samedi 17 juillet 2010

Le comédien Bernard Giraudeau est mort

Bernard Giraudeau, qui souffrait d'un cancer, est mort samedi matin dans un hôpital parisien à l'âge de 63 ans, a annoncé son agent. L'acteur, réalisateur, écrivain avait joué dans de nombreux films dont "Viens chez moi j'habite chez une copine", "Deux hommes dans la ville", "la Boum" ou encore "le Grand pardon".

Chevalier de la Légion d'honneur, Bernard Giraudeau a eu deux enfants de la comédienne Anny Duperey, Gaël et la comédienne Sara, qui a remporté le Molière 2007 de la révélation féminine théâtrale.

Ses débuts dans les années 70

Né le 18 juin 1947 à La Rochelle (Charentes-Maritimes), fils de militaire, Bernard Giraudeau s'engage à 15 ans dans la Marine nationale et fait deux fois le tour du monde à bord de la Jeanne d'Arc. S'il exerce divers métiers aux Halles ou dans une agence de publicité, il commence le théâtre à La Rochelle à 20 ans. Il s'inscrit au Conservatoire de Paris, où il obtient un premier prix de comédie classique et moderne (1974).

Il apparaît au côté de Jean Gabin en 1973 dans le polar de José Giovanni «Deux hommes dans la ville», puis enchaîne dans son registre préféré, la comédie -«Et la tendresse, bordel?» (1978), «Viens chez moi, j'habite chez une copine» - où il rencontre le succès. Son regard clair et son sourire charmeur deviennent alors familier et populaire auprès du grand public.

Capitaine séducteur dans «Passion d'amour» (1980), d'Ettore Scola, Bernard Giraudeau passe du héros romantique au loubard, justicier solitaire dans «Rue Barbare» (1983), qui le révèle au grand public. Souvent comparé à Gérard Philipe, il démontre dans ces rôles plus dramatiques, son extraordinaire capacité de métamorphose.

Comédien, réalisateur, écrivain et bourlingueur

Le flic alcoolique qu'il joue dans «Poussière d'ange» (1987) un polar crépusculaire d'Edouard Niermans, préfigure ses personnages antipathiques ou ambigus des années 90 : prélat poudré («Ridicule»), patron pervers («Une affaire de goût»), beauf homosexuel («Gouttes d'eau sur pierres brûlantes»), psychopathe diabétique («Ce jour-là»). Parallèlement, Bernard Giraudeau retourne régulièrement sur les planches où il a débuté en 1971 à Paris avec Jacques Fabbri dans «Pauvre France».

Réalisateur de deux longs-métrages («L'Autre», 1990 et «Les Caprices d'un fleuve», 1996) et de documentaires, il mène aussi une carrière de romancier à succès avec «Le Marin à l'ancre» (2001), «Les Hommes à terre» (2004) et «Les femmes de nage» (2007). Egalement passionné de voyages depuis son adolescence, il a arpenté le monde.

Son combat contre la maladie

Atteint d'un cancer du rein en 2001 puis du poumon cinq ans plus tard, il témoignait avec courage, dans les médias, de sa vie avec la maladie. Dans un entretien accordé à la Maison du Cancer, site internet dont il s'était fait le porte-voix, Bernard Giraudeau évoquait le cancer et son rapport à la mort. «La mort est là, elle existe et il faut accepter que nous allons tous partir, tous disparaître [...] J'y vais, on ira, on y va tous depuis l'enfance. Elle nous prend par la main et nous emmène jusqu'au bout, c'est comme ça. Mais elle doit faire partie de la vie, elle ne doit pas être une hantise, une peur.»

vendredi 16 juillet 2010

Grenoble : des renforts de CRS après la mort d'un braqueur

Des braqueurs s'en sont pris vendredi matin au casino d'Uriage-les-Bains (Isère). Lors de la course-poursuite qui s'est ensuivie, l'un des malfaiteurs a été mortellement blessé. Les autorités ont renforcé la sécurité par crainte de violences. 121 réactions | Réagir16.07.2010, 07h23 | Mise à jour : 18h48 L'attaque s'est déroulée à l'aube. Dans la nuit de jeudi à vendredi, au casino d'Uriage-les-Bains (Isère), deux hommes porteurs d'armes lourdes se sont fait remettre le contenu de la caisse alors que l'établissement était bondé. Ils ont ensuite pris la fuite. Une course-poursuite s'est alors engagée entre les policiers et braqueurs, entre 1 heure et 2 heures du matin.

Par crainte de violences urbaines, des renforts de CRS ont été annoncés vendredi soir à Grenoble. La tension est montée dans les heures ayant suivi l'incident, la police a subi des jets de projectiles depuis des immeubles. Le calme semblait revenu à la mi-journée, mais quelques jeunes criaieant leur haine de la police. «Nous allons renforcer la présence policière pour éviter qu'il y ait un match retour avec des violences urbaines», a déclaré Brigitte Julien, directrice de la sécurité publique en Isère.

«Ils ont ouvert le feu à trois reprise»

Les braqueurs étaient munis d'un fusil d'assaut et d'un pistolet-mitrailleur. Lors de la poursuite, un premier échange de tirs a eu lieu à l'entrée de Grenoble avec une voiture de police. Un adjoint de sécurité a été légèrement brûlé par une balle qui lui a frôlé les lèvres.

La BAC a ensuite pris le relais, alors que les voleurs avaient abandonné leur voiture et le butin, et se dirigeaient vers le quartier populaire de Villeneuve. Un des braqueurs a été abattu alors qu'il continuait à tirer sur les policiers en fuyant à pied. «Les malfaiteurs ont arrêté leur véhicule, le conducteur et le passager sont sortis. Ils ont ouvert le feu à au moins trois reprises vers les policiers», a déclaré le procureur de la République de Grenoble, Jean Philippe, devant la presse.

«Les policiers de la Bac ont alors riposté, l'un de l'intérieur du véhicule avec un fusil à pompe et l'autre de l'extérieur». Karim Boudada, 27 ans, a été touché à la tête. L'homme, originaire de Villeneuve, avait déjà été condamné trois fois aux assises pour vol à main armée.

Une partie du quartier est restée bouclée jusqu'en fin de matinée. Des hélicoptères ont survolé les lieux à la recherche du second braqueur en fuite. La ligne A du tramway et l’entrée de Grenoble par la rocade sud pont été rouverts à 6h30.

La police judiciaire est saisie de l'enquête. L'Inspection générale de la police nationale a également été saisie.

L'autopsie du malfaiteur tombé sous les balles de la police aura lieu samedi.

jeudi 15 juillet 2010

La fête Gauloise à lepaud le 24 juillet 2010

Une fête très sympathique à Lepaud ce 24 juillet 2010. Venez revivre les joies simples d'antan avec Astérix, Obelix et toute sa tribu.

De nombreuses animations vous seront proposées dans la tradition d'autrefois et toute sa simplicité.
pas de tel portable, pas d'internet, mais que de distractions, un plaisir à partager avec tous dans la plus simple expression.

Un exemple de gentillesse ou personne ne se prend la tête, du vrai et de la sincérité, une denrée très rare de nos jours.
En soirée le traditionnel repas des cochons à la broche assis sur les bottes de pailles comme dans le temps cloturera cette journée très festive. Un retour aux sources de grande complicité.

rens ;
Adresse :
Centre du bourg
23170 Lepaud (France) - Tél : 05 55 65 12 93

Côte d'Or : une famille périt dans l'incendie de sa maison

Un couple et ses enfants de deux et quatre ans sont décédés dans la nuit de mercredi à jeudi dans l'incendie de leur pavillon à Villy-le-Moutier (Côte d'Or). La thèse de l'accident est privilégiée. «Les services de secours ont été prévenus vers 13 heures. Ils ont éteint les derniers restes du foyer et constaté le décès de quatre personnes à l'étage», a expliqué le procureur de la République de Dijon, Eric Lallement, confirmant une information d'Europe 1.


«Les constatations (d'un médecin légiste et d'un expert en incendie) laissent penser dans un premiers temps à un accident», a ajouté le procureur. Les corps doivent être autopsiés vendredi.

Les victimes découvertes dans leur lit

Les émanations de gaz toxiques seraient à l'origine des décès. Le feu serait parti du canapé du rez-de-chaussée, retrouvé entièrement brûlé, mais ne se serait pas propagé au reste de la maison. «La combustion a été extrêmement lente, avec émanation d'un gaz toxique», a précisé le procureur.

Les décès remonteraient à la nuit de mercredi à jeudi, les victimes ayant été découvertes dans leurs lits. «Le père a vraisemblablement tenté de porter secours, mais il est tombé (intoxiqué)», a précisé Eric Lallement.

Aucune trace d'incendie n'étant visible depuis la rue, ce n'est que jeudi à la mi-journée qu'un proche des victimes a découvert que la maison était pleine de fumée.

Anelka règle ses comptes avec Domenech et Lizarazu

Nicolas Anelka, dont l'exclusion pendant le Mondial-2010 pour des insultes proférées contre le sélectionneur Raymond Domenech a déclenché une véritable tempête autour des Bleus, se lâche. «Si ce n'était pas par moi que tout s'était précipité, cela serait arrivé par quelqu'un d'autre.

La rubrique spéciale sur les Bleus Ca devait exploser», confie à France-Soir l'attaquant de Chelsea, qui s'exprime pour la première fois dans la presse même s'il est peu disert.

Le 20 juin, les joueurs français avaient refusé de prendre part à l'entraînement pour protester contre l'exclusion de Nicolas Anelka, avant d'être piteusement éliminés du Mondial à l'issue du premier tour.

«Tout le monde, je dis bien tout le monde, était solidaire», rapporte Nicolas Anelka, qui rend hommage à ce qu'a dit sur le sujet son coéquipier Jérémy Toulalan. «S'il y avait des joueurs qui voulaient s'entraîner, qu'ils parlent maintenant. Mais je suis certain à 100% que personne ne le fera», assure l'enfant terrible du foot français. L'ancien du PSG, du Real Madrid ou d'Arsenal évoque un épisode auquel il n'a pas assisté puisqu'il se trouvait dans l'avion du retour quand ses coéquipiers sont restés dans le car, obligeant le sélectionneur des Bleus à lire leur communiqué.

Lizarazu en prend pour son grade

Au passage, Anelka égratigne l'ancien international Bixente Lizarazu, reconverti comme consultant télé et radio et très critique à l'égard des Bleus. «Lorsqu'on a été joueur, il faut une forme de respect. Lizarazu, c'est qui ? (...) C'est juste un ancien joueur en manque de reconnaissance», balance Anelka. «Tout ce qu'il a trouvé comme reconversion, c'est le torpillage», a ajouté le joueur de Chelsea qui ne dit pas plus.

Ce n'est pas la première fois qu'un joueur de l'équipe de France s'en prend à un ancien. En mars dsernier dans une interview au Progrès, Jérémy Toulalan avait déclaré après les contreperformances des Bleus au printemps, «France 98 nous fait chier».

Affaire Bettencourt : Maistre, Banier et Vejarano en garde à vue

Quatre personnes ont été placées en garde à vue, ce jeudi, dans le cadre du dossier Woerth-Bettencourt.

Parmi les quatre gardés à vue, tous convoqués ce matin, figurent : Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt, Me Fabrice Goguel, son ancien avocat, l'artiste François-Marie Banier et le gestionnaire de l'île d'Arros (Seychelles) Carlos Vejarano.

Dans le cadre de cette enquête conduite par le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, les écoutes pirates laissent en particulier supposer l'existence d'un blanchiment de fraude fiscale, via l'île d'Arros, non déclarée au fisc, et la révélation de deux comptes en Suisse détenus par Mme Bettencourt.

M. de Maistre a reconnu dans un récent entretien au Figaro l'existence de ces deux comptes en Suisse non déclarés d'une valeur de 78 millions d'euros dont il n'aurait «découvert l'existence qu'en novembre 2009».

Il assurait alors qu'il allait régulariser ces comptes. Dans les écoutes clandestines, il déclarait : «je suis en train d'organiser le fait de l'envoyer dans un autre pays, qui sera soit Hong Kong, Singapour ou en Uruguay».

La fameuse île d'Arros

Les conversations entre Mme Bettencourt et son entourage entre mai 2009 et mai 2010 laissent penser que l'héritière de L'Oréal est la propriétaire d'Arros par l'intermédiaire de sociétés offshore au Liechtenstein et sans l'avoir déclaré à l'administration fiscale.

Elles suggèrent également que Mme Bettencourt, 87 ans, aurait depuis cédé discrètement l'île, dont la valeur est évaluée à environ 500 millions d'euros, au photographe François-Marie Banier.

«La fondation est propriétaire de l'île» et, «officieusement», cette fondation appartient à M. Banier, dit ainsi M. de Maistre dans les écoutes le 11 mai 2010.

Depuis, le gérant de fortune a assuré que Mme Bettencourt ne serait pas propriétaire mais simple locataire de l'île, achetée en 1997 par une société dont il dit tout ignorer.

Ces gardes à vue constituent «un cap important» dans les enquêtes sur l'affaire Bettencourt a dit Me Olivier Metzner, avocat de la fille de la milliardaire, Françoise Bettencourt-Meyers, sur France 2, jeudi.

«Nous considérons qu'elle ( Liliane Bettencourt) n'est pas responsable de ce qu'elle fait parce que elle est orientée. Les choix sont faits à sa place par ses prétendus protecteurs dont on voit (...) qu'ils ont pris son argent», a déclaré l'avocat de la fille de la milliardaire qui vient de formuler une nouvelle demande de mise sous tutelle de sa mère.

mercredi 14 juillet 2010

Football : les Bleus chutent au 21e rang mondial

Laurent Blanc, le nouveau sélectionneur de l'équipe de France, avait prévenu lors de sa première conférence de presse. La France allait perdre son rang de grande nation du football. La fédération internationale (Fifa) vient de publier son dernier classement en prenant en compte les résultats du Mondial et la victoire de l'Espagne.

La Roja championne du monde retrouve sa première place chipée provisoirement par le Brésil.

Après avoir touché le fond en compétition au terme d'un retentissant fiasco, les Bleus se retrouvent au fin fond du classement en échouant à une piteuse 21e place. Auparavant, l'équipe de France pointait à la neuvième place et perd donc douze rangs d'un coup. Il faut se retourner loin en arrière pour trouver les Tricolores à un aussi mauvais classement. la conséquence directe, c'est que les hommes de Laurent Blanc ne seront plus «protégés» dans les tirages au sort des grandes compétitions et risquent de tomber contre des grosses cylindrées.

L'après Afrique du sud est décidément terrible pour les deux finalistes de la Coupe du monde 2006 puisque l'Italie, elle aussi éliminée dès le premier tour du Mondial, quitte le top 10 et pointe à une peu glorieuse 11e place.

Orages : un mort, des blessés et des foyers sans électricité

Les orages et les violentes rafales de vent qui ont traversé le Nord-Est de la France mercredi, en milieu de journée, ont fait une victime, en Côte-d'Or. Dans la soirée, 12 000 foyers étaient privés d'électricité dans les Ardennes où une partie de la toiture du château-fort de Sedan s'est envolée, comme celle d'une école de Meurthe-et-Moselle.

Côte-d'Or : tué par la chute d'un arbre. Dans un camping à Pontailler-sur-Saône, un homme de 38 ans a été mortellement blessé mercredi après-midi par la chute d'un arbre due à une forte rafale de vent. On ignore encore s'il s'agit d'un vacancier ou d'un membre du personnel. Une femme de 24 ans a été grièvement blessée lors de cet accident, et deux femmes de 53 et 82 ans plus légèrement atteintes. Un enfant de 12 ans et une femme de 39 ans ont dû être hospitalisés en état de choc. Les sapeurs-pompiers de Côte-d'Or ont effectué une cinquantaine de sorties dont 20 pour des chutes d'arbres.

Nord : à Hautmont, deux sinistrés de la tornade de 2008 légèrement blessés. Deuix habitants d'une soixantaine d'années, déjà sinistré par la tornade qui avait frappé la ville dans la nuit du 3 au 4 août 2008, faisant alors quatre morts, ont été blessés. «Ils ont eu tellement peur à cause de l'orage qu'il ont eu l'impression de revivre le drame de 2008 et sont sortis de chez eux, a raconté d'une porte-parole de la mairie. Du coup, ils n'étaient plus à l'abri et ils ont glissé». Le couple a été admis à l'hôpital de Maubeuge pour soigner des blessures légères. L'accident est survenu quelques heures après une cérémonie organisée à l'occasion du 14 juillet pour commémorer les deux ans de la tornade. La commune a également subi mercredi quelques dégâts. A Maubeuge, quatre personnes ont été évacuées d'une maison à proximité d'un affaissement de chaussée et une personne a été secourue dans sa voiture, selon la préfecture de Lille.

Dans les Ardennes, 12 000 personnes privées d'électricité mercredi soir. Quelque 20 000 foyers ont été privés d'électricité au plus fort de l'orage. 12.000 foyers étaient toujours sans électricité en début de soirée. Le rétablissement total de la situation devrait être effectué progressivement jusque jeudi après-midi. Touchés par de fortes précipitations et des rafales de vents de plus de 110 km/heure, huit personnes ont été légèrement blessées près de Sedan où la toiture du château-fort a été endommagée sur 30 mètres de long. Un accident de la circulation, sur l'A34, a également fait deux blessés légers.

En Lorraine, la toiture d'une école s'envole. Des orages localement violents ont éclaté à partir de 16 heures en Lorraine, avec des rafales supérieures à 100 km/h. A Tucquegnieux (Meurthe-et-Moselle), un village situé entre Metz (Moselle) et Longwy (Meurthe-et-Moselle), la toiture d'une école s'est envolée.

En Belgique, un chauffeur de poids-lourd tué. Les pluies et rafales de vent qui se sont abattues mercredi après-midi sur la Belgique ont fait un mort : un chauffeur de poids lourd est décédé en fin d'après-midi après la chute d'un arbre sur son véhicule dans la région d'Erquelinnes, au sud-ouest du pays. Dans le centre de la Belgique, à Jodoigne, le toit d'un gymnase s'est effondré, faisant huit blessés légers, alors que plus d'une centaine de jeunes se trouvaient dans l'établissement pour un stage sportif. Dans la région de Charleroi, les pompiers sont intervenus pour aider des personnes coincées dans leurs véhicules, alors que des dizaines d'arbres étaient tombés sur les routes.

Nouvelle provocation de Kémi Seba : un centre de loisirs réservé aux enfants noirs

Kémi Seba, le représentant en France du mouvement New Black Panther Party (NBPP) et ancien leader du groupe Tribu Ka, nous a confirmé ce mardi qu'il compte ouvrir à Plaisir (Yvelines) à partir du 14 juillet, un centre de loisirs destinés aux enfants noirs.

«Un mercredi par semaine, entre 10 heures et 17 h 30, ces enfants de 4 à 14 ans suivront des activités, feront des sorties comme dans un centre aéré, explique Kémi Seba.

Mais les éducateurs et les parents sympathisants qui les encadreront mettront l'accent sur l'histoire du peuple noir et feront référence aux valeurs de la négritude ou aborderont le problème du racisme.»

Pour l'heure, ce centre de loisirs n'a pas de statut officiel ni de siège et aucune demande n'a été formulée auprès des autorités pour une activité d'accueil des enfants. «Ça ressemble plus à des rendez-vous entre amis qu'à un centre de loisirs, réagit le maire de Plaisir, Joël Regnault (UMP). De toute façon, si jamais cela devait se faire sur la place publique, je bloquerai tout. Je ne supporte pas ces associations qui surfent sur le racisme.»

Kémi Seba a déjà été condamné plusieurs fois et la Tribu Ka puis l'association Jeunesse Kemi Seba ont été dissoutes.

Nouvelle provocation de Kémi Seba : un centre de loisirs réservé aux enfants noirs

Kémi Seba, le représentant en France du mouvement New Black Panther Party (NBPP) et ancien leader du groupe Tribu Ka, nous a confirmé ce mardi qu'il compte ouvrir à Plaisir (Yvelines) à partir du 14 juillet, un centre de loisirs destinés aux enfants noirs.

«Un mercredi par semaine, entre 10 heures et 17 h 30, ces enfants de 4 à 14 ans suivront des activités, feront des sorties comme dans un centre aéré, explique Kémi Seba.

Mais les éducateurs et les parents sympathisants qui les encadreront mettront l'accent sur l'histoire du peuple noir et feront référence aux valeurs de la négritude ou aborderont le problème du racisme.»

Pour l'heure, ce centre de loisirs n'a pas de statut officiel ni de siège et aucune demande n'a été formulée auprès des autorités pour une activité d'accueil des enfants. «Ça ressemble plus à des rendez-vous entre amis qu'à un centre de loisirs, réagit le maire de Plaisir, Joël Regnault (UMP). De toute façon, si jamais cela devait se faire sur la place publique, je bloquerai tout. Je ne supporte pas ces associations qui surfent sur le racisme.»

Kémi Seba a déjà été condamné plusieurs fois et la Tribu Ka puis l'association Jeunesse Kemi Seba ont été dissoutes.

Assemblée nationale : l'interdiction du port du voile intégral adoptée

A une écrasante majorité, 335 voix contre une, les députés ont adopté mardi après-midi, en première lecture, le projet de loi visant à interdire le port du voile intégral dans l'espace public. L'ensemble des élus de droite (UMP et NC) ont approuvé le texte avec quelques élus de gauche.

La quasi-totalité de l'opposition (PS, PCF et Verts), tout en étant résolument opposée au port du niqab et de la burqa, a refusé de prendre part au vote. Le projet de loi doit encore être examiné en septembre au Sénat. Gouvernement et UMP misent sur un vote sans modification, qui entraînera son adoption définitive.

Une amende de 150 euros

Le texte de la garde des Sceaux, Michèle Alliot-Marie, largement inspiré d'une proposition de loi du patron des députés UMP Jean-François Copé, ne vise pas spécifiquement le voile intégral, mais prohibe «la dissimulation du visage». Il interdit de fait le port du niqab ou de la burqa dans tout l'espace public, sous peine d'une amende de 150 euros et/ou d'un stage de citoyenneté. Les sanctions entreront en vigueur au printemps 2011, après six mois de «pédagogie». Toute personne obligeant une femme à se voiler sera passible d'un an de prison et 30 000 euros d'amende, selon un nouveau délit qui entrera en vigueur, lui, sitôt la loi promulguée.

Le PS pour une interdiction circonscrite aux services publics et aux commerces

L'Assemblée a doublé ces peines quand la victime est mineure, sur une initiative du PS, qui a évolué sur ce dossier.

D'abord résolument hostile à légiférer sur un phénomène «marginal» - il concernerait environ 2 000 femmes, selon le gouvernement-, le Patri socialiste plaide désormais, en s'appuyant sur les réserves émises par le Conseil d'Etat, pour une interdiction circonscrite aux services publics et aux commerces. Donc pas dans la rue. Les socialistes mettent en garde contre une censure du Conseil constitutionnel ou au niveau européen, qui constituerait «une victoire pour les intégristes.

Jean-François Copé avait créé la surprise pendant les débats en annonçant la saisine des Sages, pari risqué mais qui vise à consolider la démarche de la majorité. Et enlève au passage un argument de poids au PS.

14 juillet : les Africains à l’honneur sur les Champs-Elysées

Il en a fallu du temps pour les mettre à l'honneur, messieurs les donneurs d'ordres...

« C’est nous les Africains qui revenons de loin… » Le célèbre chant militaire sera plus que d’actualité ce matin puisque les contingents de treize pays d’Afrique subsaharienne, qui furent des colonies françaises, ouvriront le défilé militaire en cette année qui marque sur fond de polémique (lire ci-contre) le cinquantenaire de leur indépendance en 1960.

Dès hier, les chefs d’Etat de ces pays ont été reçus à déjeuner à l’Elysée par Nicolas Sarkozy, qui les a bien entendu conviés à assister ce matin à la parade militaire à ses côtés dans la tribune présidentielle érigée place de la Concorde.
Deux grands absents cependant : l’Ivoirien Laurent Gbagbo qui, toujours en froid avec Paris, a décidé de boycotter cette invitation comme il avait boycotté le récent sommet France-Afrique, fin mai à Nice. Et le Malgache Andry Rajoelina qui, n’assumant qu’une présidence de transition sur la Grande Ile, n’a pas été jugé digne d’être invité, même si un contingent de Madagascar descendra bien les Champs-Elysées.

Près de 30 000 anciens combattants bénéficieront de la même retraite que leurs frères d’armes français

Le président français a profité de l’occasion pour annoncer la décision prise hier matin en Conseil des ministres de l’alignement des pensions de tous les anciens combattants résidant à l’étranger et qui pourront désormais « bénéficier des mêmes prestations de retraite que leurs frères d’armes français ». Une décision aussitôt saluée d'« historique » par le président malien Amadou Toumani Touré et qui devrait concerner quelque 30000 anciens combattants.

mardi 13 juillet 2010

ZORA-JEANNE en concert à Evaux les bains

Dans le cadre des rendez-vous du vendredi, l’Office de Tourisme d’Evaux-les-Bains vous propose un concert avec Zora-Jeanne le vendredi 23 juillet à 18h sous la halle de la Mairie (gratuit).
Auteur, compositeur, interprète, violoniste, c’est très rapidement que Zora-Jeanne oriente son jeu vers divers styles musicaux. En Allemagne, elle découvre le rock et se lance dans la composition de ses premiers titres. A travers ceux-ci, on reconnaît ses influences de musiques celtiques ou anciennes mais le moteur reste le rock, que ce soit dans des ambiances pesantes ou d’autres plus délirantes, avec un objectif premier : l’émotion.
Informations au 05 55 65 50 90

Office de Tourisme
Place Serge Cléret
23110 EVAUX-LES-BAINS
Tel : 05.55.65.50.90

"Voix d’été en Creuse"

Pour sa 25°édition, le festival "Voix d’été en Creuse" fait escale à Evaux-les-Bains où le Choeur du Merton College Oxford se produira le Mercredi 21 juillet, à 21h, en l’abbatiale Saint-Pierre Saint-Paul. Cette formation interprétera un répertoire couvrant près de cinq siècles de musique et de chants sacrés anglais.


Billets en vente à l’Office de Tourisme : 05 55 65 50 90

Tarif plein : 14€

Tarif réduit : 6€ (scolaires, étudiants, chômeurs, rmistes)

Tarif enfant moins de 10 ans : 1€



Office de Tourisme : Place Serge Cléret  - 23110 EVAUX-LES-BAINS  -  Tel : 05.55.65.50.90

Les estivales des granges à Evaux les bains

Les Estivales des granges au casino d'Evaux les bains, c'est parti pour une deuxième saison.Les jeudis (voir programme au casino) de juillet août, une plaiades d'artistes amateurs se produiront dans le parc du casino pour le plaisir de vous montrer leur talent. sous la houlette de monsieur Chauvet (directeur artistique, présentateur et chanteur de grand talent) et monsieur Sauvanet (directeur du casino), ce sera encore cette année d'excélents moments musicaux offerts gratuitement par le casino.  Ouvert à tous à partir de 20h30 les jeudis de juillet et août. Plus d'infos, au casino et à l'office de tourisme d'Evaux les bains.


La Fête nationale prendra, cette année, une saveur particulière, à Évaux-les-Bains. Ce 14 juillet verra en effet l'ouverture d'Évahona, le centre de remise en forme et de bien-être.





Évahona s'ajoute à l'établissement thermal et à l'hôtel thermal. Comme eux, il sera géré par une SEM présidée par François Radigon. Les cures médicales (rhumatologie, phébologie, gynécologie) demeurent bien entendu le fondement de l'activité par le biais de cures de 18 jours. Le centre de remise en forme accueillera les curistes le désirant mais aussi et surtout toute personne extérieure soucieuse de son bien être.



Évahona, au terme de travaux ayant débuté en août dernier et retardés par les intempéries hivernales, a pris place dans une aile du bâtiment principal autrefois utilisée par l'établissement thermal. Ses concepteurs offriront, dès ce mercredi, des locaux plaisants, à l'ambiance reposante.

lundi 12 juillet 2010

Sarkozy renouvelle sa confiance à Woerth et reste ferme sur les retraites

Après un mois de polémiques qui ont atteint le sommet de l'Etat, Nicolas Sarkozy espère, ce lundi soir sur France 2, parvenir à mettre un point final à l'affaire Bettencourt-Woerth et recentrer le débat sur les «problèmes de fond», à commencer par la réforme des retraites.

Pour sa première prestation en direct depuis le 25 janvier, le chef de l'Etat a été interrogé un peu plus d'une heure par David Pujadas, sur une terrasse des jardins de l'Elysée. Installé face à Nicolas Sarkozy, une table les séparant, le journaliste de France 2 a débuté l'entretien par le feuilleton Bettencourt, qui atteint de plein fouet le ministre du Travail, Eric Woerth, en charge de la réforme emblématique des retraites.

Voici les principales déclarations du chef de l'Etat :

«Eric Woerth sera le ministre qui défendra» la réforme des retraites. «Eric Woerth est un homme honnête, c'est un homme compétent, c'est un homme qui a toute ma confiance et celle du Premier ministre», a immédiat souligné le chef de l'Etat. «Il sera donc le ministre qui défendra cette réforme si nécessaire des retraites selon le calendrier qui était prévu».

Sarkozy mis en cause dans l'affaire Bettencourt : «Une honte». Emprunt d'une colère froide, Nicolas Sarkozy a jugé que c'était «une honte» de l'avoir accusé d'avoir «ramassé des enveloppes» d'argent chez Liliane Bettencourt, comme l'avait rapporté le site Médiapart citant des premières déclarations, démenties ensuite, de l'ex-comptable de la patronne de l'Oréal. Pour symbole de son honnêteté, il a rappelé : «Le seul président qui a fait rentrer la Cour des comptes à l'Elysée, c'est moi ! Et j'ai voulu nommer un député de l'opposition comme président» au décès de Philippe Séguin.

«Mon conseil, c'est plutôt que (Woerth) abandonne» ses fonctions de trésorier UMP. En revanche, pour couper court à toute polémique, il a «conseillé» à son ministre du Travail de quitter ses fonctions de trésorier de l'UMP afin qu'il se consacre «exclusivement» à la réforme des retraites. «Je lui ai dit que je souhaitais qu'il se consacre exclusivement à cette importante réforme des retraites, que son honneur maintenant était lavé, que les soupçons étaient levés, et que mon conseil c'est plutôt qu'il abandonne cette responsabilité de trésorier», a-t-il dit.

«Si j'avais été un homme d'argent, j'aurais fait une autre carrière». A ses détracteurs, le chef de l'Etat rétorque qu'il aurait fait «une autre carrière» s'il avait été «un homme d'argent», comme certains de ses opposants le dépeignent. «Qu'est-ce que c'est, depuis quelques semaines, que cette attitude vis à vis de l'argent ?», s'est-il interrogé. «J'entends des gens qui disent leur détestation de l'argent. Mon Dieu ! Je me méfie autant des gens qui idolâtrent l'argent que des gens qui le détestent. Cela revient aux mêmes choses. C'est un rapport malsain», a-t-il lancé.

Pas de remaniement avant la rentrée. Malgré les appels pressants de la gauche et de plusieurs ténors de sa propre majorité, Nicolas Sarkozy a confirmé que le remaniement ministériel aurait lieu en octobre après la réforme des retraites, ajoutant que ceux qui préconisaient une «équipe resserrée» avaient «raison».

«La retraite, je dis : les 62 ans, on n'y touche pas». Appelant à cesser de «perdre du temps avec la calomnie pour nous concentrer sur l'essentiel», le président a abordé dans le détail le sujet des retraites. Il a réaffirmé qu'il n'accepterait pas de revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 62 ans ni sur l'alignement des cotisations retraites public-privé : «La retraite (à) 62 ans, on n'y touche pas.» En revanche, il s'est dit ouvert sur le reste.

«Il faut cesser cette marche folle de l'augmentation d'impôts». Interrogé sur sa politique de réduction des déficits, le chef de l'Etat s'est refusé à employer ce terme «connoté en France», lui préférant l'adjectif «rigoureux». «Le mot rigueur, ça veut dire baisser les salaires, je ne le ferai pas, augmenter les impôts, je ne le ferai pas». «De tous les pays du monde, la France est celui qui taxe le plus les contribuables. La fiscalisation sur les plus riches est la plus importante», a-t-il martelé. «Ce qui ne me fait pas peur, c'est le mot rigoureux (...) Rigoureux ça veut dire qu'on revient à l'équilibre (des comptes publics, ndlr), je le ferai», a ajouté le chef de l'Etat, réaffirmant l'engagement de la France à ramener son déficit public à 3% du produit intérieur brut (PIB) en 2013, ce qui revient à un effort d'économies d'environ 100 milliards d'euros en trois ans.

Défense du bouclier fiscal... et de Liliane Bettencourt Quid du bouclier fiscal, notamment mis en cause dans l'affaire Bettencourt ? Pas question de le supprimer. «En France, le bouclier fiscal, ça signifie que personne ne paye plus de 50 % de son revenu. Si en France, on n'a plus personne ou investir et dépenser ?» a lancé le chef de l'Etat. Interrogé sur l'intérêt de maintenir ce dispositif contesté, qui permet à un contribuable de ne pas payer plus de 50% de ce qu'il gagne en impôts, le chef de l'Etat a évoqué le cas de Liliane Bettencourt, qui «paye plusieurs millions d'euros d'impôts par mois». «Mme Bettencourt, qui est propriétaire de L'Oréal, je souhaite qu'elle reste propriétaire de L'Oréal et que L'Oréal - 17 milliards de chiffre d'affaires, 64 000 employés - ne parte pas dans un autre pays», a expliqué Nicolas Sarkozy. «Parce qu'à ce moment, qui le paierait ? (...) c'est les employés qui perdraient leur emploi», a estimé le président de la République.

«Le visage désastreux» des Bleus. Interrogé sur le fait de savoir pourquoi il avait reçu Thierry Henry à son retour du Mondial le 24 juin, jour de mobilisation syndicale contre la réforme des retraites, Sarkozy a confirmé que c'est bien Thierry Henry qui avait demandé à le voir. «Pourquoi j'ai reçu Thierry Henry ? Il a porté le maillot de l'équipe de France 124 fois, dignement. Il a été le joueur qui a marqué le plus de buts pour l'équipe de France. Ca compte», a-t-il dit. Quant au «visage donné par l'équipe de France en Afrique du Sud... désastreux. J'ai dit : les responsables doivent partir. Ils sont partis. Ne les accablons pas. Les joueurs ne doivent pas toucher de primes. Ils n'ont pas touché de primes», a poursuivi le chef de l'Etat

Explosion en Seine-Maritime : la mère toujours ensevelie

Un pavillon de 40 m2 a explosé ce matin vers 10h45 dans la petite commune de Saint-Pierre Lès-Elbeuf (Seine-Maritime). Une mère et ses deux fils de 21 et 18 ans ont été ensevelis sous les décombres. Les secours, 77 sapeurs-pompiers et une équipe cynotechnique, ont délivré Harold, l'aîné des garçons, vers 12h30 et son frère Phocas vers 15 heures.

Tous deux ont été blessés dans l'accident, selon le maire de la commune, Patrice Desanglois. Leur mère, en revanche, n'avait toujours pas été retrouvée vers 16h30.

«Depuis ce matin, les gendarmes, les pompiers, les voisins... tout le monde est mobilisé, car la tâche est immense, souligne le maire de Saint-Pierre-lès-Elbeuf. Le pavillon n'est pas raccordé au gaz de ville. Mais les pompiers ont retrouvé deux bonbonnes, dont l'une éventrée. Elle a visiblement explosé et la maison s'est entièrement affaissée au niveau de la cave. Heureusement, les décombres forment des poches, qui ont permis aux enfants de respirer.»

Nouvelle bagarre dans l’enceinte du parc Astérix

Le célèbre parc Astérix, situé sur la petite commune de Plailly (Oise), a une nouvelle fois été le théâtre de violences hier en début d'après-midi. Aux alentours de treize heures, les gendarmes, qui, pendant l'été ouvrent une antenne à demeure dans l'enceinte du parc de loisirs où se pressent chaque année 1,8 million de visiteurs, sont alertés par des vigiles.

Devant les attractions « Goudurix » et « Tonnerre de Zeus », qui se font face, deux groupes d'une trentaine de jeunes sont en train de violemment s'opposer. D'un côté, une bande de copains originaires de Gisors (Eure), de l'autre, un groupe de jeunes venus en voisins du Val-d'Oise, dont beaucoup d'une cité de Villiers-le-Bel. « Certains ont tenté de resquiller dans la file d’une attraction, et cela n'a pas plu aux autres », résume une source proche de l'enquête. Le différend tourne vite à l'affrontement. Dans la bagarre, trois jeunes de Gisors sont blessés, dont un assez sévèrement à la mâchoire.
Hier soir, une petite dizaine de jeunes gens, dont deux mineurs, étaient toujours en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie d'Orry-la-Ville (Oise).
Les enquêteurs pourront compter sur les bandes de vidéosurveillance qui balayent l'ensemble du parc et du parking pour tirer au clair les responsabilités de chacun.
Fin mai, c'est une famille de Drouvin-le-Marais (Pas-de-Calais) qui avait été la cible d'un tabassage en règle par des jeunes venus des Ulis (Essonne). Trois d'entre eux, qui tentaient de doubler dans la file d'attente d'une attraction, n'avaient pas apprécié qu'un des fils de la famille calaisienne refuse de leur céder la place. Quelques instants plus tard, alors que parents et enfants pique-niquaient sur le parking, les trois jeunes des Ulis, accompagnés d'une quinzaine de comparses, avaient violemment tabassé le jeune homme sous le regard de ses parents, impuissants.
La direction du parc Astérix avait porté plainte, après celle de la famille victime. Deux des trois agresseurs, nés en 1990 et 1991, ont depuis été mis en examen pour « violences volontaires avec préméditation » et écroués.

La cité d'Huriel replonge dans le Moyen-Âge mercredi 14 juillet

La cité va faire un bond en arrière à travers les siècles et revivre au temps des Seigneurs d'Huriel. Mercredi 14 juillet, à partir de 12 heures, le donjon de la Toque revivra, le temps d'une journée, son passé de tour militaire défensive.

La Compagnie Franche du Forez prendra possession des lieux pour des démonstrations d'artillerie médiévale. Des tirs au canon seront donnés tout au long de la journée au pied de la Toque, dans le parc.

Pour ajouter au spectacle, il y aura la présentation du camp médiéval, des démonstrations de combats, des danses nobles et paysannes, des jongleurs et différents ateliers.

Le public découvrira ainsi l'art de la cuisine médiévale et les épices utilisées, mais aussi la broderie, la couture, l'écriture? La vie du soldat et celle du paysan seront également évoquées lors de cette journée médiévale. Tandis qu'un marché artisanal se tiendra sur la place de la Toque.

Pour le déjeuner, chacun pourra apporter son panier-repas pour participer au grand pique-nique dans le parc de la Toque, en compagnie des acteurs, tous costumés.

Parallèlement, l'exposition « Rêveries autour des jardins médiévaux » ouvrira ses portes. Quinze artistes s'exposent au donjon de la Toque, pour faire voyager les sens et l'imagination. Les curieux découvriront alors la Ménagerie des rois, la Dame à la licorne, le Verger d'amour, le Jardin des aromates?

Cette exposition sera ouverte du mercredi 14 juillet au dimanche 5 août, tous les jours de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures. Entrée gratuite.