des étiquettes appelant au boycott sur les vitrines de la coopérative, son président, François Iches a revendiqué un «esprit constructif», avant le début des négociations.
A Laval, en Bretagne, une trentaine de producteurs se sont présentés chez Lactalis. «Aujourd'hui, c'est une séance d'explication», a indiqué Christiane Lambert, vice-présidente de la FNSEA, principal syndicat agricole. Elle a dit vouloir que «les cinq principaux industriels s'engagent à venir à la table des négociations pour le 20 août pour respecter» l'accord interprofessionnel sur les prix du lait de 2009.
Sans quoi ils multiplieraient les actions. Sous pression, les coopératives Laïta et Sodiaal (qui fabrique notamment les yaourts Yoplait) et les industriels comme Lactalis (Camembert Président), Bel (Vache qui rit) et Bongrain (Caprice des Dieux) ont accepté de recevoir des délégations des producteurs de lait à 11 heures jeudi à leurs différents sièges sociaux à Paris, Brest et Laval. Dans la matinée, le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire a affiché sa volonté de mettre un terme à la crise.
Le ministre de l'Agriculture a réclamé un accord sur les prix du lait pour l'année 2010 «dans les heures qui viennent». «Les producteurs ne peuvent plus attendre», a martelé Bruno Le Maire sur RMC. Il s'est dit prêt à examiner la question de la compétitivité entre la France et l'Allemagne, où le lait est moins cher. Mais, selon lui, «nous ne pourrons régler sereinement ce problème de compétitivité que si la question du prix du lait jusqu'à la fin de l'année 2010 est réglée sereinement».
Accord de juin 2009
Les producteurs, représentés par la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), des Jeunes Agriculteurs (JA) et de la Fédération nationale des producteurs laitiers (FNPL) veulent que l'accord de juin 2009 sur le prix du lait soit respecté. Après une année 2009 «catastrophique», cet accord devait fixer le prix du lait à 330 euros les 1000 litres. Loin devant les 313,6 euros (1000 litres) proposés par Lactalis.
Pour justifier leur position, les laiteries font valoir leur difficulté face à la concurrence allemande. Les prix pratiqués Outre-Rhin sont effectivement plus bas mais les producteurs de lait avancent que les marchés mondiaux sont bien meilleurs que'en 2009 et qu'ils aimeraient profiter de la reprise.
Les producteurs reçus chez les transformateurs
Devant le siège social de Bel, à Paris, Thierry Roquefeuil, secrétaire général de la Fédération nationale des producteurs laitiers (FNPL), a déclaré attendre des «explications» sur la raison pour laquelle le groupe ne respecte pas l'accord de 2009. Bel a proposé des rendez-vous en septembre mais pour lui «septembre c'est beaucoup trop tard. On espère qu'ils ont évolué sur leur position», a-t-il dit avant de rencontrer la direction.
Chez Sodiaal, où une trentaine de producteurs de lait ont apposé des étiquettes appelant au boycott sur les vitrines de la coopérative, son président, François Iches a revendiqué un «esprit constructif», avant le début des négociations.
A Laval, en Bretagne, une trentaine de producteurs se sont présentés chez Lactalis. «Aujourd'hui, c'est une séance d'explication», a indiqué Christiane Lambert, vice-présidente de la FNSEA, principal syndicat agricole. Elle a dit vouloir que «les cinq principaux industriels s'engagent à venir à la table des négociations pour le 20 août pour respecter» l'accord interprofessionnel sur les prix du lait de 2009.
Baie du Mont-Saint-Michel : baignades interdites sur plusieurs plages
Les vacanciers de la Baie du Mont-Saint-Michel privés de baignade ! Plusieurs mairies viennent de décréter l'interdiction de mettre les pieds dans l'eau sur plusieurs plages de la côte, face à un risque de pollution après les fortes précipitations de ces derniers jours. Une simple mesure de précaution, en attendant que les analyses soient effectuées.
Sont concernées, trois des quatre plages de Granville (Manche), ainsi que la plus grande plage de Saint-Pair-sur-mer. «Les pluies de ces derniers jours risquent d'augmenter les transferts de pollutions terrestres, essentiellement agricoles (engrais) vers la mer», a expliqué Gérard Sauré, maire-adjoint de Granville.
«Dans une baie fermée comme la baie du Mont-Saint-Michel, le renouvellement ne dépasse pas 20%, à chaque marée. Alors quand il y a de fortes précipitations, après une longue période sans pluie, il y a un lessivage des côtes», a expliqué Louis Forget, maire de Jullouville. L'interdiction sera maintenue si les analyses, attendues jeudi ou vendredi, démontrent bien qu'il y a des traces de pollution.
Sont concernées, trois des quatre plages de Granville (Manche), ainsi que la plus grande plage de Saint-Pair-sur-mer. «Les pluies de ces derniers jours risquent d'augmenter les transferts de pollutions terrestres, essentiellement agricoles (engrais) vers la mer», a expliqué Gérard Sauré, maire-adjoint de Granville.
«Dans une baie fermée comme la baie du Mont-Saint-Michel, le renouvellement ne dépasse pas 20%, à chaque marée. Alors quand il y a de fortes précipitations, après une longue période sans pluie, il y a un lessivage des côtes», a expliqué Louis Forget, maire de Jullouville. L'interdiction sera maintenue si les analyses, attendues jeudi ou vendredi, démontrent bien qu'il y a des traces de pollution.
Défaite honorable en Norvège pour les Bleus de Laurent Blanc
L'équipe de France, sans aucun mondialiste, a perdu en Norvège mercredi soir (1-2). Avec seulement trois jours passés en commun, les Bleus se sont montrés plutôt séduisants en attaque mais trop fébriles en défense.
Le chantier de reconstruction de l'équipe de France est lancé. Et la défaite en Norvège (1-2) ne doit pas complètement occulter les bonnes choses entrevues mercredi soir. Car on avait quitté 23 Bleus, bras ballants, errant sur la pelouse de Bloemfontein en Afrique du Sud,en juin dernier. On en a retrouvé 22 autres, mercredi soir à l'Ullevaal Stadium d'Oslo, nettement plus fringants, notamment en attaque, mais toujours aussi fébriles en défense.
En savoir plus
«Il n'y a pas de défaite encourageante» pour Laurent Blanc
Évidemment, ce n'était qu'un match amical. Un de ceux qui compte habituellement pour du beurre, situé en plein mois d'août et en pleine préparation pour beaucoup de joueurs. Mais le séisme qui a frappé le foot français courant juin a changé le contexte, en même temps qu'il a redessiné la carte du groupe France et ouvert des brèches. S'il est évident que, des 23 grévistes du Mondial, une partie reviendra en équipe de France, certains des 22 convoqués en Norvège par Laurent Blanc sont sans doute bien plus que des intérimaires, malgré la défaite en terre sacndinave.
Le chantier de reconstruction de l'équipe de France est lancé. Et la défaite en Norvège (1-2) ne doit pas complètement occulter les bonnes choses entrevues mercredi soir. Car on avait quitté 23 Bleus, bras ballants, errant sur la pelouse de Bloemfontein en Afrique du Sud,en juin dernier. On en a retrouvé 22 autres, mercredi soir à l'Ullevaal Stadium d'Oslo, nettement plus fringants, notamment en attaque, mais toujours aussi fébriles en défense.
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«Il n'y a pas de défaite encourageante» pour Laurent Blanc
Évidemment, ce n'était qu'un match amical. Un de ceux qui compte habituellement pour du beurre, situé en plein mois d'août et en pleine préparation pour beaucoup de joueurs. Mais le séisme qui a frappé le foot français courant juin a changé le contexte, en même temps qu'il a redessiné la carte du groupe France et ouvert des brèches. S'il est évident que, des 23 grévistes du Mondial, une partie reviendra en équipe de France, certains des 22 convoqués en Norvège par Laurent Blanc sont sans doute bien plus que des intérimaires, malgré la défaite en terre sacndinave.
mercredi 11 août 2010
Le village soutient le retraité qui a tiré sur ses cambrioleuses
Depuis samedi, le village de Nissan-lez-Enserune, entre Béziers (Hérault) et Narbonne (Aude), se mobilise pour demander la libération de René Galinier. Ce maraîcher à la retraite de 73 ans est mis en examen pour « tentative d’homicides volontaires » et incarcéré à la maison d’arrêt de Béziers pour avoir, deux jours avant, blessé par balle deux jeunes femmes, toujours hospitalisées.
Elles sont gravement atteintes au thorax et aux membres inférieurs.
L’avocat de l’auteur des coups de fusil de chasse a fait appel de cette décision, estimant qu’un contrôle judiciaire serait plus approprié pour son client âgé et ne troublerait pas l’ordre public.
L’appel devrait être examiné par la chambre de l’instruction dans les jours prochains à Montpellier (Hérault). Hier l’UMP et le FN se sont indignés dans deux communiqués distincts de cette incarcération.
A l’entrée du village, là où se trouve le pavillon de René Galinier et sa femme, les voisins veulent le voir rentrer chez lui très vite : « Bien sûr que nous sommes tous derrière lui. Lorsque je suis allé à sa rencontre juste après les coups de feu, il avait l’air totalement hébété. Il ne comprenait pas très bien ce qu’il venait de faire », explique Roger, l’un des riverains.
« C’est l’acte isolé d’un homme paniqué et cambriolé à plusieurs reprises. Il faisait seul sa sieste lorsqu’il a entendu que l’on crochetait un volet, puis que l’on cassait un carreau. A peine réveillé, affolé, il a tenté d’appeler les gendarmes en faisant le 18 (le numéro des pompiers). Puis, se sentant menacé, il a pris son fusil et tiré à deux reprises. Nous sommes ici dans un état de défense légitime » explique Me Josy-Jean Bousquet, son avocat. En attendant, à Nissan, une pétition se prépare.
« Depuis deux jours, les gens défilent pour signer, car monsieur René est connu comme un homme paisible et mesuré. Ce qui s’est passé étonne beaucoup de gens », explique la responsable de la Maison de la presse du village. « Rien que dans le quartier de René, j’ai compté, cela fait douze cambriolages en quelques mois. Lui-même avait été déjà visité à trois reprises. On peut comprendre sa peur », commente un autre voisin.
Elles sont gravement atteintes au thorax et aux membres inférieurs.
L’avocat de l’auteur des coups de fusil de chasse a fait appel de cette décision, estimant qu’un contrôle judiciaire serait plus approprié pour son client âgé et ne troublerait pas l’ordre public.
L’appel devrait être examiné par la chambre de l’instruction dans les jours prochains à Montpellier (Hérault). Hier l’UMP et le FN se sont indignés dans deux communiqués distincts de cette incarcération.
A l’entrée du village, là où se trouve le pavillon de René Galinier et sa femme, les voisins veulent le voir rentrer chez lui très vite : « Bien sûr que nous sommes tous derrière lui. Lorsque je suis allé à sa rencontre juste après les coups de feu, il avait l’air totalement hébété. Il ne comprenait pas très bien ce qu’il venait de faire », explique Roger, l’un des riverains.
« C’est l’acte isolé d’un homme paniqué et cambriolé à plusieurs reprises. Il faisait seul sa sieste lorsqu’il a entendu que l’on crochetait un volet, puis que l’on cassait un carreau. A peine réveillé, affolé, il a tenté d’appeler les gendarmes en faisant le 18 (le numéro des pompiers). Puis, se sentant menacé, il a pris son fusil et tiré à deux reprises. Nous sommes ici dans un état de défense légitime » explique Me Josy-Jean Bousquet, son avocat. En attendant, à Nissan, une pétition se prépare.
« Depuis deux jours, les gens défilent pour signer, car monsieur René est connu comme un homme paisible et mesuré. Ce qui s’est passé étonne beaucoup de gens », explique la responsable de la Maison de la presse du village. « Rien que dans le quartier de René, j’ai compté, cela fait douze cambriolages en quelques mois. Lui-même avait été déjà visité à trois reprises. On peut comprendre sa peur », commente un autre voisin.
Equipe de France : des nouveaux Bleus au révélateur norvégien
Laurent Blanc se trouve face à une feuille blanche sur laquelle il doit coucher les onze titulaires qui sont chargés de redorer le blason d'une équipe de France passablement terni par le fiasco sud africain. Quel onze de départ affrontera la rugueuse Norvège, jamais battue par les Tricolores depuis 22 ans ? Après le premier et seul entraînement en terre nordique avant la confrontation amicale de mercredi soir, le nouveau sélectionneur y voit un peu plus clair.
Karim Benzema : « Sur le terrain, je serai un autre homme »
L'entraînement mardi à Oslo a dessiné un 4-4-2 avec une attaque Hoarau-Rémy, appuyée par Nasri en meneur, tandis que la charnière centrale était formée de Rami et Mexès.
Après des exercices en mouvement devant le but, l'encadrement de Laurent Blanc, dans un entraînement entièrement ouvert aux médias au stade Ullevaal d'Oslo --ce qui n'était pas prévu au départ-- a distribué les chasubles des titulaires possibles.
Mvila et Nasri pour animer l'entre-jeu
Les heureux élus furent: Ruffier - Fanni, Rami, Mexès, Cissokho - Mvila - Sissoko, Nzogbia - Nasri - Hoarau, Rémy. Ils étaient disposés en 4-4-2 avec un milieu en losange, Mvila étant la pointe basse et Nasri la pointe haute en meneur derrière les attaquants.
Cette équipe probable privilégie les joueurs de L1 qui ont donc repris la compétition, aux dépens, par exemple, des joueurs du Real Madrid, Lassana Diarra et Karim Benzema. Laurent Blanc avait d'ailleurs reconnu lundi en conférence de presse que les "Espagnols" n'étaient pas au même niveau physique que leurs compatriotes de Ligue 1 voire du championnat anglais.
Karim Benzema : « Sur le terrain, je serai un autre homme »
L'entraînement mardi à Oslo a dessiné un 4-4-2 avec une attaque Hoarau-Rémy, appuyée par Nasri en meneur, tandis que la charnière centrale était formée de Rami et Mexès.
Après des exercices en mouvement devant le but, l'encadrement de Laurent Blanc, dans un entraînement entièrement ouvert aux médias au stade Ullevaal d'Oslo --ce qui n'était pas prévu au départ-- a distribué les chasubles des titulaires possibles.
Mvila et Nasri pour animer l'entre-jeu
Les heureux élus furent: Ruffier - Fanni, Rami, Mexès, Cissokho - Mvila - Sissoko, Nzogbia - Nasri - Hoarau, Rémy. Ils étaient disposés en 4-4-2 avec un milieu en losange, Mvila étant la pointe basse et Nasri la pointe haute en meneur derrière les attaquants.
Cette équipe probable privilégie les joueurs de L1 qui ont donc repris la compétition, aux dépens, par exemple, des joueurs du Real Madrid, Lassana Diarra et Karim Benzema. Laurent Blanc avait d'ailleurs reconnu lundi en conférence de presse que les "Espagnols" n'étaient pas au même niveau physique que leurs compatriotes de Ligue 1 voire du championnat anglais.
Le ramadan commence pour 5 millions de musulmans
Une longue période d'abstinence vient de s'ouvrir pour près de 5 millions de musulmans français.
Le ramadan, temps fort de l'islam, a en effet commencé mercredi matin en France, marquant le début d'un mois de jeûne.
La date a été fixée par une commission théologique réunissant des membres du Conseil français du Culte musulman (CFCM), des responsables des mosquées et des fidèles, qui ont tenu compte des observations de la lune par les astronomes.
Le ramadan, temps fort de l'islam, a en effet commencé mercredi matin en France, marquant le début d'un mois de jeûne.
La date a été fixée par une commission théologique réunissant des membres du Conseil français du Culte musulman (CFCM), des responsables des mosquées et des fidèles, qui ont tenu compte des observations de la lune par les astronomes.
Lyon : le corps d'un septuagénaire découvert dans un congélateur 4 réactions
Macabre découverte dans le 6e arrondissement de Lyon. Les policiers ont retrouvé le cadavre d'un homme de 71 ans dans le congélateur de son appartement. Selon une source policière, le décès remonte à près de deux ans.
Les enquêteurs se sont rendus au domicile de Jean-François Poinard, un restaurateur à la retraite dont la disparition remontait à plusieurs mois.
Il vivait au 5e étage d'un immeuble de la rue Vibert. Selon le journal «Le Progrès», sa concubine est apparue en criant alors qu'un serrurier s'apprêtait à ouvrir la porte. Les policiers se sont alors introduits dans l'appartement et ont découvert dans le congélateur de la cuisine, le corps d'un homme, celui du restaurateur selon toute vraisemblance, caché par des plastiques. Une autopsie doit encore être effectuée pour confirner cette hypothèse.
Sa compagne placée en garde à vue
Guylène, sa concubine de 51 ans, a été immédiatement placée en garde à vue dans les locaux de la brigade criminelle de la police judiciaire. Selon le quotidien, le couple vivait dans cet immeuble depuis plusieurs années. Plusieurs témoins évoquent des tensions entre la quinquagénaire sans profession et le septuagénaire à la retraite.
Personne n'avait signalé la disparition de l'homme. Et personne n'en aurait probablement rien su si Guylène ne s'était laissée aller à la confidence un soir où elle avait un peu trop bu. Ce soir-là, elle laisse entendre à sa fille qu'il est arrivé quelque chose de grave à son compagnon. Inquiétée, la jeune femme décide de s'en ouvrir à la police. Rapidement, la PJ épluche les comptes bancaires et les dossiers administratifs du retraité et ne remarque aucun mouvement de sa part. Ce qui a déclenché la perquisition au domicile du septuagénaire.
Les enquêteurs se sont rendus au domicile de Jean-François Poinard, un restaurateur à la retraite dont la disparition remontait à plusieurs mois.
Il vivait au 5e étage d'un immeuble de la rue Vibert. Selon le journal «Le Progrès», sa concubine est apparue en criant alors qu'un serrurier s'apprêtait à ouvrir la porte. Les policiers se sont alors introduits dans l'appartement et ont découvert dans le congélateur de la cuisine, le corps d'un homme, celui du restaurateur selon toute vraisemblance, caché par des plastiques. Une autopsie doit encore être effectuée pour confirner cette hypothèse.
Sa compagne placée en garde à vue
Guylène, sa concubine de 51 ans, a été immédiatement placée en garde à vue dans les locaux de la brigade criminelle de la police judiciaire. Selon le quotidien, le couple vivait dans cet immeuble depuis plusieurs années. Plusieurs témoins évoquent des tensions entre la quinquagénaire sans profession et le septuagénaire à la retraite.
Personne n'avait signalé la disparition de l'homme. Et personne n'en aurait probablement rien su si Guylène ne s'était laissée aller à la confidence un soir où elle avait un peu trop bu. Ce soir-là, elle laisse entendre à sa fille qu'il est arrivé quelque chose de grave à son compagnon. Inquiétée, la jeune femme décide de s'en ouvrir à la police. Rapidement, la PJ épluche les comptes bancaires et les dossiers administratifs du retraité et ne remarque aucun mouvement de sa part. Ce qui a déclenché la perquisition au domicile du septuagénaire.
lundi 9 août 2010
L’or et l’argent pour les Français à Budapest...
Première médialle, celle de Yannick Agnel. Le jeune Niçois décroche par la même occasion un nouveau record de France (3:46.17), améliorant de 9 centièmes le chrono qu’il avait réussi le 14 juillet dernier à Helsinki, lors des Championnats d’Europe juniors et devançant l’Allemand Paul Biedermann, champion du monde de la discipline, tenant du titre européen et détenteur du record du monde (3:40.07).
Yannick Agnel, double médaillé du jour (0'35")
Deuxième médaille, en relai 4x100 m libre : l’équipe française composée du même Yannick Agnel, de Fabien Gillot, William Meynard et du champion olympique Alain Bernard a décroché la breloque de vice-champion d’Europe de la discipline, derrière la Russie et devant la Suède.
Samedi, les Français avaient remporté les deux premières médailles de la compétition avec Bertrand Venturi et Joanes Hedel, respectivement 2e et 3e du 25 km en eau libre.
Yannick Agnel, double médaillé du jour (0'35")
Deuxième médaille, en relai 4x100 m libre : l’équipe française composée du même Yannick Agnel, de Fabien Gillot, William Meynard et du champion olympique Alain Bernard a décroché la breloque de vice-champion d’Europe de la discipline, derrière la Russie et devant la Suède.
Samedi, les Français avaient remporté les deux premières médailles de la compétition avec Bertrand Venturi et Joanes Hedel, respectivement 2e et 3e du 25 km en eau libre.
braderie de L'amicale des commerçants et artisans ce 15 Aout à Evaux les Bains
Depuis plus de 20 années, plus de 250 exposants sont attendus dans la ville d'Evaux les bains.
Particulier (foire à tout), professionnels, commerçants, artisans, tout un panel pour tous et ouvert à tous.
Madame Steiner et son équipe de bénévoles prépare activement cette première grande manifestation dans la ville. Ce sera encore cette année un travail de titan pour donner une place satisfaisante à tous.
C'est pareil toutes les années, retorque la Présidente, mais cela se déroulera comme par habitude dans la bonne humeur.
Particulier (foire à tout), professionnels, commerçants, artisans, tout un panel pour tous et ouvert à tous.
Des animations égayeront la journée pour le plaisir de tous. réservation : 05.55.65.55.48
Pas de fumée sans feu ! Tarif Electricité : le ministère de l'Energie dément une hausse de 9 %
La hausse de 9 % annoncée par la Tribune lundi concernant les 500 000 ménages ayant souscrit à un abonnement «effacement jour de pointe» ne sera en réalité que de 3 %. Dans un communiqué, le ministère de l'Energie a démenti l'information du quotidien économique. «La hausse de tarifs pour ces clients sera inférieure à 3%, à la fois pour l'abonnement et pour le prix du kilowattheure», a indiqué le ministère.
Le site internet de La Tribune, qui citait un document du ministère, avait fait état lundi midi d'une hausse de 9,2% du prix de l'abonnement et du kilowattheure des clients «EJP». Ce type d'abonnement, qui n'est plus proposé par EDF à ses nouveaux clients, fait varier le prix du kilowattheure en fonction des jours.
Le ministère de l'Energie n'avait dans un premier temps pas souhaité commenter l'information de La Tribune, au motif que la hausse des tarifs devait encore être validée par la Commission de régulation de l'énergie (CRE). L'avis de la CRE est purement consultatif et sera publié au Journal officiel d'ici au 15 août, en même temps que les arrêtés fixant la hausse des tarifs.
La semaine dernière, le gouvernement avait annoncé un relèvement de trois pour cent des tarifs de l'électricité pour les particuliers, mais sans donner le détail des hausses pour chaque type d'abonnement.
Des hausses très disparates en 2009
Selon La Tribune, le prix de l'abonnement «Heures creuses/heures pleines» baissera de 25% à 90,96 euros pour une puissance inférieure à neuf kilovoltampères (kVA), tandis que le prix du kilowatt-heure augmentera de 7,3%.
Pour l'option «Tempo» (prix modulé selon l'heure et le jour), le coût de l'abonnement augmentera de trois pour cent, tout comme celui du kilowatt-heure.
Enfin pour l'option «Base» (tarif unique), le prix de l'abonnement augmentera de 4,4% à 8,4% et celui de l'énergie de 1,5% à 1,8% pour les consommateurs dont l'installation électrique a une puissance inférieure à six kVA. Pour les puissances plus fortes (jusqu'à 36 kVA), le prix de l'énergie est stable et le prix de l'abonnement baisse de 0,3% à 16,2%.
Le ministère de l'Energie avait indiqué la semaine dernière que la hausse des tarifs serait «différenciée» selon le type d'abonnement, afin que chaque consommateur paye le coût réel de sa consommation d'électricité (coût du réseau et coût de la production).
L'an dernier, la hausse des tarifs de 1,9% en moyenne pour les ménages, avait caché de fortes disparités selon les clients. Ainsi, 1,5 million de clients avaient vu leur facture augmenter de plus de 15%. Quelque 28,5 millions de clients particuliers sont actuellement soumis aux tarifs réglementés, qui sont proposés par EDF.
Le site internet de La Tribune, qui citait un document du ministère, avait fait état lundi midi d'une hausse de 9,2% du prix de l'abonnement et du kilowattheure des clients «EJP». Ce type d'abonnement, qui n'est plus proposé par EDF à ses nouveaux clients, fait varier le prix du kilowattheure en fonction des jours.
Le ministère de l'Energie n'avait dans un premier temps pas souhaité commenter l'information de La Tribune, au motif que la hausse des tarifs devait encore être validée par la Commission de régulation de l'énergie (CRE). L'avis de la CRE est purement consultatif et sera publié au Journal officiel d'ici au 15 août, en même temps que les arrêtés fixant la hausse des tarifs.
La semaine dernière, le gouvernement avait annoncé un relèvement de trois pour cent des tarifs de l'électricité pour les particuliers, mais sans donner le détail des hausses pour chaque type d'abonnement.
Des hausses très disparates en 2009
Selon La Tribune, le prix de l'abonnement «Heures creuses/heures pleines» baissera de 25% à 90,96 euros pour une puissance inférieure à neuf kilovoltampères (kVA), tandis que le prix du kilowatt-heure augmentera de 7,3%.
Pour l'option «Tempo» (prix modulé selon l'heure et le jour), le coût de l'abonnement augmentera de trois pour cent, tout comme celui du kilowatt-heure.
Enfin pour l'option «Base» (tarif unique), le prix de l'abonnement augmentera de 4,4% à 8,4% et celui de l'énergie de 1,5% à 1,8% pour les consommateurs dont l'installation électrique a une puissance inférieure à six kVA. Pour les puissances plus fortes (jusqu'à 36 kVA), le prix de l'énergie est stable et le prix de l'abonnement baisse de 0,3% à 16,2%.
Le ministère de l'Energie avait indiqué la semaine dernière que la hausse des tarifs serait «différenciée» selon le type d'abonnement, afin que chaque consommateur paye le coût réel de sa consommation d'électricité (coût du réseau et coût de la production).
L'an dernier, la hausse des tarifs de 1,9% en moyenne pour les ménages, avait caché de fortes disparités selon les clients. Ainsi, 1,5 million de clients avaient vu leur facture augmenter de plus de 15%. Quelque 28,5 millions de clients particuliers sont actuellement soumis aux tarifs réglementés, qui sont proposés par EDF.
Une Afghane enceinte est exécutée en public de trois balles dans la tête
Fouettée 200 fois avant d'être exécutée en public de trois balles dans la tête. C'est le triste sort qu'a connu Bibi Sanubar, une Afghane de 35 ans dans un bastion taliban de la province de Badghis, dans l'ouest de l'Afghanistan. La femme, qui était veuve et enceinte, a été tuée par un commandant taliban, Mohammad Yousuf, après avoir été retenue trois jours.
Les talibans l'accusaient d'adultère. Son corps a ensuite été jeté dans un secteur contrôlé par les forces afghanes de sécurité.
Démenti des talibans
Un porte-parole régulier des talibans, Yousuf Ahmadi, a pourtant démenti toute implication des talibans et fustigé la «propagande des médias occidentaux». «Nous n'avons rien fait de la sorte à Badghis ou dans une autre province», a-t-il affirmé.
Cette exécution rappelle pourtant ces nombreuses scènes de lapidation de personnes accusées d'adultère, conduites sous le régime des talibans. Ceux-là même qui prônent une application rigoriste de la loi islamique, coupant mains et pieds aux Afghans reconnus coupables de vol.
Les talibans l'accusaient d'adultère. Son corps a ensuite été jeté dans un secteur contrôlé par les forces afghanes de sécurité.
Démenti des talibans
Un porte-parole régulier des talibans, Yousuf Ahmadi, a pourtant démenti toute implication des talibans et fustigé la «propagande des médias occidentaux». «Nous n'avons rien fait de la sorte à Badghis ou dans une autre province», a-t-il affirmé.
Cette exécution rappelle pourtant ces nombreuses scènes de lapidation de personnes accusées d'adultère, conduites sous le régime des talibans. Ceux-là même qui prônent une application rigoriste de la loi islamique, coupant mains et pieds aux Afghans reconnus coupables de vol.
dimanche 8 août 2010
Nantes : Lies Hebbadj mis en examen pour viols aggravés
Les mises en examen s'accumulent pour Lies Hebbadj. Cet épicer de Nantes, dont la compagne avait verbalisée en avril dernier pour conduite avec un niqab, vient d'être mis en examen pour« viols aggravés».
Hebbadj victime d'une «politique répressive» pour son avocate
Pour Hortefeux, Lies Hebbadj est « présumé coupable »
La justice a assorti sa décision d'une extension du contrôle judiciaire qui découlait de sa précédente mise en examen pour fraude aux allocations familiales. Le commerçant a désormais interdiction «d'entrer en contact avec l'actuel époux de la plaignante», a indiqué le procureur de la République de Nantes, Xavier Ronsin. L'époux est un ancien ami d'Hebbadj.
Dimanche matin, le parquet de Nantes avait déjà décidé de l'ouverture d'une nouvelle information judiciaire, prélude à une mise en examen, à l'encontre de Lies Hebbadj. Ce dernier avait été placé garde à vue vendredi soir à la suite «des accusations de viols et de violences portées à son encontre le 5 août 2010 par l'une de ses anciennes compagnes», avait précisé le ministère public. La jeune femme avait été en fait auditionné par la justice la semaine dernière et avaient évoqué des faits ayant eu lieu entre 2003 et 2007. L'enquête préliminaire avait été confiée à la police judiciaire de Nantes.
L'avocate crie à la «manipulation»
La qualification de viols aggravés induit une sanction éventuelle plus lourde du fait de circonstances aggravantes. Dans le cas précis de Lies Hebbadj, le procureur de la République a signalé «l'état de la plaignante qui était enceinte» et le fait que les viols avaient été «commis par un conjoint ou concubin».
«Il s'agit d'accusations fantaisistes, très anciennes, sur un domaine intime assez invérifiable. Je pense qu'il s'agit probablement d'une manipulation», a déclaré Me Cécile de Oliveira, l'avocate de Lies Hebbadj à l'annonce de la mise en examen par le parquet.
Une plainte d'une ex-compagne répudiée et remariée
Cette compagne répudiée par Lies Hebbadj et remariée à Dubaï, Nina Gomez, avait déjà porté contre lui des accusations de maltraitance sur un blog. Dans une conférence de presse, en plein affaire du niqab au volant, le ministre de l'Intérieur avait évoqué ces accusations.
Lies Hebbadj avait alors porté plainte en avril pour diffamation contre la jeune femme. Cette dernière a également été mise en examen aux côtés d'autres compagnes de M. Hebbadj et de lui même pour fraude aux prestations sociales le 9 juin dernier.
Le commerçant, qui vit à Rezé, près de Nantes, a été placé sous le feu des projecteurs fin avril en plein débat sur l'interdiction du voile intégral, quand sa compagne a décidé de contester une contravention de 22 euros pour avoir conduit en niqab.
Déjà mis en examen pour fraudes aux aides sociales
Le 9 juin dernier, à l'issue d'une première garde à vue, Lies Hebbadj, soupçonné de polygamie, a été mis en examen pour fraudes aux aides sociales, escroqueries ou encore travail dissimulé. Dans un premier temps, il s'était défendu des accusations de polygamie, indiquant qu'en France il n'était «interdit d'avoir des maîtresses».
Mais après six semaines d'enquête, la mise en examen intervenait le 9 juin. La justice lui reproche d'avoir vécu dans «une polygamie de fait» et perçu du fait de ses différentes situations près de 175 000 euros de prestations sociales entre 2007 et 2010.
Une somme supérieure aux 88 000 euros qu'il aurait dûs percevoir si les membres des trois familles avaient vécu sous le même toit. Lies Hebbadj aurait également pu percevoir 124 000 euros si la déclaration de situation dans ses trois domiciles (NDLR : il a reconnu être le père de quinze enfants et bientôt dix-sept enfants) avait été déclarée de manière conforme.
Déchéance de nationalité
Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, avait demandé que le commerçant soit déchu de sa nationalité française en évoquant les soupçons de polygamie et de fraudes aux aides sociales.
Le ministre a annoncé samedi qu'il ferait des propositions d'ici la fin de l'été à Nicolas Sarkozy pour rendre possible la déchéance de nationalité notamment pour des faits de meurtres contre des policiers ou pour polygamie.
Hebbadj victime d'une «politique répressive» pour son avocate
Pour Hortefeux, Lies Hebbadj est « présumé coupable »
La justice a assorti sa décision d'une extension du contrôle judiciaire qui découlait de sa précédente mise en examen pour fraude aux allocations familiales. Le commerçant a désormais interdiction «d'entrer en contact avec l'actuel époux de la plaignante», a indiqué le procureur de la République de Nantes, Xavier Ronsin. L'époux est un ancien ami d'Hebbadj.
Dimanche matin, le parquet de Nantes avait déjà décidé de l'ouverture d'une nouvelle information judiciaire, prélude à une mise en examen, à l'encontre de Lies Hebbadj. Ce dernier avait été placé garde à vue vendredi soir à la suite «des accusations de viols et de violences portées à son encontre le 5 août 2010 par l'une de ses anciennes compagnes», avait précisé le ministère public. La jeune femme avait été en fait auditionné par la justice la semaine dernière et avaient évoqué des faits ayant eu lieu entre 2003 et 2007. L'enquête préliminaire avait été confiée à la police judiciaire de Nantes.
L'avocate crie à la «manipulation»
La qualification de viols aggravés induit une sanction éventuelle plus lourde du fait de circonstances aggravantes. Dans le cas précis de Lies Hebbadj, le procureur de la République a signalé «l'état de la plaignante qui était enceinte» et le fait que les viols avaient été «commis par un conjoint ou concubin».
«Il s'agit d'accusations fantaisistes, très anciennes, sur un domaine intime assez invérifiable. Je pense qu'il s'agit probablement d'une manipulation», a déclaré Me Cécile de Oliveira, l'avocate de Lies Hebbadj à l'annonce de la mise en examen par le parquet.
Une plainte d'une ex-compagne répudiée et remariée
Cette compagne répudiée par Lies Hebbadj et remariée à Dubaï, Nina Gomez, avait déjà porté contre lui des accusations de maltraitance sur un blog. Dans une conférence de presse, en plein affaire du niqab au volant, le ministre de l'Intérieur avait évoqué ces accusations.
Lies Hebbadj avait alors porté plainte en avril pour diffamation contre la jeune femme. Cette dernière a également été mise en examen aux côtés d'autres compagnes de M. Hebbadj et de lui même pour fraude aux prestations sociales le 9 juin dernier.
Le commerçant, qui vit à Rezé, près de Nantes, a été placé sous le feu des projecteurs fin avril en plein débat sur l'interdiction du voile intégral, quand sa compagne a décidé de contester une contravention de 22 euros pour avoir conduit en niqab.
Déjà mis en examen pour fraudes aux aides sociales
Le 9 juin dernier, à l'issue d'une première garde à vue, Lies Hebbadj, soupçonné de polygamie, a été mis en examen pour fraudes aux aides sociales, escroqueries ou encore travail dissimulé. Dans un premier temps, il s'était défendu des accusations de polygamie, indiquant qu'en France il n'était «interdit d'avoir des maîtresses».
Mais après six semaines d'enquête, la mise en examen intervenait le 9 juin. La justice lui reproche d'avoir vécu dans «une polygamie de fait» et perçu du fait de ses différentes situations près de 175 000 euros de prestations sociales entre 2007 et 2010.
Une somme supérieure aux 88 000 euros qu'il aurait dûs percevoir si les membres des trois familles avaient vécu sous le même toit. Lies Hebbadj aurait également pu percevoir 124 000 euros si la déclaration de situation dans ses trois domiciles (NDLR : il a reconnu être le père de quinze enfants et bientôt dix-sept enfants) avait été déclarée de manière conforme.
Déchéance de nationalité
Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, avait demandé que le commerçant soit déchu de sa nationalité française en évoquant les soupçons de polygamie et de fraudes aux aides sociales.
Le ministre a annoncé samedi qu'il ferait des propositions d'ici la fin de l'été à Nicolas Sarkozy pour rendre possible la déchéance de nationalité notamment pour des faits de meurtres contre des policiers ou pour polygamie.
Le comédien Bruno Cremer est mort
Le comédien Bruno Cremer, qui incarna à la télévision le commissaire Maigret entre 1991 et 2005, est décédé samedi dans un hôpital parisien, à l'âge de 80 ans, a annoncé dimanche son agent France Degand. L'acteur luttait depuis plusieurs années contre un cancer.
Bruno Cremer est né le 6 octobre 1929 à Saint-Mandé, près de Paris, d'une mère d'origine belge et d'un père qui prendra la nationalité belge parce que la France n'avait pas voulu l'accepter comme soldat durant la guerre, contrairement à la Belgique.
Lui-même choisira la nationalité française à 18 ans.
Révélé en 1964 avec la «317e section»
Après ses études secondaires, il suit des cours de théâtre au Conservatoire et se consacre pendant dix ans à la scène. Il joue Shakespeare, Oscar Wilde, Jean Anouilh. Il débute au cinéma avec Alain Delon dans «Quand la femme s'en mêle» en 1957, mais sa carrière s'accélère en 1964 avec la «317e section», un des rares films réalisés sur la guerre d'Indochine, réalisé par Pierre Schoendoerffer. Il devient dès lors un acteur populaire et a tourné dans plus de 110 films et téléfilms, selon son agent.
Il travaille beaucoup avec Yves Boisset et Jean-Claude Brisseau et joue, entre autre dans «Le Bon et le méchant» de Claude Lelouch, «L'Etranger» de Luchino Visconti, «Le Convoi de la peur» de William Friedkin, «Noce blanche» de Jean-Claude Brisseau avec Vanessa Paradis.
Il incarne le commissaire Maigret pendant quatorze ans
A partir de 1991, il se fait connaître du grand public grâce au commissaire Maigret, qu'il interprètera jusqu'en 2005. Mettant de côté les tournages pour le cinéma, Bruno Cremer se consacre à son rôle télévisé.
Bruno Cremer est né le 6 octobre 1929 à Saint-Mandé, près de Paris, d'une mère d'origine belge et d'un père qui prendra la nationalité belge parce que la France n'avait pas voulu l'accepter comme soldat durant la guerre, contrairement à la Belgique.
Lui-même choisira la nationalité française à 18 ans.
Révélé en 1964 avec la «317e section»
Après ses études secondaires, il suit des cours de théâtre au Conservatoire et se consacre pendant dix ans à la scène. Il joue Shakespeare, Oscar Wilde, Jean Anouilh. Il débute au cinéma avec Alain Delon dans «Quand la femme s'en mêle» en 1957, mais sa carrière s'accélère en 1964 avec la «317e section», un des rares films réalisés sur la guerre d'Indochine, réalisé par Pierre Schoendoerffer. Il devient dès lors un acteur populaire et a tourné dans plus de 110 films et téléfilms, selon son agent.
Il travaille beaucoup avec Yves Boisset et Jean-Claude Brisseau et joue, entre autre dans «Le Bon et le méchant» de Claude Lelouch, «L'Etranger» de Luchino Visconti, «Le Convoi de la peur» de William Friedkin, «Noce blanche» de Jean-Claude Brisseau avec Vanessa Paradis.
Il incarne le commissaire Maigret pendant quatorze ans
A partir de 1991, il se fait connaître du grand public grâce au commissaire Maigret, qu'il interprètera jusqu'en 2005. Mettant de côté les tournages pour le cinéma, Bruno Cremer se consacre à son rôle télévisé.
Des incendies bien suspects autour de Guéret
Trois incendies ont détruit, au cours de la nuit de jeudi à vendredi, des hangars agricoles à Ste-Feyre et aux alentours. Sans exclure les autres hypothèses, la piste criminelle reste la plus plausible.
Trois incendies qui se déclarent au cours de la même nuit dans des hangars agricoles, de surcroît dans un secteur géographique pour le moins limité (deux à Sainte-Feyre et un Pionnat, au sud de Guéret), cela peut éveiller les soupçons.
Les sapeurs-pompiers creusois, sous la direction de leurs deux officiers de permanence, le commandant Marchais et le lieutenant Lenoir, sont en tout cas intervenus jusqu'au petit matin.
Leur périple nocturne débute vers 2 h 15 quand ils sont appelés pour un incendie qui vient de se déclencher à la sortie du bourg de Sainte-Feyre, dans un hangar ouvert, sur la route du centre médical national. La rapidité d'intervention des pompiers permet d'éviter que les flammes, qui sont déjà en train de détruire entièrement l'ouvrage, ne se propagent aux maisons voisines. Néanmoins deux remorques de pailles, stationnées à l'intérieur sont réduite en cendres ainsi que tout leur fourrage.
Aux alentours de 3 h 30, l'incendie à peine circonscrit, le SDIS ? le Service départemental d'incendie et de secours ? reçoit un nouvel appel.
Un deuxième sinistre vient en effet d'être signalé, une fois encore sur la commune de Sainte-Feyre, mais cette fois-ci à la sortie du hameau de Villemeaux, plus au sud.
À leur arrivée les pompiers découvrent un bâtiment agricole métallique, encore un, et lui aussi ouvert, d'environ 500 mâ, contenant du fourrage, presque entièrement embrasé. Malgré leurs efforts le bâtiment se consume avec ses 120 tonnes de fourrage et du matériel agricole. Stockés aussi, des sacs de phosphate qui vont mobiliser la présence du pharmacien capitaine des sapeurs-pompiers afin que toutes les précautions soient prises lors de l'intervention pour éviter d'éventuels problèmes de toxicité.
La Montagne.fr
Trois incendies qui se déclarent au cours de la même nuit dans des hangars agricoles, de surcroît dans un secteur géographique pour le moins limité (deux à Sainte-Feyre et un Pionnat, au sud de Guéret), cela peut éveiller les soupçons.
Les sapeurs-pompiers creusois, sous la direction de leurs deux officiers de permanence, le commandant Marchais et le lieutenant Lenoir, sont en tout cas intervenus jusqu'au petit matin.
Leur périple nocturne débute vers 2 h 15 quand ils sont appelés pour un incendie qui vient de se déclencher à la sortie du bourg de Sainte-Feyre, dans un hangar ouvert, sur la route du centre médical national. La rapidité d'intervention des pompiers permet d'éviter que les flammes, qui sont déjà en train de détruire entièrement l'ouvrage, ne se propagent aux maisons voisines. Néanmoins deux remorques de pailles, stationnées à l'intérieur sont réduite en cendres ainsi que tout leur fourrage.
Aux alentours de 3 h 30, l'incendie à peine circonscrit, le SDIS ? le Service départemental d'incendie et de secours ? reçoit un nouvel appel.
Un deuxième sinistre vient en effet d'être signalé, une fois encore sur la commune de Sainte-Feyre, mais cette fois-ci à la sortie du hameau de Villemeaux, plus au sud.
À leur arrivée les pompiers découvrent un bâtiment agricole métallique, encore un, et lui aussi ouvert, d'environ 500 mâ, contenant du fourrage, presque entièrement embrasé. Malgré leurs efforts le bâtiment se consume avec ses 120 tonnes de fourrage et du matériel agricole. Stockés aussi, des sacs de phosphate qui vont mobiliser la présence du pharmacien capitaine des sapeurs-pompiers afin que toutes les précautions soient prises lors de l'intervention pour éviter d'éventuels problèmes de toxicité.
La Montagne.fr
Yvelines : un adolescent se noie lors d'une course poursuite avec les policiers
Un jeune adolescent de 15 ans issu d'une cité sensible des Mureaux (Yvelines) s'est noyé dans la Seine dans la nuit de samedi à dimanche. Les faits, survenus peu après minuit à Mantes-la-Jolie, ont eu lieu lors d’une course poursuite avec les policiers. Tout commence aux Mureaux lors d’un banal contrôle routier. Après un refus d’obtempérer, les forces de l’ordre prennent en chasse un véhicule avec trois occupants à son bord.
Les fuyards prennent la direction de la A 13 puis celle de Mantes. Mais à l’entrée de l’agglomération sur les bords de Seine, le véhicule percute un poteau. Les individus s’échappent alors à pied. L’un d’entre eux se serait jeté volontairement dans la Seine. Sans attendre, les plongeurs des pompiers sont intervenus mais le jeune de 15 ans n’était plus en vie. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles. Une conférence de presse devrait avoir lieu à la direction départementale de la sécurité publique de Viroflay (Yvelines) en fin d'après-midi ce dimanche pour faire toute la lumière sur cette affaire.
Les fuyards prennent la direction de la A 13 puis celle de Mantes. Mais à l’entrée de l’agglomération sur les bords de Seine, le véhicule percute un poteau. Les individus s’échappent alors à pied. L’un d’entre eux se serait jeté volontairement dans la Seine. Sans attendre, les plongeurs des pompiers sont intervenus mais le jeune de 15 ans n’était plus en vie. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles. Une conférence de presse devrait avoir lieu à la direction départementale de la sécurité publique de Viroflay (Yvelines) en fin d'après-midi ce dimanche pour faire toute la lumière sur cette affaire.
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