vendredi 1 novembre 2013

Des bruits de troisième liste à Evaux les bains (tendance FN)

La multiplication des déconvenues essuyées par l’exécutif ces dernières semaines et le fossé qui se creuse avec l’opinion annoncent « un vote-sanction » aux municipales de mars 2014 mais le pire n’est pas sûr pour un PS aux élus solidement implantés, estiment les experts électoraux. Très nombreux, les maires socialistes sortants pourraient d’autant mieux tirer leur épingle du jeu là où le Front national, qui a le vent en poupe, imposera des triangulaires au second tour.
A moins de cinq mois du scrutin des 23 et 30 mars prochain, le contexte national n’a jamais été aussi défavorable à la gauche, avec un exécutif affaibli par les polémiques, assorties de reculs du gouvernement, sur les Roms (l’affaire Leonarda) et « le matraquage fiscal » (taxation de l’épargne, écotaxe ...).

Forte impopularité de Hollande

« Jamais depuis 1958 un président de la République n’a été si impopulaire  », constate Jérôme Fourquet, de l’Ifop, à l’instar de tous les instituts de sondages. Dans les enquêtes réalisées, « la tendance nationale est très négative, il y a une volonté de sanction » des socialistes au pouvoir qui s’est renforcée cet automne, et cette dimension « pèse déjà beaucoup plus lourd qu’à la même époque avant les municipales de 2008 », ajoute-t-il. Selon la façon dont la question est posée, entre un quart et 40% des sondés évoquent ce vote-sanction.
Le scrutin d’il y a six ans s’était soldé par une défaite du camp Sarkozy et une nette victoire de la gauche, PS en tête, qui avait emporté 58% des 269 villes de plus de 30.000 habitants. De la même façon, la gauche avait perdu des dizaines de villes en 1983, moins de deux ans après son arrivée au pouvoir.

« Le 1er tour sera très difficile »

Depuis l’accession de François Hollande, le PS a perdu toutes les élections partielles - législatives ou cantonales -, n’accédant parfois même pas au second tour« On est en train d’envoyer une génération d’élus socialistes, des maires, qui ont fait du bon boulot, à la boucherie électorale », fulmine le député PS Malek Boutih, qui dit « sentir une grande colère monter chez les élus ». En mars, le défi « va être de mobiliser notre électorat »« le 1er tour sera très difficile », affirme-t-on de source gouvernementale.
En outre, la pré-campagne se fait « sur des thématiques très préjudiciables au gouvernement, qui prennent de la force au niveau local, comme la fiscalité, l’immigration et la sécurité », observe Emmanuel Rivière (TNS Sofres). D’où les tentatives des élus de gauche de « remettre au coeur de l’agenda des thèmes porteurs pour eux, comme l’école, l’emploi », ajoute-t-il.

Des maires socialistes sortants réputés « professionnels, solides, sérieux »

La gauche a toutefois des atouts. La gestion municipale « touche en profondeur le quotidien des citoyens » et les électeurs savent que leur vote sert à « donner les clés de la ville à une équipe », souligne Jérôme Fourquet. Or, beaucoup de maires socialistes sortants sont réputés « professionnels, solides, sérieux, leur bilan n’est pas négligeable ». « Un sortant, s’il a un bon bilan et une bonne image, peut ne même pas sentir la vague » du vote-sanction, affirme Emmanuel Rivière, qui prend l’exemple de Gérard Collomb à Lyon. Ce sera selon lui « plus compliqué » pour un maire non sortant, comme Anne Hidalgo à Paris ou Patrick Mennucci à Marseille .
A l’inverse, la droite, dominée depuis dix ans sur les territoires, souffre localement d’« un déficit de personnel politique », remarque Jérôme Fourquet, qui rappelle que le patron de l’UMP, Jean-François Copé, avait, plaisantant à moitié, envisagé en février dernier de recruter des candidats « par petites annonces ».

L’arrivée du FN dans de nombreux conseils municipaux ?

Pouvoir présenter des listes complètes (parfois plusieurs dizaines de noms) dans presque toutes les villes de 10.000 habitants au moins constituera le principal défi du Front national. Un pari « pas possible » à tenir, selon Emmanuel Rivière. Mais « le Front national va faire de gros scores » là où il sera présent, notamment dans ses zones de forte implantation comme le Sud-Est, le Pas-de-Calais ou l’Oise, pronostique Jérôme Fourquet. De source gouvernementale, on estime que le parti de Marine Le Pen « ne gagnera pas beaucoup de villes » mais qu’il entrera dans de nombreux conseils municipaux. Un quart des Français, interrogés par LH2 début octobre, se disait prêt à voter pour le FN .
« Il risque de jouer un rôle déterminant car il pourrait empêcher la droite de ravir beaucoup de communes à la gauche », ajoute le chercheur de l’Ifop. Pour se maintenir au second tour, il faut réunir au premier 10% des suffrages exprimés. Une barre que Marine Le Pen avait franchi dans quelque 900 communes en avril 2012. Mais « il n’y a pas de décalque automatique » d’une présidentielle sur des municipales, soulignent les politologues.
Combinée à une forte renommée locale, l’hypothèque FN pourrait sauver la mise de nombre de sortants socialistes dans un environnement national profondément hostile. A l’UMP, Jean-François Copé aborde d’ailleurs l’échéance avec prudence, se refusant à prédire « une vague bleue ».

dimanche 27 octobre 2013

La clôture des thermes pour 2013

. Lors de la réception des curistes - .

Réception des curistes Pour la dernière tranche de la cure saisonnière aux thermes d'Évaux-les-Bains, Mme Brabant, directrice du casino, a eu le plaisir de recevoir dans son établissement les curistes qui vont clôturer la saison thermale avec la présence...
info : La montagne.fr

samedi 26 octobre 2013

Loto a Evaux les bains

Ce dimanche 27 octobre, l'Amicale du marché vieux organise son loto annuel à la maison des jeunes. rendez vous dès 13h00 pour gagner de nombreux lots dans la bonne humeur. (ne pas oublier le changement d'horaire, passage à l'heure d'hiver, reculer vos pendules d'une heure).

mercredi 23 octobre 2013

Taxes et taxons encore, une belle devise gouvernementale


Le déficit de la Sécurité Sociale devrait s'élever à plus de 16 milliards d'euros cette année. Or le gouvernement veut le faire baisser l'an prochain à moins de 13 milliards. Flickr/ Afterthegoldrush
 Comment combler le trou devenu gigantesque de la Sécu ? C'est avec cette question en tête que les députés vont entrer aujourd'hui dans l'hémicycle. Au programme : trois nouvelles taxes, dont le seul but est d'alimenter les comptes déficitaires de la Sécurité Sociale, qui regroupe, pour rappel, quatre branches : assurance maladie, retraite, famille et accidents du travail.

Taxer davantage l'épargne des Français
 Pour commencer, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale prévoit de taxer à hauteur de 15,5% les plans d'épargne en actions (PEA) détenus par les Français, et non plus de les taxer à des taux différents en fonction de la date de réalisation des gains, à savoir 7% en moyenne (et 15,5% maximum). Cela revient à piocher dans les économies des ménages français... mais cela doit rapporter 600 millions d'euros par an... Certains députés vont tout de même se battre pour que seuls les nouveaux PEA ouverts à partir du 1er janvier prochain soient concernés, afin que les épargnants soient taxés en connaissance de cause.

Deuxième taxe à laquelle songent les députés : celle sur les boissons énergisantes de type Red Bull. Le Conseil constitutionnel a retoqué la première mouture ? Peu importe ! Les socialistes remettent le couvert. Cette fois, il s'agirait d'instaurer un prélèvement de 100 euros par hectolitre. Motif invoqué : la santé publique ! Comme l'assure Gérard Bapt, député socialiste et médecin, « il apparaît que les boissons dites énergisantes peuvent générer des accidents cardiaques graves chez les consommateurs porteurs de prédispositions génétiques fréquentes (un individu sur 1 000) à l'occasion d'efforts sportifs prolongés (course à pied, cyclisme, danse...) ». Tous les médecins ne sont pas d'accord mais si cela permet de faire rentrer environ 60 millions d'euros par an dans les caisses de l'Etat... 

Le trou de la Sécu se creuse toujours plus 

 Enfin la troisième taxe existe déjà : il s'agit du prélèvement de 0,3% sur leurs pensions dont s'acquittent la moitié des retraités depuis le 1er avril dernier. Mais les députés veulent réorienter son produit, vers les aides aux personnes âgées dépendantes comme cela était prévu au début, et non vers le Fonds de solidarité vieillesse, qui prend en charge le minimum vieillesse et les cotisations retraite des chômeurs, comme c'est le cas actuellement. Le Premier ministre a promis que le fruit de la taxe serait réorienté en 2015. Les députés vont tenter de voter pour que cela se fasse dès 2014.

Il faut dire qu'il y a urgence : le déficit de la Sécurité Sociale s'élève à 16,2 milliards d'euros cette année. Or le gouvernement veut le faire baisser l'an prochain à moins de 13 milliards, soit n niveau proche de ce qu'il était avant la crise de 2008. Pour économiser 3,5 milliards en un an, le gouvernement prévoit 6,3 milliards de hausse de prélèvements et 6 milliards d'économies.

Le problème, c'est que l'an dernier, le gouvernement avait aussi promis de baisser de 3,5 milliards le trou de la Sécu en un an. Or la baisse a été trois fois moins importante que prévu (1,3 milliard) !

Read more at http://www.economiematin.fr/eco-digest/item/6877-nouvelles-taxes-combler-trou-securite-sociale#bdr3WhPTrDbcHs9O.99

Municipales 2014, communiquer, c'est le barrage aux rumeurs....

Je vais commencer à travailler sur des portraits des candidats pour les municipales 2014. Pour les candidats susceptibles de se présenter, n'hésitez pas à me contacter, nous pouvons réaliser des reportages vidéos....
l'appel est lancé, allez Evaux un peu de communication.

pensez que de très nombreux résidents n'achètent pas ou plus la montagne et vont très régulièrement sur ce blog qui perdure depuis des années.
Alors changer de cap, communiquer, c'est le barrage aux rumeurs....

mardi 22 octobre 2013

Dècès à Evaux les bains : Madame Yvette ROQUE

ÉVAUX-LES-BAINS - PIONNAT 
Micheline et Bernard DENIS-LAGE, 
Jacky et Mireille ROQUE, 
ses enfants ; 
Lionel, Carole et Guillaume, Nicolas, 
ses petits-enfants ; 
Ses arrière-petits-enfants ; 
Raymonde LOBET, sa soeur ; 
Léon et Fernande KRUMOTLZ, 
son beau-frère et sa belle-soeur ; 
Ses neveux et nièces 
ont la douleur de vous faire part du décès de 
Madame Yvette ROQUE 
survenu à l'âge de 87 ans. 
La cérémonie aura lieu le mercredi 23 octobre 2013, à 14 h 30, en l'église d'Evaux-les-Bains, suivie de l'inhumation au cimetière de Pionnat, à 16 heures. 
La famille remercie par avance toutes les personnes qui prendront part à sa peine. 
PF Auboiron. 

lundi 21 octobre 2013

le service administratif de l'ADEC en grève

 le service administratif de l'ADEC en grève

 
Les quatre employées du service administratif de l'association d'aide à domicile d'Evaux-Chambon ont observé aujourd'hui une journée de grève pour protester contre "le manque de dialogue" avec le bureau de l'association et "la dégradation des conditions de travail". L'activité de l'association qui emploie plus d'une soixantaine de salariés n'a pas été perturbée. Le personnel administratif devrait reprendre le travail mardi matin. 

et cela continue dans le taxage à foison....

Le gouvernement veux tout taxer .....

La santé ou le fric.....

Il est réel que les effets de la cigarette électronique n'a pas donné tous ses effets, mais je parle pour moi. J'était un très grand consommateur de cigarettes et je me suis mis à la "vapote". J'ai arrêté de fumé, je ne tousse plus, je me sens de mieux en mieux. Donc je coûte moins cher à la sécu, mais non, le gouvernement n'en n'a pas assez. L'argent et toujours l'avidité. La santé, on s'en moque, seul les taxes primes....

La Sécu prévoit que les recettes liées au tabac tomberont cette année à 10,98 milliards d'euros contre 11,13 milliards en 2012.

 Le gouvernement peut-il s'offrir le luxe de ne pas taxer la cigarette électronique? Rien n'est moins sûr. Car, même s'il est difficile de mesurer ce qui tient au succès de la vapoteuse et à la hausse des prix, le marché de la cigarette a reculé de 9,6 % en volume et de 2,6 % en valeur sur les neuf premiers mois de l'année. Ce qui réduit les recettes de l'État. «En 2013, en dépit des hausses de la fiscalité des droits de consommation du tabac (en janvier puis juillet) et d'une hausse de prix de 20 centimes par paquet (en juillet également), le marché n'a pas augmenté en valeur», précise la direction de la Sécu dans un rapport publié le mois dernier.

Conséquence, le rendement des taxes sur le tabac, qui s'ajoutent à la TVA, devrait chuter pour la première fois cette année depuis 2007. La Sécu prévoit que ces recettes, qui bénéficient essentiellement à l'assurance-maladie, tomberont à 10,98 milliards, après 11,13 milliards en 2012. En juin, le précédent rapport anticipait un montant de 11,44 milliards. Le manque à gagner pour l'État atteindrait donc près d'un demi-milliard en 2013. Les recettes ne progresseraient que de 40 millions en 2014, du fait des hausses de prix et de fiscalité.

Interdire le vapotage

L'exécutif a bien envisagé cet été d'introduire une taxe spécifique pour la cigarette électronique, confie une source gouvernementale. Mais l'idée, contradictoire avec la promesse d'une «pause fiscale», a été écartée du projet de financement de la Sécu pour 2014. «Dire qu'il n'y aura pas, dans le débat parlementaire, un amendement qui viendra sur ce sujet-là, je ne peux pas le présager», a toutefois glissé Bernard Cazeneuve, le ministre du Budget, le mois dernier. Mais pour l'heure, aucun projet en ce sens n'a été rendu public.
À défaut de taxer, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, voudrait encadrer le marché de la cigarette électronique. Un décret interdisant toute publicité doit être publié avant la fin du mois. «Comme pour la cigarette tout court», justifie-t-on au sein de son cabinet. Le ministère attend aussi «dans les tout prochains jours» un avis du Conseil d'État pour savoir dans quelle mesure et selon quelles conditions il est possible d'interdire ou pas le «vapotage» dans les lieux publics. Là encore sur le modèle de la cigarette traditionnelle. L'Italie, pour sa part, n'a pas eu ces hésitations. Elle taxera, à partir du 1er janvier, les cigarettes électroniques au même taux que les traditionnelles, c'est-à-dire à hauteur de 58,5 %, hors TVA.

La médecine thermale, une médecine complémentaire sans effets secondaires

La médecine thermale, une médecine complémentaire sans effets secondaires

 Lethermalisme en France vit une seconde jeunesse ! Véritable source de bienfaits, la cure thermale est perçue comme synonyme d’une parenthèse de détente pour de nombreuses personnes. Au-delà de l’effet relaxant des soins, lesstations thermales proposent des cures thermales médicalisées pour l’ensemble des orientations thérapeutiques agréées par la Sécurité Sociale. Reconnues pour leurs effets positifs sur la santé, l’ensemble des cures proposées dans les stations d’Auvergne Thermale peuvent être prescrites par les médecins généralistes.
Auvergne Thermale : stations de cure thermaleIdéales pour le traitement de maladies chroniques (rhumatismes, allergies, crises d’asthme…), les cures thermales offrent un réel soulagement sans provoquer d’effets secondaires. Les soins proposés sont doux et adaptés aux conditions de santé des curistes. Pratiqués par des hydrothérapeutes qualifiés, les soins thermaux diffèrent selon les besoins et les attentes de chaque curiste. En effet, le médecin thermal vous consulte afin d’établir un programme de soins sur-mesure !
Que vous veniez en cure pour le traitement de votre asthme, pour le soulagement de vos rhumatismes ou pour le traitement de problèmes dermatologiques, votre séjour thermal se composera principalement de soins d’hydrothérapie. Bains, séances de mobilisation en piscine, douches, cataplasmes de boue, massages… Véritables instants de détente, ces soins vous permettront de vous reconnecter avec votre corps tout en profitant des bienfaits de l’eau thermale ! D’autres activités et ateliers pourront s’ajouter à ce programme afin de compléter votre cure. Que vous choisissiez une cure thermale médicalisée ou un séjour santé, vous apprendrez à mieux manger, à mieux respirer et reprendrez confiance en vous et en votre corps.
Présente sur Facebook depuis la rentrée, Auvergne Thermale vous invite à rejoindre sa communauté pour tout savoir sur les cures et les bienfaits reconnus de l’eau thermale. Actus médicales, présentation des 11 stations composant le réseau, diffusion des programmes d’animation, articles de presse…gardez toujours un pied dans l’univers du thermalisme en Auvergne !

mercredi 16 octobre 2013

Miss Prestige National le 19 octobre 2013 en Limousin

Les amateurs de concours de Miss vont se retrouver le 19 octobre à la Mégisserie pour une grande soirée en compagnie de Mme de Fontenay.
Vous êtes née entre le 1 er février 1990 et le 1 er février 1996, ? Vous êtes française, domiciliée en Limousin ? Vous mesurez au moins 1,70 mètre sans talons, célibataire, ni divorcée, ni veuve ni pacsé, sans enfant ?
Pourquoi ne tenteriez-vous pas votre chance pour devenir la Miss Limousin du comité Miss Prestige National et concourir par la suite pour le titre suprême de Miss France ! Ce rêve, de très nombreuses jeunes femmes l'ont fait et tous les ans l'une d'entre elles obtient le fameux Graal ou bien s'en approche tellement au point de devenir une véritable vedette comme c'est le cas de Sophie Vouzelaud qui porte le titre de première dauphine de Miss France 2007 avec la grâce, le talent et la simplicité qu'on lui connaît. Cette élection a été une véritable rampe de lancement pour Sophie qui, depuis, a fait ses premiers pas au cinéma et comme mannequin professionnel. Pourquoi une future vedette ne verrait-elle pas le jour à Saint-Junien ? La possibilité de sortir de l'anonymat se profilera le 19 octobre prochain aussi mesdemoiselles n'hésitez à pas à franchir le pas.
Geneviève de Fontenay marraine de cette soirée
La soirée pour le public débutera à 20 h 30 à la Mégisserie. Le public s'acquittera d'un droit d'entrée de 10 euros et pourra participer à une véritable soirée de gala qui sera divisée en deux parties. Durant la première,les jeunes filles seront présentées au public et au jury qui sera composé de plusieurs personnalités locales et départementales. Elles défileront en tenue de ville, maillot et tenue de cocktail. La soirée sera entrecoupée par un spectacle chorégraphique créé par Sophie Fougère Darcy

dimanche 13 octobre 2013

La FN gagne à Brignoles

Avec un taux de participation plus important de 12%  qu'au premier scrutin, la  ville de Brignoles a donné un avertissement au gouvernement. Les taxes et les impots auront surement le dernier mot aux municipales dans de très nombreuses villes. Espérons au moins que le gouvernement prendra cette élection en compte et prendra quelques virages lors du budget 2014. A force de tirer sur la corde, elle cassera...

433,75 euros par mois pendant un an pour un millier de jeunes de l'Allier et du Puy-de-Dôme , la Creuse, NON......


Le Puy-de-Dôme, associé à l’Allier, fait partie des zones retenues pour tester depuis le 1er octobre la « Garantie jeunes » voulu par le gouvernement pour lutter contre la précarité et favoriser l’insertion sociale des moins de 25 ans. Un « RSA » spécifique de 433,75 € mensuels qui, dans un premier temps, devrait concerner un millier de jeunes sur les deux départements.
Le candidat Hollande en avait fait une de ses promesses de campagne, le gouvernement va s’efforcer de la tenir et de l’instituer: le décret l'expérimentation de la garantie jeunes à compter du 1er octobre 2013 vient d'être publié.

Combien ? Pour qui ?
Comment ?


Depuis le 1er octobre, en effet, dix départements, sélectionnés par l’État suite à un appel d’offres, vont tester, grandeur nature, la « Garantie jeunes ». Une allocation, spéciale et temporaire, destinée au 18 -25 ans en situation de précarité afin de les aider à retrouver une formation ou un emploi.

Si personne ne veut encore s’avancer sur le nombre de jeunes Puydômois qui, à terme, pourraient être concernés par cette nouvelle disposition gouvernementale c’est, dans un premier temps, sur un « échantillon » de tout juste un millier, puisé entre Puy-de-Dôme et Allier, que vont être évaluées la pertinence de l’initiative et surtout son efficacité.

435 € mensuels pour une période d’un an

Fixée à 435 € mensuels pour une période d’un an, éventuellement renouvelable par tranche de 12 mois la « Garantie jeunes » doit permettre l’insertion dans le monde du travail (contrats aidés, emplois avenir, CDD de plus de six mois ou CDI…) ou l’entrée en formation de jeunes en situations de grande précarité.

La décision d’attribution sera prise, au cas par cas, par une commission locale composée de représentants de l’État et d’organisme spécialisés dans l’insertion sociale, après étude des dossiers fournis par les missions locales pour l’emploi. Ce sont elles, en effet, qui seront chargées d’identifier « les précaires » susceptibles de bénéficier de cette aide.

source: La Montagne

La réforme scolaire, une réforme très politique...


Le gouvernement va t'il faire marche arrière, aura t'il le recul nécessaire pour admettre qu'il peux avoir tort. Comme le signale monsieur Peillon, nous l'avions promis lors de la campagne présidentielle. Une promesse ne doit'elle pas être tenue si elle n'est pas bonne et non réalisable ?
 Pour de très nombreuses communes, c'est une réforme trop onéreuse et surtout impossible à mettre en place. Comme le signale une maman, j'ai cru apprendre que pour encadrer des enfants, il fallait au minimum un BAFA ! Dans notre commune, c'est n'importe qui qui prend cette charge et bien sur gratuitement et lorsque que vous n'agissez pas sous le couvert d'une association, cela doit être assimilé à du travail dissimulé, dit travail au noir et répréhensible par la loi. Mais dans ce cas, il y a une autre loi qui s'applique, celle de la politique. Il faut absolument que nous l'appliquons si nous pensons socialiste confirme un maire (ps) de notre département et cela est scandaleux.
Depuis la rentrée scolaire, ils font le "buzz" en Creuse. Au national, l'interpellation de l'UMP, Jean-François Copé en tête, les ont mis à l'agenda politique et médiatique. Les rythmes scolaires avec l'obligation à passer à 4 jours et demi de travail par semaine, contre quatre actuellement, à la rentrée prochaine ne cessent d'animer le débat.
Samedi matin, ils étaient donc fort logiquement à l'ordre du jour de l'Association des maires et adjoints de la Creuse... Un débat très encadré autour d'une motion présentée par les élus qui ont lancé dernièrement une pétition contre cette réforme. Le président de l'AMAC, Michel Vergnier, avait fixé une règle du jeu draconienne : trois expressions pour la réforme, trois contre.
A l'applaudimètre, ce sont les "contre" qui ont remporté les suffrages auprès, notamment des maires des "petites" communes qui estiment ne pas avoir les moyens d'organiser les activités périscolaires associées à cette refonte des rythmes scolaires. Des maires ruraux qui craignent une perte d'attractivité de leurs écoles et que les parents choisissent celles du chef-lieu ou de la ville voisine _ plus riches en moyens_ pour y scolariser leurs enfants.
Le succès à l'applaudimètre ne s'est pas retrouvé dans le vote de la motion des opposants à la réforme _ à main levée_ qui a été rejetée par 78 voix contre 96... En sachant que les rangs des élus de droite étaient très clairsemés, et que leurs voix ont dû faire défaut.
En revanche, les maires ont conclu à la nécessité d'approfondir les débat et organiserons, le 16 novembre prochain, une assemblée générale extraordinaire exclusivement consacrée à la question des rythmes scolaires.

Brûlée, mutilée, elle est forcée d'avaler des excréments


Un quadragénaire a été condamné vendredi à quatre ans de prison dont 18 mois avec sursis, assortis d'une mise à l’épreuve pendant trois ans et l’obligation de se soigner, pour avoir violenté pendant 8 ans sa compagne. 
Dans la nuit du 26 au 27 juin 2013, la police débarque chez le prévenu. Là, en ouvrant la porte ils découvrent une femme en larmes à quatre pattes, qui contrainte par son compagnon est en train de manger des excréments de chien tout en vomissant.
Sévices en tout genre
C’est après ces faits que la jeune femme de 32 ans s’est décidée enfin à porter plainte après des années de violences. L’examen médical, qui a suivi, a permis de constater des blessures en tout genre plus ou moins récentes comme cette infection à la main : « il m’a mordue il y a 15 jours ». Ou ces chaires brûlées : « il m’avait ébouillantée il y a deux ans ». Ou encore ce doigt sectionné : « j’avais eu très mal mais les brûlures c’était pire », ou cette blessure au bras « ça, je ne sais plus comment »
sources : Le Populaire

Caroline Dubreuil, élue miss Limousin 2013


Caroline Dubreuil, en robe rouge au centre de l'image, accompagnée de ses dauphines et de miss Limousin 2012. © Jean-Martial JonquardCaroline Dubreuil, élue miss Limousin 2013

A 21 ans, l'étudiante à la faculté de Limoges a été élue parmi les 14 candidates au titre.
Au terme d'une longue soirée au Zénith de Limoges, Caroline Dubreuil, 21 ans, étudiante à la faculté de lettres et sciences humaines de Limoges, a été couronnée Miss Limousin 2013.
La jeune femme était déjà montée sur le podium l'an dernier, puisqu'elle avait été élue première dauphine de Sandra Longeaud, miss Limousin 2012. Caroline Dubreuil représentera donc la région lors de l'élection de Miss France, le 7 décembre prochain.

jeudi 10 octobre 2013

Rythmes scolaires: un village de l'Essonne refuse d'appliquer la réforme en 2014


Rentrée scolaire dans une école primaire à Paris le 3 septembre 2013
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Rentrée scolaire dans une école primaire à Paris le 3 septembre 2013

La commune rurale de Janvry (Essonne) a décidé de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires en 2014, a-t-on appris mercredi auprès de son maire (NC), Christian Schoettl, qui appelle "à la désobéissance civile".
Confirmant une information du Parisien, l'élu a indiqué que le conseil municipal de ce village situé à l'ouest du département avait voté lundi soir une délibération intitulée "Rythmes scolaires: c'est non!".
"Nous sommes républicains. Quand il y aura une loi, on l'appliquera. Là ce n'est qu'un décret mal-ficelé (...) Je suis dans la désobéissance civile et je l'assume", a expliqué M. Schoettl selon qui "on assiste sur un certain nombre de communes qui ont appliqué la réforme par loyauté ou par militantisme, à un véritable désastre".
Interrogé sur les conséquences de cette décision, Christian Schoettl a ironisé: "Ca m'intrigue de voir s'ils vont envoyer les CRS".
Dénonçant la "fracture entre communes riches et pauvres" induites par la réforme faite, selon lui, au "mépris des intérêts de l'enfant", M. Schoettl, dont l'école scolarise 74 enfants en maternelle et élémentaire, a encouragé d'autres maires à suivre l'exemple de Janvry "pour faire reculer (Vincent) Peillon".

mercredi 9 octobre 2013

Les radars en france, vous ne savez pas tout.

Il y a quelques jours, est passée, sur France 2, une petite info qui fait réfléchir. Sur un ton humoristique, le reportage montrait un radar automatique, quelque part du côté de Clermont-Ferrand, qui avait été hors service pendant 3 semaines.

 Pourquoi ? Parce qu'EDF avait coupé le courant pour facture impayée ! Drôle, non ? Mais ce n'est pas tout, le vraiment intéressant est ailleurs. En effet, le journaliste nous expliqua que la société qui gère ce radar n'avait pas payé en temps sa facture d'électricité. La société qui gère le radar ??? 

Quoi ?? Une société privée gère le radar ?

 Je croyais que les radars dépendaient de l'état. Mais alors, si on réfléchit, cela veut dire qu'au passage il y a des gens qui se sucrent sur les infractions des automobilistes et que l'argent des amendes, loin d'aller entièrement dans les caisses de l'état (ce qui serait un moindre mal), va en partie dans des poches privées !!

 Et on peut supposer (car aucune entreprise privée n'est une oeuvre philanthropique) que ces entreprises sont intéressées proportionnellement à la rentabilité des radars. La spéculation sur la sécurité routière, voilà la dernière trouvaille... On ne nous avait pas dit ça quand le gouvernement a lancé sa campagne. Il n'y a pas que la sécurité routière dans l'histoire, mais aussi (et surtout ?) ...

 une affaire de profit !! Et, bien sûr, pour couronner le tout, le  de cette entreprise n'est autre que le frère du ministre Gilles de Robien ! On ne nous dit pas TOUT !!!!!!!

mardi 8 octobre 2013

Rythmes scolaires : Le Snudi-FO réclame l'abrogation du décret

Rythmes scolaires : Le Snudi-FO réclame l'abrogation du décret

Education 
Dans un communiqué du 7 octobre (voir ci-contre), le Syndicat national unifié des directeurs, instituteurs et professeurs des écoles de l'enseignement public - Force Ouvrière (Snudi-FO) invite ses syndicats départementaux à réunir les enseignants pour "prendre toutes les initiatives en direction des Dasen et des maires pour exiger la suspension des projets éducatifs locaux, et l'abrogation du décret du 24 janvier 2013" relatif à l'organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires. Rappelant les couacs d'une réforme qui ne fait pas l'unanimité, c'est un euphémisme, et s'appuyant sur la décision de la commune de Crillon, dans l'Oise, d'abandonner pour "cette année la semaine des quatre jours et demi", qu'elle avait mise en place en septembre 2013*, le syndicat estime que cette "première décision en appelle d'autres".
A Paris, le syndicat, conjointement avec le SNUipp-FSU, la CGT, SUD et la CNT, appelait à une assemblée générale de tous les enseignants de la capitale ce 8 octobre "pour préparer le rassemblement à la mairie pour la suspension immédiate de l'aménagement des rythmes éducatifs".
Un coup d'épée dans l'eau ? "On ne fera pas demi-tour", avait réaffirmé le matin même, sur RTL, le ministre de l'Education nationale à propos de la réforme des rythmes scolaires.
*La commune de Crillon, dans l'Oise, a fait partie des 12% des écoles du département à appliquer la réforme dès la rentrée 2013, soit 15% d'enfants concernés dans ce département picard.

L'ancienne préfète de la Creuse Dominique-Claire Mallemanche a été placée mardi en garde à vue

 L'ancienne préfète de la Creuse Dominique-Claire Mallemanche a été placée mardi en garde à vue avec son mari dans le cadre d'une enquête préliminaire pour corruption passive et trafic d'influence, a-t-on appris de source policière.
Tous deux sont entendus dans les locaux de la brigade financière de la PJ de Nice (Alpes-Maritimes), a précisé le procureur de la République à Nice Eric Bedos, confirmant une information révélée par Nice Matin sur son site internet.
La fonctionnaire avait été brusquement placée préfète hors cadre en août dernier, huit mois seulement après son arrivée dans la Creuse.
Les faits remonteraient à l'époque où Dominique-Claire Mallemanche était sous-préfète à Grasse (Alpes-Maritimes). Aucune information n'a filtré sur le fond de l'affaire qui "serait en partie liés aux déboires financiers de son mari, chef d'entreprise", selon Nice Matin.

Groupe partouche, à surveiller pour ne pas perdre notre casino.... le groupe devrait procéder à des cessions d'actifs


 Rien ne va plus pour Groupe Partouche ! Le titre du casinotier plonge de près de 15% à 0,81 euro au lendemain de sa mise en procédure de sauvegarde auprès du tribunal de commerce de Paris. Gilbert Dupont et Oddo Securities ont préféré suspendre le suivi du titre dans l'attente de plus amples informations. Le groupe familial a pris cette décision en raison de l'échec des discussions initiées en juin dernier avec ses créanciers (les banques Natixis, CIC Lyonnaise de Banque... mais aussi le fonds Oaktree, spécialisé dans les entreprises en difficulté).
Le casinotier souhaitait obtenir un allongement de l'échéancier de sa dette pour la rendre plus compatible avec sa capacité de remboursement.
D'une durée de six mois renouvelable, cette procédure d'observation va lui permettre de restructurer sa dette bancaire et de poursuivre sereinement son activité.
Le défi est de taille. L'encours de la dette est actuellement de 233,7 millions d'euros pour une trésorerie de 95 millions au 30 octobre 2012, et une génération de free cashflow nulle attendue en 2013 et 2014.
Pour sortir de l'ornière, le groupe devrait procéder à des cessions d'actifs. La casinotier possède en effet à son bilan des actifs immobiliers évalués à
395,6 millions au 31 décembre 2011 (date de la dernière actualisation de l'étude d'évaluation), correspondant à 28 casinos (sur 50 exploités) et 18 hôtels (sur 19 exploités).
Pour Oddo, "l'externalisation et la cristallisation de cette valeur, qui ne se matérialise pas malgré la situation financière du groupe, semble néanmoins le seul scénario capable de désendetter le groupe ne manière rapide". Finalement, les jeux ne sont pas encore faits !