mercredi 16 octobre 2013

Miss Prestige National le 19 octobre 2013 en Limousin

Les amateurs de concours de Miss vont se retrouver le 19 octobre à la Mégisserie pour une grande soirée en compagnie de Mme de Fontenay.
Vous êtes née entre le 1 er février 1990 et le 1 er février 1996, ? Vous êtes française, domiciliée en Limousin ? Vous mesurez au moins 1,70 mètre sans talons, célibataire, ni divorcée, ni veuve ni pacsé, sans enfant ?
Pourquoi ne tenteriez-vous pas votre chance pour devenir la Miss Limousin du comité Miss Prestige National et concourir par la suite pour le titre suprême de Miss France ! Ce rêve, de très nombreuses jeunes femmes l'ont fait et tous les ans l'une d'entre elles obtient le fameux Graal ou bien s'en approche tellement au point de devenir une véritable vedette comme c'est le cas de Sophie Vouzelaud qui porte le titre de première dauphine de Miss France 2007 avec la grâce, le talent et la simplicité qu'on lui connaît. Cette élection a été une véritable rampe de lancement pour Sophie qui, depuis, a fait ses premiers pas au cinéma et comme mannequin professionnel. Pourquoi une future vedette ne verrait-elle pas le jour à Saint-Junien ? La possibilité de sortir de l'anonymat se profilera le 19 octobre prochain aussi mesdemoiselles n'hésitez à pas à franchir le pas.
Geneviève de Fontenay marraine de cette soirée
La soirée pour le public débutera à 20 h 30 à la Mégisserie. Le public s'acquittera d'un droit d'entrée de 10 euros et pourra participer à une véritable soirée de gala qui sera divisée en deux parties. Durant la première,les jeunes filles seront présentées au public et au jury qui sera composé de plusieurs personnalités locales et départementales. Elles défileront en tenue de ville, maillot et tenue de cocktail. La soirée sera entrecoupée par un spectacle chorégraphique créé par Sophie Fougère Darcy

dimanche 13 octobre 2013

La FN gagne à Brignoles

Avec un taux de participation plus important de 12%  qu'au premier scrutin, la  ville de Brignoles a donné un avertissement au gouvernement. Les taxes et les impots auront surement le dernier mot aux municipales dans de très nombreuses villes. Espérons au moins que le gouvernement prendra cette élection en compte et prendra quelques virages lors du budget 2014. A force de tirer sur la corde, elle cassera...

433,75 euros par mois pendant un an pour un millier de jeunes de l'Allier et du Puy-de-Dôme , la Creuse, NON......


Le Puy-de-Dôme, associé à l’Allier, fait partie des zones retenues pour tester depuis le 1er octobre la « Garantie jeunes » voulu par le gouvernement pour lutter contre la précarité et favoriser l’insertion sociale des moins de 25 ans. Un « RSA » spécifique de 433,75 € mensuels qui, dans un premier temps, devrait concerner un millier de jeunes sur les deux départements.
Le candidat Hollande en avait fait une de ses promesses de campagne, le gouvernement va s’efforcer de la tenir et de l’instituer: le décret l'expérimentation de la garantie jeunes à compter du 1er octobre 2013 vient d'être publié.

Combien ? Pour qui ?
Comment ?


Depuis le 1er octobre, en effet, dix départements, sélectionnés par l’État suite à un appel d’offres, vont tester, grandeur nature, la « Garantie jeunes ». Une allocation, spéciale et temporaire, destinée au 18 -25 ans en situation de précarité afin de les aider à retrouver une formation ou un emploi.

Si personne ne veut encore s’avancer sur le nombre de jeunes Puydômois qui, à terme, pourraient être concernés par cette nouvelle disposition gouvernementale c’est, dans un premier temps, sur un « échantillon » de tout juste un millier, puisé entre Puy-de-Dôme et Allier, que vont être évaluées la pertinence de l’initiative et surtout son efficacité.

435 € mensuels pour une période d’un an

Fixée à 435 € mensuels pour une période d’un an, éventuellement renouvelable par tranche de 12 mois la « Garantie jeunes » doit permettre l’insertion dans le monde du travail (contrats aidés, emplois avenir, CDD de plus de six mois ou CDI…) ou l’entrée en formation de jeunes en situations de grande précarité.

La décision d’attribution sera prise, au cas par cas, par une commission locale composée de représentants de l’État et d’organisme spécialisés dans l’insertion sociale, après étude des dossiers fournis par les missions locales pour l’emploi. Ce sont elles, en effet, qui seront chargées d’identifier « les précaires » susceptibles de bénéficier de cette aide.

source: La Montagne

La réforme scolaire, une réforme très politique...


Le gouvernement va t'il faire marche arrière, aura t'il le recul nécessaire pour admettre qu'il peux avoir tort. Comme le signale monsieur Peillon, nous l'avions promis lors de la campagne présidentielle. Une promesse ne doit'elle pas être tenue si elle n'est pas bonne et non réalisable ?
 Pour de très nombreuses communes, c'est une réforme trop onéreuse et surtout impossible à mettre en place. Comme le signale une maman, j'ai cru apprendre que pour encadrer des enfants, il fallait au minimum un BAFA ! Dans notre commune, c'est n'importe qui qui prend cette charge et bien sur gratuitement et lorsque que vous n'agissez pas sous le couvert d'une association, cela doit être assimilé à du travail dissimulé, dit travail au noir et répréhensible par la loi. Mais dans ce cas, il y a une autre loi qui s'applique, celle de la politique. Il faut absolument que nous l'appliquons si nous pensons socialiste confirme un maire (ps) de notre département et cela est scandaleux.
Depuis la rentrée scolaire, ils font le "buzz" en Creuse. Au national, l'interpellation de l'UMP, Jean-François Copé en tête, les ont mis à l'agenda politique et médiatique. Les rythmes scolaires avec l'obligation à passer à 4 jours et demi de travail par semaine, contre quatre actuellement, à la rentrée prochaine ne cessent d'animer le débat.
Samedi matin, ils étaient donc fort logiquement à l'ordre du jour de l'Association des maires et adjoints de la Creuse... Un débat très encadré autour d'une motion présentée par les élus qui ont lancé dernièrement une pétition contre cette réforme. Le président de l'AMAC, Michel Vergnier, avait fixé une règle du jeu draconienne : trois expressions pour la réforme, trois contre.
A l'applaudimètre, ce sont les "contre" qui ont remporté les suffrages auprès, notamment des maires des "petites" communes qui estiment ne pas avoir les moyens d'organiser les activités périscolaires associées à cette refonte des rythmes scolaires. Des maires ruraux qui craignent une perte d'attractivité de leurs écoles et que les parents choisissent celles du chef-lieu ou de la ville voisine _ plus riches en moyens_ pour y scolariser leurs enfants.
Le succès à l'applaudimètre ne s'est pas retrouvé dans le vote de la motion des opposants à la réforme _ à main levée_ qui a été rejetée par 78 voix contre 96... En sachant que les rangs des élus de droite étaient très clairsemés, et que leurs voix ont dû faire défaut.
En revanche, les maires ont conclu à la nécessité d'approfondir les débat et organiserons, le 16 novembre prochain, une assemblée générale extraordinaire exclusivement consacrée à la question des rythmes scolaires.

Brûlée, mutilée, elle est forcée d'avaler des excréments


Un quadragénaire a été condamné vendredi à quatre ans de prison dont 18 mois avec sursis, assortis d'une mise à l’épreuve pendant trois ans et l’obligation de se soigner, pour avoir violenté pendant 8 ans sa compagne. 
Dans la nuit du 26 au 27 juin 2013, la police débarque chez le prévenu. Là, en ouvrant la porte ils découvrent une femme en larmes à quatre pattes, qui contrainte par son compagnon est en train de manger des excréments de chien tout en vomissant.
Sévices en tout genre
C’est après ces faits que la jeune femme de 32 ans s’est décidée enfin à porter plainte après des années de violences. L’examen médical, qui a suivi, a permis de constater des blessures en tout genre plus ou moins récentes comme cette infection à la main : « il m’a mordue il y a 15 jours ». Ou ces chaires brûlées : « il m’avait ébouillantée il y a deux ans ». Ou encore ce doigt sectionné : « j’avais eu très mal mais les brûlures c’était pire », ou cette blessure au bras « ça, je ne sais plus comment »
sources : Le Populaire

Caroline Dubreuil, élue miss Limousin 2013


Caroline Dubreuil, en robe rouge au centre de l'image, accompagnée de ses dauphines et de miss Limousin 2012. © Jean-Martial JonquardCaroline Dubreuil, élue miss Limousin 2013

A 21 ans, l'étudiante à la faculté de Limoges a été élue parmi les 14 candidates au titre.
Au terme d'une longue soirée au Zénith de Limoges, Caroline Dubreuil, 21 ans, étudiante à la faculté de lettres et sciences humaines de Limoges, a été couronnée Miss Limousin 2013.
La jeune femme était déjà montée sur le podium l'an dernier, puisqu'elle avait été élue première dauphine de Sandra Longeaud, miss Limousin 2012. Caroline Dubreuil représentera donc la région lors de l'élection de Miss France, le 7 décembre prochain.