samedi 29 mai 2010

Réunion publique


Un public nombreux pour cette deuxième réunion publique de la municipalité. Une réativité municipale à l'écoute des citoyens.
Compte rendu ce lundi.

vendredi 28 mai 2010

champion ou pas ? Clermont en finale top14

La réaction collective et l'état d'esprit affiché cette saison quand elle a traversé des moments difficiles ont, semble-t-il, apporté à l'ASM une cohésion supplémentaire. Unanimes, les joueurs affirment avancer vers cette finale dans de meilleures dispositions mentales.

Plus sereins ? Sans aucun doute. Une nouvelle force de caractère ? On veut le croire. Mais l'essentiel est que les joueurs en soient persuadés, au moment, pour la majorité d'entre-eux, de remettre l'ouvrage sur le métier. Pour la quatrième fois consécutive. La deuxième en suivant face au même adversaire. Une équipe de Perpignan qui avait su, l'an dernier, renverser la tendance en affichant un mental de feu, alors que les Catalans couraient après le score.

Alors, qu'est-ce qui a changé cette année à Clermont, alors que l'encadrement a coupé le lien avec son préparateur mental ? « Il y a un petit truc en plus, glisse, énigmatique, le capitaine Rougerie. Je ne veux pas m'étaler sur ce sujet, je vous en dirais plus samedi soir, après le match. On s'est dit des choses, mais ça restera entre nous jusque-là. »

Une finale, terme d'une saison aussi longue qu'éprouvante, se joue, ou bascule rarement sur un fait technique, ni même une différence physique. L'envie est par contre un moteur qui peut galvaniser une équipe plus que l'autre. En vieux grognard, Alexandre Audebert se contente, en explications, d'une formule qui définit sans doute la teneur du message de cette semaine. « On apprend toujours de nos erreurs et de nos échecs? »

Poursuivi pour un découvert de 178500 €, il est relaxé

Francis, 35 ans, bénéficiaire du revenu de solidarité active, a dépensé cette somme en deux mois. Sa banque n’avait pas réagi.

Quand il a raconté son histoire à son avocat, Me Gérard Welzer, Francis, 35 ans, était sûr que ses actes le conduiraient tout droit en prison. Ce père de famille, dont les seules ressources étaient le revenu de solidarité active (RSA), avait dépensé en deux mois 178500 € sans que sa banque réagisse. Il a pourtant été relaxé hier par le tribunal correctionnel de Saint-Dié (Vosges) qui le jugeait pour escroquerie.

« La morale est une chose, le droit pénal, une autre. L’utilisation d’une carte bancaire sans provision n’est pas une manœuvre frauduleuse, même si l’on se sait à découvert. Il n’y a donc pas d’escroquerie », argumente Me Welzer, selon lequel ce procès a stigmatisé « le dysfonctionnement inquiétant des banques ».
Fin 2008, cet ex-vendeur d’habits sur les marchés quitte les Vosges avec sa femme et leurs trois enfants pour tenter sa chance en Vendée. « Se rapprocher de la mer et trouver un travail », résume Francis, qui installe les siens dans un mobile home. Le couple veut transférer son compte du Crédit agricole dans une agence de La Roche-sur-Yon. « Ma femme étant interdit bancaire, le banquier a proposé de m’ouvrir un compte avec un découvert autorisé de 500 €, relate Francis. J’ai dit que ça ne m’intéressait pas. Il a fixé le découvert à 50 € et m’a fait une demande de chéquier même si je n’en voyais pas l’utilité. » Francis ne trouve pas de job, sa famille a le mal du pays. Ils retournent dans les Vosges et, là, Francis dérape.
« On n’avait plus rien. J’ai commencé par faire des chèques sans provision », avoue Francis sans en être fier. Un jour, sa femme et lui partent acheter une pizza. « Vu que je faisais des chèques sans argent sur mon compte, j’ai glissé ma carte dans un distributeur en disant à mon épouse : On va leur rendre, la machine va l’avaler. » A sa grande stupéfaction, l’automate lui restitue sa carte et lui donne les 300 € demandés. « Ça m’a surpris, mais je me suis dit que ce devait être une sorte de crédit, explique Francis. J’ai tiré 100 €, puis 200, je suis allé dans les magasins. Après, j’ai été pris dans l’engrenage, je ne comptais plus. » Courses alimentaires, vêtements pour les enfants, ordinateur : le bénéficiaire du RSA est pris d’une frénésie d’achats. En deux mois, il effectue 1351 opérations avec sa carte dont la majorité dans des boutiques. De son côté, la banque ne bronche pas.
« A aucun moment le Crédit agricole ne s’est inquiété. Il n’a réagi qu’en février 2009 en demandant à mon client de rendre sa carte puis en déposant plainte pour escroquerie », note Me Welzer. L’ardoise finale est colossale : 138500 € de dépenses par carte et 40000 € de chèques en bois. Hier, le parquet a requis quatre ans de prison avec sursis. Le tribunal a prononcé une relaxe, comme l’avait plaidé avec efficacité Me Welzer. « Je ne me considère pas du tout comme un escroc », confie encore Francis. Mais il va devoir rembourser progressivement la banque. Le droit pénal est une chose, la morale, une autre. La direction du Crédit agricole n’était pas en mesure hier d’apporter des précisions.

La France organisera l'Euro 2016

France, Turquie ou Italie ? C'est à 13 heures à Nyon, en Suisse, que l'UEFA désignera le pays hôte du championnat d'Europe de football en 2016. Les Tricolores ont présenté leur dossier avec Nathan, 10 ans, la star du jour.

Ils sont treize membres du jury de l'UEFA (Union européenne du football association) et la France doit en convaincre au moins sept pour espérer organiser l'Euro-2016 de football dans l'Hexagone, le 15e championnat d'Europe de l'histoire. Face à la candidature française, la Turquie et l'Italie tenteront de défendre leur dossier.

Les animations de la semaine au Grand hôtel des thermes à Evaux les bains

C'est la fête des mères ce dimanche


Menu

le Dimanche 30 mai Midi et soir, Restaurant le Trianon du Grand Hôtel Thermal

La Terrine de Foie Gras, compotée de Figues et Pain d'Epice Maison

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Les Côtes d'Agneau Grillées aux Herbes et Gratin Dauphinois

ou

Le Filet de Sandre Rôti, sauce Safranée, et son Riz Sauvage

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L'Assiette de Fromages du Terroir

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Le Croustillant aux Pêches, Sauce Caramel au Poivre de Séchuan

Ce soir la fête des voisins

La Fête des voisins investit de nouveau les cours d’immeubles, les jardins, les trottoirs et les places de villages ce soir. Deux nouveautés pour le cru 2010 : trinquer en respectant l’environnement et, pour la première fois, investir les cinq continents…

A ma connaissance pas de fête des voisins dans notre ville d'Evaux les bains et c'est bien dommage. cette fête aurait été un bon moyen de mieux se connaître.

Lancée en l’an 2000 en France, la Fête des voisins devrait réunir cette année plus de 6 millions de participants, et environ 10 millions en Europe. Au fil du temps, la manifestation a essaimé dans le monde entier et, pour la première fois, elle concerne les cinq continents : du Japon au Canada, du Togo à l’Australie.

La Fête des voisins est également l’occasion de faire avancer, dans la joie, la bonne humeur et l’échange, certaines causes. Après la sensibilisation au tri sélectif l’an dernier, l’édition 2010 est placée sous le signe de la préservation de la biodiversité, et du respect de l’environnement d’une manière générale. Près d’un million de tracts du ministère de l’Ecologie, présentant quelques conseils et gestes utiles, seront distribués ce soir.

Ce soir à la maison des jeunes, réunion publique avec la municipalité, venez débattre et vous informez

Réunion publique vendredi 28 mai 2010

L'information, c'est la démocratie, à condition d'être bien informé. Pour cela, La municipalité vous invite à participer ce soir à la deuxième réunion publique qui se déroulera à la maison des jeunes à 20h00.

 Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile pour vous et  à tous

A 20 heures MAISON DES JEUNES 
ordre du jour 
Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?

Gaz : vers une hausse de 4,5% des tarifs en juillet et encore !

«Nous n'infirmons, ni ne confirmons car ce n'est pas le gouvernement qui fixe les tarifs du gaz.» Jeudi soir, dans l'entourage de Jean-Louis Borloo, ministre en charge de l'Energie, pas question de réagir à l'information du Figaro.fr selon laquelle les consommateurs pourraient voir leur facture de gaz augmenter de 4,5% au 1er juillet.

Même silence radio du côté de GDF Suez qui n'a pas encore saisi la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dont l'avis est obligatoire.

Indexés sur les coûts du pétrole, les tarifs du gaz sont révisés tous les trois mois selon une formule qui, d'après le Figaro.fr, «permet de tabler sur une hausse de quelque 4,5 %».

Une hausse qui interviendrait après celle de 9,7 % intervenue le 1er avril dernier. Les associations de consommateurs, les syndicats et l'opposition avaient alors vivement dénoncé cette augmentation jugée «scandaleuse» et «injustifiée» en période de crise. Quelque 44% des foyers français se chauffent au gaz et près de 90% des foyers raccordés au gaz naturel sont soumis aux tarifs réglementés.

jeudi 27 mai 2010

Retraites : pour Chatel, la «faible mobilisation» valide la réforme

La bataille des chiffres était bien partie jeudi en fin de journée. Un million de personnes ont manifesté dans toute la France à l'appel des syndicats pour défendre la retraite à 60 ans, selon la CGT. Ils ne serait qu'environ 400 000, selon les déclarations de Luc Chatel. Pour le porte-parole du gouvernement, la «faible mobilisation» enregistrée vient «valider la méthode du gouvernement» sur les retraites.

Au regard des chiffres avancés par la CGT, c'est, en revanche, un succès. En dessous des 300 000 participants dans les différents cortèges, cette journée d'action syndicale aurait été clairement un échec pour les organisateurs. Au-dessus des 800 000, un succès éclatant.

La même polémique se fait jour pour le cortège parisien. sous une pluie battante, 90 000 personnes, selon la CGT, 22 000 selon la préfecture de police, ont défilé ce jeudi après-midi entre la place Denfert-Rochereau et Bastille. «Ensemble agissons pour l'emploi, les salaires, les conditions de travail et les retraites» : derrière cette banderole, les leaders de six syndicats CGT, CFDT, CFTC, FSU, Unsa et Solidaires étaient réunis pour la dernière journée d'action avant l'annonce de la réforme des retraites, prévue autour du 20 juin, avant un passage au Conseil des ministres le 13 juillet.

Si pour le syndicat de Bernard Thibault, la manifestation de ce jeudi a rassemblé dans la capitale 30 000 personnes de plus que le 23 mars, la préfecture de police conteste l'augmentation du nombre de manifestants par rapport à cette date. Elle a dénombré 22 000 participants contre 31 000 il y a un peu plus de deux mois.

Les balades autour d'Evaux les bains

Montluçon : Saint-Maclou détruit par un incendie



Les 1.500 m2 du magasin Saint-Maclou de Montluçon ont été entièrement détruits, mercredi soir, par un incendie dont l'origine demeure indéterminée.
Un épais panache de fumée noire s'élevait, mercredi soir, du magasin Saint-Maclou de Montluçon, qui a été entièrement détruit par un incendie dont l'origine demeure indéterminée.

A leur arrivée, un peu après 19 heures, le magasin étant fermé depuis quelques minutes, les sapeurs-pompiers ont constaté que le bâtiment d'une superfice de 1.500 m2, situé dans le quartier de Bien-Assis, était complètement embrasé.
Dans un premier temps, ils se sont attachés à protéger le magasin de chaussures Besson, situé à côté, tout en attaquant les flammes en plusieurs endroits. Notamment du haut de deux grandes échelles déployées à cet effet.

Au total, une soixantaine d'hommes ont été engagés, sous les ordres du capitaine Jean Catry. Des centres de secours de Montluçon, d'abord, de Commentry et Néris-les-Bains ensuite, puis de Moulins et de Vichy.

Entre-temps, les services d'ERDF et de GrDF étaient également intervenus, tandis que les services de police procédaient aux premières constatations. Après avoir barré le haut de l'avenue Jules-Guesde et le bas de l'avenue Léon-Blum à la circulation. Tout en mettant des déviations en place.

Puis, en raison de la fumée, éventuellement toxique, qui s'échappait de la carcasse rapidement effondrée du bâtiment, ils ont également fait évacuer, vers 20h30, de l'autre côté des deux avenues, les nombreux badauds, installés derrière les mains courantes.
Le magasin contenait une cinquantaine de rouleaux de moquette et de plastiques, une quinzaine de palettes de parquet de 200 kg et quelque 200 kg de colles. Un riverain a entendu plusieurs explosions.

Andrée Larue, la responsable des lieux, et la majeure partie des employés (quatre, plus un intérimaire) ne pouvaient que constater les dégâts. Ils étaient revenus sur place, avoir fermé normalement les portes, vers 19 heures.
Le feu étant maîtrisé vers 20h30, les sapeurs-pompiers se préparaient à passer une longue nuit, sur les lieux et peut-être une ârtie de la matinée, afin d'éteindre complètement le sinistre (reportage photos Bernard Lorette)
La montagne.fr

Retraites : public et privé mobilisés contre la réforme

En cette journée d’action, les syndicats espèrent une forte mobilisation. Car si les régimes spéciaux sont épargnés, les fonctionnaires sont sûrs d’être touchés par la réforme.
Combien seront-ils aujourd’hui à battre le pavé, à Paris et dans les grandes villes du pays, pour défendre la retraite à 60 ans ? Bernard Thibault, le leader de la CGT, en espère 800 000, dépassant ainsi le haut score de la journée de mobilisation du 23 mars. Les syndicats comptent sur les salariés du privé, mais aussi sur les fonctionnaires, certains d’être eux aussi touchés par la réforme.

Une journée test


Comme le démontre notre sondage exclusif CSA, une forte majorité des Français (62 %) sont « prêts à manifester » pour maintenir le seuil symbolique des 60 ans. A l’évidence, ce jeudi d’action est un test tant pour le gouvernement, qui entend désormais avancer de façon décisive sur sa réforme des retraites, que pour les syndicats. Pour ces derniers, c’est l’occasion ou jamais de mesurer leur audience, donc leur capacité sinon à s’opposer à la volonté de Nicolas Sarkozy, tout au moins à peser encore sur les mesures à venir : allongement de la durée de cotisation, modalités d’alignement du régime des fonctionnaires sur ceux du privé…
En effet, même si le président et ses ministres ont déjà tranché (la retraite à 60 ans, c’est fini), ils répètent qu’il y a encore du grain à moudre. Et donc matière à négociation avec les partenaires sociaux. Pas question pour le pouvoir, au moment où les Français sont déjà fragilisés par la crise et que la rigueur pointe, de prendre le risque d’une explosion sociale. C’est pour cela que, n’hésitant pas à revenir sur les engagements électoraux du candidat Sarkozy, l’Elysée et Matignon ont assuré qu’ils ne toucheraient pas aux régimes spéciaux SNCF, RATP, EDF, GDF… Du moins pas dans l’immédiat.
Pour le reste, du mode de financement à la refonte du régime de la fonction publique, le jeu est ouvert. Toute la difficulté pour Sarkozy sera de donner des gages aux syndicats pour éviter de les braquer (sur la pénibilité notamment), tout en prenant de vitesse une gauche ultraremontée qui appelle elle-aussi à se mobiliser aujourd’hui.

Réunion publique à Evaux les bains demain vendredi à 20h00 à la maison des jeunes

Réunion publique vendredi 28 mai 2010

Comme promis lors de la campagne municipale, l’équipe de monsieur Bernard Campos, maire de la ville d'Evaux les bains communique et vous convie à une réunion débat ce vendredi 28 mai 2010 à 20h00 à la maison des jeunes. Toute la population est invitée à participer à cette réunion publique. Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile à tous

A 20 heures MAISON DES JEUNES THEME DE LA REUNION :Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?

la météo à Evaux les bains

Après les journées d'été de la semaine dernière, les orages et la pluie se sont installé sur notre ville.
Ce matin temps d'automne qui devrait s'arranger en cours de journée.
La pluie s'est invitée ce dimanche 30 mai  qui esperons le ne viendra pas gâcher la journée tuning qui se tiendra toute la journée dans la ville (champ Avel).

Les Bleus sur la bonne voie

A quinze jours de la Coupe du Monde, l'équipe de France a dominé le Costa Rica mercredi soir à Lens (2-1). S'ils ont montré un visage souvent séduisant, les Bleus ont aussi fait preuve de quelques signes de fébrilité en défense lors des 45 premières minutes.

C'était un premier match. Un match de préparation. Un premier test au cours duquel l'équipe de France est progressivement montée en puissance. En alignant un 4-3-3 rôdé cette semaine à Tignes, Raymond Domenech avait décidé de changer ses habitudes et de délaisser son 4-2-3-1 habituel. Le sélectionneur de l'équipe de France avait concédé mardi que ce nouveau système, avec un seul véritable milieu récupérateur, donnait « plus de garanties offensives, mais plus de fragilité défensive ».

Le début de match face au Costa Rica lui a donné raison. Car mercredi soir, dans un stade Bollaert toujours aussi accueillant (sauf pour Raymond Domenech dont le nom a de nouveau été conspué), les Bleus ont d'entrée montré plus d'allant et de rythme que lors de leurs dernières sorties. Emmenés par un Ribéry en jambes, les Français se procurent les premières situations chaudes par l'intermédiaire de Govou (10e, 11e). Ça, c'est pour « les garanties offensives ».

Pour ce qui est de la « fragilité défensive », le public lensois ne tarde pas à comprendre. Sur la première véritable incursion des « Ticos », Hernandez, trop seul à l'entrée de la surface de réparation, trompe Steve Mandanda, titularisé en lieu et place de Lloris (12e). Les Bleus réagissent, mais Gourcuff se voit logiquement refuser le but de l'égalisation pour hors-jeu (16e). Ce n'est que partie remise puisque quelques minutes plus tard, Sequeira dévie dans son propre but le centre de Franck Ribéry (22e).

Une deuxième période plus aboutie

La suite est dans la même lignée. Mandanda s'interpose avec brio sur une tentative de Ruiz (24e) avant d'être sauvé par sa transversale sur une tête de ce même Ruiz, oublié par Gallas sur corner (34e). Entre-temps, Gourcuff avait vainement tenté sa chance (28e). Sans plus de réussite que Ribéry juste avant la pause (45e).

A la mi-temps, Domenech décide de remplacer Gallas, logiquement en manque de rythme, par Squillaci, Anelka par Henry, et Toulalan par Alou Diarra. Tout en gardant le même système de jeu. Gourcuff, bien meilleur qu'en fin de saison, s'emploie sur trois grosses frappes (47e, 49e, 60e), alors que Thierry Henry manque de peu le cadre (58e). Les Bleus semblent alors avoir trouvé le bon équilibre et Raymond Domenech décide de tester Valbuena, à la place de Govou, au poste de milieu offensif droit (65e).

L'équipe de France poursuit sa domination, mais Navas s'interpose encore devant Squillaci (73e). Puis les coéquipiers d'Evra, capitaine à Bollaert, s'offrent leur seule frayeur sur une frappe non cadrée de Parks (75e). Domenech continue sa revue d'effectif et lance Diaby à la place de Malouda (77e). Valbuena-Diaby, c'est le duo décisif de la 83e minute. Le joueur d'Arsenal réalise un joli numéro et sert le Marseillais qui, pour sa première titularisation, marque son premier but en bleu et offre la victoire à son équipe.

Contre le Costa Rica, 42e au classement Fifa et non qualifié pour le Mondial, il y a donc eu de bonnes choses. De moins bonnes aussi. Bref, à deux semaines de la Coupe du Monde, les Bleus ont encore un peu de temps pour peaufiner leur copie.

le parisien.fr

mercredi 26 mai 2010

Grand meeting aérien, ce week-end, sur l'aérodrome de Lépaud

Double rendez-vous incontournable, le Fly In LFBK et le meeting aérien de Lépaud se dérouleront, sur et au-dessus de l'aérodrome, du 28 au 30 mai inclus. Plus de 230 avions sont attendus dans le ciel creusois par plusieurs milliers de spectateurs.

L'an dernier, lors de sa 7e édition, le Fly In LFBK -un rassemblement d'avions avec les professionnels du groupe Airfrance KLM- mais aussi et surtout le meeting aérien -animé par des pilotes aguerris- avait attiré quelque 4.000 spectateurs.

Cette année, le record pourrait être battu -dans la mesure où bien entendu il fera beau et chaud- car, pour cette huitième édition, le grand meeting populaire aura lieu le dimanche après-midi et pas le samedi comme l'an dernier.

De fait l'organisatrice, Béatrice de Reynal-Paris, elle-même ancienne pilote et présidente du club de vol à voile Montluçon-Guéret, espère que cette double manifestation sera une belle réussite : « Nous avons bien l'intention de nous envoyer en l'air? » Humour mis à part, elle reconnaît également que « ce qui est certain c'est que pour arriver, administrativement, à monter une telle manifestation c'est très lourd? » Et quasiment maintenant un mauvais souvenir car le programme est désormais bien calé. « L'an dernier, nous avons accueilli 230 avions.
Ce sera la même chose cette année. Du coup, cette manifestation est le plus gros rassemblement non commercial de France ». Et de préciser que « la première manifestation est entièrement gratuite. Quant au meeting, pour essayer de rembourser l'assurance que nous avons dû prendre pour le public, nous avons fixé l'entrée à 6 euros pour les adultes, gratuite pour les enfants ».
Ce qui n'est pas onéreux pour avoir la chance d'approcher de près des avions, petits, très gros, connus ou moins connus, récents ou anciens, voire de collections. Sans parler de la possibilité de rencontrer et d'échanger avec des pilotes, civils et militaires, prêts à parler de leurs expériences mais aussi, pour les jeunes notamment, prêts à donner des conseils pour devenir pilotes, mécanos, hôtesses de l'air ou contrôleurs aériens.

Parmi les pilotes présents, il y aura d'ailleurs du très beau monde avec, notamment, Bruno Ecalle, champion du monde de voltige; Régis Alajouanine, un pilote creusois ancien champion d'Europe et de France de voltige.

Enfin, concernant le meeting, le public pourra découvrir des nouveautés. Comme par exemple le Hawker Hunter, un avion de chasse qui peut voler en piqué à la vitesse du son; un Skyraider, le dernier bombardier au monde monomoteur ou encore un Cricri, le plus petit avion au monde.

Entre passages simples, passages en formation et exercices de voltige, il y en aura pour tous les goûts ce week-end à Lépaud.

Fusillade de l'A4 : l'hommage de Sarkozy à la policière tuée

«Les mots sont faibles, les mots semblent dérisoires, mais seuls les mots peuvent dire l'immensité de notre chagrin, et dire notre admiration.»

Mercredi, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Aurélie Fouquet, la policière municipale tuée jeudi dernier dans une fusillade sur l'A4, lors de ses obsèques à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).


Devant Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, et plusieurs centaines de représentants des forces de l'ordre, le président de la République a qualifié d'«exemplaire» le parcours de la jeune fonctionnaire, avant de lui remettre, à titre posthume, les insignes de chevalier de la légion d'honneur. Maman d'un petit garçon de 14 mois, la jeune femme de 26 ans «a donné sa vie pour la République», a-t-il insisté, soulignant son «courage» et son «sens du devoir».

«Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice»

Dans son éloge funèbre, le chef de l'Etat a également promis que les «lâches assassins» d'Aurélie Fouquet seraient «punis avec la sévérité qu'exige l'ignominie de leur crime». «Je n'appelle pas à la vengeance, j'appelle à la justice, à une justice ferme, à une justice implacable», a-t-il ajouté.

Dans l'enquête, un premier suspect a été mis en examen pour assassinat et écroué lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au travail de la police scientifique.

Alors que des milliers de policiers de toute la France s'étaient déplacés ce mercredi à Villiers-sur-Marne, pour assister aux obsèques, Nicolas Sarkozy a enfin déclaré qu'il était «temps d'ouvrir une réflexion appronfondie sur la place et le rôle des 18 000 policiers municipaux». Son discours a été suivi d'une marche silencieuse jusqu'aux lieux de la fusillade, à la sortie de l'autoroute A4.

Plus tôt ce mercredi, Aurélie Fouquet avait été citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Et à 15h30, une minute de silence avait été observée dans tous les commissariats et les gendarmeries du pays.

France – Costa Rica : Thierry Henry sur le banc

Comme prévu, l'équipe de France évoluera bien en 4-3-3 ce soir à Lens contre le Costa Rica, lors de son premier match de préparation à la Coupe du monde. Mais selon nos informations, Thierry Henry, capitaine habituel de la sélection, débutera la rencontre sur le banc de touche. En pointe, Raymond Domenech lui préférera Nicolas Anelka au coup d'envoi.

Pour les Bleus, tout commence ce soir L’heure de vérité pour William Gallas
A Tignes, ils ont soigné la cohésion

A noter également que Steve Mandanda gardera les buts de l'équipe de France, derrière une défense où William Gallas sera titulaire. En l'absence de Thierry Henry, le défenseur central d'Arsenal sera capitaine.

Composition de l'équipe de France :
Mandanda- Sagna, Gallas, Abidal, Evra- Gourcuff, Toulalan, Malouda- Govou, Anelka, Ribéry.

La troupe théatrale de Rougnat à Chambon le 29 mai 2010

Vous pouvez réserver vos places à l'office de tourisme de Chambon sur Voueize pour le 29 mai 2010.


au programme, du rire, du rire et encore du rire. Un bon moment à passer à Chambon sur Voueize.

L'école Ste Jeanne d'Arc à Evaux les bains


photo : D.bellet/2009

Un joli panorama de l'école Ste Jeanne d'Arc à Evaux les bains. L'accueil, la simplicité et la passion des enseignants, font de cette petite école un havre de paix ou règne un enseignement de qualité et une complicité sans égal avec les parents.

Dans cette école, vous n'ètes pas un numéro, mais un papa et une maman.

L'école Jeanne d'Arc vient d"ouvrir la porte sur l'extérieur et une autre communication avec les élèves. nos deux écoles à Evaux les bains sont dotées des nouvelles installations numériques et offrent aux élèves les outils de demain.

Avec ces nouveau outils numériques, les pratiques des enseignants sont également facilitées par les technologies de l'information et de la communication (TIC). Les professeurs ne travaillent plus de manière isolée, mais mutualisent leurs ressources et collaborent pour la préparation de leur cours. Ils sont plus enclins à favoriser l'apprentissage individualisé, actif et collaboratif. Plus généralement, les enseignants reconnaissent que c'est un outil organisationnel (en logistique et en communication) qui leur fait gagner temps et efficacité.

vous pouvez consulter le blog de l'école.
De nombreuses informations relatives à l'école et son fonctionnement vous sont proposées avec  de nombreuses rubriques vous favorisera l'enseignement de vos enfants.

le blog

Le Ministre Eric BESSON exige des Maghrébins à la Coupe du Monde...

Le Ministre Eric BESSON exige des Maghrébins à la Coupe du Monde...

Sans dire s’il s’agit d’un jugement politique ou sportif, le Ministre de l’Immigration Eric Besson, ancien membre du Parti Socialiste et actuellement au Gouvernement (UMPS ?) regrette qu’il n’y ait pas de joueurs d'origine maghrébine chez les Bleus et déclare :

« La France est cosmopolite et doit tenir compte d’un Islam fort dans l’hexagone… La présence de Maghrébins chez les bleus aurait contribué à préserver la paie sociale dans nos banlieues… Je doute que nos jeunes se retrouvent dans cette équipe… Ce ne sera pas par hasard si on assiste encore à des échauffourées, cet été, dans les quartiers difficiles… »

Et malgré les regrets du ministre, les choix de Raymond ne se discutent pas... Quel aveu inquiétant !

A lire aujourd’hui dans 20 MINUTES.

Révélations sur le coma de Johnny par le parisien.fr

La vie de Johnny Hallyday a-t-elle jamais été en péril en décembre dernier, alors que ses fans craignaient le pire ? Selon le dossier médical de la clinique Cedars-Sinai de Los Angeles (Etats-Unis), où le chanteur a été hospitalisé entre le 7 et le 23 décembre, document que l'hebdomadaire L'Express a pu consulter, le chanteur n'a jamais été en danger de mort.

S'il a été placé dans un «sommeil contrôlé, aussi appelé coma artificiel» - ce qui a été interprété en France comme l'aggravation de son état de santé et le risque d'une issue fatale - c'est «pour des problèmes respiratoires et une dépendance à l'alcool».

De retour en France depuis le 23 mai, Johnny doit se rendre mercredi à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre pour y subir une série d'expertises médicales dans le cadre de la procédure judiciaire sur ces ennuis de santé. S'estimant victime d'une erreur médicale de la part du chirurgien Stéphane Delajoux - qui l'a opéré en novembre 2009 d'une hernie discale, opération après laquelle il a contracté une infection - le chanteur veut savoir ce qu'il s'est passé. A l'époque des faits, Jean-Claude Camus, producteur de la star, avait qualifié de massacre l'opération du médecin. Les deux experts médicaux désignés par la justice doivent rendre leur rapport à la mi-juillet et le document que dévoile L'Express pourrait peser dans leurs conclusions.

Fusillade de l'A4 : obsèques de la policière cet après-midi

Aurélie Fouquet, la policière municipale de Villiers-sur-Marne tuée jeudi dans une fusillade, est citée à l'ordre de la Nation par le Premier ministre François Fillon. Cette décision est parue au Journal Officiel mercredi, jour où se dérouleront ses obsèques, à Villiers-sur-Marne, en présence du Président de la République.

Au moment où doit débuter la cérémonie, à 15h30, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a demandé qu'une minute de silence soit observée «dans tous les commissariats et toutes les gendarmeries». «La police et la gendarmerie nationales marqueront ainsi leur solidarité envers la jeune policière municipale, assassinée lors de la fusillade de Villiers-sur-Marne, le 20 mai dernier, ainsi qu'à l'égard de tous ses collègues des polices municipales», conclut le communiqué de l'Intérieur.

Dans l'enquête, un premier supect a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire lundi soir. Deux autres suspects ont été identifiés grâce au recours à la police scientifique. Des traces d'ADN pour un deuxième suspect et l'exploitation de films de vidéosurveillance du secteur de la fusillade ont permis aux enquêteurs de circonscrire les membres du commando meurtrier.

Eric Woerth enterre la retraite à 60 ans

Le ministre du Travail, Eric Woerth, a confirmé que la fin de la retraite à 60 ans était "une option logique pour le gouvernement". Depuis ce matin, l’UMP lance une offensive sur ce thème, avec une convention patronnée par Xavier Bertrand, chaud partisan de cette solution. Le parti présidentiel évoque même un recul de l’âge légal à 62 ou 63 ans.

Le ministre du Travail lui-même, Eric Woerth, a plus que confirmé que le gouvernement devait “agir sur l’âge légal de départ à la retraite”. Dans un entretien accordé à Paris-Match, il affirme que “c’est une option logique pour le gouvernement”. Pour lui, le levier de l’augmentation de la durée de cotisation a déjà été utilisé. Mais, sur la ligne de ses services, il souligne que le nouvel âge légal n’a pas encore été défini.

Travailler plus longtemps, c’est de toutes façons le levier privilégié par l’UMP. Le parti de Xavier Bertrand ne s’en cache pas, et lâche, quand il le peut, les âges de départ envisagés : pour Arnaud Robinet, le député en charge des retraites, 62 ans serait le minimum.

La région Limousin épinglée pour ses subventions en matière de formation

Le tribunal administratif de Limoges a tranché. Il demande à la région Limousin d'annuler la délibération en date du 19 décembre 2008 par laquelle le conseil régional du Limousin a créé un dispositif permanent de formation intitulé "Portail formation Limousin" et a alloué diverses subventions pour un total de 2,25 millions d'euros à quatre opérateurs retenus.
Le tribunal avait été saisi par l'Aformac (Association pour la formation dans le Massif central), la FFP (Fédération de la formation professionnelle), le Synofdes (Syndicat national des organismes de formation de l'économie sociale) et la fédération des Urof (unions régionales des organismes de formation).

Leur motif : s'assurer que tous les opérateurs de formation soient traités de la même façon. "La délibération prise autour du concept de service public régional de la formation du Limousin aboutissait à ce que le régime de contractualisation soit différent selon les opérateurs concernés, c'est quelque chose d'inacceptable", explique Gérard Brédy, président du Synofdes.
Le conseil régional avait en effet octroyé des subventions à quatre opérateurs publics de formation : Afpa, Cnam, Greta et CFPPA… La région a eu beau faire valoir ses arguments en faveur de subventions directes à ces opérateurs, pour échapper au Code des marchés publics, le tribunal en a décidé autrement. "Il ne ressort pas des pièces du dossiers que, compte-tenu des modalités d'organisation des structures concernées et des conditions dans lesquelles elles exercent leurs missions, elles puissent être regardées comme n'étant pas des opérateurs économiques auxquels il pourrait être fait appel dans le cadre d'un marché public", indique ainsi le tribunal dans son jugement du 6 mai 2010.

Il demande donc à ce que les organismes de formation ayant profité de ces subventions remboursent les sommes perçues assorties des intérêts et rappelle ainsi à l'ordre la région sur l'application du Code des marchés publics dans le cadre des actions de formation professionnelle.


"C'est une triste victoire car notre objectif n'était pas de faire triompher le Code des marchés publics", explique Gérard Brédy qui considère que "la référence au Code des marchés publics comme seul outil n'est pas forcément quelque chose de pertinent" et qui propose plutôt de s'inspirer de ce que le droit européen permet en matière de Sieg (service d'intérêt économique général).

"Le problème aujourd'hui, c'est que sur le territoire français, il y a des régions qui ont mis en place un système de mandatement comme la région Poitou-Charentes, d'autres qui utilisent des appels d'offres pour tout domaine et tout opérateur, d'autres qui fonctionnent par subventions et d'autres encore qui ont cherché à mettre en place un système similaire à celui de Poitou-Charentes mais qui se sont fait retoquer par le préfet, comme la région Centre, affirme le président du Synofdes. "

Il y a un méli-mélo de modes de contractualisation sur lequel il serait important de définir des orientations plus précises", ajoute-t-il, se demandant s'il faudra saisir les instances européennes pour demander un arbitrage. L'affaire n'est toutefois pas close. La région a en effet décidé de faire appel de la décision du tribunal de Limoges.

Espagne : les maires et députés réduisent leur salaire

Après les Italiens, les Portugais et les Britanniques, les Espagnols passent à l'action en attendant que la France en fasse autant. La rigueur doit être pour tous.

Alors que la question est posée aux ministres français, les maires et députés espagnols ont décidé de participer à l'effort de rigueur budgétaire, en acceptant de réduire leur salaire. Une baisse qui représentera, pour les édiles, entre 0,25% et 15% de leurs revenus, et 10% pour tous les députés.

Cette baisse prendra effet en juin 2010 et sera valable jusqu'à fin 2011, a précisé M. Castro, le maire socialiste de la ville de Getafe (centre).

Avant eux, les ministres...

La semaine dernière, le gouvernement socialiste espagnol avait approuvé un ensemble de mesures d'austérité supplémentaires pour 2010 et 2011 d'un montant de 15 milliards d'euros. Ces mesures comprenaient non seulement une baisse de 5% sur les salaires des fonctionnaires, mais aussi de 15% sur le traitement de José Luis Rodriguez Zapatero et des membres de son gouvernement. Comme ailleurs en Europe, le gouvernement s'était résolu à ces mesures impopulaires afin de redresser plus vite les comptes publics. Son objectif : ramener le déficit à environ 6% du PIB en 2011 puis à 3% en 2013, contre 11,2% fin 2009.

Selon la ministre de l'Economie Elena Salgado, les baisses des salaires des fonctionnaires entraîneront une économie de 2,3 milliards d'euros en 2010 et de 2,2 milliards en 2011. En revanche, la Fédération espagnole des municipalités et provinces (FEMP) et le parlement n'ont pas précisé, mardi, les sommes économisées avec les baisses de salaires de leurs élus.

Facebook danger ou pas ?

La vie privée des 15 millions de Français sur Facebook est-elle assez protégée ? Non, estime le gouvernement, qui prépare une charte.
Après la gloire, les déboires. Alors que les signes de méfiance des internautes se multiplient partout sur la Toile, c’est au tour du gouvernement de s’en prendre à Facebook. Interrogée par Canal + hier sur la protection des données des 15 millions de Français présents sur réseau social, Nathalie Kosciusko-Morizet n’a pas hésité à fustiger la politique de confidentialité du géant américain, qui permet notamment d’utiliser les données de ses membres à des fins publicitaires.

« Il faut avoir, par défaut, des profils d’utilisateurs qui soient extrêmement protecteurs du point de vue de la vie privée », a estimé la secrétaire d’Etat à l’Economie numérique.
Cet assaut intervient au lendemain de la publication d’une lettre du fondateur de Facebook dans le prestigieux « Washington Post ». Jusque-là très discret, le jeune prodige de 26 ans y fait son mea culpa, promettant de donner un moyen facile de « désactiver les services tiers », comme la transmission des données personnelles à des entreprises. « Parfois, nous allons trop vite », a reconnu Mark Zuckerberg en guise d’excuses. Insuffisant pour NKM : « Cela ne suffit pas de donner aux internautes de nouveaux outils pour protéger leurs propres données personnelles », a-t-elle insisté, adoptant une position similaire à celle de l’Union européenne, qui réclamait mi-mai « un profil protecteur des utilisateurs par défaut ».
Rien de neuf sous le soleil ? Si, car les membres du réseau social commencent eux aussi à perdre patience. Preuve de la grogne, deux Canadiens appellent les 400 millions de membres à claquer la porte du site le 31 mai, à l’occasion du Quit Facebook Day (la Journée pour quitter Facebook). Sur Google.fr, la requête « supprimer son compte Facebook » a augmenté de 30 % au cours des deux derniers mois. « On a l’impression que les utilisateurs se réveillent, et découvrent enfin les dangers du site, s’étonne Alex Türk, président de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Ils ont fini par comprendre qu’ils sont considérés non pas comme de simples membres, mais comme des clients qui doivent rapporter de l’argent, via la pub. »
La parade ne sera pas facile à mettre en oeuvre : installé aux Etats-Unis un pays peu regardant sur la question Facebook n’a pas besoin de se conformer aux lois françaises en matière de protection des données. Seule solution : une charte de bonne conduite. « Elle est en cours d’élaboration, explique-t-on dans l’entourage de la secrétaire d’Etat. Nous voulons que les réseaux sociaux et les éditeurs de blogs s’engagent sur la confidentialité des données de leurs membres, l’utilisation qui peut en être faite et le droit à l’oubli. » Les représentants de Facebook en France feront-ils partie des signataires ? « Nous sommes en pourparlers, même si on ne peut présager de rien. »

mardi 25 mai 2010

Jackpot record au casino : un couple gagne 5,5 millions d'euros

Pour son treizième anniversaire de mariage, un couple a décroché dimanche un cadeau btrès substantiel : 5,5 millions d'euros ! C'est aussi le gain record sur une machine à sous.

Pour célébrer leurs noces de muguet, les époux s'étaient rendus au casino Tranchant de Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées.

A 16h37, précisément la machine à sous qui ne prenait que des pièces de 50 centimes s'est bloquée. Le couple a cru qu'elle était tombée en panne. Mais non, ils avaient gagné 5 51,448 euros exactement ! Les époux qui habitent Pierrefitte-Nestalas, une commune, proche de Lourdes, située également dans les Hautes-Pyrénées, ont déclaré qu'ils allaient s'offrir un voilier.

Mis en place il y a huit mois le 18 septembre 2009, le «Magic Casinos Jackpot» est une cagnotte progressive multisites reliant les machines entre elles qui alimentent ensemble une seule et même cagnotte en prélevant un pourcentage sur chaque mise. Le système a été lancé dans 100 casinos français : 35 casinos du groupe Barrière, 17 casinos de Joagroupe, 16 casinos du groupe Tranchant, 8 casinos du groupe Emeraude et 24 casinos indépendants.

Le gain record sur une machine à sous (3 303 900 euros) était détenu depuis le 30 mai 2009 par un joueur d'un casino du groupe Partouche à Annemasse, en Haute-Savoie.

Violences et absentéisme : Sarkozy dans un collège de Beauvais

Un léger incident s'est produit mardi matin lors du déplacement de Nicolas Sarkozy dans un collège de Beauvais (Oise). Une visite présidentielle dédiée à l'absentéisme et aux problèmes de violence en milieu scolaire. Peu avant 10H30, dans la cour du collège Charles Fauqueux, où les élèves se pressaient pour l'approcher, l'un d'eux a jeté une bouteille d'eau en plastique en direction du chef de l'Etat.

Un officier de sécurité s'est interposé et le projectile n'a pas atteint le président.

Un atelier sur le thème «exprime ta peur»

A son arrivée dans le collège, Nicolas Sarkozy s'était inquiété, auprès du principal, des élèves sortant du collège sans affectation (une vingtaine sur 120 à la fin de la 3e dans cet établissement). «On trouve des places à tous», lui a assuré le responsable. Le président s'était ensuite entretenu avec les enseignants, à huis clos, durant un peu plus d'une demi-heure.

Le chef de l'Etat a visité des ateliers de peinture, discuté avec des élèves de 4e dont l'atelier avait pour thème «exprime ta peur». Dans cet atelier, un garçon a reproduit un cimetière, et une fille a dessiné une cité vue de sa fenêtre «parce qu'elle a peur du vertige», a-t-elle expliqué au président.

A la préfecture, Nicolas Sarkozy a évoqué la délinquance, les violences scolaires et l'absentéisme avec Alain Martinez, directeur départemental de la sécurité publique, des professeurs et des responsables de collèges. «Il y a un absentéisme occasionnel, un structurel. C'est celui-là que nous sommes décidés à combattre, mais cela ne pourra se faire sans la responsabilisation des familles», a-t-il dit, en assurant que les enseignants n'étaient «pas en cause», mais étaient «démunis».

Il y a un mois, le chef de l'état avait annoncé que les allocations familiales seraient «systématiquement» suspendues en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répété.

Clin d'oeil à Evaux les bains


Le printemps est arrivé avec sont lot de soleil et d'orage. ce jour 25 mai, 28° le matin et orages l'après midi. prévisible avec cette semaine de grande chaleur.
C'est le moment des plantations et la nouvelle association EVAFLORS(Association de fleurissement de la ville) , s'empresse de fleurir la ville en complémentarité des services municipaux.

Prochainement vous pourrez admirer les réalisations de l'association en vous promenant dans la ville. Au regard des réalisations en cours, la ville obtiendra certainement une récompense au niveau du fleurissement et ce sera le fruits des éfforts de tous les membres de l'association et des services municipaux.

Invitation à toute la population, réunion publique à Evaux les bains.

Réunion publique vendredi 28 mai 2010

Comme promis lors de la campagne municipale, l’équipe de monsieur Bernard Campos, maire de la ville d'Evaux les bains communique et vous convie à une réunion débat ce vendredi 28 mai 2010 à 20h00 à la maison des jeunes. Toute la population est invitée à participer à cette réunion publique. Venez écouter et poser vos questions, venez débattre, ce sera utile à tous

A 20 heures MAISON DES JEUNES THEME DE LA REUNION :Bilan de la municipalité après deux ans de gestion ; ou en sont les projets élaborés en mars 2008 ? Quel avenir pour notre commune ?

Retraites : 62 ans, un minimum pour l'UMP

Une convention de l'UMP, mardi et mercredi, à l'Assemblée nationale, va soulever des pistes pour la réforme du système de retraites.
Pour son secrétaire général, Xavier Bertrand, «relever l'âge de la retraite est inévitable». Dans les pages du quotidien Les Echos, son Secrétaire national en charge du dossier des retraites, Arnaud Robinet, estime que «62 ans semble un minimum
65 ans est dans le domaine du possible si l'on se place à l'horizon 2030»... L'UMP s'apprête à dévoiler ses pistes pour la réforme des retraites lors d'une convention sur le sujet qui se tient deux jours durant à l'Assemblée nationale, pistes qui devraient faire l'objet d'amendements au projet de loi du gouvernement.

Officiellement, la «concertation» nationale continue sur la réforme continue, «rien n'est décidé», martèle-t-on au gouvernement dont le projet, encore sur le métier, ne sera pas dévoilé avant la mi-juin. «Il s'agit de prendre le temps de la concertation (...) aucune décision n'a été prise», répètait encore mardi matin sur France Info Luc Chatel, porte parole du gouvernement. Une chose semble néanmoins acquise : l'âge du départ à la retraite sera relevé progressivement. La question reste de savoir de combien. Les Echos avancent que «62 ou 63 ans semble probable».

Hausse de cotisations des fonctionnaires

Le gouvernement agirait également sur la durée de cotisation : de 41 ans en 2012, elle passerait à 41,5 ans en 2020 puis à 42 une dizaine d'années plus tard, ajoute le quotidien économique, qui avance également l'hypothèse d'une augmentation de la cotisation retraite des fonctionnaires. Aujourd'hui à 7,85 %, le taux de cotisation pourrait être amené à hauteur de celui des salariés du privé, jusqu'à près de 11 %. La hausse s'appliquerait aux régimes spéciaux, mais leurs avantages particuliers seraient préservés.

Pour Arnaud Robinet, il faut également regarder vers les pensions de réversion, qui ne sont pas plafonnées dans la fonction publique, mais aussi envisager que les fonctionnaires mères de trois enfants puissent partir au bout de quinze ans. Xavier Bertrand estime par ailleurs que la «capitalisation ne doit pas être tabou», parce qu'il ne s'agit de capitalisation à l'anglo-saxonne. Selon lui, il faut «donner le choix au Français de mieux gérer leur épargne-retraite» et «simplifier les dispositifs».

Quelques jours après les propositions du Parti socialiste, l'UMP entre donc dans le débat. Un débat «à la sauvette» , déplore Bernard Thibault, le patron de la CGT, dans les colonnes de Libération à deux jours d'une mobilisation nationale pour la défense de la retraite à 60 ans. On «glisse ostensiblement» vers le «travailler plus longtemps pour gagner moins», dénonce-t-il. De son côté, Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force Ouvrière, estime que le relèvement de l'âge de départ est «injuste pour les salariés parce que cela ne résout même pas les problèmes financiers» du système des retraites.

Fusillade mortelle de l'A4 : un premier suspect incarcéré

Dans l'enquête sur la fusillade mortelle sur l'autoroute A4, un premier suspect vient d'être incarcéré. Il s'agit de l'homme âgé de 41 ans et placé en garde à vue depuis jeudi soir. Il a reconnu appartenir au commando qui est impliqué dans la fusillade qui a coûté la vie à une policière municipale de Villiers-sur-marne (Val-de-Marne).

Malek Khider avait été condamné en 2002 à 12 ans de prison pour avoir séquestré un couple de bijoutiers. Il a été déféré lundi soir au parquet de Paris qui a ouvert une information judiciaire, notamment pour assassinat et tentatives d'assassinat, vols avec armes, destructions de véhicules et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime. Un juge d'instruction l'a ensuite mis en examen pour les mêmes chefs avant de le placer en détention provisoire.

Après cette première interpellation jeudi, le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, annonçait dimanche dans une interview au JDD qu'un deuxième homme était sur le point d'être interpellé. «Les autres (malfaiteurs) sont en cours d'identification. Je vous garantis que les membres de ce commando seront inéluctablement arrêtés», assurait le ministre comme il l'avait fait dès après la fusillade.

Un troisième membre du commando a été identifié dans le cadre de l'enquête sur la fusillade, jeudi dans le Val-de-Marne, qui a coûté la vie à Aurélie Fouquet, une policière municipale de Villiers-sur-Marne, âgée de 27 ans. Les enquêteurs ont retrouvé sa piste «grâce à l'exploitation croisée d'un témoignage recueilli par les enquêteurs et des images enregistrées par une caméra de vidéosurveillance installée sur un arrêt de bus.

lundi 24 mai 2010

Combien perçoit un député élu et non réélu ?



Ce matin , lundi de Pentecôte, je discutais dans la rue avec des passants sur la ville et ces généralitès et une question est arrivée dans la conversation. Mais combien touche nos députés ? Je me suis renseigné de plus près et là, je suis scandalisé !


Alors que l'état nous demande de faire des économies, de travailler encore plus et plus lomgtemps, détourne des millions d'Euros vers d'autres affectations, demande aux collectivités territoriales de revoir les RSA, les allocations diverses et vitales pour de très nombreuses familles,  nos élus s'enrichissent à vos dépends.

Vous faite un CAE (contrat Avenir), vous n'aurez pas le droit au chômage, vous serez condamnez à vivre avec le RSA alors que Cinq ans d’indemnité “chômage” soit 417 120 euros sont alloués à nos députés non réélus, c'est scandaleux.

Un salaire de 5126 euros net d'impôts !

Selon les chiffres officiels, en janvier 2007, un parlementaire (député ou sénateur) gagnait 5126 euros net d'impôts (6 891 euros brut). Il s'agit d'un très bon salaire pour un responsable politique qui découpe son travail en trois tiers : un tiers du temps, il travaille dans les commissions de l'Assemblée nationale pour préparer les propositions de lois et les textes présentés en séance plénière, un tiers du temps il siège à l'Assemblée nationale, d'octobre à juin, avec souvent une session extraordinaire en juillet. Et le reste du temps, le député sillonne sa circonscription et tient des permanences pour répondre aux doléances de ses administrés. C'est d'ailleurs toute l'ambiguïté de la fonction d'un député : il est à la fois un représentant de la Nation qui doit défendre l'intérêt collectif et en même temps un élu local qui se doit de répondre aux besoins de sa circonscription.

et après ... les pauvres
Pour chaque député non réélu les Français devront ; payer 417 120 Euros = 60 mois x 6952 euros  d’indemnités …..

Ce texte proposé par monsieur Debré a été voté par tous les députés. A l’Assemblée,il n’est plus question de majorité et d’opposition lorsqu’il s’agit d’augmentation des émoluments des élus. On est uni lorsqu’il s’agit de privilèges.

Une indemnité représentative de frais de mandat de 6 223 euros, non imposable


Mais le salaire d'un député ne constitue que le tiers de ce que l'Etat lui verse. Car en plus de son salaire, le député perçoit une première indemnité dite "de frais de mandat" de 6 223 euros. Cette indemnité, qui est donc plus élevée que le salaire lui-même, est censée être utilisée pour les "diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l'Assemblée", selon la circulaire qui réglemente les revenus des députés.
Puisqu'il s'agit d'une indemnité, elle est non imposable. Avec cette somme, les députés sont donc censés couvrir toutes leurs dépenses de représentations : déplacement sur le terrain, costumes et autres frais divers.

Un crédit affecté à la rémunération des collaborateurs de 8 859 euros


L'Assemblée nationale et le Sénat versent également un crédit de 8 859 euros par mois aux parlementaires, destiné à la rémunération des collaborateurs. Les députés payent ainsi des secrétaires, des collaborateurs qui les aident dans leurs tâches quotidiennes. Mais le versement de ce crédit n'est pas contraignant, le député décide qui il veut embaucher, pour quelle tâche, pour une durée limitée ou non. Le nombre de collaborateurs ainsi que leurs rémunérations n'est pas limité.

Souvent, les députés embauchent donc des membres de leurs familles, sans qu'ils n'aient de formation particulière. Le temps de travail d'un collaborateur n'est d'ailleurs soumis à aucune règle. Certains députés, très consciencieux, ont donc un véritable staff, d'autres, plus dilettantes, se contentent d'une secrétaire ou d'un collaborateur. Une partie du crédit alloué part alors dans la poche du député.

Une jolie prise à evaux les bains

Un joli gardon pris dans un étang à Evaux les bains en ce dimanche ensoleillé .
30 cm c'est la longueur du gardon.


Pour vos cadeaux de la fête des mères

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Tél: 05 55 65 53 45

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Une famille agressée au Parc Astérix

Une famille originaire du Pas-de-Calais a été agressée hier vers 13 heures au Parc Astérix, alors qu’elle était en train de déjeuner près de sa voiture. Quelques heures plus tôt, alors que les six membres d’une même famille se trouvent dans la file d’attente de l’attraction Goudurix, ils se font dépasser par quatre jeunes originaires de l’Essonne.

L’un des enfants de la famille, majeur, leur fait alors une remarque à laquelle les jeunes répondent en lui proposant de se battre. Celui-ci refuse mais les jeunes lui affirment qu’ils le retrouveront.

L’incident aurait pu être clos mais à l’issue de l’attraction, la famille se rend sur le parking du parc pour y pique-niquer, lorsque une vingtaine de jeunes se dirigent vers elle. La famille reconnaît alors les quatre personnes qu’elle avait croisées précédemment dans la file d’attente. Deux des auteurs présumés, âgés de 21 et 22 ans, auraient ensuite roué de coups les deux jeunes de la famille, âgés de 18 et 20 ans. Les victimes ont été transportées à l’hôpital hier dans l’après-midi. La mère des jeunes gens a également été blessée alors qu’elle tentait de s’interposer. Plusieurs voitures ont été détériorées.
La sécurité du Parc est intervenue peu avant l’arrivée de la gendarmerie. Une enquête a été ouverte et deux des auteurs présumés ont été interpellés et placés en garde à vue. Un troisième, qui se serait blessé en brisant une vitre d’une voiture, était toujours recherché par la police hier soir.

PERSONNES ÂGÉES. Encore un impôt indirect ! Cafouillages sur l’argent de la journée de solidarité

La journée de solidarité rapporte deux milliards d’euros chaque année.

Mais il existe des dysfonctionnements selon la présidente de la mission parlementaire sur le sujet. Le gouvernement dément.

 Aujourd’hui c’est l’ex-fameux « lundi de Pentecôte travaillé », devenu depuis 2008 une JSF, « journée de solidarité sans date fixe ». Un véritable succès financier en terme d’entraide entre les générations . Or, la présidente de la mission d’information sur cette journée, la députée socialiste Laurence Dumont, lance une charge contre ce dispositif concocté par le gouvernement Raffarin après la canicule de l’été 2003 et ses 15 000 morts.

«L’Etat a pris 1 milliard pour renflouer l’assurance maladie»

«Des excédents de fonds n’ont pas été utilisés comme prévu»
Une partie des quelque 2 milliards d’euros récoltés chaque année aurait été affectée au colmatage du trou de la Sécurité sociale et pas exclusivement à la prise en charge des personnes âgées et handicapées. Tout aussi inquiétant, la caisse chargée d’allouer les fonds souffre de « dysfonctionnements budgétaires » et le flou régnerait sur la coordination des projets financés.

Le défi : financer la dépendance

Des inquiétudes, confirmées par un rapport de l’Igas publié en mars, qui font écho aux accusations de Pascal Champvert, président de l’association des maisons de retraite AD-PA. De son côté, le gouvernement dément.
« Il est totalement faux de dire que l’argent de la journée solidarité a été détourné », souligne-t-on dans l’entourage d’Eric Woerth, le ministre du Travail. Quant à la décision prise en 2009 d’affecter 150 millions d’euros de crédits excédentaires à l’assurance maladie, elle était, selon le ministère, « complètement justifiée. Ces sommes provenaient de l’argent de l’assurance maladie et non pas de l’argent du jour férié ».

Autre motif de perplexité : Les salariés vont encore trinquer, une deuxième journée de solidarité pour financer la dépendance serait à l’étude selon Laurence Dumont.

 « Il n’y a absolument aucun projet à l’étude », rétorque ce proche d’Eric Woerth. Reste que la seule journée de solidarité ne suffira pas à faire face au défi du vieillissement de la population. Nicolas Sarkozy avait promis la création d’une cinquième branche de la protection sociale, s’ajoutant à la maladie, la famille, les accidents du travail et les retraites pour financer la dépendance. La réforme n’a toujours pas vu le jour.

En attendant, les Français profiteront d’un lundi de Pentecôte ensoleillé. Depuis 2008, la majorité des salariés reste chez elle.

dimanche 23 mai 2010

Cannes : Palme d'or pour «Oncle Boonmee»

Trois prix et non des moindres pour deux réalisateurs (Xavier Beauvois et Mathieu Amalric), le Prix d'interprétation féminine à Juliette Binoche : le cinéma français a été mis à l'honneur par le jury du 63e Festival de Cannes, présidé par l'Américain Tim Burton. C'est la première fois qu'un film thaïlandais obtient la Palme d'or.

«Oncle Boonmee» d'Apichatpong Weerasethakul succède au «Ruban blanc» de Michael Haneke sur la prestigieuse liste des lauréats. Première aussi pour le cinéma tchadien qui n'avait jamais été représenté en compétition à Cannes. «Un homme qui crie» de Mahamat-Saleh Haroun a reçu ce dimanche le Prix du jury. Depuis treize ans pas un seul réalisateur d'Afrique sub-saharienne n’avait pas été retenu pour la sélection officielle. Retour sur le déroulement de la soirée.

Pour info : SERIE TF1 "DOC MARTIN" Avec Thierry Lhermitte !

CASTING Le tournage de « Doc Martin », adaptation française d'une série anglaise à succès avec Thierry Lhermitte, à commencé. TF1 recherche des figurants.
Pour pouvoir postuler, il faut être âgé entre 16 et 85 ans.
La rémunération est 82 € bruts par jour de tournage.
Pour présenter votre candidature, faire un courrier comportant

- deux photos très récentes (un portrait et une photo en pied)
- une fiche sur laquelle il faut indiquer : le nom,
prénom, le nom de jeune fille (obligatoire),
l’adresse et téléphone,
les date et lieu de naissance,
le numéro de sécurité sociale (avec la clé et numéro personnel même si vous êtes ayant droit de quelqu’un),
la profession,
le ou les sports pratiqués et l’expérience éventuelle en théâtre ou cinéma.

POSTULER ICI

Prestation rémunérée, minimum tarif syndical, cachet intermittent
Merci à tous d'avance

La Mairie d'Evaux les bains en creuse

Retraite: Aubry rétablira le départ à 60 ans si le PS gagne en 2012

«Si le gouvernement repoussait au-delà de 60 ans l’âge de départ, le rétabliriez-vous en cas de victoire en 2012 ?

Absolument», affirme Martine Aubry dans une interview exclusive au Parisien / Aujourd'hui-en-France. 48 réactions | RéagirPROPOS RECUEILLIS PAR ERIC HACQUEMAND, ROSALIE LUCAS ET HENRI VERNET.
Dans le débat sur les retraites, la patronne du PS accuse la droite de prendre le parti des banques. Elle soutient modérément Dominique Strauss-Kahn, tout en maintenant la position de son parti en faveur de la retraite à 60 ans.

Qu’avez-vous pensé de l’intervention télévisée de Dominique Strauss-Kahn jeudi soir sur France 2 ?
Martine Aubry. Il s’est exprimé comme directeur général du FMI, parfaitement conscient de la gravité de la situation.

Sa mission fondamentale est de faire en sorte que le FMI devienne un acteur majeur de la régulation financière internationale. Comme il l’a lui-même demandé, laissons-le s’occuper de cette tâche. Le reste, on verra le moment venu…

Selon lui, l’âge légal de la retraite à 60 ans n’est pas « un dogme ». Qu’en pensez-vous ?

Ce n’est pas un dogme. C’est une question de justice. Ce n’est pas au nom de théories, mais pour prendre en compte la réalité sociale de la France que le PS veut maintenir la possibilité de partir en retraite à 60 ans. Aujourd’hui, beaucoup de Français ont cotisé le nombre d’annuités nécessaires pour bénéficier de leur retraite à 60 ans. Ayant commencé tôt à travailler, ils sont parfois usés et fatigués. Il serait injuste qu’ils n’aient pas le droit, s’ils le souhaitent, de partir à 60 ans. J’ajoute que beaucoup de Français sont sans emploi après 55 ans : relever l’âge légal reviendrait surtout à transformer des retraités en chômeurs.

Johnny Hallyday de retour en France

Cinq mois après son opération à Los Angeles, Johnny est de retour en France. Comme l'avait annoncé Europe 1 dans la matinée, la star est arrivée dimanche peu avant 17 heures à l'aéroport parisien de Roissy, en provenance de Los Angeles. Lunettes noires et chapeau sur la tête, il était accompagné de sa femme, Laeticia, et de leur fille Jade.

"C'était une cohue épouvantable", témoigne une journaliste du parisien.fr présent sur place. "Un enfant a été bousculé par les journalistes et les gardes du corps, des reporters sont également tombés à terre et leur matériel a été brisé".

Dans les prochains jours, le rockeur doit subir des examens médicaux à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre dans le cadre des expertises lancées pour déterminer qui est responsable des problèmes de santé qui l'avaient plongé dans le coma en décembre dernier. Victime d'une maladie nosocomiale, il était resté seize jours à l'hopîtal, et quelques-uns entre la vie et la mort. Les experts médicaux doivent rendre leur rapport avant le 15 juillet, dans le conflit qui oppose Johnny, sa famille et son producteur Jean-Claude Camus au chirurgien Stéphane Delajoux, qui avait opéré le chanteur d'une hernie discale le 26 novembre. La prise en charge ou non par les assurances de l’annulation de sa tournée dépend de cette procédure

La vidéo

Une voiture percute trois cyclistes : deux morts

Tragique accident de la route dans la nuit de samedi à dimanche à Gruissan (Aude). Deux jeunes sont morts et un troisième grièvement blessé, percutés par une voiture, alors qu'ils circulaient à vélo. En ce week-end prolongé de Pentecôte, la ville de Gruissan était en fête à l'occasion des «Festejades».

Un jeune homme de 18 ans et une jeune de fille de 16 ans sont décédés malgré les tentatives de réanimation des pompiers après l'accident, survenu à 2h45 à hauteur du quartier des Ayguades, à la sortie de Gruissan. La troisième personne, un jeune homme de 19 ans, se trouvait dimanche dans le coma.

L'automobiliste a été placé en garde à vue. Le parquet de Narbonne doit donner dimanche après-midi une conférence de presse pour éclaircir les circonstances de l'accident.

La fête à Fontanières

Fête foraine, courses cyclistes, soleil, bandas, tout un panel pour ce cru 2010. 

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