samedi 6 septembre 2008
demande emploi
Jeune fille 27 ans, CAP petite enfance cherche emploi " enfant à garder". tel : 06.82.64.62.21
ce dimanche 7 septembre
fête du pain à Bellegarde. Marché du terroir, très nombreuses animations toute la journée.
concours de pétanque à Evaux
14h30 concours de pétanque en triplette. Ouvert à tous. gratuit. coupe aux vainquers. Maison des jeunes
retro des vacances (la montagne)
Le chassé-croisé a balayé la Creuse. Pas de bouchon, juste un mol ralentis -sement sur la RN 145. Ambiance sur l'aire des Monts de Guéret.
Architecturalement? elle en jette ! Sacrée Aire des Monts de Guéret avec ses faux airs contemporains de musée, d'opéra ou de gare TGV... Temple moderne presque un peu trop beau pour simplement rendre un culte à la pause-pipi et au casse-croûte.
En ce week-end de chassé-croisé entre juilletistes et aoûtiens, ils étaient nombreux les pélerins de la RN 145 à sacrifier aux petits et grands besoins. Parking plein et une aire assaillie entre ses pelouses et ses boutiques. L'en-cas englouti, la plupart reprennent la route.
Succès mitigé des produits creusois
Quelques-uns franchissent les portes coulissantes de L'Aire. Face à soi, la boutique des productions creusoises.
Satisfaite, Christelle Prudhomme, la vendeuse animatrice des « Talents de Creuse » : « La boutique a rouvert en juillet, et on a fait un résultat encourageant. Certes, pas l'objectif fixé, mais les producteurs limousins présents ici ont tous été contents ».
Elle révèle les produits stars : le gâteau Creusois, les livres sur le coin et même les jeux limousins comme la Baccade et Fait pas l'âne créés par un Corrézien et qui sont allés distraire, dans bien des voitures, la fameuse, et insupportable, litanie enfantine : « C'est quand qu'on arrive ?»...
Éric Donzé
eric.donze@centrefrance.com
Architecturalement? elle en jette ! Sacrée Aire des Monts de Guéret avec ses faux airs contemporains de musée, d'opéra ou de gare TGV... Temple moderne presque un peu trop beau pour simplement rendre un culte à la pause-pipi et au casse-croûte.
En ce week-end de chassé-croisé entre juilletistes et aoûtiens, ils étaient nombreux les pélerins de la RN 145 à sacrifier aux petits et grands besoins. Parking plein et une aire assaillie entre ses pelouses et ses boutiques. L'en-cas englouti, la plupart reprennent la route.
Succès mitigé des produits creusois
Quelques-uns franchissent les portes coulissantes de L'Aire. Face à soi, la boutique des productions creusoises.
Satisfaite, Christelle Prudhomme, la vendeuse animatrice des « Talents de Creuse » : « La boutique a rouvert en juillet, et on a fait un résultat encourageant. Certes, pas l'objectif fixé, mais les producteurs limousins présents ici ont tous été contents ».
Elle révèle les produits stars : le gâteau Creusois, les livres sur le coin et même les jeux limousins comme la Baccade et Fait pas l'âne créés par un Corrézien et qui sont allés distraire, dans bien des voitures, la fameuse, et insupportable, litanie enfantine : « C'est quand qu'on arrive ?»...
Éric Donzé
eric.donze@centrefrance.com
Appel au secours de la FDSEA et des JA
Une crise sévère couve dans le monde agricole qui commence à se demander, dans les régions extensives comme la Creuse, s'il a encore un avenir.
Fièvre catarrhale, hausse du prix des carburants, baisse des cours : le malaise se généralise.
Face à une crise, le monde agricole a toujours su se mobiliser et arracher des compensations aux pouvoirs publics. Mais, depuis quelques mois, ce n’est à une crise mais au moins à trois concomitantes qu’ils doivent faire face. Et là, ça commence à faire beaucoup entre la FCO, la hausse des prix des carburants et des engrais et une baisse des cours pour couronner le tout.
Fièvre catarrhale, hausse du prix des carburants, baisse des cours : le malaise se généralise.
Face à une crise, le monde agricole a toujours su se mobiliser et arracher des compensations aux pouvoirs publics. Mais, depuis quelques mois, ce n’est à une crise mais au moins à trois concomitantes qu’ils doivent faire face. Et là, ça commence à faire beaucoup entre la FCO, la hausse des prix des carburants et des engrais et une baisse des cours pour couronner le tout.
vendredi 5 septembre 2008
Jeux paralympiques: tout le monde s'en fout?
Deux semaines après la cérémonie de clôture des Jeux olympiques, ce sont les Jeux paralympiques qui prennent le flambeau samedi soir.
A la veille de l'ouverture des treizièmes Jeux paralympiques, qui s'y intéresse?
Du côté de France Télévisions, la chaîne publique va les retransmettre... avec parcimonie. Pourtant, cet événement est la deuxième manifestation au monde par son ampleur... après les JO, selon Le Parisien. Le quotidien, qui consacre une page à "la lente reconnaissance des sportifs handicapés", résume clairement le sentiment général sur ces athlètes français: "Ces sportifs ramèneront certainement plus de médailles que leurs homologues valides. Mais la plupart d'entre eux se retrouveront dans l'ombre dès leur retour de Chine." Et même avant la cérémonie d'ouverture de demain, peu de monde s'y intéresse...
Du côté des médias sportifs, quasiment rien sur les Jeux paralympiques. Huit lignes ce vendredi matin dans le quotidien L'Equipe. Huit lignes perdues dans l'interview de Bernard Laporte, secrétaire d'Etat aux Sports qui évoque... le bilan des sportifs français lors des JO! Il se dit fier d'y "retourner demain avec la même envie".
A la veille de l'ouverture des treizièmes Jeux paralympiques, qui s'y intéresse?
Du côté de France Télévisions, la chaîne publique va les retransmettre... avec parcimonie. Pourtant, cet événement est la deuxième manifestation au monde par son ampleur... après les JO, selon Le Parisien. Le quotidien, qui consacre une page à "la lente reconnaissance des sportifs handicapés", résume clairement le sentiment général sur ces athlètes français: "Ces sportifs ramèneront certainement plus de médailles que leurs homologues valides. Mais la plupart d'entre eux se retrouveront dans l'ombre dès leur retour de Chine." Et même avant la cérémonie d'ouverture de demain, peu de monde s'y intéresse...
Du côté des médias sportifs, quasiment rien sur les Jeux paralympiques. Huit lignes ce vendredi matin dans le quotidien L'Equipe. Huit lignes perdues dans l'interview de Bernard Laporte, secrétaire d'Etat aux Sports qui évoque... le bilan des sportifs français lors des JO! Il se dit fier d'y "retourner demain avec la même envie".
Le magasin à prix dégressifs: la dernière trouvaille du hard discount
C'est quoi le concept?
Depuis le début de l'été, le magasin Netto (groupe Intermarché) propose des tarifs dégressifs sur tous les produits du magasin. Exemple: si vous achetez une baguette, vous payez le prix normal, 0,45 €. Si vous en achetez deux, vous économisez 25% sur le prix à l'unité: elle ne vous revient plus qu'à 0,33€. Même principe pour tous les produits du magasin, du yaourt au produit vaisselle.
Et ça marche?
Ca cartonne: le magasin claironne une augmentation de 125% de son chiffre d'affaires. Forcément, ça donne des idées au directeur de Netto, Frédéric Brézet, interrogé sur Europe 1: "Ce qui est novateur, c'est que le choix n'est pas formaté. les gens ne sont pas obligés d'acheter un lot, mais autant qu'ils veulent. Nous allons accélérer la mise en déploiement de ce concept à toute la chaîne." Petite nuance, le magasin ne dispose que de 4 000 références, dont 10 % seulement sont des produits de grandes marques incontournables (Coca Cola, Nutella…),
Depuis le début de l'été, le magasin Netto (groupe Intermarché) propose des tarifs dégressifs sur tous les produits du magasin. Exemple: si vous achetez une baguette, vous payez le prix normal, 0,45 €. Si vous en achetez deux, vous économisez 25% sur le prix à l'unité: elle ne vous revient plus qu'à 0,33€. Même principe pour tous les produits du magasin, du yaourt au produit vaisselle.
Et ça marche?
Ca cartonne: le magasin claironne une augmentation de 125% de son chiffre d'affaires. Forcément, ça donne des idées au directeur de Netto, Frédéric Brézet, interrogé sur Europe 1: "Ce qui est novateur, c'est que le choix n'est pas formaté. les gens ne sont pas obligés d'acheter un lot, mais autant qu'ils veulent. Nous allons accélérer la mise en déploiement de ce concept à toute la chaîne." Petite nuance, le magasin ne dispose que de 4 000 références, dont 10 % seulement sont des produits de grandes marques incontournables (Coca Cola, Nutella…),
Bol d'Or 13 et 14 Septembre 2008
Mucoviscidose : Soutenez la recherche à Carole
A l'initiative de Thierry Saez Défi 23,de Pierre Lemarchal (père de Grégory Lemarchal) et de Motors Events, les 27 et 28 Septembre aura lieu au Circuit Carole un week end de compétitions motos dont les bénéfices seront reversés à l'association Grégory Lemarchal contre la Mucoviscidose.
Au programme de ce Week end motard et festif : - samedi : course du Challenge des monos, course de side-car anciens et concert
- dimanche matin : endurance classic de 4 heures avec des grands noms de la moto tels Chemarin, Ruiz, Danzer, Daridan, Genies, Bourachden, Bréjat, Mille, Bachelet, Foray, Laléouse, etc. sur des machines prestigieuses des "grandes années"...
- dimanche après-midi : Trophée Gregory Lemarchal sur 4 heures avec, comme en Classic, un plateau de choix (Orca avec Le bihan/Ivetich, Lussiana/Picot pour Défi 23, Franck Rouichy pour Défy Moto, Bocquet pour la Métisse, Qualif man, Xtrem Bike avec la moto du Bol d'Or, etc.
Prix d'entrée unique : 10 €
Infos MC Motors Events : 01 40 60 13 99
Pour que la Mucoviscidose ne continue de nous arracher ceux que l'on aime et, venez nombreux démontrer à Carole démontrer une nouvelle fois que la moto sait aussi s'associer aux grandes causes...
Centre Athanor.
Les Cactus PickersL’humour et la fantaisie côtoient sans cesse la Country Music, les impossibles comparses enchaînant, pour le plus grand plaisir du public. Rendez-vous le dimanche 30 mai à 21H au
Cactus Pickers est un trio talentueux et sympathique, qui, en aucun cas ne se prend au sérieux.
L’humour et la fantaisie côtoient sans cesse la Country Music, les impossibles comparses enchaînant, pour le plus grand plaisir du public, les standards de Bill Monroe, Ernest Tubb, Elvis ou bien encore Lyle Lovett.
Dégaines incroyables de John Wayne, bottes aux talons taillés en biseau, chapeaux de fermiers typiques du Texas, chemises western et incontournables jeans, les Cactus Pickers semblent tout droit sortir d’un saloon.
Le banjo, la guitare et la contrebasse des Cactus Pickers ayant un volume suffisant pour jouer sans sonorisation dans bien des cas, cette formule souple permet des passages en différents endroits.
Notez que le tarif est de 5€ pour le public et de 4€ pour les adhérents.
Pour tous renseignements contacter le 06.07.11.74.44
Cactus Pickers est un trio talentueux et sympathique, qui, en aucun cas ne se prend au sérieux.
L’humour et la fantaisie côtoient sans cesse la Country Music, les impossibles comparses enchaînant, pour le plus grand plaisir du public, les standards de Bill Monroe, Ernest Tubb, Elvis ou bien encore Lyle Lovett.
Dégaines incroyables de John Wayne, bottes aux talons taillés en biseau, chapeaux de fermiers typiques du Texas, chemises western et incontournables jeans, les Cactus Pickers semblent tout droit sortir d’un saloon.
Le banjo, la guitare et la contrebasse des Cactus Pickers ayant un volume suffisant pour jouer sans sonorisation dans bien des cas, cette formule souple permet des passages en différents endroits.
Notez que le tarif est de 5€ pour le public et de 4€ pour les adhérents.
Pour tous renseignements contacter le 06.07.11.74.44
Le labour en perte de vitesse sur les terres creusoises
25% des terres agricoles creusoises ne sont plus labourées aujourd'hui. C'est une estimation de la chambre d'agriculture. De plus en plus, les agriculteurs font appel à des semoirs semi-directs qui évitent d'avoir à retourner la terre. Bilan, un gain de temps et moins de carburant dépensé, mais une nécessité de désherber deux fois par an.
Loterie espagnole : attention à l'arnaque
Gare à ce qu'on appelle la loterie espagnole. Un cas de cette arnaque a été signalé à la police sur Guéret. Une habitante de la commune a reçu par courrier un formulaire lui annonçant qu'elle avait gagné à la loterie et l'invitant pour toucher son gain, à renvoyer ses coordonnées bancaires en Espagne. A ne surtout pas faire! D'autres personnes pourraient avoir été destinataires de ce type de courriers.
Un puma en Creuse : rumeur ou info?
C'est une rumeur, et elle est persistante dans l'Est du département. On y parle de la présence d'un puma après que 3 veaux ont été retrouvés morts et que des griffures ont été constatées sur une vache. Et même si certaines blessures font penser à des blaireaux, un éleveur affirme avoir vu le félin.
Pour l'heure, l'office national de la chasse qui multiplie les patrouilles de surveillance n'a pas trouvé de preuves de la présence d'un prédateur. Par ailleurs, aucune disparition d'animal de zoo ou de cirque n'a été signalée.
Le boa n'était pas au fond des bois !
En se promenant hier après-midi, à proximité d'un bois, proche de la maternelle du Bois, à Commentry, un promeneur est tombé sur? une peau de serpent de trois mètres de long ! Les différentes autorités aussitôt alertées ont pu déterminer qu'il s'agissait d'une mue récente de boa constrictor femelle ! Mais au moment de lancer les recherches, afin de retrouver l'impressionnant reptile, un employé municipal a précisé, aux gendarmes et aux pompiers, qu'il avait jeté ladite peau dans un container voisin. Après l'avoir récupéré dans un établissement scolaire, où elle devait être destinée à des cours de Sciences et vie de la terre. Et que, pour une raison indéterminée, quelqu'un l'avait sortie, avant de s'en débarrasser à proximité.
Landogne un vente aux enchères pour sauver la ville
La municipalité de Landogne met sur pied une vente aux enchères pour nourrir de quelques euros des caisses vides. Originalité ? Ce sont les habitants qui fourniront les biens dispersés sous le marteau d'ivoire.
Comment sauver les finances d’une commune plombée par l’endettement ? À Landogne, on a trouvé la solution : en invitant les habitants à donner des biens dont le produit de la vente aux enchères permettra de limiter – un petit peu – la casse.
Oh, il ne faudra guère en attendre de miracle ! Jean-Marc Thomas, adjoint aux finances et initiateur de la démarche, le sait bien. « Deux à trois mille euros, peut-être. Mais ce serait déjà bien. Et il est symbolique de permettre à des habitants de participer à cette mobilisation originale. L’idée, en associant la population à la gestion de leur commune, est de montrer qu’on n’a pas d’argent mais qu’on veut s’en sortir ». Car la commune est dans le rouge. Et pas qu’un peu !
Ampoules basse consommation
« On doit 400.000 ?. Ça fait beaucoup ». Surtout au regard de son budget annuel de… 230.000 ?. « Nos finances sont obérées pour les trois à quatre ans à venir. Et les gros travaux repoussés d’autant. Alors on pare au plus pressé, explique l’élu. Il a fallu augmenter les impôts locaux, supprimer les subventions aux associations… On limite les travaux et on a même remplacé les ampoules de l’éclairage public par des ampoules basse consommation ». (...)
L’équipe municipale a changé en mars dernier après les trois mandats de l’équipe précédente. Les difficultés financières de la commune, qui a failli être mise sous tutelle, l’ont poussée à ne pas adopter le compte administratif et le budget primitif. Renseignements
auprès de Jean-Marc Thomas au 06.03.09.23.46. Les biens seront exposés le matin du samedi 27 septembre. La vente proprement dite débutera à 14 heures.
L'intégralité de cet article, à lire dans l'édition Riom de La Montagne du 5 septembre 2008.
Comment sauver les finances d’une commune plombée par l’endettement ? À Landogne, on a trouvé la solution : en invitant les habitants à donner des biens dont le produit de la vente aux enchères permettra de limiter – un petit peu – la casse.
Oh, il ne faudra guère en attendre de miracle ! Jean-Marc Thomas, adjoint aux finances et initiateur de la démarche, le sait bien. « Deux à trois mille euros, peut-être. Mais ce serait déjà bien. Et il est symbolique de permettre à des habitants de participer à cette mobilisation originale. L’idée, en associant la population à la gestion de leur commune, est de montrer qu’on n’a pas d’argent mais qu’on veut s’en sortir ». Car la commune est dans le rouge. Et pas qu’un peu !
Ampoules basse consommation
« On doit 400.000 ?. Ça fait beaucoup ». Surtout au regard de son budget annuel de… 230.000 ?. « Nos finances sont obérées pour les trois à quatre ans à venir. Et les gros travaux repoussés d’autant. Alors on pare au plus pressé, explique l’élu. Il a fallu augmenter les impôts locaux, supprimer les subventions aux associations… On limite les travaux et on a même remplacé les ampoules de l’éclairage public par des ampoules basse consommation ». (...)
L’équipe municipale a changé en mars dernier après les trois mandats de l’équipe précédente. Les difficultés financières de la commune, qui a failli être mise sous tutelle, l’ont poussée à ne pas adopter le compte administratif et le budget primitif. Renseignements
auprès de Jean-Marc Thomas au 06.03.09.23.46. Les biens seront exposés le matin du samedi 27 septembre. La vente proprement dite débutera à 14 heures.
L'intégralité de cet article, à lire dans l'édition Riom de La Montagne du 5 septembre 2008.
Appel au secours de la FDSEA et des JA
Une crise sévère couve dans le monde agricole qui commence à se demander, dans les régions extensives comme la Creuse, s'il a encore un avenir.
Fièvre catarrhale, hausse du prix des carburants, baisse des cours : le malaise se généralise.
Face à une crise, le monde agricole a toujours su se mobiliser et arracher des compensations aux pouvoirs publics. Mais, depuis quelques mois, ce n’est à une crise mais au moins à trois concomitantes qu’ils doivent faire face. Et là, ça commence à faire beaucoup entre la FCO, la hausse des prix des carburants et des engrais et une baisse des cours pour couronner le tout.
Quitter le métier
« La situation est dramatique, explique Philippe Monteil, le président de la FDSEA de la Creuse, les agriculteurs n’ont plus de trésorerie et beaucoup sont désormais structurellement installés dans le rouge ».
« Je connais des jeunes qui se sont installés il y a quelques années, et qui, aujourd’hui, réfléchissent au meilleur moyen de quitter la profession, renchérit Christophe Alabergère, le président des Jeunes Agriculteurs du département, c’est dire la gravité de la crise ».
Face à cette dure réalité, les agriculteurs n’ont pas, dans un premier temps, perdu leurs réflexes : manifester leur colère. Ils le feront, mardi 16 septembre, à Clermont-Ferrand où se retrouveront les agriculteurs des vingt-deux départements du Grand Massif Central, autrement dit du bassin allaitant du centre de la France.
Car ce sont bien avant tout les éleveurs des régions extensives qui souffrent actuellement, contrairement aux céréaliers qui, après avoir longtemps profité des primes de la PAC, engrangent les bénéfices de la hausse des cours. (...)
L'intégralité de cet article, à lire dans l'édition Creuse de La Montagne du 5 septembre 2008.
Fièvre catarrhale, hausse du prix des carburants, baisse des cours : le malaise se généralise.
Face à une crise, le monde agricole a toujours su se mobiliser et arracher des compensations aux pouvoirs publics. Mais, depuis quelques mois, ce n’est à une crise mais au moins à trois concomitantes qu’ils doivent faire face. Et là, ça commence à faire beaucoup entre la FCO, la hausse des prix des carburants et des engrais et une baisse des cours pour couronner le tout.
Quitter le métier
« La situation est dramatique, explique Philippe Monteil, le président de la FDSEA de la Creuse, les agriculteurs n’ont plus de trésorerie et beaucoup sont désormais structurellement installés dans le rouge ».
« Je connais des jeunes qui se sont installés il y a quelques années, et qui, aujourd’hui, réfléchissent au meilleur moyen de quitter la profession, renchérit Christophe Alabergère, le président des Jeunes Agriculteurs du département, c’est dire la gravité de la crise ».
Face à cette dure réalité, les agriculteurs n’ont pas, dans un premier temps, perdu leurs réflexes : manifester leur colère. Ils le feront, mardi 16 septembre, à Clermont-Ferrand où se retrouveront les agriculteurs des vingt-deux départements du Grand Massif Central, autrement dit du bassin allaitant du centre de la France.
Car ce sont bien avant tout les éleveurs des régions extensives qui souffrent actuellement, contrairement aux céréaliers qui, après avoir longtemps profité des primes de la PAC, engrangent les bénéfices de la hausse des cours. (...)
L'intégralité de cet article, à lire dans l'édition Creuse de La Montagne du 5 septembre 2008.
jeudi 4 septembre 2008
Nord: il étrangle sa femme et la range dans le congélateur
Hier, un homme de 41 ans, résidant à Hasnon, dans le Nord, s'est rendu, hier après-midi à la gendarmerie pour avouer le meurtre de son épouse.
Ce sont les policiers du commissariat de Saint-Amand-les-Eaux, compétent sur la commune de Hasnon, qui ont pris en charge l'enquête. Quand les policiers se sont rendus au domicile du couple, ils ont découvert le corps de l'épouse, dans le congélateur, comme leur avait indiqué le mari.Selon ses déclarations, le mari aurait étranglé sa femme, dans la journée de samedi. La victime était gravement malade et d'après le voisinage, le couple semblait bien s'entendre.
(Source: La Voix du Nord)
Ce sont les policiers du commissariat de Saint-Amand-les-Eaux, compétent sur la commune de Hasnon, qui ont pris en charge l'enquête. Quand les policiers se sont rendus au domicile du couple, ils ont découvert le corps de l'épouse, dans le congélateur, comme leur avait indiqué le mari.Selon ses déclarations, le mari aurait étranglé sa femme, dans la journée de samedi. La victime était gravement malade et d'après le voisinage, le couple semblait bien s'entendre.
(Source: La Voix du Nord)
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