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mardi 15 mars 2011

Cantonale à Auzances : trois challengers pour une sortante

 Dans le canton d'Auzances, la dernière élection cantonale avait été marquée par un duel entre deux nouveaux candidats. La divers droite Valérie Simonet l'avait emporté avec 51,4 % des voix.

 Ce 20 mars, trois nouveaux candidats viennent s'opposer en challengers à la conseillère générale sortante.

Alain Vigneresse (PS) est titulaire, depuis 2001, de mandats municipaux (à Châtelard puis à Auzances) et intercommunaux (depuis 2008)
 Didier Berthomier (PCF, Creuse Terre de Gauche)
 Gérard Desnos (Divers gauche) sollicitent pour la première fois les suffrages des électeurs...

vendredi 11 mars A- ccident mortel en Creuse -

 Un dramatique accident de la circulation s'est produit ce vendredi matin 11 Mars , aux alentours de 8 heures près de Saint-Julien-la-Genête. Seul a bord un automobiliste, âgé de 50 ans, circulant sur la départementale 996, a perdu le contrôle de sa voiture à la sortie d'un virage.
 Le véhicule a effectué plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser dans le bas-côté de la route.
 Le malheureux a été tué sur le coup, comme ont pu le constater les sapeurs-pompiers à leur arrivée.

 Cet accident mortel porte à trois le nombre de personnes tuées, sur les routes creusoises, depuis le début de cette année.

Laurent FABIUS lance la campagne des cantonales en Creuse




Avec du retard, voici des infos relatives à l'élection de ce dimanche 19 mars 2011.
Vous allez me dire, cela sert à rien, non, VOTER c'est utile surtout dans ces périodes de tourments.
Vos énarques ne pourrons ignorer vos votes... Alors aux urnes ce dimanche

Cantonales à Aubusson : Des élections sans beaucoup de suspens

 Michel Moine apparaît en position de force face à une opposition affaiblie. Cinq candidats brigueront les suffrages des électeurs le 20 mars prochain.


Le canton apparaît plus fidèle à la gauche que la commune d'Aubusson, connue jusqu'à une période récente pour son instabilité politique. Peu de maires réussissaient en effet à enchaîner deux mandats.

À l'échelon cantonal, depuis l'après-guerre, seul le Dr Jean Mazetier, créateur de la clinique de La Croix-Blanche et « patron » de l'UDF départementale a réussi à écarter les socialistes des affaires cantonales pendant huit ans. Le canton se plaît à envoyer siéger à Guéret des notables. Le sénateur Paul Pauly, maire d'Aubusson de 1965 à 1973, s'est offert le luxe de représenter le canton pendant 28 ans mais aussi de présider le Conseil général de 1946 à 1973. Le Dr Victor Pakomoff lui a succédé pendant sept ans. Puis est enfin venu le tour d'une femme, Jacqueline Defemme-Verdier, vice-présidente du Conseil régional. Elle a trouvé, en 2004, un successeur en la personne du jeune maire d'Aubusson, élu en 2001. Depuis, Michel Moine s'est forgé une personnalité politique, tout en étant relativement marginalisé au sein du PS creusois, Il cherche aujourd'hui à étendre son influence en misant sur le redécoupage intercommunal en projet. Ce fidèle d'Arnaud de Montbourg est déjà parvenu à conforter son influence au niveau du canton. Ainsi, les dernières élections municipales l'ont vu facilement l'emporter à Aubusson alors que ses proches s'imposaient dans plusieurs communes. Il a ainsi réussi à faire taire les oppositions qui agitaient jusqu'alors la Com-com Aubusson-Felletin. La mairie de Saint-Amand échappe encore à son influence mais son maire, Jean Marie Le Guiader (UDF) qui s'est contenté d'un maigre 3,68 % au premier tour des cantonales de 2004, a renoncé, cette année, à se présenter. Jean-François Ruinaud, le maire de Néoux, en devenant vice-président de la com-com, a cessé de faire entendre sa différence. Lui aussi s'était présenté aux cantonales en 2004 mais il avait seulement recueilli 6,34 % des voix.

Michel Moine n'a plus guère d'opposition locale, que ce soit à la mairie ou à la com-com. Pierrette Legros, ancien maire UMP de Saint-Avit-de-Tardes, l'a affronté aux dernières municipales. Elle peine depuis à faire entendre sa voix à la tête d'une opposition qui accumule les démissions et les absences. Pierrette Legros retrouve, ce mois de mars, Michel Moine en qualité de remplaçante de Claude Teyton, ancien maire adjoint de Pierre-Henri Bos. Claude Teyton qui ne fait pas mystère de ses sympathies politiques (ami de J. Auclair), se présente pourtant comme indépendant. Il rencontre sur son chemin Jean-Marie Massias, lui aussi adjoint de P.-H. B. Son ex-colistier, devenu DVD fait équipe avec Laurence Chevreux, premier adjoint de la commune de Saint-Amand. Mathieu Charvillat (MODEM) incarne la jeunesse. Michel Moine qui fait équipe avec Vivette Le Hellaye pourra compter, au second tour, sur l'apport de Claudine Léporati (Creuse Terre de Gauche), membre de son équipe municipale et son ancienne adjointe aux sports.

Cantonales : l'UMP joue une partition clandestine dans la Creuse

Jean Auclair au conseil régional du Limousin, en 2010. Elu UMP se présente "sans étiquette" aux cantonales des 20 et 27 mars dans la Creuse.
  Il n'y aura pas, aux élections cantonales, de candidat UMP dans le département de la Creuse ! Pas même Jean Auclair, pourtant député de la deuxième circonscription, et secrétaire national du parti chargé de l'élevage. Ni Nicolas Simonnet, secrétaire départemental. Ni Gérard Gaudin, président de l'opposition Droite républicaine (8 élus) à la majorité de gauche (19 élus) au conseil général.

Non que l'UMP ait décidé de bouder le scrutin, mais parce que ses sortants et nouveaux candidats se présentent cette fois sous l'appellation "sans étiquette".

Pourquoi cette soudaine discrétion, surtout de la part de Jean Auclair, qui n'a pas pour habitude de mettre son drapeau dans sa poche ? C'est que, répond cet éleveur et négociant en bétail, qui s'honore d'un "relationnel important auprès des ministres", "nous ne nous battons pas pour notre parti, mais pour la Creuse. A Paris, nous faisons de la politique, ici nous travaillons avec toute la population".

Contrairement aux élus socialistes, ces "marquis", qui ne connaissent de la vie que "les cours de récréation", et dont, a-t-il expliqué au quotidien régional La Montagne , "le seul objectif est de marginaliser la Creuse pour lui donner comme flambeau identitaire la révolution et les drapeaux rouges".

"LA FÉDÉRATION A DÉCIDÉ DE SE METTRE EN SOMMEIL"

L'explication de Nicolas Simonnet, le secrétaire départemental du parti, n'est pas la même : "Si le sigle et le logo UMP sont absents de notre campagne, c'est que la fédération de la Creuse a décidé de se mettre en sommeil, par désaccord avec le peu de cas que fait ce gouvernement des problèmes de la ruralité. Nous ne pouvons pas cautionner la décomposition du tissu départemental. Ce n'est pas une décision sans effet : le parti ne va pas financer cette campagne, nous allons devoir la payer nous-même".

Un dossier a particulièrement agité, depuis un an, la vie politique et sociale d'un département hypersensible à tout ce qui touche à l'animation et la défense du milieu rural : la fermeture du centre de radiothérapie de l'hôpital de Guéret, en juin 2010.

"Une erreur magistrale de Roselyne Bachelot [ancienne ministre de la santé]", selon M. Auclair, et dont le successeur au gouvernement, Xavier Bertrand, a annoncé, le 8 mars, la remise en activité, "au plus tard à la rentrée de septembre".

Le député-candidat aux cantonales y voit une justification de l'efficacité de ses interventions en haut-lieu ; la gauche creusoise une preuve qu'après des mois de manifestations et six mois de "gel des relations" entre ses élus locaux et l'autorité préfectorale, "la lutte a payé" et imposé ce recul.

Le corps électoral creusois arbitrera, le 20 et le 27 mars, entre ces deux argumentations.

lundi 14 mars 2011

Bonjour à tous

De retour ce jour à Evaux, le blog va redevenir informatif. Je remercie tous les messages de soutient et les messages de sympathie des lecteurs du blog.

vendredi 11 mars 2011

Un tsunami de 10 mètres a déferlé sur les côtes de Sendai (nord-est), ont affirmé les médias.

Une vague de 10 mètres de haut sur le nord-est du Japon

Un tsunami de 10 mètres a déferlé vendredi sur les côtes de Sendai, au nord-est du Japon, après le très violent séisme de magnitude 8,9 survenu peu auparavant au large des côtes de l'archipel, ont affirmé les médias.
La piste de l'aéroport de Sendai, située dans la préfecture de Miyagi (nord de Tokyo), a été inondée, selon les médias. 
 Deux séismes frappent le Japon, tsunami majeurJapon : suivez la situation en direct avec France 24EN DIRECT. Tsunami dans le Pacifique, le séisme au Japon fait au moins 40 mortsD'autres points de la côte du Pacifique ont également été touchés par des vagues de plusieurs mètres de haut.

Un tsunami de 7 mètres a également été signalé plus tard le long de la préfecture de Fukushima, située au sud de celle de Miyagi. Le parking du gigantesque complexe de loisirs Tokyo Disney Resort (Disneyland), dans la préfecture de Chiba, à quelques kilomètres de la capitale, est également sous les eaux.

L'Agence de météorologie japonaise maintenait en alerte rouge ou orange toutes les côtes est et nord de l'archipel, ainsi qu'une partie des flancs ouest

Kadhafi menace de balancer "un grave secret" sur la campagne de Sarkozy en 2007

Nos politiques ne seraient pas honnêtes, oh pas très beau...

Ces déclarations interviennent au moment où le président de la République reconnaît officiellement l'opposition libyenne.


Mouammar Kadhafi et Nicolas Sarkozy.Info Le Post.fr

La tension diplomatique entre la France et la Libye monte d'un cran.

Le timing semble bien calculé. Au moment où Nicolas Sarkozy reconnaît officiellement l'opposition libyenne, le régime de Kadhafi affirme, via son agence officielle Jana, que la révélation d'un "grave secret" pourrait entraîner la chute du président français.

Ces révélations du régime Kadhafi seraient liées au financement de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007, selon Jana. Cette annonce du régime libyen a été reprise par la télévision officielle.

La menace de Kadhafi intervient quelques heures après la rencontre prévue jeudi matin entre Nicolas Sarkozy et le Conseil national de transition (CNT) libyen, qui regroupe l'opposition au régime du colonel Kadhafi. Une rencontre au cours de laquelle la France a reconnu la résistance libyenne comme "seul représentant légitime du peuple."

Alors que Nicolas Sarkozy proposerait à l'UE des frappes aériennes ciblées en Libye, le dirigeant libyen envisage de rompre ses relations diplomatiques avec la France.

lundi 7 mars 2011

Faible tremblement de terre dimanche soir en Creuse

Tandis que la détonation entendue ce matin en Haute-Vienne n'en finit pas d'alimenter les conversations, le tremblement de terre survenu hier dimanche en fin de journée au nord-est de La Souterraine (Creuse) est passé totalement inaperçu.

Et pourtant la terre a bel et bien tremblé, peu - magnitude de 2,3 - mais elle a tremblé selon le Réseau national de surveillance sismique basé à Strasbourg.

dimanche 6 mars 2011

Le site des anciennes mines d'or de Budelière dans la Creuse, contaminé par de l'arsenic, est en cours de dépollution.

Les mines du Chatelet réhabilitées - Centrefrance
Le site des anciennes mines d'or de Budelière dans la Creuse, contaminé par de l'arsenic, est en cours de dépollution. - Philippe ROBERT -

Après Leclerc, le désert commercial ?

Des élus du sud de l'agglomération veulent mener une fronde contre la fermeture annoncée du Leclerc de la route d'Évaux. Ils craignent une « désertification commerciale » du secteur.

Ils sont entrés en resistance contre la fermeture du magasin Leclerc de la route d'Évaux-les-Bains. Des élus de Lignerolles, Prémilhat et Teillet-Argenty (*) se sont réunis mardi soir, pour echaffauder un plan d'action en commun.

1. La sutuation. En septembre 2009, la Commission départementale d'aménagement commercial (CDAC) a donné son feu vert pour la construction d'un nouveau Centre Leclerc de 8.500 mètres carrés, sur la zone de Châteaugay (lire ci-dessous), à Domérat. Son ouverture doit avoir lieu à l'horizon septembre 2012. Du coup, le magasin de la route d'Évaux-les-Bains, où s'approvisionnent les habitants de la périphérie sud de Montluçon, est condamné.

2. Vers un désert commercial au sud ? C'est la crainte des élus réunis mardi soir. « Les services de première nécessité s'éloignent de plus en plus des habitants de la périphérie sud, s'inquiètaient les élus de Lignerolles, dans une délibération prise au mois de janvier. Le déséquilibre amorcé ne contribuera-t-il pas à les pénaliser encore plus ? » Une fois le Leclerc de la route d'Évaux-les-Bains fermé, les habitants de la zone sud « n'auront plus le choix », pense Mireille Schurch, maire de Lignerolles. « Ils seront forcés d'aller à Auchan », pronostique André-Maxime Gérinier, maire de Teillet-Argenty. « C'est un non-sens écologique, poursuit Mireille Schurch. Sans compter que l'implantation d'un nouveau magasin à proximité d'un grand axe (la RN145, NDLR) et très loin des habitations va à l'encontre de la politique de développement du commerce de proximité. »

3A la place de Leclerc, des « rumeurs ». Selon Mireille Schurch, « rien de concret » n'a été envisagé pour remplacer le Leclerc de la route d'Évaux. Le directeur de l'enseigne aurait « pris des engagements » auprès de Daniel Dugléry (lire ci-dessous), le président de la communauté d'agglomération, pour que le magasin ne devienne pas une friche. Des « rumeurs » circulent sur son avenir : celle de l'implantation d'une marque de hard-discount ou d'un magasin de bricolage, notamment. Mireille Schurch ne veut ni de l'un ni de l'autre : « Un hard-discount ? C'est mépriser nos populations. On mérite mieux que ça ! »

Les interdictions continuent et la liberté se rarifie....

Partout dans le monde, un vent de prohibition souffle sur le tabac. Certains, en France, voudraient interdire la cigarette sur la voie publique.

Le tabac peut-il casser sa pipe? En tout cas, l’idée d’une élimination définitive de la cigarette est en train de faire son chemin. La Finlande vient d’entrer dans un processus d’éradication par la loi de la cigarette, en punissant de six mois de prison la vente ou le don de tabac à un mineur. De l’autre côté de l’Atlantique, New York traque les fumeurs, au point que plus personne n’ose s’en griller une à Central Park ou Times Square.

Le seul moyen de faire chuter la consommationUne idée qui paraît difficile à réaliser David Douillet n’en veut plus dans les parcs d’attractionsLe seul moyen de faire chuter la consommationOn respecte moins la loi anti-tabac

Des sanctions jamais appliquées

En France, l’écrivain et économiste Jacques Attali pense qu’il faut prohiber le tabac, mais qui payera les taxes pour faire vivre la royauté....

Mais le vent de prohibition qui souffle sur la cigarette peut-il sérieusement atteindre la France, pays de fumeurs mythiques comme Serge Gainsbourg? La plupart des médecins jugent l’idée simpliste. « 90% des cigarettes sont fumées par des personnes qui ont perdu leur liberté, des drogués, note le pneumologue Bertrand Dautzengerg. Et c’est bien pour cela qu’il faut les aider à arrêter, ce qui prend du temps… »
Les plus fervents acteurs de la lutte antitabac, jugent, eux, l’idée « intéressante » et trouvent « bien d’avoir lancé le débat » note Gérard Audureau, président de Droit des non-fumeurs. En matière de tabac, l’expérience a montré, que seules les mesures drastiques sont efficaces.
Entre 2003 et 2004, quand les prix ont grimpé de 40%, cela s’est traduit par une baisse de 30% des cigarettes vendues dans notre pays. Et tous les spécialistes déplorent aujourd’hui un retour en force du laxisme, lié au fait que les sanctions prévues par la loi antitabac de 2008 n’ont jamais été réellement appliquées.
« Même les médecins se remettent à fumer à l’hôpital », bouillonne le docteur Anne Borgne, tabacologue à Jean-Verdier, à Bondy (93). Et puis il y a cette sérieuse étude de la banque américaine Citigroup, qui prévoit que le tabac va peu à peu disparaître, faute de consommateurs, d’ici quarante ans. Jacques Attali, selon un dernier message posté sur son blog, estime que les pouvoirs publics doivent « annoncer que, au plus tard dans quinze ans, quoi qu’il arrive, la production, l’importation et la consommation de tabac seront interdites ».

Coup de tonnerre sur la présidentielle ? Marine le Pen en tête des sondages ....

A prévoir ou prévu, La monté du parti de Marine Le pen prend des ailes. Il fallait si attendre, la gauche ne présente personne et surtout rien de concrêt que des flashs de législatures.

ce matin sur France Inter, nadine Morano (UMP), se disait scandalisée par ce sondage, lorsque que les sondages sont en leur faveur tout va bien...

Alors "la droite", bougez vous, il vous reste une année pour redresser la barre avant le coup de froid qu'elle à mis en route en INTERDISANT, PONCTIONNANT A TOUT VA, le français de "base", nous va! on en a marre de payer, payer et encore payer. A esperer que le pire n'est pas a venir. Alors bouger vous avant que le cyclone ne dévaste tout notre systeme.

LE PARISIEN :

Selon un sondage réalisé par l'institut Harris Interactive pour «le Parisien» -«Aujourd'hui en France» à paraître ce dimanche, Marine Le Pen arrive en tête des intentions de vote au premier tour de la présidentielle avec 23%. Elle devance Nicolas Sarkozy et Martine Aubry, crédités tous deux de 21%.
La patronne du FN se féliciteAubry attaque Sarkozy. Un coup de semonce pour l'UMP2012 : Sarkozy perdrait face aux quatre ténors socialistes .

Si le premier tour du scrutin se déroulait dimanche prochain, le scénario du 21 avril 2002 serait même dépassé. Jean-Marie Le Pen était arrivé en seconde position au premier tour après Jacques Chirac et devant Lionel Jospin.

Bayrou crédité de 8%, Villepin et Joly de 7%

Dans cette enquête, le président du MoDem, François Bayrou, arrive en quatrième position des intentions de vote (8%), suivi au coude à coude par l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin, qui a rendu sa carte de l'UMP, et l'eurodéputée Europe Ecologie-Les Verst Eva Joly, crédités de 7%. Olivier Besancenot (LCR) et Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche) obtiennent 5%.

Sur le terrain, le capital sympathie de l'héritière du FN progresse

La nouvelle présidente du Front national, qui a succédé à son père mi-janvier et annoncé, dans la foulée, qu'elle se sentait légitime à représenter le FN dans la course à l'Elysée, avance ses pions depuis des semaines, séduisant de plus en plus parmi les classes populaires.

Sur le terrain, l'héritière de Jean-Marie Le Pen «passe bien», son capital sympathie augmente. Ainsi au salon de l'Agriculture, sa visite a-t-elle été très suivie, et ne s'est pas accompagnée des remarques désobligeantes habituelles. Elle semble bénéficier d'une actualité politique dense, voire cacophonique : à la démission de Michèle Alliot-Marie sur fond de révolution tunisienne, se sont ajoutés le débat sur la laïcité, qui se concentre sur la place de l'islam en France, et l'inquiétude de vagues d'immigration du Maghreb vers l'Europe et la France.

Ce sondage devrait en tout cas renforcer ceux qui, à droite, jugent dangereux que la majorité présidentielle lance tous azimuts ces discussions, destinées à couper l'herbe sous le pied des frontistes. Patrick Devedjian par exemple, craint que le FN ne devienne «le centre de gravité» de ces débats.

Enquête réalisée en ligne par l'institut Harris Interactive du 28 février au 3 mars 2011. Echantillon de 1618 individus issus de l’access panel Harris Interactive, représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle de l’interviewé et taille d’agglomération et vote au premier tour de l’élection présidentielle de 2007.

jeudi 3 mars 2011

Cantonales en Creuse

Cantonales à Aubusson : Des élections sans beaucoup de suspens.

Le canton apparaît plus fidèle à la gauche que la commune d'Aubusson, connue jusqu'à une période récente pour son instabilité politique. Peu de maires réussissaient en effet à enchaîner deux mandats.

À l'échelon cantonal, depuis l'après-guerre, seul le Dr Jean Mazetier, créateur de la clinique de La Croix-Blanche et « patron » de l'UDF départementale a réussi à écarter les socialistes des affaires cantonales pendant huit ans. Le canton se plaît à envoyer siéger à Guéret des notables. Le sénateur Paul Pauly, maire d'Aubusson de 1965 à 1973, s'est offert le luxe de représenter le canton pendant 28 ans mais aussi de présider le Conseil général de 1946 à 1973. Le Dr Victor Pakomoff lui a succédé pendant sept ans. Puis est enfin venu le tour d'une femme, Jacqueline Defemme-Verdier, vice-présidente du Conseil régional. Elle a trouvé, en 2004, un successeur en la personne du jeune maire d'Aubusson, élu en 2001. Depuis, Michel Moine s'est forgé une personnalité politique, tout en étant relativement marginalisé au sein du PS creusois, Il cherche aujourd'hui à étendre son influence en misant sur le redécoupage intercommunal en projet. Ce fidèle d'Arnaud de Montbourg est déjà parvenu à conforter son influence au niveau du canton. Ainsi, les dernières élections municipales l'ont vu facilement l'emporter à Aubusson alors que ses proches s'imposaient dans plusieurs communes. Il a ainsi réussi à faire taire les oppositions qui agitaient jusqu'alors la Com-com Aubusson-Felletin. La mairie de Saint-Amand échappe encore à son influence mais son maire, Jean Marie Le Guiader (UDF) qui s'est contenté d'un maigre 3,68 % au premier tour des cantonales de 2004, a renoncé, cette année, à se présenter. Jean-François Ruinaud, le maire de Néoux, en devenant vice-président de la com-com, a cessé de faire entendre sa différence. Lui aussi s'était présenté aux cantonales en 2004 mais il avait seulement recueilli 6,34 % des voix.

Michel Moine n'a plus guère d'opposition locale, que ce soit à la mairie ou à la com-com. Pierrette Legros, ancien maire UMP de Saint-Avit-de-Tardes, l'a affronté aux dernières municipales. Elle peine depuis à faire entendre sa voix à la tête d'une opposition qui accumule les démissions et les absences. Pierrette Legros retrouve, ce mois de mars, Michel Moine en qualité de remplaçante de Claude Teyton, ancien maire adjoint de Pierre-Henri Bos. Claude Teyton qui ne fait pas mystère de ses sympathies politiques (ami de J. Auclair), se présente pourtant comme indépendant. Il rencontre sur son chemin Jean-Marie Massias, lui aussi adjoint de P.-H. B. Son ex-colistier, devenu DVD fait équipe avec Laurence Chevreux, premier adjoint de la commune de Saint-Amand. Mathieu Charvillat (MODEM) incarne la jeunesse. Michel Moine qui fait équipe avec Vivette Le Hellaye pourra compter, au second tour, sur l'apport de Claudine Léporati (Creuse Terre de Gauche), membre de son équipe municipale et son ancienne adjointe aux sports.

mercredi 23 février 2011

CREUSE - Un séisme de magnitude 2,4 sur la commune de Moutiers-Malcard

Il y a très peu de chances que les habitants de la commune de Moutiers-Malcard, au nord-est de Guéret, l'aient ressenti, mais un séisme de magnitude 2,4 s'y est bel et bien produit hier soir.

Pour le Réseau national de surveillance sismique, basé à Strasblourg, aucun doute : la terre a tremblé pendant plus de 30 secondes, vers 23h00, à 5 km de profondeur dans la croûte terrestre.

Un kilo de résine et 160 plants de cannabis saisis , deux résidents d'Evaux interpellé

Suite à un accident de la circulation, les gendarmes de l'est de la Creuse ont découvert un kilo de résine de cannabis puis 160 plants en culture dans un hangar.

«La lutte contre le trafic de stupéfiants est l’une de nos priorités et les résultats sont déjà là ». Le procureur de la République de Guéret, Olivier Querard, affiche sa satisfaction alors qu’une deuxième affaire de trafic de cannabis vient d’être révélée en Creuse, quelques jours après des interpellations à La Souterraine, en Haute-Vienne et dans l’Indre

Mardi 1er février, à 23 h 20, les gendarmes de Gouzon interviennent sur un accident de la circulation à Chambon-sur-Voueize : un véhicule a percuté un portail et un muret. Le conducteur s’est enfui, mais son passager, « handicapé dans ses mouvements suite à une récente opération chirurgicale », est toujours dans la voiture. Un pompier inspectant celle-ci découvre alors dix savonnettes de résine de cannabis (un total de 960 g) sous le siège du passager.

Mercredi 2 février, le conducteur, un homme d’une vingtaine d’années déjà connu de la justice pour trafic de stupéfiants, est interpellé à Montluçon. Durant sa garde à vue, il reconnaît avoir acheté les dix savonnettes pour les revendre. Mais ne livre pas le nom de son fournisseur.

Vendredi 4 février, les gendarmes (*) procèdent à une dizaine d’interpellations dans les Combrailles, dont deux personnes d’Évaux-les-Bains reconnaissant participer à un trafic de résine, mais aussi d’herbe.
Dimanche 6 février, le fournisseur d’herbe, « un homme d’une quarantaine d’années » est identifié et une perquisition est effectuée à son domicile, « dans une commune des Combrailles ». Dans un hangar entièrement équipé, les gendarmes découvrent 160 plants de cannabis en cours de culture. Soit, selon le procureur, « 16 kg d’herbe une fois la récolte à terme pour une valeur de 80.000 ? à la revente ». Selon nos informations, ce fournisseur serait un ressortissant anglais.

Au terme des gardes à vue, le conducteur du véhicule et le fournisseur d’herbe ont été présentés au procureur de la République puis écroués en attente de leur passage devant le tribunal correctionnel, « afin de permettre aux investigations de se poursuivre ».

Le procureur indique enfin que « dans ces affaires de trafic de stupéfiants, de nouvelles dispositions facilitent la saisie d’avoirs criminels, s’il s’avère que des investissements ont été faits avec l’argent de la drogue ».

La Fête de l'amitié de l'école Jeanne d'Arc à Evaux les bains

mardi 8 février 2011

La campagne des cantonales peine à s'enclencher en creuse

Quarante jours nous séparent du premier tour des cantonales le 20 mars prochain, et force est de constater que la campagne peine à démarrer.


Pas ou peu d'affiches électorales sur les murs, très peu de réunions publiques, des candidats introuvables, il est bien difficile de s'imaginer, à moins de huit semaines du premier tour de scrutin, que la Creuse est en campagne des cantonales.

De fait, plusieurs raisons peuvent expliquer ce démarrage poussif des hostilités. La première, et sans doute la plus importante, c'est que ces cantonales ne présentent a priori guère d'enjeu : le 27 mars, au soir du second tour, le Conseil général de la Creuse devrait conserver sa majorité de gauche face à une droite locale fébrile cherchant par tous les moyens à se différencier d'une UMP empêtrée dans des difficultés en tous genres au plan national.

Autre explication, les difficultés que semblent rencontrer les partis politiques à trouver des candidats. Un phénomène qui n'épargne pas la droite creusoise incapable d'en trouver un sur le canton de Guéret Sud-Est et sur celui de Gentioux qu'elle a pourtant détenu il n'y a pas si longtemps que ça.

Mais ce sont les écologistes d'Europe-Écologie-Les Verts qui visiblement peinent le plus : ils n'ont pour l'heure que deux candidats déclarés alors qu'ils affichent depuis longtemps leur volonté d'en présenter sur tous les cantons.

Du côté du Front national, on a moins d'ambition mais pour l'instant également pas l'ombre d'un candidat malgré les efforts des amis de Marine Le Pen d'en recruter via Internet.

Parfois, les mouvements politiques ont bien annoncé des candidatures mais sans les remplaçant(e)s exigé(e)s par la loi au nom de la parité. Difficile dans ces cas-là, il est vrai, d'entrer en campagne. En attendant, les mouvements politiques creusois ne donnent pas, dans leur ensemble, une leçon de parité : sur les 39 candidats déclarés sur les 13 cantons renouvelables, on ne compte que six candidates !

Au total, ce lent démarrage des hostilités sur le terrain ne milite pas pour une mobilisation importante des électeurs les 20 et 27 mars prochains. Rappelons que la participation globale en Creuse avait frôlé les 70 % lors du précédent scrutin sur les mêmes cantons en 2004.

En attendant, malgré une campagne encore en stand-by, on peut d'ores et déjà relever quelques situations originales dans quelques cantons.

Sur Guéret Sud-Est, l'absence d'un candidat de droite va indéniablement profiter au candidat du MoDem Éric Daubechies mais pourrait également gonfler le score d'un candidat FN... s'il y en a un, ce qui n'est pas le cas jusqu'à présent. Sur ce canton, la question est de savoir si Guy Avizou (PS) rééditera son exploit d'être élu au premier tour comme en 2004 face à sept candidats.

Sur Ahun, Jean-Claude Trunde (PS) rééditera-t-il lui aussi son score de 2004 qui avait obligé Jean Auclair à un second tour ? La réponse à cette question tiendra à la capacité du député-maire de Cressat de mobiliser l'électorat de droite.

Sur Le Grand-Bourg, on pourrait assister à un duel des Fursac entre Thierry Dufour, maire de Saint-Pierre, candidat de Creuse Terre de gauche, et Michel Monnet, maire de Saint-Etienne, candidat divers droite sans étiquette.

Enfin, sur Saint-Sulpice-les-Champs, qui, du candidat socialiste Jean-Hubert Filleyssant appelé à la rescousse après le coup de sang de Michel Conchon, ou de Patrick Aubert, le divers gauche se réclamant de l'héritage Delprato, conservera le canton à la gauche?

La Montagne

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