L'équipe de France termine sa série de match de préparation par une défaite. Après un succès contre le Costa Rica (2-1), un nul face à la Tunisie, les Bleus s'inclinent devant la Chine (0-1) vendredi à Saint-Pierre de la Réunion.
Avec au coup d'envoi l'équipe qui a débuté ces trois rencontres amicales, la France livré une prestation inquiétante à une semaine de son entrée en lice en Coupe du monde face à l'Uruguay.
Dans le 4-3-3 désormais habituel, les hommes Raymond Domenech qui bat le record de Michel Hidalgo avec un 76e match d'affilée sur le banc des Bleus, ont eu la volonté de passer par les côtés. Mais les mauvais choix de Govou côté droit ou les bonnes intentions de Ribéry à gauche ont toujours échoué. Anelka, seul en pointe a davantage fait l'effort d'appeler le ballon en profondeur mais n'a jamais été servi dans de bonnes conditions. Les Bleus s'en remettent alors aux frappes lointaines mais les tentatives de Ribéry (5e) et Gourcuff (32e) sont stoppées par le gardien chinois tout comme le coup franc de Ribéry (21e). Sur un corner de Gourcuff, Gallas prend le meilleur de la tête mais le ballon passe à côté (35e).
La Chine, 84e nation au classement FIFA
Les entrées en jeu à l'heure de jeu d'Henry, Gignac et Diaby n'offrent pas davantage de solution et c'est finalement la Chine qui s'illustre sur sa première frappe cadrée. Deng Zhuoxiang d'une coup franc de trente mètres trompent Lloris, mal placé et visiblement gêné par la trajectoire flottante du ballon (0-1, 68e).
La réaction des Bleus par des tentatives d'Henry anihilées deux fois par le gardien chinois (70e, 72e), un boulet de canon de Diaby sorti du bout des gants (82e) ou la frappe excentrée de Gignac de nouveau écartée par Zeng Cheng (88e) ne suffit pas à rassurer.
Incapable de battre la 84e nation mondiale, l'équipe de France ne gardera comme bon souvenir de la Réunion que l'incroyable accueil du stade Michel Volney. Malheureusement pour les Bleus, le chaleureux peuple réunionnais n'est pas attendu vendredi prochain au Cap lorsqu'ils débuteront face à l'Uruguay. Il faudra alors trouver un autre ressort pour éviter de voir les rêves mondialistes se dissiper trop rapidement.
Domenech : «Déçu pour les joueurs et le public»
Sur TF1, Raymond Domenech, s'est dit «déçu pour les joueurs et pour le public extraordinaire qui a encouragé jus qu'à la dernière minute». Le sélectionneur a toutefois essayé de désarmorcer la polémique qui ne va pas manqué de naître après cette défaite. «La Coupe du monde c'est pas aujourd'hui, c'est le 11 juin», a éludé l'entraîneur en rappelant que «toutes les préparations aux grandes compétitions se déroulent comme ça». Quant à l'éventualité de changements dans l'équipe type en vue du premier match du Mondial contre l'Uruguay : «Non ce n'est pas le moment de tout chambouler, on a encore une semaine pour mettre en place l'équipe et étudier les options. »
- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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vendredi 4 juin 2010
Un bébé retrouvé mort dans une voiture
Un bébé, dont l'âge n'a pas encore été communiqué, a été découvert, sans vie, vers 14 h 35, dans une voiture stationnée Cité du Chaperon Vert à Arcueil (Val-de-Marne). Ce sont des passants qui ont remarqué l'enfant, seul, dans la voiture. Ils ont alors donné l'alerte tout en cassant la vitre. La maman est arrivée quelques minutes plus tard alors que les secours tentaient de ramener l'enfant à la vie mais leurs efforts sont restés vains.
Evaflor à Evaux les bains
Vous pouvez rejoindre la nouvelle association Evaflor et aider à enjoliver votre ville. Une bonne façon d'unir les savoirs et partager votre passion des fleurs.
Rens en mairie.
Rens en mairie.
Maltraitances aux personnes âgées: 150 établissements menacés de fermeture
J'avais fait un billet l'an dernier relatif à notre département et maintenant ont s'aperçois que plus de 150 établissements pour personnes âgées, des petites "unités de vie" ou des logements-foyers, qui accueillent des résidents dépendants sans autorisation, sont menacés de fermeture.
Le gouvernement a annoncé qui prépare un projet de loi pour lutter contre la maltraitance.
Plus de 150 établissements pour personnes âgées, des petites "unités de vie" ou des logements-foyers, qui accueillent des résidents dépendants sans autorisation, sont menacés de fermeture, a annoncé le gouvernement qui prépare un projet de loi pour lutter contre la maltraitance.
Suite à des cas de maltraitance soupçonnés dans un petit établissement de Bayonne fin 2009, la secrétaire d'Etat aux Aînés Nora Berra avait lancé le recensement de toutes les petites structures non médicalisées qui accueillaient des personnes dépendantes.
Pour accueillir un tel public, les établissements doivent en effet avoir un niveau minimal de médicalisation via notamment du personnel qualifié.
Sur 270 établissements recensés fin 2009 comme "irréguliers", le gouvernement a comptabilisé 91 établissements qui sont désormais "conformes" et 21 "en voie finale de régularisation".
Mais 155, "en cours de régularisation", sont "sous surveillance administrative" par les Agences régionales de santé (ARS), détaillent le ministère du Travail et son secrétariat d'Etat aux Aînés dans un communiqué.
La régularisation "devra s'effectuer à l'automne", sans quoi ils s'exposeront à une fermeture, excepté "les établissements qui rencontrent des problèmes structurels et/ou organisationnels" qui pourront bénéficier de l'aide des services de l'Etat.
Enfin, 3 établissements "ont fermé" ou sont en cours de fermeture, ajoute le gouvernement : "soit un administrateur provisoire est mis en place pour tenter de mettre l'établissement en conformité" soit "les résidents sont réorientés vers d'autres structures médicalisées".
Ils sont situés dans l'Yonne, à Bussy-en-Othe (7 lits) et dans le Var, à Six-Fours-les-Plages (8 lits). La localisation du troisième (35 lits), en cours de fermeture, n'a pas été donnée par le gouvernement.
Nora Berra a aussi annoncé la préparation d'un projet de loi qui permettra la publication des évaluations des maisons de retraite et rendra obligatoire une procédure commune à l'Etat et aux départements pour la gestion des plaintes et des signalements de maltraitance.
Le gouvernement a annoncé qui prépare un projet de loi pour lutter contre la maltraitance.
Plus de 150 établissements pour personnes âgées, des petites "unités de vie" ou des logements-foyers, qui accueillent des résidents dépendants sans autorisation, sont menacés de fermeture, a annoncé le gouvernement qui prépare un projet de loi pour lutter contre la maltraitance.
Suite à des cas de maltraitance soupçonnés dans un petit établissement de Bayonne fin 2009, la secrétaire d'Etat aux Aînés Nora Berra avait lancé le recensement de toutes les petites structures non médicalisées qui accueillaient des personnes dépendantes.
Pour accueillir un tel public, les établissements doivent en effet avoir un niveau minimal de médicalisation via notamment du personnel qualifié.
Sur 270 établissements recensés fin 2009 comme "irréguliers", le gouvernement a comptabilisé 91 établissements qui sont désormais "conformes" et 21 "en voie finale de régularisation".
Mais 155, "en cours de régularisation", sont "sous surveillance administrative" par les Agences régionales de santé (ARS), détaillent le ministère du Travail et son secrétariat d'Etat aux Aînés dans un communiqué.
La régularisation "devra s'effectuer à l'automne", sans quoi ils s'exposeront à une fermeture, excepté "les établissements qui rencontrent des problèmes structurels et/ou organisationnels" qui pourront bénéficier de l'aide des services de l'Etat.
Enfin, 3 établissements "ont fermé" ou sont en cours de fermeture, ajoute le gouvernement : "soit un administrateur provisoire est mis en place pour tenter de mettre l'établissement en conformité" soit "les résidents sont réorientés vers d'autres structures médicalisées".
Ils sont situés dans l'Yonne, à Bussy-en-Othe (7 lits) et dans le Var, à Six-Fours-les-Plages (8 lits). La localisation du troisième (35 lits), en cours de fermeture, n'a pas été donnée par le gouvernement.
Nora Berra a aussi annoncé la préparation d'un projet de loi qui permettra la publication des évaluations des maisons de retraite et rendra obligatoire une procédure commune à l'Etat et aux départements pour la gestion des plaintes et des signalements de maltraitance.
Meurtre d'une juge et de son greffier à Bruxelles : un suspect arrêté
Un homme a été interpellé en début de soirée jeudi à Bruxelles (Belgique), quelques heures après le meurtre en pleine salle d'audience du palais de justice d'une juge de paix et de son greffier. Selon la radio-télévision flamande VRT citée par Belga, il s'agirait d'un ressortissant iranien de 47 ans, identifié par des témoins de la fusillade mortelle.
Le suspect a été arrêté vers 19h20 près de la fontaine du parc royal de Bruxelles, en plein centre-ville. Lorsque les policiers ont voulu le contrôler, il a brandi une arme et tiré plusieurs fois en l'air avant d'être maîtrisé. Il a été blessé lors de cette intervention. L'homme aurait affirmé avoir agi par vengeance.
Il avait pris la fuite à pied
Jeudi vers 11h20, dans une salle d'audience du palais de justice, un homme a soudain sorti une arme à feu et tué la juge Isabelle Brandon, 61 ans, ainsi que son greffier André Bellemans. Il n'y avait alors dans cette salle, où sont traitées des affaires de voisinage ou de divorce, que les deux victimes, deux ou trois avocats et cet homme présent depuis le début des débats. L'auteur des coups de feu «a été brièvement poursuivi par un des avocats présents mais il a réussi à prendre la fuite à pied dans les rues du quartier», selon le représentant du parquet.
«C'est le drame. Un magistrat, pour la première fois de l'histoire de la Belgique, ainsi que son greffier, ont été tués en pleine salle d'audience, c'est inacceptable», a déclaré le ministre de la Justice, Stefaan De Clerck. Celui-ci s'est immédiatement rendu sur les lieux, soulignant «l'excellent curriculum» de la magistrate. Le chef du gouvernement, des ministres et des parlementaires belges, et des centaines de magistrats et d'avocats, ont rendu un hommage solennel jeudi après-midi, aux deux victimes
Le suspect a été arrêté vers 19h20 près de la fontaine du parc royal de Bruxelles, en plein centre-ville. Lorsque les policiers ont voulu le contrôler, il a brandi une arme et tiré plusieurs fois en l'air avant d'être maîtrisé. Il a été blessé lors de cette intervention. L'homme aurait affirmé avoir agi par vengeance.
Il avait pris la fuite à pied
Jeudi vers 11h20, dans une salle d'audience du palais de justice, un homme a soudain sorti une arme à feu et tué la juge Isabelle Brandon, 61 ans, ainsi que son greffier André Bellemans. Il n'y avait alors dans cette salle, où sont traitées des affaires de voisinage ou de divorce, que les deux victimes, deux ou trois avocats et cet homme présent depuis le début des débats. L'auteur des coups de feu «a été brièvement poursuivi par un des avocats présents mais il a réussi à prendre la fuite à pied dans les rues du quartier», selon le représentant du parquet.
«C'est le drame. Un magistrat, pour la première fois de l'histoire de la Belgique, ainsi que son greffier, ont été tués en pleine salle d'audience, c'est inacceptable», a déclaré le ministre de la Justice, Stefaan De Clerck. Celui-ci s'est immédiatement rendu sur les lieux, soulignant «l'excellent curriculum» de la magistrate. Le chef du gouvernement, des ministres et des parlementaires belges, et des centaines de magistrats et d'avocats, ont rendu un hommage solennel jeudi après-midi, aux deux victimes
jeudi 3 juin 2010
FOOTBALL - La vice-présidente du Front national marche dans les pas de son père...
Le Mondial arrive et tout le monde a forcément une opinion sur l’équipe de France. Surtout Marine Le Pen. La vice-présidente du Front national jeudi matin sur BFM TV/RMC Info qu'elle ne se reconnaissait pas dans l'équipe de France de football.
«La plupart de ces gens considèrent un coup qu’ils sont représentants de la France quand ils sont à la Coupe du monde, un autre coup ils se considèrent comme appartenant à une autre nation ou ayant une autre nationalité de cœur, a déclaré Marine Le Pen. S'ils se comportaient correctement (...) si on entendait parfois parler de patriotisme dans la bouche de ces joueurs, si un certain nombre ne refusait pas de chanter la Marseillaise, si on ne les voyait pas enroulés dans le drapeau d'autres nations que la nôtre, peut-être les choses changeraient, mais en l'état j'avoue que je ne me reconnais pas particulièrement dans cette équipe.»
Comme on l'interrogeait pour savoir si l'équipe représentait la France, Marine Le Pen a déclaré que «le pognon dégouline de ces gens», un «argent facilement gagné». Pour mémoire, en 1996, lors de l’Euro, le chef du FN Jean-Marie Le Pen avait créé une polémique en jugeant «artificiel que l'on fasse venir des joueurs de l'étranger en les baptisant équipe de France».
«La plupart de ces gens considèrent un coup qu’ils sont représentants de la France quand ils sont à la Coupe du monde, un autre coup ils se considèrent comme appartenant à une autre nation ou ayant une autre nationalité de cœur, a déclaré Marine Le Pen. S'ils se comportaient correctement (...) si on entendait parfois parler de patriotisme dans la bouche de ces joueurs, si un certain nombre ne refusait pas de chanter la Marseillaise, si on ne les voyait pas enroulés dans le drapeau d'autres nations que la nôtre, peut-être les choses changeraient, mais en l'état j'avoue que je ne me reconnais pas particulièrement dans cette équipe.»
Comme on l'interrogeait pour savoir si l'équipe représentait la France, Marine Le Pen a déclaré que «le pognon dégouline de ces gens», un «argent facilement gagné». Pour mémoire, en 1996, lors de l’Euro, le chef du FN Jean-Marie Le Pen avait créé une polémique en jugeant «artificiel que l'on fasse venir des joueurs de l'étranger en les baptisant équipe de France».
Retraite à 60 ans : «Une grande illusion», selon Parisot
«Une grande illusion, pour ne pas dire une vue de l'esprit.» La présidente du Medef, Laurence Parisot, est revenue à la charge, ce jeudi matin sur France Info, contre la retraite à 60 ans. Mercredi soir, lors d'une rencontre à Cannes avec des chefs d'entreprise, elle avait déjà défendu le retour de l'âge légal de départ à la retraite à 65 ans.
Interrogée ce matin, elle s'est refusée à se prononcer sur un âge, tout en assurant : «Si nous n'avions pas abandonné le 65 ans en 1983, nous serions en train de discuter des excédents du régime d'assurance vieillesse et par conséquent le débat porterait soit sur l'augmentation des retraites, soit sur la baisse des cotisations».
Devant les chefs d'entreprise réunis à Cannes, elle avait indiqué : «Si rien n'est fait, le déficit du régime général sera de 40 milliards d'euros en 2030 et de 100 milliards en 2040. Aujourd'hui, pour une année de pension versée, savez-vous qu'un mois et demi est financé par l'endettement ? C'est pour cela qu'il faut remettre l'âge légal de départ à 65 ans», a-t-elle lancé, rapporte le quotidien «Nice-Matin».
Interrogée ce matin, elle s'est refusée à se prononcer sur un âge, tout en assurant : «Si nous n'avions pas abandonné le 65 ans en 1983, nous serions en train de discuter des excédents du régime d'assurance vieillesse et par conséquent le débat porterait soit sur l'augmentation des retraites, soit sur la baisse des cotisations».
Devant les chefs d'entreprise réunis à Cannes, elle avait indiqué : «Si rien n'est fait, le déficit du régime général sera de 40 milliards d'euros en 2030 et de 100 milliards en 2040. Aujourd'hui, pour une année de pension versée, savez-vous qu'un mois et demi est financé par l'endettement ? C'est pour cela qu'il faut remettre l'âge légal de départ à 65 ans», a-t-elle lancé, rapporte le quotidien «Nice-Matin».
mercredi 2 juin 2010
Fadela Amara «prête» son logement de fonction à ses proches
«Mixité sociale» oblige, comme insiste la secrétaire d'Etat à la Ville, pas question pour Fadela Amara de quitter son modeste logement HLM, un deux pièces de 50 m², dans le XIIIe arrondissement parisien. Que faire alors de l'appartement spacieux de 120 m², mis à sa disposition par la République comme logement de fonction dans le chic VIIe arrondissement ? Le Canard enchaîné a la réponse : le mettre à la disposition de sa famille.
Ainsi le journal satirique révèle aujourd'hui qu'elle le prête gracieusement actuellement à un de ses frères, qui devrait y rester jusqu'au début du mois de juillet. L'an dernier, ajoute le Canard, à peu près à la même époque, c'est un autre frère de la secrétaire d'Etat qui a bénéficié de ce 120 m², situé au dernier étage d'un immeuble contemporain, place Fontenoy et offre, paraît-il, une vue imprenable sur la Tour Eiffel.
Ainsi le journal satirique révèle aujourd'hui qu'elle le prête gracieusement actuellement à un de ses frères, qui devrait y rester jusqu'au début du mois de juillet. L'an dernier, ajoute le Canard, à peu près à la même époque, c'est un autre frère de la secrétaire d'Etat qui a bénéficié de ce 120 m², situé au dernier étage d'un immeuble contemporain, place Fontenoy et offre, paraît-il, une vue imprenable sur la Tour Eiffel.
Villiers-le-Bel : trois blessés dans une fusillade
Un homme encagoulé a tiré cet après-midi sur un groupe de jeunes rassemblés au bas de la barre d'immeuble de l'allée des Bleuets, dans le quartier de la Cerisaie, un secteur sensible de la ville de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise). Vers 15 h 45, le tireur a ouvert le feu à plusieurs reprises, apparemment sans descendre de sa voiture, avant de prendre la fuite.
Il a fait trois blessés. Deux ont été touchés à l'épaule, un troisième plus sérieusement dans le dos et dans le ventre. Les trois victimes seraient considérées comme hors de danger. Le tireur aurait eu un ou deux complices présent dans la voiture.
Il a fait trois blessés. Deux ont été touchés à l'épaule, un troisième plus sérieusement dans le dos et dans le ventre. Les trois victimes seraient considérées comme hors de danger. Le tireur aurait eu un ou deux complices présent dans la voiture.
Réunion d'information publique à Evaux les bains
Durant la campagne municipale, Monsieur Campos, maire de la ville et son équipe s’était engagé à tenir informé régulièrement les citoyens des projets en cours et à venir.
Un effort dans la communication à son actif. Après deux années de mandat, le conseil municipal était rassemblé en « moitié » pour la deuxième réunion publique. Seul monsieur Gerard Steiner, conseiller de l’opposition était présent et qui par ailleurs à été largement applaudit par le public et son opposition pour ses remarques très constructives.
En ouverture un bilan de ces deux années de mandat. Le premier magistrat de la ville repris un à un tous les points de sa profession de foi de campagne. Nous avons tenus jusqu’alors nos engagements, signale le maire, sans omettre que certains points ont étés sous estimés, mais nous travaillons dans la bonne direction malgré l’endettement de la commune. Nous sommes dans l’obligation de revoir quelques ambitions à la baisse, poursuit’ il, la diminution très importante des taxes perçues (casino), nous oblige à refaire nos copies.Un effort dans la communication à son actif. Après deux années de mandat, le conseil municipal était rassemblé en « moitié » pour la deuxième réunion publique. Seul monsieur Gerard Steiner, conseiller de l’opposition était présent et qui par ailleurs à été largement applaudit par le public et son opposition pour ses remarques très constructives.
Dans le grand ensemble, nous avons tenus nos promesses. Nous avons maintenus toutes les subventions aux associations, et doublé les crédits au CCAS (aide sociale).
Comme vous le savez, dans le courant de l’année, le centre de remise en forme verra le jour dans notre ville et Je tiens à rappeler que toute cette opération financière ne sera pas supportée par les habitants, nous avons fait une « opération blanche », pour résumer, cela ne coûtera rien aux évahonniens conclut Monsieur Campos.
Monsieur Radigon, adjoint et conseiller général, rappelle l’excellent travail de la SEM, la société qui exploite tout le centre thermal. Malgré la grande peur du début de saison 2009, l’équilibre est assuré. Il est vrai que la restructuration du personnel et la bonne gestion de l’hôtel par Alex ont étés des facteurs majeurs. Une trésorerie, une gestion rigoureuse et des bons éléments à chaque postes sont les clés de la bonne porte et maintenant, celle la est ouverte, malgré le claquement de l’an dernier et cela c’est une réussite.
Je pense, arbore le président de la SEM, que le centre de remise en forme nous permettra de maintenir l’hôtel ouvert une partie de l’hiver, cela fera un peu de mouvement en cette période d’inertie et cela devrait engendrer le maintien de personnel.
Tous les présents à « la table d’honneur », ont présentés leurs actifs respectifs. Dans l’ensemble du très bon travail fait et à perdurer. L’association EVAFLOR (fleurissement), nouvellement crée à fait un excellent travail et avec le concours des employés municipaux, la ville devrait s’orner de magnifiques parterres floraux.
Le site internet de la mairie est en cours d’achèvement, rappelle Abder, adjoint, et signale que les services municipaux entretiennent chaque année, 7 km de haie, 8 ha d’espaces verts.
Des divergences ont lieu actuellement entre la municipalité et les Genêts d’or (centre hospitalier), aucuns efforts de communication, ni d’ouverture n'est consenti par la direction de l’hôpital, ce qui stoppe actuellement le projet d’agrandissement de cet établissement, souligne Madame Allard. Un préjudice important, puisqu’ à ce jour, seule un enquête d’architecte à été demandée. Madame Allard rappelle que ce centre n’a pas les agréments de la sécurité, ni de conformité et qu'il est très urgent de se conformer aux nouvelles normes.
Les questions diverses par le public ont conclut cette deuxième réunion publique et le Maire à donné rendez vous pour une continuité dans la communication dans les mois à venir tout en rappelant que les réunions du conseil municipal sont publiques et souhaiterais voir plus d'intérêts des concitoyens...
Les services bancaires de plus en plus chers, les banques en veulent encore plus
Selon l’association UFC-Que choisir, les forfaits ont augmenté de 12,2 % en cinq ans et ils sont 25,7 % plus chers que les services à l’unité .
Des services gratuits en 2004, devenus payants en 2009, des frais pour incidents de paiement qui bondissent de près de 30 % en cinq ans, des forfaits incluant des offres quasi inutilisées... L’étude de l’association de défense du consommateur UFC-Que choisir sur les frais bancaires dresse un « constat accablant » sur la politique tarifaire de douze banques.
« En cinq ans, la situation s’est aggravée », souligne l’association, alors que Georges Pauget (ancien directeur général du Crédit agricole) et Emmanuel Constans (président du Comité consultatif du secteur financier) doivent remettre ce mois-ci un rapport sur ce sujet à la ministre de l’Economie, Christine Lagarde.
L’hôte de Bercy s’était en effet déjà émue de certains excès tarifaires. Mais, à l’exception de quelques avancées législatives plafonnement du rejet de prélèvement, relevé annuel des frais rendu obligatoire les banques ont continué à avoir la main lourde. Font-elles payer à leurs clients leurs créances douteuses après la crise financière de 2008 ? En tout cas, la hausse du prix des « packages » ces forfaits payés pour plusieurs prestations , « après une augmentation identique à l’inflation entre 2004 et 2008, a été plus prononcée en 2009 », souligne l’UFC-Que choisir.
En cinq ans, elle a été de 12,2 % pour une inflation de 8 %. Pis ! si l’on ne prend en compte que le coût des opérations « réellement utiles compte à vue avec chéquier, carte bleue et assurance moyens de paiement, opérations par téléphone et Internet ces forfaits sont plus chers de 25,7 % par rapport à des prestations prises à l’unité... Autre facteur de hausse : les tarifs sur les incidents de paiement. Par exemple, le coût moyen de la lettre d’information avant le rejet d’un chèque a augmenté de... 77,8 % entre 2004 et 2009. « Cette hausse touche en priorité les clients les plus fragiles, commente Maurice Roullet, administrateur de l’UFC. Si un client est en difficulté, ce n’est pas une bouée de sauvetage qu’on lui lance, mais une barre en fonte qui l’enfonce encore plus. »
Face à ce constat, l’UFC-Que Choisir propose notamment la création d’un observatoire des tarifs « mettant régulièrement les feux de l’actualité » sur le sujet et suggère de limiter le nombre et le montant des « frais-sanctions ». Elle préconise aussi une plus grande clarté sur ces tarifs. Pour les 12 banques étudiées, le consommateur doit éplucher 290 pages et... 3 638 tarifs ! Hier, la Fédération bancaire française rappelait que « depuis plusieurs années les banques avaient engagé une démarche d’amélioration de l’information de leurs clients, notamment sur les prix des services bancaires. » CQFD.
Des services gratuits en 2004, devenus payants en 2009, des frais pour incidents de paiement qui bondissent de près de 30 % en cinq ans, des forfaits incluant des offres quasi inutilisées... L’étude de l’association de défense du consommateur UFC-Que choisir sur les frais bancaires dresse un « constat accablant » sur la politique tarifaire de douze banques.
« En cinq ans, la situation s’est aggravée », souligne l’association, alors que Georges Pauget (ancien directeur général du Crédit agricole) et Emmanuel Constans (président du Comité consultatif du secteur financier) doivent remettre ce mois-ci un rapport sur ce sujet à la ministre de l’Economie, Christine Lagarde.
L’hôte de Bercy s’était en effet déjà émue de certains excès tarifaires. Mais, à l’exception de quelques avancées législatives plafonnement du rejet de prélèvement, relevé annuel des frais rendu obligatoire les banques ont continué à avoir la main lourde. Font-elles payer à leurs clients leurs créances douteuses après la crise financière de 2008 ? En tout cas, la hausse du prix des « packages » ces forfaits payés pour plusieurs prestations , « après une augmentation identique à l’inflation entre 2004 et 2008, a été plus prononcée en 2009 », souligne l’UFC-Que choisir.
En cinq ans, elle a été de 12,2 % pour une inflation de 8 %. Pis ! si l’on ne prend en compte que le coût des opérations « réellement utiles compte à vue avec chéquier, carte bleue et assurance moyens de paiement, opérations par téléphone et Internet ces forfaits sont plus chers de 25,7 % par rapport à des prestations prises à l’unité... Autre facteur de hausse : les tarifs sur les incidents de paiement. Par exemple, le coût moyen de la lettre d’information avant le rejet d’un chèque a augmenté de... 77,8 % entre 2004 et 2009. « Cette hausse touche en priorité les clients les plus fragiles, commente Maurice Roullet, administrateur de l’UFC. Si un client est en difficulté, ce n’est pas une bouée de sauvetage qu’on lui lance, mais une barre en fonte qui l’enfonce encore plus. »
Face à ce constat, l’UFC-Que Choisir propose notamment la création d’un observatoire des tarifs « mettant régulièrement les feux de l’actualité » sur le sujet et suggère de limiter le nombre et le montant des « frais-sanctions ». Elle préconise aussi une plus grande clarté sur ces tarifs. Pour les 12 banques étudiées, le consommateur doit éplucher 290 pages et... 3 638 tarifs ! Hier, la Fédération bancaire française rappelait que « depuis plusieurs années les banques avaient engagé une démarche d’amélioration de l’information de leurs clients, notamment sur les prix des services bancaires. » CQFD.
L'armée israélienne menace d'intercepter un autre navire, la tension monte
Malgré l'assaut sanglant de la veille, des militants pro-palestiniens à bord d'un autre navire font route vers la bande de Gaza pour défier le blocus israëlien.
Le MV Rachel Corrie, un navire de commerce reconverti qui porte le nom d'une Américaine tuée dans la bande de Gaza en 2003, a appareillé lundi de Malte avec 15 militants à son bord.
Un passager français de la flottille :«il n'y avait pas d'arme à bord»
Parmi eux, cinq Irlandais seraient du voyage dont le Prix Nobel de la paix 1976, Mme Mairead Maguire, ainsi qu'un ancien haut fonctionnaire de l'Onu, Denis Halliday.
Le gouvernement irlandais menace de représailles en cas d'attaque
Le Premier ministre irlandais Brian Cowen a mis en garde Israël devant le Parlement à Dublin. «S'il arrive quoi que ce soit à un de nos ressortissants, cela entraînera les conséquences les plus graves», a-t-il assuré. Le gouvernement a formellement exigé auprès d'Israël que le Rachel Corrie soit autorisé à «terminer son voyage sans entrave et à décharger sa cargaison humanitaire à Gaza».
Le MV Rachel Corrie, un navire de commerce reconverti qui porte le nom d'une Américaine tuée dans la bande de Gaza en 2003, a appareillé lundi de Malte avec 15 militants à son bord.
Un passager français de la flottille :«il n'y avait pas d'arme à bord»
Parmi eux, cinq Irlandais seraient du voyage dont le Prix Nobel de la paix 1976, Mme Mairead Maguire, ainsi qu'un ancien haut fonctionnaire de l'Onu, Denis Halliday.
Le gouvernement irlandais menace de représailles en cas d'attaque
Le Premier ministre irlandais Brian Cowen a mis en garde Israël devant le Parlement à Dublin. «S'il arrive quoi que ce soit à un de nos ressortissants, cela entraînera les conséquences les plus graves», a-t-il assuré. Le gouvernement a formellement exigé auprès d'Israël que le Rachel Corrie soit autorisé à «terminer son voyage sans entrave et à décharger sa cargaison humanitaire à Gaza».
Dernière News : Roselyne Bachelot a confirmé la fermeture du service de radiothérapie de Guéret le 30 juin,Jean Auclair traite Roselyne Bachelot de "traitre"
Les députés de la Creuse, l'UMP Jean Auclair et le PS Michel Vergnier avait rendez-vous jeudi 27 avec le Ministre Roselyne Bachelot. Cette dernière a confirmé la fermeture, le 30 juin du service de radiothérapie de Guéret
Jean Auclair aurait laissé entendre qu'un accord était désormais possible entre tous les partenaires pour la création d'une structure commune à la fois au CHU de Limoges, à l'hôpital de Guéret et aux cliniques privées de Guéret et Montluçon. La réponse devait être donnée le 27 mai par Roselyne Bachelot.
28 mai 2010 : les deux députés y croyaient encore, jeudi en montant à Paris pour leur rendez-vous avec le Ministre. Mais rien n'y a a fait : le service fermera le 30 juin, soit dans un mois. Fureur de Jean Auclair, qui n'hésite pas à traiter la Ministre de "traitre" et qui met aussi en cause la passivité du CHU de Limoges
Mardi 19 janvier 2010:
Roselyne Bachelot a reçu le directeur du centre hospitalier de Guéret et les députés Michel Vergnier et Jean Auclair, venus défendre le service de radiothérapie dont la fermeture était programmée pour le 30 juin 2010. Le projet global proposé au ministère est celui d'un partenariat public privé entre l'hôpital de Guéret et la clinique de Montluçon dans un premier temps. Le Chu et la clinique Chénieux, à Limoges, pourraient aussi faire partie du schéma à moyen terme. Le ministère n'est pas opposé à cette solution, mais demande une offre continue de soins. Une nouvelle réunion a été décidée pour le mois d'avril.
Vendredi 18 décembre 2009:
le maire de Guéret a bloqué le Conseil d'Administration de l'hôpital, dont il est le Président. En fait depuis le scandale d'Epinal où des patients ont été surdosés, un centre comme celui de Guéret avec un seul accélérateur n'aurait plus de raison d'être. Il sera demandé aux patients de se déplacer à Limoges avec toutes les contraintes de transport pour des malades que cela implique. Michel Vergnier, député-maire de la ville avait annoncé une réunion pour le 18 décembre avec d'autres élus creusois qui devaient se mobiliser pour défendre ce service. Le maire de Guéret, qui préside le conseil d'administration de l'hôpital, avait annoncé qu'il était en contact avec le Ministère pour trouver une solution de maintien de la structure supprimée
FR3 Limousin
Jean Auclair aurait laissé entendre qu'un accord était désormais possible entre tous les partenaires pour la création d'une structure commune à la fois au CHU de Limoges, à l'hôpital de Guéret et aux cliniques privées de Guéret et Montluçon. La réponse devait être donnée le 27 mai par Roselyne Bachelot.
28 mai 2010 : les deux députés y croyaient encore, jeudi en montant à Paris pour leur rendez-vous avec le Ministre. Mais rien n'y a a fait : le service fermera le 30 juin, soit dans un mois. Fureur de Jean Auclair, qui n'hésite pas à traiter la Ministre de "traitre" et qui met aussi en cause la passivité du CHU de Limoges
Mardi 19 janvier 2010:
Roselyne Bachelot a reçu le directeur du centre hospitalier de Guéret et les députés Michel Vergnier et Jean Auclair, venus défendre le service de radiothérapie dont la fermeture était programmée pour le 30 juin 2010. Le projet global proposé au ministère est celui d'un partenariat public privé entre l'hôpital de Guéret et la clinique de Montluçon dans un premier temps. Le Chu et la clinique Chénieux, à Limoges, pourraient aussi faire partie du schéma à moyen terme. Le ministère n'est pas opposé à cette solution, mais demande une offre continue de soins. Une nouvelle réunion a été décidée pour le mois d'avril.
Vendredi 18 décembre 2009:
le maire de Guéret a bloqué le Conseil d'Administration de l'hôpital, dont il est le Président. En fait depuis le scandale d'Epinal où des patients ont été surdosés, un centre comme celui de Guéret avec un seul accélérateur n'aurait plus de raison d'être. Il sera demandé aux patients de se déplacer à Limoges avec toutes les contraintes de transport pour des malades que cela implique. Michel Vergnier, député-maire de la ville avait annoncé une réunion pour le 18 décembre avec d'autres élus creusois qui devaient se mobiliser pour défendre ce service. Le maire de Guéret, qui préside le conseil d'administration de l'hôpital, avait annoncé qu'il était en contact avec le Ministère pour trouver une solution de maintien de la structure supprimée
FR3 Limousin
mardi 1 juin 2010
fermeture d'hôpital et campe une nuit au ministère
Jean Auclair, élu dans la Creuse, a voulu marquer le coup alors qu'il accuse la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, de pratiquer «la politique de l’autruche» sur une éventuelle fermeture d'un centre de radiothérapie à Guéret.
Le député (UMP) de la Creuse, Jean Auclair, a poussé un coup de gueule mardi contre l’éventuelle fermeture d’un centre de radiothérapie à Guéret et raconté à ses collègues UMP avoir campé une nuit au ministère de la Santé pour tenter d’être entendu par Roselyne Bachelot.
Selon des participants à la réunion à huis clos du groupe UMP à l’Assemblée, il a accusé, en son absence, la ministre de la Santé de pratiquer «la politique de l’autruche» sur ce dossier.
Il y a une quinzaine de jours, il s’est rendu au ministère pour demander, en vain, à s’entretenir avec Roselyne Bachelot. Reçu par «un pseudo-conseiller», il a décidé de passer la nuit sur place. «J’ai un chien et il dort dans une panière. Moi, j’ai dormi par terre, sur la moquette, entouré de quatre personnes de la sécurité», a-t-il raconté à ses collègues, selon plusieurs témoins.
«Moi, pendant que je me faisais casser la gueule aux régionales, Bachelot, elle, elle pantouflait», a-t-il encore protesté. Allusion au fait que la ministre ne s’est pas présentée aux élections régionales dans les Pays de la Loire.
«Eh bien, qu’on mette Estrosi à la Santé !»
Proche de Bachelot, François Fillon a alors pris sa défense en indiquant que si la ministre ne s’est pas présentée aux élections, c’est «à la demande» du président Nicolas Sarkozy et de lui-même.
Alors que Bernard Kouchner (Affaires étrangères) a lui aussi été mis en cause par d’autres collègues, le député UMP Jean-Pierre Door a alors pris la parole pour expliquer que, face à un problème avec une usine dans sa circonscription, lui avait obtenu très vite un rendez-vous avec le ministre de l’Industrie, Christian Estrosi.
«Eh bien, qu’on mette Estrosi à la Santé !», s'est exclamé le député Auclair. Sollicité par l’AFP, ce dernier n’a pas souhaité faire de commentaire sur ce dossier. «Je n’ai pas encore perdu la partie ! Mais si je la perds, vous pouvez compter sur moi pour que je communique en termes choisis...», a-t-il prévenu.
(Source AFP)
Le député (UMP) de la Creuse, Jean Auclair, a poussé un coup de gueule mardi contre l’éventuelle fermeture d’un centre de radiothérapie à Guéret et raconté à ses collègues UMP avoir campé une nuit au ministère de la Santé pour tenter d’être entendu par Roselyne Bachelot.
Selon des participants à la réunion à huis clos du groupe UMP à l’Assemblée, il a accusé, en son absence, la ministre de la Santé de pratiquer «la politique de l’autruche» sur ce dossier.
Il y a une quinzaine de jours, il s’est rendu au ministère pour demander, en vain, à s’entretenir avec Roselyne Bachelot. Reçu par «un pseudo-conseiller», il a décidé de passer la nuit sur place. «J’ai un chien et il dort dans une panière. Moi, j’ai dormi par terre, sur la moquette, entouré de quatre personnes de la sécurité», a-t-il raconté à ses collègues, selon plusieurs témoins.
«Moi, pendant que je me faisais casser la gueule aux régionales, Bachelot, elle, elle pantouflait», a-t-il encore protesté. Allusion au fait que la ministre ne s’est pas présentée aux élections régionales dans les Pays de la Loire.
«Eh bien, qu’on mette Estrosi à la Santé !»
Proche de Bachelot, François Fillon a alors pris sa défense en indiquant que si la ministre ne s’est pas présentée aux élections, c’est «à la demande» du président Nicolas Sarkozy et de lui-même.
Alors que Bernard Kouchner (Affaires étrangères) a lui aussi été mis en cause par d’autres collègues, le député UMP Jean-Pierre Door a alors pris la parole pour expliquer que, face à un problème avec une usine dans sa circonscription, lui avait obtenu très vite un rendez-vous avec le ministre de l’Industrie, Christian Estrosi.
«Eh bien, qu’on mette Estrosi à la Santé !», s'est exclamé le député Auclair. Sollicité par l’AFP, ce dernier n’a pas souhaité faire de commentaire sur ce dossier. «Je n’ai pas encore perdu la partie ! Mais si je la perds, vous pouvez compter sur moi pour que je communique en termes choisis...», a-t-il prévenu.
(Source AFP)
Budelière : un éco-village pour attirer les voisins de l'Allier
A l'est de la Creuse, à la limite de l'Allier, Budelière dynamise son bourg. En créant un éco hameau, la municipalité veut accueillir de nouveaux habitants. Des jeunes et des seniors.
des seniors.
Posé à l'extrême limite Est de la Creuse, presque plus Bourbonnais que Creusois, Budelière veut profiter de cette situation géographique pour le moins inconfortable - par rapport au reste du département- pour attirer de nouveaux habitants, venant ou travaillant dans l'Allier, à Montluçon notamment.
« C'est bien simple, selon Gilbert Brossard, adjoint au maire de Budelière, nous sommes à 20 minutes à peine du centre de Montluçon. Budelière est sur une route départementale qui draine, depuis Aubusson, Chambon ou Evaux, plus de 2.000 véhicules par jour. En créant notre éco hameau ce serait bien surprenant si nous n'intéressions pas de nouveaux habitants? »
Pour être certaine de garder sa population, voire de l'augmenter, la municipalité, dirigée par le maire Jacques Constantin, a en effet décidé de faire réaliser un lotissement? pas du tout comme les autres. Gilbert Brossard poursuit : « Après plusieurs réunions, face à une population vieillissante, pour essayer de maintenir notre école avec ses trois classes, sachant que nous avons ouvert une supérette et que le bar-restaurant fermé depuis plusieurs années vient de rouvrir, l'idée de créer un lotissement écologique a fait son chemin ».
Du coup, les élus ont suivi les pas de Wyllie Vermotte, un maître d'oeuvre porteur d'un projet d'éco lotissement qui les a enchantés. Le lotissement ne rejettera pas les eaux pluviales. Elles seront toutes absorbées dans des roselières créées à cet effet. Chaque maison sera équipée de récupérateur d'eau de pluie. Les habitations devront répondre à un cahier des charges précis qui privilégiera les maisons à ossatures bois et autres matériaux écolos. Les éclairages publics seront très certainement à base de panneaux solaires. Le projet comporte également un jardin potager commun en bordure du lotissement : « Ainsi, les habitants pourront se rencontrer en traversant le lotissement, échanger et bien entendu jardiner, mais sans pesticide comme le précisera le règlement du potager ».
Les élus ont également pensé à l'intergénérationnel en créant un « Papy loft », soit un ensemble de maisons, T2 et T3, de plain-pied, qui seront habitées par des personnes âgées mais non dépendantes qui vivent isolées à la campagne, voire seules en ville. « Il y aura ainsi une mixité sociale. Les personnes âgées pourront garder les enfants des plus jeunes. Jeunes et moins jeunes formeront un tout ». Ce futur éco lotissement doit donc être un « mélange locatif de qualité avec une partie en accession à la propriété, dans un cadre écologique fourni par la commune ». Ainsi, avec le projet de dépollution des fameuses mines d'or du Châtelet, pour créer près du bourg un superbe site touristique, et la réfection de l'église et de ses fresques, Budelière surfe sur son dynamisme pour lutter contre la désertification.
la Montagne.fr
des seniors.
Posé à l'extrême limite Est de la Creuse, presque plus Bourbonnais que Creusois, Budelière veut profiter de cette situation géographique pour le moins inconfortable - par rapport au reste du département- pour attirer de nouveaux habitants, venant ou travaillant dans l'Allier, à Montluçon notamment.
« C'est bien simple, selon Gilbert Brossard, adjoint au maire de Budelière, nous sommes à 20 minutes à peine du centre de Montluçon. Budelière est sur une route départementale qui draine, depuis Aubusson, Chambon ou Evaux, plus de 2.000 véhicules par jour. En créant notre éco hameau ce serait bien surprenant si nous n'intéressions pas de nouveaux habitants? »
Pour être certaine de garder sa population, voire de l'augmenter, la municipalité, dirigée par le maire Jacques Constantin, a en effet décidé de faire réaliser un lotissement? pas du tout comme les autres. Gilbert Brossard poursuit : « Après plusieurs réunions, face à une population vieillissante, pour essayer de maintenir notre école avec ses trois classes, sachant que nous avons ouvert une supérette et que le bar-restaurant fermé depuis plusieurs années vient de rouvrir, l'idée de créer un lotissement écologique a fait son chemin ».
Du coup, les élus ont suivi les pas de Wyllie Vermotte, un maître d'oeuvre porteur d'un projet d'éco lotissement qui les a enchantés. Le lotissement ne rejettera pas les eaux pluviales. Elles seront toutes absorbées dans des roselières créées à cet effet. Chaque maison sera équipée de récupérateur d'eau de pluie. Les habitations devront répondre à un cahier des charges précis qui privilégiera les maisons à ossatures bois et autres matériaux écolos. Les éclairages publics seront très certainement à base de panneaux solaires. Le projet comporte également un jardin potager commun en bordure du lotissement : « Ainsi, les habitants pourront se rencontrer en traversant le lotissement, échanger et bien entendu jardiner, mais sans pesticide comme le précisera le règlement du potager ».
Les élus ont également pensé à l'intergénérationnel en créant un « Papy loft », soit un ensemble de maisons, T2 et T3, de plain-pied, qui seront habitées par des personnes âgées mais non dépendantes qui vivent isolées à la campagne, voire seules en ville. « Il y aura ainsi une mixité sociale. Les personnes âgées pourront garder les enfants des plus jeunes. Jeunes et moins jeunes formeront un tout ». Ce futur éco lotissement doit donc être un « mélange locatif de qualité avec une partie en accession à la propriété, dans un cadre écologique fourni par la commune ». Ainsi, avec le projet de dépollution des fameuses mines d'or du Châtelet, pour créer près du bourg un superbe site touristique, et la réfection de l'église et de ses fresques, Budelière surfe sur son dynamisme pour lutter contre la désertification.
la Montagne.fr
Moins de postes ? Plus d'élèves par classe !
Le ministère suggère dans un document interne d’augmenter le nombre d’élèves par classe. Une piste qui provoque déjà une bronca. Augmenter le nombre d’élèves par classe.
C’est ce que propose très sérieusement le ministère aux recteurs, qui doivent examiner dans leurs académies, d’ici à la mi-juin, comment gagner des postes et faire ainsi face au non-remplacement d’un prof sur deux, inscrit au budget 2011. L’information, révélée par le site Internet Café pédagogique, figure noir sur blanc dans un document interne au ministère et destiné à ses recteurs.
Accompagné d’annexes qui circulent depuis hier dans le monde éducatif au grand dam du ministère qui pouvait se flatter d’un printemps calme , le document risque de provoquer un sacré tollé. Il suscite d’ores et déjà une bronca chez les syndicats, qui y voient se vérifier toutes les craintes émises depuis deux ans. Pour pallier à la suppression de 16 000 postes, le ministère invite donc à « identifier et mobiliser les gisements d’efficience », en clair à racler les fonds de tiroir. Une dizaine de pistes, non exhaustives, sont suggérées aux académies, qui doivent recenser et chiffrer en autant de fiches les économies réalisables.
Optimiser les moyens pour supprimer des postes
En tête des solutions préconisées, la classe plus chargée vaut aussi bien pour le collège que pour le primaire, avec un argument choc : « l’augmentation de la taille des classes peut être globalement envisagée, sans dégradation du résultat des élèves ». « Hors cas ou situations spécifiques, note le ministère dans les fiches du primaire adressées aux académies, les études et expériences les plus récentes indiquent que la diminution des effectifs dans les classes n’a pas d’effet avéré sur les résultats des élèves. » Dans le même ordre d’idée, sauf en ZEP (zone d’éducation prioritaire), les recteurs sont invités à relever les seuils d’ouverture de classes et pousser, en liaison avec les communes, aux regroupements d’écoles pour fermer les plus petites, qui ne comptent qu’une à deux classes (13 000 écoles en France environ) et « ne s’avèrent plus toujours performantes ». Selon le Snuipp, principal syndicat d’enseignants du premier degré, l’ensemble permettrait de gagner 6 000 à 7 000 postes en primaire (où on compte actuellement 22 élèves par classe en moyenne).
Côté collège, dans le même objectif « d’optimisation des moyens », prière si possible aussi de dépasser les 24 élèves par classe (moyenne 2010). Avec d’autant moins de scrupules qu’au collège « de nombreux enseignements ne se déroulent pas en division complète ».
C’est ce que propose très sérieusement le ministère aux recteurs, qui doivent examiner dans leurs académies, d’ici à la mi-juin, comment gagner des postes et faire ainsi face au non-remplacement d’un prof sur deux, inscrit au budget 2011. L’information, révélée par le site Internet Café pédagogique, figure noir sur blanc dans un document interne au ministère et destiné à ses recteurs.
Accompagné d’annexes qui circulent depuis hier dans le monde éducatif au grand dam du ministère qui pouvait se flatter d’un printemps calme , le document risque de provoquer un sacré tollé. Il suscite d’ores et déjà une bronca chez les syndicats, qui y voient se vérifier toutes les craintes émises depuis deux ans. Pour pallier à la suppression de 16 000 postes, le ministère invite donc à « identifier et mobiliser les gisements d’efficience », en clair à racler les fonds de tiroir. Une dizaine de pistes, non exhaustives, sont suggérées aux académies, qui doivent recenser et chiffrer en autant de fiches les économies réalisables.
Optimiser les moyens pour supprimer des postes
En tête des solutions préconisées, la classe plus chargée vaut aussi bien pour le collège que pour le primaire, avec un argument choc : « l’augmentation de la taille des classes peut être globalement envisagée, sans dégradation du résultat des élèves ». « Hors cas ou situations spécifiques, note le ministère dans les fiches du primaire adressées aux académies, les études et expériences les plus récentes indiquent que la diminution des effectifs dans les classes n’a pas d’effet avéré sur les résultats des élèves. » Dans le même ordre d’idée, sauf en ZEP (zone d’éducation prioritaire), les recteurs sont invités à relever les seuils d’ouverture de classes et pousser, en liaison avec les communes, aux regroupements d’écoles pour fermer les plus petites, qui ne comptent qu’une à deux classes (13 000 écoles en France environ) et « ne s’avèrent plus toujours performantes ». Selon le Snuipp, principal syndicat d’enseignants du premier degré, l’ensemble permettrait de gagner 6 000 à 7 000 postes en primaire (où on compte actuellement 22 élèves par classe en moyenne).
Côté collège, dans le même objectif « d’optimisation des moyens », prière si possible aussi de dépasser les 24 élèves par classe (moyenne 2010). Avec d’autant moins de scrupules qu’au collège « de nombreux enseignements ne se déroulent pas en division complète ».
Nouveau blog et site à Evaux les bains
Situé à quelques pas de la cité thermale, le château de Relibert vous propose un gîte dans le parc et une chambre d'hôte au château.
Le charme, le calme et la proximité du centre ville vous charmeront. Situé d'un parc de huit hectares avec un étang, c'est un lieu de pléinitude à Evaux les bains.
Vous goûterez le calme de cette demeure, en profitant du confort de sa grande chambre et de la paix du parc jardin extérieur.
Le petit déjeuner vous sera offert.
Vous serez le bienvenu dans ce château devenu chambre d´hôte de charme où règne une atmosphère chaleureuse.
pour info et réservation : 05.55.65.48.10
Le blog
le Site
Le charme, le calme et la proximité du centre ville vous charmeront. Situé d'un parc de huit hectares avec un étang, c'est un lieu de pléinitude à Evaux les bains.
Vous goûterez le calme de cette demeure, en profitant du confort de sa grande chambre et de la paix du parc jardin extérieur.
Le petit déjeuner vous sera offert.
Vous serez le bienvenu dans ce château devenu chambre d´hôte de charme où règne une atmosphère chaleureuse.
pour info et réservation : 05.55.65.48.10
Le blog
le Site
FOOTBALL, COUPE DU MONDE 2010 (GROUPE A)/EQUIPE DE FRANCE
Thierry Henry, une nouvelle fois remplaçant hier soir face à la Tunisie en match amical, peut quand même s’estimer heureux. Selon nos informations, le joueur de Barcelone ne figurait pas dans la liste des 23 pour la Coupe du monde initialement prévue par Raymond Domenech. Le sélectionneur est même venu en personne en Catalogne lui annoncer la nouvelle en avril.
Remplaçant depuis le début de l’année 2010 après une fin 2009 déjà compliquée, le patron de la sélection avait tranché. Exit Henry de la liste des 30 et, bien sûr, des 23. Il n’y aurait plus eu de champion du monde, dont il est le dernier représentant puisque Patrick Vieira n’a pas été appelé du tout. Mais après avoir appris cette terrible information, l’attaquant a demandé à revoir le sélectionneur. Pendant cet entretien, il l’a ainsi convaincu de figurer dans les 23. Domenech a alors accepté, mais lui a annoncé qu’il ne serait pas titulaire mais joker, simple 23e homme pendant le Mondial, une révélation de Canal + hier soir lors de son émission « Canal Football Club ». Après le match, Raymond Domenech a qualifié l’information de « ragot ».
Remplaçant depuis le début de l’année 2010 après une fin 2009 déjà compliquée, le patron de la sélection avait tranché. Exit Henry de la liste des 30 et, bien sûr, des 23. Il n’y aurait plus eu de champion du monde, dont il est le dernier représentant puisque Patrick Vieira n’a pas été appelé du tout. Mais après avoir appris cette terrible information, l’attaquant a demandé à revoir le sélectionneur. Pendant cet entretien, il l’a ainsi convaincu de figurer dans les 23. Domenech a alors accepté, mais lui a annoncé qu’il ne serait pas titulaire mais joker, simple 23e homme pendant le Mondial, une révélation de Canal + hier soir lors de son émission « Canal Football Club ». Après le match, Raymond Domenech a qualifié l’information de « ragot ».
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