La Marche Nordique aux Thermes c'est tous les mercredis soit à 10h15 soit à 15h (selon la semaine)
- blog privé informatif et infos nationales. Infos, météo, emploi, bourses , locales et nationales - Rédacteur : Dominique Bellet (DOM)
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jeudi 4 septembre 2014
mercredi 3 septembre 2014
Que risquent les maires qui refusent d’appliquer la réforme des rythmes scolaires ?
Vont-ils être envoyés au piquet ? Des maires pourraient faire obstacle à l'ouverture des écoles de leur commune mercredi 3 septembre pour protester contre l'application de la réforme des rythmes scolaires, au lendemain de la rentrée des classes.
L'ex-ministre de l'Education nationale, Benoît Hamon, avait promis l'"intransigeance totale" vis-à-vis des élus qui s'engageraient dans cette voie. Sa successeur, Najat Vallaud-Belkacem, nommée mardi 27 août, se montre ferme dans plusieurs interviews, dimanche 31 août et lundi 1er septembre. "Si des maires ne font pas respecter la loi, les préfets le feront à leur place", prévient-elle.
Mais les maires peuvent-ils mettre leurs menaces à exécution ? Dans les faits, pas vraiment, car leur rôle est de faire appliquer la loi. Les communes ont la possibilité d'émettre des propositions, de formuler des avis, voire de modifier, à la marge, les horaires d'entrée et de sortie de classe fixés par l'Etat. Mais seul le directeur académique des services de l'Education nationale reste compétent pour l'organisation de la semaine scolaire des écoles primaires.
Des délibérations jugées illégales
Des maires opposés à la réforme ont, toutefois, cherché à contourner cette règle, afin de ne pas appliquer la réforme. Levallois-Perret et Asnières (Hauts-de-Seine), Colmar et sept autres petites communes du Haut-Rhin... En juin, ces municipalités ont pris des délibérations pour maintenir une semaine scolaire sur quatre journées. Mais la justice administrative, saisie par les préfets des départements concernés, a suspendu toutes les délibérations, jugées illégales.
Malgré cela, le 27 août, le maire socialiste de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) espérait encore ne pas appliquer la réforme. A son tour, il est menacé par le préfet d'une saisie du tribunal administratif pour cette décision.
Au final, les maires n'ont pas le choix : ils doivent respecter le décret du 24 janvier 2013, qui modifie les rythmes scolaires, dit "décret Peillon". Ils ont l'obligation d'ouvrir les écoles maternelles et élémentaires neuf demi-journées à partir du 2 septembre. Par conséquent, ceux qui n'ont pas proposé de nouveaux horaires seront dans l'illégalité et s'exposent à des sanctions.
Amendes, prison... ou intervention des CRS
Et la punition risque d'être sévère. Les maires récalcitrants peuvent être condamnés à payer des amendes, voire à des peines de prison. "Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique, agissant dans l'exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l'exécution de la loi est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende", stipule le code pénal.
Ils risquent aussi d'être suspendus ou révoqués, d'après le code général des collectivités territoriales, rappelle Valérie Piau, avocate en droit de l'éducation interrogée par 20 Minutes.
Ces élus frondeurs s'exposent aussi à des poursuites pour atteinte à la sécurité des enfants. En effet, les parents peuvent engager un recours pour préjudice à la scolarité de leur enfant, si ces derniers ne peuvent aller à l'école comme prévu. Les maires récalcitrants pourraient alors être condamnés à verser des indemnisations.
Et si un maire décide de tout de même de fermer une école mercredi 3 septembre, la préfecture peut aller jusqu'à demander l'ouverture avec le concours de la force publique. Dans ce cas, les CRS pourraient intervenir.
Concours de pétanque en triplettes à EVAUX LES BAINS le 06 septembre 2014
Concours de pétanque en triplettes à EVAUX LES BAINS 2014
Lieu : Évaux-les-Bains
du 6 septembre 2014, 14:00 au 6 septembre 2014, 17:00Adresse : rue Léo Lagrange 23110 Évaux-les-Bains
Tel : 05 55 65 57 62
14h00 à la maison des jeunes
mardi 2 septembre 2014
Gym Evahona, le sport continue
L'association Gym evahona a tenu son assemblée générale à la Maison des jeunes, en présence de Nicolas Simonnet, président de la Communauté de communes Evaux-Chambon, Bruno Papineau, maire d'Évaux, et Gérard Steiner, conseiller municipal chargé de la commission des sports.
Les bilans moral, d'activités et financier de l'année 2013-2014 ont été adoptés à l'unanimité. Le bureau n'a subi aucun remaniement.
Reprisedes cours
le 8 septembre
La fermeture de la piscine, annoncée pour le 31 août, met en difficulté l'association, qui doit réduire de manière drastique ses propositions d'activités pour 2014-2015.
La reprise des cours se fera le 8 septembre. Ils seront tous dispensés à Évaux. Les prévisions : lundi, de 15 h 30 à 16 h 30, gymnastique d'entretien ; de 17 h 45 à 20 h 45, yoga. Mardi, de 18 h 30 à 19 h 30, renforcement musculaire. Mercredi, de 9 h 30 à 10 h 30, renforcement musculaire ; de 10 h 30 à 11 h 30, pilates. Jeudi, de 19 h 15 à 20 h 15, step ou body-pump ou circuit training.
Le montant de l'adhésion, permettant de participer à tous les cours, est fixé à 130 €, pour l'année.
Les inscriptions auront lieu en septembre, auprès de chaque animatrice.
Liliane Guiard, secrétaire, Sylvie Saintigny, trésorière et Stéphanie Saintigny, trésorière adjointe, demeurent toutes les trois dans leurs fonctions. Les deux coprésidentes travaillent déjà aux projets pour l'année 2012-2013.
Les activitésse poursuivent
Gym Evahona compte plus de 230 adhérents et 8 animateurs diplômés et salariés. Le planning de l'association propose une quinzaine d'heures de cours hebdomadaires, sur quatre sites de pratique différents (la piscine, le dojo, la Maison des jeunes à Evaux, ainsi que la salle polyvalente de St Julien-la-Genête).
Rentrée scolaire 2014, les rythmes scolaires à Evaux les bains
La réforme des rythmes scolaires, généralisée cette année à toutes les écoles publiques, est considérée comme "une mauvaise chose" par 60% des Français, mais la loi c'est la loi le précise la toute nouvelle ministre Najat Vallaud-Belkacem.
Alors que de très nombreuses tentions se profilent en France à Evaux les bains, tout est "en place et gratuit", afin de respecter la législature nous confit Delphine Bouamrane, la directrice de l'association AGIR située à la maison des jeunes 5 rue Léo Lagrange à Evaux les bains.
Demain matin, mercredi, les écoliers de l'école publique se rendront à l'école contrairement à l'école Jeanne d'Arc qui n'appliquera pas cette réforme. C'est une loi a deux vitesses qui à été politiquement voté, confit un parent d'élève qui se dirigait en direction de l'école privée avec l'intention de changer son enfant d'école.
Cette réforme aurait déjà eu un impact certain sur le changement d'école de quelques enfants, il ne faudrait pas que cette "loi" divise l'entente très cordiale des ces deux écoles.
Après une année de transition qui a permit de prendre quelques repères nous confit la directrice, l'association Agir et les petits filous accueilleront les écoliers deux après midi par semaine. Nous sommes chargé de faire la coordination administrative du dispositif périscolaire et nous faisons intervenir deux animateurs en collaboration avec l'accueil des Petits filous (2 animateurs) poursuit'elle en précisant que toutes les demandes administratives relatives à ces rythmes scolaires sont à la disposition des parents à l'association à Evaux les bains.
Nous ne pouvons pas faire de miracles, nous ne disposons que d'une heure par semaine pour préparer ces animations, c'est avec ce temps record que nous devons réaliser des activités de qualité et surtout qu'ils ne coûtent pas cher. Il est à savoir que la formule actuelle coûte actuellement près de 18 000€ à la ville d'Evaux les bains.
Alors que de très nombreuses tentions se profilent en France à Evaux les bains, tout est "en place et gratuit", afin de respecter la législature nous confit Delphine Bouamrane, la directrice de l'association AGIR située à la maison des jeunes 5 rue Léo Lagrange à Evaux les bains.
Demain matin, mercredi, les écoliers de l'école publique se rendront à l'école contrairement à l'école Jeanne d'Arc qui n'appliquera pas cette réforme. C'est une loi a deux vitesses qui à été politiquement voté, confit un parent d'élève qui se dirigait en direction de l'école privée avec l'intention de changer son enfant d'école.
Cette réforme aurait déjà eu un impact certain sur le changement d'école de quelques enfants, il ne faudrait pas que cette "loi" divise l'entente très cordiale des ces deux écoles.
Madame Delphine Bouamrane Directrice de l'association Agir à Evaux les bains |
Nous ne pouvons pas faire de miracles, nous ne disposons que d'une heure par semaine pour préparer ces animations, c'est avec ce temps record que nous devons réaliser des activités de qualité et surtout qu'ils ne coûtent pas cher. Il est à savoir que la formule actuelle coûte actuellement près de 18 000€ à la ville d'Evaux les bains.
L'association AGIR, une équipe de 7 salariés permanents. Delphine Bouamrane directrice, Florence Rollin, coordonatrice activité périscolaire et JustineVincent animatrice périscolaire. |
lundi 1 septembre 2014
Evaux les bains, une longue histoire d'eaux
Epoque gallo-romaine
Evaux doit son nom à la divinité gauloise « Ivaos ». Un établissement thermal assez important est
construit en 40 avant notre ère, à l’emplacement des thermes actuels. Il était alimenté par une
quarantaine de sources. Ce quadrilatère de cinquante mètres de côté comportait une cour centrale, 4
piscines rectangulaires, une piscine circulaire et des baignoires. Son décor se composait de placages de
porphyre, marbre et serpentine sur les murs, de mosaïques sur les voûtes. Au IIIe siècle, un incendie
provoque de graves dégâts sur l’établissement. Un éboulement de la falaise Est recouvre ensuite la
moitié du site.
Les vestiges gallo-romains ne seront signalés qu’en 1806 par Baraillon. Une piscine romaine est
découverte en 1833 à l’occasion des travaux de nivellement du terrain destiné à accueillir le futur
établissement thermal. Plusieurs campagnes de fouilles sont menées vers 1838-1847, à l’occasion de la
construction des nouveaux thermes. Des vestiges sont exhumés, mais la restauration des constructions
découvertes est négligée. Une grande partie des thermes romains est détruite. De nouvelles fouilles
sont conduites lors de la démolition des Bains Desglaudes en 1852, puis des Bains d’en Haut en 1858.
Deux vestiges romains sont laissés au jour. Une petite partie du mur de la galerie couverte reliant les
thermes au forum est visible le long de l’avenue thermale. Une piscine circulaire, située au sud des
thermes, est alimentée en eau thermale afin de cultiver une algue ayant la propriété de cicatriser la
peau.
XVIIIe siècle - Des bassins aménagés dans des caves
La station thermale semble être tombée dans l’oubli durant plusieurs siècles. En 1518, le chanoine
Pierre Foulchery de Saint-Etienne de Limoges évoque la présence de bains d’eau chaude qui « sortait
de terre comme si elle avait passé par le feu. » En 1698, l’intendant Le Vayer atteste qu’il n’existe
aucun édifice public. Les seuls bassins sont formés par les rochers qui l’environnent.
Les terrains où coulent les sources appartiennent alors aux chanoines de l’ordre des « Augustins ». Les
religieux aménagent dans des caves quelques bassins destinés à soigner les indigents. A aucun
moment, ils n’envisagent d’investir dans une construction plus coûteuse.
Quelques établissements de bains très modestes sont alors construits par des particuliers. Ils sont
constitués de bassins aménagés dans des caves de maisons. Des ventes multiples et des occupations
illicites permettent à trois d’entre eux de devenir propriétaires des lieux. Avant la Révolution, le
« Village des Bains » comporte les « Bains d’en haut », alimentés par le puits César, et les « Bains
d’en Bas », utilisant le grand bassin. En 1769, un troisième établissement est créé par Desglaudes qui
détourne une partie des eaux alimentant le grand bassin.
XIXe siècle - Création d’une station thermale
Ainsi que l’atteste Joseph Jouilleton en 1815, les eaux thermales semblent attirer quelques
« étrangers » dès le début du XIXe siècle.
La station prend son essor en 1831, lors de la constitution de la première société d’exploitation des
eaux, composée d’Evahoniens, bourgeois, propriétaires, rentiers et commerçants. Le nouvel
établissement est construit à l’emplacement des Bains d’en Bas (1838 à 1847). Il est désormais le seul
à fonctionner. Les bains Desglaudes sont détruits en 1852, les Bains d’en Haut en 1858.
En 1854, d’importants changements politiques entraînent la dissolution de la première société de
bains. L’établissement thermal est racheté en 1861 par Nicolas Picaud.
en savoir plus : Cliquer
Evaux doit son nom à la divinité gauloise « Ivaos ». Un établissement thermal assez important est
construit en 40 avant notre ère, à l’emplacement des thermes actuels. Il était alimenté par une
quarantaine de sources. Ce quadrilatère de cinquante mètres de côté comportait une cour centrale, 4
piscines rectangulaires, une piscine circulaire et des baignoires. Son décor se composait de placages de
porphyre, marbre et serpentine sur les murs, de mosaïques sur les voûtes. Au IIIe siècle, un incendie
provoque de graves dégâts sur l’établissement. Un éboulement de la falaise Est recouvre ensuite la
moitié du site.
Les vestiges gallo-romains ne seront signalés qu’en 1806 par Baraillon. Une piscine romaine est
découverte en 1833 à l’occasion des travaux de nivellement du terrain destiné à accueillir le futur
établissement thermal. Plusieurs campagnes de fouilles sont menées vers 1838-1847, à l’occasion de la
construction des nouveaux thermes. Des vestiges sont exhumés, mais la restauration des constructions
découvertes est négligée. Une grande partie des thermes romains est détruite. De nouvelles fouilles
sont conduites lors de la démolition des Bains Desglaudes en 1852, puis des Bains d’en Haut en 1858.
Deux vestiges romains sont laissés au jour. Une petite partie du mur de la galerie couverte reliant les
thermes au forum est visible le long de l’avenue thermale. Une piscine circulaire, située au sud des
thermes, est alimentée en eau thermale afin de cultiver une algue ayant la propriété de cicatriser la
peau.
XVIIIe siècle - Des bassins aménagés dans des caves
La station thermale semble être tombée dans l’oubli durant plusieurs siècles. En 1518, le chanoine
Pierre Foulchery de Saint-Etienne de Limoges évoque la présence de bains d’eau chaude qui « sortait
de terre comme si elle avait passé par le feu. » En 1698, l’intendant Le Vayer atteste qu’il n’existe
aucun édifice public. Les seuls bassins sont formés par les rochers qui l’environnent.
Les terrains où coulent les sources appartiennent alors aux chanoines de l’ordre des « Augustins ». Les
religieux aménagent dans des caves quelques bassins destinés à soigner les indigents. A aucun
moment, ils n’envisagent d’investir dans une construction plus coûteuse.
Quelques établissements de bains très modestes sont alors construits par des particuliers. Ils sont
constitués de bassins aménagés dans des caves de maisons. Des ventes multiples et des occupations
illicites permettent à trois d’entre eux de devenir propriétaires des lieux. Avant la Révolution, le
« Village des Bains » comporte les « Bains d’en haut », alimentés par le puits César, et les « Bains
d’en Bas », utilisant le grand bassin. En 1769, un troisième établissement est créé par Desglaudes qui
détourne une partie des eaux alimentant le grand bassin.
XIXe siècle - Création d’une station thermale
Ainsi que l’atteste Joseph Jouilleton en 1815, les eaux thermales semblent attirer quelques
« étrangers » dès le début du XIXe siècle.
La station prend son essor en 1831, lors de la constitution de la première société d’exploitation des
eaux, composée d’Evahoniens, bourgeois, propriétaires, rentiers et commerçants. Le nouvel
établissement est construit à l’emplacement des Bains d’en Bas (1838 à 1847). Il est désormais le seul
à fonctionner. Les bains Desglaudes sont détruits en 1852, les Bains d’en Haut en 1858.
En 1854, d’importants changements politiques entraînent la dissolution de la première société de
bains. L’établissement thermal est racheté en 1861 par Nicolas Picaud.
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Réhabilitation et extension de la piscine intercommunale d'evaux-les-bains
La réhabilitation et extension de la piscine intercommunale d'evaux-les-bains est commencée depuis ce dimanche 31 aout pour une durée de dix mois. La réouverture est prévue l'été prochain.
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Une fête où il y en avait pour tout le monde
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La Com-com ne renouvelle pas certains CDD
Lu 303 foisPour diminuer son budget de fonctionnement, la Com-com Évaux-Chambon ne renouvellera pas plusieurs CDD. Au grand dam de la CGT. Voici les explications du président de la Com-com.
vendredi 29 août 2014
Cette année la Fête du pain, du vin et des fromages à Evaux les bains
Cette année aura lieu le 14 septembre
au champs Avel à Evaux les bains
au champs Avel à Evaux les bains
(cette vidéo date de 2013)
COURSE CYCLISTE DES TOQUES BLANCHES le 13 septembre à Evaux les bains
Le Cyclo-Club des Toques Blanches a été créé le 19 Mars 1993. La majorité des membres travaillent ou ont travaillé en restauration.Guy LEGAY, ancien chef des cuisines du Ritz, en est le Président au côté de quelques grands noms : Antoine WESTERMAN (le Buerehiesel à Strasbourg), Pascal FAYET (le Sormani), Noël GUTRIN au Futuroscope, Jacques ZADJ (la Bonne Marmite 77) Jean SABINE, chef des cuisines du ministère des Affaires Etrangères, etc
CLUB CYCLISTE DES TOQUES BLANCHES
Site internet : http://cctb.free.fr
(Engagements à l’avance pour les clubs qui paient pour leurs adhérents – 10% avant 04/05)
Bébé disparu dans la Creuse : les éléments pour déclencher une alerte enlèvement
Un bébé de quatre mois a disparu, mercredi 27 août, dans la Creuse. Les parents racontent avoir vu un homme s'enfuir avec leur enfant, alors qu'ils étaient sur une aire de jeux. De son côté, le procureur chargé de retrouver l'enfant, explique "croire les parents", mais procéder à de fines analyses de tous les éléments.
En quoi consiste une alerte enlèvement ?
Malgré le témoignage des parents, l'alerte enlèvement n'a pas encore été déclenchée. Ce dispositif, mis en place depuis février 2006, permet de diffuser très rapidement auprès de la population"des informations précises relatives à l'enlèvement", explique le site du gouvernement.
Ce dispositif, qui jusqu'à présent s'est révélé efficace dans tous les cas en permettant de retrouver les enfants enlevés, est largement inspiré du plan "Amber Alert", créé au Texas en 1996, après l'enlèvement et l'assassinat de la petite Amber Hagerman.
Ce dispositif, qui jusqu'à présent s'est révélé efficace dans tous les cas en permettant de retrouver les enfants enlevés, est largement inspiré du plan "Amber Alert", créé au Texas en 1996, après l'enlèvement et l'assassinat de la petite Amber Hagerman.
Quelles sont les critères requis ?
La décision de mettre en place une alerte enlèvement revient au procureur, qui est en étroite concertation avec les enquêteurs et le ministère de la Justice. Quatre critères doivent être réunis afin de lancer ce dispositif.
Tout d'abord, il doit s'agir d'un enlèvement avéré et non d'une simple disparition, même inquiétante. La vie ou l'intégrité physique de la victime doit être en danger. Le procureur de la République est en possession d'éléments dont la diffusion peut permettre de localiser l'enfant ou le suspect. Et la victime doit être mineure, précise le site du gouvernement.
L'accord des parents est aussi nécessaire pour mettre en place ce système.
Tout d'abord, il doit s'agir d'un enlèvement avéré et non d'une simple disparition, même inquiétante. La vie ou l'intégrité physique de la victime doit être en danger. Le procureur de la République est en possession d'éléments dont la diffusion peut permettre de localiser l'enfant ou le suspect. Et la victime doit être mineure, précise le site du gouvernement.
L'accord des parents est aussi nécessaire pour mettre en place ce système.
Comment est diffusé le message ?
Un message d'alerte sera ensuite diffusé pendant trois heures sur les radios, chaînes de télévision, agences de presse et lieux publics. Un numéro est en même temps communiqué, ce qui permet à des témoins potentiels d'aviser immédiatement les autorités, de toutes informations utiles à la localisation de la victime ou du suspect.
jeudi 28 août 2014
Horlogerie bijouterie Mayen à Evaux les bains
Horlogerie bijouterie Mayen située en centre ville à Evaux les bains dans la creuse, vous présente son activité. Réalisation D.Bellet@2013
Sur les pas de Saint Marien, 1500 ans de l'histoire d'Evaux
Court métrage en commémoration des 1500 ans de l'ermite Saint Marien protecteur des eaux et de la terre. De Bourges, Boussac, Chambon sur Voueize à Evaux, que de récit sur l'ermite qui deviendra un saint homme.
Court métrage de 8 minutes réalisé et monté par D.Bellet @apca2013
Un bébé de 4 mois porté disparu dans l'est de la Creuse
Un bébé de 4 mois porté disparu dans l'est de la Creuse
Plusieurs dizaines de gendarmes recherchent un bébé aux alentours de Chénérailles. Ses parents ont signalé sa disparition ce mercredi soir. L'enquête explore toutes les pistes.
mercredi 27 août 2014
Il était un fois, la RCEA
La nationale 145 traverse d’est en ouest tout le département de la Creuse sur une centaine de kilomètres. Cette route n’a cependant pas toujours été ce long “fleuve” tranquille qui, aujourd’hui, draine des milliers de véhicules.
Avant qu’elle ne soit transformée en Route Centre-Europe-Atlantique en deux fois deux voies à partir des années 1980, la 145 était une route à double sens, sinueuse et dangereuse.
La nationale 145 traversait tous les bourgs
Et, pour aller de Guéret à Limoges ou Montluçon, c’était une véritable expédition.
À cette époque, la nationale traversait tous les bourgs, aujourd’hui écartés de son chemin. En direction de la Haute-Vienne, il fallait passer par Saint-Vaury, La Souterraine… Dans l’autre sens, Ajain, Gouzon… Pour atteindre Limoges, il fallait compter plus de deux heures ; plus d’une heure pour aller à Montluçon. Dans le meilleur des cas, car les accidents étaient légion. Non seulement la vitesse n’était pas limitée mais il était également très dangereux de doubler les véhicules. De fait, les virages du Pont-à-La-Dauge, à l’ouest de Guéret, et ceux du Mouchetard, à l’est, étaient des pièges souvent mortels.
Et, pour aller de Guéret à Limoges ou Montluçon, c’était une véritable expédition.
À cette époque, la nationale traversait tous les bourgs, aujourd’hui écartés de son chemin. En direction de la Haute-Vienne, il fallait passer par Saint-Vaury, La Souterraine… Dans l’autre sens, Ajain, Gouzon… Pour atteindre Limoges, il fallait compter plus de deux heures ; plus d’une heure pour aller à Montluçon. Dans le meilleur des cas, car les accidents étaient légion. Non seulement la vitesse n’était pas limitée mais il était également très dangereux de doubler les véhicules. De fait, les virages du Pont-à-La-Dauge, à l’ouest de Guéret, et ceux du Mouchetard, à l’est, étaient des pièges souvent mortels.
Autant d’accidents, synonymes de centaines de blessés et de morts par dizaines qui ont finalement incité à faire des travaux afin que ce ruban de mort devienne un axe sécurisé pouvant écouler des véhicules circulant sur cet axe reliant l’est de la France et le nord de l’Europe à la façade Atlantique.
Pourtant, malgré l’importance de l’enjeu humain, sans parler du plan économique, il aura fallu beaucoup de patience et encore pas mal de morts et de blessés pour que la 145 devienne dans sa traversée creusoise, l’actuelle route Centre-Europe-Atlantique, entièrement à deux fois deux voies.
Les premiers coups de pioche ont été donnés dans les années 1980, entre Guéret et la limite de la Haute-Vienne. Si beaucoup espéraient alors que le changement allait être pour bientôt, ce ne fut pas du tout le cas. Comme les financements tombaient à doses homéopathiques, il aura fallu plus de 20 ans, et la création d’un comité de défense de la RCEA, la Route Centre-Europe-Atlantique, composé d’élus de tous bords pour que l’espoir devienne enfin réalité.
Depuis près de dix ans en deux fois deux voies
Depuis une dizaine d’années à peine la 145 de la Creuse est désormais en deux fois deux voies. Non seulement les accidents mortels sont, et enfin, devenus très rares, le nombre de blessés a également diminué. Du coup, cette Creuse que l’on disait alors géographiquement enclavée est maintenant idéalement placée au centre de la France, à quelques heures de Paris, aux portes de la Haute-Vienne et de son autoroute A20, ou du Bourbonnais et de son autoroute A71.
Depuis une dizaine d’années à peine la 145 de la Creuse est désormais en deux fois deux voies. Non seulement les accidents mortels sont, et enfin, devenus très rares, le nombre de blessés a également diminué. Du coup, cette Creuse que l’on disait alors géographiquement enclavée est maintenant idéalement placée au centre de la France, à quelques heures de Paris, aux portes de la Haute-Vienne et de son autoroute A20, ou du Bourbonnais et de son autoroute A71.
Mieux, alors que le trafic s’y fait de plus en plus dense, sa gratuité entraîne une augmentation constante du nombre de voitures, surtout de poids lourds venant de la zone ibérique et, dans l’autre sens, des pays de l’est et du nord de l’Europe, la sécurité y est maximale.
Entre les radars fixes et les radars tronçons implantés sur son parcours, les radars mobiles et autres jumelles, avec la voiture banalisée de la gendarmerie qui flashe aussi bien à l’arrêt qu’en roulant, tout est mis en œuvre pour que ce tronçon de 145 creusois soit un long fleuve tranquille où il fait également bon se reposer en profitant des plusieurs aires de repos, dont celle des Monts de Guéret.
(info : source : "Le Populaire.fr Creuse")
Entre les radars fixes et les radars tronçons implantés sur son parcours, les radars mobiles et autres jumelles, avec la voiture banalisée de la gendarmerie qui flashe aussi bien à l’arrêt qu’en roulant, tout est mis en œuvre pour que ce tronçon de 145 creusois soit un long fleuve tranquille où il fait également bon se reposer en profitant des plusieurs aires de repos, dont celle des Monts de Guéret.
(info : source : "Le Populaire.fr Creuse")
23 SEPTEMBRE : ARRIVÉE DU NOUVEAU BILLET DE 10 EUROS
23 SEPTEMBRE : ARRIVÉE DU NOUVEAU BILLET DE 10 EUROS
Dévoilé en janvier dernier, le nouveau billet de 10 euros arrive dans notre porte-monnaie le 23 septembre.
Durée de vie allongée, protection renforcée contre la contrefaçon... ce billet de 10 euros bénéficie à son tour (après celui de 5 euros en 2013) des dernières avancées technologiques.
Durée de vie allongée, protection renforcée contre la contrefaçon... ce billet de 10 euros bénéficie à son tour (après celui de 5 euros en 2013) des dernières avancées technologiques.
On y retrouve les signes de sécurité : hologramme et filigrane à l'effigie d'Europe, personnage de la mythologie grecque, chiffre 10 changeant de couleur (du vert émeraude au bleu profond avec un effet de lumière) selon l'inclinaison...
Les anciens billets seront progressivement et naturellement retirés de la circulation.
IL Y A 70 ANS, GUÉRET ÉTAIT LIBÉRÉE
IL Y A 70 ANS, GUÉRET ÉTAIT LIBÉRÉE
Près d’une centaine de personnes se sont rassemblées lundi en fin de matinée au Mémorial de la Résistance pour commémorer le 70e anniversaire de la libération de Guéret.
Henri Guilloton, président de l’UDAC (Union Départementale des Anciens Combattants) et Elisabeth Pierrot, présidente départementale de la fondation pour la mémoire de la déportation, ont rappelé devant l’assistance l'histoire riche et renversante de la Résistance et du combat contre l'ennemi nazi dans le département.
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