- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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jeudi 24 juillet 2008
Une terrible collision frontale
Un mort et quatre blessés grave : tel est le très lourd bilan d'un choc frontal entre deux automobiles survenu samedi soir, sur la RD 131, sur la commune d'Abrest.
Il était environ 22 h 30, samedi soir, lorsqu’une collision frontale très violente entre deux voitures, une Mégane et une Audi, s’est produite sur la RD 131, à hauteur du lieudit « La Tour », à quelques kilomètres au sud-est de Vichy.
Le choc allait causer la mort d’une personne, la passagère arrière droite de l’Audi, Claudine Paniez, 53 ans, domiciliée dans le Loiret. Son époux, son fils de 25 ans demeurant à Saint-Yorre et la petite amie de ce dernier, âgée de 23 ans, grièvement blessés, étaient libérés de l’habitacle au prix de longues opérations de désincarcération.
histoire de motard : Le motard oublie son épouse en route
Faisait-il déjà le vide dans sa tête à l'approche des vacances ? Un motard corrézien a perdu en route sa passagère lundi matin. Heureusement, elle n'était pas tombée sur la chaussée...
Un motard corrézien étourdi a parcouru pas moins de 120 km avant de se rendre compte qu’il avait oublié sa femme sur une aire d’autoroute.
Les faits se sont passés lundi matin. Ce jour-là, l’homme, 53 ans, et sa femme, 45 ans, reviennent d’un séjour en Allemagne.
La fin de matinée approchant, ils décident de faire une halte dans une station-service de l’autoroute A35, à hauteur d’Ostwald (Bas-Rhin).
120 km avant
de réagir
Mais quelque 120 kilomètres plus loin, stupeur du motard qui se rend compte que son épouse n’est pas sur la moto. Très inquiet, il se rend à la première gendarmerie qu’il trouve sur son chemin. Là, il explique que sa femme « est sans doute tombée sur l’autoroute ».
Des recherches sont aussitôt effectuées sur la portion concernée mais l’infortunée passagère demeure introuvable. L’époux donne alors les coordonnées d’une amie qui, contactée par les gendarmes, explique justement qu’elle vient d’être appelée par l’épouse. (...)
Un motard corrézien étourdi a parcouru pas moins de 120 km avant de se rendre compte qu’il avait oublié sa femme sur une aire d’autoroute.
Les faits se sont passés lundi matin. Ce jour-là, l’homme, 53 ans, et sa femme, 45 ans, reviennent d’un séjour en Allemagne.
La fin de matinée approchant, ils décident de faire une halte dans une station-service de l’autoroute A35, à hauteur d’Ostwald (Bas-Rhin).
120 km avant
de réagir
Mais quelque 120 kilomètres plus loin, stupeur du motard qui se rend compte que son épouse n’est pas sur la moto. Très inquiet, il se rend à la première gendarmerie qu’il trouve sur son chemin. Là, il explique que sa femme « est sans doute tombée sur l’autoroute ».
Des recherches sont aussitôt effectuées sur la portion concernée mais l’infortunée passagère demeure introuvable. L’époux donne alors les coordonnées d’une amie qui, contactée par les gendarmes, explique justement qu’elle vient d’être appelée par l’épouse. (...)
Des renforts pour les vétérinaires creusois
C'est la saga de l'été dont les agriculteurs se seraient bien passés. 5 jours après son apparition dans le département, la fièvre catarrhale poursuit sa progression dans les troupeaux bovins et ovins. 82 cas ont été identifiés à l'heure actuelle, partout sur notre territoire, et 27 autres paraissent suspects. Hier une 3e vache est morte, abattue car trop malade.
Pour accélérer la vaccination, une vingtaine de jeunes diplômés et d'étudiants vétérinaires sont actuellement en renfort dans le département. Ils pratiquent en moyenne 300 injections par jour.
Pour accélérer la vaccination, une vingtaine de jeunes diplômés et d'étudiants vétérinaires sont actuellement en renfort dans le département. Ils pratiquent en moyenne 300 injections par jour.
Les cyanobactéries de retour dans les eaux creusoises
Mauvaise surprise pour les amateurs de baignade. Les cyanobactéries pullulent dans les étangs creusois en ce moment. Depuis lundi, les plages d'Anzême et de Jouillat sont à leur tour touchés par la prolifération de celles que l'on appelle "algues bleues". Conséquence, la baignade y est interdite. La DDASS est dans l'attente, à priori demain, de nouvelles analyses dont les résultats permettront peut être de lever l'interdiction comme ce fut le cas il y a quelques jours au Bourg d'Hem. Rappelons par ailleurs, que l'étang d'Ahun et celui de Saint-Dizier-Leyrenne sont aussi interdits à la baignade.
Un Creusois en tête au sommet de l'Alpe d'Huez
Personne n'en parle et pourtant, hier encore, comme depuis le début de la grande boucle, il est arrivé bien avant le vainqueur de l'étape. Et pour cause, Jean-Sébastien Vigion, le pilote de rallye creusois, conduit un char de la caravane publicitaire. Drrière lui, 3 jolies hôtesses, mais même pas le temps de jeter un coup d'oeil dans le rétroviseur. La conduite d'un véhicule de la caravane demande une concentration de tous les instants.
Les thermes d'Evaux bientôt reconnus pour leurs bienfaits en phlébologie?
Prouver les vertues guerisseuses des cures à Evaux-les-bains. C'est loin d'être la moindre des ambitions de l'Etablissement thermal creusois en participant, comme il le fait actuellement, à une étude nationale menée dans 12 stations. L'étude coordonnée par l'hôpital de Grenoble doit montrer si, oui ou non, les soins prodigués permettent de lutter contre les problèmes veineux. Et pour cela, le centre d'Evaux accueille des curistes cobayes dont les soins sont entièrement pris en charge durant 3 semaines. Ils seront suivis durant 6 mois par des spécialistes pour mesurer les bienfaits de la cure. Et des cobayes, les responsables de l'étude en cherchent encore une 50e. Vous pouvez poser votre candidature auprès de l'hôpital de Grenoble au 04 76 76 88 60.
mercredi 23 juillet 2008
sécurité ou interêts financiers
A entendre notre gouvernement, la sécurité routière est une grande priorité. Quand arreteront'ils de nous prendre pour des blaireaux !
Ont autorisent les camions à rouler les samedis de juillet et aout, jour de grands départs. La plupart des "gros" accidents sont du aux camions, alors messieurs les "collés à vos sièges de bureaux dans vos palaces dorés", arrêtez de ponctionner les automobilistes pour 2 Km/h au dessus de la vitesse sur routes et autoroutes et prenez les vrais problèmes. Interdiséz tous les camions les week end de vacances, vous aurez moins de morts et vos sois disants sondages s'en porteront que mieux et nous nous seront plus rassurés sur nos routes. Votre slogan " boire ou conduire.... le notre: sécurité ou intérêts financiers .... à vous de choisir. Le seul problème, c'est que vous choisissez pour nous. A c'est vrai les caisses de l'état sont vident, j'avais oublié de le préciser A bon entendeur
si notre municipalité pouvait prendre ceci en exemple, ce serait déja un début de communication
Le conseil municipal se réunit ce soir à la salle des Fêtes
Le conseil municipal se réunira ce soir , à 19 h, à la salle des Fêtes, avenue d'Agde. Plusieurs points sont à l'ordre du jour avec, notamment, l'établissement du règlement intérieur du conseil municipal, la création d'un emploi permanent à temps complet de rédacteur territorial, la dénomination de voies à l'intérieur des lotissements "Les Jardins de Val Mamrosa" et "Le Clos du Village", ou l'utilisation du droit de préemption urbain d'un bien, afin de créer une liaison de circulation douce (mail piétonnier) d'accès à la plage reliant le chemin du Clôt au chemin des Rosses.
Le conseil municipal se réunira ce soir , à 19 h, à la salle des Fêtes, avenue d'Agde. Plusieurs points sont à l'ordre du jour avec, notamment, l'établissement du règlement intérieur du conseil municipal, la création d'un emploi permanent à temps complet de rédacteur territorial, la dénomination de voies à l'intérieur des lotissements "Les Jardins de Val Mamrosa" et "Le Clos du Village", ou l'utilisation du droit de préemption urbain d'un bien, afin de créer une liaison de circulation douce (mail piétonnier) d'accès à la plage reliant le chemin du Clôt au chemin des Rosses.
Gare à vous durant vos vacances "Le policier catalan m'a braquée"
C' est un scandale. Du vrai racket. Depuis j'ai bien du mal à réaliser ce qui m'est arrivé. Je n'arrête pas de pleurer, c'est l'horreur." Hélène Dupoisson, professeur de collège originaire de Valenciennes, est encore sous le choc. Et les mots s'entrechoquent dès qu'elle raconte l'histoire dont elle dit avoir été victime jeudi dernier à hauteur de la frontière franco-espagnole de Puigcerdà. "Braquée, affirme-t-elle, avec un revolver et par des policiers catalans".
Divorcée et en vacances dans le secteur de Bourg-Madame, elle avait décidé de profiter de la journée, jeudi dernier, pour aller faire quelques courses en Andorre en compagnie de sa fille de 10 ans et de son fils de 14 ans. Vers 21 heures, elle rentrait donc en France quand, à hauteur du Puigcerdà, des policiers lui ont fait signe de se garer sur le côté. Jusque-là...
"Naïvement, je leur ai fait un grand sourire. Le moteur tournait encore. Ils étaient trois, ils m'ont demandé mes papiers que je leur ai donnés. Un policier a fait le tour du véhicule puis il m'a parlé, et parlé encore. Mais en catalan. Je ne comprenais rien à ce qu'il me disait. Seulement qu'il me demandait 60 euros cash. Il répétait "le véhicule imobilitat" . J'ai dit pourquoi ? J'ai toujours respecté les limitations de vitesse et le code de la route. Je lui ai demandé s'il parlait français, d'appeler un collègue qui puisse me comprendre. Il a refusé. Alors je lui ai fait comprendre que je voulais aller jusqu'à la frontière avec eux pour trouver quelqu'un qui puisse m'expliquer. Ils ont refusé. Ils m'ont montré les menottes. Je leur ai dit que j'étais toute seule avec mes deux enfants, que mon portable ne passait pas en Espagne et que j'étais à 1 000 kilomètres de chez moi. Mais, ils ont sorti le sabot et ils ont essayé de le mettre à l'arrière de la voiture."
Tout se passe ensuite très vite. "Je ne savais pas comment faire. J'étais perdue. Et complètement paniquée. J'ai repris la route pour atteindre la France à quelques mètres. Je leur ai dit je reviens. Je leur ai même laissé mon permis de conduire. Sachant que c'est ma seule pièce d'identité car ma carte est en renouvellement chez moi et que je n'ai pas pu l'avoir avant de partir. Je n'ai pas roulé vite. Mais le temps qu'ils réagissent, j'étais arrivé au rond point avant la frontière. Sirène hurlante, ils ont essayé de me rattraper. Je me suis engagée sur le pont de Bourg-Madame et dès que j'ai été en France, je me suis arrêtée et j'ai coupé le moteur. Sûre que j'étais de régler l'affaire."
Or, l'histoire ne va pas tourner comme prévu. "La vitre de mon véhicule était baissée. Les policiers se sont garés à côté de moi. L'un d'eux, celui qui m'avait arrêtée a essayé de prendre la clef, m'agressant au visage avec son bras. Je me suis défendue. Il a essayé de m'enlever la ceinture de sécurité. Je me suis encore défendue. Et là, avec un regard révulsé, il a dégainé son revolver et il m'a visée en enlevant le cran de sécurité. Je l'ai regardé droit dans les yeux et, là, j'ai eu peur qu'il tire. Ma fille hurlait, terrorisée. Je l'ai plaquée contre le fauteuil. Et je n'ai plus dit un mot. Mon fils est sorti du véhicule, il leur a dit "revolver, interdit de faire ça" . Le policier s'est retrouvé tout penaud. Deux autres Mossos d'esquadra sont arrivés qui savaient parler français. Enfin, j'allais pouvoir m'expliquer. Mais ils sont revenus à la charge pour que je retourne côté espagnol. J'ai refusé. Pour ne pas me retrouver menottes aux poignets, j'ai donc accepté de payer les 60 euros en liquide. Et ils m'ont donné des documents à moitié encatalan et en espagnol auxquels je n'ai rien compris. C'est alors qu'ils m'ont demandé 420 euros de plus. Soit 480 euros. Je ne pouvais pas retirer cette somme avec ma carte. Ils m'ont emmenée jusqu'à leur bureau et ils ont fait la transaction par internet."
Hélène Dupoisson reprend la route avec ses enfants. Mais quelques kilomètres plus loin, elle se précipite dans la première cabine téléphonique qu'elle trouve et contacte la gendarmerie de Bourg-Madame. Le lendemain, elle se rend en personne à la brigade pour faire une déposition et dépose plainte contre le policier catalan pour "menace avec arme sur le territoire français".
L'affaire sera-t-elle traitée devant la justice française ou espagnole ? Quoi qu'il en soit, le cas devrait faire école.
Divorcée et en vacances dans le secteur de Bourg-Madame, elle avait décidé de profiter de la journée, jeudi dernier, pour aller faire quelques courses en Andorre en compagnie de sa fille de 10 ans et de son fils de 14 ans. Vers 21 heures, elle rentrait donc en France quand, à hauteur du Puigcerdà, des policiers lui ont fait signe de se garer sur le côté. Jusque-là...
"Naïvement, je leur ai fait un grand sourire. Le moteur tournait encore. Ils étaient trois, ils m'ont demandé mes papiers que je leur ai donnés. Un policier a fait le tour du véhicule puis il m'a parlé, et parlé encore. Mais en catalan. Je ne comprenais rien à ce qu'il me disait. Seulement qu'il me demandait 60 euros cash. Il répétait "le véhicule imobilitat" . J'ai dit pourquoi ? J'ai toujours respecté les limitations de vitesse et le code de la route. Je lui ai demandé s'il parlait français, d'appeler un collègue qui puisse me comprendre. Il a refusé. Alors je lui ai fait comprendre que je voulais aller jusqu'à la frontière avec eux pour trouver quelqu'un qui puisse m'expliquer. Ils ont refusé. Ils m'ont montré les menottes. Je leur ai dit que j'étais toute seule avec mes deux enfants, que mon portable ne passait pas en Espagne et que j'étais à 1 000 kilomètres de chez moi. Mais, ils ont sorti le sabot et ils ont essayé de le mettre à l'arrière de la voiture."
Tout se passe ensuite très vite. "Je ne savais pas comment faire. J'étais perdue. Et complètement paniquée. J'ai repris la route pour atteindre la France à quelques mètres. Je leur ai dit je reviens. Je leur ai même laissé mon permis de conduire. Sachant que c'est ma seule pièce d'identité car ma carte est en renouvellement chez moi et que je n'ai pas pu l'avoir avant de partir. Je n'ai pas roulé vite. Mais le temps qu'ils réagissent, j'étais arrivé au rond point avant la frontière. Sirène hurlante, ils ont essayé de me rattraper. Je me suis engagée sur le pont de Bourg-Madame et dès que j'ai été en France, je me suis arrêtée et j'ai coupé le moteur. Sûre que j'étais de régler l'affaire."
Or, l'histoire ne va pas tourner comme prévu. "La vitre de mon véhicule était baissée. Les policiers se sont garés à côté de moi. L'un d'eux, celui qui m'avait arrêtée a essayé de prendre la clef, m'agressant au visage avec son bras. Je me suis défendue. Il a essayé de m'enlever la ceinture de sécurité. Je me suis encore défendue. Et là, avec un regard révulsé, il a dégainé son revolver et il m'a visée en enlevant le cran de sécurité. Je l'ai regardé droit dans les yeux et, là, j'ai eu peur qu'il tire. Ma fille hurlait, terrorisée. Je l'ai plaquée contre le fauteuil. Et je n'ai plus dit un mot. Mon fils est sorti du véhicule, il leur a dit "revolver, interdit de faire ça" . Le policier s'est retrouvé tout penaud. Deux autres Mossos d'esquadra sont arrivés qui savaient parler français. Enfin, j'allais pouvoir m'expliquer. Mais ils sont revenus à la charge pour que je retourne côté espagnol. J'ai refusé. Pour ne pas me retrouver menottes aux poignets, j'ai donc accepté de payer les 60 euros en liquide. Et ils m'ont donné des documents à moitié encatalan et en espagnol auxquels je n'ai rien compris. C'est alors qu'ils m'ont demandé 420 euros de plus. Soit 480 euros. Je ne pouvais pas retirer cette somme avec ma carte. Ils m'ont emmenée jusqu'à leur bureau et ils ont fait la transaction par internet."
Hélène Dupoisson reprend la route avec ses enfants. Mais quelques kilomètres plus loin, elle se précipite dans la première cabine téléphonique qu'elle trouve et contacte la gendarmerie de Bourg-Madame. Le lendemain, elle se rend en personne à la brigade pour faire une déposition et dépose plainte contre le policier catalan pour "menace avec arme sur le territoire français".
L'affaire sera-t-elle traitée devant la justice française ou espagnole ? Quoi qu'il en soit, le cas devrait faire école.
C'est sa fête le 24 juillet : Christine
Christine de Bolsena, chrétienne comme son nom l'indique, aurait été, selon une légende édifiante, la fille d'un officier du palais impérial, à Rome. Emprisonnée et persécutée par son père pour son refus d'adorer les dieux païens, elle aurait été finalement exécutée.
pour vous maman, a vendre
A vendre matériel pour bébé : poussette trio de Chicco - transat chicco :
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Mes annonces sont visibles sur www.leboncoin.fr.
Je vous mets des photos en PJ.
mon mail: nadegelap@yahoo.fr
Les touristes boudent la Creuse
Le cru touristique 2008 s'annonce plutôt médiocre dans le département. L'avant-saison a été poussive et même depuis le 14 juillet, la fréquentation de la Creuse reste frileuse à l'image du temps. 30 à 40% de taux d'occupation des campings, 50% dans les gîtes contre 75% l'an dernier. On note surtout une baisse de la clientèle française dans l'hébergement de plein air.
info en creuse
Premiers cas mortels de la fièvre catarrhale
Une profession en alerte! Les éleveurs creusois de bovins et d'ovins sont sur les dents. Avec le retour des beaux jours, le moustique responsable de la fièvre catarrhale ovine fait à nouveau des ravages. Rien qu'hier, une 40e de cas suspects ont été confirmés portant à 80 le nombre de bêtes touchées par la maladie dans le département. Et surtout, dans le Nord-Est creusois, 6 brebis et 2 bovins ont succombé à la FCO. Un nouvel animal devrait être abattu rapidement. D'où l'appel à vacciner, lancé par les autorités qui assurent que les doses nécessaires sont désormais disponibles.
La vision de la CGT sur la chute de La Palestel
La CGT, en première ligne au côté des salariées de la Palestel, donne sa vision de la chute de l'entreprise mise en liquidation judiciaire. Selon le syndicat, c'est le résultat d'une politique de sape de l'atelier de confection creusois, de la part de sa société mère, le groupe Barbara. L'union local CGT de la Souterraine qui dénonce également un manque de soutien de la part des élus locaux, notamment de la communauté de communes du Pays dunois. Par ailleurs, le syndicat s'inquiète de la faiblesse des moyens financiers débloqués pour lancer la cellule de reclassement des 40 salariées : 2000 euros en moyenne par ouvrière contre des sommes qui avaient atteint jusqu'à 8000 euros en 2004, lors du plan social dans l'entreprise.
L'enquête publique sur le CET de l'Ouest creusois est achevée
C'est terminé! Les habitants de l'Ouest-creusois ont eu 42 jours pour prendre connaissance et se prononcer sur le projet de construction d'un centre d'enfouissement des déchets, cela dans le cadre d'une enquête publique. Et ils sont très nombreux à avoir apporté leurs contributions qui vont toutes dans le même sens : non au projet porté par la société Aravis filiale du groupe Fayolle. Le rapport officiel du commissaire-enquêteur sera affiché dans les 5 communes concernées dans un mois environ.
Une profession en alerte! Les éleveurs creusois de bovins et d'ovins sont sur les dents. Avec le retour des beaux jours, le moustique responsable de la fièvre catarrhale ovine fait à nouveau des ravages. Rien qu'hier, une 40e de cas suspects ont été confirmés portant à 80 le nombre de bêtes touchées par la maladie dans le département. Et surtout, dans le Nord-Est creusois, 6 brebis et 2 bovins ont succombé à la FCO. Un nouvel animal devrait être abattu rapidement. D'où l'appel à vacciner, lancé par les autorités qui assurent que les doses nécessaires sont désormais disponibles.
La vision de la CGT sur la chute de La Palestel
La CGT, en première ligne au côté des salariées de la Palestel, donne sa vision de la chute de l'entreprise mise en liquidation judiciaire. Selon le syndicat, c'est le résultat d'une politique de sape de l'atelier de confection creusois, de la part de sa société mère, le groupe Barbara. L'union local CGT de la Souterraine qui dénonce également un manque de soutien de la part des élus locaux, notamment de la communauté de communes du Pays dunois. Par ailleurs, le syndicat s'inquiète de la faiblesse des moyens financiers débloqués pour lancer la cellule de reclassement des 40 salariées : 2000 euros en moyenne par ouvrière contre des sommes qui avaient atteint jusqu'à 8000 euros en 2004, lors du plan social dans l'entreprise.
L'enquête publique sur le CET de l'Ouest creusois est achevée
C'est terminé! Les habitants de l'Ouest-creusois ont eu 42 jours pour prendre connaissance et se prononcer sur le projet de construction d'un centre d'enfouissement des déchets, cela dans le cadre d'une enquête publique. Et ils sont très nombreux à avoir apporté leurs contributions qui vont toutes dans le même sens : non au projet porté par la société Aravis filiale du groupe Fayolle. Le rapport officiel du commissaire-enquêteur sera affiché dans les 5 communes concernées dans un mois environ.
mardi 22 juillet 2008
EVAUX LES BAINS MAISON DE MAÎTRE 13 PIÈCES
Dans bourg touristique, maison bourgeoise du 19ème, habit. de suite, 9 pièces avec grds salons, cheminées, beaux parquets, 4 chambres, anc. cab. dentaire, 2 sdb, 1 sde, gd grenier. 2è maison atten. 4 piè. à rest. Balcons et terrasse. Petit parc arboré ceint de murs 614m2, garages. Verger avec appenti 380m2. Agence immobilière Evaux les bains tél 05 55 65 55 58 port 06 71 49 77 81 evaux.transaxia@orange.fr Réf : AVENDREALOUER-VH20225481/. 336000 €
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