Sylvie Brabant est tombée, toute jeune et paradoxalement par hasard, dans le monde des jeux, plus précisément des casinos. Originaire du Nord, son bac en poche, elle voulait faire carrière dans l'armée. Le destin en a décidé tout autrement. Isidore Partouche venait de créer son groupe éponyme et d'acheter son tout premier casino, celui de Saint-Amand-les-Eaux dans le Nord, chez Sylvie. La jeune femme a postulé pour y travailler quelques jours « Cela fait maintenant 32 ans que je fais partie du groupe Partouche. C'est certain, j'y ai connu toutes les peines et toutes les joies. Pour moi c'est une grande famille que je ne quitterai jamais. Isidore Partouche, fondateur du groupe, est un très grand patron. C'est mon mentor, mon coach. Jamais je ne le quitterai ». Fidèle, Sylvie est également, à l'image des Chtis, une femme dynamique et sympathique qui s'appuie sur ses racines pour réussir son avenir: « Toujours à Saint-Amand-les-Eaux, j'ai vécu en 2004, la naissance du premier bébé de l'Européenne. Cette année-là, le groupe Partouche est en effet devenu le premier groupe européen de casinos ».
Direction le casino de la Tremblade qui venait d'être créé de toutes piècesLa roue a ensuite tourné. Sylvie, toujours accompagnée de son mari Jean-Michel, a jeté les dès, direction l'Atlantique : « En 2006, j'ai pris la direction du casino de La Tremblade, plus précisément de Ronce-les-Bains, qui venait d'être créé de toutes pièces ». Loin de son Nord natal, le couple Brabant découvre alors une région qu'il ne connaissait pas du tout. Et surtout un nouveau casino : « En vérité nous avons passé le plus clair de notre temps dans notre établissement. La plage était à portée de main, mais nous avons dû y aller deux ou trois fois »
Un poste de directeur à Évaux-les-BainsQuelques années plus tard, Sylvie reçoit un coup de téléphone : « Il y a un poste de directeur au casino d'Évaux-les-Bains, dans la Creuse J'ai dit à mon mari, prépare tes valises, nous partons ». Vers de nouvelles aventures car, hormis quelques jours de vacances passés à Guéret il y a bien longtemps, Sylvie et Jean-Michel sont partis, en ce début d'année 2011, vers une destination inconnue: « Dès que j'ai découvert le casino d'Évaux, que j'ai vu ces beaux espaces, son décor délicieusement colonial, j'ai compris que j'étais devant un magnifique challenge ». Toujours poussée par le vent du Nord, Sylvie a rapidement pris ses repaires : « Avec les Thermes et le centre Evahona, il y a un réel potentiel à Evaux, même s'il manque un hôtel en hiver. Quant au casino, c'est un bel outil qu'il faut encore développer. C'est un bijou qu'il faut faire briller ». Avec Sylvie, Jean-Michel à ses côtés, il n'y a pas de soucis à se faire pour l'unique casino du Limousin
la montagne
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