lundi 12 septembre 2011

Jean-Marie Le Pen a lui aussi décider de porter plainte contre l'avocat Robert Bourgi.

  Le fondateur du Front national a dénoncé des propos "ridicules", ajoutant que les propos de l'avocat étaient "téléguidés" par le chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy.
 
Conseiller officieux pour l'Afrique du président français , Robert Bourgi a créé une onde de choc qui éclabousse une bonne partie de la classe politique française en accusant l'ancien président et , alors secrétaire général de l'Elysée, d'avoir bénéficié de financements occultes de la part de chefs d'Etat africains.
  
 «M. Jean-Marie Le Pen a été reçu par le président Bongo et le président Bongo a financé la campagne électorale de M. Jean-Marie Le Pen en 1988», a ainsi affirmé Robert Bourgi lors d'un entretien accordé à BFMTV lundi soir, citant l'ex-président du Gabon. Sur le plateau du «Grand journal» de Canal + lundi soir, M. Bourgi a également mis en cause deux «intermédiaires» supposés dans ces versements. «Les deux intermédiaires à ce moment-là étaient deux officiers parachutistes qui ont servi en Algérie avec Jean-Marie Le Pen dans les années 1950, le général Martin et le colonel Bettencourt», a-t-il dit, les présentant comme le «chef» et le «numéro 2» de la garde présidentielle de M. Bongo.

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