Le Ministre Eric BESSON exige des Maghrébins à la Coupe du Monde...
Sans dire s’il s’agit d’un jugement politique ou sportif, le Ministre de l’Immigration Eric Besson, ancien membre du Parti Socialiste et actuellement au Gouvernement (UMPS ?) regrette qu’il n’y ait pas de joueurs d'origine maghrébine chez les Bleus et déclare :
« La France est cosmopolite et doit tenir compte d’un Islam fort dans l’hexagone… La présence de Maghrébins chez les bleus aurait contribué à préserver la paie sociale dans nos banlieues… Je doute que nos jeunes se retrouvent dans cette équipe… Ce ne sera pas par hasard si on assiste encore à des échauffourées, cet été, dans les quartiers difficiles… »
Et malgré les regrets du ministre, les choix de Raymond ne se discutent pas... Quel aveu inquiétant !
A lire aujourd’hui dans 20 MINUTES.
- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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mercredi 26 mai 2010
Révélations sur le coma de Johnny par le parisien.fr
La vie de Johnny Hallyday a-t-elle jamais été en péril en décembre dernier, alors que ses fans craignaient le pire ? Selon le dossier médical de la clinique Cedars-Sinai de Los Angeles (Etats-Unis), où le chanteur a été hospitalisé entre le 7 et le 23 décembre, document que l'hebdomadaire L'Express a pu consulter, le chanteur n'a jamais été en danger de mort.
S'il a été placé dans un «sommeil contrôlé, aussi appelé coma artificiel» - ce qui a été interprété en France comme l'aggravation de son état de santé et le risque d'une issue fatale - c'est «pour des problèmes respiratoires et une dépendance à l'alcool».
De retour en France depuis le 23 mai, Johnny doit se rendre mercredi à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre pour y subir une série d'expertises médicales dans le cadre de la procédure judiciaire sur ces ennuis de santé. S'estimant victime d'une erreur médicale de la part du chirurgien Stéphane Delajoux - qui l'a opéré en novembre 2009 d'une hernie discale, opération après laquelle il a contracté une infection - le chanteur veut savoir ce qu'il s'est passé. A l'époque des faits, Jean-Claude Camus, producteur de la star, avait qualifié de massacre l'opération du médecin. Les deux experts médicaux désignés par la justice doivent rendre leur rapport à la mi-juillet et le document que dévoile L'Express pourrait peser dans leurs conclusions.
S'il a été placé dans un «sommeil contrôlé, aussi appelé coma artificiel» - ce qui a été interprété en France comme l'aggravation de son état de santé et le risque d'une issue fatale - c'est «pour des problèmes respiratoires et une dépendance à l'alcool».
De retour en France depuis le 23 mai, Johnny doit se rendre mercredi à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre pour y subir une série d'expertises médicales dans le cadre de la procédure judiciaire sur ces ennuis de santé. S'estimant victime d'une erreur médicale de la part du chirurgien Stéphane Delajoux - qui l'a opéré en novembre 2009 d'une hernie discale, opération après laquelle il a contracté une infection - le chanteur veut savoir ce qu'il s'est passé. A l'époque des faits, Jean-Claude Camus, producteur de la star, avait qualifié de massacre l'opération du médecin. Les deux experts médicaux désignés par la justice doivent rendre leur rapport à la mi-juillet et le document que dévoile L'Express pourrait peser dans leurs conclusions.
Fusillade de l'A4 : obsèques de la policière cet après-midi
Aurélie Fouquet, la policière municipale de Villiers-sur-Marne tuée jeudi dans une fusillade, est citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Cette décision est parue au Journal Officiel mercredi, jour où se dérouleront ses obsèques, à Villiers-sur-Marne, en présence du Président de la République.
Au moment où doit débuter la cérémonie, à 15h30, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a demandé qu'une minute de silence soit observée «dans tous les commissariats et toutes les gendarmeries». «La police et la gendarmerie nationales marqueront ainsi leur solidarité envers la jeune policière municipale, assassinée lors de la fusillade de Villiers-sur-Marne, le 20 mai dernier, ainsi qu'à l'égard de tous ses collègues des polices municipales», conclut le communiqué de l'Intérieur.
Dans l'enquête, un premier supect a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au recours à la police scientifique. Des traces d'ADN pour un deuxième suspect et l'exploitation de films de vidéosurveillance du secteur de la fusillade ont permis aux enquêteurs de circonscrire les membres du commando meurtrier.
Au moment où doit débuter la cérémonie, à 15h30, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a demandé qu'une minute de silence soit observée «dans tous les commissariats et toutes les gendarmeries». «La police et la gendarmerie nationales marqueront ainsi leur solidarité envers la jeune policière municipale, assassinée lors de la fusillade de Villiers-sur-Marne, le 20 mai dernier, ainsi qu'à l'égard de tous ses collègues des polices municipales», conclut le communiqué de l'Intérieur.
Dans l'enquête, un premier supect a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au recours à la police scientifique. Des traces d'ADN pour un deuxième suspect et l'exploitation de films de vidéosurveillance du secteur de la fusillade ont permis aux enquêteurs de circonscrire les membres du commando meurtrier.
Eric Woerth enterre la retraite à 60 ans
Le ministre du Travail, Eric Woerth, a confirmé que la fin de la retraite à 60 ans était "une option logique pour le gouvernement". Depuis ce matin, l’UMP lance une offensive sur ce thème, avec une convention patronnée par Xavier Bertrand, chaud partisan de cette solution. Le parti présidentiel évoque même un recul de l’âge légal à 62 ou 63 ans.
Le ministre du Travail lui-même, Eric Woerth, a plus que confirmé que le gouvernement devait “agir sur l’âge légal de départ à la retraite”. Dans un entretien accordé à Paris-Match, il affirme que “c’est une option logique pour le gouvernement”. Pour lui, le levier de l’augmentation de la durée de cotisation a déjà été utilisé. Mais, sur la ligne de ses services, il souligne que le nouvel âge légal n’a pas encore été défini.
Travailler plus longtemps, c’est de toutes façons le levier privilégié par l’UMP. Le parti de Xavier Bertrand ne s’en cache pas, et lâche, quand il le peut, les âges de départ envisagés : pour Arnaud Robinet, le député en charge des retraites, 62 ans serait le minimum.
Le ministre du Travail lui-même, Eric Woerth, a plus que confirmé que le gouvernement devait “agir sur l’âge légal de départ à la retraite”. Dans un entretien accordé à Paris-Match, il affirme que “c’est une option logique pour le gouvernement”. Pour lui, le levier de l’augmentation de la durée de cotisation a déjà été utilisé. Mais, sur la ligne de ses services, il souligne que le nouvel âge légal n’a pas encore été défini.
Travailler plus longtemps, c’est de toutes façons le levier privilégié par l’UMP. Le parti de Xavier Bertrand ne s’en cache pas, et lâche, quand il le peut, les âges de départ envisagés : pour Arnaud Robinet, le député en charge des retraites, 62 ans serait le minimum.
La région Limousin épinglée pour ses subventions en matière de formation
Le tribunal administratif de Limoges a tranché. Il demande à la région Limousin d'annuler la délibération en date du 19 décembre 2008 par laquelle le conseil régional du Limousin a créé un dispositif permanent de formation intitulé "Portail formation Limousin" et a alloué diverses subventions pour un total de 2,25 millions d'euros à quatre opérateurs retenus.
Le tribunal avait été saisi par l'Aformac (Association pour la formation dans le Massif central), la FFP (Fédération de la formation professionnelle), le Synofdes (Syndicat national des organismes de formation de l'économie sociale) et la fédération des Urof (unions régionales des organismes de formation).
Leur motif : s'assurer que tous les opérateurs de formation soient traités de la même façon. "La délibération prise autour du concept de service public régional de la formation du Limousin aboutissait à ce que le régime de contractualisation soit différent selon les opérateurs concernés, c'est quelque chose d'inacceptable", explique Gérard Brédy, président du Synofdes.
Le conseil régional avait en effet octroyé des subventions à quatre opérateurs publics de formation : Afpa, Cnam, Greta et CFPPA… La région a eu beau faire valoir ses arguments en faveur de subventions directes à ces opérateurs, pour échapper au Code des marchés publics, le tribunal en a décidé autrement. "Il ne ressort pas des pièces du dossiers que, compte-tenu des modalités d'organisation des structures concernées et des conditions dans lesquelles elles exercent leurs missions, elles puissent être regardées comme n'étant pas des opérateurs économiques auxquels il pourrait être fait appel dans le cadre d'un marché public", indique ainsi le tribunal dans son jugement du 6 mai 2010.
Il demande donc à ce que les organismes de formation ayant profité de ces subventions remboursent les sommes perçues assorties des intérêts et rappelle ainsi à l'ordre la région sur l'application du Code des marchés publics dans le cadre des actions de formation professionnelle.
"C'est une triste victoire car notre objectif n'était pas de faire triompher le Code des marchés publics", explique Gérard Brédy qui considère que "la référence au Code des marchés publics comme seul outil n'est pas forcément quelque chose de pertinent" et qui propose plutôt de s'inspirer de ce que le droit européen permet en matière de Sieg (service d'intérêt économique général).
"Le problème aujourd'hui, c'est que sur le territoire français, il y a des régions qui ont mis en place un système de mandatement comme la région Poitou-Charentes, d'autres qui utilisent des appels d'offres pour tout domaine et tout opérateur, d'autres qui fonctionnent par subventions et d'autres encore qui ont cherché à mettre en place un système similaire à celui de Poitou-Charentes mais qui se sont fait retoquer par le préfet, comme la région Centre, affirme le président du Synofdes. "
Il y a un méli-mélo de modes de contractualisation sur lequel il serait important de définir des orientations plus précises", ajoute-t-il, se demandant s'il faudra saisir les instances européennes pour demander un arbitrage. L'affaire n'est toutefois pas close. La région a en effet décidé de faire appel de la décision du tribunal de Limoges.
Le tribunal avait été saisi par l'Aformac (Association pour la formation dans le Massif central), la FFP (Fédération de la formation professionnelle), le Synofdes (Syndicat national des organismes de formation de l'économie sociale) et la fédération des Urof (unions régionales des organismes de formation).
Leur motif : s'assurer que tous les opérateurs de formation soient traités de la même façon. "La délibération prise autour du concept de service public régional de la formation du Limousin aboutissait à ce que le régime de contractualisation soit différent selon les opérateurs concernés, c'est quelque chose d'inacceptable", explique Gérard Brédy, président du Synofdes.
Le conseil régional avait en effet octroyé des subventions à quatre opérateurs publics de formation : Afpa, Cnam, Greta et CFPPA… La région a eu beau faire valoir ses arguments en faveur de subventions directes à ces opérateurs, pour échapper au Code des marchés publics, le tribunal en a décidé autrement. "Il ne ressort pas des pièces du dossiers que, compte-tenu des modalités d'organisation des structures concernées et des conditions dans lesquelles elles exercent leurs missions, elles puissent être regardées comme n'étant pas des opérateurs économiques auxquels il pourrait être fait appel dans le cadre d'un marché public", indique ainsi le tribunal dans son jugement du 6 mai 2010.
Il demande donc à ce que les organismes de formation ayant profité de ces subventions remboursent les sommes perçues assorties des intérêts et rappelle ainsi à l'ordre la région sur l'application du Code des marchés publics dans le cadre des actions de formation professionnelle.
"C'est une triste victoire car notre objectif n'était pas de faire triompher le Code des marchés publics", explique Gérard Brédy qui considère que "la référence au Code des marchés publics comme seul outil n'est pas forcément quelque chose de pertinent" et qui propose plutôt de s'inspirer de ce que le droit européen permet en matière de Sieg (service d'intérêt économique général).
"Le problème aujourd'hui, c'est que sur le territoire français, il y a des régions qui ont mis en place un système de mandatement comme la région Poitou-Charentes, d'autres qui utilisent des appels d'offres pour tout domaine et tout opérateur, d'autres qui fonctionnent par subventions et d'autres encore qui ont cherché à mettre en place un système similaire à celui de Poitou-Charentes mais qui se sont fait retoquer par le préfet, comme la région Centre, affirme le président du Synofdes. "
Il y a un méli-mélo de modes de contractualisation sur lequel il serait important de définir des orientations plus précises", ajoute-t-il, se demandant s'il faudra saisir les instances européennes pour demander un arbitrage. L'affaire n'est toutefois pas close. La région a en effet décidé de faire appel de la décision du tribunal de Limoges.
Espagne : les maires et députés réduisent leur salaire
Après les Italiens, les Portugais et les Britanniques, les Espagnols passent à l'action en attendant que la France en fasse autant. La rigueur doit être pour tous.
Alors que la question est posée aux ministres français, les maires et députés espagnols ont décidé de participer à l'effort de rigueur budgétaire, en acceptant de réduire leur salaire. Une baisse qui représentera, pour les édiles, entre 0,25% et 15% de leurs revenus, et 10% pour tous les députés.
Cette baisse prendra effet en juin 2010 et sera valable jusqu'à fin 2011, a précisé M. Castro, le maire socialiste de la ville de Getafe (centre).
Avant eux, les ministres...
La semaine dernière, le gouvernement socialiste espagnol avait approuvé un ensemble de mesures d'austérité supplémentaires pour 2010 et 2011 d'un montant de 15 milliards d'euros. Ces mesures comprenaient non seulement une baisse de 5% sur les salaires des fonctionnaires, mais aussi de 15% sur le traitement de José Luis Rodriguez Zapatero et des membres de son gouvernement. Comme ailleurs en Europe, le gouvernement s'était résolu à ces mesures impopulaires afin de redresser plus vite les comptes publics. Son objectif : ramener le déficit à environ 6% du PIB en 2011 puis à 3% en 2013, contre 11,2% fin 2009.
Selon la ministre de l'Economie Elena Salgado, les baisses des salaires des fonctionnaires entraîneront une économie de 2,3 milliards d'euros en 2010 et de 2,2 milliards en 2011. En revanche, la Fédération espagnole des municipalités et provinces (FEMP) et le parlement n'ont pas précisé, mardi, les sommes économisées avec les baisses de salaires de leurs élus.
Alors que la question est posée aux ministres français, les maires et députés espagnols ont décidé de participer à l'effort de rigueur budgétaire, en acceptant de réduire leur salaire. Une baisse qui représentera, pour les édiles, entre 0,25% et 15% de leurs revenus, et 10% pour tous les députés.
Cette baisse prendra effet en juin 2010 et sera valable jusqu'à fin 2011, a précisé M. Castro, le maire socialiste de la ville de Getafe (centre).
Avant eux, les ministres...
La semaine dernière, le gouvernement socialiste espagnol avait approuvé un ensemble de mesures d'austérité supplémentaires pour 2010 et 2011 d'un montant de 15 milliards d'euros. Ces mesures comprenaient non seulement une baisse de 5% sur les salaires des fonctionnaires, mais aussi de 15% sur le traitement de José Luis Rodriguez Zapatero et des membres de son gouvernement. Comme ailleurs en Europe, le gouvernement s'était résolu à ces mesures impopulaires afin de redresser plus vite les comptes publics. Son objectif : ramener le déficit à environ 6% du PIB en 2011 puis à 3% en 2013, contre 11,2% fin 2009.
Selon la ministre de l'Economie Elena Salgado, les baisses des salaires des fonctionnaires entraîneront une économie de 2,3 milliards d'euros en 2010 et de 2,2 milliards en 2011. En revanche, la Fédération espagnole des municipalités et provinces (FEMP) et le parlement n'ont pas précisé, mardi, les sommes économisées avec les baisses de salaires de leurs élus.
Facebook danger ou pas ?
La vie privée des 15 millions de Français sur Facebook est-elle assez protégée ? Non, estime le gouvernement, qui prépare une charte.
Après la gloire, les déboires. Alors que les signes de méfiance des internautes se multiplient partout sur la Toile, c’est au tour du gouvernement de s’en prendre à Facebook. Interrogée par Canal + hier sur la protection des données des 15 millions de Français présents sur réseau social, Nathalie Kosciusko-Morizet n’a pas hésité à fustiger la politique de confidentialité du géant américain, qui permet notamment d’utiliser les données de ses membres à des fins publicitaires.
« Il faut avoir, par défaut, des profils d’utilisateurs qui soient extrêmement protecteurs du point de vue de la vie privée », a estimé la secrétaire d’Etat à l’Economie numérique.
Cet assaut intervient au lendemain de la publication d’une lettre du fondateur de Facebook dans le prestigieux « Washington Post ». Jusque-là très discret, le jeune prodige de 26 ans y fait son mea culpa, promettant de donner un moyen facile de « désactiver les services tiers », comme la transmission des données personnelles à des entreprises. « Parfois, nous allons trop vite », a reconnu Mark Zuckerberg en guise d’excuses. Insuffisant pour NKM : « Cela ne suffit pas de donner aux internautes de nouveaux outils pour protéger leurs propres données personnelles », a-t-elle insisté, adoptant une position similaire à celle de l’Union européenne, qui réclamait mi-mai « un profil protecteur des utilisateurs par défaut ».
Rien de neuf sous le soleil ? Si, car les membres du réseau social commencent eux aussi à perdre patience. Preuve de la grogne, deux Canadiens appellent les 400 millions de membres à claquer la porte du site le 31 mai, à l’occasion du Quit Facebook Day (la Journée pour quitter Facebook). Sur Google.fr, la requête « supprimer son compte Facebook » a augmenté de 30 % au cours des deux derniers mois. « On a l’impression que les utilisateurs se réveillent, et découvrent enfin les dangers du site, s’étonne Alex Türk, président de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Ils ont fini par comprendre qu’ils sont considérés non pas comme de simples membres, mais comme des clients qui doivent rapporter de l’argent, via la pub. »
La parade ne sera pas facile à mettre en oeuvre : installé aux Etats-Unis un pays peu regardant sur la question Facebook n’a pas besoin de se conformer aux lois françaises en matière de protection des données. Seule solution : une charte de bonne conduite. « Elle est en cours d’élaboration, explique-t-on dans l’entourage de la secrétaire d’Etat. Nous voulons que les réseaux sociaux et les éditeurs de blogs s’engagent sur la confidentialité des données de leurs membres, l’utilisation qui peut en être faite et le droit à l’oubli. » Les représentants de Facebook en France feront-ils partie des signataires ? « Nous sommes en pourparlers, même si on ne peut présager de rien. »
Après la gloire, les déboires. Alors que les signes de méfiance des internautes se multiplient partout sur la Toile, c’est au tour du gouvernement de s’en prendre à Facebook. Interrogée par Canal + hier sur la protection des données des 15 millions de Français présents sur réseau social, Nathalie Kosciusko-Morizet n’a pas hésité à fustiger la politique de confidentialité du géant américain, qui permet notamment d’utiliser les données de ses membres à des fins publicitaires.
« Il faut avoir, par défaut, des profils d’utilisateurs qui soient extrêmement protecteurs du point de vue de la vie privée », a estimé la secrétaire d’Etat à l’Economie numérique.
Cet assaut intervient au lendemain de la publication d’une lettre du fondateur de Facebook dans le prestigieux « Washington Post ». Jusque-là très discret, le jeune prodige de 26 ans y fait son mea culpa, promettant de donner un moyen facile de « désactiver les services tiers », comme la transmission des données personnelles à des entreprises. « Parfois, nous allons trop vite », a reconnu Mark Zuckerberg en guise d’excuses. Insuffisant pour NKM : « Cela ne suffit pas de donner aux internautes de nouveaux outils pour protéger leurs propres données personnelles », a-t-elle insisté, adoptant une position similaire à celle de l’Union européenne, qui réclamait mi-mai « un profil protecteur des utilisateurs par défaut ».
Rien de neuf sous le soleil ? Si, car les membres du réseau social commencent eux aussi à perdre patience. Preuve de la grogne, deux Canadiens appellent les 400 millions de membres à claquer la porte du site le 31 mai, à l’occasion du Quit Facebook Day (la Journée pour quitter Facebook). Sur Google.fr, la requête « supprimer son compte Facebook » a augmenté de 30 % au cours des deux derniers mois. « On a l’impression que les utilisateurs se réveillent, et découvrent enfin les dangers du site, s’étonne Alex Türk, président de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Ils ont fini par comprendre qu’ils sont considérés non pas comme de simples membres, mais comme des clients qui doivent rapporter de l’argent, via la pub. »
La parade ne sera pas facile à mettre en oeuvre : installé aux Etats-Unis un pays peu regardant sur la question Facebook n’a pas besoin de se conformer aux lois françaises en matière de protection des données. Seule solution : une charte de bonne conduite. « Elle est en cours d’élaboration, explique-t-on dans l’entourage de la secrétaire d’Etat. Nous voulons que les réseaux sociaux et les éditeurs de blogs s’engagent sur la confidentialité des données de leurs membres, l’utilisation qui peut en être faite et le droit à l’oubli. » Les représentants de Facebook en France feront-ils partie des signataires ? « Nous sommes en pourparlers, même si on ne peut présager de rien. »
mardi 25 mai 2010
Jackpot record au casino : un couple gagne 5,5 millions d'euros
Pour son treizième anniversaire de mariage, un couple a décroché dimanche un cadeau btrès substantiel : 5,5 millions d'euros ! C'est aussi le gain record sur une machine à sous.
Pour célébrer leurs noces de muguet, les époux s'étaient rendus au casino Tranchant de Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées.
A 16h37, précisément la machine à sous qui ne prenait que des pièces de 50 centimes s'est bloquée. Le couple a cru qu'elle était tombée en panne. Mais non, ils avaient gagné 5 51,448 euros exactement ! Les époux qui habitent Pierrefitte-Nestalas, une commune, proche de Lourdes, située également dans les Hautes-Pyrénées, ont déclaré qu'ils allaient s'offrir un voilier.
Mis en place il y a huit mois le 18 septembre 2009, le «Magic Casinos Jackpot» est une cagnotte progressive multisites reliant les machines entre elles qui alimentent ensemble une seule et même cagnotte en prélevant un pourcentage sur chaque mise. Le système a été lancé dans 100 casinos français : 35 casinos du groupe Barrière, 17 casinos de Joagroupe, 16 casinos du groupe Tranchant, 8 casinos du groupe Emeraude et 24 casinos indépendants.
Le gain record sur une machine à sous (3 303 900 euros) était détenu depuis le 30 mai 2009 par un joueur d'un casino du groupe Partouche à Annemasse, en Haute-Savoie.
Pour célébrer leurs noces de muguet, les époux s'étaient rendus au casino Tranchant de Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées.
A 16h37, précisément la machine à sous qui ne prenait que des pièces de 50 centimes s'est bloquée. Le couple a cru qu'elle était tombée en panne. Mais non, ils avaient gagné 5 51,448 euros exactement ! Les époux qui habitent Pierrefitte-Nestalas, une commune, proche de Lourdes, située également dans les Hautes-Pyrénées, ont déclaré qu'ils allaient s'offrir un voilier.
Mis en place il y a huit mois le 18 septembre 2009, le «Magic Casinos Jackpot» est une cagnotte progressive multisites reliant les machines entre elles qui alimentent ensemble une seule et même cagnotte en prélevant un pourcentage sur chaque mise. Le système a été lancé dans 100 casinos français : 35 casinos du groupe Barrière, 17 casinos de Joagroupe, 16 casinos du groupe Tranchant, 8 casinos du groupe Emeraude et 24 casinos indépendants.
Le gain record sur une machine à sous (3 303 900 euros) était détenu depuis le 30 mai 2009 par un joueur d'un casino du groupe Partouche à Annemasse, en Haute-Savoie.
Violences et absentéisme : Sarkozy dans un collège de Beauvais
Un léger incident s'est produit mardi matin lors du déplacement de Nicolas Sarkozy dans un collège de Beauvais (Oise). Une visite présidentielle dédiée à l'absentéisme et aux problèmes de violence en milieu scolaire. Peu avant 10H30, dans la cour du collège Charles Fauqueux, où les élèves se pressaient pour l'approcher, l'un d'eux a jeté une bouteille d'eau en plastique en direction du chef de l'Etat.
Un officier de sécurité s'est interposé et le projectile n'a pas atteint le président.
Un atelier sur le thème «exprime ta peur»
A son arrivée dans le collège, Nicolas Sarkozy s'était inquiété, auprès du principal, des élèves sortant du collège sans affectation (une vingtaine sur 120 à la fin de la 3e dans cet établissement). «On trouve des places à tous», lui a assuré le responsable. Le président s'était ensuite entretenu avec les enseignants, à huis clos, durant un peu plus d'une demi-heure.
Le chef de l'Etat a visité des ateliers de peinture, discuté avec des élèves de 4e dont l'atelier avait pour thème «exprime ta peur». Dans cet atelier, un garçon a reproduit un cimetière, et une fille a dessiné une cité vue de sa fenêtre «parce qu'elle a peur du vertige», a-t-elle expliqué au président.
A la préfecture, Nicolas Sarkozy a évoqué la délinquance, les violences scolaires et l'absentéisme avec Alain Martinez, directeur départemental de la sécurité publique, des professeurs et des responsables de collèges. «Il y a un absentéisme occasionnel, un structurel. C'est celui-là que nous sommes décidés à combattre, mais cela ne pourra se faire sans la responsabilisation des familles», a-t-il dit, en assurant que les enseignants n'étaient «pas en cause», mais étaient «démunis».
Il y a un mois, le chef de l'état avait annoncé que les allocations familiales seraient «systématiquement» suspendues en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répété.
Un officier de sécurité s'est interposé et le projectile n'a pas atteint le président.
Un atelier sur le thème «exprime ta peur»
A son arrivée dans le collège, Nicolas Sarkozy s'était inquiété, auprès du principal, des élèves sortant du collège sans affectation (une vingtaine sur 120 à la fin de la 3e dans cet établissement). «On trouve des places à tous», lui a assuré le responsable. Le président s'était ensuite entretenu avec les enseignants, à huis clos, durant un peu plus d'une demi-heure.
Le chef de l'Etat a visité des ateliers de peinture, discuté avec des élèves de 4e dont l'atelier avait pour thème «exprime ta peur». Dans cet atelier, un garçon a reproduit un cimetière, et une fille a dessiné une cité vue de sa fenêtre «parce qu'elle a peur du vertige», a-t-elle expliqué au président.
A la préfecture, Nicolas Sarkozy a évoqué la délinquance, les violences scolaires et l'absentéisme avec Alain Martinez, directeur départemental de la sécurité publique, des professeurs et des responsables de collèges. «Il y a un absentéisme occasionnel, un structurel. C'est celui-là que nous sommes décidés à combattre, mais cela ne pourra se faire sans la responsabilisation des familles», a-t-il dit, en assurant que les enseignants n'étaient «pas en cause», mais étaient «démunis».
Il y a un mois, le chef de l'état avait annoncé que les allocations familiales seraient «systématiquement» suspendues en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répété.
Clin d'oeil à Evaux les bains
Le printemps est arrivé avec sont lot de soleil et d'orage. ce jour 25 mai, 28° le matin et orages l'après midi. prévisible avec cette semaine de grande chaleur.
C'est le moment des plantations et la nouvelle association EVAFLORS(Association de fleurissement de la ville) , s'empresse de fleurir la ville en complémentarité des services municipaux.
Prochainement vous pourrez admirer les réalisations de l'association en vous promenant dans la ville. Au regard des réalisations en cours, la ville obtiendra certainement une récompense au niveau du fleurissement et ce sera le fruits des éfforts de tous les membres de l'association et des services municipaux.
Invitation à toute la population, réunion publique à Evaux les bains.
Réunion publique vendredi 28 mai 2010
Comme promis lors de la campagne municipale, l’équipe de monsieur Bernard Campos, maire de la ville d'Evaux les bains communique et vous convie à une réunion débat ce vendredi 28 mai 2010 à 20h00 à la maison des jeunes. Toute la population est invitée à participer à cette réunion publique. Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile à tous
A 20 heures MAISON DES JEUNES THEME DE LA REUNION :Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?
Retraites : 62 ans, un minimum pour l'UMP
Une convention de l'UMP, mardi et mercredi, à l'Assemblée nationale, va soulever des pistes pour la réforme du système de retraites.
Pour son secrétaire général, Xavier Bertrand, «relever l'âge de la retraite est inévitable». Dans les pages du quotidien Les Echos, son Secrétaire national en charge du dossier des retraites, Arnaud Robinet, estime que «62 ans semble un minimum
65 ans est dans le domaine du possible si l'on se place à l'horizon 2030»... L'UMP s'apprête à dévoiler ses pistes pour la réforme des retraites lors d'une convention sur le sujet qui se tient deux jours durant à l'Assemblée nationale, pistes qui devraient faire l'objet d'amendements au projet de loi du gouvernement.
Officiellement, la «concertation» nationale continue sur la réforme continue, «rien n'est décidé», martèle-t-on au gouvernement dont le projet, encore sur le métier, ne sera pas dévoilé avant la mi-juin. «Il s'agit de prendre le temps de la concertation (...) aucune décision n'a été prise», répètait encore mardi matin sur France Info Luc Chatel, porte parole du gouvernement. Une chose semble néanmoins acquise : l'âge du départ à la retraite sera relevé progressivement. La question reste de savoir de combien. Les Echos avancent que «62 ou 63 ans semble probable».
Hausse de cotisations des fonctionnaires
Le gouvernement agirait également sur la durée de cotisation : de 41 ans en 2012, elle passerait à 41,5 ans en 2020 puis à 42 une dizaine d'années plus tard, ajoute le quotidien économique, qui avance également l'hypothèse d'une augmentation de la cotisation retraite des fonctionnaires. Aujourd'hui à 7,85 %, le taux de cotisation pourrait être amené à hauteur de celui des salariés du privé, jusqu'à près de 11 %. La hausse s'appliquerait aux régimes spéciaux, mais leurs avantages particuliers seraient préservés.
Pour Arnaud Robinet, il faut également regarder vers les pensions de réversion, qui ne sont pas plafonnées dans la fonction publique, mais aussi envisager que les fonctionnaires mères de trois enfants puissent partir au bout de quinze ans. Xavier Bertrand estime par ailleurs que la «capitalisation ne doit pas être tabou», parce qu'il ne s'agit de capitalisation à l'anglo-saxonne. Selon lui, il faut «donner le choix au Français de mieux gérer leur épargne-retraite» et «simplifier les dispositifs».
Quelques jours après les propositions du Parti socialiste, l'UMP entre donc dans le débat. Un débat «à la sauvette» , déplore Bernard Thibault, le patron de la CGT, dans les colonnes de Libération à deux jours d'une mobilisation nationale pour la défense de la retraite à 60 ans. On «glisse ostensiblement» vers le «travailler plus longtemps pour gagner moins», dénonce-t-il. De son côté, Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force Ouvrière, estime que le relèvement de l'âge de départ est «injuste pour les salariés parce que cela ne résout même pas les problèmes financiers» du système des retraites.
Pour son secrétaire général, Xavier Bertrand, «relever l'âge de la retraite est inévitable». Dans les pages du quotidien Les Echos, son Secrétaire national en charge du dossier des retraites, Arnaud Robinet, estime que «62 ans semble un minimum
65 ans est dans le domaine du possible si l'on se place à l'horizon 2030»... L'UMP s'apprête à dévoiler ses pistes pour la réforme des retraites lors d'une convention sur le sujet qui se tient deux jours durant à l'Assemblée nationale, pistes qui devraient faire l'objet d'amendements au projet de loi du gouvernement.
Officiellement, la «concertation» nationale continue sur la réforme continue, «rien n'est décidé», martèle-t-on au gouvernement dont le projet, encore sur le métier, ne sera pas dévoilé avant la mi-juin. «Il s'agit de prendre le temps de la concertation (...) aucune décision n'a été prise», répètait encore mardi matin sur France Info Luc Chatel, porte parole du gouvernement. Une chose semble néanmoins acquise : l'âge du départ à la retraite sera relevé progressivement. La question reste de savoir de combien. Les Echos avancent que «62 ou 63 ans semble probable».
Hausse de cotisations des fonctionnaires
Le gouvernement agirait également sur la durée de cotisation : de 41 ans en 2012, elle passerait à 41,5 ans en 2020 puis à 42 une dizaine d'années plus tard, ajoute le quotidien économique, qui avance également l'hypothèse d'une augmentation de la cotisation retraite des fonctionnaires. Aujourd'hui à 7,85 %, le taux de cotisation pourrait être amené à hauteur de celui des salariés du privé, jusqu'à près de 11 %. La hausse s'appliquerait aux régimes spéciaux, mais leurs avantages particuliers seraient préservés.
Pour Arnaud Robinet, il faut également regarder vers les pensions de réversion, qui ne sont pas plafonnées dans la fonction publique, mais aussi envisager que les fonctionnaires mères de trois enfants puissent partir au bout de quinze ans. Xavier Bertrand estime par ailleurs que la «capitalisation ne doit pas être tabou», parce qu'il ne s'agit de capitalisation à l'anglo-saxonne. Selon lui, il faut «donner le choix au Français de mieux gérer leur épargne-retraite» et «simplifier les dispositifs».
Quelques jours après les propositions du Parti socialiste, l'UMP entre donc dans le débat. Un débat «à la sauvette» , déplore Bernard Thibault, le patron de la CGT, dans les colonnes de Libération à deux jours d'une mobilisation nationale pour la défense de la retraite à 60 ans. On «glisse ostensiblement» vers le «travailler plus longtemps pour gagner moins», dénonce-t-il. De son côté, Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force Ouvrière, estime que le relèvement de l'âge de départ est «injuste pour les salariés parce que cela ne résout même pas les problèmes financiers» du système des retraites.
Fusillade mortelle de l'A4 : un premier suspect incarcéré
Dans l'enquête sur la fusillade mortelle sur l'autoroute A4, un premier suspect vient d'être incarcéré. Il s'agit de l'homme âgé de 41 ans et placé en garde à vue depuis jeudi soir. Il a reconnu appartenir au commando qui est impliqué dans la fusillade qui a coûté la vie à une policière municipale de Villiers-sur-marne (Val-de-Marne).
Malek Khider avait été condamné en 2002 à 12 ans de prison pour avoir séquestré un couple de bijoutiers. Il a été déféré lundi soir au parquet de Paris qui a ouvert une information judiciaire, notamment pour assassinat et tentatives d'assassinat, vols avec armes, destructions de véhicules et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime. Un juge d'instruction l'a ensuite mis en examen pour les mêmes chefs avant de le placer en détention provisoire.
Après cette première interpellation jeudi, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, annonçait dimanche dans une interview au JDD qu'un deuxième homme était sur le point d'être interpellé. «Les autres (malfaiteurs) sont en cours d'identification. Je vous garantis que les membres de ce commando seront inéluctablement arrêtés», assurait le ministre comme il l'avait fait dès après la fusillade.
Un troisième membre du commando a été identifié dans le cadre de l'enquête sur la fusillade, jeudi dans le Val-de-Marne, qui a coûté la vie à Aurélie Fouquet, une policière municipale de Villiers-sur-Marne, âgée de 27 ans. Les enquêteurs ont retrouvé sa piste «grâce à l'exploitation croisée d'un témoignage recueilli par les enquêteurs et des images enregistrées par une caméra de vidéosurveillance installée sur un arrêt de bus.
Malek Khider avait été condamné en 2002 à 12 ans de prison pour avoir séquestré un couple de bijoutiers. Il a été déféré lundi soir au parquet de Paris qui a ouvert une information judiciaire, notamment pour assassinat et tentatives d'assassinat, vols avec armes, destructions de véhicules et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime. Un juge d'instruction l'a ensuite mis en examen pour les mêmes chefs avant de le placer en détention provisoire.
Après cette première interpellation jeudi, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, annonçait dimanche dans une interview au JDD qu'un deuxième homme était sur le point d'être interpellé. «Les autres (malfaiteurs) sont en cours d'identification. Je vous garantis que les membres de ce commando seront inéluctablement arrêtés», assurait le ministre comme il l'avait fait dès après la fusillade.
Un troisième membre du commando a été identifié dans le cadre de l'enquête sur la fusillade, jeudi dans le Val-de-Marne, qui a coûté la vie à Aurélie Fouquet, une policière municipale de Villiers-sur-Marne, âgée de 27 ans. Les enquêteurs ont retrouvé sa piste «grâce à l'exploitation croisée d'un témoignage recueilli par les enquêteurs et des images enregistrées par une caméra de vidéosurveillance installée sur un arrêt de bus.
lundi 24 mai 2010
Combien perçoit un député élu et non réélu ?
Ce matin , lundi de Pentecôte, je discutais dans la rue avec des passants sur la ville et ces généralitès et une question est arrivée dans la conversation. Mais combien touche nos députés ? Je me suis renseigné de plus près et là, je suis scandalisé !
Alors que l'état nous demande de faire des économies, de travailler encore plus et plus lomgtemps, détourne des millions d'Euros vers d'autres affectations, demande aux collectivités territoriales de revoir les RSA, les allocations diverses et vitales pour de très nombreuses familles, nos élus s'enrichissent à vos dépends.
Vous faite un CAE (contrat Avenir), vous n'aurez pas le droit au chômage, vous serez condamnez à vivre avec le RSA alors que Cinq ans d’indemnité “chômage” soit 417 120 euros sont alloués à nos députés non réélus, c'est scandaleux.
Un salaire de 5126 euros net d'impôts !
Selon les chiffres officiels, en janvier 2007, un parlementaire (député ou sénateur) gagnait 5126 euros net d'impôts (6 891 euros brut). Il s'agit d'un très bon salaire pour un responsable politique qui découpe son travail en trois tiers : un tiers du temps, il travaille dans les commissions de l'Assemblée nationale pour préparer les propositions de lois et les textes présentés en séance plénière, un tiers du temps il siège à l'Assemblée nationale, d'octobre à juin, avec souvent une session extraordinaire en juillet. Et le reste du temps, le député sillonne sa circonscription et tient des permanences pour répondre aux doléances de ses administrés. C'est d'ailleurs toute l'ambiguïté de la fonction d'un député : il est à la fois un représentant de la Nation qui doit défendre l'intérêt collectif et en même temps un élu local qui se doit de répondre aux besoins de sa circonscription.
et après ... les pauvres
Pour chaque député non réélu les Français devront ; payer 417 120 Euros = 60 mois x 6952 euros d’indemnités …..
Ce texte proposé par monsieur Debré a été voté par tous les députés. A l’Assemblée,il n’est plus question de majorité et d’opposition lorsqu’il s’agit d’augmentation des émoluments des élus. On est uni lorsqu’il s’agit de privilèges.
Une indemnité représentative de frais de mandat de 6 223 euros, non imposable
Mais le salaire d'un député ne constitue que le tiers de ce que l'Etat lui verse. Car en plus de son salaire, le député perçoit une première indemnité dite "de frais de mandat" de 6 223 euros. Cette indemnité, qui est donc plus élevée que le salaire lui-même, est censée être utilisée pour les "diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l'Assemblée", selon la circulaire qui réglemente les revenus des députés.
Puisqu'il s'agit d'une indemnité, elle est non imposable. Avec cette somme, les députés sont donc censés couvrir toutes leurs dépenses de représentations : déplacement sur le terrain, costumes et autres frais divers.
Un crédit affecté à la rémunération des collaborateurs de 8 859 euros
L'Assemblée nationale et le Sénat versent également un crédit de 8 859 euros par mois aux parlementaires, destiné à la rémunération des collaborateurs. Les députés payent ainsi des secrétaires, des collaborateurs qui les aident dans leurs tâches quotidiennes. Mais le versement de ce crédit n'est pas contraignant, le député décide qui il veut embaucher, pour quelle tâche, pour une durée limitée ou non. Le nombre de collaborateurs ainsi que leurs rémunérations n'est pas limité.
Souvent, les députés embauchent donc des membres de leurs familles, sans qu'ils n'aient de formation particulière. Le temps de travail d'un collaborateur n'est d'ailleurs soumis à aucune règle. Certains députés, très consciencieux, ont donc un véritable staff, d'autres, plus dilettantes, se contentent d'une secrétaire ou d'un collaborateur. Une partie du crédit alloué part alors dans la poche du député.
Pour vos cadeaux de la fête des mères
M. MAYEN JM
12 rue Grande
23110 EVAUX LES BAINS
Tél: 05 55 65 53 45
Le site de votre bijoutier à evaux les bains
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Une famille agressée au Parc Astérix
Une famille originaire du Pas-de-Calais a été agressée hier vers 13 heures au Parc Astérix, alors qu’elle était en train de déjeuner près de sa voiture. Quelques heures plus tôt, alors que les six membres d’une même famille se trouvent dans la file d’attente de l’attraction Goudurix, ils se font dépasser par quatre jeunes originaires de l’Essonne.
L’un des enfants de la famille, majeur, leur fait alors une remarque à laquelle les jeunes répondent en lui proposant de se battre. Celui-ci refuse mais les jeunes lui affirment qu’ils le retrouveront.
L’incident aurait pu être clos mais à l’issue de l’attraction, la famille se rend sur le parking du parc pour y pique-niquer, lorsque une vingtaine de jeunes se dirigent vers elle. La famille reconnaît alors les quatre personnes qu’elle avait croisées précédemment dans la file d’attente. Deux des auteurs présumés, âgés de 21 et 22 ans, auraient ensuite roué de coups les deux jeunes de la famille, âgés de 18 et 20 ans. Les victimes ont été transportées à l’hôpital hier dans l’après-midi. La mère des jeunes gens a également été blessée alors qu’elle tentait de s’interposer. Plusieurs voitures ont été détériorées.
La sécurité du Parc est intervenue peu avant l’arrivée de la gendarmerie. Une enquête a été ouverte et deux des auteurs présumés ont été interpellés et placés en garde à vue. Un troisième, qui se serait blessé en brisant une vitre d’une voiture, était toujours recherché par la police hier soir.
L’un des enfants de la famille, majeur, leur fait alors une remarque à laquelle les jeunes répondent en lui proposant de se battre. Celui-ci refuse mais les jeunes lui affirment qu’ils le retrouveront.
L’incident aurait pu être clos mais à l’issue de l’attraction, la famille se rend sur le parking du parc pour y pique-niquer, lorsque une vingtaine de jeunes se dirigent vers elle. La famille reconnaît alors les quatre personnes qu’elle avait croisées précédemment dans la file d’attente. Deux des auteurs présumés, âgés de 21 et 22 ans, auraient ensuite roué de coups les deux jeunes de la famille, âgés de 18 et 20 ans. Les victimes ont été transportées à l’hôpital hier dans l’après-midi. La mère des jeunes gens a également été blessée alors qu’elle tentait de s’interposer. Plusieurs voitures ont été détériorées.
La sécurité du Parc est intervenue peu avant l’arrivée de la gendarmerie. Une enquête a été ouverte et deux des auteurs présumés ont été interpellés et placés en garde à vue. Un troisième, qui se serait blessé en brisant une vitre d’une voiture, était toujours recherché par la police hier soir.
PERSONNES ÂGÉES. Encore un impôt indirect ! Cafouillages sur l’argent de la journée de solidarité
La journée de solidarité rapporte deux milliards d’euros chaque année.
Mais il existe des dysfonctionnements selon la présidente de la mission parlementaire sur le sujet. Le gouvernement dément.
Aujourd’hui c’est l’ex-fameux « lundi de Pentecôte travaillé », devenu depuis 2008 une JSF, « journée de solidarité sans date fixe ». Un véritable succès financier en terme d’entraide entre les générations . Or, la présidente de la mission d’information sur cette journée, la députée socialiste Laurence Dumont, lance une charge contre ce dispositif concocté par le gouvernement Raffarin après la canicule de l’été 2003 et ses 15 000 morts.
«L’Etat a pris 1 milliard pour renflouer l’assurance maladie»
«Des excédents de fonds n’ont pas été utilisés comme prévu»
Une partie des quelque 2 milliards d’euros récoltés chaque année aurait été affectée au colmatage du trou de la Sécurité sociale et pas exclusivement à la prise en charge des personnes âgées et handicapées. Tout aussi inquiétant, la caisse chargée d’allouer les fonds souffre de « dysfonctionnements budgétaires » et le flou régnerait sur la coordination des projets financés.
Le défi : financer la dépendance
Des inquiétudes, confirmées par un rapport de l’Igas publié en mars, qui font écho aux accusations de Pascal Champvert, président de l’association des maisons de retraite AD-PA. De son côté, le gouvernement dément.
« Il est totalement faux de dire que l’argent de la journée solidarité a été détourné », souligne-t-on dans l’entourage d’Eric Woerth, le ministre du Travail. Quant à la décision prise en 2009 d’affecter 150 millions d’euros de crédits excédentaires à l’assurance maladie, elle était, selon le ministère, « complètement justifiée. Ces sommes provenaient de l’argent de l’assurance maladie et non pas de l’argent du jour férié ».
Autre motif de perplexité : Les salariés vont encore trinquer, une deuxième journée de solidarité pour financer la dépendance serait à l’étude selon Laurence Dumont.
« Il n’y a absolument aucun projet à l’étude », rétorque ce proche d’Eric Woerth. Reste que la seule journée de solidarité ne suffira pas à faire face au défi du vieillissement de la population. Nicolas Sarkozy avait promis la création d’une cinquième branche de la protection sociale, s’ajoutant à la maladie, la famille, les accidents du travail et les retraites pour financer la dépendance. La réforme n’a toujours pas vu le jour.
En attendant, les Français profiteront d’un lundi de Pentecôte ensoleillé. Depuis 2008, la majorité des salariés reste chez elle.
Mais il existe des dysfonctionnements selon la présidente de la mission parlementaire sur le sujet. Le gouvernement dément.
Aujourd’hui c’est l’ex-fameux « lundi de Pentecôte travaillé », devenu depuis 2008 une JSF, « journée de solidarité sans date fixe ». Un véritable succès financier en terme d’entraide entre les générations . Or, la présidente de la mission d’information sur cette journée, la députée socialiste Laurence Dumont, lance une charge contre ce dispositif concocté par le gouvernement Raffarin après la canicule de l’été 2003 et ses 15 000 morts.
«L’Etat a pris 1 milliard pour renflouer l’assurance maladie»
«Des excédents de fonds n’ont pas été utilisés comme prévu»
Une partie des quelque 2 milliards d’euros récoltés chaque année aurait été affectée au colmatage du trou de la Sécurité sociale et pas exclusivement à la prise en charge des personnes âgées et handicapées. Tout aussi inquiétant, la caisse chargée d’allouer les fonds souffre de « dysfonctionnements budgétaires » et le flou régnerait sur la coordination des projets financés.
Le défi : financer la dépendance
Des inquiétudes, confirmées par un rapport de l’Igas publié en mars, qui font écho aux accusations de Pascal Champvert, président de l’association des maisons de retraite AD-PA. De son côté, le gouvernement dément.
« Il est totalement faux de dire que l’argent de la journée solidarité a été détourné », souligne-t-on dans l’entourage d’Eric Woerth, le ministre du Travail. Quant à la décision prise en 2009 d’affecter 150 millions d’euros de crédits excédentaires à l’assurance maladie, elle était, selon le ministère, « complètement justifiée. Ces sommes provenaient de l’argent de l’assurance maladie et non pas de l’argent du jour férié ».
Autre motif de perplexité : Les salariés vont encore trinquer, une deuxième journée de solidarité pour financer la dépendance serait à l’étude selon Laurence Dumont.
« Il n’y a absolument aucun projet à l’étude », rétorque ce proche d’Eric Woerth. Reste que la seule journée de solidarité ne suffira pas à faire face au défi du vieillissement de la population. Nicolas Sarkozy avait promis la création d’une cinquième branche de la protection sociale, s’ajoutant à la maladie, la famille, les accidents du travail et les retraites pour financer la dépendance. La réforme n’a toujours pas vu le jour.
En attendant, les Français profiteront d’un lundi de Pentecôte ensoleillé. Depuis 2008, la majorité des salariés reste chez elle.
dimanche 23 mai 2010
Cannes : Palme d'or pour «Oncle Boonmee»
Trois prix et non des moindres pour deux réalisateurs (Xavier Beauvois et Mathieu Amalric), le Prix d'interprétation féminine à Juliette Binoche : le cinéma français a été mis à l'honneur par le jury du 63e Festival de Cannes, présidé par l'Américain Tim Burton. C'est la première fois qu'un film thaïlandais obtient la Palme d'or.
«Oncle Boonmee» d'Apichatpong Weerasethakul succède au «Ruban blanc» de Michael Haneke sur la prestigieuse liste des lauréats. Première aussi pour le cinéma tchadien qui n'avait jamais été représenté en compétition à Cannes. «Un homme qui crie» de Mahamat-Saleh Haroun a reçu ce dimanche le Prix du jury. Depuis treize ans pas un seul réalisateur d'Afrique sub-saharienne n’avait pas été retenu pour la sélection officielle. Retour sur le déroulement de la soirée.
«Oncle Boonmee» d'Apichatpong Weerasethakul succède au «Ruban blanc» de Michael Haneke sur la prestigieuse liste des lauréats. Première aussi pour le cinéma tchadien qui n'avait jamais été représenté en compétition à Cannes. «Un homme qui crie» de Mahamat-Saleh Haroun a reçu ce dimanche le Prix du jury. Depuis treize ans pas un seul réalisateur d'Afrique sub-saharienne n’avait pas été retenu pour la sélection officielle. Retour sur le déroulement de la soirée.
Pour info : SERIE TF1 "DOC MARTIN" Avec Thierry Lhermitte !
CASTING Le tournage de « Doc Martin », adaptation française d'une série anglaise à succès avec Thierry Lhermitte, à commencé. TF1 recherche des figurants.
Pour pouvoir postuler, il faut être âgé entre 16 et 85 ans.
La rémunération est 82 € bruts par jour de tournage.
Pour présenter votre candidature, faire un courrier comportant
- deux photos très récentes (un portrait et une photo en pied)
- une fiche sur laquelle il faut indiquer : le nom,
prénom, le nom de jeune fille (obligatoire),
l’adresse et téléphone,
les date et lieu de naissance,
le numéro de sécurité sociale (avec la clé et numéro personnel même si vous êtes ayant droit de quelqu’un),
la profession,
le ou les sports pratiqués et l’expérience éventuelle en théâtre ou cinéma.
POSTULER ICI
Prestation rémunérée, minimum tarif syndical, cachet intermittent
Merci à tous d'avance
Pour pouvoir postuler, il faut être âgé entre 16 et 85 ans.
La rémunération est 82 € bruts par jour de tournage.
Pour présenter votre candidature, faire un courrier comportant
- deux photos très récentes (un portrait et une photo en pied)
- une fiche sur laquelle il faut indiquer : le nom,
prénom, le nom de jeune fille (obligatoire),
l’adresse et téléphone,
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le numéro de sécurité sociale (avec la clé et numéro personnel même si vous êtes ayant droit de quelqu’un),
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