Clugnat est un village du nord de la Creuse entre Boussac et Guerêt Eliane est une femme authentique et passionnée. La laine qu'elle vend est filée à Felletin. C'est une laine de très belle qualité.Il faut encourager cette activité de qualité pour l'authenticité de cette noble matière.
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vendredi 24 juin 2011
Vidéo sur la ville de Lepaud dans la creuse
Petite par sa taille, mais grande par ses idées d''ouverture et de création, l'association AFL23, présente sa ville par un dvd en vente dans les offices de tourisme environnant... la suite sur le dvd.
contact AFL23 mairie de Lepaud
jeudi 14 avril 2011
Le proxénète écroué est le parrain de Marine Le Pen
On le disait retiré des « affaires », se consacrant désormais à sa passion pour l’art. Henri Botey, 77 ans, plus connu sous le surnom de Monsieur Eric dans le monde de la nuit parisienne vient, à nouveau, de tomber dans les filets des policiers de la brigade de répression du proxénétisme (BRP) de Paris. Mis en examen pour proxénétisme aggravé, celui qui est également surnommé l’Empereur de Pigalle a été incarcéré en fin de semaine dernière à la prison de Fleury-Mérogis (Essonne).
L’une de ses principales complices, Isabelle, 50 ans, a aussi été placée en détention provisoire. La justice reproche à Henri Botey d’avoir tenu, en sous-main, deux bars dans lesquels des hôtesses faisant commerce de leurs charmes. Figure du proxénétisme parisien, ce « parrain » à l’ancienne est aussi, officiellement, celui de Marine Le Pen, la présidente du Front national (FN). Un lien noué lorsque la jeune Marine s’était fait baptiser, en 1969, en l’église de la Madeleine à Paris. Sollicitée, hier, le leader du FN n’a pas souhaité s’exprimer. « Voyez avec mon service de presse », nous a répondu Marine Le Pen. Contacté, à son tour, son service de presse n’a pas donné suite à notre demande.
« C’est un ouvrier boulanger de formation, originaire de Belfort (Territoire de Belfort) qui a démarré dans les années 1950 à Pigalle, en épousant une ancienne prostituée et qui a fait fructifier avec un sens certain des affaires, sa petite entreprise, note un policier à la retraite. Il a échappé à trois tentatives de meurtre et semblait un peu éloigné du monde de la nuit. Il était très lié avec Jean-Marie Le Pen. » Le 4 avril, Henry Botey, connu aussi sous le sobriquet de Rase-Mottes en raison de sa petite taille, est interpellé à la sortie de son appartement, à Paris (IXe). Dans la foulée, onze autres suspects — trois hommes et huit femmes — sont arrêtés en région parisienne, dans le Calvados et le Loiret.
Près de 55 000 € saisis
Depuis le mois de septembre 2010, les enquêteurs de la BRP surveillaient deux bars à hôtesses, le Lorelei et le Mucha, situés rue Frochot en plein cœur de Pigalle. Lors de leur coup de filet, les policiers ont surpris une hôtesse en train de monnayer ses faveurs avec un client dans l’un des commerces ciblés. « Les hôtesses travaillaient “au bouchon”, confie une source proche de l’affaire. Le client devait payer une bouteille de champagne, facturée entre 200 € et 300 € avant de pouvoir monter avec une fille. Il devait ensuite débourser 200 € pour la passe. Si le client souhaitait quitter le bar avec l’une d’entre elles, il devait payer trois bouteilles. »
Outre la vente de l’alcool, les gérants percevaient également un peu plus de 100 € par client, pris en main par leurs hôtesses. « Les deux bars rapportaient environ 50 000 € mensuels, ajoute la même source. Il n’y a rien au nom d’Henri Botey. Même l’appartement qu’il occupe est la propriété d’une société civile immobilière dans laquelle il a des parts. »Au cours de leurs perquisitions, les policiers ont saisi près de 55 000 €. Une importante collection d’art, découverte dans l’appartement parisien ainsi que dans le manoir normand de Monsieur Eric, pourraient aussi faire l’objet d’une saisie.
L’une de ses principales complices, Isabelle, 50 ans, a aussi été placée en détention provisoire. La justice reproche à Henri Botey d’avoir tenu, en sous-main, deux bars dans lesquels des hôtesses faisant commerce de leurs charmes. Figure du proxénétisme parisien, ce « parrain » à l’ancienne est aussi, officiellement, celui de Marine Le Pen, la présidente du Front national (FN). Un lien noué lorsque la jeune Marine s’était fait baptiser, en 1969, en l’église de la Madeleine à Paris. Sollicitée, hier, le leader du FN n’a pas souhaité s’exprimer. « Voyez avec mon service de presse », nous a répondu Marine Le Pen. Contacté, à son tour, son service de presse n’a pas donné suite à notre demande.
« C’est un ouvrier boulanger de formation, originaire de Belfort (Territoire de Belfort) qui a démarré dans les années 1950 à Pigalle, en épousant une ancienne prostituée et qui a fait fructifier avec un sens certain des affaires, sa petite entreprise, note un policier à la retraite. Il a échappé à trois tentatives de meurtre et semblait un peu éloigné du monde de la nuit. Il était très lié avec Jean-Marie Le Pen. » Le 4 avril, Henry Botey, connu aussi sous le sobriquet de Rase-Mottes en raison de sa petite taille, est interpellé à la sortie de son appartement, à Paris (IXe). Dans la foulée, onze autres suspects — trois hommes et huit femmes — sont arrêtés en région parisienne, dans le Calvados et le Loiret.
Près de 55 000 € saisis
Depuis le mois de septembre 2010, les enquêteurs de la BRP surveillaient deux bars à hôtesses, le Lorelei et le Mucha, situés rue Frochot en plein cœur de Pigalle. Lors de leur coup de filet, les policiers ont surpris une hôtesse en train de monnayer ses faveurs avec un client dans l’un des commerces ciblés. « Les hôtesses travaillaient “au bouchon”, confie une source proche de l’affaire. Le client devait payer une bouteille de champagne, facturée entre 200 € et 300 € avant de pouvoir monter avec une fille. Il devait ensuite débourser 200 € pour la passe. Si le client souhaitait quitter le bar avec l’une d’entre elles, il devait payer trois bouteilles. »
Outre la vente de l’alcool, les gérants percevaient également un peu plus de 100 € par client, pris en main par leurs hôtesses. « Les deux bars rapportaient environ 50 000 € mensuels, ajoute la même source. Il n’y a rien au nom d’Henri Botey. Même l’appartement qu’il occupe est la propriété d’une société civile immobilière dans laquelle il a des parts. »Au cours de leurs perquisitions, les policiers ont saisi près de 55 000 €. Une importante collection d’art, découverte dans l’appartement parisien ainsi que dans le manoir normand de Monsieur Eric, pourraient aussi faire l’objet d’une saisie.
Niqab interdit : une femme verbalisée à Vaulx-en-Velin
Une femme intégralement voilée a été verbalisée mercredi soir, dans le centre de Vaulx-en-Velin (Rhône), en banlieue de Lyon. | LP / Frédéric Dugit
Une femme intégralement voilée a été verbalisée mercredi soir, dans le centre de Vaulx-en-Velin, en banlieue de Lyon. «Elle a accepté d'enlever son voile, et un PV a été dressé et transmis au parquet», précise une source à la Préfecture.
Comment les forces de l'ordre verbalisentDepuis, plusieurs femmes intégralement voilées ont été interpellées, verbalisées ou devaient être traduites en justice en Ile-de-France.
Aux Mureaux (Yvelines), lundi, une autre femme avait écopé d'une amende de 150 euros pour avoir enfreint la loi. Agée de 27 ans, vêtue d'un voile intégral, elle se trouvait au centre commercial Espace quand elle a fait l'objet d'un contrôle d'identité par la police, qui l'a ensuite verbalisée «sans incident».
En Avignon (Vaucluse), lundi soir, Kenza Drider avait été interpellée à sa descente du train, quelques heures après avoir été arrêtée sur le parvis de Notre-Dame lors d'un rassemblement pro-voile non autorisé. Avertie, la jeune femme avait rétorquée qu'elle était prête à payer l'amende mais qu'elle n'oterait pas son voile.
Une femme intégralement voilée a été verbalisée mercredi soir, dans le centre de Vaulx-en-Velin, en banlieue de Lyon. «Elle a accepté d'enlever son voile, et un PV a été dressé et transmis au parquet», précise une source à la Préfecture.
Comment les forces de l'ordre verbalisentDepuis, plusieurs femmes intégralement voilées ont été interpellées, verbalisées ou devaient être traduites en justice en Ile-de-France.
Aux Mureaux (Yvelines), lundi, une autre femme avait écopé d'une amende de 150 euros pour avoir enfreint la loi. Agée de 27 ans, vêtue d'un voile intégral, elle se trouvait au centre commercial Espace quand elle a fait l'objet d'un contrôle d'identité par la police, qui l'a ensuite verbalisée «sans incident».
En Avignon (Vaucluse), lundi soir, Kenza Drider avait été interpellée à sa descente du train, quelques heures après avoir été arrêtée sur le parvis de Notre-Dame lors d'un rassemblement pro-voile non autorisé. Avertie, la jeune femme avait rétorquée qu'elle était prête à payer l'amende mais qu'elle n'oterait pas son voile.
mardi 12 avril 2011
Le projet de loi sur les jurés populaires en conseil des ministres mercredi
Le projet de loi sur les jurés populaires en conseil des ministres mercredi 11 avril 2011
Jurés populaires en correctionnelle, réforme de la justice des mineurs et des assises: le projet de loi qui sera présenté mercredi en conseil des ministres par le garde des Sceaux Michel Mercier recouvre des aspects très divers et suscite des critiques des magistrats.
L’idée de «rapprocher le peuple» de la justice, en faisant entrer des jurés dans les tribunaux correctionnels et en associant des citoyens aux décisions de libérations conditionnelles, avait été lancée en septembre 2010 par Nicolas Sarkozy et le ministre de l’Intérieur d’alors, Brice Hortefeux.
Actuellement, les jurés populaires ne siègent que dans les cours d’assises, qui jugent les crimes, alors que les délits sont jugés en correctionnelle par des magistrats professionnels. Le texte, préparé en vue d’une «mise en oeuvre progressive» dès 2012, selon Michel Mercier, prévoit que pour les atteintes aux personnes les plus graves (violences aggravées, agressions sexuelles, vols avec violence), des citoyens tirés au sort sur les listes électorales siègeront au côté des magistrats.
Cela concernerait environ 40.000 délits par an (première instance et appel). Actuellement, 2.600 décisions sont rendues annuellement par des cours d’assises avec jurés. Ces jurés populaires participeraient à l’équivalent d’une semaine d’audience par an. Le tribunal devrait être composé de trois magistrats et deux jurés.
Des citoyens tirés au sort participeront aussi aux décisions de libérations conditionnelles, pour les peines de prison égales ou supérieures à cinq ans. Pour cette réforme, le garde des Sceaux a annoncé la création de 155 postes de magistrats et 100 de greffiers. Les syndicats de magistrats sont très critiques envers ce projet jugé «illisible», «pas financé» et qui va «instaurer des différences de traitement entre justiciables».
«Comme le gouvernement a abandonné la réforme de l’instruction, il fallait vendre quelque chose à l’opinion publique avant la présidentielle de 2012», dénonce Christophe Régnard, président de l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire).
Pour Matthieu Bonduelle, secrétaire général du Syndicat de la Magistrature (SM, gauche), c’est «une usine à gaz» qui «va alourdir considérablement le fonctionnement de la justice pénale, déjà asphyxiée».
Le projet de loi «sur la participation des citoyens au fonctionnement de la justice pénale et sur le jugement des mineurs» prévoit par ailleurs la création d’une «cour d’assises simplifiée», visant à réduire la «correctionnalisation».
Cette pratique, largement utilisée aujourd’hui, consiste à requalifier un crime en délit (par exemple un viol en agression sexuelle) pour le faire juger plus rapidement. Pour alléger le dispositif, une «cour d’assises simplifiée», avec moins de jurés (sans doute deux au lieu de neuf) jugerait certains crimes.
A la grande satisfaction des avocats, le texte devrait par ailleurs proposer une motivation des verdicts d’assises, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information du journal La Croix.
Le texte comprend aussi des mesures visant à réformer la justice des mineurs, avec notamment la création d’un tribunal correctionnel qui jugera les récidivistes de 16 à 18 ans. Ce tribunal comprendrait trois magistrats dont un juge des enfants, auxquels s’ajouteraient deux jurés dans les cas d’atteintes aux personnes les plus graves. Il «appliquera une procédure adaptée aux mineurs», a précisé M. Mercier.
Six organisations syndicales et professionnelles ont néanmoins demandé l’"abandon» de ce projet, accusant le gouvernement de «déconstruire, pan par pan, la spécificité de la justice des mineurs».
Jurés populaires en correctionnelle, réforme de la justice des mineurs et des assises: le projet de loi qui sera présenté mercredi en conseil des ministres par le garde des Sceaux Michel Mercier recouvre des aspects très divers et suscite des critiques des magistrats.
L’idée de «rapprocher le peuple» de la justice, en faisant entrer des jurés dans les tribunaux correctionnels et en associant des citoyens aux décisions de libérations conditionnelles, avait été lancée en septembre 2010 par Nicolas Sarkozy et le ministre de l’Intérieur d’alors, Brice Hortefeux.
Actuellement, les jurés populaires ne siègent que dans les cours d’assises, qui jugent les crimes, alors que les délits sont jugés en correctionnelle par des magistrats professionnels. Le texte, préparé en vue d’une «mise en oeuvre progressive» dès 2012, selon Michel Mercier, prévoit que pour les atteintes aux personnes les plus graves (violences aggravées, agressions sexuelles, vols avec violence), des citoyens tirés au sort sur les listes électorales siègeront au côté des magistrats.
Cela concernerait environ 40.000 délits par an (première instance et appel). Actuellement, 2.600 décisions sont rendues annuellement par des cours d’assises avec jurés. Ces jurés populaires participeraient à l’équivalent d’une semaine d’audience par an. Le tribunal devrait être composé de trois magistrats et deux jurés.
Des citoyens tirés au sort participeront aussi aux décisions de libérations conditionnelles, pour les peines de prison égales ou supérieures à cinq ans. Pour cette réforme, le garde des Sceaux a annoncé la création de 155 postes de magistrats et 100 de greffiers. Les syndicats de magistrats sont très critiques envers ce projet jugé «illisible», «pas financé» et qui va «instaurer des différences de traitement entre justiciables».
«Comme le gouvernement a abandonné la réforme de l’instruction, il fallait vendre quelque chose à l’opinion publique avant la présidentielle de 2012», dénonce Christophe Régnard, président de l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire).
Pour Matthieu Bonduelle, secrétaire général du Syndicat de la Magistrature (SM, gauche), c’est «une usine à gaz» qui «va alourdir considérablement le fonctionnement de la justice pénale, déjà asphyxiée».
Le projet de loi «sur la participation des citoyens au fonctionnement de la justice pénale et sur le jugement des mineurs» prévoit par ailleurs la création d’une «cour d’assises simplifiée», visant à réduire la «correctionnalisation».
Cette pratique, largement utilisée aujourd’hui, consiste à requalifier un crime en délit (par exemple un viol en agression sexuelle) pour le faire juger plus rapidement. Pour alléger le dispositif, une «cour d’assises simplifiée», avec moins de jurés (sans doute deux au lieu de neuf) jugerait certains crimes.
A la grande satisfaction des avocats, le texte devrait par ailleurs proposer une motivation des verdicts d’assises, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information du journal La Croix.
Le texte comprend aussi des mesures visant à réformer la justice des mineurs, avec notamment la création d’un tribunal correctionnel qui jugera les récidivistes de 16 à 18 ans. Ce tribunal comprendrait trois magistrats dont un juge des enfants, auxquels s’ajouteraient deux jurés dans les cas d’atteintes aux personnes les plus graves. Il «appliquera une procédure adaptée aux mineurs», a précisé M. Mercier.
Six organisations syndicales et professionnelles ont néanmoins demandé l’"abandon» de ce projet, accusant le gouvernement de «déconstruire, pan par pan, la spécificité de la justice des mineurs».
lundi 11 avril 2011
C'était en 2008, les difficultés de s'installer en creuse ....
PROMIS depuis 1963 à une disparition totale, le petit village de Chambonchard, dans la Creuse, est désormais en phase de renaissance…
Ou plus exactement de résurgence. Car la commune, qui abritait alors une cinquantaine d'habitants, devait être noyée sous plusieurs mètres d'eau, retenue par un barrage construit par l'Etablissement public de la Loire (Epala), acheteur des terrains et des constructions.
En 1997, Dominique Voynet, ministre de l'Environnement, annule le projet. Entre-temps, l'endroit avait déjà été déserté, laissant sur place des maisons en ruines dans une agglomération fantôme. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle » Les anciens habitants ne sont pas revenus, mais récemment, de nouveaux résidants sont arrivés, tels des « pionniers » décidés à rebâtir et faire revivre la commune. Un centre-bourg remis à neuf a été inauguré le 20 juin, avec parking, éclairage public, terrain de boules et espaces verts.
Le maire, Gérard Rouffet, attend la construction d'un hôtel de ville tandis que l'auberge, elle aussi rouverte 'après des mois de paprasse et difficultées administratives..., commence à faire le plein de touristes.
Désormais, une vingtaine de Chambonchardais occupent leur village, et une dizaine de résidences secondaires ont été édifiées dans les murs rénovés de ce qui ressemblait il y a encore cinq ans à une friche immobilière. « C'est une renaissance, reconnaît l'élu, avec des gens qui arrivent pour recommencer leur vie, prendre un second départ. Nous espérons revenir à nos anciens effectifs, et pourquoi pas grandir encore car il y a de la place, des maisons vides, des opportunités. » Les propriétaires du lieu, le conseil général de la Creuse et l'Epala, viennent de dépenser 800 000 € dans la rénovation du centre, peaufinant plusieurs projets sur le développement durable.
Un parc éolien est dans les cartons, tandis que se poursuivent des recherches géothermiques et géologiques. Même l'église a été consolidée afin d'accueillir de futures ouailles ! « Nous avons repris, en 2007, l'auberge fermée depuis 1994, après avoir revendu notre commerce de traiteur dans le Var, racontent Ghislaine et Rachid Chakir. Nous avons eu le coup de foudre pour Chambonchard, découvert par hasard, et nous avons investi toutes nos économies, mais nous ne le regrettons pas. »
Avec 150 000 € le couple rachète donc à l'Epala les bâtiments, puis relance le restaurant qui sert aujourd'hui près de quarante couverts quotidiens, à 12 € l'assiette bien remplie d'une roborative cuisine rurale. Les bonnes raisons de cette aventure ne manquent pas dans le récit enthousiaste des deux émigrés, venus tenter leur chance en terre creusoise. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle, loin de tout mais en fait loin de rien, avec la ville d'Evaux-les-Bains à 7 km, et ses écoles pour nos deux filles.
L'histoire du barrage attire les touristes, génère des projets d'installation. Nous voyons revenir à l'auberge les anciens, qui n'habitent plus ici, mais passent casser la croûte ou boire un verre. » Sur la route des vacances, le bourg vaut le détour, avec ses maisonnettes pimpantes, nichées au coeur d'une vallée verdoyante qui a failli devenir un vaste lac… avant d'être finalement sauvée des eaux.
article de l'exploitant en 2008
Aux dires de Rachid, s'installer et rester en creuse devient un parcours de combatant. Je les laisse avec leurs batailles politiques, je vais ailleurs, ils mélangent tout et ne donne pas envie aux nouveaux commerces de s'installer.
la bonne volonté ne suffit pas dans la creuse, vous devez possèder d'autres cartes et celles la ne m'interresse pas du tout. je suis restaurateur et c'est tout.
L'auberge est désormais fermée et le village à repris son inertie pour combien de temps.... attendons le vent qui apportera peut être un espour de vie!
A ce jour, le désert revient, l'auberge est fermée et pourtant cela donnait des airs de vie a ce petit village....
Ou plus exactement de résurgence. Car la commune, qui abritait alors une cinquantaine d'habitants, devait être noyée sous plusieurs mètres d'eau, retenue par un barrage construit par l'Etablissement public de la Loire (Epala), acheteur des terrains et des constructions.
En 1997, Dominique Voynet, ministre de l'Environnement, annule le projet. Entre-temps, l'endroit avait déjà été déserté, laissant sur place des maisons en ruines dans une agglomération fantôme. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle » Les anciens habitants ne sont pas revenus, mais récemment, de nouveaux résidants sont arrivés, tels des « pionniers » décidés à rebâtir et faire revivre la commune. Un centre-bourg remis à neuf a été inauguré le 20 juin, avec parking, éclairage public, terrain de boules et espaces verts.
Le maire, Gérard Rouffet, attend la construction d'un hôtel de ville tandis que l'auberge, elle aussi rouverte 'après des mois de paprasse et difficultées administratives..., commence à faire le plein de touristes.
Désormais, une vingtaine de Chambonchardais occupent leur village, et une dizaine de résidences secondaires ont été édifiées dans les murs rénovés de ce qui ressemblait il y a encore cinq ans à une friche immobilière. « C'est une renaissance, reconnaît l'élu, avec des gens qui arrivent pour recommencer leur vie, prendre un second départ. Nous espérons revenir à nos anciens effectifs, et pourquoi pas grandir encore car il y a de la place, des maisons vides, des opportunités. » Les propriétaires du lieu, le conseil général de la Creuse et l'Epala, viennent de dépenser 800 000 € dans la rénovation du centre, peaufinant plusieurs projets sur le développement durable.
Un parc éolien est dans les cartons, tandis que se poursuivent des recherches géothermiques et géologiques. Même l'église a été consolidée afin d'accueillir de futures ouailles ! « Nous avons repris, en 2007, l'auberge fermée depuis 1994, après avoir revendu notre commerce de traiteur dans le Var, racontent Ghislaine et Rachid Chakir. Nous avons eu le coup de foudre pour Chambonchard, découvert par hasard, et nous avons investi toutes nos économies, mais nous ne le regrettons pas. »
Avec 150 000 € le couple rachète donc à l'Epala les bâtiments, puis relance le restaurant qui sert aujourd'hui près de quarante couverts quotidiens, à 12 € l'assiette bien remplie d'une roborative cuisine rurale. Les bonnes raisons de cette aventure ne manquent pas dans le récit enthousiaste des deux émigrés, venus tenter leur chance en terre creusoise. « Nous avons une qualité de vie exceptionnelle, loin de tout mais en fait loin de rien, avec la ville d'Evaux-les-Bains à 7 km, et ses écoles pour nos deux filles.
L'histoire du barrage attire les touristes, génère des projets d'installation. Nous voyons revenir à l'auberge les anciens, qui n'habitent plus ici, mais passent casser la croûte ou boire un verre. » Sur la route des vacances, le bourg vaut le détour, avec ses maisonnettes pimpantes, nichées au coeur d'une vallée verdoyante qui a failli devenir un vaste lac… avant d'être finalement sauvée des eaux.
article de l'exploitant en 2008
Aux dires de Rachid, s'installer et rester en creuse devient un parcours de combatant. Je les laisse avec leurs batailles politiques, je vais ailleurs, ils mélangent tout et ne donne pas envie aux nouveaux commerces de s'installer.
la bonne volonté ne suffit pas dans la creuse, vous devez possèder d'autres cartes et celles la ne m'interresse pas du tout. je suis restaurateur et c'est tout.
L'auberge est désormais fermée et le village à repris son inertie pour combien de temps.... attendons le vent qui apportera peut être un espour de vie!
A ce jour, le désert revient, l'auberge est fermée et pourtant cela donnait des airs de vie a ce petit village....
dimanche 10 avril 2011
Deux membres de l'ETA arrêtés ?
Le couple recherché, après une fusillade hier après midi, a été arrêté dimanche midi près de Felletin en Creuse.
L'interpellation de ces deux personnes, soupçonnées d'appartenir à l'organisation séparatiste basque (ETA) a eut lieu peu avant midi au Moulin de Jasseix, à Croze, commune à quelques kilomètres de Felletin en Creuse, après une nuit de recherche en Creuse et en Corrèze.
Cet homme et cette femme était activement recherchés, après avoir tenté d'échapper à un contrôle routier à Vallière en Creuse. Il était 17 heures, samedi, lorsque la conductrice du véhicule refuse de s'arrêter et prend la fuite, aussitôt suivie par les gendarmes. L'un des occupants du véhicule ouvre alors délibérément le feu à quatre reprises. Un gendarme est blessé lors de ces coups de feu. Transporté au CHU de Limoges, ses jours ne sont pas menacés.Une course poursuite s'est alors engagée. Un plan Epervier est déclenché pour retrouver les deux individus qui ont quitté la Creuse pour rejoindre la Corrèze. Leur véhicule est ensuite retrouvé abandonné à Meymac, après une deuxième fusillade. Si aucune piste n'est écartée pour l'heure, celle de l'organisation séparatiste basque, l'ETA, reste sérieusement envisagée.
Interrogés à Aubusson ce matin, cet homme et cette femme, âgés de 28 et 29 ans, auraient ensuite été transférés à Limoges.
L'interpellation de ces deux personnes, soupçonnées d'appartenir à l'organisation séparatiste basque (ETA) a eut lieu peu avant midi au Moulin de Jasseix, à Croze, commune à quelques kilomètres de Felletin en Creuse, après une nuit de recherche en Creuse et en Corrèze.
Cet homme et cette femme était activement recherchés, après avoir tenté d'échapper à un contrôle routier à Vallière en Creuse. Il était 17 heures, samedi, lorsque la conductrice du véhicule refuse de s'arrêter et prend la fuite, aussitôt suivie par les gendarmes. L'un des occupants du véhicule ouvre alors délibérément le feu à quatre reprises. Un gendarme est blessé lors de ces coups de feu. Transporté au CHU de Limoges, ses jours ne sont pas menacés.Une course poursuite s'est alors engagée. Un plan Epervier est déclenché pour retrouver les deux individus qui ont quitté la Creuse pour rejoindre la Corrèze. Leur véhicule est ensuite retrouvé abandonné à Meymac, après une deuxième fusillade. Si aucune piste n'est écartée pour l'heure, celle de l'organisation séparatiste basque, l'ETA, reste sérieusement envisagée.
Interrogés à Aubusson ce matin, cet homme et cette femme, âgés de 28 et 29 ans, auraient ensuite été transférés à Limoges.
Interpellation dans la Creuse du couple d'etarras présumés
Le couple recherché après avoir blessé samedi un gendarme dans la Creuse a été interpellé dimanche matin à Croze (Creuse), a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Les deux suspects sont soupçonnés d'appartenir à l'organisation séparatiste basque ETA.
Selon la gendarmerie, ils ont été repérés dimanche vers 10h45 sur la commune de Croze. Ils ont ouvert le feu une nouvelle fois sur les gendarmes, qui ont riposté. L'échange de coups de feu n'a pas fait de victimes. Les militaires ont interpellé les deux suspects -un homme et une femme s'exprimant en espagnol- munis de deux armes de poing. Ils ont été placés en garde à vue.
Les deux etarras présumés étaient activement recherchés depuis la veille par la gendarmerie, qui avait déclenché un plan Epervier avec 300 hommes, deux hélicoptères et des équipes de recherches cynophiles. Le couple avait été pris en chasse samedi vers 17h à Vallière (Creuse) après que la conductrice d'un véhicule eut refusé de s'arrêter à un contrôle routier.
Le passager avait alors tiré à plusieurs reprises sur les militaires lancés à leurs trousses. Touché à l'épaule, un gendarme de la brigade de Royère-de-Vassivière a été opéré au CHU de Limoges. Ses jours ne sont pas en danger. Le couple a ensuité été repéré une heure après à Meymac (Corrèze) où il a forcé un nouveau barrage et tiré sur les gendarmes, qui n'ont pas été touchés. Les fuyards ont ensuite abandonné leur voiture avant de s'enfuir à pied.
La section antiterroriste du parquet de Paris a co-saisi la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire ainsi que la région de gendarmerie du Limousin.
Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a adressé dimanche "ses plus vives félicitations" aux gendarmes de la région "qui, par leur engagement et leur réactivité, ont permis cette interpellation dans les meilleurs délais". Il a aussi formulé des voeux de prompt rétablissement au militaire blessé.
Selon la gendarmerie, ils ont été repérés dimanche vers 10h45 sur la commune de Croze. Ils ont ouvert le feu une nouvelle fois sur les gendarmes, qui ont riposté. L'échange de coups de feu n'a pas fait de victimes. Les militaires ont interpellé les deux suspects -un homme et une femme s'exprimant en espagnol- munis de deux armes de poing. Ils ont été placés en garde à vue.
Les deux etarras présumés étaient activement recherchés depuis la veille par la gendarmerie, qui avait déclenché un plan Epervier avec 300 hommes, deux hélicoptères et des équipes de recherches cynophiles. Le couple avait été pris en chasse samedi vers 17h à Vallière (Creuse) après que la conductrice d'un véhicule eut refusé de s'arrêter à un contrôle routier.
Le passager avait alors tiré à plusieurs reprises sur les militaires lancés à leurs trousses. Touché à l'épaule, un gendarme de la brigade de Royère-de-Vassivière a été opéré au CHU de Limoges. Ses jours ne sont pas en danger. Le couple a ensuité été repéré une heure après à Meymac (Corrèze) où il a forcé un nouveau barrage et tiré sur les gendarmes, qui n'ont pas été touchés. Les fuyards ont ensuite abandonné leur voiture avant de s'enfuir à pied.
La section antiterroriste du parquet de Paris a co-saisi la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire ainsi que la région de gendarmerie du Limousin.
Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a adressé dimanche "ses plus vives félicitations" aux gendarmes de la région "qui, par leur engagement et leur réactivité, ont permis cette interpellation dans les meilleurs délais". Il a aussi formulé des voeux de prompt rétablissement au militaire blessé.
samedi 9 avril 2011
Les hypermarchés Carrefour en grève
L’appel à la grève, lancé par FO, la CGT et la CFDT devrait être très suivi, perturbant l’activité dans de nombreux hypers de l’enseigne.
Journée mouvementée en perspective dans les hypermarchés Carrefour. Selon les syndicats, l’appel à la grève national lancé par FO, la CGT et la CFDT devrait être très suivi aujourd’hui. « Cent cinquante magasins sur plus de 200 devraient être touchés », anticipe Dejan Terglav de FO, le syndicat majoritaire au sein du groupe, « Dans 130 d’entre eux, le mouvement s’annonce dur avec 40 % à 80% de grévistes.
"Tout le monde en a assez"Grève en vue chez Carrefour » Et dans certains hypers, les clients pourraient trouver portes closes. « Dix ou 15 pourraient fermer une partie de la journée. Ailleurs, des piquets de grève ou des blocages de ronds-points seront organisés », explique Dejan Terglav. Du jamais-vu au sein de l’enseigne, où le dernier conflit remonte à février 2008.
Le mouvement s’annonce particulièrement fort dans le Sud, le Nord, la Bretagne et dans des villes comme Orléans ou Le Mans, où le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, se rendra en début de matinée. La région parisienne, où les syndicats sont moins implantés, sera moins affectée, même si des perturbations sont attendues à Aulnay, Sevran, ou Villiers-en-Bière.
Jeudi soir pourtant, la direction de Carrefour a annoncé qu’elle allait « rouvrir les négociations salariales » dès mercredi. « Cela ressemble à une tentative de déstabilisation, s’emporte Serge Corfa, de la CFDT. Mais cela n’a pas eu d’impact sur les salariés. Le malaise est énorme. » La question des salaires a mis le feu aux poudres : l’augmentation de 1% en mars et 1% en octobre proposée par la direction est jugée « indécente » au regard de « la rémunération des actionnaires ». Mais, les syndicats s’inquiètent aussi de la nette dégradation des conditions de travail , des 4500 suppressions de postes… et de la stratégie de leurs actionnaires, le fonds Colony Capital et le Groupe Arnault qui met en vente Dia ainsi que les murs de Carrefour.
Journée mouvementée en perspective dans les hypermarchés Carrefour. Selon les syndicats, l’appel à la grève national lancé par FO, la CGT et la CFDT devrait être très suivi aujourd’hui. « Cent cinquante magasins sur plus de 200 devraient être touchés », anticipe Dejan Terglav de FO, le syndicat majoritaire au sein du groupe, « Dans 130 d’entre eux, le mouvement s’annonce dur avec 40 % à 80% de grévistes.
"Tout le monde en a assez"Grève en vue chez Carrefour » Et dans certains hypers, les clients pourraient trouver portes closes. « Dix ou 15 pourraient fermer une partie de la journée. Ailleurs, des piquets de grève ou des blocages de ronds-points seront organisés », explique Dejan Terglav. Du jamais-vu au sein de l’enseigne, où le dernier conflit remonte à février 2008.
Le mouvement s’annonce particulièrement fort dans le Sud, le Nord, la Bretagne et dans des villes comme Orléans ou Le Mans, où le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, se rendra en début de matinée. La région parisienne, où les syndicats sont moins implantés, sera moins affectée, même si des perturbations sont attendues à Aulnay, Sevran, ou Villiers-en-Bière.
Jeudi soir pourtant, la direction de Carrefour a annoncé qu’elle allait « rouvrir les négociations salariales » dès mercredi. « Cela ressemble à une tentative de déstabilisation, s’emporte Serge Corfa, de la CFDT. Mais cela n’a pas eu d’impact sur les salariés. Le malaise est énorme. » La question des salaires a mis le feu aux poudres : l’augmentation de 1% en mars et 1% en octobre proposée par la direction est jugée « indécente » au regard de « la rémunération des actionnaires ». Mais, les syndicats s’inquiètent aussi de la nette dégradation des conditions de travail , des 4500 suppressions de postes… et de la stratégie de leurs actionnaires, le fonds Colony Capital et le Groupe Arnault qui met en vente Dia ainsi que les murs de Carrefour.
vendredi 8 avril 2011
Record de chaleur en ce mois d'avril 2011
Terrasses prises d'assaut, farniente au soleil, parcs bondés... Un peu partout en France, ces derniers jours ont donné l'impression d'été avant l'heure. Avec 30,7°C à Perpignan (Pyrénées Orientales) vendredi, c'est un nouveau record de chaleur pour les dix premiers jours d'avril qui a été battu. C'est peu dire que la France connaît une douceur assez exceptionnelle.
En Creuse (28°), a Montpellier (Hérault), on flirtait avec les 30°C à l'heure de l'apéritif tandis qu'à Nîmes (Gard), on enregistrait 28,9°C, du jamais vu, là aussi, pour un début avril. A Bordeaux (Gironde), le record d'un début avril datant de 1921 a été battu jeudi. Les terrasses étaient prises d'assaut, et les sandalettes et les petites robes d'été ressorties des garde-robes. « C'est le bonheur ici, lâche Benjamin, un trentenaire attablé devant un diabolo bien frais avec son fils. On a l'impression que les grandes vacances ont pris trois mois d'avance ».
Signe du retour de la chaleur, le « miroir d'eau », étendue aquatique située sur les bords de la Garonne, retrouvait ses airs de Bordeaux-plage, alors que les vacances débutent ce week-end en Aquitaine comme en région parisienne.
En Creuse (28°), a Montpellier (Hérault), on flirtait avec les 30°C à l'heure de l'apéritif tandis qu'à Nîmes (Gard), on enregistrait 28,9°C, du jamais vu, là aussi, pour un début avril. A Bordeaux (Gironde), le record d'un début avril datant de 1921 a été battu jeudi. Les terrasses étaient prises d'assaut, et les sandalettes et les petites robes d'été ressorties des garde-robes. « C'est le bonheur ici, lâche Benjamin, un trentenaire attablé devant un diabolo bien frais avec son fils. On a l'impression que les grandes vacances ont pris trois mois d'avance ».
Signe du retour de la chaleur, le « miroir d'eau », étendue aquatique située sur les bords de la Garonne, retrouvait ses airs de Bordeaux-plage, alors que les vacances débutent ce week-end en Aquitaine comme en région parisienne.
Le Magic Casinos Jackpot tombe à nouveau !
Avec ce nouveau gain de 3.438.702 € remporté le 3 avril, ce sont plus de 12 millions d'euros que le Magic Casinos Jackpot a distribué en 6 jours.
Le Dimanche 3 avril 2011 à 18h, le troisième gain du Magic Casinos Jackpot, d’un montant de 3 438 701,60 € a été remporté au Casino JOA de Luxeuil les Bains (70). Alors que le Magic Casinos Jackpot avait pulvérisé le record de France d’un jackpot de casino ce mardi 28 mars avec 9 420 902,02 € au Casino JOA de Port Crouesty, il retombe, à peine 6 jours plus tard. En 1 semaine, c’est près de 13 millions d’euros qui ont été distribués par le Magic Casinos Jackpot. Ce troisième gain a été gagné sur une machine à 0,50 € pour une mise initiale de 1,50 € seulement.
Le gagnant, originaire de Herimoncourt (25), est âgé de 24 ans et exerce la profession de cuisinier. Il venait au casino 2 à 3 fois par an. Ce dimanche, il était venu à Luxeuil les Bains pour disputer un match de foot contre le club local. Après une cuisante défaite 6-0, il décide de tenter sa chance au casino !! Très bon choix ! Bientôt papa, il a déclaré souhaiter s'acheter une belle maison pour accueillir sa petite fille, une seconde voiture et mettre sa famille à l'abri. Félicitations à cet heureux gagnant !
Le Dimanche 3 avril 2011 à 18h, le troisième gain du Magic Casinos Jackpot, d’un montant de 3 438 701,60 € a été remporté au Casino JOA de Luxeuil les Bains (70). Alors que le Magic Casinos Jackpot avait pulvérisé le record de France d’un jackpot de casino ce mardi 28 mars avec 9 420 902,02 € au Casino JOA de Port Crouesty, il retombe, à peine 6 jours plus tard. En 1 semaine, c’est près de 13 millions d’euros qui ont été distribués par le Magic Casinos Jackpot. Ce troisième gain a été gagné sur une machine à 0,50 € pour une mise initiale de 1,50 € seulement.
Le gagnant, originaire de Herimoncourt (25), est âgé de 24 ans et exerce la profession de cuisinier. Il venait au casino 2 à 3 fois par an. Ce dimanche, il était venu à Luxeuil les Bains pour disputer un match de foot contre le club local. Après une cuisante défaite 6-0, il décide de tenter sa chance au casino !! Très bon choix ! Bientôt papa, il a déclaré souhaiter s'acheter une belle maison pour accueillir sa petite fille, une seconde voiture et mettre sa famille à l'abri. Félicitations à cet heureux gagnant !
jeudi 7 avril 2011
Un séisme de magnitude 7,4 a été enregistré ce jeudi.
Un séisme de magnitude 7,4 a été enregistré ce jeudi. Une alerte au tsunami a été émise et les habitants de la côte ont reçu l'ordre d'évacuer.
Un fort séisme de magnitude 7,4 s'est produit jeudi à une quarantaine de kilomètres des côtes nord-est du Japon, a annoncé l'Agence météorologique japonaise.
Cette nouvelle secousse s'est produite à 23h23 (14H23 GMT) à une profondeur de 40 km, au large de la préfecture de Miyagi déjà la plus touchée par le séisme du 11 mars. L'agence a mis en garde contre un tsunami pouvant aller jusqu'à deux mètres de haut.
Les personnes habitant le long des côtes de la préfecture de Miyagi doivent évacuer vers des endroits plus élevés en prévision de vagues pouvant atteindre deux mètres.
Un fort séisme de magnitude 7,4 s'est produit jeudi à une quarantaine de kilomètres des côtes nord-est du Japon, a annoncé l'Agence météorologique japonaise.
Cette nouvelle secousse s'est produite à 23h23 (14H23 GMT) à une profondeur de 40 km, au large de la préfecture de Miyagi déjà la plus touchée par le séisme du 11 mars. L'agence a mis en garde contre un tsunami pouvant aller jusqu'à deux mètres de haut.
Les personnes habitant le long des côtes de la préfecture de Miyagi doivent évacuer vers des endroits plus élevés en prévision de vagues pouvant atteindre deux mètres.
samedi 2 avril 2011
Arrêt de Carré Viiip: Combien vont toucher les candidats ?
Invité en direct dans Morandini!, hier soir sur Direct 8, Benoit affirmait "qu'il ne savait pas dans l'immédiat ce qu'il allait toucher comme argent".
Il expliquait: " Ce qui est certain c'est que nous serons payés jusqu'à aujourd'hui, mais pour le reste ce sont les avocats qui vont devoir se charger de négocier avec TF1."
De son côté, Thomas également présent sur le plateau de Morandini! ajoutait: "C'est très compliqué car pour entrer dans le jeu nous avosn du renoncer à plusieurs engagements et en particulier mettre entre parenthèse notre projet de spectacle avec Benoit. Il y a un vrai préjudice".
Peut être un début de réponse, ce matin dans le Parisien qui affirme que "la société Endemol se serait engagée à ce que les 16 jeunes, qui avaient signé un contrat à durée déterminée, perçoivent une rémunération comme s’ils avaient passé dix semaines dans la maison."
Il expliquait: " Ce qui est certain c'est que nous serons payés jusqu'à aujourd'hui, mais pour le reste ce sont les avocats qui vont devoir se charger de négocier avec TF1."
De son côté, Thomas également présent sur le plateau de Morandini! ajoutait: "C'est très compliqué car pour entrer dans le jeu nous avosn du renoncer à plusieurs engagements et en particulier mettre entre parenthèse notre projet de spectacle avec Benoit. Il y a un vrai préjudice".
Peut être un début de réponse, ce matin dans le Parisien qui affirme que "la société Endemol se serait engagée à ce que les 16 jeunes, qui avaient signé un contrat à durée déterminée, perçoivent une rémunération comme s’ils avaient passé dix semaines dans la maison."
jeudi 31 mars 2011
Carré VIP, c'est fini ! une première dans la téléréalité
Deux semaines de diffusion et Carré Viiip fait pshitt ! Jeudi soir, peu avant 21 heures, TF1 a décidé de stopper nette l'émission présentée par sa jeune recrue, l'animatrice Elsa Fayer. Une première en dix ans de téléréalité en France, puisque jamais un programme du genre diffusé en direct n'aura été évincé de l'antenne aussi brutalement.
TF1 arrête son émission de téléréalité «Carré Viiip»
Officiellement, la chaîne privée justifie son choix, faute d'audience.
Une lourde décision qui tombe, hasard ou pas, le jour-même de l'annonce d'une convocation prochaine de Nonce Paolini, patron de TF1 dans les bureaux du Conseil supérieur de l'audiovisuel pour discuter justement du cas «Carré Viiip».
TF1 arrête son émission de téléréalité «Carré Viiip»
Officiellement, la chaîne privée justifie son choix, faute d'audience.
Une lourde décision qui tombe, hasard ou pas, le jour-même de l'annonce d'une convocation prochaine de Nonce Paolini, patron de TF1 dans les bureaux du Conseil supérieur de l'audiovisuel pour discuter justement du cas «Carré Viiip».
mercredi 30 mars 2011
Le minimum vieillesse grimpe de 4,7%
Le minimum vieillesse sera augmenté le 1er avril afin d’atteindre les 25%de hausse en cinq ans, promis par Nicolas Sarkozy.
Le minimum vieillesse est une garantie de ressources pour les retraités n’ayant pas de pension ou ayant trop peu cotisé pour toucher une retraite suffisante.
Chose promise, chose due. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a annoncé hier la revalorisation du minimum vieillesse de 4,7% à partir du 1er avril. « Nous avons un engagement, de revaloriser le minimum vieillesse de 25% sur les cinq années » du mandat de Nicolas Sarkozy a-t-il rappelé.
Depuis le 1er avril 2010, le montant du minimum vieillesse était de 709 € par mois pour une personne seule et de 1157 € pour un couple. Le ministre a souligné la volonté du gouvernement que « l’inflation ne prenne pas le pas sur le pouvoir d’achat des retraités ».
Il a confirmé également que les pensions de retraite seront revalorisées de 2,1% au 1er avril, comme l’avait annoncé un peu plus tôt la ministre de l’Economie, Christine Lagarde. Comme l’inflation est prévue à 1,8%, « il y a donc 0,3% de rattrapage de façon à ce que jamais les pensions de retraites n’augmentent moins vite que l’inflation », a-t-il fait valoir.
Et de souligner que « dans certains pays européens, à cause de la crise, notamment en Allemagne, les pensions de retraites sont gelées, en Suède elles ont baissé en 2010 ».
Le minimum vieillesse est une garantie de ressources pour les retraités n’ayant pas de pension ou ayant trop peu cotisé pour toucher une retraite suffisante.
Chose promise, chose due. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a annoncé hier la revalorisation du minimum vieillesse de 4,7% à partir du 1er avril. « Nous avons un engagement, de revaloriser le minimum vieillesse de 25% sur les cinq années » du mandat de Nicolas Sarkozy a-t-il rappelé.
Depuis le 1er avril 2010, le montant du minimum vieillesse était de 709 € par mois pour une personne seule et de 1157 € pour un couple. Le ministre a souligné la volonté du gouvernement que « l’inflation ne prenne pas le pas sur le pouvoir d’achat des retraités ».
Il a confirmé également que les pensions de retraite seront revalorisées de 2,1% au 1er avril, comme l’avait annoncé un peu plus tôt la ministre de l’Economie, Christine Lagarde. Comme l’inflation est prévue à 1,8%, « il y a donc 0,3% de rattrapage de façon à ce que jamais les pensions de retraites n’augmentent moins vite que l’inflation », a-t-il fait valoir.
Et de souligner que « dans certains pays européens, à cause de la crise, notamment en Allemagne, les pensions de retraites sont gelées, en Suède elles ont baissé en 2010 ».
lundi 28 mars 2011
Dans la Creuse, la réduction d'effectifs publics fait craindre un "effet domino" sur l'emploi
L'événement ne risquait pas de passer inaperçu en Limousin. Toute la presse locale était conviée le 8 mars au ministère de la santé à Paris pour une annonce de première importance : la réouverture du service de radiothérapie de l'hôpital de Guéret (Creuse), fermé depuis le 30 juin 2010. Une "décision de bon sens", a commenté le ministre de la santé, Xavier Bertrand. Si pour le député Jean Auclair (Creuse, UMP), cette réouverture a été acquise grâce à ses relations au ministère, c'est bien la mobilisation populaire qui l'a motivée, assure la majorité départementale de gauche.
Un engagement significatif du contexte difficile qui pèse sur ce territoire. Le département subit un dépeuplement continu – 285 000 habitants à la fin du XIXe siècle, 124 000 début 2010 – et doit faire face à une population rurale à 76 %, composée de retraités à 39 %, avec 22 habitants au km2, soit cinq fois moins que la moyenne nationale.
L'Etat est le premier employeur de la Creuse (26,5 % d'emplois publics, contre 20,3 % au niveau national). L'objectif de la révision générale des politiques publiques (RGPP), programme lancé en juin 2007, est, selon la préfecture, "d'optimiser la gestion des moyens et des ressources humaines dans un objectif de plus grande efficacité et de performance". En clair : adapter l'action de l'Etat à la réalité démographique.
L'ÉDUCATION, SECTEUR LE PLUS TOUCHÉ
Ainsi, sur 111 bureaux de poste en 1998, 48 ont disparu, remplacés par des agences communales (49) et des "relais-poste commerçants" (10) qui, selon La Poste, "offrent l'essentiel des services" mais qui, d'après FO, limitent les opérations. L'effectif de l'administration fiscale tombera de 188 agents en 2000 à 123 en septembre 2011 ; l'équipement (139 salariés) a perdu neuf emplois en 2009. Selon la CGT, les cheminots ne sont plus que 90 contre 240 en 1986, pour trois gares "voyageurs" (14 en 1986) et deux gares "fret" (10 en 1986). Le centre Météo France a été transféré à Limoges ; l'Etablissement du matériel militaire (130 postes) va être fermé d'ici à 2013 ; la prison (30 emplois) en 2015.
L'éducation est le secteur le plus touché : depuis 2008, les 18 collèges ont perdu 31 postes d'enseignant. La suppression de 13 postes est annoncée à la rentrée 2011, et plusieurs filières vont disparaître. Alors que, selon le SNES, le principal syndicat du second degré, le nombre de collégiens va passer de 4 372 en 2008, à 4 461 en 2010.
Une "optimisation" des moyens de l'Etat récusée par Michel Vergnier, député et maire (PS) de Guéret : "Raisonner en termes de seuil et de rentabilité, ça n'a pas de sens dans les territoires ruraux. On est au minimum, descendre encore, c'est nous condamner." Beaucoup craignent un "effet domino", qui répercuterait la régression de l'emploi public sur l'emploi industriel et marchand. "Depuis 2004, continue M. Vergnier, l'emploi public a reculé d'un millier de postes dans le département. Dont, pour ma seule commune, 350 ces quatre dernières années."
"BOUCLIER RURAL"
"C'est la notion même d'aménagement du territoire qui disparaît", déplore Patrice Brunaud, gérant de deux PME qui emploient 27 personnes, et vice-président de la chambre de commerce et d'industrie (CCI). "Notre tissu économique est fait de PME, en général de belles entreprises familiales, mais dont un tiers sont vieillissantes. Il n'est pas évident d'attirer des repreneurs et des cadres dans un territoire qui a une image de déclin", explique-t-il. La CCI, les collectivités locales et le conseil régional ont la même vision des leviers possibles pour inverser l'évolution.
"Il est essentiel de fixer des critères d'accès aux services publics de base", conclut le maire de Guéret, qui a déposé une proposition de loi créant un "bouclier rural". Le 2 février, le député Pierre Morel A l'Huissier (UMP, Lozère) a proposé un "plan Marshall de la ruralité". Projet dénoncé par le PS comme un contre-feu à l'approche du second tour des élections cantonales, le 27 mars. Bouclier contre plan Marshall, un duel qui souligne l'urgence de la situation dans les départements ruraux.
le monde.fr
Un engagement significatif du contexte difficile qui pèse sur ce territoire. Le département subit un dépeuplement continu – 285 000 habitants à la fin du XIXe siècle, 124 000 début 2010 – et doit faire face à une population rurale à 76 %, composée de retraités à 39 %, avec 22 habitants au km2, soit cinq fois moins que la moyenne nationale.
L'Etat est le premier employeur de la Creuse (26,5 % d'emplois publics, contre 20,3 % au niveau national). L'objectif de la révision générale des politiques publiques (RGPP), programme lancé en juin 2007, est, selon la préfecture, "d'optimiser la gestion des moyens et des ressources humaines dans un objectif de plus grande efficacité et de performance". En clair : adapter l'action de l'Etat à la réalité démographique.
L'ÉDUCATION, SECTEUR LE PLUS TOUCHÉ
Ainsi, sur 111 bureaux de poste en 1998, 48 ont disparu, remplacés par des agences communales (49) et des "relais-poste commerçants" (10) qui, selon La Poste, "offrent l'essentiel des services" mais qui, d'après FO, limitent les opérations. L'effectif de l'administration fiscale tombera de 188 agents en 2000 à 123 en septembre 2011 ; l'équipement (139 salariés) a perdu neuf emplois en 2009. Selon la CGT, les cheminots ne sont plus que 90 contre 240 en 1986, pour trois gares "voyageurs" (14 en 1986) et deux gares "fret" (10 en 1986). Le centre Météo France a été transféré à Limoges ; l'Etablissement du matériel militaire (130 postes) va être fermé d'ici à 2013 ; la prison (30 emplois) en 2015.
L'éducation est le secteur le plus touché : depuis 2008, les 18 collèges ont perdu 31 postes d'enseignant. La suppression de 13 postes est annoncée à la rentrée 2011, et plusieurs filières vont disparaître. Alors que, selon le SNES, le principal syndicat du second degré, le nombre de collégiens va passer de 4 372 en 2008, à 4 461 en 2010.
Une "optimisation" des moyens de l'Etat récusée par Michel Vergnier, député et maire (PS) de Guéret : "Raisonner en termes de seuil et de rentabilité, ça n'a pas de sens dans les territoires ruraux. On est au minimum, descendre encore, c'est nous condamner." Beaucoup craignent un "effet domino", qui répercuterait la régression de l'emploi public sur l'emploi industriel et marchand. "Depuis 2004, continue M. Vergnier, l'emploi public a reculé d'un millier de postes dans le département. Dont, pour ma seule commune, 350 ces quatre dernières années."
"BOUCLIER RURAL"
"C'est la notion même d'aménagement du territoire qui disparaît", déplore Patrice Brunaud, gérant de deux PME qui emploient 27 personnes, et vice-président de la chambre de commerce et d'industrie (CCI). "Notre tissu économique est fait de PME, en général de belles entreprises familiales, mais dont un tiers sont vieillissantes. Il n'est pas évident d'attirer des repreneurs et des cadres dans un territoire qui a une image de déclin", explique-t-il. La CCI, les collectivités locales et le conseil régional ont la même vision des leviers possibles pour inverser l'évolution.
"Il est essentiel de fixer des critères d'accès aux services publics de base", conclut le maire de Guéret, qui a déposé une proposition de loi créant un "bouclier rural". Le 2 février, le député Pierre Morel A l'Huissier (UMP, Lozère) a proposé un "plan Marshall de la ruralité". Projet dénoncé par le PS comme un contre-feu à l'approche du second tour des élections cantonales, le 27 mars. Bouclier contre plan Marshall, un duel qui souligne l'urgence de la situation dans les départements ruraux.
le monde.fr
Le bulletin municipal de printemps est paru
Une jolie palette de couleurs orne la première page du bulletin municipal de ce mois d'avril 2011.
De nombreuses informations pour les résidents qui seront débattues "si vous le souhaitez" le 14 avril lors de la prochaine réunion publique.
Vous pourrez retrouver très prochainement ce bulletin sur le futur site de la ville. J'en ai eu une première vision, il est très bien conçu et apportera à tous des infos très positives pour la ville. Enfin une image extérieure pour la cité thermale.
En parcourant ce bulletin, vous remarquerez, qu'un début de reflexion devrait se propager au conseil municipal relatif à la liaison entre la station thermale et le bourg. Il était temps de s'en préocuper, c'est certainement cette liaison qui sauvera les commerces du bourg....
Pour répondre à des interrogations, NON, la gendarmerie ne fermera pas ses portes, un nouveau bail à été proposé.
Les camping cars devraient trouver refuge à Evaux, des propositions sont en cours.
** SIARU ? pour le résident c'est quoi...
Dans le bulletin d'avril 2010, un formulaire (questionnaire) vous demandait de donner votre avis, vos remarques (positives et négatives) et vos interrogations sur la ville et cela dans un seul but, essayer de proposer et de vous écoutez. Seul 60 sur 780 ex ont étés retournés en mairie. C'est fort dommage, pour une fois que l'on nous propose de donner et écouter notre avis .... la suite dans votre bulletin
Le Front national aura peu d'élus mais il a pesé sur le scrutin
Source : La Tribune.fr
A l'issue d'un scrutin qui ne lui est traditionnellement pas favorable, le Front national aura peu de conseillers généraux. Mais la campagne a largement tourné autour du parti créé par Jean-Marie Le Pen. Le Front national a obtenu ce dimanche soir son premier élu au second tour des cantonales dans le Vaucluse, à Carpentras. "Notre candidat à Carpentras, Patrick Bassot, a obtenu près de 54% des voix", a précisé Emile Cavasino, secrétaire départemental du FN. Une victoire qualifiée de "symbolique" par Jean-Marie Le Pen, qui faisait référence à l'affaire de la profanation du cimetière de cette ville, qui avait défrayée la chronique dans les années 90.
Un peu plus tard dans la soirée, on apprenait que Jean-Paul Dispard avait été élu dans le canton de Brignoles (Var) face au conseiller général communiste sortant Claude Gilardo, avec 50,03% des suffrages contre 49,97%, soit un écart de 5 voix, selon la préfecture du Var.
En revanche, Steeve Briois, secrétaire général du FN, a indiqué à Reuters qu'il n'était pas parvenu à battre son adversaire socialiste dans son canton du Pas-de-Calais, à Montigny-en-Gohelle. Selon la préfecture du Pas-de-Calais, Steeve Briois a obtenu 44,7% des voix face au conseiller général socialiste sortant Jean-Marie Picque (55,3%). Et Louis Aliot, numéro deux du FN et compagnon de Marine Le Pen, a été battu à Perpignan par une socialiste.
Le FN avait réalisé une forte poussée au premier tour avec un score historique pour ce type de scrutin d'un peu plus de 15%. Il s'était qualifié pour le second tour dans un peu plus de 400 cantons, dont un peu plus de la moitié pour des duels avec des candidats socialistes ou communistes.
En revanche, une ancienne du Front national, Marie-Claude Bompard, maire de Bollène (Vaucluse), a été réélue sous l'étiquette de la Ligue du Sud.
Les dirigeants du FN misaient officieusement à la veille du second tour sur une dizaine d'élus.
François Fillon, Premier ministre, a estimé dimanche soir que le "score (du FN) démontre que le vote protestataire ne doit pas être sous-estimé et banalisé. Ce parti doit être combattu et les causes de son audience doivent être lucidement évaluées et traitées (...) Le très faible nombre de ses élus démontre cependant qu'une grande majorité de citoyens, notamment de la majorité, refuse les solutions extrémistes".
A l'issue d'un scrutin qui ne lui est traditionnellement pas favorable, le Front national aura peu de conseillers généraux. Mais la campagne a largement tourné autour du parti créé par Jean-Marie Le Pen. Le Front national a obtenu ce dimanche soir son premier élu au second tour des cantonales dans le Vaucluse, à Carpentras. "Notre candidat à Carpentras, Patrick Bassot, a obtenu près de 54% des voix", a précisé Emile Cavasino, secrétaire départemental du FN. Une victoire qualifiée de "symbolique" par Jean-Marie Le Pen, qui faisait référence à l'affaire de la profanation du cimetière de cette ville, qui avait défrayée la chronique dans les années 90.
Un peu plus tard dans la soirée, on apprenait que Jean-Paul Dispard avait été élu dans le canton de Brignoles (Var) face au conseiller général communiste sortant Claude Gilardo, avec 50,03% des suffrages contre 49,97%, soit un écart de 5 voix, selon la préfecture du Var.
En revanche, Steeve Briois, secrétaire général du FN, a indiqué à Reuters qu'il n'était pas parvenu à battre son adversaire socialiste dans son canton du Pas-de-Calais, à Montigny-en-Gohelle. Selon la préfecture du Pas-de-Calais, Steeve Briois a obtenu 44,7% des voix face au conseiller général socialiste sortant Jean-Marie Picque (55,3%). Et Louis Aliot, numéro deux du FN et compagnon de Marine Le Pen, a été battu à Perpignan par une socialiste.
Le FN avait réalisé une forte poussée au premier tour avec un score historique pour ce type de scrutin d'un peu plus de 15%. Il s'était qualifié pour le second tour dans un peu plus de 400 cantons, dont un peu plus de la moitié pour des duels avec des candidats socialistes ou communistes.
En revanche, une ancienne du Front national, Marie-Claude Bompard, maire de Bollène (Vaucluse), a été réélue sous l'étiquette de la Ligue du Sud.
Les dirigeants du FN misaient officieusement à la veille du second tour sur une dizaine d'élus.
François Fillon, Premier ministre, a estimé dimanche soir que le "score (du FN) démontre que le vote protestataire ne doit pas être sous-estimé et banalisé. Ce parti doit être combattu et les causes de son audience doivent être lucidement évaluées et traitées (...) Le très faible nombre de ses élus démontre cependant qu'une grande majorité de citoyens, notamment de la majorité, refuse les solutions extrémistes".
dimanche 27 mars 2011
carte politique de vos cantons en Creuse 2008/2011 Résultats
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Les cantonales 2011 2ème tour en creuse - Résultat vers 20h30 -
Le 20 mars s'est tenu le premier tour des élections cantonales. Le renouvellement des membres des conseils généraux concerne tous les départements (à l'exception de celui de Paris où les attributions dévolues au conseil général sont exercées par le conseil de Paris) ainsi que Mayotte.
Lors des élections cantonales de 2008 en métropole, à 17H00 ce taux était de 54,53 %.
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