Tradition à Lépaud, la fête des escargots en ce dimanche 9 juin 2013.
Anciennement renommée, la fête de " LA LOUE", cette manifestation villageoise avait pour but premier de louer ces services pour la saison.
Une fête qui attirait un très nombreux public. C'était un grand moment de rencontre et de convivialité pour tous. Durant la semaine qui précédait, les femmes épluchaient cent kilos de petits pois et six veaux de lait étaient cuit à la broche. Cela peux vous donnez un aperçu sur le nombre de convives. Les traditions se perdent malheureusement trop vite. Comme dans tous les villages, des associations perdurent tant bien que mal ces animations d'antan.
Terroir, vide grenier, puce solex, concours de paté aux patates, bourses aux vêtements, exposition artistique, tout un panel pour le plaisir de tous.
Dans le journal La Montagne, éxcélent article sur la barbarie allemande en juin 1944. Quelques heures àprès le débarquement, les SS vont commettre des atrocités.
Dommage que cette vidéo ne sois pas diffusée dans les écoles, les collèges, les lycées. J'espère qu'un jour un gouvernement proposera la refonte des programmes d'histoire.
Rome, la Grèce, c'est la ligne conductrice de l'enseignement au collège, pourquoi ?
Encore une fantaisie de la CEE.
J'interrogeais hier des enfants sur "le 6 juin 1944", réponse des élèves , on ne sais pas, c'est un nouveau jeu ! triste et innadmisible.
Y'aura t'il un jour, un gouvernement capable de reformer cette section de l'enseignement et redonner la valeur de NOTRE HISTOIRE.
Le Président Français Hollande rendra hommage ce dimanche 9 juin 2013
Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a annoncé la mort de l'ancien Premier ministre en marge d'une visite officielle de François Hollande à Tokyo. L'ancien Premier ministre socialiste et ancien maire de Lille Pierre Mauroy assiste, le 29 janvier 2012 à l'opéra de Lille (Nord), à l'hommage qui lui est rendu pour l'ensemble de sa carrière politique.
Voici le spectacle de ce matin en plein centre de la ville d'Evaux les bains. A l'heure ou les résidents, curistes , les enfants se déplacent en centre ville pour acheter leur pain, leur journal, un spectacle qui donnera encore une fois une image très négative. Une belle réputation à la ville.
De nombreux verres jonchaient sur la route, "tiens les éboueurs prennent le temps de trier les poubelles, c'est nouveau. bref, Il aurait été préférable de les entreposer dans un carton, ah mince, ils ne prennent pas les cartons non plus. , que de les mettre sur le sol à portée d'enfants, sous les roues des voitures...
Au principe de la sécurité, c'est quand même très limite comme comportement.
Merci aux poubelliers pour ce spectacle "ils ont des contenaires, qu'ils se déplacent", arborents'ils....
Il y a quand même des limites à l'obéissance inter communautaire...
Chaque saison, le complexe thermal d’Evaux-les-Bains, avec son Grand Hôtel ainsi que son centre de bien-être, accueille 3.500 curistes.
Parmi le plus moderne de France, le complexe thermal d’Evaux-les-Bains en Creuse, avec un hôtel-restaurant et un centre de bien-être qui jouxtent les Thermes, dispose d’une offre complète pour ses curistes. Ces derniers trouvent ainsi sur un même site trois structures complémentaires, pour un séjour clef en main. Les bénéfices de la médecine thermale ne sont plus à démontrer : elle occupe une place de choix dans l’arsenal thérapeutique, en se révélant efficace face aux maladies chroniques, articulaires, respiratoires, inflammatoires… La cure thermale est médicale et éducative : elle prend en charge les patients dans leur globalité, et propose une alternative bénéfique aux soins médicamenteux, plus saine et naturelle. Grâce à ses eaux particulièrement riches et minéralisées, cette station thermale présente trois orientations à ses curistes avec la rhumatologie, la phlébologie et la gynécologie. Lors de la prescription médicale auprès du médecin traitant ou du spécialiste, les patients peuvent choisir la double orientation et bénéficier des soins dans deux indications. Parmi les nouveautés 2013, on note l’acquisition d’un appareil à la pointe pour traiter le lymphoedème du bras ainsi qu’un programme de conférences et d’ateliers.
EVAHONA, LE CENTRE DE BIEN-ETRE
Inauguré en juillet 2010, le centre de bien-être Evahona, directement relié au Grand Hôtel par ascenseur, est un espace cosy et raffiné. Il possède des cabines individuelles de soins pour bénéficier de prestations relaxantes sur mesure (modelages, enveloppements et autres « chouchoutages corporels ») ; un espace aqua, avec son jaccuzzi, son sauna et son hammam ; et un espace détente, accès libre entre les soins. Chaque saison, la carte des soins s’élargit avec notamment un rituel « jeune maman » ou une gamme de soins du monde. De la Polynésie au Japon en passant par les terres africaines, les rituels du monde invitent au voyage et stimulent un sentiment de détente et de bien-être des plus profonds.
61 CHAMBRES AU GRAND HOTEL
Le Grand Hôtel** fait partie intégrante du complexe thermal. Accolé aux Thermes, il offre un cadre de vie des plus agréables aux curistes et touristes en transit dans la région. Son grand parc de 1.500 m² en fait un lieu de balade et de détente appréciable. L’hébergement des résidents se fait au choix dans l’une des 61 chambres disponibles. Complètement équipées (téléphone, télévision, Wifi), elles invitent au calme et la sérénité nécessaires à une cure ou un séjour nature. L’hôtel propose une pause gourmande au sein de son restaurant. Le Chef du Trianon éveille les papilles des hôtes, en leur faisant découvrir de nouveaux mets entre saveurs gourmandes et saveurs de pays… Autant d’équipements qui ne seraient rien sans une équipe de soignants. Régulièrement formés pour maintenir leur savoir-faire au plus haut niveau, ils demeurent le noyau dur offrant convivialité et proximité à tous. Renseignements : Evaux les Thermes, 23 110 Evaux-les-Bains. 05 55 65 50 01 Evahona le bien-être : 05 55 65 89 48 Evaux le Grand Hôtel : 05 55 82 46 00 Site internet : www.evauxthermes.com
Accueillie par un rayon de soleil et Chiraz, la chienne de la maison, je me pressais d’entrer dans cette grandedemeure bourgeoise du XIXe siècle. Elle devait me réserver quelques surprises, m’avait-on prévenue.
La curiosité ainsi éveillée, je rencontrais alors Graziella Pascal, maîtresse des lieux, à la poignée de main franche et directe et au parler sans détour. Son énergie, son enthousiasme et sa bonne humeur envahissent la maison et vous conquièrent tout entier. Je m’installais donc dans un fauteuil afin d’écouter l’histoire de cet hôtel qui fut, tour à tour, maison de notable, refuge pendant la 2de guerre mondiale pour devenir hôtel-restaurant.
Imprégnée de l’atmosphère de ces lieux, je suivais mon hôte en montant le large escalier en bois pour arriver sur un palier aussi vaste qu’un salon desservant les 9 chambres à louer.
J’avais déjà compris que Graziella avait des talents de décoratrice et je ne fus pas plus surprise que ça lorsqu’elle parla de son passé d’architecte d’intérieur.
Des œuvres contemporaines côtoient les papiers peints fleuris, les tapis d’orient et les masques vénitiens. Et dispersées sur les murs et dans les chambres, s’exposent une collection impressionnante d’affiches de tous ordres et d’objets de décor de théâtre rapportés par son mari, lors de sa précédente vie. Le génie du designer Starck fréquente celui d’Ingo Maurer. Ici, l’art de l’éclectisme atteint un haut niveau de subtilité.
A la cuisine, j’aperçus Jean Pierre, l’époux de Graziella qui aiguise aujourd’hui ses talents de créateur derrière ses fourneaux.
Il y conçoit de savants mélanges sucrés-salés, utilise les produits du terroir et privilégie les légumes de saison quand il ne sculpte pas quelque œuvre qui trônera dans le parc. Pas de doute, de scénographe à chef de cuisine, c’est un artiste.
Lorsque nous nous apprêtions à sortir, une averse orageuse nous contraint à rester à l’abri. Lulu, le chat nous avait pourtant bien prévenus, en refusant de sortir, préférant se frotter à nos jambes et réclamant des caresses !
Malgré la pluie, je voyais le grand jardin d’où s’élancent des arbres centenaires majestueux et je savais la Tardes, jolie rivière, courir au fond du parc. J’apercevais aussi une magnifique sculpture, œuvre de Jean Pierre, très certainement, tandis que Graziella me rappelait son attachement et son engagement dans une démarche responsable envers l’environnement.
Ma visite prenait fin… avec le retour du soleil !
Je quittais donc Chambon sur Voueize et ses Estonneries pour regagner ma capitale creusoise, comblée émotionnellement et ravie de cette rencontre chaleureuse et riche d’enseignements.
A votre tour, plongez dans l’univers de Graziella et Jean Pierre et laissez-vous envoûter par leur hôtel de charme, sous la protection de l’Abbatiale Sainte Valérie et bercé par la Tardes et les eaux vertueuses de la station thermale voisine d’Evaux les Bains
Clotilde a cent ans !. C'est à Évaux-les-Bains que Clotilde Marquet a vu le jour le 26 mai 1913. Un siècle plus tard, Clotilde était la vedette de l'antenne de Buxières-les-Mines de la maison de retraite du centre hospitalier de Bourbon-l'Archambault..
Alors que l"éducation nationale ne porte pas ou peu d'importance sur cette page de l'histoire de notre pays, je souhaite que les enfants marquent ce jour comme un élément essentiel à notre liberté. N'oublions pas les sacrifices de ces hommes et femmes pour notre libération.
Le 6 juin 1944 – Jour J - Invasion de la Normandie
L'opération Overlord, la grande invasion alliée de la Forteresse de l'Europe occupée par les Allemands, commença dès les premières heures du matin le 6 juin 1944.
Le plan consistait à mener des attaques navales et aériennes massives pour faire tomber les défenses allemandes afin que les troupes alliées puissent traverser la Manche et débarquer le long des 80 kilomètres de la côte de Normandie en France.
Les troupes britanniques débarquèrent sur les plages désignées sous les noms de codeSword et Gold à l'est tandis que les Américains débarquèrent à l'ouest, à Omaha et à Utah. Les troupes canadiennes quant à elles débarquèrent entre les deux offensives britanniques sur la plage désignée sous le nom de code Juno.
Environ 15 000 canadiens de la 3e Division d'infanterie canadienne, appuyée par les navires de la Marine royale du Canada et de la Marine royale britannique, attaquèrent les bastions nazis sur une distance d'environ 8 kilomètres sur la côte française désignée sous le nom de code «plage Juno». Dans le ciel, des escadrons canadiens de chasseurs Spitfire de la Deuxième force aérienne tactique assurèrent la couverture aérienne du matin jusqu'au soir.
Des troupes alliées sortant en grand nombre d'une péniche de débarquement le 6 juin 1944.
Des parachutistes, notamment le 1er Bataillon de parachutistes canadiens, sautèrent des avions ou atterrirent en planeurs aux points de défense stratégiques des Allemands. À Merville, ils détruisirent d'importantes installations appartenant à l'ennemi ainsi que des ponts qui enjambaient la rivière Dives et s'emparèrent des ponts stratégiques sur l'Orne et le canal Caen afin d'empêcher les troupes nazies d'atteindre la zone d'invasion.
Toutefois, la plupart des positions de pièces des Allemands résistèrent aux bombardements et aux tirs continus de la Marine. Les forces nazies firent payer les attaquants alliés pour chaque pouce de territoire revendiqué par ces derniers, d'où le grand nombre de victimes.
Malgré ces pertes, les tactiques et la bravoure des troupes alliées en ce jour le plus long leur permirent de gagner, et de prendre pied en Europe. Les alliés firent traverser un très grand nombre d'hommes et de matériel par la Manche, d'abord pour protéger leur assise et ensuite, pour entreprendre la tâche ardue qui consistait à repousser les Allemands en Allemagne et, en définitive, dans l'histoire.
Le Canada subit 1 074 pertes, y compris 359 décès au cours du jour J. Malgré la lourdeur de ce bilan, le nombre de pertes fut de loin inférieur au nombre que les planificateurs craignaient.
Vu l'absence d'installations portuaires, un quai flottant, connu sous le nom de port artificiel (Mulberry Harbour) a été érigé pour faire entrer les troupes et le matériel en France afin d'assurer la sécurité de la tête de plage.
Ce dimanche 9 juin, ce sera la fête de la LOUE à Lepaud.
Une manifestation traditionnelle pour cette contrée de la creuse. Autrefois, les paysans profitait de ce grand marché pour louer leurs services. Une foule énorme remplissait le village agrémenté de spécialités, petits pois, veau et escargots.
De nos jours, un marché du terroir, vide grenier, exposition d'artistes locaux, concours de pâté de pomme de terre, animations ...
La philosophe juive allemande est envoyée à Jérusalem par le new
yorker pour couvrir le procés d’Adolf Eichmann ,responsable de la déportation
de milliers de juifs.
Les articles qu’elle publie et sa théorie de « la banalité
du mal »déclenchent une controverse sans précèdent.
Séances V.O
*V.O : Version
originale (allemand) sous titrée français
Le premier mariage
homosexuel en Limousin devrait avoir lieu à Brive dans les prochains
jours. La semaine dernière, le premier couple de personnes de même sexe à
se marier en France s'était dit "oui" à Montpellier.
Ce jour dans vos boites aux lettres, le bulletin municipal
Un bulletin qui vous apportera des informations générales sur le fonctionnement de la commune en grande généralité avec une petite touche "inhabituelle".
La rubrique TRIBUNE LIBRE" à été ouverte " à tous". Vous pourrez avoir des informations sur "la bataille de la réforme scolaire" et de l’association "AGIR en haute marche".
ps : Pourquoi le bulletin est'il distribué le lundi, le jour ou nos boites aux lettres sont infectées de publicités ?
Montluçon : Suzanne Burrier, la super-centenaire de 112 ans est la doyenne des Français !
Elle a 112 ans et elle vit encore seule, épaulée par trois assistantes. Suzanne Burrier, une force de la nature, est la doyenne de l'Allier, d'Auvergne et désormais de France !
Suzanne Burrier née Moreau, a fêté ses 112 ans le 14 mars 2013. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle est une supercentenaire au sens propre comme au figuré! En effet, officiellement, c’est ainsi qu’on nomme les personnes qui ont plus de 110 ans. Et dans les faits, même à 112 ans, Suzanne vit toujours chez elle !
Née le 14 mars 1901, dans la maison qu’elle occupe encore aujourd’hui, Suzanne est fille unique. Dès son plus jeune âge, la coquette a voyagé. En 1903, alors que son père est nommé chef comptable dans une industrie de Pologne russe, elle partit pour la Pologne avec ses parents. Elle en reviendra à l’âge 8 ans pour suivre sa scolarité à Montluçon. « Il n’y avait pas d’école où étudier le français en Pologne », se souvient-elle malgré les petites pertes de mémoires. Bilingue, la petite fille rejoint alors ses grands-parents et devient interne à l’école Sainte Philomène. Habituée aux voyages liés aux déplacements professionnels de son père, devenu ingénieur dans les mines, Suzanne Burrier a continué à faire le tour du monde, même mariée. Elle vécut quelques années à Saint-Etienne durant la Seconde Guerre Mondiale et connut la Russie.