Le nombre de personnes sans activité a diminué en juin de -0,3% par rapport à mai. Mais si l'on tient compte des demandeurs d'emploi ayant une activité réduite, au global, le chômage a augmenté de +0,4%. Telles sont les principales tendances en demi-teinte qui se dégagent du mois de juin, d'après les chiffres publiés ce mardi par Bercy.
Baisse de 0,3% en juin des inscrits sans activité. Dans la catégorie dite A des demandeurs d'emploi, Pôle Emploi recense tous ceux qui cherchent tout type de contrat de travail et n'ayant pas du tout travaillé dans le mois précédent. En juin, leur nombre a atteint 2 691 000 personnes, soit 8 600 chômeurs de moins qu'en mai. Par rapport au même mois l'an passé, il est en hausse de 6,9%. «Un nombre de demandeurs d'emploi qui diminue de 8 600, fût-ce en catégorie A, c'est une bonne nouvelle», estime la ministre de l'Economie, Christine Lagarde. «Il y a du mieux, on s'en réjouit, on ne baisse pas les bras, on continue», a-t-elle poursuivi. Selon elle, le marché du travail français est dans «une stabilisation selon le schéma de la tôle ondulée, qui est due à une situation de croissance économique qui devrait s'améliorer au second semestre».
Demandeurs d'emploi en activité réduite : hausse de 0,4%. L'autre indicateur englobe les demandeurs d'emploi qui occupent une activité réduite et dont les revenus sont déduits de l'indemnisation chômage. Ils doivent faire des actes positifs de recherche d'emploi pour ne pas être radiés. Dans cet ensemble -qui regroupe les catégories A, B et C de demandeurs d'emploi-, Pôle emploi a recensé 3,958 millions de personnes en juin, soit 15 500 personnes en plus qu'en mai (+0,4%) et davantage qu'en juin 2009 (+9,3%). En comptant les départements d'outre-mer (DOM), la barre des 4 millions a été dépassée à l'automne 2009 et a franchi un nouveau palier fin juin à 4,201 millions.
- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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mercredi 28 juillet 2010
Laurent Blanc : «Ribéry et Benzema sont sélectionnables»
Présent ce mardi au siège du «Parisien» - «Aujourd'hui en France» pour un long entretien publié demain, Laurent Blanc ne ferme pas la porte de l'équipe de France à Franck Ribéry - puni comme l'ensemble des 23 du Mondial pour le seul match amical contre la Norvège - ni à Karim Benzema.
Les deux joueurs ont été mis en examen pour «sollicitation de prostituée mineure» dans le cadre de l'affaire Zahia.
Un mis en examen est-il non sélectionnable ? «Non», répond-il. «Les enquêtes judiciaires sont très longues, souligne le nouveau sélectionneur des Bleus. Moi, je suis là pour deux ans. Et Ribéry et Benzema font partie des joueurs potentiellement incontournables en sélection.»
RETROUVEZ L'INTEGRALITE DE L'INTERVIEW DE LAURENT BLANC DANS «LE PARISIEN» - «AUJOURD'HUI EN FRANCE» DE MERCREDI
Les deux joueurs ont été mis en examen pour «sollicitation de prostituée mineure» dans le cadre de l'affaire Zahia.
Un mis en examen est-il non sélectionnable ? «Non», répond-il. «Les enquêtes judiciaires sont très longues, souligne le nouveau sélectionneur des Bleus. Moi, je suis là pour deux ans. Et Ribéry et Benzema font partie des joueurs potentiellement incontournables en sélection.»
RETROUVEZ L'INTEGRALITE DE L'INTERVIEW DE LAURENT BLANC DANS «LE PARISIEN» - «AUJOURD'HUI EN FRANCE» DE MERCREDI
mardi 27 juillet 2010
De jolies réalisations florales à Evaux les bains
Réalisées par l'association "EVAFLOR", de très jolies réalisations ornent la ville.
la récompense des éfforts d'une équipe de bénévoles que compose cette nouvelle association qui oeuvre avec son coeur et peu de moyens.
Vous pouvez les aider en adhérent à l'association. Pour une somme modique, vous contribuerez à l'embellissement de la commune, vous partagerez du vécu et votre passion.
La boutique de l'été à Evaux les bains
Comme maintenant tous les étés, l'office de tourisme vous propose
"La Boutique de l'été".
La possibilité d'acquérir une diversité et une multitude de produits du terroir creusois à Evaux les bains
Cette année , la boutique s'est déplacéz en plein centre ville (ex magasin Gitem). Suivant les heures d'ouverture (rens office de tourisme), Eva vous accueillera avec son sourire et sa gentillesse habituelle.
Une visite s'impose dans ce lieu ou se mèle des produits, que dis je, des trésors d'artistes et d'artisans avec pour certains des découvertes des produits locaux, comme le nougat. Une jolie découverte du terroir dans la ville d'Evaux les bains.
renseignement : office de tourisme d'Evaux les bains.
Le centre thermal d'Evaux les bains
Le centre thermal d'Evaux les bains agrémenté cette année d'un centre de remise en forme et magnifiquement fleurit par un artiste floral.
photo : bellet dominique
La caverne d'ALIABA à Evaux les bains
Alliot-Marie annonce la fermeture de 23 prisons vétustes
Vingt-trois prisons vétustes, seront fermées pour la plupart entre 2015 et 2017. C'est ce qu'a annoncé lundi le ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie dans un communiqué. Elles seront compensées par la construction de nouveaux établissements dans le cadre du plan de modernisation du parc pénitentiaire.
Ce plan vise à «assurer des conditions dignes de détention, à mettre notre pays en conformité avec les règles pénitentiaires européennes et à garantir la mise en oeuvre des prescriptions de la loi pénitentiaire» votée en 2009, a expliqué le ministère de la Justice dans un communiqué.
«D'ici la fin de l'année 2017, environ 9000 places vétustes seront fermées et près de 14 000 ouvertes», a-t-il précisé. «La France sera alors dotée de 68 000 places de prison, dont plus de la moitié auront été ouvertes après 1990».
«Tous les agents en poste dans les établissements fermés pourront demander à être affectés dans les établissements alentour et verront leur demande de mutation traitée de façon prioritaire», a assuré le ministère.
Les 23 établissements qui vont fermer ont été jugés trop vétustes pour être rénovés.
Ce plan vise à «assurer des conditions dignes de détention, à mettre notre pays en conformité avec les règles pénitentiaires européennes et à garantir la mise en oeuvre des prescriptions de la loi pénitentiaire» votée en 2009, a expliqué le ministère de la Justice dans un communiqué.
«D'ici la fin de l'année 2017, environ 9000 places vétustes seront fermées et près de 14 000 ouvertes», a-t-il précisé. «La France sera alors dotée de 68 000 places de prison, dont plus de la moitié auront été ouvertes après 1990».
«Tous les agents en poste dans les établissements fermés pourront demander à être affectés dans les établissements alentour et verront leur demande de mutation traitée de façon prioritaire», a assuré le ministère.
Les 23 établissements qui vont fermer ont été jugés trop vétustes pour être rénovés.
Menaces de mort contre des policiers à Grenoble
Des mesures ont été prises pour protéger les policiers de la brigade anticriminalité de Grenoble impliqués dans la fusillade qui a eu lieu dans le quartier de la Villeneuve.
La police pour protéger la police. En vigueur à Grenoble (Isère), cette situation exceptionnelle est une conséquence directe des nuits d’émeute qui ont embrasé la cité de la Villeneuve après la mort d’un braqueur tombé sous les balles des forces de l’ordre lors d’une fusillade, le 16 juillet. Des menaces de mort ont, en effet, été proférées à l’encontre de la brigade anticriminalité (BAC) de Grenoble, service auquel appartient la patrouille impliquée dans les échanges de tirs avec le malfaiteur et son complice.
Des demandes de mutation
« Elles visent ce service en général et des collègues en particulier. On peut même parler de contrats. Cela émane de gens agissant dans un contexte mafieux qui considèrent la BAC comme une bande rivale », précise un policier isérois. « Recoupées », ces menaces ciblées sont prises très au sérieux. Le parquet de Grenoble a ouvert une information judiciaire. « De notre côté, nous avons pris des dispositions et des précautions pour mettre à l’abri ces policiers ainsi que leurs familles », a indiqué hier le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux. Ces mesures de protection policière et de surveillance électronique concerneraient « moins de cinq » fonctionnaires de la BAC, selon une source proche du dossier.
Depuis quelques jours, la situation préoccupe les policiers isérois. « Les bruits courent que ses amis (NDLR : du braqueur) ne vengeront sa mort que par la mort d’un BAC-man, au lance-roquettes si nécessaire », s’alarme un policier grenoblois dans un SMS. Ce texto a été envoyé massivement sur les portables de nombreux policiers en France. « Le boulot de la BAC est un travail de terrain, reprend un fonctionnaire grenoblois. Certains collègues exercent ici depuis vingt ans. Ils connaissent très bien leurs clients et inversement. Leurs noms apparaissent sur les PV où lors des procès. C’est ainsi qu’on retrouve l’identité de collègues ou leur plaque minéralogique taguées sur les murs de cités. »
La mission de la BAC devient de plus en plus délicate. Certains fonctionnaires ont été mis au repos provisoirement. D’autres ont sollicité une mutation. « Rien ne se fera sans l’accord des policiers concernés », insiste un haut fonctionnaire. Mais les policiers refusent de céder aux intimidations. « Il faut d’abord protéger les collègues, puis frapper fort pour saisir les armes qui circulent encore et mettre hors d’état de nuire ces bandes », indique Daniel Chomette, responsable départemental du syndicat de gardiens de la paix SGP-FO.
La police pour protéger la police. En vigueur à Grenoble (Isère), cette situation exceptionnelle est une conséquence directe des nuits d’émeute qui ont embrasé la cité de la Villeneuve après la mort d’un braqueur tombé sous les balles des forces de l’ordre lors d’une fusillade, le 16 juillet. Des menaces de mort ont, en effet, été proférées à l’encontre de la brigade anticriminalité (BAC) de Grenoble, service auquel appartient la patrouille impliquée dans les échanges de tirs avec le malfaiteur et son complice.
Des demandes de mutation
« Elles visent ce service en général et des collègues en particulier. On peut même parler de contrats. Cela émane de gens agissant dans un contexte mafieux qui considèrent la BAC comme une bande rivale », précise un policier isérois. « Recoupées », ces menaces ciblées sont prises très au sérieux. Le parquet de Grenoble a ouvert une information judiciaire. « De notre côté, nous avons pris des dispositions et des précautions pour mettre à l’abri ces policiers ainsi que leurs familles », a indiqué hier le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux. Ces mesures de protection policière et de surveillance électronique concerneraient « moins de cinq » fonctionnaires de la BAC, selon une source proche du dossier.
Depuis quelques jours, la situation préoccupe les policiers isérois. « Les bruits courent que ses amis (NDLR : du braqueur) ne vengeront sa mort que par la mort d’un BAC-man, au lance-roquettes si nécessaire », s’alarme un policier grenoblois dans un SMS. Ce texto a été envoyé massivement sur les portables de nombreux policiers en France. « Le boulot de la BAC est un travail de terrain, reprend un fonctionnaire grenoblois. Certains collègues exercent ici depuis vingt ans. Ils connaissent très bien leurs clients et inversement. Leurs noms apparaissent sur les PV où lors des procès. C’est ainsi qu’on retrouve l’identité de collègues ou leur plaque minéralogique taguées sur les murs de cités. »
La mission de la BAC devient de plus en plus délicate. Certains fonctionnaires ont été mis au repos provisoirement. D’autres ont sollicité une mutation. « Rien ne se fera sans l’accord des policiers concernés », insiste un haut fonctionnaire. Mais les policiers refusent de céder aux intimidations. « Il faut d’abord protéger les collègues, puis frapper fort pour saisir les armes qui circulent encore et mettre hors d’état de nuire ces bandes », indique Daniel Chomette, responsable départemental du syndicat de gardiens de la paix SGP-FO.
Un avion-cargo de la Lufthansa s'écrase à Ryad
Un avion cargo de la compagnie aérienne allemande Lufthansa s'est écrasé mardi à l'aéroport Roi Khaled de Ryad, a rapporté la télévision d'Etat saoudienne Al-Ekhbariya, qui n'a pas donné de détails sur les circonstances de la catastrophe ni sur d'éventuelles victimes.
L'accident est survenu à l'atterrissage de l'appareil qui, au contact du sol, s'est brisé en deux parties, a pour sa part indiqué Al-Arabiya, une chaîne de télévision satellitaire à capitaux saoudiens basée à Dubaï.
De la fumée se dégageait de l'avion juste avant l'atterrissage, a ajouté Al-Arabiya, indiquant que des équipes de la défense s'employaient à maîtriser le feu sur le site.
L'accident est survenu à l'atterrissage de l'appareil qui, au contact du sol, s'est brisé en deux parties, a pour sa part indiqué Al-Arabiya, une chaîne de télévision satellitaire à capitaux saoudiens basée à Dubaï.
De la fumée se dégageait de l'avion juste avant l'atterrissage, a ajouté Al-Arabiya, indiquant que des équipes de la défense s'employaient à maîtriser le feu sur le site.
A Evaux les bains, encore cette année, nous sommes envahis par des nuées de mouches.
La lavande serait un répulsif des mouches, à vérifier... Par ailleurs, il faut bien se garder de ne pas détruire les guêpes et frelons, qui sont des prédateurs des mouches.
Dans nos campagnes envahies de pesticides et produits poluants répandus pour gagner en rentabilité, il ne faut pas s'étonner de ne plus voir de prédateurs de mouches.
Un entomologiste affirment qu'une guêpe de moins, c'est 1000 mouches de plus !
Dans les Deux-Sèvres : un maire distribue des tapettes contre l'invasion des mouches
Le maire d'une petite commune des Deux-Sèvres, Exoudun a décidé de livrer un combat sans merci aux mouches qui envahissent le territoire communal. Il a distribué à tous ses administrés une arme redoutable, dont il a financé personnellement l'achat
«Il y a une recrudescence de mouches sur Exoudun. On dit +que fait le maire?+, donc en un clin d'oeil, j'ai commandé 250 tapettes à mouches», explique avec humour Jean-Marie Auzanneau-Fouquet.
Mais pour ne pas grever les finances de la commune qui compte 650 administrés, il a puisé sur ses propres deniers. Ce qui lui a coûté 130 euros.
Le maire distribue personnellement les 250 tapettes, «une par foyer» et «de toutes les couleurs».
C'est une manière «de parler aux gens» qui, d'après le maire, accueillent bien son initiative. Car, selon lui, la tapette, «c'est hygiénique, économique et cela maintient en condition physique».
La lavande serait un répulsif des mouches, à vérifier... Par ailleurs, il faut bien se garder de ne pas détruire les guêpes et frelons, qui sont des prédateurs des mouches.
Dans nos campagnes envahies de pesticides et produits poluants répandus pour gagner en rentabilité, il ne faut pas s'étonner de ne plus voir de prédateurs de mouches.
Un entomologiste affirment qu'une guêpe de moins, c'est 1000 mouches de plus !
Dans les Deux-Sèvres : un maire distribue des tapettes contre l'invasion des mouches
Le maire d'une petite commune des Deux-Sèvres, Exoudun a décidé de livrer un combat sans merci aux mouches qui envahissent le territoire communal. Il a distribué à tous ses administrés une arme redoutable, dont il a financé personnellement l'achat
«Il y a une recrudescence de mouches sur Exoudun. On dit +que fait le maire?+, donc en un clin d'oeil, j'ai commandé 250 tapettes à mouches», explique avec humour Jean-Marie Auzanneau-Fouquet.
Mais pour ne pas grever les finances de la commune qui compte 650 administrés, il a puisé sur ses propres deniers. Ce qui lui a coûté 130 euros.
Le maire distribue personnellement les 250 tapettes, «une par foyer» et «de toutes les couleurs».
C'est une manière «de parler aux gens» qui, d'après le maire, accueillent bien son initiative. Car, selon lui, la tapette, «c'est hygiénique, économique et cela maintient en condition physique».
Var : un père et ses deux filles tués dans l'incendie d'un mobile home
Un homme de 35 ans et ses deux petites filles de 4 et 9 ans ont péri dans l'incendie d'un mobile home au Cannet-des-Maures (Var), au camping de La Cigalière. Gravement brûlée aux mains et au visage, la mère a été évacuée vers l'hôpital militaire Sainte-Anne à Toulon. La famille est domiciliée à Marseille.
C'est elle qui a donné l'alerte vers 1h30 selon un témoin. «On s'est couché vers minuit. Vers 01h30, Mina (la mère des enfants) est venue à mon mobile home en hurlant : Sauve mes enfants ! Le mobile home était entièrement en flammes, j'ai attrapé un tuyau d'eau, je me suis précipité mais j'ai compris tout de suite que c'était trop tard», explique Cyril, très ému, le voisin le plus proche des victimes qu'il connaissait bien.
«Nous travaillons sur l'hypothèse électrique»
L'origine du feu est vraisemblablement d'origine accidentelle. «Nous travaillons sur l'hypothèse électrique, des vérifications vont être effectuées dans ce sens avec des expertises et nous vérifions aussi pour savoir si les parents fumaient», a déclaré ce lundi après-midi le procureur adjoint de Draguignan, Philippe Guémas. L'enquête est conduite par les gendarmes de la ville voisine du Luc-en-Provence, avec le renfort de la brigade de recherches de Draguignan.
Le propriétaire du domaine et son épouse sont sous le choc. «C'est un camping très bien tenu, débroussaillé, bien équipé en extincteurs et qui respecte toute la réglementation», a souligné le maire du Cannet-des-Maures, Jean-Luc Longour. Rendant hommage «à l'efficacité des propriétaires». il a déploré «un drame de la vie».
Trente personnes ont été évacuées et relogées dans l'établissement, qui comprend 65 emplacements ombragés. Ce camping deux étoiles, aménagé en terrasses, s'étend sur cinq hectares de verdure, plantés de nombreux oliviers, cèdres, chênes et pins. Une quinzaine de vacanciers, parmi lesquels des enfants, ont été pris en charge à la mi-journée par une cellule psychologique de quatre personnes.
C'est elle qui a donné l'alerte vers 1h30 selon un témoin. «On s'est couché vers minuit. Vers 01h30, Mina (la mère des enfants) est venue à mon mobile home en hurlant : Sauve mes enfants ! Le mobile home était entièrement en flammes, j'ai attrapé un tuyau d'eau, je me suis précipité mais j'ai compris tout de suite que c'était trop tard», explique Cyril, très ému, le voisin le plus proche des victimes qu'il connaissait bien.
«Nous travaillons sur l'hypothèse électrique»
L'origine du feu est vraisemblablement d'origine accidentelle. «Nous travaillons sur l'hypothèse électrique, des vérifications vont être effectuées dans ce sens avec des expertises et nous vérifions aussi pour savoir si les parents fumaient», a déclaré ce lundi après-midi le procureur adjoint de Draguignan, Philippe Guémas. L'enquête est conduite par les gendarmes de la ville voisine du Luc-en-Provence, avec le renfort de la brigade de recherches de Draguignan.
Le propriétaire du domaine et son épouse sont sous le choc. «C'est un camping très bien tenu, débroussaillé, bien équipé en extincteurs et qui respecte toute la réglementation», a souligné le maire du Cannet-des-Maures, Jean-Luc Longour. Rendant hommage «à l'efficacité des propriétaires». il a déploré «un drame de la vie».
Trente personnes ont été évacuées et relogées dans l'établissement, qui comprend 65 emplacements ombragés. Ce camping deux étoiles, aménagé en terrasses, s'étend sur cinq hectares de verdure, plantés de nombreux oliviers, cèdres, chênes et pins. Une quinzaine de vacanciers, parmi lesquels des enfants, ont été pris en charge à la mi-journée par une cellule psychologique de quatre personnes.
Ça ne plane plus du tout pour Plastic Bertrand
Un rapport d'experts affirme que ce n'est pas la voix de Plastic Bertrand que l'on peut entendre sur les enregistrements originaux du tube des années 1980, mais bien celle de son producteur artistique de l'époque, Lou Deprijck.
La rumeur courait depuis 1977. Plus de trente ans après la sortie du tube «Ça plane pour moi», des experts affirment officiellement que le Belge Plastic Betrand n'en est pas l'interprète. C'est son producteur artistique, Lou Deprijck, qui est reconnu chanteur du titre, selon les conclusions du rapport mandaté par Mme Magerman, la juge chargée de l'affaire «Ça plane pour moi».
Le conflit entre Plastic Bertrand et Lou Deprijck a débuté en 2006, lorsque la société AMC, propriétaire des bandes originales, a voulu voir confirmer - ou infirmer - l'usage abusif des bandes par le producteur artistique. La rumeur sur la véritable identité du chanteur courait depuis la sortie du titre. Plastic Bertrand avait déjà reconnu avoir chanté en playback sur cette chanson, mais n'a jamais admis ne pas être le chanteur sur la version originale.
La rumeur courait depuis 1977. Plus de trente ans après la sortie du tube «Ça plane pour moi», des experts affirment officiellement que le Belge Plastic Betrand n'en est pas l'interprète. C'est son producteur artistique, Lou Deprijck, qui est reconnu chanteur du titre, selon les conclusions du rapport mandaté par Mme Magerman, la juge chargée de l'affaire «Ça plane pour moi».
Le conflit entre Plastic Bertrand et Lou Deprijck a débuté en 2006, lorsque la société AMC, propriétaire des bandes originales, a voulu voir confirmer - ou infirmer - l'usage abusif des bandes par le producteur artistique. La rumeur sur la véritable identité du chanteur courait depuis la sortie du titre. Plastic Bertrand avait déjà reconnu avoir chanté en playback sur cette chanson, mais n'a jamais admis ne pas être le chanteur sur la version originale.
Vendée : un enfant décède en tombant du petit train
Un enfant de 2 ans est mort lundi en tombant d'un petit train dans le parc d'attractions de Pierre-Brune, dans la forêt de Mervent, en Vendée. Vers 14h30, le petit garçon, qui était assis sur les genoux d'un membre de sa famille et remuait beaucoup, est tombé la tête la première sur les rails alors que le train roulait à environ 3 km/h dans le parc d'attraction.
Le corps de l'enfant, qui serait mort sur le coup selon les premiers éléments de l'enquête, a ensuite été traîné sur une quinzaine de mètres avant que le petit train s'immobilise. Une quinzaine de pompiers se sont immédiatement rendus sur les lieux. L’équipe médicale du Samu a demandé à ce que deux autres ambulances soient dépêchées sur place, car plusieurs personnes ont été choquées par le drame, selon le quotidien Ouest-France.
Le petit train sur rails de Pierre-Brune circule depuis plusieurs décennies dans la forêt de Mervent.
Dans le Bassin d'Arcachon, c'est un déraillement du petit train touristique du Cap-Ferret ce lundi qui est à l'origine d'une quinzaine de blessés parmi les passagers.
Le corps de l'enfant, qui serait mort sur le coup selon les premiers éléments de l'enquête, a ensuite été traîné sur une quinzaine de mètres avant que le petit train s'immobilise. Une quinzaine de pompiers se sont immédiatement rendus sur les lieux. L’équipe médicale du Samu a demandé à ce que deux autres ambulances soient dépêchées sur place, car plusieurs personnes ont été choquées par le drame, selon le quotidien Ouest-France.
Le petit train sur rails de Pierre-Brune circule depuis plusieurs décennies dans la forêt de Mervent.
Dans le Bassin d'Arcachon, c'est un déraillement du petit train touristique du Cap-Ferret ce lundi qui est à l'origine d'une quinzaine de blessés parmi les passagers.
Love Parade : le bilan s'alourdit à 20 morts et plus de 500 blessés
Deux jours après la bousculade meurtrière de la Love Parade à Duisbourg, dans l'ouest de l'Allemagne, le nombre des victimes s'est encore alourdi, passant de 19 à 20 morts. Une Allemande de 21 ans a succombé à ses blessures, a annoncé lundi soir la police locale. Un peu plus tôt, le parquet de Duisbourg avait revu le nombre des blessés à 511, alors qu'il était de 342 dimanche.
Onze femmes et huit hommes, dont sept étrangers - deux originaires d'Espagne, un d'Australie, un de Bosnie-Herzégovine, un de Chine, un d'Italie, un des Pays-Bas -, sont décédés, piétinés à mort dans la bousculade.
Après l'émotion suscitée par ce drame, samedi, la mairie de cette ville de moins de 500 000 habitants et les responsables du festival de musique techno sont accusés de négligence. Des documents liés à l'organisation de l'événement ont été saisis par le parquet qui dirige une enquête pour soupçon d'homicides par négligence, a indiqué lundi le porte-parole du parquet, Rolf Haferkamp, ajoutant que celle-ci prendrait du temps. Pour des raisons de neutralité, la police de Cologne (ouest) a été chargée de l'enquête policière jusque-là menée par la police de Duisbourg.
Quelque 1,4 million de festivaliers pour une autorisation de 250 000 personnes
Les quotidiens allemands se font l'écho des voix de plus en plus nombreuses qui s'élèvent pour dénoncer des manquements importants en matière de sécurité. L'édition en ligne de «Der Spiegel» affirme, documents à l'appui, que le site de la Love Parade a obtenu l'autorisation d'accueillir seulement 250 000 personnes alors que, selon certaines estimations, la manifestation a rassemblé samedi quelque 1,4 million de personnes.
«Procès-verbal de la mort», titrait également le quotidien le plus lu d'Allemagne, «Bild». «19 morts, 342 blessés, ils n'avaient aucune chance», poursuit le journal. «Comme rarement auparavant de nombreux experts avaient mis en garde contre les risques d'organiser une manifestation de masse dans un espace beaucoup trop petit», écrit l'éditorialiste de Bild. «Pourquoi personne n'a-t-il réagi? Car pour les responsables d'une ville économiquement en difficulté comme Duisbourg quelques titres de journaux positifs sont plus importants que la sécurité des participants ?» s'interroge-t-il.
Onze femmes et huit hommes, dont sept étrangers - deux originaires d'Espagne, un d'Australie, un de Bosnie-Herzégovine, un de Chine, un d'Italie, un des Pays-Bas -, sont décédés, piétinés à mort dans la bousculade.
Après l'émotion suscitée par ce drame, samedi, la mairie de cette ville de moins de 500 000 habitants et les responsables du festival de musique techno sont accusés de négligence. Des documents liés à l'organisation de l'événement ont été saisis par le parquet qui dirige une enquête pour soupçon d'homicides par négligence, a indiqué lundi le porte-parole du parquet, Rolf Haferkamp, ajoutant que celle-ci prendrait du temps. Pour des raisons de neutralité, la police de Cologne (ouest) a été chargée de l'enquête policière jusque-là menée par la police de Duisbourg.
Quelque 1,4 million de festivaliers pour une autorisation de 250 000 personnes
Les quotidiens allemands se font l'écho des voix de plus en plus nombreuses qui s'élèvent pour dénoncer des manquements importants en matière de sécurité. L'édition en ligne de «Der Spiegel» affirme, documents à l'appui, que le site de la Love Parade a obtenu l'autorisation d'accueillir seulement 250 000 personnes alors que, selon certaines estimations, la manifestation a rassemblé samedi quelque 1,4 million de personnes.
«Procès-verbal de la mort», titrait également le quotidien le plus lu d'Allemagne, «Bild». «19 morts, 342 blessés, ils n'avaient aucune chance», poursuit le journal. «Comme rarement auparavant de nombreux experts avaient mis en garde contre les risques d'organiser une manifestation de masse dans un espace beaucoup trop petit», écrit l'éditorialiste de Bild. «Pourquoi personne n'a-t-il réagi? Car pour les responsables d'une ville économiquement en difficulté comme Duisbourg quelques titres de journaux positifs sont plus importants que la sécurité des participants ?» s'interroge-t-il.
Sarkozy : la mort de Michel Germaneau «ne restera pas impunie»
Parmi les nombreuses réactions à l'exécution de l'otage français par Al-Qaïda au Maghreb islamique, les Etats-Unis, l'ONU et l'Union africaine ont dénoncé un acte odieux.
Un acte «barbare, odieux», visant «un homme de bien», «victime innocente qui aidait les populations locales». Dans une courte déclaration à la presse, lundi à 10h30, le président de la République a confirmé le décès de Michel Germaneau, l'otage français retenu au Niger puis au Mali, au lendemain de la revendication par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Nicolas Sarkozy a assuré que «le crime commis contre Michel Germaneau ne resterait pas impuni».
Le chef de l'Etat quittait le «conseil restreint de défense et de sécurité» réuni en urgence à l'Elysée pour faire le point sur l'affaire.
Michel Germaneau aurait été décapité
Hier, dimanche, le chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) avait annoncé l'exécution de l'otage français, âgé de 78 ans, dans un enregistrement sonore diffusé dimanche soir par la chaîne Al-Jazira. Une réponse, expliquait-il, à la mort de six de ses membres lors d'un raid mauritanien mené jeudi avec le «soutien technique» de la France.
«Nous annonçons avoir exécuté l'otage français dénommé Michel Germaneau samedi 24 juillet pour venger nos six frères tués dans la lâche opération de la France», aux côtés des forces mauritaniennes, a déclaré le chef de l'Aqmi, Abou Moussab Abdelwadoud, dans cet enregistrement.
Un élu malien, sous couvert d'anonymat, affirmait à l'AFP que Michel Germaneau avait été «décapité sous les yeux du chef de l'unité de l'Aqmi qui le détenait». «Il était bien vivant lors du raid, mais caché dans une zone montagneuse dans la région de Kidal, vers la frontière avec l'Algérie».
«Aucune preuve de vie de l'otage» depuis mai
Samedi, une source au ministère français de la Défense avait reconnu n'avoir «aucune preuve de vie» de l'otage, capturé en avril dans le nord du Niger, et avait confirmé que le raid mauritanien mené jeudi contre une unité d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) visait bien à libérer Michel Germaneau.
Dimanche, au Mali, des sources au sein de services de sécurité et de renseignement avaient assuré que l'inquiétude était à son comble sur le sort du Français, impliqué dans l'action humanitaire. «Les nouvelles de Germaneau ne sont pas bonnes», disait l'une d'elles. «On est très inquiet au moment où de folles rumeurs et des informations lugubres circulent sur son sort».
Originaire de Marcoussis (Essonne), cet ingénieur à la retraite, passionné d’Afrique, multipliait les voyages depuis 2006 au nord du Niger pour construire une école dans le village de In-Abangharet, en collaboration avec deux petites associations baptisées Enmilal et Tanemert.
Un acte «barbare, odieux», visant «un homme de bien», «victime innocente qui aidait les populations locales». Dans une courte déclaration à la presse, lundi à 10h30, le président de la République a confirmé le décès de Michel Germaneau, l'otage français retenu au Niger puis au Mali, au lendemain de la revendication par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Nicolas Sarkozy a assuré que «le crime commis contre Michel Germaneau ne resterait pas impuni».
Le chef de l'Etat quittait le «conseil restreint de défense et de sécurité» réuni en urgence à l'Elysée pour faire le point sur l'affaire.
Michel Germaneau aurait été décapité
Hier, dimanche, le chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) avait annoncé l'exécution de l'otage français, âgé de 78 ans, dans un enregistrement sonore diffusé dimanche soir par la chaîne Al-Jazira. Une réponse, expliquait-il, à la mort de six de ses membres lors d'un raid mauritanien mené jeudi avec le «soutien technique» de la France.
«Nous annonçons avoir exécuté l'otage français dénommé Michel Germaneau samedi 24 juillet pour venger nos six frères tués dans la lâche opération de la France», aux côtés des forces mauritaniennes, a déclaré le chef de l'Aqmi, Abou Moussab Abdelwadoud, dans cet enregistrement.
Un élu malien, sous couvert d'anonymat, affirmait à l'AFP que Michel Germaneau avait été «décapité sous les yeux du chef de l'unité de l'Aqmi qui le détenait». «Il était bien vivant lors du raid, mais caché dans une zone montagneuse dans la région de Kidal, vers la frontière avec l'Algérie».
«Aucune preuve de vie de l'otage» depuis mai
Samedi, une source au ministère français de la Défense avait reconnu n'avoir «aucune preuve de vie» de l'otage, capturé en avril dans le nord du Niger, et avait confirmé que le raid mauritanien mené jeudi contre une unité d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) visait bien à libérer Michel Germaneau.
Dimanche, au Mali, des sources au sein de services de sécurité et de renseignement avaient assuré que l'inquiétude était à son comble sur le sort du Français, impliqué dans l'action humanitaire. «Les nouvelles de Germaneau ne sont pas bonnes», disait l'une d'elles. «On est très inquiet au moment où de folles rumeurs et des informations lugubres circulent sur son sort».
Originaire de Marcoussis (Essonne), cet ingénieur à la retraite, passionné d’Afrique, multipliait les voyages depuis 2006 au nord du Niger pour construire une école dans le village de In-Abangharet, en collaboration avec deux petites associations baptisées Enmilal et Tanemert.
lundi 26 juillet 2010
Nicolas Sarkozy confirme la mort de l’otage Michel Germaneau
Aprés avoir réuni un conseil de sécurité et de défense ce matin à l’Elysée, Nicolas Sarkozy a confirmé la mort de Michel Germaneau, enlevé au Niger fin avril. Il a salué "la mémoire d’un homme de bien".
Le chef de l’État a également annoncé le départ imminent de Bernard Kouchner pour Bamako, Niamey et Nouakchott. Et demandé instamment aux Français de ne plus se rendre dans cette zone du Sahel.
Une messe à la mémoire de l’ingénieur français sera célébrée à 18h15 à Notre-Dame de Paris.
"Je condamne cet acte barbare, cet acte odieux, qui a fait une victime innocente ". C’est par ces mots que Nicolas Sarkozy a implicitement confirmé la mort de l’otage français, à l’issue de ce conseil restreint à l’Élysée.
Le chef d’Al Qaïda au Maghreb islamique avait annoncé "son exécution", dans un message sonore diffusé hier soir sur Al-Jazira, pour "venger" six de ses "frères" tués dans le raid franco-mauritanien jeudi, contre une de ses bases. Message authentifié, selon une source du ministère de la Défense.
"Un assassinat de sang froid"
Reste une inconnue : la date exacte et les conditions réelles de sa mort. Michel Germaneau, cet humanitaire de 78 ans, a t-il bien été assassiné samedi, par mesure de représailles ? Ou est-il mort plus tôt ? On craignait notamment que faute de traitement, cet homme qui souffrait du cœur ne supporte pas sa détention.
Dans son allocution, Nicolas Sarkozy accrédite néanmoins la thèse d’un "crime de sang froid". Ce matin, d’ailleurs, un élu et un notable du nord du Mali confirmaient à l’AFP la mort de l’otage français. Assurant même qu’il aurait été "décapité", après l’échec du raid franco-mauritanien. Ils ont raconté l’avoir appris par des "canaux traditionnels".
Le président français certifie pourtant que Paris avait "le devoir" de mener le raid au Mali, pour tenter de sauver l’otage. Le maire de Marcoussis, Olivier Thomas, qui a pris fait et cause pour l’otage domicilié dans sa ville, doit être reçu jeudi à Matignon, pour "avoir des explications et la transparence" sur le raid raté. "Nicolas Sarkozy a dit qu’il (Michel Germaneau) était ’de toute façon’ condamné. Je ne sais pas ce que veut dire ’de toute façon’, cela signifie que nous ne sommes pas intervenus pour le libérer", s’interroge-t-il.
Le chef de l’État a également annoncé le départ imminent de Bernard Kouchner pour Bamako, Niamey et Nouakchott. Et demandé instamment aux Français de ne plus se rendre dans cette zone du Sahel.
Une messe à la mémoire de l’ingénieur français sera célébrée à 18h15 à Notre-Dame de Paris.
"Je condamne cet acte barbare, cet acte odieux, qui a fait une victime innocente ". C’est par ces mots que Nicolas Sarkozy a implicitement confirmé la mort de l’otage français, à l’issue de ce conseil restreint à l’Élysée.
Le chef d’Al Qaïda au Maghreb islamique avait annoncé "son exécution", dans un message sonore diffusé hier soir sur Al-Jazira, pour "venger" six de ses "frères" tués dans le raid franco-mauritanien jeudi, contre une de ses bases. Message authentifié, selon une source du ministère de la Défense.
"Un assassinat de sang froid"
Reste une inconnue : la date exacte et les conditions réelles de sa mort. Michel Germaneau, cet humanitaire de 78 ans, a t-il bien été assassiné samedi, par mesure de représailles ? Ou est-il mort plus tôt ? On craignait notamment que faute de traitement, cet homme qui souffrait du cœur ne supporte pas sa détention.
Dans son allocution, Nicolas Sarkozy accrédite néanmoins la thèse d’un "crime de sang froid". Ce matin, d’ailleurs, un élu et un notable du nord du Mali confirmaient à l’AFP la mort de l’otage français. Assurant même qu’il aurait été "décapité", après l’échec du raid franco-mauritanien. Ils ont raconté l’avoir appris par des "canaux traditionnels".
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