Les maires des communes rurales étaient réunis vendredi après-midi à Quimper.
Ils étaient une centaine à défiler dans les rues de Quimper hier. Pour alerter les candidats aux législatives sur les différences de traitement entre grandes et petites communes.
Une centaine d'élus et de maires ruraux ont défilé vendredi après-midi dans les rues de Quimper pour défendre les territoires ruraux. Ils dénoncent les inégalités de traitement entre les communes rurales et urbaines. « La dotation globale de fonctionnement (DGF) est de 64 € par habitant dans les petites communes et de 128 € pour les villes », signale Nadine Kersaudy, maire de Cléden-Cap-Sizun et présidente de l'association des maires ruraux dans le Finistère.
« Dans certains cas, nous sommes traités comme les grandes villes et pour la DGF, il y a deux poids deux mesures », fait remarquer Raymond Messager, maire de Landudal. Les maires manifestaient aussi pour exprimer leur ras-le-bol face aux difficultés qu'ils rencontrent, tous les jours, pour maintenir les médecins, les pharmacies, les petits commerces et les services de proximité dans leur village.
« Dans certains cas, nous sommes traités comme les grandes villes et pour la DGF, il y a deux poids deux mesures », fait remarquer Raymond Messager, maire de Landudal. Les maires manifestaient aussi pour exprimer leur ras-le-bol face aux difficultés qu'ils rencontrent, tous les jours, pour maintenir les médecins, les pharmacies, les petits commerces et les services de proximité dans leur village.