Prochainement lors du conseil municipal, à Evaux les bains, une décision certainement "très politique" sera à l'ordre du jour. Ecole ou pas école le mercredi dès la rentrée prochaine...
Un débat houleux se profile au sein du conseil.
La semaine à 4 jours et demi en septembre prochain pour moins d'un quart des écoliers et près d'une commune sur cinq en France.
Les 24.502 communes françaises ayant une école au moins ont rendu leur avis . Elles avaient jusqu'au 31 mars minuit pour dire si elles choisissaient 2013 ou 2014 pour passer à la semaine de quatre jours et demi, en Auvergne et en Creuse quelques communes n'ont encore pas répondu.
L'Inspection académique attend encore quelques retours, il faudra donc patienter pour connaître le nombre définitif de communes qui ont choisi de mettre en place les nouveaux rythmes scolaires dès septembre prochain.
Selon une enquête du SNUipp-FSU - principal syndicat du primaire - dévoilée mardi 2 avril, le retour à la semaine de quatre jours et demi dès la rentrée prochaine concernera, en France, moins d'un quart des écoliers et près d'une commune sur cinq. Les disparités géographiques sont très fortes.
Selon le SNUipp-FSU, le retour à la semaine de quatre jours et demi dès la rentrée 2013 concernera 22,3% des écoliers, 22,5% des écoles et 18,6% des communes."Une majorité écrasante de communes ont finalement préféré le report à 2014", s'est réjouit le principal syndicat du primaire qui militait pour ce report, jugeant la réforme "bricolée" en l'état.
Selon une enquête du SNUipp-FSU - principal syndicat du primaire - dévoilée mardi 2 avril, le retour à la semaine de quatre jours et demi dès la rentrée prochaine concernera, en France, moins d'un quart des écoliers et près d'une commune sur cinq. Les disparités géographiques sont très fortes.
Selon le SNUipp-FSU, le retour à la semaine de quatre jours et demi dès la rentrée 2013 concernera 22,3% des écoliers, 22,5% des écoles et 18,6% des communes."Une majorité écrasante de communes ont finalement préféré le report à 2014", s'est réjouit le principal syndicat du primaire qui militait pour ce report, jugeant la réforme "bricolée" en l'état.
