mercredi 14 juillet 2010

Nouvelle provocation de Kémi Seba : un centre de loisirs réservé aux enfants noirs

Kémi Seba, le représentant en France du mouvement New Black Panther Party (NBPP) et ancien leader du groupe Tribu Ka, nous a confirmé ce mardi qu'il compte ouvrir à Plaisir (Yvelines) à partir du 14 juillet, un centre de loisirs destinés aux enfants noirs.

«Un mercredi par semaine, entre 10 heures et 17 h 30, ces enfants de 4 à 14 ans suivront des activités, feront des sorties comme dans un centre aéré, explique Kémi Seba.

Mais les éducateurs et les parents sympathisants qui les encadreront mettront l'accent sur l'histoire du peuple noir et feront référence aux valeurs de la négritude ou aborderont le problème du racisme.»

Pour l'heure, ce centre de loisirs n'a pas de statut officiel ni de siège et aucune demande n'a été formulée auprès des autorités pour une activité d'accueil des enfants. «Ça ressemble plus à des rendez-vous entre amis qu'à un centre de loisirs, réagit le maire de Plaisir, Joël Regnault (UMP). De toute façon, si jamais cela devait se faire sur la place publique, je bloquerai tout. Je ne supporte pas ces associations qui surfent sur le racisme.»

Kémi Seba a déjà été condamné plusieurs fois et la Tribu Ka puis l'association Jeunesse Kemi Seba ont été dissoutes.

Nouvelle provocation de Kémi Seba : un centre de loisirs réservé aux enfants noirs

Kémi Seba, le représentant en France du mouvement New Black Panther Party (NBPP) et ancien leader du groupe Tribu Ka, nous a confirmé ce mardi qu'il compte ouvrir à Plaisir (Yvelines) à partir du 14 juillet, un centre de loisirs destinés aux enfants noirs.

«Un mercredi par semaine, entre 10 heures et 17 h 30, ces enfants de 4 à 14 ans suivront des activités, feront des sorties comme dans un centre aéré, explique Kémi Seba.

Mais les éducateurs et les parents sympathisants qui les encadreront mettront l'accent sur l'histoire du peuple noir et feront référence aux valeurs de la négritude ou aborderont le problème du racisme.»

Pour l'heure, ce centre de loisirs n'a pas de statut officiel ni de siège et aucune demande n'a été formulée auprès des autorités pour une activité d'accueil des enfants. «Ça ressemble plus à des rendez-vous entre amis qu'à un centre de loisirs, réagit le maire de Plaisir, Joël Regnault (UMP). De toute façon, si jamais cela devait se faire sur la place publique, je bloquerai tout. Je ne supporte pas ces associations qui surfent sur le racisme.»

Kémi Seba a déjà été condamné plusieurs fois et la Tribu Ka puis l'association Jeunesse Kemi Seba ont été dissoutes.

Assemblée nationale : l'interdiction du port du voile intégral adoptée

A une écrasante majorité, 335 voix contre une, les députés ont adopté mardi après-midi, en première lecture, le projet de loi visant à interdire le port du voile intégral dans l'espace public. L'ensemble des élus de droite (UMP et NC) ont approuvé le texte avec quelques élus de gauche.

La quasi-totalité de l'opposition (PS, PCF et Verts), tout en étant résolument opposée au port du niqab et de la burqa, a refusé de prendre part au vote. Le projet de loi doit encore être examiné en septembre au Sénat. Gouvernement et UMP misent sur un vote sans modification, qui entraînera son adoption définitive.

Une amende de 150 euros

Le texte de la garde des Sceaux, Michèle Alliot-Marie, largement inspiré d'une proposition de loi du patron des députés UMP Jean-François Copé, ne vise pas spécifiquement le voile intégral, mais prohibe «la dissimulation du visage». Il interdit de fait le port du niqab ou de la burqa dans tout l'espace public, sous peine d'une amende de 150 euros et/ou d'un stage de citoyenneté. Les sanctions entreront en vigueur au printemps 2011, après six mois de «pédagogie». Toute personne obligeant une femme à se voiler sera passible d'un an de prison et 30 000 euros d'amende, selon un nouveau délit qui entrera en vigueur, lui, sitôt la loi promulguée.

Le PS pour une interdiction circonscrite aux services publics et aux commerces

L'Assemblée a doublé ces peines quand la victime est mineure, sur une initiative du PS, qui a évolué sur ce dossier.

D'abord résolument hostile à légiférer sur un phénomène «marginal» - il concernerait environ 2 000 femmes, selon le gouvernement-, le Patri socialiste plaide désormais, en s'appuyant sur les réserves émises par le Conseil d'Etat, pour une interdiction circonscrite aux services publics et aux commerces. Donc pas dans la rue. Les socialistes mettent en garde contre une censure du Conseil constitutionnel ou au niveau européen, qui constituerait «une victoire pour les intégristes.

Jean-François Copé avait créé la surprise pendant les débats en annonçant la saisine des Sages, pari risqué mais qui vise à consolider la démarche de la majorité. Et enlève au passage un argument de poids au PS.

14 juillet : les Africains à l’honneur sur les Champs-Elysées

Il en a fallu du temps pour les mettre à l'honneur, messieurs les donneurs d'ordres...

« C’est nous les Africains qui revenons de loin… » Le célèbre chant militaire sera plus que d’actualité ce matin puisque les contingents de treize pays d’Afrique subsaharienne, qui furent des colonies françaises, ouvriront le défilé militaire en cette année qui marque sur fond de polémique (lire ci-contre) le cinquantenaire de leur indépendance en 1960.

Dès hier, les chefs d’Etat de ces pays ont été reçus à déjeuner à l’Elysée par Nicolas Sarkozy, qui les a bien entendu conviés à assister ce matin à la parade militaire à ses côtés dans la tribune présidentielle érigée place de la Concorde.
Deux grands absents cependant : l’Ivoirien Laurent Gbagbo qui, toujours en froid avec Paris, a décidé de boycotter cette invitation comme il avait boycotté le récent sommet France-Afrique, fin mai à Nice. Et le Malgache Andry Rajoelina qui, n’assumant qu’une présidence de transition sur la Grande Ile, n’a pas été jugé digne d’être invité, même si un contingent de Madagascar descendra bien les Champs-Elysées.

Près de 30 000 anciens combattants bénéficieront de la même retraite que leurs frères d’armes français

Le président français a profité de l’occasion pour annoncer la décision prise hier matin en Conseil des ministres de l’alignement des pensions de tous les anciens combattants résidant à l’étranger et qui pourront désormais « bénéficier des mêmes prestations de retraite que leurs frères d’armes français ». Une décision aussitôt saluée d'« historique » par le président malien Amadou Toumani Touré et qui devrait concerner quelque 30000 anciens combattants.

mardi 13 juillet 2010

ZORA-JEANNE en concert à Evaux les bains

Dans le cadre des rendez-vous du vendredi, l’Office de Tourisme d’Evaux-les-Bains vous propose un concert avec Zora-Jeanne le vendredi 23 juillet à 18h sous la halle de la Mairie (gratuit).
Auteur, compositeur, interprète, violoniste, c’est très rapidement que Zora-Jeanne oriente son jeu vers divers styles musicaux. En Allemagne, elle découvre le rock et se lance dans la composition de ses premiers titres. A travers ceux-ci, on reconnaît ses influences de musiques celtiques ou anciennes mais le moteur reste le rock, que ce soit dans des ambiances pesantes ou d’autres plus délirantes, avec un objectif premier : l’émotion.
Informations au 05 55 65 50 90

Office de Tourisme
Place Serge Cléret
23110 EVAUX-LES-BAINS
Tel : 05.55.65.50.90

"Voix d’été en Creuse"

Pour sa 25°édition, le festival "Voix d’été en Creuse" fait escale à Evaux-les-Bains où le Choeur du Merton College Oxford se produira le Mercredi 21 juillet, à 21h, en l’abbatiale Saint-Pierre Saint-Paul. Cette formation interprétera un répertoire couvrant près de cinq siècles de musique et de chants sacrés anglais.


Billets en vente à l’Office de Tourisme : 05 55 65 50 90

Tarif plein : 14€

Tarif réduit : 6€ (scolaires, étudiants, chômeurs, rmistes)

Tarif enfant moins de 10 ans : 1€



Office de Tourisme : Place Serge Cléret  - 23110 EVAUX-LES-BAINS  -  Tel : 05.55.65.50.90

Les estivales des granges à Evaux les bains

Les Estivales des granges au casino d'Evaux les bains, c'est parti pour une deuxième saison.Les jeudis (voir programme au casino) de juillet août, une plaiades d'artistes amateurs se produiront dans le parc du casino pour le plaisir de vous montrer leur talent. sous la houlette de monsieur Chauvet (directeur artistique, présentateur et chanteur de grand talent) et monsieur Sauvanet (directeur du casino), ce sera encore cette année d'excélents moments musicaux offerts gratuitement par le casino.  Ouvert à tous à partir de 20h30 les jeudis de juillet et août. Plus d'infos, au casino et à l'office de tourisme d'Evaux les bains.


La Fête nationale prendra, cette année, une saveur particulière, à Évaux-les-Bains. Ce 14 juillet verra en effet l'ouverture d'Évahona, le centre de remise en forme et de bien-être.





Évahona s'ajoute à l'établissement thermal et à l'hôtel thermal. Comme eux, il sera géré par une SEM présidée par François Radigon. Les cures médicales (rhumatologie, phébologie, gynécologie) demeurent bien entendu le fondement de l'activité par le biais de cures de 18 jours. Le centre de remise en forme accueillera les curistes le désirant mais aussi et surtout toute personne extérieure soucieuse de son bien être.



Évahona, au terme de travaux ayant débuté en août dernier et retardés par les intempéries hivernales, a pris place dans une aile du bâtiment principal autrefois utilisée par l'établissement thermal. Ses concepteurs offriront, dès ce mercredi, des locaux plaisants, à l'ambiance reposante.

lundi 12 juillet 2010

Sarkozy renouvelle sa confiance à Woerth et reste ferme sur les retraites

Après un mois de polémiques qui ont atteint le sommet de l'Etat, Nicolas Sarkozy espère, ce lundi soir sur France 2, parvenir à mettre un point final à l'affaire Bettencourt-Woerth et recentrer le débat sur les «problèmes de fond», à commencer par la réforme des retraites.

Pour sa première prestation en direct depuis le 25 janvier, le chef de l'Etat a été interrogé un peu plus d'une heure par David Pujadas, sur une terrasse des jardins de l'Elysée. Installé face à Nicolas Sarkozy, une table les séparant, le journaliste de France 2 a débuté l'entretien par le feuilleton Bettencourt, qui atteint de plein fouet le ministre du Travail, Eric Woerth, en charge de la réforme emblématique des retraites.

Voici les principales déclarations du chef de l'Etat :

«Eric Woerth sera le ministre qui défendra» la réforme des retraites. «Eric Woerth est un homme honnête, c'est un homme compétent, c'est un homme qui a toute ma confiance et celle du Premier ministre», a immédiat souligné le chef de l'Etat. «Il sera donc le ministre qui défendra cette réforme si nécessaire des retraites selon le calendrier qui était prévu».

Sarkozy mis en cause dans l'affaire Bettencourt : «Une honte». Emprunt d'une colère froide, Nicolas Sarkozy a jugé que c'était «une honte» de l'avoir accusé d'avoir «ramassé des enveloppes» d'argent chez Liliane Bettencourt, comme l'avait rapporté le site Médiapart citant des premières déclarations, démenties ensuite, de l'ex-comptable de la patronne de l'Oréal. Pour symbole de son honnêteté, il a rappelé : «Le seul président qui a fait rentrer la Cour des comptes à l'Elysée, c'est moi ! Et j'ai voulu nommer un député de l'opposition comme président» au décès de Philippe Séguin.

«Mon conseil, c'est plutôt que (Woerth) abandonne» ses fonctions de trésorier UMP. En revanche, pour couper court à toute polémique, il a «conseillé» à son ministre du Travail de quitter ses fonctions de trésorier de l'UMP afin qu'il se consacre «exclusivement» à la réforme des retraites. «Je lui ai dit que je souhaitais qu'il se consacre exclusivement à cette importante réforme des retraites, que son honneur maintenant était lavé, que les soupçons étaient levés, et que mon conseil c'est plutôt qu'il abandonne cette responsabilité de trésorier», a-t-il dit.

«Si j'avais été un homme d'argent, j'aurais fait une autre carrière». A ses détracteurs, le chef de l'Etat rétorque qu'il aurait fait «une autre carrière» s'il avait été «un homme d'argent», comme certains de ses opposants le dépeignent. «Qu'est-ce que c'est, depuis quelques semaines, que cette attitude vis à vis de l'argent ?», s'est-il interrogé. «J'entends des gens qui disent leur détestation de l'argent. Mon Dieu ! Je me méfie autant des gens qui idolâtrent l'argent que des gens qui le détestent. Cela revient aux mêmes choses. C'est un rapport malsain», a-t-il lancé.

Pas de remaniement avant la rentrée. Malgré les appels pressants de la gauche et de plusieurs ténors de sa propre majorité, Nicolas Sarkozy a confirmé que le remaniement ministériel aurait lieu en octobre après la réforme des retraites, ajoutant que ceux qui préconisaient une «équipe resserrée» avaient «raison».

«La retraite, je dis : les 62 ans, on n'y touche pas». Appelant à cesser de «perdre du temps avec la calomnie pour nous concentrer sur l'essentiel», le président a abordé dans le détail le sujet des retraites. Il a réaffirmé qu'il n'accepterait pas de revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 62 ans ni sur l'alignement des cotisations retraites public-privé : «La retraite (à) 62 ans, on n'y touche pas.» En revanche, il s'est dit ouvert sur le reste.

«Il faut cesser cette marche folle de l'augmentation d'impôts». Interrogé sur sa politique de réduction des déficits, le chef de l'Etat s'est refusé à employer ce terme «connoté en France», lui préférant l'adjectif «rigoureux». «Le mot rigueur, ça veut dire baisser les salaires, je ne le ferai pas, augmenter les impôts, je ne le ferai pas». «De tous les pays du monde, la France est celui qui taxe le plus les contribuables. La fiscalisation sur les plus riches est la plus importante», a-t-il martelé. «Ce qui ne me fait pas peur, c'est le mot rigoureux (...) Rigoureux ça veut dire qu'on revient à l'équilibre (des comptes publics, ndlr), je le ferai», a ajouté le chef de l'Etat, réaffirmant l'engagement de la France à ramener son déficit public à 3% du produit intérieur brut (PIB) en 2013, ce qui revient à un effort d'économies d'environ 100 milliards d'euros en trois ans.

Défense du bouclier fiscal... et de Liliane Bettencourt Quid du bouclier fiscal, notamment mis en cause dans l'affaire Bettencourt ? Pas question de le supprimer. «En France, le bouclier fiscal, ça signifie que personne ne paye plus de 50 % de son revenu. Si en France, on n'a plus personne ou investir et dépenser ?» a lancé le chef de l'Etat. Interrogé sur l'intérêt de maintenir ce dispositif contesté, qui permet à un contribuable de ne pas payer plus de 50% de ce qu'il gagne en impôts, le chef de l'Etat a évoqué le cas de Liliane Bettencourt, qui «paye plusieurs millions d'euros d'impôts par mois». «Mme Bettencourt, qui est propriétaire de L'Oréal, je souhaite qu'elle reste propriétaire de L'Oréal et que L'Oréal - 17 milliards de chiffre d'affaires, 64 000 employés - ne parte pas dans un autre pays», a expliqué Nicolas Sarkozy. «Parce qu'à ce moment, qui le paierait ? (...) c'est les employés qui perdraient leur emploi», a estimé le président de la République.

«Le visage désastreux» des Bleus. Interrogé sur le fait de savoir pourquoi il avait reçu Thierry Henry à son retour du Mondial le 24 juin, jour de mobilisation syndicale contre la réforme des retraites, Sarkozy a confirmé que c'est bien Thierry Henry qui avait demandé à le voir. «Pourquoi j'ai reçu Thierry Henry ? Il a porté le maillot de l'équipe de France 124 fois, dignement. Il a été le joueur qui a marqué le plus de buts pour l'équipe de France. Ca compte», a-t-il dit. Quant au «visage donné par l'équipe de France en Afrique du Sud... désastreux. J'ai dit : les responsables doivent partir. Ils sont partis. Ne les accablons pas. Les joueurs ne doivent pas toucher de primes. Ils n'ont pas touché de primes», a poursuivi le chef de l'Etat

Explosion en Seine-Maritime : la mère toujours ensevelie

Un pavillon de 40 m2 a explosé ce matin vers 10h45 dans la petite commune de Saint-Pierre Lès-Elbeuf (Seine-Maritime). Une mère et ses deux fils de 21 et 18 ans ont été ensevelis sous les décombres. Les secours, 77 sapeurs-pompiers et une équipe cynotechnique, ont délivré Harold, l'aîné des garçons, vers 12h30 et son frère Phocas vers 15 heures.

Tous deux ont été blessés dans l'accident, selon le maire de la commune, Patrice Desanglois. Leur mère, en revanche, n'avait toujours pas été retrouvée vers 16h30.

«Depuis ce matin, les gendarmes, les pompiers, les voisins... tout le monde est mobilisé, car la tâche est immense, souligne le maire de Saint-Pierre-lès-Elbeuf. Le pavillon n'est pas raccordé au gaz de ville. Mais les pompiers ont retrouvé deux bonbonnes, dont l'une éventrée. Elle a visiblement explosé et la maison s'est entièrement affaissée au niveau de la cave. Heureusement, les décombres forment des poches, qui ont permis aux enfants de respirer.»

Nouvelle bagarre dans l’enceinte du parc Astérix

Le célèbre parc Astérix, situé sur la petite commune de Plailly (Oise), a une nouvelle fois été le théâtre de violences hier en début d'après-midi. Aux alentours de treize heures, les gendarmes, qui, pendant l'été ouvrent une antenne à demeure dans l'enceinte du parc de loisirs où se pressent chaque année 1,8 million de visiteurs, sont alertés par des vigiles.

Devant les attractions « Goudurix » et « Tonnerre de Zeus », qui se font face, deux groupes d'une trentaine de jeunes sont en train de violemment s'opposer. D'un côté, une bande de copains originaires de Gisors (Eure), de l'autre, un groupe de jeunes venus en voisins du Val-d'Oise, dont beaucoup d'une cité de Villiers-le-Bel. « Certains ont tenté de resquiller dans la file d’une attraction, et cela n'a pas plu aux autres », résume une source proche de l'enquête. Le différend tourne vite à l'affrontement. Dans la bagarre, trois jeunes de Gisors sont blessés, dont un assez sévèrement à la mâchoire.
Hier soir, une petite dizaine de jeunes gens, dont deux mineurs, étaient toujours en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie d'Orry-la-Ville (Oise).
Les enquêteurs pourront compter sur les bandes de vidéosurveillance qui balayent l'ensemble du parc et du parking pour tirer au clair les responsabilités de chacun.
Fin mai, c'est une famille de Drouvin-le-Marais (Pas-de-Calais) qui avait été la cible d'un tabassage en règle par des jeunes venus des Ulis (Essonne). Trois d'entre eux, qui tentaient de doubler dans la file d'attente d'une attraction, n'avaient pas apprécié qu'un des fils de la famille calaisienne refuse de leur céder la place. Quelques instants plus tard, alors que parents et enfants pique-niquaient sur le parking, les trois jeunes des Ulis, accompagnés d'une quinzaine de comparses, avaient violemment tabassé le jeune homme sous le regard de ses parents, impuissants.
La direction du parc Astérix avait porté plainte, après celle de la famille victime. Deux des trois agresseurs, nés en 1990 et 1991, ont depuis été mis en examen pour « violences volontaires avec préméditation » et écroués.

La cité d'Huriel replonge dans le Moyen-Âge mercredi 14 juillet

La cité va faire un bond en arrière à travers les siècles et revivre au temps des Seigneurs d'Huriel. Mercredi 14 juillet, à partir de 12 heures, le donjon de la Toque revivra, le temps d'une journée, son passé de tour militaire défensive.

La Compagnie Franche du Forez prendra possession des lieux pour des démonstrations d'artillerie médiévale. Des tirs au canon seront donnés tout au long de la journée au pied de la Toque, dans le parc.

Pour ajouter au spectacle, il y aura la présentation du camp médiéval, des démonstrations de combats, des danses nobles et paysannes, des jongleurs et différents ateliers.

Le public découvrira ainsi l'art de la cuisine médiévale et les épices utilisées, mais aussi la broderie, la couture, l'écriture? La vie du soldat et celle du paysan seront également évoquées lors de cette journée médiévale. Tandis qu'un marché artisanal se tiendra sur la place de la Toque.

Pour le déjeuner, chacun pourra apporter son panier-repas pour participer au grand pique-nique dans le parc de la Toque, en compagnie des acteurs, tous costumés.

Parallèlement, l'exposition « Rêveries autour des jardins médiévaux » ouvrira ses portes. Quinze artistes s'exposent au donjon de la Toque, pour faire voyager les sens et l'imagination. Les curieux découvriront alors la Ménagerie des rois, la Dame à la licorne, le Verger d'amour, le Jardin des aromates?

Cette exposition sera ouverte du mercredi 14 juillet au dimanche 5 août, tous les jours de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures. Entrée gratuite.

Un maire de Creuse mort sous les roues d'un camion

Stupeur ce vendredi dans le canton de La Courtine, le maire de Saint-Oradoux-de-Chirouze, Pierre Salagnac, est décédé accidentellement sous les roues d'un camion, devant sa mairie.

L’émotion est grande, à Saint-Oradoux-de-Chirouze, et dans tout le canton de la Courtine, après le brutal décès, aujourd'hui, du maire Pierre Salagnac, âgé de 67 ans. L’élu a été happé sous les roues d’un camion qui man?uvrait pour quitter la mairie après avoir effectué sa livraison. Les sapeurs-pompiers locaux sont intervenus sur place mais n’ont pu porter secours à Pierre Salagnac, dont le décès a été constaté par un médecin de Giat, commune du Puy-de-Dôme toute proche.

Si les circonstances accidentelles de ce décès ne font aucun doute, les gendarmes de la brigade de La Courtine poursuivent leur enquête pour éclaircir les responsabilités dans ce drame, après l’audition, hier, du chauffeur du camion.

Pierre Salagnac, connu de très nombreux élus pour sa carrière de directeur général des services du Conseil général de la Creuse, était apprécié pour « ses connaissances, dont il faisait bénéficier les autres élus de la Com-com, sa force de caractère et son autorité », témoigne Lucien Mestat, maire de Magnat-l’Étrange. Impliqué auprès des associations de sa commune, notamment du comité des fêtes, Pierre Salagnac s’est également particulièrement investi sur le site de l’étang de la Méouze et siégeait au bureau du syndicat mixte gérant cette structure.

Les maires de Creuse ont voté des actions rompant avec l'État

C'est à l'unanimité, hier matin, que les maires et adjoints de la Creuse ont voté un plan d'actions de rupture avec l'État, de mobilisation de leurs administrés et de médiatisation hors Creuse pour exiger la réouverture du service de radiothérapie.

La grande salle de la mairie de Guéret avait, hier matin, des airs de Jeu de paume (1) tant l'atmosphère était « révolutionnaire ».

400 à 500 maires et adjoints étaient présents lors de cette assemblée générale extraordinaire de l'ADM (2).

De tout le département, de droite comme de gauche, ils ont réclamé la même chose : la réouverture du service de radiothérapie de l'hôpital de Guéret.

Sur ce seul ordre du jour, le bureau va avoir trois expressions, parcourant tout le champ politique : le président, Michel Vergnier (PS), les vice-présidents Pierre Brignolas (UMP) et Claude Guerrier (PCF).

Un bureau qui va présenter un plan d'actions avant de laisser la salle s'exprimer - et elle le fit avec énergie - et de voter un programme jamais vu en Creuse. Et peut-être ailleurs.

Dès lundi, les avocats de Michel Vergnier – agissant aussi pour l’ADM – déposeront un recours auprès de Conseil d’Etat pour faire casser la décision du président du tribunal administratif de Limoges qui, le 29 juin, a rejeté le référé en suspension de fermeture. Les avocats veulent arguer que le juge a rendu une décision sur le fond et non sur l’urgence. Voté à l’unanimité.

2. Prise de contact avec les élus de la Coordination des hôpitaux de proximité.


L’objectif est d’inscrire la Creuse dans un mouvement national des élus (à distinguer de l’action que les collectifs de services publics pourraient engager) sans perdre de vue que l’objectif reste creuso-creusois : la réouverture de la radiothérapie. Voté à l’unanimité.

3. Création d’une cellule de veille pour les patients.

Équipée, prochainement, d’un numéro vert, cette Cellule enregistrera les plaintes de tous les patients qui n’auront pas bénéficié dans un délai convenable – et indispensable à leur guérison – d’un traitement de radiothérapie.


Rappelons que l’idéal est de fournir, au moins trois semaines après la découverte d’un cancer, les rayons nécessaires.

La Cellule, composée de quatre maires, dont le président de l’ADM, Michel Vergnier ; du Dr Loufti et de René Jeansannetas, de la Ligue contre le cancer de la Creuse, et auquel devraient être invités à se joindre les Dr. Slaouti (CMN de Sainte-Feyre) et Capella (CH de Guéret) accompagnera ensuite les malades qui le souhaitent pour déposer une plainte auprès de la Cour de justice de la République (apte à juger les ministres) pour mise en danger de la vie d’autrui contre Roselyne Bachelot. Voté à l’unanimité.

4. Mobilisation des Creusois.

L’ADM va faire imprimer 100.000 cartes qui seront envoyées dans chaque chef-lieu de canton, charge à tous les maires et leur conseil municipaux de les faires remplir dans leur commune « jusque dans le plus petit hameau ».

L’objectif est d’au moins rassembler 50.000 signatures de Creusois avant le mois de septembre afin de les amener au ministère de la Santé. Il a aussi été décidé de créer un site Internet afin d’informer le plus largement possible sur le sujet de la radiothérapie, de sa fermeture et de l’action des maires, et d’inscrire l’adresse du site sur ces cartes. Voté à l’unanimité

5. Rupture avec l’État.

Les maires ont voté, après un débat qui a clairement mis à jour les risques que cela représente pour eux, la rupture avec l’État. Concrètement, ils ne siégeront plus – ni individuellement ni collectivement – dans aucune des réunions ou commissions appelées par le préfet, ils n’inviteront plus le préfet aux leurs, ne renverront plus des documents tels que les sondages ou enquêtes de l’État et n’expédieront plus leurs délibérations au contrôle de légalité en préfecture. « Attention, nous votons cela contre la préfecture, pas contre le préfet en tant qu’homme, pas contre Hugues Moutouh ». Mesure applicable jusqu’à ce que le service de radiothérapie rouvre. Voté à l’unanimité.

6. Banderoles.

Sur proposition de la salle, toutes les communes de la Creuse afficheront à l’entrée de leur bourg une banderole sur laquelle sera imprimée : « Pour la réouverture du service de radiothérapie de la Creuse ». Voté à l’unanimité moins 6 voix (la banderole est à la charge de la commune).

7. Démission collective.

Après plusieurs demandes de la salle, un ultimatum est lancé à l’État : si le service n’est pas rouvert en septembre, dans la deuxième quinzaine de ce mois, les maires tiendront une autre assemblée générale extraordinaire et mettront au vote une démission collective de tous leurs conseils municipaux. Voté à l’unanimité.

Yvelines : la gauche remporte la législative partielle de Rambouillet

La candidate de gauche Anny Poursinoff (Verts) a remporté, dimanche au second tour, la législative partielle de Rambouillet (Yvelines) avec 51,72% des suffrages face au sortant Jean-Frédéric Poisson (UMP), 48,28%, a annoncé la préfecture.

Au premier tour Anny Poursinoff (42,62%) avait devancé son rival UMP (40,71%). Ce dernier avait pris la succession de Christine Boutin lorsque celle-ci a renoncé à se représenter, il y a un an. Il avait alors été élu avec cinq voix d'écart au second tour. Le Conseil constitutionnel, saisi d'un contentieux en septembre 2009 sur le comptage des bulletins, avait ramené l'écart à une seule voix, entraînant l'invalidation du scrutin au mois de mai.

«Ca va changer. Je dédie cette victoire à tous les partis qui m'ont soutenue», a déclaré l'élue écologiste au terme de sa soirée électorale. Son adversaire lui a rendue hommage. Il a salué «un vote sans appel» tout en précisant que la gagnante devra choisir entre ses deux mandats de députée et de conseillère régionale. Anny Poursinoff a en effet pourfendu pendant toute sa campagne le cumul des mandats.

Aubry : «Un désavoeu pour Sarkozy»

La numéro un du PS, Martine Aubry, a estimé dimanche soir dans un communiqué que la victoire était «un désaveu très clair pour le président de la République et le gouvernement».

«Cette large victoire de la gauche unie et populaire dans une circonscription historiquement ancrée à droite exprime un désaveu très clair pour le président de la République et le gouvernement ainsi qu'un fort rejet du climat créé par les révélations et les affaires», a ajouté Mme Aubry.

Pour elle, «le pouvoir doit entendre le refus de sa politique, l'exaspération et l'attente de changement qui se sont exprimés ce (dimanche) soir».

«La gauche doit continuer dans la voie du rassemblement qui a permis de l'emporter lors de ce scrutin», a conclu Mme Aubry.

dimanche 11 juillet 2010

Affaire Bettencourt : l'administration fiscale blanchit Woerth

La sentence est tombée. Le rapport de l'Inspection générale des Finances (IGF) publié dimanche par le ministère du Budget conclut que le ministre du Travail Eric Woerth «n'est pas intervenu» dans le dossier fiscal de la milliardaire Liliane Bettencourt alors qu'il était en charge du Budget.

Le rapport est un élément de plus dans un dossier, l'affaire Woerth -Bettencourt, dense et complexe. L'administration fiscale siffle-t-elle pour autant la fin de la partie ? Ce n'est pas sûr tant les développements judiciaires s'annoncent nombreux cette semaine.

Pourquoi un rapport de l'IGF ?

Commandé par l'actuel Ministre du Budget François Baroin, ce rapport devait déterminer si Eric Woerth, lorsqu'il était titulaire du Budget, était intervenu dans la gestion du dossier de Liliane Bettencourt par le fisc. En effet, l'inspection des Finances est un corps chargé notamment de contrôler le fonctionnement de Bercy, pour «tout mettre sur la place publique».

Dans un communiqué, l'actuel ministre du Budget, François Baroin, précise que ce rapport est disponible sur le site du ministère comme il s'y était engagé.

Pour de nombreux élus UMP, dont un de ses porte-paroles Frédéric Lefebvre, le rapport était attendu comme un juge de paix, permettant d'avoir une vision définitive de l'affaire Woerth/Bettencourt. «Après tout le monde devra se taire», avait déclaré le député des Hauts-de-Seine.

C'est le chef de l'IGF lui-même, Jean Bassères, qui a été chargé personnellement de l'enquête. Dans l'opposition, si l'indépendance de Jean Bassères, classé à gauche, n'est pas remise en cause - «il a un vrai sens de l'Etat», affirme un cadre socialiste -, l'utilité de son rapport est relativisée par avance.

«Il est probable que l'IGF ne trouve aucun document écrit» avec des instructions d'Eric Woerth «pour lancer ou arrêter» un contrôle fiscal contre la milliardaire, estime ce responsable du PS. Mais cela ne permettra pas d'affirmer qu'il n'est pas intervenu par voie orale, directement ou par l'intermédiaire de son cabinet, ajoute-t-il.

VIVA ESPAGNA : L'Espagne est championne du monde

Campeones. Andres Iniesta a offert la Coupe du monde à l'Espagne d'une superbe frappe à bout portant dans la deuxième période de la prolongation. Les deux équipes n'étaient pas parvenues à se départager au terme du temps réglementaire (0-0).

La Roja a défié toutes les statistiques. En effet jamais une équipe n'avait été sacrée championne du monde après avoir perdu sa première rencontre dans le tournoi.

Ce fut le cas des hommes de Del Bosque contre la Suisse.

Les sélectionneurs des Pays-Bas et de l'Espagne ont décidé d'aligner des équipes sans surprise pour la 19e finale de la coupe du Monde. La première fois depuis 1978 où aucun ancien vainqueur n'est présent en finale. Ce qui signifie que le vainqueur décrochera sa première étoile et deviendra la seulement 8e nation a être sacrée.

La Furia Roja se présentera avec le même groupe qui a triomphé de l'Allemagne en demi-finales (1-0). Le jeune ailier Pedro est donc préféré à Fernando Torres, l'auteur du but de la finale de l'Euro 2008.
Le sélectionneur néerlandais Bert van Marwijk, qui peut compter sur un effectif au complet, est lui fidèle à son 4-2-3-1 animé en milieu de terrain par le terrible Wesley Sneijder.

Un Anglais en finale du Mondial : Howard Webb, l'arbitre

La Fifa défend ses arbitres. Alors que les téléspectateurs ont encore en mémoire le but refusé à l'anglais Lampard ou celui accordé en position de hors-jeu à l'argentin Tevez, la commission des arbitres de la Fédération affirme, étude à l'appui, que 96% des décisions prises lors de la compétition étaient les bonnes.

«Oui, il y a eu des erreurs, mais nous parlons de 62 matches !», a affirmé l'Espagnol José-Maria Garcia Aranda, chef des arbitres du Mondial, avant d'ajouer : «Et les erreurs ont été analysées pour faire mieux».

Pour la finale Espagne - Pays-Bas, la Fifa a pris des garanties en retenant celui qui apparaît comme le meilleur arbitre international actuel : l'anglais Howard Webb, 39 ans, policier dans la vie civile, qui avait déjà officié lors de la finale de la Ligue des Champions, entre l'Inter Milan et le Bayern Munich (2-0). Celui-ci a répondu aux questions de la presse samedi.

Que ressentez-vous à la veille du coup d'envoi ?

Howard webb : «Nous sommes comblés, c'est un honneur merveilleux et un privilège. Nous serons très fiers de montrer la qualité des arbitres en Angleterre. Mais pour l'instant, nous sommes surtout concentrés sur le match. Nous allons assurer. Evidemment, un bon match serait qu'on ne parle pas des arbitres mais de l'excellent match que ça a été.»

Votre femme dit que vous n'avez pas d'autorité sur vos enfants à la maison...

«Je vais parler à ma femme en rentrant... (rires) Elle a dit ça mais c'était une blague. C'est une femme merveilleuse, et je vous assure que nos enfants se comportent très bien. Mais nous sommes loin de la maison depuis six semaines...»

En Espagne, il y a des critiques sur votre arbitrage du premier match de groupe contre la Suisse, perdu 1-0...

«C'était un match propre, nous n'avons eu aucune difficulté, avec aucune des deux équipes. Et les deux finalistes sont fair-play, ils ont bonne réputation tous les deux, ils ont eu peu de problèmes disciplinaires.»

Cette attention médiatique est-elle inconfortable ?

«C'est la finale ! Nous sommes plus à l'aise sur le terrain, mais ça fait partie de l'ensemble, et nous avons d'excellentes relations avec les médias. Il y aura toujours des commentaires sur nos décisions, nous sommes habitués. Nous n'aimons pas toujours, mais nous comprenons le monde dans lequel nous vivons.»

Comment jugez-vous le niveau de l'arbitrage lors de ce tournoi ?

«Il faut souligner le grand nombre de décisions correctes (96% selon une étude de la Fifa). On ne peut pas savoir ce qu'une erreur a changé dans un match, et on ne le saura jamais, c'est impossible. Nous pouvons juste assumer si nous commettons une erreur, mais franchement, il y en a eu si peu... Les deux meilleures équipes ont atteint la finale, et ne le doivent pas à une décision d'arbitrage.»

FOOTBALL / COUPE DU MONDE

Michel Platini, président de l'Uefa, victime d'un malaise vendredi en début de soirée à Johannesburg, qui a entraîné son hospitalisation, est sorti ce matin de la Morningside Medi-Clinic, où il a passé la nuit en observation. , à l'avant-veille de la finale de la Coupe du monde.

«Tous les (résultats des) tests médicaux qu'il a passés étaient normaux et M.

Platini doit assister à la finale de la Coupe du monde dimanche à Soccer City», indique le communiqué conjoint de la Fifa et de l'Uefa. La Fifa avait précisé dès hier soir que les examens pratiqués n'avaient révélé «aucun signe d'attaque cardiaque».

C'est alors qu'il se trouvait dans un restaurant, le Pigalle Sandton, en compagnie de Gérard Houllier, directeur technique national, et de l'Ecossais Andy Roxburgh, directeur technique de l'Uefa, que l'ancien numéro 10 des Bleus, âgé de 55 ans, s'est évanoui. Selon plusieurs témoins, un client du restaurant a pratiqué un massage cardiaque, en attendant l'arrivée très rapide d'un médecin. «Il était à table avec cinq autres personnes, a expliqué le directeur du restaurant. Alors qu'ils avaient commencé à manger, il a dit qu'il ne se sentait pas bien, s'est levé et d'un coup s'est évanoui».

Selon un autre témoin présent sur les lieux, il n'aurait jamais perdu connaissance et irait «plutôt bien». Les examens médicaux ne laissent apparaître «aucun signe d'attaque cardiaque», selon un communiqué de la Fédération internationale de football (Fifa).

F1: Mark Webber remporte le Grand Prix de Grande-Bretagne

  L'Australien Mark Webber (Red Bull) a remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1, 10e manche de la saison, devant la McLaren-Mercedes du Britannique Lewis Hamilton et la Mercedes de l'Allemand Nico Rosberg, dimanche à Silverstone.

Sur ses terres, Lewis Hamilton s'est bien battu pour garder sa place de leader au classement du championnat du monde des pilotes.

Les Red Bull-Renault, Sebastian Vettel en pole et Webber juste derrière avaient monopolisé la première ligne après la séance chronométrée de samedi.

Mais au départ l'Australien a grillé la politesse à son coéquipier qui après deux gros écarts de trajectoire a bouclé le 1er tour en 24e positions perdant toutes ses chances de rivaliser avec Webber pour la victoire finale. Les relations entre les deux pilotes de l'écurie Reb Bull ont été très tendues tout le week-end après que samedi le team manager Christian Honner a décidé de donner à Vettel l'aileron avant de Webber, provoquant la colère de l'Australien. «Pas mal pour un deuxième pilote, non ?», a répondu Webber, dès la ligne d'arrivée franchie, à son team-manager qui le félicitait sur la radio de bord.