samedi 16 octobre 2010

Animations à Lepaud

 

Carburants: «7 jours de réserves», selon le ministère

Les stations d'essence vont-elles être en panne sèche en raison du blocage des raffineries ? La menace persiste en France avec la grève dans les raffineries et le week end s'annonce difficile. Pour l'heure, les autorités se veulent rassurantes mais «la situation est tendue depuis quelques jours», reconnait toutefois samedi matin le secrétariat d'Etat aux Transports où une cellule de veille s'active pour «régler la situation».

« Des leviers existent pour éviter la pénurie »
Interrogé samedi matin par le Parisien.fr, le ministère assure: «On est serein sur la situation globale».

La France ne souffre «pas de pénurie» de carburant en raison des mouvements de grève dans les raffineries et de blocage des dépôts pétroliers, a assuré pour sa part samedi Christine Lagarde, ministre de l'Economie, s'exprimant au nom du gouvernement sur RTL.

Un soupir de soulagement est venu samedi soir de Roissy. L'aéroport n'en n'avait plus que pour deux jours de réserves, indiquait le matin même le ministère de l'Economie. D'après Patrick Gandil, directeur général de la direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'oléoduc avait été remis en service samedi soir, éloignant ainsi les menaces de coupure générale du trafic.

Ce soir au casino d'Evaux les bains

Comédie des Célestins Samedi 16 Octobre

La troupe a été créée en 1999, nous avons joué durant 4 années avec grand succès au théâtre du Casino de l'Elysée Palace de Vichy où nous avons eu le plaisir et l 'honneur d' accueillir le talentueux MICHEL GALABRU qui nous a offert son parrainage....

Entrée: 10€ - 20h30



MOBILISATION CONTRE LA REFORME DES RETRAITES

l'opposition manifeste à nouveau aujourd'hui

Et de cinq ! Après le succès des manifestations de mardi dernier, et avant une nouvelle mobilisation mardi prochain, 19 octobre, la gauche sera, pour la cinquième fois en un mois, dans la rue ce samedi à Paris, et partout en France, contre le projet des retraites du gouvernement.

Trafic SNCF et RATP : encore du mieux samedi

Pour cette nouvelle journée nationale de manifestations, toute l'opposition sera réunie : du PS à Lutte ouvrière, en passant par Europe Ecologie, le PCF et le NPA.

La patronne des socialistes, Martine Aubry, qui a appelé jeudi soir le président Sarkozy à «remettre à plat» la réforme des retraites, sera présente à Lille. A Paris, Harlem Désir, Benoît Hamon et Bertrand Delanoë seront au point fixe du PS, devant le Cirque d'hiver, à partir de 13h45, pour défendre «une réforme juste et durable», «aux côtés des organisations syndicales». Sur le trottoir d'en face, Europe Ecologie se mobilisera également pour dénoncer le «mépris du gouvernement» malgré «la mobilisation record de mardi dernier». Le gouvernement «joue la provocation et l'affrontement violent, face aux lycéens qui manifestent dans le calme», c'est «irresponsable», juge le rassemblement écologiste.

La plupart des responsables politiques présents à Paris

Mobilisés face aux «provocations du gouvernement (qui) illustrent le mépris profond pour les jeunes et les salariés», le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent et le président du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, seront présents place de la Bastille à partir de 14h30. Le MRC de Jean-Pierre Chevènement, lui, sera au niveau du métro Chemin Vert vers 15 heures, pour que soit «garanti le système des retraites, unique capital de ceux qui n'en ont pas». Le Parti radical de gauche (PRG) souhaite également que le projet de réforme soit «suspendu» pour de «vraies négociations».

A l'extrême gauche, Olivier Besancenot (NPA), qui appelle à un «nouveau Mai 68», sera sur le boulevard Beaumarchais, à hauteur de la rue du Chemin Vert, à partir de 13h30. Non loin de là (angle du boulevard Beaumarchais et de la rue St-Sabin), Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte ouvrière, pour qui «ce qu'a fait le Parlement, la rue peut le défaire», se joindra aux manifestations vers 14h15.

vendredi 15 octobre 2010

MOBILISATION DES LYCEENS

Des milliers de lycéens dans les rues et 264 «casseurs» interpellés
Les lycéens poursuivent leurs actions de bloquage ou leurs manifestations un peu partout en France, se joignant parfois aux actions des salariés. Comme jeudi, des incidents sont à signaler, au sein ou en marge des défilés, et des blessés sont à déplorer dans les rangs des manifestants comme dans ceux des policiers.

Dépôts pétroliers : blocages et déblocages en série

Alors que le gouvernement a autorisé les compagnies pétrolières à puiser dans leurs réserves face à la menace de pénurie de carburant, l'Etat a donné la consigne de débloquer les dépôts pétroliers.

Les routiers se mobilisent aussi

Carburants : face au risque de pénurie, les «stocks de réserve» débloqués
Les forces de l'ordre sont intervenues et plusieurs blocages de dépôts ont été levés ce vendredi matin. Mais d'autres sont désormais bloqués comme au Mans (Sarthe), à Caen et à Ouistreham (Calvados), ainsi qu'à La Rochelle (Charente-Maritime).

Un temps bloqués ce vendredi matin, ceux de Vern-sur-Seiche (Ile-et-Vilaine) et Toulouse (Haute-Garonne) ont été dégagés dans la matinée par les gendarmes. Les blocages des dépôts de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), Bassens (Gironde) et Cournon d'Auvergne (Puy-de-Dôme), ont par ailleurs été levés.

«On ne peut pas se permettre une pénurie d'essence»

«On ne peut pas se permettre une pénurie d'essence, il faut penser à toutes celles et tous ceux d'entre nous qui ont besoin de se déplacer (...), aux entreprises, aux transporteurs routiers, tout ce qui fait la vie de notre pays, d'où ces décisions» de lever les blocages, a déclaré sur Europe 1 le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, justifiant l'envoi des forces de l'ordre.

Pour le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, le déblocage des dépôts de carburant n'est pas «la méthode qui permettra de sortir de l'impasse sur la réforme des retraites». Selon le leader de la CGT, l'objectif «en soi» des mouvements de grève, notamment dans le secteur de l'énergie, n'est pas de stopper l'activité économique, mais «c'est bien d'obtenir des discussions pour un autre avenir de nos retraites», a-t-il martelé. «Il va bien falloir que le gouvernement aborde le fond du problème (...) Je vois bien qu'il s'efforce aujourd'hui d'entretenir à la fois la polémique voire un climat qui n'est pas bon, c'est lui qui tend le climat dans le pays», a-t-il ajouté.

jeudi 14 octobre 2010

Retraites : nouvelle journée de grèves et de manifestations le mardi 19

Les syndicats ont décidé d'appeler à une nouvelle journée de grèves et de manifestations le mardi 19 octobre, à la veille du vote au Sénat du projet de réforme des retraites. Cette journée interprofessionnelle, qui sera la sixième depuis début septembre, a été décidée lors d'une réunion de l'intersyndicale (CGT, CFDT, FO, Unsa, CFTC, Solidaires, FSU, CFE-CGC) au siège de la CFDT à Paris.
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Sondage : 54% des Français pour une grève générale

Dans un communiqué commun, les sept syndicats signataires (FO appelle à la grève mais n'a pas signé le texte) «demandent aux sénateurs de ne pas adopter cette réforme injuste». Le vote au Sénat sur le projet de loi est fixé au lendemain, mercredi 20. Les organisations syndicales jugent que «le gouvernement et les parlementaires ne peuvent ni mépriser ni ignorer les exigences exprimées par les salariés et les organisations syndicales».

Afin d'«amplifier la mobilisation et réussir les journées du 16 et 19 octobre», les sept syndicats «appellent l'ensemble de leurs organisations dans les territoires, les entreprises et les administrations à poursuivre les initiatives unitaires». Force Ouvrière affirme, dans un communiqué séparé, qu'elle «sera pleinement dans l'unité d'action les 16 et 19 octobre 2010».

Pour le samedi 16 octobre, l'intersyndicale lance un appel aux Français à «participer massivement» aux cortèges prévus dans toute le France. Elle souligne que «les mobilisations du 12 octobre ont été de très haut niveau avec une participation aux manifestations en forte hausse par rapport aux journées précédentes». Selon les syndicats, «la participation des jeunes reflète, au-delà de la question des retraites, leur inquiétude quant à leur avenir et à la situation de l'emploi».

Selon un sondage BVA pour Canal Plus publié jeudi, 54% des Français seraient favorables à une grève générale si le gouvernement ne revenait pas sur sa réforme.

L'intersyndicale a décidé de se revoir le 21 octobre.

Restriction de carburant à Evaux les bains - 20€ - par voiture

Restriction de carburant à Evaux les bains - 20€ - par voiture

Carburant : malgré les stocks, les stations-services s'assèchent

Une restriction certainement préventive qui permettra aux résidents de garder le moyen de se déplacer. 

La France va-t-elle être très bientôt affectée par une pénurie de carburant ? Dominique Bussereau se veut rassurant sur cette question bien qu'il appelle les automobilistes à ne pas remplir leurs réservoirs s'ils n'en n'ont pas véritablement besoin.

La requête de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR) faite à l'encontre du ministre de l'Industrie Christian Estrosi a de quoi laisser perplexe.

Bussereau écarte le risque d'une pénurie d'essence

«Depuis quelques jours, les entreprises de transport routier sont confrontées à des difficultés d'approvisionnement en carburant dues à la raréfaction du gazole», explique la FNTR dans un courrier adressé au ministre, jeudi. Pour cette raison, elle demande à ce qu'un «débloquage prioritaire pour les transporteurs routiers des stocks de réserve» soit prévu. Elle précise que la situation devient «sensible dans certaines zones (Sud-Est mais aussi Alsace, Franche-Comté, Bretagne)».

La fédération, qui revendique 12 500 adhérents, demande par conséquent un accès prioritaire aux stocks de réserve, arguant que le secteur du transport routier «ne peut souffrir durablement de difficultés dans la fourniture de carburant».

Roselyne Bachelot prête à rouvrir la négociation sur la radiothérapie de Guéret

La ministre de la Santé a confié, hier, au député creusois Jean Auclair, son souhait de rouvrir le dialogue avec les Creusois à propos du service de radiothérapie fermé depuis le 30 juin.


Alors qu'aujourd'hui, une délégation de 221 élus creusois se rend au ministère de la Santé pour y réclamer la réouverture du service de radiothérapie de l'hôpital de Guéret (voir notre édition d'hier), Roselyne Bachelot a, d'une certaine manière, devancé leur venue... sinon leur désir.
Recevant, hier matin, le député UMP de la Creuse Jean Auclair, elle devait lui annoncer qu'elle était désormais prête à envisager « toutes les alternatives » à propos du service fermé depuis le 30 juin.

L'annonce a de quoi surprendre puisque, depuis juillet, les élus creusois - réunis au sein de leur Association des maires et adjoints de la Creuse (AMAC) - ont entamé une fronde radicale contre l'État pour tenter d'obtenir, au moins, que l'on rouvre les négociations sur des options de remise en service de la radiothérapie. Or, leur lutte n'avait obtenu jusque-là que des fins de non-recevoir.

Michel Vergnier méfiant

Selon le député UMP Jean Auclair, qui a été reçu par Roselyne Bachelot hier matin : « Elle m'a répété qu'elle voulait être la ministre de la qualité des soins mais qu'elle voulait aussi rouvrir le dialogue ».
Elle lui a ainsi annoncé que l'Agence régionale de santé (ARS) du Limousin allait mener une évaluation de la prise en charge des patients creusois par le CHU et les cliniques de Limoges et Montluçon depuis la fermeture de l'unité de Guéret. Un audit qui pourrait déboucher, d'ici un mois, sur l'organisation d'une réunion de travail au ministère « avec toutes les parties intéressées » et où seraient étudiées toutes les « options », notamment, selon le député, celle d'un « groupement régional permettant d'épauler Guéret et de rouvrir le service ».

Michel Vergnier, l’autre député, PS, de la Creuse et président de l’AMAC, s'est montré plus méfiant : « Cela prouve que l’action des Creusois porte ses fruits ! Je me fous de l’aspect politique des choses, il faut que les négociations rouvrent et si Jean Auclair l’a obtenu… En revanche, pour l’évaluation de la prise en charge, il faudra que nous soyons associés au protocole de mesure ainsi que sur la teneur du groupe de travail. Quant à la méthode, j’espère que les 221 élus qui se rendent au ministère (aujourd’hui) bénéficieront de la même attention à laquelle a eu droit Jean Auclair en étant reçu personnellement par la ministre » (*).

Chili : les 33 mineurs sont libres, la mine est vide

Après l'euphorie des dernières 24 heures, le silence retombe peu à peu ce jeudi matin dans le camp de l'Espoir à la mine de San José au Chili, où les familles des 33 mineurs bloqués sous terre depuis plus de deux mois, attendaient avec impatience leur retour en surface.

A 0h30, heure locale (5h30, heure française), le dernier secouriste a été remonté, marquant la fin d'une opération de sauvetage sans précédent, qui a vu les 33 mineurs ramenés en surface en moins de 22 heures et qui a fasciné le monde entier.
Une opération qui s'est finalement déroulée plus vite que prévu.

Manuel Gonzalez, qui avait été le premier secouriste descendu au fond de la mine mardi soir au début de l'opération, a été le dernier hissé dans la nacelle métallique à travers le puits de 622 mètres de profondeur.

Au fond de la mine, les caméras souterraines montraient derrière lui une mine désormais vide, mais avec les lumières toujours allumées des projecteurs qui ont aidé depuis mardi à préparer les ascencions.

Gonzalez a été salué par le président Sebastian Pinera à son arrivée en surface, puis a poussé avec ses collègues de l'équipe de secours un cri de joie «Chi-chi-chi, le-le-le, rescatistas de Chile !» (secouristes du Chili). «Ce qui m'a été confié est accompli», a déclaré le secouriste à Pinera, ajoutant: «J'espère que cela n'arrivera plus jamais».

22 heures après le début de l'opération, «le Capitaine» sort de terre

Quant au dernier mineur remonté à la surface à 21h55 heure locale (2h55, heure française), un peu moins de 22 heures après le premier Florencio Avalos, il s'agit de Luis Urzua, baptisé «le Capitaine» par ses collègues.

A 54 ans, Urzua, le chef de quart était devenu logiquement chef des 33. Même s'il ne travaillait que depuis deux mois à San José, c'est lui qui avait pris la direction des opérations sous terre après l'accident et notamment rationné la nourriture jusqu'à ce qu'une sonde souterraine retrouve les mineurs en vie, au bout de 17 jours. C'est lui qui le premier parla aux autorités en surface.

«Nous espérons que tout le Chili va faire l'effort nécessaire pour qu'on puisse nous sortir de cet enfer», avait-il lancé à son premier contact radio-téléphonique avec le président Sebastian Pinera, demandant au pays de ne pas «les abandonner».

Lui-même s'est évertué à maintenir la foi des 33, même s'il a avoué des moments de doute.

«De temps en temps j'ai pu flancher un peu, mais j'avais assez de forces pour parler aux mineurs, leur expliquer ce qui se passait», a-t-il raconté au président Pinera après sa sortie mercredi soir.

La fibre de leadership d'Urzua, sa capacité à organiser les miraculés, leur imposer discipline et en même temps leur instiller du calme, fut soulignée par l'équipe de la Nasa venue en septembre conseiller les efforts des secouristes chiliens.

Quant au site de la mine de San José, il doit devenir un mémorial dédié à l'aventure des 33 mineurs.

Les animations au grand Hôtel à Evaux les bains

mercredi 13 octobre 2010

Le bien être à Evaux les bains tout l'hiver

Le vélo à Evaux les bains, c'est le mercredi....

Mercredi 8 septembre une quinzaine de jeunes dont 3 nouveaux licenciés ont participé à la première séance de l'école de vélo . L'encadrement était assuré par Benoit, Bernard et Christian et nos jeunes partagés en deux groupes ont effectué une sortie route avant de terminer par des jeux .

L'entraînement des 11/12 ans et 13/14 ans a été plus poussé en vue des dernières compétitions route qui se profilent .

Mercredi 15 les éducateurs du club recevront le renfort de Jean Marie Latour .

L’école de vélo est ouverte aux jeunes âgés au minimum de 7 ans et fonctionne tous les mercredis de 14h30 à 16h30 . Le club met à disposition gratuitement, vélos et casques .
Renseignements et contact : C Bonnichon tel 06 78 33 97 13 ou B Pinthon 05 55 82 30 94

Prévoir le certificat médical pour le renouvellement de la licence

mardi 12 octobre 2010

Carburants : la grève reconduite dans des raffineries


La pénurie d'essence est elle pour bientôt ? Pour la coordination des syndicats CGT du groupe Total, des stations service pourraient bien être à sec «dans un très proche avenir, contrairement au propos de l'Ufip (l'Union française des industries pétrolières) et du gouvernement», alors que 56 pétroliers étaient toujours bloqués au large de Marseille.
En savoir plus
Craignez-vous une pénurie d'essence ?
Il faut savoir que l'arrêt d'une raffinerie, processus très lourd, prend plusieurs jours.

La carence éventuelle en carburants dépendra de la reconduction du mouvement entamé ce mardi : onze des douze raffineries situées de métropole étaient touchées par des grèves, parfois partielles, contre la réforme des retraites. D'après la CGT, la plupart des sites ont reconduit le mouvement mardi soir. D'autres doivent se prononcer ce mercredi lors d'assemblées générales.

Toutes les raffineries de Total en France, six au total, étaient touchées par le mouvement, sans conséquence sur les approvisionnements en carburants, d'après la direction. Sur ces six, celle de Feyzin (Rhône), où la CFDT est majoritaire, est la moins touchée. Les salariés devaient voter mercredi à 6 heures sur la poursuite ou non de la grève, d'après un élu du CE.

Appel à manifester jeudi 14 octobre 2010

La colère gronde dans la rue, monsieur Fillon ne veux rien entendre, Martine Aubry dénonce le dédain du gouvernement.
La colère monte à tous les niveaux. L'essence commence à se faire rare, la Ratp reconduit la grève dès demain. Avec 53% de grèviste, un score plus important qu'en septembre pour les transports.
10% des lycées sont en grève et le mouvement ne fait que commencer et ira en s'emplifiant arbore le premier syndicat des étudiants.
François Fillon accuse le PS de se servir des étudiants afin de remplir les rues.

Retraites : grève reconduite mercredi à la RATP

Les assemblées générales des réseaux bus, métro et RER ont largement reconduit la grève pour mercredi, a annoncé mardi la CGT de la RATP, où le mouvement était suivi à hauteur de 17% selon la direction de la Régie autonome des transports parisiens.

Mardi, la journée était déjà compliquée dans les transports publics à l'occasion de la nouvelle journée d'action contre la réforme des retraites.

La circulation en temps réel en Ile-de-France A la SNCF et sur de nombreuses lignes RATP, le trafic est sérieusement perturbé. Les syndicats font le pari de grèves et de manifestations d'ampleur dans toute la France, certaines grèves pouvant être reconduites. «La très forte mobilisation ne faiblit pas», assure Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière (FO). Selon François Chérèque (CFDT), «c'est une des dernières occasions de faire reculer le gouvernement».

La CGT, 1er syndicat de la RATP, ainsi que FO, Sud et CFDT ont déposé des préavis illimités à partir de mardi, tandis que la CFTC appelle à 24 heures de grève. L'Unsa, 2e syndicat, n'appelle en revanche pas à la grève les conducteurs. Seule la branche GATC du syndicat Unsa (commercial, services généraux...) a déposé un préavis pour 24 heures.

Tous les syndicats de la SNCF ont déposé des préavis reconductibles. Le trafic ferroviaire sera inférieur à celui des dernières journées de grève sur les retraites. «Il est conseillé à chaque voyageur de s'informer spécifiquement sur son trajet. La liste des trains qui circulent sera affichée dans chaque gare. Tout billet de grandes lignes sera valable pendant la période à bord de tout train circulant ce jour-là sur la relation considérée», insiste la SNCF.

«Les clients préférant annuler un voyage comportant une réservation pour un train de la période concernée pourront le faire sans frais au guichet, quel que soit le tarif», précise-t-elle encore.

Retraites : Aubry dénonce l'«entêtement» du gouvernement

Les syndicats misent ce mardi sur une démonstration de force contre la réforme des retraites, la quatrième depuis la rentrée, qui pourrait cette fois se prolonger par des grèves reconductibles. Toute la journée, suivez la mobilisation en direct sur leparisien.fr.

dans un communiqué, Martine Aubry dénonce l'«entêtement» du gouvernement sur les retraites «qui ne mène nulle part, sauf à des risques d'affrontement». La première secrétaire du Parti socialiste appelle l'exécutif à «faire preuve de responsabilité».

- 16 heures : dans une interview à Challenges.fr, Raymond Soubie, conseiller social du président de la République, exhorte les lycéens et étudiants à défendre une réforme des retraites «d'abord faite pour eux».

- 15h40 : 330 000 personnes manifestent à Paris, un chiffre en hausse de 30 000 personnes par rapport au 23 septembre, selon le comptage de l'intersyndicale cité par la CFDT, l'Unsa Ile-de-France et la FSU.

- 15h20 : six organisations syndicales (CGT, CFDT, FO, FSU, Solidaires et UNSA) appellent à une nouvelle journée d'action jeudi à Toulouse, et maintiennent leur appel à la mobilisation pour samedi.

- 15h10 : à l'Assemblée, François Fillon se montre très ferme : «Nous sommes décidés à mener cette réforme à son terme» parce qu'elle est «raisonnable, juste et indispensable».


- 15 heures : du haut de la Tour Montparnasse, à Paris, la rue de Rennes est noire de monde, constate un internaute sur you.leparisien.fr.

Grève dans les raffineries : des stations-essence prises d'assaut

Va-t-on vers une pénurie d'essence ? A la mi-journée, onze des douze raffineries situées en métropole étaient touchées par des grèves, parfois partielles, contre la réforme des retraites, annoncent syndicats et patronat. Dans l'Ouest, des stations-essence ont été prises d'assaut dans plusieurs villes, indique le journal Ouest-France.
Selon les syndicalistes de la raffinerie de Donges, « la pénurie se fera sentir sous trois à cinq jours.»

Consommation limitée à 30 euros par véhicules

En prévision d'une rupture de stock, les deux hypermarchés de la ville des Herbiers (Loire-Atlantique) ont décidé de limiter la consommation d'essence à 30 euros par véhicule. A Vannes, il faut compter en moyenne une demi-heure d'attente avant de pouvoir être servi.

Toutes les raffineries de Total en France, six au total, étaient touchées par le mouvement, sans conséquence sur les approvisionnements en carburants, d'après la direction. Sur ces six, celle de Feyzin (Rhône), où la CFDT est majoritaire, est la moins touchée.

Autour de l'étang de Berre, qui compte quatre raffineries (Total La Mède, Lyondell Basel à Berre, Esso à Fos et Ineos à Lavera), l'activité était également réduite, en raison de la grève reconductible mais aussi du fait du blocage des terminaux pétroliers proches.

Les autres sites Esso en France (raffinerie de Port-Jérôme Gravenchon, plate-forme pétrochimique attenante et dépôts sur le territoire) ne sont pas en grève.

Concernant les raffineries du groupe Petroplus, à Petit-Couronne, près de Rouen, la grève reconductible avec réduction de production engagée lundi se poursuivait mardi, selon les syndicats. La production était réduite «au minimum technique», permettant le cas échéant un redémarrage rapide.

A la raffinerie de Reichstett, près de Strasbourg, appartenant au même groupe, seul un débrayage d'une heure a été organisé. Des équipes de quart de l'après-midi et de la nuit devaient être en grève «en soutien au mouvement sur les autres sites», mais devaient se maintenir à leur poste, selon la CFDT. Ces personnels sont en effet réquisitionnés pour des raisons de sécurité.

lundi 11 octobre 2010

Plus de 200 élus creusois chez Roselyne Bachelot pour exiger la réouverture de la radiothérapie de Guéret

Demain matin, mercredi 13 octobre, au petit jour, plus de 200 maires et adjoints creusois embarqueront en bus, devant la mairie de Guéret, pour se rendre chez Roselyne Bachelot, au ministère de la Santé.

Représentant 115 des 260 communes creusoises, ils emportent avec eux les 56.000 cartes postales imprimées par l'Association des maires et adjoints et de la Creuse (AMAC) e t signées par leurs adminisnistrés afin de réclamer la réouverture de la radiothérapie de l'hôpital de Guéret.

Une nouvelle étape dans la fronde que les élus creusois mènent contre l'État ? en boycottant, notamment, leur préfet ? pour rouvrir ce service fermé depuis le 30 juin en raison de normes édictées par l'État (l'absence d'un second appareil impliquant que Guéret soit épaulé par un autre service régional ce qui ne lui a pas été permis). Dénonçant aussi la pénibilité du transport pour les patients creusois obligés de se rendre à Montluçon ou Limoges, soit plusieurs heures de route, pendant 30 à 40 jours, pour un traitement de quelques minutes. Reprochant aussi les incidents de prises en charge de certains patients creusois dans ces établissements extérieurs au département, les élus creusois ? toutes tendances politiques confondues ? escomptent, au moins, qu'une table ronde soit programmée en Creuse à propos de la radiothérapie. C'est, forts de leurs 56.000 soutiens (soit 45 % de la population creusoise et 56 % de son corps électoral), ce que les élus iront réclamer au ministère où ils devraient être reçus, vers 13 h 30, par le directeur de cabinet de Roselyne Bachelot.

la montagne.fr

MOBILISATION CONTRE LE PROJET DE REFORME DES RETRAITES

Grèves : ce qui roule et ce qui ne roule pas ce mardi

La journée s'annonce compliquée dans les transports mardi à l'occasion de la nouvelle journée d'action contre la réforme des retraites. Dans les transports publics, à la SNCF et sur de nombreuses lignes RATP, le trafic sera réduit.

Secteur par secteur, le détail des mouvements
Electricité : la CGT promet des mesures ciblées

La circulation en temps réel en Ile-de-FranceLes syndicats font le pari de grèves et de manifestations d'ampleur dans toute la France, certaines grèves pouvant être reconduites. Selon François Chérèque (CFDT), «c'est une des dernières occasions de faire reculer le gouvernement».

La CGT , 1er syndicat de la RATP, ainsi que FO, Sud et CFDT ont déposé des préavis illimités à partir de mardi, tandis que la CFTC appelle à 24 heures de grève. L'Unsa, 2e syndicat, n'appelle en revanche pas à la grève les conducteurs. Seule la branche GATC du syndicat Unsa (commercial, services généraux...) a déposé un préavis pour 24 heures.

Tous les syndicats de la SNCF ont déposé des préavis reconductibles. Le trafic ferroviaire sera inférieur à celui des dernières journées de grève sur les retraites. «Il est conseillé à chaque voyageur de s'informer spécifiquement sur son trajet. La liste des trains qui circulent sera affichée dans chaque gare. Tout billet de grandes lignes sera valable pendant la période à bord de tout train circulant ce jour-là sur la relation considérée», insiste la SNCF.

«Les clients préférant annuler un voyage comportant une réservation pour un train de la période concernée pourront le faire sans frais au guichet, quel que soit le tarif», précise-t-elle encore.


Des perturbations dès lundi soir à la SNCF

A la SNCF, les perturbations commenceront dès lundi soir avec la suppression des trains de nuit Lunea. Mardi, les responsables de l'entreprise prévoient en moyenne 1 TGV Paris-province sur 3, 1 TGV province-province sur 5, près de 4 Transiliens sur 10 aux heures de pointe, 4 services TER sur 10, et 1 Corail de jour sur 3, a indiqué l'entreprise dimanche. Sur l'axe Nord, précise la SNCF, 1 TGV sur 2 circulera. Le trafic Téoz sera assuré à raison d'1 train sur 3 en moyenne.

Sur la ligne A du RER pour la partie gérée par la SNCF (branche Cergy et Poissy), plus d'un train sur deux roulera avec l'interconnexion maintenue avec la RATP. Par contre sur les lignes B et D, l'interconnexion sera supprimée à Paris-Nord.

Vers l'étranger, le trafic sera normal pour les Eurostar vers Londres, et 8 Thalys sur 10 rouleront vers la Belgique et les Pays-Bas. Deux trains sur trois sont prévus vers l'Allemagne, et 8 trains sur 10 vers la Suisse. Le trafic international de nuit sera interrompu à partir de lundi, à l'exception d'un Paris-Rome. Le trafic des autres trains internationaux ne sera pas assuré.

RATP : RER perturbés, situation variable dans le métro


A la RATP, on prévoit 1 RER B sur 5; 1 RER A sur 2, des perturbations variables dans le métro, 3 bus sur 4 en moyenne et une circulation quasi normale des tramways.

Pour le métro : le trafic sur les lignes 1, 11 et 14 du métro devrait être quasi normal. Trois trains sur 4 rouleront sur la ligne 6. Sur les lignes 3, 4, 8 et 13, 2 trains sur 3 sont prévus, sur les lignes 2, 5, 7, 9, 10 et 12, 1 train sur 2.

Pour le RER B en zone RATP (de Paris-Nord à Robinson et Saint-Rémy-les-Chevreuse au sud), seul 1 train sur 5 circulera. Tous les trains seront au départ et terminus de la gare de Denfert-Rochereau.

Pour le RER A (de Saint-Germain-en-Laye à Marne-la-Vallée/Chessy TGV et Boissy-Saint-Léger), 1 train sur 2 sera assuré et l' interconnexion maintenue à Nanterre Préfecture. Les horaires seront affichés dans les gares dès le lundi 11 octobre.

La RATP met à la disposition de ses voyageurs un numéro vert : 0 800 15 11 11.

Avions : un vol sur deux annulé à Orly

Quelque 30% des vols seront annulés aux aéroports de Roissy et Beauvais et 50% à Orly.

Alerte à la bombe à l'Hôtel-Dieu à Paris

Le quartier de l'Hôtel Dieu, situé sur l'île de la Cité en plein centre de Paris (IVe arrondissement), a été bouclé lundi soir après une alerte à la bombe dans cet hôpital. La police procédait lundi soir «à l'examen» des locaux après une alerte à la bombe reçue à 20h45. L'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) précise qu'aucune évacuation n'avait pour l'heure été entreprise.

«Les services de police procèdent actuellement à l'examen de différents locaux. Tant qu'on n'a pas une confirmation sur un risque dans un local ou sur un objet suspect, on ne peut rien faire de plus. Il n'y a pas d'évacuation», a indiqué à l'AFP le directeur-adjoint du cabinet de l'AP-HP, Alain Sutter.

Le quartier de l'hôpital, situé sur l'île de la Cité à Paris (IVe arrondissement), a été bouclé et les véhicules de secours sont orientés vers d'autres établissements parisiens, a précisé M. Sutter.

Disparu depuis huit jours, le spéléologue Eric Establie retrouvé noyé

La sous-préfecture de Largentière a annoncé ce lundi après-midi la mort du spéléologue disparu dans les gorges de l'Ardèche depuis huit jours. Eric Establie a été retrouvé noyé par les deux plongeurs britanniques partis lundi à sa recherche. C'est le sous-préfet de Largentière, Jean Rampon, qui a annoncé la triste nouvelle, alors que des plongeurs étaient encore dans la grotte.

Partis en début de matinée pour une plongée de l'extrême, les deux Britanniques avaient d'abord fait part d'un problème technique. L'objectif de cette plongée de la dernière chance était d'«établir le contact», en contournant l'éboulis qui a piégé Eric Establie, avait indiqué Eric Zipper, conseiller technique national du Spéléo secours français (SSF). Les deux plongeurs s'étaient donc longuement préparés à l'entrée du boyau, avant de se lancer dans un périple de plus d'un kilomètre dans cette galerie sous-marine de la Dragonnière de Gaud.

Vers 18h45, Eric Zipper, joint par le parisien.fr, a expliqué : « Nos informations sont celles que les plongeurs ont pu écrire sur la tablette (qui permet la communication avec l'équipe restée en surface, ndlr). Ils sont encore en train d'effectuer leur palier de décompression dans la vasque d'entrée. On leur a posé deux questions : «Avez vous franchi l'étroiture ?» Ils ont répondu «oui». «Avez vous retrouvé Eric Establie ?» Ils ont répondu : «Oui, à la cote moins 70 (à 70m de l'éboulis qui l'avait retenu prisonnier,ndlr)»... Le conseiller technique comprend alors la gravité de la situation. Très ému, il confie : «Là, on est assommé. C'est difficile... Il faut encore qu'on gère nos plongeurs qui sont sous l'eau.»

Seine-et-Marne : Marine, la joggeuse, à nouveau entendue par les gendarmes

Que s'est il vraiment passé dimanche pendant plus de douze heures à Saint-Germain-sur-Morin (Seine-et-Marne). Les gendarmes poursuivent leur enquête pour retracer l'emploi du temps de Marine, cette jeune fille de 18 ans, portée disparue jusqu'à 23h30 alors qu'elle était allée faire un jogging. Elle dit avoir été victime d'un enlèvement sans violence physique, a expliqué ce matin le procureur adjoint de la République, André Ribes.
«Elle affirme ne pas avoir été victime de violences de quelque nature que ce soit, déclaration confirmée par les expertises effectuées cette nuit qui établissent l'absence de lésions physiques ou d'actes à caractère sexuel», a-t-il ajouté.

Les circonstances dans lesquelles Marine a disparu en fin de matinée pour être retrouvée vivante aux alentours de 23h30, dimanche soir, non loin de chez elle restent floues. C'est une patrouille de gendarmes qui l'a découverte, alors qu'elle regagnait son domicile par ses propres moyens. Un témoin que les gendarmes ont entendu, affirme avoir aperçu la jeune fille, trois heures avant qu'elle soit retrouvée.

En tout début de matinée, ce lundi, le père de Marine avait confié que sa fille était «en état de choc». Il disait ne rien savoir de ce qui avait pu se passer dans la journée d'hier. «Elle est rentrée (à la maison) vers 5 heures du matin après avoir été auditionnée et hospitalisée à l'hôpital de Lagny-sur-Marne pour des examens», avait-il expliqué. Un médecin lui a rendu visite une partie de la matinée et a quitté le domicile un peu avant 14 heures. Marine a quitté à son tour vers 14 h 30 son domicile, le visage dissimulé, à l'arrière d'une voiture qui doit la conduire à la gendarmerie où elle sera entendue une nouvelle fois.

«Elle est en bonne santé», quoique «un peu choquée», avait expliqué cette nuit, le colonel Eric Le Callonnec, commandant du groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne. Lorsqu'elle a été retrouvée, la jeune fille a été «entendue par les enquêteurs» de la Section de recherches de Paris, dans les locaux de la brigade de Crécy-la-Chapelle. Ils ont attendu qu'elle «se réchauffe, (qu') elle se reprenne», a raconté le militaire.

«Aucun signe de violences»

Un vaste dispositif de recherche avait été déployé depuis le début d'après-midi, dimanche, dans le secteur de Saint-Germain-sur-Morin, en Seine-et-Marne, après que ses parents avaient signalé sa disparition. Marine, étudiante en prépa HEC à Paris après avoir décroché un bac scientifique mention «Très bien», avait quitté le domicile familial dans la matinée, vers 10h45, en tenue de sport.

Inquiets de ne pas la voir revenir, vers 13 heures, ils avaient alerté les gendarmes de Crécy-la-Chapelle qui, jugeant être face à une «disparition inquiétante», ont réagi en nombre. Un hélicoptère de Villacoublay, équipé de caméras thermiques, avait été appelé en renfort pour appuyer le dispositif au sol, porté de 60 à 180 militaires dans la soirée et placé sous le commandement d'un général de gendarmerie. Plusieurs brigades cynophiles participaient aux recherches. Les chiens qui suivaient la piste de la disparue depuis son domicile avaient perdu sa trace au milieu d'un chemin. Des plongeurs avaient même été mobilisés dans cette zone proche du parc Disneyland Paris et traversée par un cours d'eau, le Morin.

Seine-et-Marne : la joggeuse disparue retrouvée vivante

Un après-midi d'angoisse et vers minuit, la délivrance, Marine, 18 ans, portée disparue depuis le matin alors qu'elle faisait son jogging, a été retrouvée vivante aux alentours de minuit, près de son domicile.

Un vaste dispositif de recherche avait été déployé depuis le début d'après-midi, dimanche, dans le secteur de Saint-Germain-sur-Morin, en Seine-et-Marne, après que ses parents aient signalé sa disparition.
Agée de 18 ans, Marine Arcolle (et non Emilie comme indiqué dans un premier temps), étudiante en prépa HEC à Paris, avait quitté le domicile familial dans la matinée, vers 10h45, en tenue de sport.

Inquiets de ne pas la voir revenir, vers 13 heures, ses parents avaient alerté les gendarmes de Crécy-la-Chapelle. «Avant de partir, elle a déclaré à ses parents qu'elle allait faire un jogging puis elle n'est plus revenue», avait déclaré le procureur adjoint de République de Meaux, André Ribbes.

Une «disparition inquiétante»

La gendarmerie parlait d'une «disparition inquiétante». Un hélicoptère de Villacoublay, équipé de caméras thermiques, avait été appelé en renfort pour appuyer le dispositif au sol, porté de 60 à 180 militaires dans la soirée et placé sous le commandement d'un général de gendarmerie. Plusieurs brigades cynophiles participaient aux recherches. Les chiens qui suivaient la piste de la disparue depuis son domicile avaient perdu sa trace au milieu d'un chemin. Des plongeurs étaient également en alerte dans cette zone proche du parc Disneyland Paris et traversée par un cours d'eau, le Morin.

On craignait que les recherches se poursuivent durant la nuit. Des cavaliers de la Garde républicaine se tenaient également prêts à intervenir lundi matin si la jeune fille n'était pas retrouvée d'ici là. Vers minuit, enfin les gendarmes ont retrouvé Marine.

Journée du Limoges CSP à Evaux les Bains

le samedi 2 octobre 2010 a eu lieu une Journée très sportive à evaux les bains. Le CSP Limoges est venu découvrir le centre de remise en forme d'Evaux les bains.
Le Limoges CSP remercie le Centre de Bien Etre EVAHONA, et son Directeur Monsieur Alex Gbogbohoundada, pour l'accueil et la disponibilité du personnel lors de la journée du CSP à Evaux les Bains.

Alex Gbogbohoundada, Directeur du Centre de Bien Etre Evahona et Thierry Sauvanet, Directeur du Casino Evaux les Bains, posent avec Alain Vergnaud, de Natea Gamm Vert, en compagnie des joueurs et dirigeants du Limoges CSP.

dimanche 10 octobre 2010

Mickaël Louis sur la plus haute marche

Le Sénat vote la fin de la retraite à 60 ans

Ça y est, la mesure phare de la réforme des retraites a été votée au Sénat vendredi soir. Après les députés, les sénateurs ont adopté le report de l'âge légal de la retraite de 60 à 62 ans
A l'issue d'un long débat, l'article 5 du projet de loi de réforme des retraites a été adopté par 186 voix contre 153. L'UMP et les centristes ont voté pour.

Maintenant, les sénateurs se penchent sur l'autre mesure d'âge du projet de loi, celle qui repousse de 65 à 67 ans l'âge pour une retraite sans décote.

Les travaux des sénateurs sont actuellement suspendus. Ils reprendront lundi, à la veille de la journée de mobilisation contre la réforme.

 Une grève reconductible soutenue par les Français

Face au vote du texte, les syndicats ne s'avouent pas vaincus et accentuent la pression sur le gouvernement. Le mardi 12 octobre s'annonce comme un "mardi noir". Les appels à la grève (reconductible ou non) se sont multipliés et tous le secteurs sont touchés.

Dans les transports, ça risque de coincer à la RATP, à la SNCF ainsi qu'à Air France.

Mais l'éducation, la fonction publique, La Poste, France Télécom et le secteur de l'énergie sont aussi concernés.

Et les grévistes pourront s'appuyer sur le soutien des Français. Selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest Dimanche, 71% des Français sont favorables à la journée d'action de mardi. "Dans un contexte où le mouvement se radicalise avec les appels à une grève reconductible (...), le soutien de l'opinion gagne en fermeté", indique l'Ifop.

Une nouvelle journée de mobilisation est d'ores et déjà annoncée pour le samedi 16 octobre.

Une compensation insuffisante des allocations versées par le Conseil général ?

Le « plus pauvre des départements ruraux français » arrive au point de rupture, estime le président du conseil général, Jean-Jacques Lozach.

En cause : l'insuffisance des compensations financières de l'État pour les compétences transférées aux conseils généraux. Alors que le coût des prestations sociales explose...

À partir de 2013, la Creuse pourrait voir ses faiblesses mieux prises en compte par l'État : « La ministre des finances, Christine Lagarde, a cité les nouveaux mécanismes de péréquation », a annoncé, jeudi, Jean-Jacques Lozach, président du conseil général de la Creuse.

Concrètement, d'ici trois à cinq ans, trois chiffres permettront de définir le montant des compensations budgétaires : le nombre d'allocataires des minima sociaux, le poids des personnes âgées et le nombre de kilomètres de routes départementale. Ces trois chiffres étant rapportés à la population du département. Selon ces critères, le département de la Creuse pourrait être le premier servi. Dans le classement du rapport Jamet, qui a établi une liste de onze départements ruraux fragiles, il apparaît comme le plus démuni.

Creuse : un chasseur blessé par un sanglier

Mauvaise rencontre vendredi aprés midi pour un chasseur Creusois....

Alors qu'il traquait les sangliers prés de Saint Marc-à-Frongier et qu'il tournait le dos à un fourré, le chasseur a été chargé par un sanglier de plus de 80 kgs.
Blessé aux jambes, l'homme a été évacué par les pompiers vers la clinique la plus proche du lieu de l'accident.Les amis de la victimes , présents sur les lieux, ont abattu le sanglier.

Disparue pendant son jogging : 150 gendarmes à la recherche de Marine

Un vaste dispositif de recherche a été déployé depuis le début d'après-midi, dimanche, dans le secteur de Saint-Germain-sur-Morin, en Seine-et-Marne, après la disparition d'une joggeuse. Agée de 18 ans, Marine Arcolle (et non Emilie comme indiqué dans un premier temps), étudiante en prépa HEC à Paris, aurait quitté le domicile familial dans la matinée, vers 10h15, en tenue de sport.
Inquiets de ne pas la voir revenir, vers 13 heures, ses parents auraient alerté les gendarmes de Crécy-la-Chapelle.

Un hélicoptère de Villacoublay a été appelé en renfort pour appuyer le dispositif au sol, qui a été porté de 60 à 150 militaires dans la soirée et placé sous le commandement d'un général de gendarmerie. Plusieurs brigades cynophiles participent aux recherches. Les chiens qui suivent la piste de la disparue depuis son domicile perdent sa trace au milieu d'un chemin.

Selon le signalement diffusé par la gendarmerie, Marine mesure 1,68 m et pèse 50 kilos. Ses cheveux sont blonds, longs et attachés. Au moment de sa disparition, elle était vétue d'une veste polaire noire, d'un pantalon noir et chaussée de baskets de running. Elle portait également une paire de lunettes larges de couleur marron.

Toute personne disposant de renseignements est priée de prévenir la gendarmerie : 01.64.71.71.00