samedi 7 janvier 2017

LE CENTRE D'ANIMATION DE LA VIE LOCALE AGIR à Evaux les bains

LE CENTRE D'ANIMATION DE LA VIE LOCALE AGIR


- Accueil, Orientation et Accompagnement des publics:
AGIR met à disposition des Evahoniens et des Evahoniennes un espace d’accueil, d’écoute, d’orientation et d’accompagnement pour ce qui concerne bon nombre de questionnements de la vie quotidienne.
Nous pouvons vous apporter information et documentation sur la formation professionnelle, l’emploi, la santé, la vie pratique, le logement, les loisirs, les vacances, etc. Nous favorisons les démarches administratives.
L’accueil du public se fait du lundi au vendredi de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h30 dans nos locaux 5 rue Léo Lagrange. Il est gratuit, personnalisé, anonyme et direct.
- Emploi, formation, orientation :
Nous pouvons vous conseiller et vous aider à rédiger vos lettres de motivation et curriculum vitae.
Un ordinateur est mis à votre disposition pour consulter les offres d’emploi. Si vous le souhaitez, un animateur peut vous accompagner dans vos recherches.
Nous possédons également un ensemble de ressources sur la formation professionnelle.
Pour les 15-25 ans, nous accueillons le 1er lundi de chaque mois un conseiller de la Mission Locale dans nos locaux.
- Mobilité :
Nous vous accompagnons dans vos recherches de solutions mobilité : acquisition ou location d’un véhicule, recherche de financements pour le passage du permis de conduire, recherche de solutions de transport dans le cadre de l’emploi ou de la formation, co-voiturage…
Nous proposons un service de location de scooter à 1.50 €/jour.
Nous programmons régulièrement des ateliers de soutien au Code de la route (cf. programme trimestriel des activités de l’association).

- Famille, parents :
Nous sommes également un lieu ressource qui centralise les questions de famille relatives aux modes de gardes, aux évènements et conflits familiaux, au budget, au logement, etc.
Pour tout renseignement, contactez l’association au 05 55 82 80 47.
Cliquer ici pour consulter le programme des animations de septembre à décembre 2016 ⇒ programme

Le projet de la SALLE SOCIO-CULTURELLE à Evaux les bains avance a grands pas.


SALLE SOCIO-CULTURELLE

La salle socio-culturelle, le projet phare du mandat
Suite à la découverte de vestiges Gallo-Romains fin 2012 sur le terrain du Champ Avel, pressenti pour accueillir la construction de la salle socioculturelle, le projet était au point mort.
Le choix d’un nouveau site s’imposait, il s’est finalement porté sur le terrain jouxtant le parking du Casino. Ainsi, après 2 jours de fouilles archéologiques, l’heure est actuellement au projet.
Les dimensions, les fonctionnalités et les limites budgétaires sont clairement définies. Coté environnemental, le bâtiment devrait s’intégrer parfaitement. A ce stade, aucun choix n’est encore arrêté quant aux matériaux qui pourront être utilisés.
A l’issue du concours, le jury a retenu le cabinet ADEQUAT pour la maitrise d’œuvre de la salle culturelle
Le projet devient désormais réalité !!
Le dessin est l’expression d’un programme longuement réfléchi dans le cadre d’un comité de pilotage associant élus, techniciens du Pays de Combrailles en Marche, services techniques  du département et de la région, ainsi que des représentants des associations.
Notre démarche a été guidée par deux principales préoccupations :

  • Que le projet réponde aux attentes du territoire et des futurs utilisateurs,
  • Que le montant de l’investissement et le coût de fonctionnement prévisionnel soit supportable par la collectivité.

L’approche architecturale se caractérise par :


- L’assemblage de plusieurs bâtiments très distincts dans leurs utilisations, pouvant fonctionner seuls ou ensemble, et permettre ainsi une très grande polyvalence d’usages.
Le bâtiment est composé de deux volumes distincts, un volume "Accueil/Exposition/Bar" et un volume "Grande Salle (gradinée)/Petite Salle/Office traiteur", le tout lié par deux galeries formant un patio planté.
Ces volumes simples sont agrémentés de cubes colorés pour marquer les différentes entrées et agrandir le volume de la salle de spectacles.


Les formes et les principes utilisés permettent une simplicité structurelle qui est transcrite par des murs à ossature bois (pour le volume Accueil) et une charpente métallique (pour le volume de la Grande Salle).
L’homogénéité de l’enveloppe se fait par un bardage isolant/acoustique, pouvant recevoir directement les différents matériaux envisagés en murs et couverture.

Ces principes constructifs permettent une rapidité d’exécution mais aussi de possibles extensions.


L’insertion dans le site est présentée par la création d’un bâti "simple", principalement couvert par des toitures à 2 pans, se retournant afin de rejoindre le sol naturel. L’échelle des différents volumes augmente crescendo en réponse au tissu urbain avoisinant, allant du pavillonnaire au Casino.

Cette intégration est amplifiée par le choix de matériaux simples et durables, du zinc de différentes couleurs pour les couvertures, les murs et les cubes (en réponse aux vêtures du Casino), des carrelets mélèzes pour les plus petits pignons, des parements briques pour les plus grands et des parois en verre profilé pour les entrées et coursives, ainsi que des châssis en aluminium pour l’ensemble des ouvertures.

Les aménagements et cheminements extérieurs participent eux aussi à préserver au maximum le site, en évitant et en conservant les arbres existants, l’esprit de prairie qui se dégage, avec la mise en place de voies lourdes en cailloux - terre pour l’accès des véhicules de livraisons, de spectacles, de manèges et de Cirques, de cheminements piétonniers en stabilisé renforcé et en bois mélèzes.
En référence à une ville d’eau, le dessin de ces cheminements s’apparente à des cours d’eau qui serpentent dans la parcelle, afin de relier le bâtiment aux différents parkings.

La promenade se prolongera jusqu’à la future voie verte, tout en traversant le patio.
Ce circuit est un point de départ de promenade vers la future voie verte permettant un rayonnement sur la ville et le pays.

Au-delà de la diversité des activités associatives, culturelles et de rencontre, l’approche scénotechnique permettra l’accueil de spectacles dans des conditions professionnelles ; Cela constitue un des enjeux majeurs du projet dont la réussite repose sur deux critères étroitement liés au confort des personnes et à la qualité des équipements, en termes de fiabilité, de robustesse et de sécurité.


En complément des exigences réglementaires (incendie, accessibilité PMR, urbanisme, acoustique, environnement), le projet propose des réponses complémentaires pour des usages occasionnels différents :
  • une scène extérieure  avec le théâtre de verdure,
  • la possibilité de réaliser des projections cinématographique,
  • une cloison amovible qui module les espaces entre la salle gradinée et la salle multifonctions proposant une réelle polyvalence,
  • un patio planté liant les différents espaces d’activités du projet en apportant les bienfaits d’un espace extérieur.

Les bureaux d’études sont maintenant à pieds d’œuvre pour finaliser leurs différentes missions afin de pouvoir entamer la consultation des entreprises. L’objectif reste de poser la première pierre avant la fin du premier semestre 2016.

Episode à suivre très prochainement …

Une jolie vue de Fontanieres


Une jolie vue de Fontanieres il y a bien longtemps offert par 
Fabrice Boureille

vous pouvez en découvrir de nombreuses à cette adresse LIEN

Vulcania recrute une centaine de personnes en 2017

Pour les 15 ans de Vulcania, une centaine d’emplois sont à pourvoir. Le 22 mars prochain, le parc ouvrira ses portes pour une nouvelle saison riche en événements. L’équipe dirigeante recrute d’ores et déjà une centaine de personnes en contrat saisonnier sur les postes suivants: 
hôtes d’accueil, vendeurs en boutiques, magasiniers en restauration, cuisiniers, plongeurs, chefs de rang, employés de cafétéria, vendeurs « ventes à emporter », animateurs scientifiques, assistant documentaliste. 
Une langue étrangère est exigée, une deuxième souhaitée pour le personnel d’accueil. Une expérience est exigée pour le personnel de restauration. Les animateurs scientifiques assurent les visites scientifiques tant pour les scolaires que pour le grands public et doivent disposer d’excellentes aptitudes pédagogiques. Une formation scientifique est exigée. L’ensemble des personnes recrutées bénéficie d’une formation avec une partie « métier » et une partie « volcanologie ». Pour postuler, CV et lettre de motivation à envoyer au service RH de Vulcania via la rubrique recrutement du site internet: www.vulcania.com

vendredi 6 janvier 2017

Fusillade en Floride 9 Morts

Une fusillade a éclaté dans un aéroport de Floride, aux Etats-Unis. Neuf victimes sont à déplorer. 

Des tirs ont fait plusieurs victimes dans un aéroport de Floride, rapportent des médias américains. Un homme a ouvert le feu ce vendredi dans l'aéroport international de Fort Lauderdale. Le compte Twitter de l'aéroport a signalé l'incident aux environs de 19h (heure française). 

Montluçon : Fusion Cimexpo et Nivexpo : MONEV


Un travail d'hommes, une grande fusion pour la région. 
MONEV

Enfin, les stations de ski d'Auvergne ouvrent ce samedi

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jeudi 5 janvier 2017

Plan grand froid déclenché dans la Creuse

Résultat de recherche d'images pour "plan grand froid"Il va faire très froid ces prochains jours. Ce jeudi soir, le Préfet de la Creuse a donc décidé d'activer le plan hivernal. Les prévisions de Météo France font état de températures ressenties entre -10 et -18 degrés.
 Le Préfet de la Creuse appelle toute la population à faire preuve d’une attention particulière pour détecter les personnes sans abri qui pourraient se trouver en danger.

Bernard Cazeneuve se rendra dans la Creuse « dans les semaines à venir »

Résultat de recherche d'images pour "ministre cazeneuve"Bernard Cazeneuve se rendra « dans les semaines à venir » dans la Creuse pour soutenir les éleveurs de la ferme dite « des 1 000 veaux », dont une délégation a été reçue jeudi à Matignon, après l'incendie criminel sur le site en décembre.

Un bâtiment de cette ferme, un centre d'engraissement bovin situé à Saint-Martial-le-Vieux (Creuse) vivement contesté par certains défenseurs des animaux, a été la cible d'un important « incendie criminel » le 22 décembre.
Le centre, d'une capacité de 1 000 places, est soutenu et subventionné par l'Etat et des collectivités locales. « Le Premier ministre sera aux côtés des 70 éleveurs qui portent ce projet », il « ira dans la Creuse dans les semaines à venir pour porter ce message de soutien », a-t-on appris jeudi auprès de Matignon.
Selon la même source, « l'expérience de Saint-Martial-le-Vieux est une réponse positive à la crise qui frappe la filière de l'élevage en France, il faut la soutenir et l'encourager ».
Avec d'autres associations de défense de l'environnement et du bien-être animal, l'association L-PEA (Lumière sur les pratiques d'élevage et d'abattage) a organisé au cours des deux dernières années de nombreuses manifestations pour s'opposer à ce centre d'engraissement.
Bernard Cazeneuve se rendra également au salon de l'agriculture (25 février-5 mars) pour « incarner le soutien de l'Etat aux éleveurs, à la filière bovine et à l'ensemble du monde agricole. Il soulignera notamment les avancées majeures obtenues en matière d'étiquetage et de mention de l'origine France », selon Matignon.

Pizzeria Le Cass'croute à Evaux les bains

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Les stations classées de tourisme pourront conserver leur office de tourisme communal

TourismePublié le vendredi 6 janvier 2017
La loi Montagne du 28 décembre 2016 a tranché : les stations classées de tourisme pourront conserver leur office de tourisme communal... enfin, uniquement celles qui ont anticipé cette dérogation à la loi Notr.
Si l'année 2017 s'annonce comme une nouvelle étape dans la montée en puissance des intercommunalités, elle débute néanmoins par une - petite - victoire de l'échelon communal. La loi du 28 décembre 2016 de modernisation, de développement et de protection des territoires de montagne - dite loi Montagne (voir notre article ci-contre du 5 janvier 2017 sur les dispositions de l'ensemble du texte) - tranche en effet en faveur de la demande exprimée par les offices de tourisme des stations, fortement relayée par les élus quasi unanimes : celle de conserver un office communal dans les stations classées. Une décision qui contredit l'esprit et la lettre de la loi Notr (nouvelle organisation territoriale de la République) du 7 août 2015, prévoyant le transfert de la compétence tourisme à l'échelon intercommunal.

Une dérogation pour toutes les stations classées ou en voie de l'être...

Les stations de montagne ont fait valoir le risque d'une perte de visibilité de leurs territoires, désormais positionnés comme des marques, et la difficulté prévisible à faire cohabiter au sein d'un même office, le cas échéant, des stations et des domaines skiables ouvertement concurrents.
L'article 69 de la loi Montagne leur donne satisfaction, en prévoyant notamment que "les communes touristiques érigées en stations classées de tourisme [...] ou qui ont engagé, au plus tard le 1er janvier 2017, une démarche de classement en station classée de tourisme peuvent décider, par délibération prise avant cette date, de conserver l'exercice de la compétence 'promotion du tourisme, dont la création d'offices de tourisme'".
En d'autres termes, peuvent conserver leur office de tourisme les communes (qu'elles soient de montagne ou non) qui se trouvent dans l'un des trois cas de figure suivants. Le premier est celui des communes déjà classées station de tourisme. Second cas : les communes qui ont engagé, au plus tard le 1er janvier 2017, une démarche de classement en station classée de tourisme et ont décidé, par délibération prise avant cette date, de conserver l'exercice de la compétence "promotion du tourisme, dont la création d'offices de tourisme".

... et application du droit commun pour les autres stations

Le troisième cas est celui des communes qui ont engagé la démarche par une délibération du conseil municipal - toujours avant le 1er janvier 2017 - décidant de préparer, en vue d'un dépôt avant le 1er janvier 2018, un dossier de classement de leur office de tourisme dans la catégorie requise pour remplir les critères de classement de la commune en station classée de tourisme. Dans ce troisième cas, la démarche doit être complétée par le dépôt d'un dossier de classement en station classée de tourisme dans l'année qui suit, le cas échéant, le classement de l'office de tourisme.
En l'absence de dépôt d'une demande avant les échéances indiquées ci-dessus - ou lorsqu'une des demandes de classement a été rejetée par l'autorité administrative compétente -, "la délibération de la commune touristique par laquelle elle a décidé de conserver la compétence 'promotion du tourisme, dont la création d'offices de tourisme' cesse de produire ses effets et la compétence est exercée par la communauté de communes en lieu et place de la commune".
Ces échéances font toutefois l'objet d'une exception au bénéfice des stations classées de la métropole d'Aix-Marseille-Provence, qui ont jusqu'au 1er janvier 2018 - soit un an de plus - pour procéder aux démarches nécessaires.

(En 2015) Journée de l'agriculture à Evaux les bains 22 et 23 août 2015

creardoise, artisanat à Evaux les bains

Le CH d'Evaux-les-Bains a entièrement rénové sa blanchisserie pour répon...

C'était en 2014, Monsieur Papineau nouveau maire à Evaux les bains

centre thermal Evaux les bains

mercredi 4 janvier 2017

Conseil régional Aquitaine : Des conseillers régionaux de l'UDI ont déposé une plainte contre X mardi

Ségolène Royal lors de la signature du Contrat de plan Etat-Région avec l'ex-Poitou-Charentes, le 4 mai 2015 à Poitiers.Des conseillers régionaux de l'UDI (opposition centriste) ont déposé une plainte contre X mardi après la publication en décembre d'un rapport de la Chambre régionale des comptes sur la mauvaise gestion financière de l'ex-région Poitou-Charentes, présidée pendant dix ans par Ségolène Royal.
"Il faut que l'on sache qui sont les responsables. Quand on a une entreprise, on a des comptes à rendre. Et bien aujourd'hui, c'est aussi ça le rôle des élus", a déclaré lors d'un point presse à Poitiers Christelle Chassagne, élue centriste des Deux-Sèvres. Les conseillers UDI, soutenus notamment par des élus Les Républicains, ont déposé plainte dans l'après-midi au commissariat.
La chambre régionale des comptes (CRC) avait publié en décembre un rapport confirmant les impayés à hauteur de 111 millions d'euros, que la région Nouvelle-Aquitaine (Aquitaine, Limousin, Poitou-Charente) a réglé, et la dette léguée par l'ex-région Poitou-Charentes, dont 46 millions d'emprunts toxiques que la nouvelle région doit aujourd'hui rembourser.
"Un directeur financier signait, contractait des prêts sans délégation de signature ni délibération du Conseil régional pour le faire. Donc pour nous, c'est reprendre ni plus ni moins ce qui est écrit dans le rapport de la chambre régionale des comptes qui dit que cette procédure n'est pas légale", a expliqué l'élu centriste de Charente-Maritime, Bruno Drapron.
Lors de l'assemblée plénière du Conseil régional à Bordeaux le 19 décembre, de nombreux élus de différents partis avaient demandé à la Région "d'établir les responsabilités" sur cette gestion financière.
"Au nom du groupe UDI, nous vous demandons de porter plainte contre Daniel Parizot", directeur financier de l'ex-Poitou-Charentes, avait déclaré le président de ce groupe, Jean Dionis du Séjour, en s'adressant au président du conseil régional Alain Rousset (PS).
Ne souhaitant pas passer la mandature "à regarder dans le rétroviseur", Alain Rousset s'en était tenu à rappeler que la CRC n'avait pas saisi la Cour de discipline budgétaire, seule habilitée à poursuivre pénalement.
Le 8 décembre, Ségolène Royal, ministre de l'Environnement, avait estimé que le rapport de la CRC validait la gestion de l'ex-région Poitou-Charentes dont elle avait été présidente de 2004 à 2014.

Les vœux du maire Evaux les bains 2017 et rétro 2016.

mardi 3 janvier 2017

L'élu et ancien député de Creuse Jean Auclair a été jugé et condamné ce mardi

Résultat de recherche d'images pour "jean auclair"L'élu et ancien député de Creuse Jean Auclair a été jugé et condamné ce mardi par le tribunal de grande instance de Tulle. Il a été reconnu coupable d'outrage sur un agent vétérinaire de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP). Les faits, commis à l'abattoir Charal d'Egletons suite à un contrôle sur une carcasse de bovin, remontent au 23 octobre 2015. 
L'actuel maire de Cressat, en Creuse, Jean Auclair a comparu ce mardi 3 janvier devant le tribunal correctionnel de Tulle pour des faits d'intimidation envers un dépositaire de l'autorité publique. En l'occurrence, un vétérinaire contractuel de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) chargé d'effectuer des contrôles sur les bêtes et les carcasses à l'abattoir Charal d'Egletons, en Corrèze.

L'agent de la DDCSPP violenté verbalement

Excédé de voir que la carcasse d'un bovin de la SARL JBJ Bétail, apartenant à l'épouse de l'ex-député, faisait à nouveau l'objet d'un contrôle le 23 octobre 2015 dans l'établissement d'abattage corrézien, l'élu creusois était sorti de ses gonds et avait violenté verbalement l'agent de la DDCSPP. La gendarmerie, ainsi que le sous-préfet de Brive et un représentant des services sanitaires de l'Etat dans le département s'étaient alors rendus sur place. Ce n'est qu'une semaine après les faits que le parquet de la juridiction corrézienne, informé de manière fortuite, s'était saisi du dossier et avait décidé au vu des premiers éléments d'engager des poursuites.

Café rencontre avec réseau Bulle23

Affichage de 15554692_10209985750553041_1102593703_n.jpg en cours...

Réseau Bulle 23 réseau nationale d'entraide et de solidarité des personnes autistes (TSA) et troubles parfois associés ( TDA/H, DYS et HP). Cette rencontre est ouverte à tous.

Médiathèque Intercommunale d'Evaux - Chambon

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Plusieurs fins de chantier inaugurées dans la creuse

Plusieurs fins de chantier inaugurées

Après deux mois et demi de travaux, les chantiers du pont de Villebasse, sur la commune de Nouziers, et de la RD56 desservant les entreprises Dilisco et Seelec, sont désormais achevés.

2016 s’achève, et avec elle, deux chantiers parmi les travaux d’envergure engagés par le Conseil départemental, après deux mois et demi de travaux : le pont de Villebasse, sur la commune de Nouziers, et la RD56 desservant les entreprises Dilisco et Seelec sur la commune de Bonnat.
L’heure était à l’inauguration, le 21 décembre, par la Présidente du Département, Valérie Simonet, en présence d’Hélène Faivre, vice-Présidente en charge des infrastructures, Hélène Pilat, conseillère départementale du canton, et des élus du secteur.
L’opération de réhabilitation du pont de Villebasse s’inscrit dans le programme annuel de grosses réparations aux ouvrages d’art. Cet ouvrage, qui franchit le ruisseau de Nouziers, sur le territoire de la commune du même nom, présentait en effet de nombreux désordres structurels (maçonnerie fracturée, fissures multiples, défaut d’étanchéité,…) et nécessitait une intervention pour assurer sa pérennité.
Les travaux ont permis de remplacer l’ancien pont en maçonnerie par un ouvrage cadre en béton armé dont les éléments préfabriqués ont été calés en dessous du lit naturel du cours d’eau de façon à restaurer sa continuité écologique et avec un parement en maçonnerie pour conserver un aspect esthétique équivalent.
Financé à 100% par le Département, le projet est évalué à 103 000 euros.
L’aménagement de la RD 56, desservant deux activités économiques importantes avec les entreprises Dilisco et Seelec, s’inscrit dans le Programme Routier d’Intérêt Départemental (PRID) du Conseil départemental, dont l’objectif est la modernisation des axes de liaison inter-cantonale et de desserte d’activité spécifique dont le trafic journalier de poids-lourds est significatif.
Cette opération consistait en la constitution d’un véritable corps de chaussée permettant de supporter un trafic poids-lourds modéré et à son calibrage à 6,00 m de largeur utile avec des accotements de 1,70 m, sur environ 1 km.
Le carrefour de la RD56 avec la RD15 a également été réaménagé pour favoriser les mouvements de giration des poids-lourds et améliorer la visibilité.
Ce chantier a nécessité le déplacement de nombreux réseaux enfouis ou aériens (téléphone, eau potable, électricité, gaz). La bonne implication des différents concessionnaires couplée à une bonne coordination assurée par les services du Département aura permis de réaliser les travaux dans les temps et dans de bonnes conditions.
Il est à noter également que la consultation relative à cette opération a été ouverte à variante (sur les deux dernières couches de chaussée) pour laisser la possibilité aux entreprises de proposer des solutions innovantes et respectueuses de l’environnement. Ainsi des gains ont pu être réalisés en matière d’énergie (-27,2%), en émission de gaz à effet de serre (-26,7%) et en granulats (-43,8%).
Le coût total de cette opération s’élève à 800 000 euros.