mardi 23 février 2016

Info sur la région : Région ALPC

Région ALPC : 42 délégations confiées aux élus, 6 pour les conseillers régionaux "ex-Limousin"

La Commission Permanente du Conseil régional Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes s'est réunie, pour la 1ère fois, ce mardi 23 février 2016 à Bordeaux. A l'issue de cette réunion, le Président de la Région Alain Rousset a présenté les délégations confiées aux conseillers régionaux.

42 délégations ont été confiées aux conseillers régionaux d'Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.
 
6 conseillers "ex-Limousin" obtiennent des délégations auprès des vice-présidents de la Région :
  • Economie créative, innovation et droits culturels : Eric Correia, conseiller régional (PS) de la Creuse, 
  • Intelligence et attractivité économique : Philippe Nauche, conseiller régional (PS) de la Corrèze,
  • Economie de proximité et TPE : Anne-Marie Almoster-Rodrigues, conseillère régionale (PS) de la Haute-Vienne,
  • Agroécologie et agriculture biologique : Jérôme Orvain, conseiller régional (EELV) de la Creuse,
  • Service public de l’emploi : Andréa Brouille, conseillère régionale (PS) de la Haute-Vienne,
  • Orientation : Pascal Cavitte, conseiller régional (PS) de la Corrèze.
Le conseiller régional de la Haute-Vienne François Vincent (PS) se voit confier une mission spécifique sur l'Université du futur. 

Un regard sur la patrimoine de la Creuse

lundi 22 février 2016

Le loto du CCME Mainsat

 
Les licenciés du CCME tiennent à remercier toutes les personnes qui ont donné une préférence à notre organisation et qui ont assuré le succès de cette manifestation .

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C'était en 2008, la neige à Evaux les bains

Ils nous ont quittés en 2015



L'année 2015 a eu son lot de tragiques disparitions. Partis trop tôt, trop brutalement. L'attentat de Charlie Hebdo ou l'accident de Dropped, la France a été touchée de plein fouet par des disparitions qui ont ému le pays. Dans le reste du monde aussi des personnalités nous ont quittés. 

Leny Escudero était né dans la province espagnole d’Espinal, en novembre 1932. Il a connu le succès dans les années 1960 avec la chanson Pour une amourette. On lui doit également des morceaux comme Parce que tu lui ressemblesVivre pour des idéeLe Bohémien, ou Le Vieux Jonathan.
Chanteur, compositeur et interprète, ce "poète troubadour" a participé à la tournée Age tendre et têtes de bois. Il venait de publier sa biographie, Le Début...la suite...la fin. Leny Escudero est décédé vendredi 9 octobre, à l’âge de 82 ans. Sa famille a fait savoir qu’il souffrait d’une "insuffisance respiratoire aiguë".
Guy Béart, père de l’actrice Emmanuelle Béart, était un auteur-compositeur-interprète français qui s’est fait notamment connaître en écrivant des chansons pour Yves Montand, Tino Rossi, Juliette Gréco, ou encore Zizi Jeanmaire. Sa carrière solo a véritablement été lancée grâce au titre L’Eau vive sorti en 1958, une ode à la liberté. 
Celui qui était devenu animateur et producteur de l’émission Bienvenue chez Guy Béart dans les années 60 est décédé le 16 septembre 2015, à Garches. Le chanteur avait fait ses adieux à la scène en janvier 2015. Il avait 85 ans.
Lynn Anderson, star de la musique country, s’est éteinte samedi 1er août 2015, à l’âge de 67 ans. Elle était connue pour son titre Rose Garden, récompensé d’un Grammy Award. "Lynn est désormais en train d’éclore dans le jardin de roses de Dieu", a déclaré sa célèbre consoeur la chanteuse Dolly Parton. L’Américaine a succombé à un arrêt cardiaque dans un hôpital de Nashville après y avoir été admise pour une pneumonie.
Magali Noël, comédienne qui avait tourné avec Fellini, était aussi connue pour sa chanson osée Fais-moi mal Johnny (1956), écrite par Boris Vian. Elle s’est éteinte dans son sommeil, mardi 23 juin 2015. Elle allait avoir 84 ans.
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B.B. King, né dans le Mississippi, était une légende du blues. Il a contribué à populariser le genre en dehors du milieu rural américain. Récompensé de multiples Grammy Awards, il a plus de 50 albums à son actif et plusieurs standards comme Three O’Clock BluesRock Me Baby ou encore The Thrill Is Gone.
Selon son avocat, le grand musicien est décédé le 14 mai à Las Vegas, à l’âge de 89 ans. En dépit de son diabète, B.B. King se produisait sur scène il y a quelques mois encore.


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Errol Brown était le chanteur du groupe Hot Chocolate. Il avait connu le succès dans les années 70 et 80, notamment grâce à la chanson You Sexy Thing. A la suite de cette aventure collective, l’artiste né en Jamaïque s’est lancé dans une carrière solo en 1985, avec plus ou moins de réussite.
Décoré de l’Ordre de l’Empire britannique en 2003, Errol Brown est finalement mort mercredi 6 mai 2015 aux Bahamas, d’un cancer du foie. Il avait 71 ans.


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Ben E. King est décédé le jeudi 30 avril 2015, à l’âge de 76 ans, dans le New Jersey, de causes naturelles. Ancien membre du groupe The Drifters, il fut le premier interprète et co-compositeur de la chanson Stand By Me, standard de la musique soul américaine. Après ce tube sorti en 1961, le chanteur natif de Henderson en Caroline du Nord enregistra d’autres jolis morceaux, mais sans atteindre de succès comparable. De son vrai nom Benjamin Earl Nelson, Ben E. King avait fait ses débuts à l’église, dans une formation de gospel.


En savoir plus sur http://www.evous.fr/Chanteurs-morts-2015-artistes-decedes-annee,1188395.html#mtPEFjxqlrxHPa5b.99

Pour souvenir, le marché de noël en 2007 à Evaux les bains



Beaucoup de monde sur la place de l'hôtel de ville à Evaux les bains lors du marché de noël organisé par l'amicale des commerçants et artisans d'Evaux les bains.

Budget de l'ex-région Poitou-Charentes APLC, des surprises de taille

Budget de l'ex-région Poitou-Charentes : mauvaise surprise pour Rousset

Alain Rousset : « Si j’avais été au courant, ça n’aurait pas traîné ». © 
ARCHIVES THIERRY DAVID/« SUD OUEST »

La vice-présidence de Jean-François Macaire aux finances pourrait être remise en cause après la découverte par Alain Rousset d’une gestion picto-charentaise beaucoup moins saine qu’en Aquitaine ou en Limousin

Il y a une dizaine de jours, Alain Rousset est alerté par la Fédération départementale du bâtiment de la Vienne, qui se plaint de factures impayées de la part de l'ex-Région Poitou-Charentes et souligne le risque que fait courir ce retard à de nombreuses entreprises. Suite à ce courrier, révélé par nos confrères de « La Nouvelle République du Centre-Ouest », Alain Rousset délègue à Poitiers un de ses collaborateurs, Alexandre Piton, qui découvre une situation financière de nature à « contrarier » l'actuel président de la Région ALPC.
« Sud Ouest ». Qu'avez-vous découvert dans les comptes de l'ancienne Région Poitou-Charentes ?
Alain Rousset. D'abord des factures impayées ou en retard, d'un montant de 132 millions d'euros. En raison de la fusion des trois Régions, les comptes devaient cette année être arrêtés en novembre, soit avec un mois d'avance. Dans ces factures, il y avait de l'investissement, c'est-à-dire des factures non réglées à des entreprises, et du fonctionnement, c'est-à-dire des dotations aux lycées non attribuées. Dès que j'ai été prévenu de cette situation, j'ai donné ordre aux services de résoudre le problème au plus vite. Pour l'heure, 46 millions d'euros ont déjà été payés. Tout sera soldé dans deux ou trois semaines. Le rattrapage se fait à marche forcée car ma préoccupation principale est la santé des entreprises. Cela se fait, je tiens à le préciser, sans poser le moindre souci de trésorerie.
Pourquoi cette situation ne se produit-elle qu'en Poitou-Charentes et ni en Aquitaine ni en Limousin ?
Il y a en effet un problème spécifique picto-charentais. Je l'assume et je le règle. Disons que c'est une Région qui manifestait beaucoup de volontarisme et avait sans doute les yeux plus gros que le ventre par rapport aux capacités de financement. Cela me renforce dans ma volonté d'harmoniser le plus rapidement possible les politiques publiques issues des trois Régions.
Ces factures ne sont pas le seul souci que vous avez découvert…
Le diagnostic révèle en effet une faible capacité de désendettement ainsi que 130 millions d'euros d'emprunts dits structurés, c'est-à-dire ces emprunts à taux faible, adossés à d'autres monnaies comme le franc suisse ou le yen, et qui, selon la fluctuation de ces monnaies, peuvent exploser et devenir des emprunts toxiques. Ce sont des mines sous nos pieds et je veux justement les solder pour assainir les finances.
En avez-vous parlé à Jean-François Macaire, l'ex-président qui est aujourd'hui vice-président aux finances de la nouvelle Région ?
Oui, bien sûr, et il m'a fait part de sa préoccupation. Mon souci est de savoir s'il était totalement au courant de cette situation pour laquelle j'ai été amené à relever de ses fonctions le directeur des finances de l'ancienne Région Poitou-Charentes.
Jean-François Macaire© PHOTO ARCHIVES LACAUD ANNE
Mais, vu la situation picto-charentaise, Jean-François Macaire peut-il rester vice-président aux finances ?
C'est une situation évidemment gênante. Je lui ai posé la question et, selon ce qu'il décidera, je prendrai mes responsabilités. Je tiens à dire qu'il n'y aura pas de crise au sein de l'exécutif, pas plus qu'il n'y aura de catastrophe budgétaire. Ces découvertes sont contrariantes mais il faut les mettre en perspective avec un budget qui s'élève à 2,4 milliards d'euros.
Comment cette situation a-t-elle pu échapper aux radars de la Chambre régionale des comptes et au travail que vous avez effectué en amont de la fusion, notamment lors de la campagne électorale ?
Si on ne vous communique pas tous les documents et si vous n'êtes pas en mesure de les réclamer, comme je le suis désormais en tant que président, vous ne pouvez pas être au courant. J'ignorais cette situation. Je pense être assez réputé pour mon souci de rigueur, quasiment auvergnat, dans la gestion de l'argent public. Si j'avais été au courant, ça n'aurait pas traîné. Tout comme je suis connu pour mon souci de transparence, d'où le fait que je réponde à vos questions.
La situation est-elle également gênante du fait de la personnalité de l'ancienne présidente, Ségolène Royal ?
Ne mélangez pas tout. Ségolène Royal a cédé la présidence de la Région depuis un bon bout de temps et il n'y a chez moi aucune arrière-pensée politique. Je réagis là uniquement en gestionnaire de l'argent public.
Sur le plan politique, en revanche, je répète qu'il est urgent d'harmoniser nos politiques publiques. D'où ma décision de lancer un audit global sur les trois anciennes Régions et de rencontrer rapidement le président de la Chambre régionale des comptes.
Jean-François Macaire sur un siège éjectable
Alain Rousset a beau marcher sur des œufs quand il évoque Jean-François Macaire, l’ancien président picto-charentais, on devine entre les lignes que le sort de l’actuel vice-président délégué aux finances de la nouvelle Région Aquitaine est quasiment scellé.
On ne voit en effet pas comment Alain Rousset pourrait laisser à ce poste, ô combien sensible et stratégique, un élu qui laisse une telle ardoise. S’il n’était pas au courant, c’est grave, surtout aux yeux d’Alain Rousset pour qui, « dans une collectivité, le vrai patron des finances, c’est le président ». S’il était au courant et qu’il a dissimulé la situation, c’est tout aussi grave.

« Début janvier, j’ignorais tout »

En vacances ces derniers jours au Québec, Jean-François Macaire est aujourd’hui à Bordeaux, où se tient une commission permanente dont on peut penser qu’elle sera mouvementée et au cours de laquelle Alain Rousset promet d’informer les élus de la situation.
Ce qu’a découvert Alexandre Piton, envoyé spécial à Poitiers pour remettre de l’ordre, est un gros caillou dans la chaussure d’Alain Rousset. Mais il faut se rappeler que, pendant la campagne électorale, ses relations avec Jean-François Macaire, qui s’était présenté contre lui à la primaire, n’étaient pas placées sous le signe d’une grande confiance. « On avait souvent du mal à obtenir certains documents », se souvient un proche d’Alain Rousset. Au point qu’on se demande d’ailleurs pourquoi le président élu lui a confié les finances. « Mais début janvier, j’ignorais tout de cette situation », répond-il.
La confiance était en tout cas suffisamment faible pour qu’Alain Rousset préfère attribuer la première vice-présidence au Limousin Gérard Vandenbroucke, avec lequel les relations étaient au beau fixe.
Le ménage commence donc à être fait à Poitiers. Le directeur financier a été relevé de ses fonctions et les proches de Jean-François Macaire, mais, avant lui, de Ségolène Royal, comme François et Blanka Scarbonchi, ont été mis sur la touche. Et ce n’est sans doute pas fini…

vendredi 19 février 2016

APLC Aquitaine - Poitou - Limousin - Charentes

Le président de Région, Alain Rousset, entouré des 12 présidents de Département ou de leur représentant. 
Crédit photo : Alban Gilbert
Le vendredi 19 février dernier, le président de la Région ALPC accueillait les présidents des 12 départements composant le territoire régional. Une matinée qui a permis de poser les bases et la méthode d’un nécessaire travail collectif, pour mettre en œuvre la réforme territoriale et les transferts de compétences entre collectivités.
« Nous sommes confrontés à la réalité d’un usager du TER, d’un chef d’entreprise, d’un lycéen, d’un président d’une association culturelle, d’une personne âgée qui cherche une place dans un établissement spécialisé. Et cette réalité nous oblige », lance Alain Rousset, président de la Région ALPC, en ouverture de la conférence de presse organisée à l’occasion de sa rencontre avec les 12 présidents de Département du territoire régional. Au cœur des discussions de cette matinée, les transferts de compétences organisés par la loi NOTRe* entre les Départements et les Régions. A savoir, notamment : la compétence économique exclusive pour la Région, ainsi que le transfert des transports scolaires et interurbains à l’horizon 2017, ou encore la suppression de la clause de compétences générale. Car si la loi a, en partie, spécialisé les compétences par collectivité, il n’en demeure pas moins vrai que ces dernières jouent des rôles complémentaires. « Par exemple, si la Région a en charge le Service public régional de l’orientation, ce travail doit néanmoins commencer dès le collège, qui relève de la compétence du Département », illustre Alain Rousset. Ainsi, après les débats à l’Assemblée nationale et au Sénat, l’heure est désormais à l’application, sur les territoires. Une application qui n’est pas sans poser de difficultés, lorsqu’elle se confronte aux réalités du terrain.

L’UNION FAIT LA FORCE

Cette matinée « d’échanges fructueux, efficaces et sympas », pour reprendre les termes du président de Région, a d’abord permis d’acter la volonté d’œuvrer ensemble, quelles que soient les sensibilités politiques des différents élus en présence. « Si on ne travaille pas en commun, aucun grand projet ne peut avancer, confirme Dominique Bussereau, président de la Charente-Maritime et de l’Association des Départements de France. Dès lors que l’on est sur ces grands projets, que ce soit autour du numérique, des transports, il faut que l’on s’ajoute les uns aux autres. En témoigne l’organisation même des Contrats de plan Etat-Régions qui associent de nombreuses collectivités. »
Cette matinée a ensuite permis de dégager une méthode de travail. « Sur l’agriculture, l’aide aux entreprises, les transports, les déchets et le numérique, nous allons mettre en place des groupes de travail Région/Départements, afin de trouver des solutions concrètes aux problèmes qui se posent, explique Alain Rousset. Ensuite, nous écrirons au premier ministre pour lui présenter les problèmes d’application de la loi, et comment nous souhaitons y faire face. » Une façon aussi de prendre l’initiative, de se réapproprier des compétences ou des responsabilités sans attendre, sans perdre ni en temps, ni en efficacité, selon le président de Région.

2016 : UNE ANNÉE DE TRANSITION

Car les questions soulevées par la loi NOTRe sont nombreuses. « J’ai aujourd’hui 200 dossiers de porteurs de projets sur mon bureau qui veulent créer une activité économique, explique Jean-Luc Gleyse, le président du Département de la Gironde. Avec la compétence d’aide aux entreprises exclusive pour la Région, aujourd’hui, je suis obligé de leur dire non. » De même à Angoulême, sur l’accompagnement d’écoles d’ingénieurs, d’aide aux tournages de films, le Département était le premier à intervenir sur des compétences désormais dévolues aux Régions. « Mais comment la Région se substitue au Département, en particulier cette année, sans en avoir encore les ressources ? », interroge le girondin. Car toute l’urgence et le besoin d’efficacité sont là : 2016 est une année de transition durant laquelle la Nouvelle Région doit se mettre en place, s’organiser. Une année durant laquelle les Départements doivent trouver des solutions pour ne pas laisser tomber leurs partenaires.

essai de tournage du film " les pierres du souvenirs"

jeudi 18 février 2016

Plus de gendarmerie à Bénévent-l'Abbaye

Creuse : la gendarmerie de Bénévent-l'Abbaye va disparaître

Une nouvelle conséquence de la réorganisation des services de sécurité. Après l'annonce de la fermeture des gendarmeries de Saint-Mathieu et du Dorat, celle de la brigade motorisée de Bourganeuf, c'est la gendarmerie de Bénévent L'Abbaye qui fermera définitivement cet été.
Plus de gendarmerie à Bénévent-l'Abbaye (Creuse), plus de gendarmerie au Dorat(Haute-Vienne), à Saint-Mathieu (Haute-Vienne), plus de brigade motorisée àBourganeuf (Creuse) : c'est ce que l'Etat appelle la réorganisation des services de sécurité.

Si les responsables assurent qu'aucun gendarme ne quittera le térritoire Limousin, qu'ils seront ré-affectés dans d'autres brigades, des groupements de gandarmeries, les habitants et élus des communes concernées ne cachent pas leur inquiétude.

reperage tournage drone pour le film " les pierres du souvenir"




 Voici les premières images de repérages pour le tournage du film

 " Les Pierres du souvenirs" qui sera tourné à Evaux les bains en mai 2016.


Loto à Gouzon

Projection du film " Sermur résidence d'artistes"

mercredi 17 février 2016

Gendarmerie en Creuse

Gendarmerie en Creuse : la brigade motorisée de Bourganeuf fermera ses portes le 1er août 2016

Le personnel présent sera réaffecté à Guéret et Aubusson. La brigade de Bénévent sera également fermée à l'été 2016 dans le cadre d'une réorganisation des services. Malgré ces changements, les effectifs resteront les mêmes au sein de la communauté de brigades. 
La réorganisation des services de la gendarmerie en Creuse avait été évoquée par Bernard Cazeneuve, Ministre de l'Intérieur, lors de sa visite à Guéret en août 2015 : le projet est désormais plus précis et les arrêtés ont confirmé les mouvements prévus : 

La brigade motorisée de Bourganeuf fermera ses portes le 1er août 
Elle avait été créée il y a une dizaine d'années lors de la dissolution de la compagnie de Bourganeuf. Six gendarmes étaient alors en poste dans cette brigade motorisée où demeurent aujourd'hui 4 militaires. Des équipes qui seront réaffectées dans les deux autres brigades motorisées du département, à savoir Guéret et Aubusson. 
  • Fermeture de la Brigade de Bénévent-l'Abbaye également le 1er août 
Les gendarmes présents dans cette brigade de Bénévent (brigade de quatre militaires avec actuellement deux gendarmes sur place) seront envoyés à Bourganeuf et occuperont les logements libérés par la brigade motorisée. 

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