Avec une augmentation de 10% de la fréquentation dans les services d'urgence, la baisse des effectifs et toute une montagne de paperasse, les urgentistes règlent de nombreuses pathologies dans l'urgence. Après les erreurs que l'on à bien voulu nous communiquez, en voici encore une non communiquée.
histoire récente.
Un jeune homme se présente dimanche aux urgences de montluçon pour une banale " foulure" au mollet. Après une très très rapide coup d'oeil, on le renvoi chez lui et pratiquement sans soins. "cela n'est pas grave", on ne dérange pas les urgences pour si peu, lui à t'on répondu.
Le lendemain , toujours une douleur lancinante qui pousse ses parents à changer de centre. Direction la clinique Saint François et là, ce n'est pas le même dialogue. Une visite sommaire conduira l'infirmière à faire passer un scanner "de routine" et là surprise, le scanner fera apparaître une vertèbre fracturée. Une semaine d'assistance sera nécessaire et quinze jours de repos forcé.
Voila une histoire banale parmi beaucoup d'autres "non communiquée". Mais que se passe t'il dans les hôpitaux public ? On soigne ou en rentabilise ?
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