mercredi 23 septembre 2009

La place de l'hôtel d'Evaux les bains , place des arts !

Hier en fin d'après, ce tenait à l'initiative de l'association "Coup de pouce", la première exposition picturale au 15 de la place de l'hôtel de ville.

Un public nombreux avait répondu à l'invitation de madame Natashka Taï, présidente de l'association et Lyliane Laurent.

Une première exposition qui devrait donner le coup d'envoi d'une saison artistique pour la ville d'Evaux les bains.

La place de la mairie devient'elle " la place des arts"?

En effet alors que les commerces ferment, les lieux d'expos s'ouvrent. L'atelier du peintre DOM, la salle d'expo de Coup de pouce et la boutique de l'été de l'office de tourisme.

Un élan artistique à Evaux les bains sans élan d'encouragement. Une exposition grande par la qualité et la diversité mais qui suscite que peux d'intérêt au regard de la municipalité qui à brillée par son absence .

Hadopi 2 : la loi adoptée en CMP sans modification

7 députés et 7 sénateurs, réunis en commission mixte paritaire, ont validé 100% de la version Hadopi 2 adoptée par l'Assemblée nationale. Le vote définitif du Parlement serait bouclé le 22 septembre.

Après le vote solennel survenu à l’Assemblée nationale mardi 15 septembre, le projet de loi contre le téléchargement illégal sur Internet a été adopté dès mercredi en commission mixte paritaire (regroupant 7 députés et 7 sénateurs), qui s’est tenue au Sénat.

Selon les éléments fournis par Michel Thiollière, rapporteur UMP du texte au Sénat, c’est la version votée la veille par l’Assemblée nationale qui a été adoptée par la majorité UMP et centriste de la CMP. La gauche PS et PCF a voté contre. “Il n’y a pas eu de modifications”, selon le sénateur.

La prochaine étape sera le vote définitif du Parlement. Les sénateurs devront se prononcer le lundi 21 septembre. Les députés suivront le lendemain.

Rappelons que les parlementaires socialistes ont déjà annoncé leur intention de saisir le Conseil constitutionnel pour contester la loi Hadopi 2, comme cela avait été le cas pour Hadopi 1.

mardi 22 septembre 2009

la ville de Montluçon sur le pied de guerre

Pas grand monde dans les rues à Montluçon, à part les forces de l'ordre. hélicoptère, policiers à chaque carrefour. Tout est calme, il fait bon de rouler avec les 31° en ce premier jour d'automne.

Avant de céder le pupitre mardi après-midi à son collègue de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie a tenté, lundi, de rassurer les cadres de la gendarmerie réunis pour trois jours à Montluçon.

Sur le thème de « la lutte contre la délinquance », autour duquel 370 officiers généraux et supérieurs débattent jusqu'à demain soir à l'École de gendarmerie, la ministre de la Justice a promis que le projet de loi pénitentiaire (qui devrait être rédigé pour l'été 2010 a-t-elle annoncé) s'attaquerait à la question des 30.000 personnes condamnées chaque année dont les peines ne sont jamais exécutées. « C'est la crédibilité de la Justice et des forces de l'ordre, qui est en jeu ».

Pour y répondre, Michèle Alliot-Marie évoque le développement des peines d'intérêt général et des bracelets électroniques.

Michèle Alliot-Marie s'est également voulue tranquillisante sur l'extension des aménagements de peines, « dont seront exclus les récidivistes ». Là encore elle a indiqué que les travaux d'intérêt général et les bracelets électroniques pourraient s'appliquer aux personnes condamnées à une peine d'emprisonnement ferme de moins de deux ans (contre un actuellement).

Michèle Alliot-Marie, qui avait déjà fréquenté les Rencontres de Montluçon comme ministre de la Défense, puis ministre de l'Intérieur, s'est réjoui que la loi relative à la gendarmerie, votée le 3 août, ait « clarifié et conforté » les missions de la gendarmerie. En retour, elle a demandé aux militaires d'être exemplaires dans la clarté de leurs procédures : « veillez à la précision et à la qualité des informations que vous transmettez aux Parquets ».

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la saison des couleurs, l'automne

Aujourd'hui 22 septembre 2009, sonne l'heure de l'automne.
Une saison avec toutes ses couleurs, ses fruits, ses champignons, sa chasse (attention sur les routes), ses grèves, sa grippe A...

L'automne est l'une des quatre saisons des zones tempérées. Elle se place entre l'été et l'hiver.

Du point de vue astronomique, l'équinoxe d'automne (le 22 septembre dans l'hémisphère nord et le 21 mars dans l'hémisphère sud) devrait marquer le milieu de l'automne, et le solstice d'hiver (le 21 décembre dans l'hémisphère nord et le 21 juin dans l'hémisphère sud, c'est-à-dire le moment ou le soleil est au plus bas) devrait marquer le milieu de l'hiver.

Mais les températures journalières ne diminuent de façon marquée que plusieurs semaines après le 7 août (début astronomique théorique de l'automne), la terre et la mer mettant un certain temps à se refroidir.

Par conséquent, en météorologie, l'automne correspond aux mois de septembre, octobre et novembre dans l'hémisphère nord et de mars, avril et mai dans l'hémisphère sud.
Dans le calendrier républicain français, l'automne est la première saison de l'année et comprend les mois de vendémiaire, brumaire et frimaire. Ces "saisons" étaient toutefois decalées par rapport aux saisons météorologiques conventionnelles. La date officielle du début de l'automne peut varier selon les pays.

Les maçons de la Creuse

Après diverses conversations, je me suis rendu compte que de nombreuses personnes et notamment "les migrants, comme moi", ne connaissons pas l'histoire enrichissante et valorisante des maçons de la Creuse.

Dès la fin du Moyen-Âge, les ouvriers de la Creuse (maçons, charpentiers, tailleurs de pierre, tuiliers, plâtriers, peintres, serruriers...) partaient à pied sur les routes de France, notamment vers Paris, Lyon, Bordeaux, La Rochelle.
Ils partaient au printemps et revenaient avant l'hiver. Les conditions de vie et de travail étaient rudes. Ils participèrent à la construction des cathédrales (Notre Dame de Paris), des palais (Palais des Papes à Avignon), des hôtels, des maisons.
À partir de 1850, ils s'instruisent et participent aux luttes politiques.

Un peu d'histoire.

Dans toutes les communes du département de la Creuse, beaucoup d'hommes partaient tous les ans dans les grandes villes de France sur les chantiers du bâtiment et des travaux publics pour se faire embaucher comme maçon, charpentier, couvreur...
C'est ainsi qu'ils participent à tous les grands chantiers de bâtiment et des travaux publics à travers la France. En 1627, M. de Pompadour, lieutenant général du Limousin, envoie, à la demande de Louis XIII, des maçons creusois travailler à la construction de la Digue de Richelieu de La Rochelle[1]. Au XIXe siècle, ils travaillent à la construction du Paris du préfet Rambuteau puis du baron Haussmann.La Creuse manque de ressources naturelles et de terres riches pour l’agriculture. De nombreuses familles vivent sur des petites exploitations agricoles qui ne leur permettent pas de subsister. Ainsi certains Creusois doivent quitter leur terre natale pour servir de main-d’œuvre sur les grands chantiers de construction, principalement dans les régions de Paris et de Lyon.
Alors que la Creuse, faute de matières premières et de capitaux, reste un département à vocation essentiellement paysanne, il se développe au sein des populations un esprit politique contestataire. En effet les conditions de travail sur les chantiers sont particulièrement difficiles, ce qui conduit, bien souvent, les maçons de la Creuse, à se syndiquer afin d'obtenir des conditions de travail acceptables.
Les maçons de retour au pays incitent souvent leurs enfants à suivre une instruction alors que la tradition et les besoins économiques les orientent plutôt vers le travail à la ferme dès leur plus jeune âge.
Martin Nadaud, le plus célèbre des maçons creusois, fut élu député. Il défend l'instauration de retraites ouvrières en 1879, de protections contre les accidents de travail, sur lesquels il intervient à plusieurs reprises (1881, 1883 et 1888) pour faire reconnaître la responsabilité de l'employeur (loi de 1898). Il demande aussi l'amnistie des Communards et se bat pour le développement d'un enseignement laïc dans chaque département, soutenant la loi du 28 mars 1882 (loi Ferry) sur l'instruction publique. Comme élu local, sa grande fierté est d'avoir obtenu la réalisation de la ligne de chemin de fer de Bourganeuf à Vieilleville, inaugurée en 1883.

Par ailleurs, initialement temporaire de mars à novembre, l'émigration devint définitive au début du XXe siècle : ainsi la Creuse perdit la moitié de sa population entre 1850 et 1950.

Le maçon était tenu de faire viser sur son livret ouvrier son dernier congé par le maire ou son adjoint, et de faire indiquer le lieu où il se proposait de se rendre. Tout maçon qui voyageait sans être muni d’un livret ainsi visé était réputé vagabond, et pouvait être arrêté et puni comme tel.

Ce livret devait être paraphé selon les villes par un commissaire de police ou par le maire ou l’un de ses adjoints. Le premier feuillet portait le sceau de la municipalité, et contenait le nom et le prénom du maçon, son âge, le lieu de sa naissance, son signalement, la désignation de sa profession et le nom du maître chez lequel il travaillait. Le livret ouvrier comportait aussi un rappel de l'interdiction des coalitions d'ouvriers.

Environ la moitié des maçons de la Creuse se dirigeaient vers Paris et les départements périphériques. La majorité des autres, surtout du sud de la Creuse allaient travailler à l'est vers Lyon, Saint-Étienne...

La hiérarchie chez les maçons , voici ce qu’écrivait Louis Bandy de Nalèche (1828-1879), avocat et politicien libéral, dans son ouvrage « Les maçons de la Creuse » publié en 1859 :

« L’art de la maçonnerie n’a pas fait de sensibles progrès ; nous trouvons dans le Dictionnaire des arts et métiers de Lucotte, architecte, la nomenclature des ouvriers en bâtiment, qui en 1783 était exactement la même qu’aujourd’hui.
La voici :

1. Le premier et le chef des ouvriers est l’architecte. Son emploi est de faire les plans et les élévations des bâtiments, d’en diriger tous les détails, de dresser les devis et marchés, et de régler les prix lorsque les ouvrages sont terminés. Dans les grands édifices, il est aidé ordinairement des contrôleurs, inspecteurs, sous-inspecteurs et autres architectes inférieurs.

2. Après l’architecte, le premier ouvrier est le maître maçon. Son emploi est de conduire la maçonnerie du bâtiment, suivant les plans et élévations qui lui sont donnés par l’architecte ou ses préposés, de fournir tous les matériaux, de les employer, d’en diriger l’économie, ce qu’on appelle entreprise.

3. Le deuxième ouvrier est le maître compagnon, homme de confiance et instruit dans l’art, qui agit pour les intérêts du maître maçon et en son absence. Son emploi est de donner tous les soins à la main-d’œuvre, de faire l’appel des ouvriers le matin et le soir, et son rôle pendant la journée, de donner des récépissés des matériaux à mesure qu’ils arrivent, d’emmagasiner et prendre soin des équipages et ustensiles, en un mot, de veiller à l’économie générale du bâtiment.

4. Le troisième est l’appareilleur. Son emploi est de construire les épures (dessins détaillés des voûtes), d’après les détails du maître maçon, d’appareiller les pierres et d’en fixer la dimension. Le prix de sa journée est d’environ 3 livres à Paris. Il est quelquefois aidé par ses compagnons ou garçons du tas, appareilleurs inférieurs ; le prix de la journée est moindre.

5. Le quatrième ouvrier est le tailleur de pierre. Son emploi est de tailler la pierre et de lui donner les formes qu’elle doit avoir, suivant les dimensions que lui a données l’appareilleur. Le prix de sa journée est depuis 35 jusqu’à 45 sous.

6. Le cinquième ouvrier est le poseur. Son emploi est de mettre en place les pierres, de les poser de niveau et à plomb, et d’en scier les joints lorsqu’il est nécessaire. Le prix de sa journée est d’environ 45 sous.

7. Le sixième ouvrier est le scieur de pierre dure. Son emploi est de scier les pierres dures à la scie sans dents, à raison de 4 à 5 sous le pied carré, pour les pierres ordi¬naires, et jusqu’à 10 sous pour les pierres de liais.

8. Le septième ouvrier est le scieur de pierre tendre. Son emploi est de scier les pierres tendres à la scie à dents. Prix de journée de 35 à 40 sous.

9. Le huitième ouvrier est le compagnon maçon. Son emploi est de construire les ouvrages en plâtre. Gain 40 sous par jour.

10. Le neuvième ouvrier est le limousin. Son emploi est de construire les ouvrages en mortier. Gain 36 sous par jour.

11. Le dixième et dernier ouvrier est le manœuvre. Son emploi est de faire les ouvrages bas et rudes et de servir les autres. Gain 25 et 30 sous par jour.

12. Ceux qui servent les maçons (un seul pour chacun) battent le plâtre, le passent, le gâchent et le portent aux maçons pour l’employer.

13. Ceux qui servent les poseurs, au nombre de deux ou trois pour chacun, les aident à porter, lever, rouler les pierres dans leur place.

14. Ceux qui sont employés aux chariots sont six pour les traîner et un ou deux suivent par derrière, chargés chacun d’eux d’une pince pour aller à la roue.

15. Ceux qui sont employés à barder les pierres, c’est-à-dire à les mettre en chantier et à les remuer, appelés bardeurs (onzième ouvrier), sont par bandes de trois ou quatre chacune, s’entraidant mutuellement, un d’eux conduisant la bande.

16. Ceux qui sont employés aux engins sont plus ou moins nombreux, suivant les besoins.

17. Un douzième ouvrier, employé par le maître maçon, et qui n’est appelé que lorsque le bâtiment est fini, est le toiseur. Son emploi et souvent son seul talent est de savoir toiser toutes les parties du bâtiment suivant les usages et la loi, d’en dresser les mémoires et d’y mettre des prix relatifs aux marchés et à l’espèce d’ouvrage. Le prix de son travail est ordinairement de 10 pour 1.000, mais un peu moins pour les grands édifices. »

Une page d'histoire de la Creuse. La crise actuelle, ouvrière et agricole, la désertification des services public redonneront certainement des airs éxode rural.

Les Réunionnais de la Creuse, une histoire française

Trois scientifiques publient leur analyse de la « déportation » des enfants réunionnais en Creuse.
Le procès contre l’État doit avoir lieu en mars.

Mille six cents enfants et adolescents ont été contraints par les services de l’État de quitter la Réunion, entre 1963 et 1982, et de vivre en métropole. Initiée par Michel Debré, député de la Réunion, ex-premier ministre de de Gaulle, l’opération devait pallier la surpopulation de l’île et repeupler soixante-cinq départements, au premier titre la Creuse, le Tarn et le Gers. L’affaire a commencé à faire de sérieux remous en 2002, quand un déplacé, Jean-Jacques Martial, réclame en justice un milliard et demi d’euros en réparation d’« enlèvement et séquestration de mineur, rafle et déportation ». Le montant astronomique doit briser la barrière du silence. Il réussit. Une enquête de l’Inspection générale des affaires sociales, diligentée par Élisabeth Guigou, alors ministre de l’Emploi et de la Solidarité, accouche d’une souris : « Les modalités de départ respectaient globalement la législation en vigueur », estiment les auteurs, qui préconisent de favoriser l’organisation de voyages.

Une telle désinvolture ne pouvait suffire à étouffer la souffrance. Les associations réunionnaises Rasinn Anlèr et Génération brisée saisissent le tribunal administratif de Saint-Denis de la Réunion. L’association Réunionnais de la Creuse dépose onze plaintes devant le tribunal de grande instance de Paris. Ce procès en pénal, prévu pour ce mois de décembre, est reporté, à la demande de l’association,

à fin mars. Mais à Guéret, le Cercle des amitiés créoles de la Creuse, initiateur du festival Kreuzéol, s’est désolidarisé de toute action en justice, ne souhaitant pas revenir sur le passé.

Dans ce contexte, trois universitaires d’Aix-en-Provence, Gilles Ascaride et Philippe Vidale, sociologues, Corine Spagnoli, historienne, ont obtenu du conseil général de la Creuse le financement d’une étude rendue publique à Guéret mercredi dernier. Tristes tropiques de la Creuse, réfute le terme de « déportation » et prône celui de « transfert ». Selon les auteurs, déportation renvoie à la Shoah et à l’extermination systématique. « Transfert » qualifie donc l’organisation systématique du départ de bébés, d’enfants et d’adolescents vers un lieu inconnu, glacé, à plus de 13 000 kilomètres de leur île natale, vers des foyers impersonnels et des fermes reculées, avec, plus ou moins, l’assentiment de parents à qui l’on a fait miroiter la scolarisation des enfants et la promesse de leur retour.

La recherche scientifique s’est heurtée à la culture du secret. Les directions des affaires sanitaires et sociales des deux départements ont refusé la consultation des dossiers privés. La demande d’accès au fonds Michel-Debré s’est vu opposer « une rigidité administrative des Archives de France ». Autant de documents auxquels l’IGAS aurait eu facilement accès pour se livrer à une véritable enquête. Les scientifiques ont donc travaillé à partir d’archives accessibles et d’interviews d’ex-mineurs, de familles réunionnaises et de responsables politiques et administratifs, mais n’ont pu réaliser de véritable bilan de l’opération.

Ils analysent la situation de l’île en 1960, la « politique migratoire » de Michel Debré, le rapport de l’IGAS et les associations des Réunionnais creusois. De ces mémoires, identités et logiques d’actions, il ressort qu’il n’existe pas de communauté réunionnaise homogène, même l’appartenance à une identité propre se révèle aléatoire. La phrase : « on m’a effacé le disque dur » devient symbole. Les opinions et les vies sont écartelées : faire table rase du passé ou revendiquer la reconnaissance des souffrances subies, voire leur réparation. Sans oublier les Creusois d’origine, partagés entre intentions humanitaires, exotisme et culpabilisation à mauvais escient. Et, à des milliers de kilomètres, les familles réunionnaises louvoyant entre mauvaise conscience et révolte.

Tout ce creuset fait dire aux auteurs qu’il s’agit bien d’une affaire d’État. Un État colonial qui tremblait sur ses bases, mais conservait sa vision d’empire, un État jacobin pour qui la Réunion est la France au même titre que Paris ou le Puy-de-Dôme. Même si Michel Debré fut déterminant. « Purs produits d’une affaire d’État et d’un abus de pouvoir, les Petits Poucets des antipodes peuvent au minimum poser la question de la légitimité de leur transfert. Comme l’État ne s’est pas posé la question ou y répond par des rapports contestables, certains iront demander justice à la justice. À chaque fois qu’une question politique et historique n’est pas traitée politiquement et historiquement, elle finit devant les tribunaux. Ou plutôt, elle y commence… » Gilles Ascaride souligne : « Il est impossible de faire l’économie du débat, il y a trop de non-dits. Cette affaire est un moment de l’histoire de France que la France doit assumer. »

Simon A-Poi, président des Réunionnais de la Creuse, précise : « Il ne faudrait pas croire que l’on va étouffer notre voix et nous amener à retirer nos plaintes. Nous irons jusqu’au bout. » Le Cercle des amitiés créoles s’insurge contre la critique de sa démarche. Le conseil général de la Creuse organise, avant le procès, une table ronde. Rien à voir avec l’histoire.

été 2009 : Une fréquentation frileuse en creuse pour les étrangers

Dans le secteur touristique, on s'attendait à un mois d'août catastrophique, crise économique et météo moyenne obligent. Mais contre toute attente, il semblerait que les professionnels du tourisme aient vécu un mois plus encourageant que prévu, selon cette enquête.

En effet, 82,3 % des professionnels se déclarent globalement satisfaits de la fréquentation du mois, et 45 % d'entre eux se disent même très satisfaits. Dans l'hébergement, 85,7 % des propriétaires de chambres d'hôtes se déclarent satisfaits de la fréquentation de leur établissement en août, et 50 % considèrent que ce mois a été très satisfaisant. Ce taux de satisfaction semble consécutif à la hausse de fréquentation par rapport à août 2008 pour 58,3 % d'entre eux.

Concernant les sites touristiques, le constat est le même : 75 % des interrogés considèrent le mois d'août satisfaisant, voire très satisfaisant pour 43, 8 %. Le nombre d'entrée se maintient pour 42,9 % des sites, et progresse pour 42,9 % d'entre eux également. Les restaurants, pour leur part, considèrent le mois assez médiocre pour moitié, l'autre moitié le considérant malgré tout acceptable ; en effet, en comparaison du mois d'août 2008, une évolution à la baisse est notée. Malgré cela, l'ensemble de la saison reste globalement bon.

Reste une ombre au tableau : la clientèle étrangère semble prendre la région en grippe. La clientèle britannique d'abord, mais aussi néerlandaise et suisse diminue dans l'ensemble.

Il semblerait d'autre part que les vacances en Creuse restent très familiales : en effet, les familles avec de jeunes enfants, ou des adolescents, ainsi que les couples restent fidèles au département. Les activités de baignade, de visite de ferme, ainsi que les produits du terroir connaissent une hausse dans la demande ; les visites de sites touristiques restent quant à elles, stables. De quoi rattraper les tendances plutôt médiocres du mois dernier.

enquëte réalisée auprès de117 acteurs du Tourisme, par Le Comité Régional du Tourisme, et le Comité Départemental de Tourisme.

source La Montagne

La ligne aérienne Limoges-Paris préservée au nom du service public

Menacée de fermeture à dater du 29 octobre prochain, pour cause de non rentabilité, la liaison aérienne quotidienne entre Limoges et Paris sera finalement préservée.

Exploitée par BritAir, filiale d’Air France, elle devrait poursuivre son activité sous cette enseigne au moins jusqu’au 13 décembre 2009, augmentée d’une rotation supplémentaire (trois au lieu de deux).
Cette décision est issue d’une récente réunion au ministère des Transports entre les exploitants (CCI-Compagnie-Elus) durant laquelle a été mise en avant la réglementation sur l’obligation de service public (OSP) qui devrait être accordée dans les prochaines semaines. D’ici là, la chambre de commerce de Limoges a décidé de lancer un appel d’offres vers un opérateur privé pouvant prendre la suite de BritAir.

«Nous avons déjà une dizaine de candidatures, révèle Gilles Tellier, directeur de l’aéroport. La compagnie présentant le projet le plus cohérent sera retenue, mais il y a toutes les chances que ce soit une société low cost. Quant à l’OSP, elle engendrera de facto des subventions qui seront versées à parts égales entre l’Etat et les collectivités.»

50% par les collectivités
Pour 45.000 passagers par an, et un taux de remplissage de 45%, la liaison pourrait demander jusqu’à trois millions d’euros d’aides annuelles, qui seraient payées pour 50% par les collectivités, au prorata de l’importance de ces dernières dans le syndicat mixte (région Limousin : 10 trentièmes, conseil général de la Haute-Vienne : 9 trentièmes, ville de Limoges : 6 trentièmes, CCI : 5 trentièmes).

«Nous n’en sommes néanmoins qu’à la théorie, rappelle le dirigeant. Les sommes ne sont pas encore définitives, il ne s’agit que d’une estimation, et nous devrons prendre en compte les moyens mobilisés par le futur exploitant. Ce dernier pourrait tout aussi bien être l’actuel, celui-ci ne cachant pas son intention de postuler en cas d’officialisation de l’OSP.»

lundi 21 septembre 2009

Fête patronale à Saint maurice près Pionsat

Trois jours de festivités, les 26,27 et 28 septembre.
Course de vélo, concours de pétanque, bal le samedi. Un grand défilé musical de chars avec les majorettes à 15h00 suivi d'un bal musette suivi le lundi d'un marché artisanal ...

les foulées de Lepaud

La première édition des foulées de Lépaud a eu lieu le 27 septembre 2003 sous l'égide du Comité des Fêtes et elle a rassemblé en tout 131 coureurs.

Le 30 juin 2004 l'association "Les Foulées de Lépaud" était créée pour organiser la seconde édition. Cette même année, le parcours du semi-marathon a été mesuré par des officiels de la Fédération Française d'Athlétisme, ce qui nous a permis d'obtenir le Label Régional FFA pour 2005, en ayant comme support la structure FFA du club de l'Entente Athlétique d'Aubusson. Pour cette troisième édition notre épreuve était donc qualificative pour le Championnat de France de semi-marathon, et elle était également le support du Championnat Régional.

Ce sont environ cinquante bénévoles qui contribuent à la réussite de cette manifestation. Parmi eux, l’équipe organisatrice de la Foulée des vielles pierres nous a été de bon conseil lors de notre première édition, et le Docteur Dagard assure chaque année la surveillance médicale.

LA Fête de LEPAUD débutera par le semi-marathon

le samedi 26septembre à partir 14H00

le feu d'artifice offert par la municipalité sera tiré après la remise des prix
le traditionnel " MOULES FRITES "(déjà complet ) terminera se samedi

le dimanche, Sonneurs du Rallye du Vautray de la Merlerie ,
les manèges seront sur la place du château d'eau
pendant tout le week end

renseignement pour le semi-marathon : cliquer

Une réussite pour le 2ème week end des cartes au casino d'Evaux les bains


Une réussite pour le deuxième week end des cartes au casino d'Evaux les bains. Trois jours de convivialité et de communication.
Ces trois jours de fin d'été très encarté , mais non écarté.
Un jeux pour chaque jour et des jeux différents pour le plaisir de nombreux jours venus de toute la région.

vendredi : belote
Samedi : tarots
dimanche : poker holden

Parrainé par le casino, c'est aussi un moyen comme un autre de communiquer la ville confit Thierry Sauvanet et j'ai participé à la belote et au tarot, c'est sympa et enrichissant en convivialité. Nous devrions perdurer, poursuit'il au regard de la participation grandissante.


la vidéo par regard sur la creuse

les animations au grand hôtel pour cette semaine

Miss Limousin 2009


Justine Posé vient d'être élue au Grand Théâtre de Limoges devant une salle comble. Âgée de tout juste 18 ans, cette jeune reine de beauté est originaire de Chameyrat en Corrèze.

dimanche 20 septembre 2009

passation de pouvoir au CPI de chambon sur Voueize

Une passation de pouvoir à Chambon sur Voueize pour la caserne des sapeur pompiers ce 19 septembre.

De nombreuses personnalités avait fait l'honneur d'être présent et notamment le nouveau Sous-Prefet nouvellement en poste, madame Crezon , maire de chambon et monsieur Souchal Conseillé général.

M. Daniel PICOT ayant fait valoir ses droits à la retraite en tant que chef de corps de la caserne des pompiers de Chambon. M. Dominique DEMATEIS a été promu pour assurer le remplacement. La cérémonie officielle à eu lieu le 19 septembre.

Le CPI Chambon sur Voueize c'est un éffectifs: 11 SPV dont 4 personnels féminin.
90 Interventions réalisées en moyenne par ans.

la vidéo par regard sur la creuse

samedi 19 septembre 2009

les animations de la semaine à Evaux les bains

les week end des cartes au casino à Evaux les bains

Beaucoup de monde, une salle pleine au casino d'Evaux les bains en ce vendredi de début du week end des cartes organisé par le casino.

En partenariat avec les club des Aînés "les eaux vives", une cinquantaine d'équipes se sont affrontées durant toute l'après midi.

Venus de tous les environs et même de Montluçon, cette journée sympathique à permis de se rencontrer et d'échanger le temps d'un après midi de convivialité.

Aujourd'hui un tournoi de tarot est proposé : 1er à 15H00 et second à 21H00.

inscription et règlement au casino.

les prévisions de la météo pour cette semaine

vendredi 18 septembre 2009

THEATRE AU CASINO samedi 26 septembre au casino à Evaux les bains

La soirée du rire avec la compagnie des Célestins de Vichy qui nous fait l'immense plaisir et honneur de nous rendre visite à evaux les bains pour une représentation unique en Creuse.

histoire
Eric et Viviane vivent ensemble depuis deux ans. Pour sa part, Eric est très satisfait de cette situation, mais Mariane, elle, n’aspire qu’au mariage. Elle est très influencée par le mariage de Rose et de Norbert qui sont, en effet, de tout nouveaux mariés. Eric fait alors remarquer à Viviane l’état de décrépitude dans lequel se trouve le pauvre Norbert...

Ils interpréteront la comédie "attends moi pour commencer" 1h40 de rire et de bonne humeur !


Tarif unique 10€ à 20h30 samedi 26 septembre 2009.....à ne manquer sous aucun prétexte !

jeudi 17 septembre 2009

La désertification dans notre ville pointe à l'horizon

Mais que se passe t'il donc dans notre ville à Evaux les bains !

En l'espace d'une année, se sont quatre commerces qui ont fermés ou en voie de l'être.
Vous allez me dire c'est la crise, pour les commerces en place, c'est un facteur de ralentissement économique
Mais vous résidents de la ville vous savez comme moi que la crise n'est pas seule responsable de ces fermetures.

Magasin Gitem (vendu aux enchères)
Le Bar le Rallye (n'en parlons pas, ouvert, pas ouvert et maintenant fermé, on en sait pas plus),
le Pub La Bel époque (fermeture définitive),
la crêperie fermée à ce jour avec peut être une réouverture dans les mois à venir...

La fermeture de la voie sncf, la privatisation des services postaux qui nous réduira à terme à des réductions des horaires d'ouvertures au public et le pire est peut être à venir .
La perception, nous attendons les infos

cela commence à faire beaucoup en moins de douze mois.

heureusement il nous reste encore des commerces défendus et aidés farouchement par l'amicale des commerçants et artisans.
Afin de garder nos petits commerces de proximité, faite un maximum vos achats dans la ville, le meilleur accueil vous sera réservé.
Voilà de réel signes de désertification.
Transport autocar très mal adapté pour pouvoir travailler sur Montluçon
Pour vos achats de cigarettes : Fontanières , Chambon ou Auzances (dépannage casino mais plus chères)
pour vos jeux de loterie et Pmu: Auzances
jeux de gratages : Chambon

reprise du club VIET VO DAO à Evaux les bains

Vendredi 18 septembre sera peut être pour vous un nouveau départ, de nouvelles pensées ...
Le club de Vet Vo Dao d'Evaux les bains, vous propose à 18h30 à 20h00 de découvrir et de vous initier à ce sport qui permet de se détendre, d'entretenir sa forme, canaliser son énergie et aussi de se défendre.


A la maison des jeune à Evaux les bains de 18h30 à 20h00.

Việt Võ Đạo désigne l'art martial viêtnamien. Terme qui se traduit par : Việt : Viêt Nam (le peuple vietnamien) ; Võ : l'art martial ; Đạo : la voie.

Le terme Việt Võ Đạo est utilisé de façon erronée par quelques écoles de Võ Cổ Truyền françaises. Le terme ne devrait être lié qu'au seul style Vovinam. Lors de la création de la première fédération française regroupant les arts martiaux vietnamiens en 1973, le Maître Patriarche du Vovinam, Lê Sang, autorisa les fondateurs à regrouper les différents styles sous le nom générique de Việt Võ Đạo. Depuis, ce terme continue à être utilisé en France pour désigner les styles vietnamiens, malgré l'appel du 8 septembre 1998 du maître Lê Sang de ne plus dissocier le terme Việt Võ Đạo qui appartient au Vovinam. Au Việt Nam et partout dans le monde (excepté en France et quelques pays européens), le terme Việt Võ Đạo est exclusivement réservé au Vovinam Việt Võ Đạo (VVN VVD).

Sa devise : « Être fort pour être utile »

Son salut : « Main d'acier sur le cœur de bonté »

Son symbole : le bambou, qui « plie mais ne se rompt pas » image de souplesse et de droiture