samedi 21 novembre 2015

INFO : Dans une vidéo de propagande, l'Etat islamique prévient que les attaques de Paris ne sont "que le début"



Permalien de l'image intégréeNouvelle menace du groupe Etat islamique, une semaine jour pour jour après les attentats de ParisDans une nouvelle vidéo de propagande publiée sur internet vendredi 20 novembre, deux hommes parlant français, dont l'un est visage découvert, évoquent les attaques du 13 novembre et promettent que ce n'est "que le début". Leurs images ont été capturées et publiées sur Twitter par Arnaud Comte, un journaliste de France 2. 

"Ca va arriver encore. Tant que vous êtes là [en Syrie], ça va arriver chez vous (...) Là c'est que le début," menace, en français, un homme habillé en treillis avec une arme à la main. Il s'en prend également à François Hollande. Un autre homme, visage découvert tient lui aussi sensiblement les mêmes propos et menace François Hollande. Selon des informations de France 2, ce dernier s'appelle Yanis Belhamra. Cet ancien livreur de pizzas est né à Bezons dans le Val d'Oise, et se fait désormais appeler "Abdul Wadoud".


Il y a deux années, Bernard Campos, Maire d'Evaux quittait ce monde


Il y a maintenant deux ans, Bernard campos quittait ce monde après un accident.
Maire d'Evaux les bains depuis 2008 à 2013.

Je tenais à lui rendre hommage avec cette petite vidéo d'une des actions menées lors de son mandat.
Dors en paix, Bernard !

Evahona ouvert toute l'année


L'office de tourisme d'Evaux les bains au salon de la randonnée à Eguzon



Plus de 15000 visiteurs lors du salon de la randonnée à Eguzon dans l’Indre. l'office de tourisme d'Evaux les bains présentait son nouveau catalogue de randonnée et présentait la station thermale.

Les jolies couleurs de l'office de tourisme d' Evaux les bains

jeudi 19 novembre 2015

Loto de l'école Jeanne d'Arc à Evaux les bains ce dimanche



Christophe Duplan, pianiste chanteur à découvrir




Le salon de la randonnée à Eguzon dans l'indre

Plus de 15000 visiteurs lors du salon de la randonnée à Eguzon dans l’Indre. l'office de tourisme d'Evaux les bains présentait son nouveau catalogue de randonnée et présentait la station thermale.


Reportage et court métrage réalisé par Dominique bellet - ApcA-Production association.

Accident de train au nord de la Souterraine

Accident de train au nord de la Souterraine

Un accident de train est survenu ce jeudi matin 19 novembre au Nord de la Souterraine. Un train de la Ligne POLT a percuté trois chevaux.

© F3LimousinLes voyageurs sont restés bloqués plus de 3 heures dans le train. L’Intercités 3610 de la ligne POLT (Paris-Orléans-Limoges-Toulouse) a percuté trois chevaux ce mardi matin 19 novembre au niveau de Saint-Agnant-de-Versillat. Coincé au nord de la Souterraine la locomotive « très endommagée » selon la SNCF n’a pas pu repartir

L’accident qui a bloqué deux voies de chemin de fer n’a fait heureusement aucun blessé.

Pour atteindre Paris Austerlitz, les voyageurs arrêtés au terminus exceptionnel de Saint-Sulpice-Laurières, devront terminer le trajet dans l’Intercités 3620 retardé de 3h environ. Le trafic sur la région est perturbé, il devrait redevenir normal cet après-midi. 

mercredi 18 novembre 2015

La boutique de l'office de tourisme


Vous aimez les produits du terroir, vous souhaitez soutenir les producteurs, artisans de notre région, une bonne adresse qui vous proposera de très nombreux délices de la Creuse. 
En effet l'office de tourisme vous propose tout un panel de douceurs creusoises. Du safran de St Blaise en passant par les délicieux nougats, un très bonnes et belles diversité de produits du terroir afin de régaler vos papilles, offrir et faire découvrir le savoir faire de nos producteurs.


Avec une très large amplitude d'ouverture, le meilleur accueil vous sera réservé.


Pour les fêtes de fin d'années, offrez des produits du terroir.

Hommage à toutes victimes des attentats de Paris le 13 novembre 2015


Hommage à toutes victimes des attentats 
de Paris le 13 novembre 2015

Une belle distinction reçu ce matin pour notre association.


Nous avons reçu ce matin un beau diplôme et surtout une belle distinction.
Nous sommes très fiers de cette belle récompense 2015.

lundi 16 novembre 2015

Pas d'islamistes apparemment dans la creuse

A Evaux les bains, hommage à ce massacre à Paris

L’ARRIVÉE DE LA NEIGE A BASSE ALTITUDE

UNE SEMAINE DOUCE AVANT UNE BRUTALE CHUTE DES TEMPÉRATURES ET L’ARRIVÉE DE LA NEIGE A BASSE ALTITUDE VOIR EN PLAINE ?
15/11/2015
Après une semaine où les températures dépasseront souvent la barre des 17°C en journée, le temps va nettement se dégrader à l’approche du week-end prochain avec l’arrivée d’une masse d'air humide et froid.

Si le début de semaine reste encore ensoleillé après la dissipation des nuages bas matinaux, dès vendredi le temps se dégrade nettement avec une perturbation active en provenance du nord avec de bonnes pluies en plaine et de la neige en montagne au-dessus de 2.500m d’altitude.

Arrivée brutale du froid et de la neige le week-end ?

Samedi sous temps souvent humide, le vent basculera au nord faisant baisser la limite pluie/neige de 2000m en matinée à environ 500m en fin de journée, cette limite s’abaissera d’avantage dans la nuit de samedi à dimanche à la faveur d’un vent de nord très froid, si bien qu’au cours de la journée de dimanche les flocons de neige atteindront les régions de plaines.

Une chute des températures vertigineuses de presque 20°C en 48h !

Les températures dégringoleront, elles perdront presque 20°C dans certains départements, nous passeront alors en général de 15 à 18°C vendredi pour passer de 0 à 3°C de maximales dimanche !

dimanche 15 novembre 2015

Attentats à Paris : dans l'enfer du Bataclan


Attentats du 13 novembre à Paris : Retour sur... par lemondefr Coucher l'horreur sur procès-verbal. Mettre des mots sur l'innommable. Pour le tenir à distance, et paradoxalement se convaincre qu'il est bien advenu : de jour comme de nuit, depuis trente-six heures, les rescapés du Bataclan se succèdent au Quai des Orfèvres, au cœur de Paris, pour y être entendus par les hommes de la police judiciaire.





Paris (XIe), vendredi soir. Alors que la prise d’otages a toujours cours à l’intérieur du Bataclan, la police commence à évacuer des blessés.


A chaque fois, le récit d'une même terreur glaçante. D'abord, celle de ces « pétards » que tous ont cru entendre au fond de la salle. « Un son distinct, mais pas si fort, décrit Sidonie, 45 ans. On aurait dit comme un bruit de jouet. Plein d'étincelles jaillissaient dans la pénombre. On a cru à une mise en scène. Ça faisait Nouvel An chinois ! »

Un bref silence tombe sur les lieux, suivi d'une vague de hurlements, à mesure que les crépitements strient l'atmosphère confinée. « La foule a foncé vers nous, souffle Sidonie. Les gens en piétinaient d'autres. Je ne sais pas comment, mais les portes se sont ouvertes sur notre gauche. On a rampé ou marché à quatre pattes, je ne sais plus, puis couru. Il fallait sortir ! »

Paris, samedi soir. Devant les grilles du périmètre de sécurité installé autour du Bataclan, de nombreux anonymes sont venus rendre hommage aux victimes jusque tard dans la nuit.


Ce réflexe, c'est aussi celui qui a sauvé Stéphane, aussi bien qu'il aurait pu le condamner. « J'étais parti prendre une bière au bar lorsque j'ai croisé un vigile. Un colosse dont le regard était transfiguré par la panique. L'odeur de poudre a empli l'air. J'ai couru en arrière. » Au comptoir, Marion,photographe spécialisée dans le rock, est l'une des premières touchées. « J'avais fini mes photos et je discutais avec de vieux copains. La balle m'a atteint dans le bas du dos, pas très profondément. J'ai vu ce matin que mon sac photo avait un trou, c'est probablement lui qui m'a sauvé la vie. »

Les lumières se rallument. Marion entend les ravisseurs clamer : « On intervient au nom de Daech, on fait ça pour tout ce que vous faites en Syrie et en Irak. » La photographe pense alors à l'un de ses confrères et amis, tué justement en Syrie. « Mais je n'ai pas paniqué. Je me suis allongée sous mon sac photo. » Stéphane, lui, se reprend, s'agenouille discrètement près d'un poteau et observe. « Je voulais voir leur tronche. Etre capable de la décrire à la police. » C'est ce qu'a fait hier cet avocat de 48 ans, retraçant minutieusement les dialogues des assaillants, « des mecs de 25-30 ans, maghrébins avec une barbichette comme la mienne, pas du tout le look salafiste ».

« Vous bombardez la Syrie, vous allez comprendre », entend-il distinctement. « Ils disaient aux gens de ne pas bouger, et les abattaient ensuite de sang-froid. J'ai eu l'impression de fanatiques surentraînés. » Rapidement, deux des trois assaillants montent à l'étage. « J'ai pensé aux héros du Thalys, se remémore Stéphane. Au fait que vivre, ça veut dire être actif. Je ne voulais rien perdre de la scène pour en comprendre tous les rouages, et être alors capable d'agir au mieux. »

L'espace de quelques minutes, l'avocat croit la fosse libre de tout terroriste. « Un couple se trouvait devant moi. J'ai vu qu'ils pensaient à la même chose. » La jeune fille et son ami s'élancent. Une courte rafale claque, et la première s'effondre. « Son gars s'est précipité sur elle. Il l'étreignait, mais je crois que c'était fini », lâche Stéphane. Contre toute attente, il fonce à son tour, dopé par l'adrénaline. « J'ai enjambé des corps. Mes ligaments, qui avaient déjà craqué par le passé, ont cédé. J'ai tenu bon, retrouvé la sortie. Je ne sais pas s'ils m'ont tiré dessus, mais je n'ai rien entendu. »

Il est 22 h 5. Les terroristes ne se trouvent dans la salle de concert que depuis vingt minutes. A la porte principale, Stéphane ne croise qu'« un îlotier, tout seul, avec sa chasuble bleue, et son flingue à la main ». L'avocat respire l'air extérieur comme au premier jour, retrouve sa moto et... rentre chez lui. « Lorsque j'ai allumé la télé, on parlait de quarante morts. Mais je savais déjà qu'il y en avait et qu'il y en aurait beaucoup plus. »

A l'intérieur, le macabre décompte se poursuit inexorablement. L'index et le majeur pointés vers le bas, le pouce relevé, Grégory*, 55 ans, n'en finit pas de mimer la scène. « Pan, pan, pan », égrène le père de famille. Initialement, il devait assister au concert avec sa fille et son fils, tous deux adolescents. La lycéenne étant fatiguée ce jour-là, c'est un copain du fils qui l'a remplacée au pied levé.

C'est donc de chez elle que Valérie*, élève en classe de première, découvre l'ampleur du drame. « J'ai cru que toute ma famille avait disparu. J'ai eu trois secondes de vide total dans mon canapé, trois interminables secondes de blanc sans vouloir croire qu'ils n'étaient plus là. » Au même moment, son père s'est jeté à terre, et comprend immédiatement que cela ne pourra suffire à le sauver. « Ils tiraient et butaient tout le monde, ne s'arrêtant que pour recharger. A chaque fois qu'ils trouvaient quelqu'un d'encore vivant, ils l'achevaient, comme ça », reprend le père de famille, en décrivant une fois de plus le même geste, des larmes dans les yeux, sa voix se brisant dans un sanglot.

C'est alors Valérie qui parle pour lui : « Mon papa a tout entendu et mon frère, lui, a tout vu. Je ne sais pas ce qui est le pire. » « Je me suis caché sous un corps », témoigne le frère en question, Frédéric*, parcouru par des spasmes d'angoisse. Stan, 28 ans, a lui aussi plongé au sol. « A un moment, j'ai fermé les yeux, revit le jeune homme. J'ai senti quelque chose de chaud qui coulait sur mon visage. C'était le sang d'un homme qui venait de s'écrouler sur moi après avoir pris une balle. Une balle qu'il a prise à ma place. »

Hanté par ce cauchemar, conscient qu'il a tutoyé la mort, Stan tente encore et encore de comprendre comment il a pu survivre. « Je crois qu'ils ont tiré des grenades. Je portais des vêtements épais. Peut-être qu'ils ont arrêté les éclats ? » s'interroge à haute voix cet illustrateur. Comme beaucoup d'autres masses silencieuses, mais vivantes, il aurait voulu pouvoir se fondre dans le sol. Mais les sons se sont chargés de le ramener à la réalité. « J'entendais les gens crier : Fais pas ça, s'il te plaît ! Une détonation résonnait, puis je n'entendais plus la voix d'avant... D'autres ont hurlé : Enculés !, sans qu'on sache s'il s'agissait de spectateurs ou des terroristes. »

Ces voix, Pascal les capte avec une même acuité. Lui aussi a 48 ans. Lui aussi est avocat, comme son pote Stéphane, qui, à ce moment-là, a déjà gagné la sortie. Pascal, lui, a fait le choix de se figer face contre terre. « Contrairement à beaucoup, j'ai immédiatement vu le gars sortir un fusil d'assaut. J'ai tout de suite compris qu'il s'agissait d'un attentat. » Aussi vite, Pascal saisit que le moindre frémissement se solde par une exécution immédiate. « Je me suis dit : c'est mon jour, je vais y passer, ou peut-être pas. J'ai une chance sur deux. Je me suis mis en condition de terminer ma vie là, comme ça. J'ai pensé très fort à mes proches. Je sentais mon portable qui vibrait dans ma poche au rythme des nombreux SMS qui me parvenaient. »

Alentour, les blessés ne peuvent se retenir de hurler. « Je savais que beaucoup agonisaient », murmure Pascal. Un moment, la fusillade ralentit. « C'est comme s'ils avaient fini une première étape, raconte Frédéric. Alors, ils ont refait le tour de la salle, plus lentement cette fois, pour examiner chacun des corps. » Un jeune homme, comme il l'a raconté hier à la police, est mis en joue et... épargné. « Ils m'ont dit : On a besoin de quelqu'un ! » a-t-il témoigné sur procès-verbal, n'ayant d'autre choix que de répondre : « Je suis avec vous. » Le garçon est alors mis à contribution pour bouger les corps, afin que les terroristes puissent distinguer les simulateurs, ou simplement les blessés.

Quand les tueurs arrivent à la hauteur de Grégory, « ils l'ont frappé du pied pour voir s'il vivait encore, récite sa fille, Valérie. Il a une prothèse du genou, qui fait qu'il ne peut pas le plier complètement. Une fois, deux fois, trois fois, ils ont tapé. Il n'a pas bougé. S'ils avaient essayé une quatrième fois, il m'a dit en pleurant qu'il n'aurait pas résisté. Son genou ne se maintenait plus en position, ça lui faisait trop mal. » Mais Grégory a tenu le choc. A moins de 50 cm de lui, son voisin, lui, a bougé. « Il a pris une balle en pleine tête, tremble Grégory. Je ne le connaissais même pas. » « Mon frère, lui, a aperçu un jeune homme qui rampait furtivement pour tenter de se sauver, rappelle Valérie. Les tueurs l'ont vu. Ils l'ont achevé d'une balle dans la nuque. »

Allongé, Frédéric reste silencieux. « Il avait son téléphone sur lui et n'avait qu'une peur, relève sa sœur : que quelqu'un l'appelle et que ces monstres l'entendent. » Vers 4 heures du matin, une fois exfiltré sain et sauf par la police, 48 messages s'afficheront sur le téléphone. « Le pire, c'était l'attente, et de ne pas savoir, lâche Valérie. Vous imaginez, pour ma mère et moi, ce que ça a été de se dire pendant si longtemps que nos deux êtres les plus chers n'étaient plus de ce monde ? »

Interminable, l'attente l'est encore plus à l'intérieur de ce Bataclan où rarement « fosse » aura aussi sinistrement mérité son nom. « Ça canardait vraiment dans tous les sens », appuie Jean-Baptiste, un spectateur dont la place lui avait été offerte par son frère pour son 22e anniversaire.  « Il a hurlé lorsqu'une balle l'a effleuré, lui brûlant le dos, raconte Jean-Baptiste. Le projectile a fini dans le ventre de la personne juste devant lui... »

Les tueurs sont impitoyables. Ils ont pourtant épargné Alexis*, un jeune majeur « typé », comme le décrit une amie, dont la peau mate le fait souvent passer pour un jeune d'origine maghrébine. « Ils l'ont visé, puis se sont repris, explique cette proche. Ils lui ont dit : Toi, t'es des nôtres !, et ils ont tiré sur un autre jeune à ses côtés. »

« On entendait distinctement les pauses qu'ils faisaient, et le claquement lorsqu'ils changeaient de chargeur », souligne Pascal. Jean-Baptiste et un petit groupe de spectateurs profitent de l'un de ces intervalles pour se précipiter vers une sortie annexe, donnant passage Amelot. Une fois dehors, ils s'engouffrent dans la porte d'un immeuble qu'un couple a volontairement laissé ouverte. Pascal, lui, est toujours immobile, comme il le sera resté plus de deux heures. Alors qu'il ne sait pas encore que le carnage touche à sa fin, l'avocat entend un bruit de scotch lui laissant penser que l'une de ses pires craintes est en train de se concrétiser : « J'étais persuadé qu'ils disposaient des explosifs pour tout faire sauter. » L'assaut est lancé, les survivants évacués.

A peine ont-ils réchappé à ce premier enfer qu'un autre va maintenant s'ouvrir devant eux. Grégory est celui qui l'évoque le mieux. Incapable de se souvenir comment il s'est retrouvé sur le trottoir, le père de famille tente de percer l'insondable mystère de ce « miracle » qui lui a valu d'être encore en vie. Indemne physiquement, il est très loin de l'être psychiquement. « Pourquoi, moi, je suis là ? Pourquoi moi et pas les autres ? » ressasse-t-il.

Trois jours de deuil en France et notre drapeau en deuil à Evaux les bains


Le drapeau de notre ville est en berne comme tous les drapeaux de France . En hommage au massacre perpétré à Paris ce vendredi 13 novembre, l'état français à promulgué trois jours de deuil national.